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Comprendre le Trojan Downloader : rôle, fonctionnement, exemples, protection

Par : malekalmorte
3 juillet 2025 à 08:36

Parmi les nombreuses menaces qui circulent sur Internet, le Trojan Downloader se distingue par sa discrétion et sa dangerosité indirecte. À lui seul, ce malware n’endommage pas immédiatement votre système ni vos fichiers. Pourtant, il joue un rôle crucial dans les attaques informatiques modernes : il est chargé de télécharger et d’installer d’autres malwares plus destructeurs, comme des ransomwares, chevaux de Troie bancaires, spyware ou logiciels d’accès à distance.

Souvent diffusé par pièces jointes piégées, logiciels piratés ou publicités malveillantes, le Trojan Downloader s’exécute silencieusement en arrière-plan, établit une connexion avec un serveur distant, et livre les charges malveillantes choisies par les cybercriminels. Il constitue ainsi le premier maillon d’une chaîne d’infection, et l’un des plus critiques.

Dans cet article, vous allez découvrir :

  • Ce qu’est un Trojan Downloader et comment il fonctionne,
  • Les exemples les plus connus ayant marqué l’actualité,
  • Pourquoi il est si redouté par les spécialistes en cybersécurité,
  • Et surtout, comment s’en protéger efficacement.

Qu’est-ce qu’un Trojan Downloader ?

Un Trojan Downloader (ou cheval de Troie téléchargeur) est un type de malware spécialisé dans le téléchargement et l’installation d’autres logiciels malveillants sur l’ordinateur infecté. Contrairement à un cheval de Troie classique qui peut être conçu pour voler des données ou contrôler la machine directement, le downloader agit comme un “agent de livraison” silencieux. Son rôle principal est de préparer le terrain pour des menaces plus graves, comme des ransomwares, des spywares, des chevaux de Troie bancaires ou des logiciels d’accès à distance (RAT).

Souvent de petite taille, il passe inaperçu à l’installation et reste actif en arrière-plan. Une fois lancé, il établit une connexion avec un serveur distant (C2) pour récupérer les charges utiles, qui seront ensuite exécutées automatiquement sur le système, sans intervention de l’utilisateur.

Il fait partie des malwares les plus utilisés dans les campagnes de phishing ou dans les chaînes d’infection complexes. Le Trojan Downloader est souvent le premier maillon d’une attaque plus large, et c’est pourquoi il est particulièrement redouté : il ne fait “rien de visible” à première vue, mais ouvre la porte à tout le reste.

Fonctionnement technique d’un Trojan Downloader

Le Trojan Downloader agit de manière furtive et méthodique. Son objectif principal est de télécharger puis exécuter d’autres malwares sur la machine infectée, le plus souvent à l’insu de l’utilisateur. Voici les principales étapes de son fonctionnement :

Infection initiale

Le Trojan Downloader est généralement distribué via des vecteurs classiques :

Les Virus et Trojan : comment ils infectent les PC

Une fois que l’utilisateur ouvre le fichier, le trojan s’exécute discrètement en arrière-plan.

Connexion au serveur distant

Après s’être lancé, le Trojan Downloader établit une connexion sortante avec un serveur de commande (C2) contrôlé par l’attaquant. Cette communication peut se faire :

  • en HTTP/HTTPS (requêtes classiques vers des URLs codées ou dynamiques),
  • en protocole personnalisé (plus difficile à détecter),
  • parfois via réseaux P2P pour éviter les coupures de serveur.

Le trojan peut récupérer une liste de malwares à télécharger depuis son serveur C2, avec les URLs, signatures ou instructions associées. Dans certains cas, l’adresse du fichier à télécharger est déjà contenue dans le code du trojan : elle peut être codée en dur ou générée dynamiquement à l’exécution, par exemple via une fonction de construction d’URL.

Téléchargement de la charge utile (payload)

Le Trojan Downloader télécharge ensuite un ou plusieurs fichiers malveillants depuis le serveur distant :

  • ransomware,
  • spyware,
  • keylogger,
  • cheval de Troie bancaire,
  • outil d’accès à distance (RAT),
  • ou une nouvelle version de lui-même (mise à jour).

Ces fichiers sont souvent chiffrés ou compressés pour éviter la détection par les antivirus.

Exécution et installation

Une fois les fichiers récupérés, le downloader les exécute immédiatement ou les installe via :

  • des scripts temporaires (PowerShell, VBS…),
  • l’injection dans un processus système,
  • ou en copiant les fichiers dans des dossiers système avec un point de chargement (autorun) pour la persistance (Run/RunOnce, services, tâches planifiées…).

Le downloader peut ensuite s’effacer lui-même pour masquer son rôle dans la chaîne d’infection.

Trojan Downloader - schéma de fonctionnement

Exemples concrets de Trojan Downloaders connus

Plusieurs Trojan Downloaders célèbres ont été massivement utilisés dans des attaques à grande échelle, souvent comme première étape avant le déploiement d’un ransomware ou d’un malware bancaire.

Upatre (2013–2016)

L’un des premiers Trojan Downloaders largement utilisés dans des campagnes de malspam. Il était souvent distribué via des pièces jointes .ZIP contenant des exécutables déguisés, et servait principalement à télécharger le cheval de Troie bancaire Zeus ou le ransomware CryptoLocker.

Gamarue / Andromeda (2011–2017)

Utilisé dans des kits d’exploitation ou campagnes de spam, Gamarue était un downloader modulaire qui pouvait installer divers malwares selon le profil de la victime. Il a été démantelé en 2017 lors d’une opération conjointe entre Microsoft et le FBI.

Kovter (2014–2020)

Évoluant du simple adware au trojan downloader furtif, Kovter utilisait des techniques de persistance dans le registre Windows uniquement (sans fichier sur disque), rendant sa détection complexe. Il servait à télécharger des ransomwares ou des logiciels publicitaires à grande échelle.

Smoke Loader (depuis 2011 – actif en 2025)

Toujours en activité, Smoke Loader est utilisé dans des campagnes massives de malspam, souvent couplé à d’autres malwares. Il se distingue par sa légèreté et sa capacité à enchaîner les téléchargements de charges utiles (ransomware, RAT, miner…).

Emotet (2014–2021, réapparu brièvement en 2022)

Initialement un trojan bancaire, Emotet est rapidement devenu l’un des downloaders les plus puissants et distribués au monde. Il infectait les victimes via des documents Word piégés, et téléchargeait des malwares comme TrickBot, Qbot, ou des ransomwares comme Ryuk. Son infrastructure a été démantelée début 2021 par Europol, mais des variantes ont refait surface.

Trojan JavaScript / VBS : simple, discret, efficace

En parallèle des exécutables .exe ou des fichiers macro, les trojans écrits en JavaScript (.js) ou en VBScript (.vbs) sont encore aujourd’hui très utilisés dans les campagnes de phishing. Leur force réside dans leur simplicité d’exécution et leur capacité à contourner certains filtres de messagerie, surtout quand ils sont compressés dans des archives .ZIP.

Comment ils fonctionnent :

  • L’utilisateur reçoit un e-mail avec un objet générique du type « Facture », « Document important », ou « Relance de paiement ».
  • La pièce jointe est souvent une archive .zip contenant un fichier document.js ou fichier.vbs.
  • Dès l’ouverture, le script télécharge en arrière-plan un exécutable depuis un serveur distant (fréquemment via wget, bitsadmin, ou powershell Invoke-WebRequest).
  • Il lance ensuite automatiquement l’exécutable téléchargé, qui peut être un ransomware, un RAT ou un autre downloader.

Ces scripts ne nécessitent aucune élévation de privilèges et s’exécutent simplement si l’utilisateur double-clique, ce qui les rend extrêmement efficaces, notamment dans des environnements peu protégés.

de nombreux antivirus ne détectent pas toujours ces scripts s’ils sont légèrement obfusqués ou modifiés. D’où l’importance de désactiver l’exécution des scripts inconnus, d’activer l’affichage des extensions dans l’Explorateur Windows, et d’éviter l’ouverture de pièces jointes douteuses.

Pourquoi un Trojan Downloader est-il dangereux ?

Le Trojan Downloader est souvent sous-estimé, car, à lui seul, il ne vole pas directement vos données, ne chiffre pas vos fichiers et ne prend pas le contrôle de votre webcam. Pourtant, il représente une menace majeure dans la chaîne d’infection, comme il ouvre la porte à des malwares bien plus destructeurs.

Voici pourquoi il est particulièrement dangereux.

Il agit en toute discrétion :

Un Trojan Downloader est généralement léger, silencieux, et sans effets visibles immédiats. Il peut s’exécuter en arrière-plan sans ralentir le système ni provoquer d’alerte. De nombreux utilisateurs ne se rendent compte de sa présence qu’après l’installation du vrai malware (ransomware, cheval de Troie bancaire, etc.).

Il installe des menaces bien plus graves :

Son rôle est de télécharger et exécuter d’autres malwares, ce qui signifie qu’une seule infection peut entraîner en cascade :

  • le vol de données confidentielles (mots de passe, fichiers),
  • l’installation d’un ransomware qui chiffre tout le système,
  • l’espionnage via un RAT (Remote Access Trojan),
  • ou l’intégration à un botnet utilisé pour des attaques DDoS ou du spam massif.

Il peut réinjecter des malwares après nettoyage :

Certains downloaders restent résidents ou se réinstallent via une tâche planifiée ou un point de démarrage. Résultat : même après avoir supprimé les malwares visibles, le downloader peut réinstaller la menace au redémarrage suivant.

Il est difficile à détecter :

  • Il utilise souvent des techniques de dissimulation : noms de fichiers trompeurs, répertoires système, extensions masquées…
  • Il peut employer un chiffrement ou une obfuscation de son code ou de ses communications avec le serveur.
  • Les antivirus ne le détectent pas toujours s’il est scripté (JavaScript, VBS) ou personnalisé pour une campagne ciblée.

Il peut adapter son comportement à la cible :

Certains Trojan Downloaders avancés sont capables de collecter des informations sur la machine infectée (langue, localisation, type de système, présence d’un antivirus…) avant de choisir quelle charge malveillante installer. Cette approche dynamique rend leur action plus efficace et ciblée.

Comment se protéger d’un Trojan Downloader

Comme le Trojan Downloader agit en amont de l’infection principale, le bloquer à temps permet souvent d’éviter tout le reste de la chaîne d’attaque : ransomware, espionnage, vol de données… Voici les meilleures pratiques à adopter pour s’en protéger efficacement.

  • Vigilance face aux e-mails et pièces jointes :
    • Ne jamais ouvrir de pièce jointe inattendue, même si l’expéditeur semble connu.
    • Se méfier des fichiers .zip, .js, .vbs, .lnk, .docm, .xlsm : ce sont des formats classiques pour les malwares.
    • Désactiver l’exécution automatique des macros dans Microsoft Office.
    • Toujours afficher les extensions de fichiers dans l’Explorateur Windows pour repérer les noms trompeurs (Facture.pdf.exe, etc.).
  • Filtrer les connexions sortantes suspectes :
    • Activer et configurer un pare-feu efficace (Windows Firewall ou solution tierce).
    • Surveiller les connexions sortantes anormales vers des domaines inconnus (à l’aide de logiciels comme GlassWire, TCPView ou Wireshark).
    • En entreprise : utiliser un proxy ou un filtre DNS (ex. NextDNS, Quad9, OpenDNS avec filtrage) pour bloquer les domaines C2 connus.
  • Utiliser une protection antivirus/EDR à jour
  • Maintenir le système et les logiciels à jour pour combler failles logicielles
  • Faire une analyse complète du système avec votre antivirus une fois par semaine.

Liens

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Best NAS for Under $249

Par : Rob Andrews
2 juillet 2025 à 18:00

Best NAS You Can Buy Right Now (Mid-2025) for Under $249

As personal data storage needs continue to grow in 2025, more users are seeking cost-effective alternatives to cloud services and monthly subscription platforms. Whether you’re backing up years of photos, hosting your own video library, or managing light business data locally, a dedicated NAS (Network Attached Storage) device offers greater privacy and control without recurring fees. Fortunately, the sub-$249 price point now includes a variety of surprisingly capable systems. Thanks to developments in low-power processors, DDR5 memory adoption, and more efficient operating systems, these devices can now handle everything from Plex streaming to light container workloads with relative ease. In this article, we explore five NAS solutions currently available at or below this price point, offering a balance of performance, connectivity, and storage potential for those looking to build their own storage solution on a modest budget.

Important Disclaimer and Notes Before You Buy!

Before diving into the specific NAS models, it’s important to understand the limitations and shared characteristics of devices in this price range. Most sub-$249 NAS units do not include any hard drives or SSDs, and many rely on M.2 NVMe slots or 2.5″/3.5″ SATA bays that must be populated separately. Some models ship with basic onboard storage (e.g., 32GB–64GB eMMC) sufficient only for the operating system. As such, the actual cost of getting a fully operational NAS with adequate storage for your needs may exceed the base unit price. Buyers should also be aware that these devices are best suited for home users, personal cloud use, and entry-level tasks, rather than intensive business or enterprise workloads. Additionally, several of the devices covered in this list do not come with a full-featured NAS operating system. Instead, they either rely on lightweight Linux-based platforms like CasaOS or ZimaOS, or they provide a basic UI designed for local file access and container management. While these OS options are improving in terms of user-friendliness, they may lack advanced features like comprehensive RAID management, automated snapshots, or multi-user file permission systems found in higher-end platforms like Synology DSM or TrueNAS. These NAS units are most appropriate for users with some technical confidence, or for those looking for a basic plug-and-play setup with limited customization needs.


Beelink ME Mini NAS – 6 Bay SSD NAS

$209 – Intel N150 – 12GB – No SSD (64GB eMMC Only) – 2x 2.5GbE + WiFi 6 – No OS / User Install – BUY HERE

The Beelink ME Mini is a compact NAS device aimed at users who want high-speed, SSD-based storage in a minimal footprint. Measuring just 99mm on each side, it features six M.2 2280 NVMe slots, providing up to 24TB of total capacity when fully populated. Powered by the Intel N150 processor and paired with 12GB of LPDDR5 memory, it offers a decent balance between performance and energy efficiency. Connectivity is handled via dual 2.5GbE LAN ports, WiFi 6, and Bluetooth 5.2, making it suitable for both wired and wireless environments. The unit is cooled passively and contains an integrated power supply, reducing cable clutter and making it ideal for placement in home media setups or small offices.

However, the device does not include an operating system, and users will need to install a preferred NAS OS themselves — whether that’s CasaOS, Ubuntu Server, or something container-based. There’s also no bundled storage beyond the 64GB eMMC system partition, so the overall cost will rise depending on your NVMe selections. It lacks support for traditional 3.5″ or 2.5″ SATA drives, making this NAS most suitable for users seeking a quiet, SSD-only setup with strong networking performance and flexibility for custom OS installation.

Component Specification
CPU Intel N150 (4 cores, up to 3.6 GHz)
Memory 12GB LPDDR5
Internal Storage 64GB eMMC + 6x M.2 2280 NVMe slots
Networking 2x 2.5GbE LAN, WiFi 6, Bluetooth 5.2
Ports USB 2.0, USB 3.2, USB-C, HDMI
OS User-defined (Linux-based preferred)
Dimensions 99 x 99 x 99 mm


GMKTec G9 NAS – 4 Bay M.2 NAS @ The lowest Price

$185.99 – Intel N150 – 12GB – No SSD (64GB eMMC Only) – 2x 2.5GbE + WiFi 6 – Ubuntu 24.10 (Preloaded, Switchable) – BUY HERE

The GMKTec G9 offers similar internal hardware to the Beelink ME Mini, including the same Intel N150 processor and 12GB of LPDDR5 memory, but with a more rectangular chassis and fewer SSD slots — four instead of six. The system includes 64GB of onboard eMMC storage, primarily used for booting Ubuntu 24.10, with the option to dual-boot into Windows 11 if a suitable SSD is installed. Like the Beelink, it lacks traditional SATA support and focuses on high-speed NVMe storage via M.2 2280 slots, up to 4TB per drive. The unit is cooled actively and includes dual HDMI outputs, making it more appealing for those who may want to use it as a lightweight desktop or media output device in addition to a NAS.

One of the notable differences is its broader OS support and better I/O variety, including three USB 3.2 ports and a DisplayPort-capable USB-C connector. This NAS is best suited to users looking for a more configurable or multi-purpose system with better visual output options. However, as with the Beelink, users must add their own NVMe storage, and setup requires a basic understanding of system boot configuration and OS installation. Note – this one GETS HOT, so get SSD heatsinks and ensure a good active airflow wherever you deploy it!

Component Specification
CPU Intel N150 (4 cores, up to 3.6 GHz)
Memory 12GB LPDDR5
Internal Storage 64GB eMMC + 4x M.2 2280 NVMe slots
Networking 2x 2.5GbE LAN, WiFi 6, Bluetooth 5.2
Ports 3x USB 3.2, 1x Type-C (DP), 2x HDMI, Audio
OS Ubuntu 24.10 by default, dual-boot capable
Dimensions 146.6 x 100.25 x 38.75 mm


Synology BeeStation 4TB NAS – ALL IN ONE!

$199 – Realtek RTD1619B – 1GB – 4TB SINGLE BAY – 1x 1GbE – BeeStation Manager (BSM) – BUY HERE

The Synology BeeStation 4TB is a fully integrated, single-bay NAS aimed squarely at users who want a no-setup-required solution. Unlike most NAS devices in this price range, it comes pre-configured with a 4TB internal hard drive and a sealed chassis, meaning users don’t need to source or install any storage themselves. It runs on a Realtek RTD1619B ARM-based processor, includes 1GB of DDR4 memory, and connects over a single 1GbE port. The included BeeStation Manager (BSM) OS is designed specifically for beginners, offering cloud-style file access, photo management, and mobile app integration with minimal technical effort.

This NAS is best suited to individuals or households that want a simple local backup and file-sharing solution that behaves more like a smart external hard drive than a customizable NAS. It supports basic multimedia functions, Synology mobile apps, and remote access features, but does not allow for internal expansion or RAID redundancy. The included USB-A and USB-C ports can be used for manual backups to external drives. However, because it’s a sealed single-drive unit with no RAID options, users should plan to back up to another location—either cloud or USB—to ensure data protection. Despite these limitations, its all-in-one design, 3-year warranty, and simple user experience make it one of the few truly plug-and-play NAS systems under $250.

Component Specification
CPU Realtek RTD1619B (Quad-core ARM)
Memory 1GB DDR4
Internal Storage 4TB HDD (included, sealed)
Networking 1x 1GbE LAN
Ports 1x USB-A 3.2 Gen 1, 1x USB-C 3.2 Gen 1
OS Synology BeeStation Manager (BSM)
Dimensions 148 x 62.6 x 196.3 mm


UGREEN NASync DXP2800 NAS – The New Challenger!

$249 – Intel N100 – 8GB – No Storage (32GB eMMC) – 1x 2.5GbE – UGOS Pro – BUY HERE

The UGREEN DXP2800 is part of the company’s NASync lineup, aimed at users who want a blend of expandability and affordability. It combines the practicality of traditional HDD storage with the performance benefits of SSDs, offering two 3.5″ SATA bays alongside two M.2 NVMe SSD slots for faster caching or active data operations. At the heart of the system is an Intel N100 processor, a 12th-generation quad-core chip from Intel’s energy-efficient N-series lineup, which supports both basic virtualization and multimedia streaming. This is paired with 8GB of DDR5 memory, non-ECC but upgradable, and a 32GB eMMC used solely for the preloaded UGOS Pro operating system. Connectivity is handled through a single 2.5GbE LAN port and a mix of USB ports on both front and rear panels — including USB-C and 10Gbps-capable USB-A. UGOS Pro, while relatively new, features a clean web-based interface with container support, RAID management (0, 1, JBOD), remote file sharing, and basic multimedia services.

While it lacks the ecosystem polish of Synology DSM or QNAP QTS, it is one of the few turnkey options in this price range that supports both SSD and HDD usage in a flexible, non-proprietary layout. However, buyers should still account for the need to install their own drives and configure the storage pools manually. It’s a solid balance of raw hardware potential and modest software capability for users willing to manage their setup beyond the initial boot.

Component Specification
CPU Intel N100 (4 cores, up to 3.4GHz)
Memory 8GB DDR5 (non-ECC, upgradeable to 16GB)
Internal Storage 32GB eMMC + 2x SATA + 2x M.2 NVMe
Networking 1x 2.5GbE LAN
Ports Front: 1x USB-C (10Gbps), 1x USB-A (10Gbps) \nRear: 1x USB-A (5Gbps), 2x USB 2.0, HDMI 4K Output
OS UGOS Pro
Dimensions 231 x 109 x 178 mm (approx.)


ZimaBoard 2 (832 Version) – DIY Enthusiast’s DREAM!

$199 – Intel N150 – 8GB – No Storage (32GB eMMC) – 2x 2.5GbE – ZimaOS – BUY HERE

The ZimaBoard 2 (832) is a low-profile, single-board NAS platform designed for flexibility and modularity rather than out-of-the-box convenience. Unlike traditional NAS systems with enclosures and tool-less drive bays, this unit is a bare embedded board that offers direct access to interfaces for those who want to build or customize their own setup. It is powered by the same Intel N150 quad-core processor used in other compact NAS systems, paired here with 8GB of LPDDR5x memory and 32GB of onboard eMMC storage for its pre-installed ZimaOS. This board features two powered SATA 3.0 ports, making it one of the few sub-$250 NAS options that supports HDDs natively without requiring USB-to-SATA adapters or expansion modules.

In terms of connectivity, the ZimaBoard 2 includes dual 2.5GbE LAN ports, USB 3.1, a PCIe 3.0 x4 slot, and a Mini DisplayPort output supporting 4K60 video. While the PCIe slot expands potential use cases (e.g., additional networking, storage, or accelerator cards), most users will opt to use the SATA ports for reliable storage first. The board is passively cooled with a large integrated heatsink and operates silently, but thermal performance may vary based on enclosure design and ambient temperature. It is particularly well-suited to DIY users looking to build a lightweight NAS, firewall, media server, or container host. ZimaOS includes a web-based UI and supports CasaOS and Linux-based OS alternatives, but configuration still requires basic familiarity with system setup and storage configuration. It’s not intended for users looking for plug-and-play simplicity, but rather those who want total control over their NAS hardware and software environment.

Component Specification
CPU Intel N150 (4 cores, up to 3.6GHz)
Memory 8GB LPDDR5x
Internal Storage 32GB eMMC + 2x SATA 3.0 (powered)
Networking 2x 2.5GbE LAN
Ports 2x USB 3.1, Mini DisplayPort, PCIe 3.0 x4
OS ZimaOS (also supports CasaOS, Linux distros)
Dimensions 140 x 83 x 31 mm

 


Each of the NAS options presented here offers a different balance of hardware, expandability, and ease of use, while remaining under the $249 price threshold. Users who prefer pre-configured simplicity may lean toward the Synology BeeStation, while those seeking customization and SSD-focused performance might opt for the Beelink ME Mini or GMKTec G9. The UGREEN DXP2800 provides hybrid storage flexibility with a more developed software interface, and the ZimaBoard 2 appeals to technically inclined users who want complete control over their system stack. While no single device is perfect, all five represent viable paths toward local data ownership and self-hosted media or backup solutions without breaking the bank.

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Par : Korben
2 juillet 2025 à 23:32

Vous savez ce qui me rend dingue sur YouTube ces derniers temps ? Ce sont les traductions automatiques merdiques de Google… Vous cliquez sur une vidéo de l’un de vos youtubeurs anglophone préféré et PAF, YouTube vous balance un doublage français qui ne ressemble à rien, vignette et description comprises.

Et le pire dans tout ça, c’est qu’on ne peut même pas désactiver cette merde dans les paramètres. Nada, que dalle, rien. Google a donc décidé que vous alliez bouffer de la traduction automatique et vous alliez aimer ça. Sauf que non.

Comment un hacker a scanné tous les commits "oops" de GitHub et trouvé 25k$ de secrets

Par : Korben
2 juillet 2025 à 23:30

Vous le savez, j’adore les histoires de hackers qui trouvent des failles là où personne ne pense à regarder. Et celle que je vais vous raconter aujourd’hui est particulièrement savoureuse…

C’est l’histoire de Sharon Brizinov, un chercheur en sécurité qui a réussi à scanner TOUS les commits “oops” de GitHub depuis 2020 et à trouver pour 25 000 dollars de secrets. Ouais, 25 000 balles en scannant des trucs que les développeurs pensaient avoir supprimés…

Canicule 2025 - Le guide de survie ultime pour bosser sur ordinateur sans fondre

Par : Korben
2 juillet 2025 à 17:53

Bon, on va pas se mentir, c’est la fournaise dehors. Depuis le 30 juin, on se tape la 50ème canicule nationale depuis 1947, avec des températures qui flirtent avec les 40°C dans le sud. Et pendant ce temps, vous êtes là, devant votre écran, à suer comme des porcs et à essayer de bosser alors que votre cerveau fond comme un Magnum abandonné sur le tableau de bord de votre Clio.

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