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Aujourd’hui — 4 septembre 2025Flux principal

FlyOOBE - L'outil qui installe Windows 11 sur n'importe quel PC

Par : Korben
4 septembre 2025 à 18:41

Vous avez un PC qui tourne encore parfaitement sous Windows 10 mais Microsoft vous dit qu’il est comme vous, c’est à dire “trop vieux” pour Windows 11 ?

Et bien, bienvenue dans le club des 240 millions de machines destinées à la casse. Woohoo ! D’ailleurs selon cette études , si on empilait tous ces PC les uns sur les autres, la pile ferait 600 kilomètres de plus que la distance Terre-Lune. Sympa pour la planète.

Bref, face à ce gâchis monumental programmé pour le 14 octobre de cette année, date de fin du support de Windows 10 , un développeur connu sous le pseudo Belim (builtbybel sur GitHub) a créé FlyOOBE. C’est un outil qui fait exactement ce que Microsoft ne veut pas à savoir installer Windows 11 sur n’importe quel PC, même sans TPM 2.0, sans Secure Boot, et avec un processeur de 2010. Et en bonus, il vire tous les bloatwares au passage.

FlyOOBE, c’est l’évolution de Bloatynosy devenu Flyby11, dont je vous ai déjà parlé en long, en large et en travers. C’était un simple patcher qui avait déjà permis à des milliers d’utilisateurs de contourner les restrictions matérielles de Windows 11. Mais cette nouvelle version va beaucoup plus loin car au lieu de simplement bypasser les vérifications de compatibilité, FlyOOBE vous permet de personnaliser complètement l’expérience d’install et de post-install de Windows 11.

Comme ça, fini les écrans de configuration à rallonge, les applications préinstallées dont tout le monde se fout, et les paramètres de confidentialité douteux activés par défaut.

Mais avant de rentrer dans le détail, pour comprendre pourquoi FlyOOBE existe, il faut revenir sur les exigences matérielles de Windows 11. Microsoft demande actuellement pour Windows 11, un processeur de 8e génération Intel ou 2e génération AMD Ryzen minimum, 4 Go de RAM (8 Go pour une expérience correcte), le TPM 2.0, l’UEFI avec Secure Boot activé, et j’en passe.

Vous l’avez déjà compris, ce sont des exigences qui excluent automatiquement des millions de PC parfaitement fonctionnels.

Bien sûr, tout comme Retailleau ou Darmanin, Microsoft n’a qu’un seul mot à la bouche pour justifier ce massacre informatique : La sécurité. Hé oui car le TPM 2.0 est censé protéger vos données sensibles, et le Secure Boot quant à lui empêche le démarrage de malwares au niveau du bootloader.

Noble intention, j’en conviens, sauf que dans les faits, ça ressemble surtout à de l’obsolescence programmée ++ imaginée pour booster les ventes de nouveaux PC. Plusieurs personnes parlent même d’une stratégie pour augmenter les ventes de Copilot+ PC , ces nouvelles machines avec NPU intégré capable de faire tourner de l’IA en local.

Alors oui, Microsoft propose bien des Extended Security Updates (ESU) pour 30 dollars par an après octobre 2025, mais c’est juste repousser le problème. Et pour les entreprises, ces tarifs grimpent à 61 $ la première année, 122 $ la deuxième, et 244 $ la troisième. Ils abusent pas un peu là quand même ? Donc autant dire que pour beaucoup de boites, ces vieux PC ce sera direction la déchetterie.

Du coup, le principe de FlyOOBE est très malin, je trouve car au lieu de modifier Windows 11 directement, il utilise une astuce découverte par la communauté il y a quelques temps. Il lance en fait l’installation en mode “Windows Server”, qui n’a pas les mêmes restrictions que la version client. Une fois l’installation terminée, vous vous retrouvez alors avec un Windows 11 parfaitement fonctionnel, mais rassurez vous, pas une version serveur.

Selon le développeur de FlyOOBE, la méthode utilise exactement le même contournement que celui documenté par Microsoft pour les environnements virtuels sauf qu’au lieu de l’appliquer à une VM, FlyOOBE l’applique à votre vraie machine. Et il a fait un boulot de dingue car tout le processus est automatisé… L’outil télécharge l’ISO de Windows 11 via le script Fido (développé par Pete Batard de Rufus ), applique les patchs nécessaires, et lance l’installation.

Pour ceux qui dormait depuis 25 ans, OOBE signifie “Out-Of-Box Experience”. C’est cette série d’écrans à la con que vous voyez quand vous démarrez Windows pour la première fois : Création du compte, paramètres de confidentialité, connexion au Wi-Fi, tout ça. Microsoft en profite pour vous faire créer un compte Microsoft (obligatoire sur Windows 11 Home), activer la télémétrie, installer Office 365 en trial, et autres joyeusetés.

FlyOOBE vous permet donc de court-circuiter tout ça. Plus besoin de compte Microsoft, vous pouvez créer un compte local directement. Les paramètres de confidentialité sont configurés pour protéger vos données par défaut. Et surtout, l’outil peut automatiquement désinstaller toute une liste de bloatwares (traduction : logiciels à la con) comme Candy Crush, TikTok, les jeux Xbox que vous n’avez jamais demandés, Cortana, et même Teams si vous voulez.

L’App Installer intégré propose aussi d’installer automatiquement des logiciels vraiment utiles tels que Firefox, VLC, 7-Zip, Notepad++, et autres essentiels. Pratique donc pour avoir une machine propre et fonctionnelle dès le départ, sans passer des heures à tout configurer manuellement.

Maintenant faut que je sois clair avec vous, utiliser FlyOOBE, c’est contourner les mesures de sécurité mises en place par Microsoft. Le développeur lui-même précise que les mises à jour futures ne sont pas garanties sur les machines “non supportées”. Donc si Microsoft décide de bloquer complètement les PC sans TPM 2.0 dans une future mise à jour, vous pourriez vous retrouver coincé.

Il y a aussi le cas du POPCNT, une instruction CPU que FlyOOBE ne peut pas contourner donc si votre processeur ne la supporte pas (généralement les CPU d’avant 2010), Windows 11 ne fonctionnera tout simplement pas, même avec FlyOOBE. L’outil intègre d’ailleurs un “compatibility checker” pour vérifier ce point avant l’installation.

Notez qu’ en février dernier, Microsoft Defender a commencé à flaguer Flyby11 comme “Win32/Patcher” , le classant comme application potentiellement indésirable. Le développeur a alors contacté Microsoft et la version actuelle n’est plus détectée, mais ça montre que Microsoft n’apprécie pas vraiment ce genre d’outils.

Maintenant pour utiliser FlyOOBE, pas besoin d’un tuto à rallonge car c’est ultra simple. Vous téléchargez l’exécutable depuis les releases GitHub , vous le lancez, et vous avez quatre options :

  1. Upgrade : Pour passer de Windows 10 à 11 sur une machine incompatible
  2. Install Only : Pour une installation propre avec personnalisation OOBE
  3. Experience : Pour configurer Windows après installation
  4. Apps : Pour gérer les bloatwares et installer des apps utiles

Si vous choisissez l’upgrade, FlyOOBE téléchargera automatiquement l’ISO de Windows 11, appliquera les patchs, et lancera le processus. Comptez alors environ 30 minutes à 1 heure selon votre machine et votre connexion internet. Rassurez-vous, l’outil gardera vos fichiers et tous vos programmes car c’est une vraie mise à niveau, et pas une réinstallation.

Maintenant, pour ceux qui veulent aller plus loin, il y a même des builds “Nightly” mis à jour régulièrement avec les dernières fonctionnalités. Notez aussi que FlyOOBE n’est pas le seul outil pour contourner les restrictions de Windows 11. Rufus permet aussi de créer une clé USB d’installation sans les checks TPM/Secure Boot . Il y a aussi les méthodes manuelles avec des modifications du registre pendant l’installation. Ou carrément passer à Linux, comme le suggèrent certains barbus qui veulent entrainer encore plus de monde dans leur galère… Roooh, ça va, je rigole !

Mais FlyOOBE c’est mon préféré parce qu’il a plusieurs avantages. D’abord, c’est tout-en-un : bypass les restrictions, personnalisation OOBE, et debloating. Ensuite, c’est portable, donc pas besoin d’installation et surtout, c’est maintenu activement avec des mises à jour régulières pour s’adapter aux changements de Microsoft.

Alors Microsoft va-t-il bloquer définitivement FlyOOBE et les outils similaires ? C’est possible car ils ont déjà resserré la vis plusieurs fois, mais les devs trouvent toujours de nouvelles méthodes de contournement. Et c’est encore pire pour activer Windows…

Bref, si vous avez un PC sous Windows 10 qui ne passe pas les vérifications de compatibilité Windows 11, donnez une chance à FlyOOBE. Au pire, vous perdez une heure et au mieux, vous donnez une seconde vie à votre machine et vous évitez de participer à la montagne de déchets électroniques que ça va provoquer.

Et ça, c’est déjà une petite victoire.

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SpaceX intervient pour remonter l’orbite de la Station spatiale internationale

Par : Hugo Ruher
4 septembre 2025 à 17:32

Une capsule Dragon de SpaceX a procédé à une manœuvre pour pousser la station spatiale internationale, et ainsi la maintenir sur son orbite. Une opération délicate qui se déroulera de nouveau dans les mois à venir.

Clonezilla : comment créer une image disque chiffrée de son PC Linux ou Windows ?

4 septembre 2025 à 18:00

En suivant ce tutoriel, vous apprendrez à utiliser Clonezilla pour créer une image disque chiffrée de votre PC, qu'il soit sous Windows ou sous Linux.

The post Clonezilla : comment créer une image disque chiffrée de son PC Linux ou Windows ? first appeared on IT-Connect.

Kpop Demon Hunters sur Netflix : la chanson Golden a été écrite dans un lieu absurde

4 septembre 2025 à 10:36

Composer le phénomène de l'été n'a pas été si facile. C'est la chanteuse de k-pop EJAE qui a ainsi donné vie à Golden, la chanson phare du film Kpop Demon Hunters, sur Netflix. Et ses secrets sont plutôt étonnants.

15 ans plus tard, ce petit développeur sort enfin son application sur iPad

4 septembre 2025 à 10:07

Un peu plus de quinze ans après la sortie du premier iPad, le groupe Meta a enfin sorti une première version d'Instagram adaptée à la tablette d'Apple. La fin d'un bras de fer beaucoup trop long, durant lequel Meta a toujours pris de haut le créateur de l'iPad.

WHY Synology Changed Support of 3rd Party Hard Drives in DSM?

Par : Rob Andrews
3 septembre 2025 à 18:00

Is there a good reason for Synology to change the support of “Unverified Drives” in DSM?

Synology has long been regarded as one of the most user-friendly and reliable NAS brands in the market, balancing intuitive software with a wide hardware range that appeals to both home and business users. However, in recent years the company has taken an increasingly controversial path by enforcing strict compatibility requirements for hard drives and SSDs. Beginning with DSM 7 and escalating into the 2025 generation of devices, Synology now only certifies and supports its own branded storage media, effectively locking out many widely used alternatives from Seagate, Western Digital, and Toshiba. While Synology positions this move as a way to ensure system stability and consistency, the decision has sparked significant backlash among users who feel restricted in their options and burdened by higher costs. As competitors expand their ecosystems with more openness and flexibility, this proprietary approach risks damaging Synology’s reputation, raising questions about whether the company has prioritized profit margins over user choice.

What is the MAIN PROBLEM(s) with this decision by Synology?

The most immediate problem with Synology’s hard drive policy is the loss of flexibility that once made their systems so appealing. For years, customers could select from a wide range of industry-standard drives from Seagate, Western Digital, or Toshiba, tailoring storage to their budget, performance requirements, or regional availability. This freedom not only allowed users to balance cost and capacity, but also gave small businesses and home enthusiasts the ability to reuse existing drives, upgrade incrementally, or take advantage of promotions from different vendors. By restricting DSM compatibility to Synology-labelled drives, that flexibility is gone. For many users outside major markets, Synology’s drives are harder to source, priced higher than the competition, or limited in available capacities. What once felt like an open platform now increasingly resembles a closed ecosystem, where users must accept the vendor’s terms even if it means compromising on affordability or performance.

Another dimension of the problem lies in how Synology has communicated these changes, which many see as evasive or disingenuous. Officially, the company justifies the restriction as a move toward greater reliability and predictable system performance. The argument is that by narrowing the range of drives tested and supported, Synology can optimize DSM to work seamlessly with drives that have firmware tailored for its environment. In practice, though, the same underlying hardware often originates from Seagate or Toshiba, with only minor firmware adjustments and new branding. This creates a perception that Synology is overstating the technical benefits while quietly using the policy to secure higher margins. For long-time users, the contrast is stark: older models happily ran third-party drives with few issues, which makes the sudden insistence on “certification” seem less like an engineering requirement and more like a business maneuver. The result has been a significant erosion of trust between the company and its community.

The wider impact of this strategy has also been felt across the storage industry. Resellers have reported declining sales of Synology’s Plus series devices as customers explore alternatives such as QNAP, TrueNAS, or newer entrants like UGREEN and UniFi. For Synology, this shift is particularly damaging because its reputation has historically rested on attracting less technical buyers who value simplicity and reliability over DIY solutions. Now, even these entry-level and mid-range users are questioning whether they should commit to an ecosystem that limits their choice of drives and increases their costs. At the same time, hard drive manufacturers like Seagate and Western Digital are also affected, as Synology’s decision reduces the number of channels through which their products reach end customers. The ripple effect is therefore twofold: Synology risks alienating its base of loyal customers, while storage vendors lose a once-reliable partner, creating tension that could ultimately push more buyers toward competing NAS brands.

How Can Synology Solve This (if they want to)?

One path forward for Synology would be to adopt a hybrid compatibility model, where its own branded drives remain the recommended or default choice but third-party alternatives are still officially supported. This compromise has been proven by other vendors such as UniFi and QNAP, who sell their own labelled drives while maintaining compatibility lists for major manufacturers like Seagate, Western Digital, and Toshiba. By following this model, Synology could continue promoting the reliability benefits of its branded hardware without alienating customers who prefer flexibility. In practice, this would preserve a sense of choice for users while ensuring Synology can still highlight its “optimized” solutions as the safer, supported route.

 

A second solution would be to introduce explicit user consent during setup in DSM. Instead of blocking unsupported drives outright, Synology could warn users with a clear message that their chosen media is not on the verified list and may not receive full technical support. The responsibility then shifts to the user, who can decide whether to prioritize cost savings, capacity, or specific models over guaranteed compatibility. This would align Synology’s policy more closely with customer expectations while protecting the company from liability. It would also help reduce reliance on unofficial modification scripts, which have become increasingly popular but operate outside of Synology’s oversight.

 

Finally, Synology could address the availability and pricing concerns around its own branded drives. In many regions, these drives are either difficult to source or significantly more expensive than equivalent Seagate or Western Digital models. Improving distribution channels, ensuring consistent stock, and narrowing the price gap would make the transition more palatable to users who are willing to adopt Synology’s ecosystem but feel penalized by limited access. By focusing on accessibility and fairness rather than exclusivity, Synology could rebuild goodwill while still driving revenue from its hardware strategy. Taken together, these steps would not fully reverse the controversy but would demonstrate responsiveness and provide a clearer path to balancing stability, customer choice, and profitability.

Is there a way to FORCE a Synology NAS to accept unverified Hard Drives and SSDs in DSM?

For users unwilling to accept Synology’s restrictive stance on storage media, the community has developed reliable workarounds that re-enable full functionality for third-party hard drives and SSDs. The most widely adopted method involves injecting a script into the NAS system that bypasses DSM’s compatibility database, allowing otherwise unsupported drives to be used for installation, storage pools, caching, and expansion. Synology’s 2025 Plus-series models, such as the DS925+, block DSM installation if only unverified drives are present and issue constant warnings in Storage Manager. To overcome this, users first employ a Telnet-based flag during initial setup that tricks DSM into accepting the installation, followed by a more permanent fix applied through SSH. At the heart of this solution is Dave Russell’s (007revad) GitHub project Synology_HDD_db, which modifies DSM’s internal drive compatibility files. Once downloaded and executed via SSH, the script detects the NAS model, DSM version, and connected drives, then patches the system to treat them as officially supported.

The process is reversible, non-destructive, and works across multiple DSM versions, including DSM 7.2 and later. Additional features allow removal of persistent warning banners, full use of NVMe drives as storage volumes, and optional disabling of intrusive monitoring services like WDDA. To ensure ongoing stability, users can also configure a scheduled task in DSM’s Task Scheduler that re-applies the script at every boot, guaranteeing compatibility survives updates, reboots, or new drive insertions. While the script is robust and actively maintained, there are clear disclaimers: using it involves modifying system files, may void official Synology support, and should only be attempted by users confident with SSH and terminal commands who have reliable data backups. Nonetheless, for advanced users, system integrators, and enthusiasts, this community-driven solution has become the de facto method of restoring the freedom to use affordable and widely available third-party drives in modern Synology NAS systems.

Example of a 30TB Seagate HDD visible and functioning inside a Synology DS925+

Note – You can follow my guide on how to use this script modification (as well as outlining the pros and cons) HERE on the blog, or watch the video below:

The Future of Synology in the eyes of new and old buyers?

Synology’s decision to enforce exclusive support for its own branded hard drives and SSDs marks one of the most controversial shifts in the company’s history, transforming how both long-time customers and potential buyers view the brand. For over a decade, Synology’s appeal rested on a combination of intuitive software, solid hardware, and flexibility in allowing users to choose their own storage media from trusted vendors like Seagate, Toshiba, and Western Digital. By removing that choice in the 2025 generation, Synology has fundamentally altered the value proposition of its systems, making them appear less like open storage platforms and more like tightly controlled appliances. While the company justifies the policy by citing stability, predictability, and reduced support overhead, many users interpret it as a profit-driven attempt to push proprietary drives into the market, especially since these are often rebranded versions of third-party disks with modified firmware and higher price tags.

The backlash has been considerable, with resellers and community forums reporting falling interest in Synology’s Plus-series devices, particularly among home and small business users who previously embraced them for affordability and ease of expansion. Competing NAS providers such as QNAP, TrueNAS, UGREEN, and UniFi have been quick to capitalize on the discontent, positioning themselves as more open alternatives that maintain compatibility with industry-standard drives. At the same time, the growth of unofficial solutions like Dave Russell’s compatibility script demonstrates how determined users are to regain control over their hardware, even at the risk of voiding warranty or stepping outside official support. This dynamic reflects a widening gap between Synology’s official direction and the needs of its customer base, many of whom would prefer to accept a disclaimer about using unverified drives rather than being forced into a closed ecosystem.

Ultimately, Synology now stands at a crossroads that will define its reputation in the storage industry for years to come. If it continues to double down on a closed, proprietary model, the company may secure short-term revenue through drive sales but risks long-term damage to its image and market share. On the other hand, reintroducing a more flexible, transparent approach—such as allowing user consent for unsupported drives or improving global pricing and availability of its own disks—could restore trust and preserve its standing as the NAS brand of choice for both novices and professionals. The availability of community workarounds ensures that frustrated users are not entirely locked out of their systems, but the very existence of these tools highlights how far Synology has drifted from its once customer-first ethos. The next few years will be crucial, as the company either adjusts course and strikes a balance between profitability and user freedom, or risks ceding ground to rivals who are eager to embrace the openness Synology has chosen to leave behind.

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Hier — 3 septembre 2025Flux principal

La fin de la saison 2 de Mercredi est-elle à la hauteur de l’attente ?

3 septembre 2025 à 17:12

Après un mois d'absence, la fille de la famille Addams est enfin de retour sur Netflix pour dévoiler la fin de la saison 2. Mais Mercredi est-elle toujours à la hauteur de l'engouement qu'elle suscite partout où la série passe ? Voici notre avis, sans spoilers.

Date de sortie, bande-annonce, casting… Tout savoir sur Ça : Bienvenue à Derry, la série adaptée de Stephen King

3 septembre 2025 à 17:11

Le clown le plus terrifiant de la pop culture revient nous hanter avec une toute nouvelle histoire, conçue comme un préquel aux deux films Ça. Une excursion horrifique en série, toujours adaptée de Stephen King et nommée Ça : Bienvenue à Derry. Casting, date de sortie, bande-annonce... Voici tout ce que l'on sait déjà sur ce retour aux sources cauchemardesque.

Firefox va ENFIN lire les MKV !

Par : Korben
3 septembre 2025 à 14:35

Attendez, attendez, attendez… Kewaaah ?

Firefox va ENFIN pouvoir lire des fichiers MKV ? En 2025 ? Non mais j’hallucine ! Bah oui parce que pendant des années, on a dû jongler avec des extensions pourries ou convertir nos fichiers comme des barbares, et là Mozilla se réveille tranquillement en mode “ah oui tiens, on pourrait peut-être supporter ce format que tout le monde utilise depuis 10 ans”. Mieux vaut tard que jamais comme on dit !

D’après le bug tracker officiel (mis à jour le 30 août dernier), Mozilla a donc enfin assigné un ingénieur sur le projet. L’implémentation devrait prendre 1 à 2 mois.

Pour ceux qui ne connaissent pas, le MKV (Matroska Video) c’est ce conteneur multimédia flexible qui peut embarquer plusieurs pistes audio, vidéo et sous-titres dans un seul fichier. C’est le format préféré de tous ceux qui téléchargent des films en haute qualité (légalement bien sûr, hein ^^). Chrome et Edge le supportent depuis des lustres et même Windows 10 et 11 le gèrent nativement ! Mais Firefox ? Que dalle…

Le déploiement va donc se faire progressivement, histoire de pas tout casser d’un coup. D’abord il y aura des tests dans Firefox Nightly avec les configs les plus courantes (vidéo H.264 avec audio AAC), puis on étendra aux codecs plus modernes comme VP9 ou AV1 avec Opus ou FLAC. C’est prudent, mais bon, vu le temps qu’ils ont mis à s’y mettre, on va pas chipoter.

Le plus drôle dans tout ça, c’est que le ticket de bug date de… attendez… 2017 ! 8 ans donc pour décider d’implémenter un format vidéo standard.

Pour les développeurs web, ça va simplifier la vie car plus besoin de maintenir deux versions de chaque vidéo sur les sites ou de forcer les utilisateurs Firefox à installer VLC ou autre. On pourra enfin utiliser le MKV pour les vidéos embarquées, avec tous ses avantages : meilleure compression, support des sous-titres softsub (les .srt, ce genre de trucs), le chapitrage…

Notez que l’implémentation ne couvrira pas TOUTES les fonctionnalités du MKV (le format est une usine à gaz quand même), mais comme je vous le disais plus haut, au moins les codecs déjà supportés par Firefox pourront être encapsulés en MKV. C’est déjà ça. On pourra enfin arrêter de convertir nos fichiers ou de changer de navigateur juste pour une vidéo.

En attendant, pour ceux qui ont absolument besoin de lire des MKV dans Firefox aujourd’hui, il reste les solutions de contournement habituelles : extensions tierces (qui marchent une fois sur deux), conversion en MP4 (en perdant des fonctionnalités), ou simplement… utiliser un autre navigateur. Mais bientôt, très bientôt, on pourra enfin rester sur notre bon vieux Firefox pour tout faire.

Alléluia !

Source

Le péril mortel menaçant Firefox et Mozilla vient de s’éloigner

3 septembre 2025 à 11:59

firefox mozilla

Le démantèlement de Google et la dénonciation de certains contrats pouvaient constituer une menace existentielle pour l'avenir de Firefox, le navigateur web de Mozilla. Mais le verdict du procès antitrust visant le géant du web éloigne ce risque.

L’une des meilleures sagas du cinéma est enfin disponible sur Netflix

3 septembre 2025 à 11:21

La quasi-intégralité de la saga Fast and Furious, l'une des plus durables du cinéma, est disponible sur Netflix. De quoi passer des soirées entières, cramponné à son canapé, avec un saut de pop-corn entre les jambes.

YouTube Anti-Translate - L'extension qui sauve Patrick des traductions pourries

Par : Korben
3 septembre 2025 à 09:58

Hier, lors du dernier Rendez Vous Tech , mon copain Patrick s’est plaint du nouveau système de traduction par IA de Youtube. Et il a raison, parce que même si ça peut dépanner, c’est plutôt horrible comme système. Puis pour lui qui a un Youtube en anglais (même s’il parle français), voir des vidéos FR également traduites en anglais c’est pénible et je le comprends.

Hé oui car Google, dans toute sa splendeur, n’offre aucune option native pour désactiver ce “bonus”. On peut bien sûr modifier la langue de son compte, mais en retour, faut dire adieu aux recommandations et aux tendances localisées. Bref, en gros, c’est un choix bien merdique…

Heureusement, des développeurs ont pris le taureau par les cornes. L’extension Chrome YouTube Anti-Translate (ou Firefox, chacun ses principes ) fait ainsi exactement ce qu’on attend d’elle puisqu’elle remet les titres originaux, désactive le doublage IA automatique et même les descriptions traduites. Et ce qui est vraiment cool avec cette extension, c’est qu’elle fonctionne partout sur YouTube : page d’accueil, tendances, abonnements, et même sur les Shorts. Elle rectifie aussi les traductions dans les notifications et cerise sur le gâteau, elle fonctionne aussi sur la version mobile (m.youtube.com) si vous utilisez Chrome sur Android.

Il existe aussi une alternative intéressante qui s’appelle YouTube No Translation , qui fait grosso modo la même chose mais avec quelques options supplémentaires, comme la possibilité de choisir une piste audio spécifique par défaut. Par contre, elle ne fonctionne pas sur Firefox Android, contrairement à YouTube Anti-Translate.

Y’a pas de configuration compliquée, pas de clé API à récupérer, ça marche direct et ces extensions ne collectent aucune donnée.

Mais attention tout de même, plusieurs utilisateurs rapportent que YouTube semble activement combattre ces extensions. Certains ont noté des problèmes récents avec la gestion des pistes audio qui disparaissent ou se remettent en doublage automatiquement. C’est un peu le jeu du chat et de la souris en ce moment, entre Google et les développeurs indépendants.

Et pour ceux qui veulent pousser le bouchon un peu plus loin, d’autres extensions complémentaires existent comme SponsorBlock (ici pour Firefox ) pour zapper les pubs intégrées, DeArrow pour remplacer les titres putaclic par des vrais titres descriptifs, ou encore No YouTube Shorts (ici pour Firefox ) pour ceux qui en ont ras le bol du format vertical.

Voilà, j’espère que tu seras content Patrick :-)

Ma vie avec les Walter Boys saison 2 : 5 séries à voir en attendant la suite sur Netflix

3 septembre 2025 à 10:12

Deux ans après une première saison adorable, qui avait déjà fait fondre tous les cœurs d'artichauts, Jackie est de retour pour une saison 2 de Ma vie avec les Walter Boys. Pour continuer sur votre lancée, voici 5 séries similaires à dévorer en streaming.

Google est sauvé : la justice américaine renonce à son démantèlement

3 septembre 2025 à 10:09

Google

Accusé depuis 2020 de monopole illégal dans la recherche en ligne et dans la publicité, Google luttait depuis plusieurs mois pour la survie de plusieurs de ses activités. Le navigateur Chrome, qui devait être vendu, ainsi que les accords avec Apple et Mozilla, qui auraient pu être interdits, sont finalement épargnés par la justice.

Kazeta OS - La distribution Linux qui transforme votre PC en console des années 90

Par : Korben
3 septembre 2025 à 08:09

Vous savez ce qui me manque le plus dans le gaming moderne ?

C’est cette sensation magique d’insérer une cartouche dans une console, d’appuyer sur le bouton power et de se retrouver directement dans le jeu. Pas de mises à jour à rallonge, pas de connexion obligatoire, pas de compte à créer, pas de launcher qui rame. Juste moi, ma manette et le jeu… Oui, je suis vieux.

Toutefois, tout n’est pas perdu pour moi, puisqu’un développeur nostalgique a eu la brillante idée de ressusciter cette expérience avec Kazeta OS , une distribution Linux complètement déjantée.

Alesh Slovak, le cerveau derrière cette idée (et aussi le développeur de ChimeraOS ), a décidé de transformer n’importe quel PC en console de salon façon années 90. Le concept c’est que vous prenez une carte SD, vous y copiez un jeu, vous lui mettez une jolie étiquette et hop, ça devient votre “cartouche”. Une fois insérée dans votre PC sous Kazeta, vous appuyez alors sur le bouton power et vous voilà directement dans le jeu. Pas d’interface, pas de menu compliqué, juste le jeu qui se lance instantanément.

Notez que le nom Kazeta vient du tchèque et signifie “cassette”. Comme Alesh Slovak est d’origine tchèque (mais basé à Waterloo au Canada), il en a profité pour faire un petit clin d’œil linguistique à ses origines.

Kazeta traite donc les cartes SD comme des cartouches en lecture seule. Mais rassurez-vous, vos sauvegardes sont automatiquement stockées sur le disque interne du PC, tout comme sur une vraie console. Et si vous démarrez sans cartouche insérée, vous tombez sur un BIOS rétro style PlayStation où vous pouvez gérer vos sauvegardes. C’est génial non ?

Le système supporte tous les jeux DRM-free que vous pouvez imaginer. Les jeux GOG, itch.io, vos vieux jeux Linux natifs, les jeux Windows via Wine/Proton, et même vos émulateurs préférés. Le développeur a conçu Kazeta pour plusieurs types d’utilisateurs. Je pense d’abord aux non-techos qui se perdent dans les interfaces, mais également aux collectionneurs nostalgiques de jeux physiques, et bien sûr à tous ceux qui veulent préserver leur collection de jeux d’une manière plus tangible.

Après pour installer Kazeta, c’est plutôt cool mais ça demande un peu de préparation. Vous devez d’abord télécharger l’ISO depuis le site officiel, puis vous devez l’installer sur votre PC dédié (pas de dual-boot possible pour l’instant), et ensuite vient la partie fun : Créer vos cartouches. Et pour ça, vous formatez une carte SD, vous y copiez les fichiers du jeu, et optionnellement, vous pouvez même imprimer une étiquette custom pour faire plus authentique. Chaque carte ne doit contenir qu’un seul jeu, exactement comme à l’époque. J’sais pas si c’est très écolo mais vous allez pouvoir acheter des vieux stocks de cartes SD de petite capacité dont personne ne veut plus.

L’OS est écrit principalement en Rust (85% du code) avec une touche de Shell et Docker pour l’infrastructure. Le projet est sous licence MIT et le code source est disponible sur GitHub . C’est un projet encore un peu jeune mais à terme, Kazeta promet de supporter “presque n’importe quel jeu DRM-free, passé ou présent”, ce qui ouvre des possibilités énormes. Imaginez transformer votre bibliothèque Steam (pour les jeux sans DRM), GOG ou même vos vieux CD-ROM en cartouches physiques que vous pouvez ranger sur une étagère.

Il y a également quelques limitations à prendre en compte cependant. Pas de support du dual-boot, pas de machines virtuelles, pas de gestion des GPU hybrides (switchable graphics), pas de multi-écrans, et les contrôleurs Bluetooth ne sont pas encore supportés (mais c’est prévu).

Perso, j’adore ce projet parce qu’il répond à un vrai besoin. On revient aux fondamentaux, un jeu, une cartouche, et on joue. Puis surtout, on pourrait imaginer construire une vraie borne d’arcade ou une console custom avec un Raspberry Pi ou un mini-PC, des slots pour cartes SD façon cartouches (imprimées en 3D), et Kazeta comme OS. Vous pourriez littéralement créer votre propre console de salon personnalisée avec votre bibliothèque de jeux préférés.

A découvrir ici !

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