Un vaste océan se cache dans une lune de Saturne
Mimas, une lune de Saturne, abrite un océan d’eau liquide sous sa surface, comme Encelade. Une découverte officialisée au début de l'année 2024, que commente cet article de The Conversation.
Mimas, une lune de Saturne, abrite un océan d’eau liquide sous sa surface, comme Encelade. Une découverte officialisée au début de l'année 2024, que commente cet article de The Conversation.
La sonde Voyager 1 est toujours opérationnelle et elle peut envoyer des données de télémétrie exploitables. Maintenant, il reste à rétablir la liaison pour récupérer des données scientifiques. La Nasa est sur la bonne voie.
Le directeur général de la Nasa a alerté les parlementaires américains sur les progrès très importants de la Chine dans le domaine spatial. Il a également souligné que certains programmes civils n'en sont pas vraiment.
L'orbite terrestre est jonchée de débris datant des débuts de la conquête spatiale. Pour qu'elle puisse toujours être accessible, des efforts sont entrepris pour désorbiter les satellites en fin de vie. Mais il y a aussi à traiter tous les objets dont la conception n'a pas prévu l'après.
Il est très facile de changer l’extension d’un fichier sous Windows en particulier sous Windows 11. Attention car cela a des conséquences
Cet article Comment modifier l’extension des fichiers sur Windows 11 ? a été publié en premier par GinjFo.
Depuis plusieurs années, une startup bordelaise et l'hôpital public de Marseille travaillent sur la greffe de peau à partir de bio-impression. Les premiers tests sur des patients devraient bientôt démarrer.
Au sortir de l'hiver, notre peau n'est plus habituée au soleil. On peut être sujet à des réactions cutanées temporaires, il convient alors de se protéger. Cet article de The Conversation revient sur les allergies au soleil et les moyens de s'en prémunir.
La mission Mars Sample Return prévoit de ramener des échantillons du sol martien sur la Terre. Problème : le plan actuel est trop long et trop cher. La Nasa doit proposer une nouvelle approche, pour tenir correctement les délais et le budget.
Les photos d'éclipse sont désormais monnaie courante. Plus rares en revanche sont les clichés montrant, depuis l'espace, les effets de ce phénomène, avec l'ombre de la Lune sur la Terre. C'est un Français, Jean-Pierre Haigneré, qui est crédité comme le premier à avoir capturé en photo cet évènement. C'était en 1999.
Ah les imprimantes, ces petites boites en plastique bon marché, bien bruyantes, sans lesquelles on serait bien embêtés pour imprimer nos QR Codes pour les JO photos de vacances ou nos documents. Mais attention, si vous avez une imprimante HP, vous risquez d’être encore plus embêtés !
En effet, la célèbre marque a eu la bonne idée de balancer une mise à jour firmware qui bloque l’utilisation des cartouches d’encre non estampillées HP. Sympa non ? Du coup, si vous aviez l’habitude d’acheter des cartouches génériques pour faire des économies, c’est raté. Votre imprimante va gentiment vous envoyer bouler en vous disant d’aller acheter des cartouches HP, sinon rien.
Cette mise à jour firmware contient une fonctionnalité de sécurité qui empêche l’utilisation de cartouches d’encre non-HP, monopolisant ainsi le marché des cartouches de remplacement. Bien que les détails techniques ne soient pas précisés, il est probable que la mise à jour utilise un algo spécifique et des techniques de gestion des droits numériques (DRM) pour vérifier l’authenticité de la puce sur la cartouche et empêcher son utilisation si ce n’est pas une cartouche de marque HP.
Forcément, ça n’a pas plu à tout le monde cette histoire. Des petits malins ont décidé d’attaquer HP en justice, en mode « non mais oh, on n’est pas des pigeons non plus » (Vous la sentez la conviction que j’y mets ?). Ils accusent la marque de vouloir monopoliser le marché des cartouches d’encre en forçant les utilisateurs à acheter ses propres cartouches hors de prix. Les plaignants affirment que HP a cherché à tirer profit des coûts irrécupérables des clients en monopolisant le marché secondaire des cartouches d’encre de remplacement par le biais de la sécurité dynamique et d’autres tactiques.
Alors ils ont bien tenté de se défendre en disant « mais non, on ne bloque pas toutes les cartouches, regardez il y a des marques compatibles« . Sauf que les plaignants ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le but du jeu était de profiter du fait que les gens ont déjà investi dans une imprimante HP pour leur faire cracher un max de thunes en cartouches.
Mais le fabriquant ne compte pas se laisser faire. La marque affirme que les mises à jour de firmware qui bloquent certaines cartouches sont là pour « protéger l’innovation et la propriété intellectuelle« . Arf ! En gros, si vous voulez utiliser une imprimante HP, vous devez passer à la caisse pour acheter des cartouches HP, sinon c’est de la triche. HP soutient également que les plaignants ne peuvent pas réclamer de dommages et intérêts pour avoir été surfacturés en vertu des lois antitrust fédérales américaines, car les consommateurs qui achètent des produits auprès d’un intermédiaire ne peuvent poursuivre le fabricant que pour obtenir une injonction, et non pour récupérer des dommages et intérêts résultant d’une prétendue surfacturation.
Le problème, c’est que cette stratégie est un poil abusive. C’est un peu comme si on vous forçait à faire le plein de votre Renault uniquement dans les stations Renault (je sais, ça n’existe pas), en prétextant que les autres essences ne sont pas assez bien pour votre voiture. Pas cool.
D’ailleurs, le PDG de HP, Enrique Lores, a exprimé l’espoir d’attirer les clients vers un modèle d’abonnement à l’impression, où les clients sont facturés pour avoir suffisamment imprimé ou utilisé suffisamment de fournitures. Mais attention, certaines estimations suggèrent que les prix de l’encre pour imprimante peuvent être assez élevés, allant de 439 à 2 380 dollars le litre. Outch ! C’est encore plus cher que le parfum de luxe.
Alors certes, HP n’est pas le seul à jouer à ce petit jeu. Les fabricants d’imprimantes ont bien compris que c’est sur les cartouches d’encre qu’ils se font le plus de blé, mais bloquer carrément les cartouches concurrentes, c’est un cran au-dessus. Et ça risque de leur coûter cher en procès et en image de marque. D’ailleurs, on peut se demander si d’autres fabricants d’imprimantes ont mis en place des mises à jour similaires, et s’ils font également l’objet de poursuites judiciaires ? Ça pourrait avoir un impact sur les choix des utilisateurs.
En attendant, si vous avez une imprimante HP récalcitrante, vous pouvez toujours essayer de bidouiller le firmware pour contourner le problème. Mais à vos risques et périls, car la marque risque de ne pas apprécier que vous trichiez avec son système. Et puis bon, il faut quand même avouer que c’est un peu la galère de devoir se prendre la tête avec son imprimante juste pour pouvoir imprimer tranquille.
Bref, tout ça pour dire que cette histoire de firmware bloquant est un bel exemple de comment les fabricants essaient de nous la faire à l’envers pour gratter toujours plus de pognon. Mais les consommateurs ne sont pas prêts à se laisser faire, et HP risque de le découvrir à ses dépens. En attendant, si vous cherchez une imprimante, peut-être que vous devriez regarder du côté des marques qui ne vous obligent pas à vendre un rein pour acheter des cartouches. Juste une suggestion comme ça, en passant…
À quelques dizaines de kilomètres d'altitude, l'atmosphère accueille parfois des ballons stratosphériques. Véritables laboratoires, ils sont des vigies essentielles pour les scientifiques étudiant le changement climatique, note cet article de The Conversation.
On pensait tous que Windows 11 allait révolutionner notre expérience sur PC, et dommage car malgré les promesses de Microsoft, celui-ci semble trainer des pieds, même sur des machines survitaminées. C’est en tout cas le constat amer que dresse Andy Young, un ancien ingénieur de la firme de Redmond, dans une publication sur Twitter.
Le mec a un PC doté d’un processeur Intel Core i9 à 1600 dollars et de pas moins de 128 Go de RAM. Une bête de course taillée pour avaler les tâches les plus gourmandes sans sourciller. Et pourtant, lorsqu’il lance le menu Démarrer de Windows 11, c’est la douche froide. Les icônes peinent à s’afficher, les clics se perdent dans les limbes, bref, c’est le grand n’importe quoi.
« Les performances sont comiquement mauvaises, mais que se passe-t-il à Redmond ?«
Car oui, Andy Young n’est pas n’importe qui. Pendant 13 ans, il a travaillé chez Microsoft en tant qu’ingénieur logiciel senior. Il a participé au développement de Windows et connait les subtilités du système comme sa poche. Alors quand il voit son bébé patauger de la sorte, ça lui fait mal au cœur.
« J’aime Windows, mais là, si les données suggèrent que le logiciel que vous avez construit frustre un pourcentage significatif d’utilisateurs, c’est qu’il y a encore du pain sur la planche.«
Les réactions à son tweet ne se sont pas fait attendre. De nombreux utilisateurs ont partagé leur déception et leur agacement face aux performances en demi-teinte de Windows 11, y compris sur des configurations musclées. Lenteurs au démarrage, latence dans l’affichage des fenêtres, bugs en tout genre… Les plaintes sont légion.
Alors, Windows 11 serait-il tout simplement un bide intersidéral ?
Peut-être pas, mais force est de constater que l’expérience utilisateur est loin d’être optimale, et ce malgré les mises à jour régulières déployées par Microsoft. La prochaine version du système, au nom de code Sun Valley 3, arrivera-t-elle à redresser la barre ?
On verra bien, mais en attendant, les utilisateurs les plus exigeants lorgnent de plus en plus du côté d’Apple et surtout de Linux et de ses distributions légères et rapide.
En tout cas, si Windows 11 semble un peu pataud, sachez qu’il existe de nombreuses astuces pour lui redonner du peps. Par exemple, désactivez les effets visuels inutiles, faire le ménage dans vos programmes lancés au démarrage, optimiser la base de registres… Bref, un peu de tuning bien senti peut faire des miracles. Et si vraiment rien n’y fait, vous pourrez toujours revenir à ce bon vieux Windows 10 en attendant des jours meilleurs.
— En partenariat avec Penpot —
Depuis mon dernier article sur Penpot et ses fonctionnalités de Flex Layout, l’outil n’a cessé d’évoluer pour offrir encore plus de possibilités aux designers et développeurs. Aujourd’hui, je souhaite vous présenter en détail une fonctionnalité très attendue : les CSS Grid Layout.
Pour rappel, Penpot est un outil libre et open source de conception d’interfaces pour applications web et mobiles. Intuitif et puissant, il permet de créer rapidement des prototypes et maquettes interactives, tout en générant le code CSS correspondant, prêt à être intégré dans vos projets.
Si les Flex Layout permettaient déjà de créer des designs responsives en adaptant les éléments à la taille de l’écran, les CSS Grid Layout vont encore plus loin en offrant un contrôle total sur le positionnement et le dimensionnement des composants. Concrètement, les CSS Grid Layout vous permettent de définir une grille sur laquelle placer vos éléments. Vous pouvez spécifier le nombre de lignes et de colonnes, leur taille, les gouttières entre elles. Chaque élément peut alors occuper une ou plusieurs cases de cette grille, s’étendre sur plusieurs lignes ou colonnes.
Cette approche offre une grande flexibilité pour créer des mises en page complexes et adaptatives. Vous pouvez par exemple concevoir facilement une page avec un header sur toute la largeur, une sidebar sur la gauche, un contenu principal au centre et un footer en bas, le tout en quelques clics et sans une ligne de CSS.
Autre atout des CSS Grid Layout : la possibilité de nommer chaque zone de votre grille. Fini les .col-md-4 ou .row-2 peu parlants, vous pouvez utiliser des noms comme « header », « main-content » ou « sidebar » pour structurer votre design de façon sémantique.
Pour vous aider à prendre en main cette fonctionnalité, je vous ai préparé une nouvelle vidéo tuto dédiée aux CSS Grid Layout. Je vous y montre comment créer vos premières grilles, les configurer, placer vos éléments et profiter de la puissance des CSS Grid Layout dans vos conceptions. Même si vous n’êtes pas familier avec le CSS Grid, vous verrez que Penpot rend son utilisation très intuitive.
Découvrez la vidéo ici ! Et pour vous inscrire sur Penpot, c’est par ici !
The release of Terramaster TOS 6 Beta for NAS devices marks a significant milestone in the evolution of NAS operating systems, with an array of new features and comprehensive improvements designed to enhance user experience, system performance, and security. This sixth iteration introduces a radically redesigned user interface and integrates more than 40 new functionalities while refining over 370 aspects, ensuring a top-tier upgrade for TNAS users.
TOS 6 introduces a slew of system-wide enhancements aimed at delivering a more stable, secure, and user-friendly NAS operating environment:
Through these extensive features and improvements, TOS 6 Beta not only advances the capabilities of TNAS devices but also sets a new standard for NAS operating systems, offering a sophisticated platform for storage, management, and security that meets the evolving needs of both individual and enterprise users.
Applicable TOS Versions:
TOS 5.1.123 or later versions; if your device does not meet the update requirements, please do not update! Otherwise, system crashes may occur.
Precautions:
1. The Beta version is an early version of the program, containing most major functions but not yet completed, and may have some defects. This version is only released to specific groups or the general public for testing and feedback collection; the Beta version should not be used in work or production environments. If your TNAS device is running business operations or storing important data, please refrain from participating in this test.
2. Updating the system theoretically will not affect the data on your hard drive, but for safety reasons, please be sure to back up your data in advance.
3. After the update, if applications such as Plex, Emby, Aria2, etc., need to access new shared folders, you will need to reconfigure application user permissions.
4. Previously created firewall rules will be cleared, and you will need to create new firewall rules after the update.
5. If you are using port 5444, you will need to modify this port before updating.
6. After the update, TNAS will exit the domain, and you will need to rejoin the domain and refresh domain users.
7. After the update, if your encrypted shared file key contains special characters, you can only mount it by entering the key.
8. System configuration backups from TOS 5 cannot be restored to TOS 6.
9. Hyper Cache created before the update will become invalid after the update; it is recommended to uninstall Hyper Cache before updating.
10. Docker Manager versions 1.1.99 or earlier cannot run on TOS 6; please update Docker Manager before updating the system.
How to Update to TOS 6 Beta on Your Terramaster NAS?
1. Download the TOS 6 Beta update package: TOS 6 (md5:821b697ddb27dbc9c95ce2be398c791b)
2. Go to TOS > Control Panel > General Settings > System;
3. Under “Manual Update”, upload the update package;
4. Click “Apply”;
5. After the system update is complete, you will need to refresh your browser;
6. Your TNAS IP address may change after the system update. If you are unable to connect to your TNAS using the previous IP address, please use the TNAS PC client to search for the new IP address again.
Other Software Downloads:
TNAS PC for Windows OS: https://tos-downloads.oss-cn-hongkong.a … .1.352.exe
TNAS PC for macOS: https://download2.terra-master.com/TNAS … versal.dmg
TNAS Mobile for Android:https://download2.terra-master.com/TNAS … 3.2.31.apk
TNAS Mobile for iOS: Download from the iOS App Store. SUBSCRIBE TO OUR NEWSLETTER
[contact-form-7]
Join Inner Circle
This description contains links to Amazon. These links will take you to some of the products mentioned in today's content. As an Amazon Associate, I earn from qualifying purchases. Visit the NASCompares Deal Finder to find the best place to buy this device in your region, based on Service, Support and Reputation - Just Search for your NAS Drive in the Box Below
"Mon PC est-il équipé d'une puce TPM ?", c'est peut-être une question que certaines d'entre vous se sont posées ! Dans ce tutoriel, nous allons voir plusieurs méthodes qui permettent de vérifier si un ordinateur est équipé d'une puce TPM 1.0, une puce TPM 2.0 ou s'il n'a pas du tout de puce TPM.
Nous allons effectuer les manipulations directement à partir de Windows, via l'application système "Sécurité Windows", la console "tpm.msc", la console PowerShell ainsi que l'outil tpmtool.
Si la vérification indique que votre PC n'est pas équipé d'une puce TPM, nous vous invitons tout de même à vérifier dans la configuration de votre BIOS/UEFI. En effet, une option peut être intégrée pour permettre d'activer ou désactiver la puce TPM ("TPM Support", "Security Device Support", "TPM On", etc.).
Pour rappel, le système d'exploitation Windows 11 exige la présence d'une puce TPM 2.0 comme prérequis pour pouvoir être installé sur un ordinateur. Toutefois, nous pouvons quand même installer Windows 11 sur une machine sans puce TPM si nécessaire.
En complément, vous pouvez lire cet article :
Les manipulations suivantes sont effectuées sur un ordinateur Windows 11, mais elles sont applicables sur Windows 10 (au moins pour les méthodes n°2 et n°3).
Sur votre ordinateur, recherchez "Sécurité Windows" pour accéder au centre de gestion des fonctions relatives à la sécurité du système. Sur la gauche, cliquez sur "Sécurité des appareils", et à cet endroit, vous devriez pouvoir localiser la section "Processeur de sécurité" faisant référence à la puce TPM.
Ici, il vous suffit de cliquer sur "Détails du processeur de sécurité" pour obtenir des informations supplémentaires.
Nous pouvons obtenir des informations sur le fabricant, mais aussi, et surtout, la version de la puce TPM grâce à l'instruction "Version des spécifications" où c'est bien indiqué "2.0". Dans cet exemple, il s'agit d'une machine virtuelle Windows 11 sur un Hyper-V.
La seconde méthode consiste à utiliser la console "tpm.msc" accessible de différentes façons. Le moyen le plus direct, c'est de saisir "tpm.msc" dans la zone de recherche de Windows et d'appuyer sur Entrée.
tpm.msc
Cette console indique clairement si votre PC est équipé ou non d'une puce TPM, et nous avons aussi des indications sur le statut de la puce TPM. Ici, nous pouvons voir que le module TPM est prêt à être utilisé. Nous pouvons également voir la version : "Version de la spécification : 2.0", ce qui veut dire que cette machine est équipée d'une puce TPM 2.0.
Désormais, nous allons évoquer la commande "Get-Tpm" de PowerShell, qu'il convient d'exécuter dans une console avec des droits d'administrateur. Le simple fait d'exécuter cette commande sans paramètre va permettre de retourner un ensemble d'informations sur l'état de la puce TPM : la puce TPM est-elle présente ? La puce TPM est-elle prête ? La puce TPM est-elle activée ?
Get-Tpm
Toutefois, cette commande ne donne pas de précision sur le numéro de version de la puce TPM (1.2, 2.0), mais à la place, le numéro de version du fabricant, ce qui peut être un peu trompeur dans certains cas, comme celui présenté ci-dessous.
Pour obtenir des informations plus précise, vous devez utiliser la commande Get-CimInstance (ou éventuellement Get-WmiOjbect) pour lire le contenu de la classe Win32_Tpm. Voici la commande à exécuter :
Get-CimInstance -Namespace "root/cimv2/Security/MicrosoftTpm" -ClassName "Win32_Tpm"
Ici, nous pouvons obtenir la version de la spécification, et il s'agit bien d'une puce TPM 2.0 (tenez compte de la première valeur).
La commande native "tpmtool" de Windows permet d'obtenir des informations sur l'état du module TPM présent dans la machine. Ainsi, toujours dans une console, nous pouvons exécuter cette commande :
tpmtool getdeviceinformation
Cette commande retourne plusieurs informations, comme la commande Get-Tpm, à la différence qu'elle indique la version de la puce TPM, ce qui permettra de savoir s'il s'agit d'une puce TPM 1.2 ou 2.0.
Grâce à ces différentes méthodes, vous êtes en mesure d'en savoir plus sur la présence d'une puce TPM dans votre machine, et vous pouvez aussi obtenir des informations sur l'état de cette puce TPM.
The post Windows : mon PC est-il équipé d’une puce TPM 2.0 ? first appeared on IT-Connect.
Observer une éclipse solaire exige de l'anticipation. Quand est prévue la prochaine éclipse de Soleil ? En octobre 2024, une éclipse annulaire sera visible depuis une partie de la Terre.
Vous avez sûrement entendu parler de l’impact environnemental faramineux de l’intelligence artificielle, que ce soit pour demander à ChatGPT de nous donner un coup de main ou pondre une image de fou sous Midjourney, l’IA a un appétit gargantuesque en énergie. Il parait qu’une seule requête à ChatGPT consommerait autant d’électricité que 40 recharges de smartphone ! Un peu dingue.
Mais rassurez-vous, tout n’est pas perdu. Une équipe de chercheurs en informatique de l’Université de Copenhague a trouvé une solution pour mettre l’IA au régime, sans pour autant lui couper les vivres. Leur étude, qui sera présentée lors de la conférence internationale ICASSP-2024, montre qu’en gardant l’efficacité énergétique en tête dès la conception des modèles d’IA, on peut réduire leur empreinte carbone de 70 à 80% sans sacrifier leurs performances. C’est pas mal, hein ?
Les chercheurs ont pour cela, passé au crible plus de 400 000 modèles de réseaux de neurones convolutifs, ces IA qui servent à analyser des images médicales, à faire de la traduction ou encore à reconnaître des visages. En se basant sur ces calculs, ils ont alors concocté un genre de « livre de recettes » pour les pros de l’IA, avec des exemples de modèles moins énergivores mais tout aussi efficaces.
Alors oui, dans certains domaines comme les voitures autonomes ou la médecine, il ne faut pas rigoler avec la précision. Mais pour le reste, les chercheurs insistent : il faut adopter une approche globale qui prenne en compte non seulement les performances des modèles, mais aussi leur impact climatique.
Si le sujet vous intéresse, je vous invite à jeter un œil à l’article original ! Les chercheurs ont même mis à disposition ce fameux « livre de recettes » sur Github pour que les dev spécialisé en IA puissent s’en inspirer et réduire l’empreinte carbone de leurs modèles. C’est un vrai premier pas vers une IA plus durable et responsable, et ça c’est cool !
C’est vachement pratique de pouvoir récupérer sa chambre d’hôtel après une grosse journée, simplement en passant par le terminal qui se trouve dans l’entrée de l’hôtel. On tape son nom, on paye et paf, on récupère son numéro de chambre et le code pour y accéder. Sauf que ce que vous ignorez peut-être, c’est que ce même terminal vient potentiellement d’exposer votre code d’accès à des personnes mal intentionnées…
C’est exactement ce qui s’est passé dans un hôtel IBIS Budget à Hambourg, en Allemagne. Lors d’un congrès de hackers, la société Pentagrid a remarqué une faille de sécurité pour le moins inquiétante dans le terminal de check-in. Ainsi, en entrant une série de tirets à la place du numéro, le terminal liste toutes les réservations avec leur numéro, la date d’arrivée prévue et le prix total du séjour. Puis en sélectionnant une réservation, on accède directement au numéro de chambre et au code d’accès de la porte.
Dans l’hôtel en question, pas moins de 87 réservations étaient ainsi exposées, soit près de la moitié des 180 chambres de l’établissement !
Vous imaginez le désastre si ces codes tombaient entre de mauvaises mains ? Adieu vos effets personnels, surtout dans un hôtel bas de gamme comme celui-ci qui n’est pas équipé de coffres-forts dans les chambres. Et je vous parle pas des agressions en pleine nuit ! C’est la porte ouverte à toutes les fenêtres comme dirait l’autre.
Fort heureusement, Pentagrid a immédiatement signalé cette faille à la chaîne hôtelière Accor, propriétaire des hôtels IBIS. Le problème a depuis été corrigé, mais il aura fallu quand même plusieurs échanges et relances de la part des hackers pour que des actions soient entreprises de la part d’Accor.
Mais comment une telle faille a-t-elle pu se produire ? Et bien d’après les informations fournies par Pentagrid sur leur blog, il semblerait que le terminal de check-in ait une fonction de recherche des réservations qui nécessite uniquement le numéro de réservation pour afficher le numéro de chambre et le code d’accès. Donc c’est pas un bug, c’est une feature qui a mal tournée…
Le pire dans tout ça, c’est que de base, les numéros de réservation ne sont pas une donnée très sécurisée puisqu’on les retrouve sur toute la paperasse comme les factures…etc qui peuvent ensuite être récupérées dans une poubelle par exemple. Donc n’importe qui pourrait mettre la main dessus et accéder à votre chambre.
C’est pourquoi les auteurs de cette découverte recommandent aux hôtels de mettre en place une vérification supplémentaire pour accéder aux informations de réservation, comme un code PIN qui serait communiqué séparément au client. Les terminaux devraient aussi supprimer automatiquement les réservations dès que les informations ont été imprimées ou consultées.
En attendant, si vous séjournez dans un hôtel IBIS Budget prochainement, n’allez pas vous amuser à vérifier que la faille a été corrigée sur le terminal de check-in parce que vous ne voulez pas finir en prison pour piratage (lol).
En tout cas, sachez-le, la prochaine fois que je dors à l’IBIS, je vous attendrais de pied ferme en embuscade dans mon peignoir façon biopic DSK par Liam Neeson.
Dans ce tutoriel, nous allons apprendre à désinstaller une mise à jour sur Windows 11 ! Alors, vous allez me dire, mais pourquoi chercher à désinstaller une mise à jour ? En général, nous cherchons plutôt à installer les dernières mises à jour, non ?
Effectivement, mais il y a souvent (un peu trop souvent, même) des problèmes liés à l'installation d'une mise à jour Microsoft, que ce soit sur Windows 11 ou une autre version. Malheureusement, dans certains cas, ceci nous conduit à désinstaller une mise à jour de la machine en attendant une meilleure solution... Même si cette mise à jour sera probablement réinstallée par la suite.
Sur votre PC, ouvrez le menu Démarrer afin d'accéder aux Paramètres.
1 - Une fois que la fenêtre des paramètres est affichée, cliquez sur "Windows Update" dans le menu latéral positionné sur la gauche.
2 - Cliquez sur "Historique de mise à jour" dans la section "Windows Update".
Vous voici sur une page où vous avez la liste de toutes les mises à jour installées sur votre machine. C'est l'occasion de vérifier si la mise à jour que vous incriminez est bien présente. Ensuite, descendez tout en bas de la page jusqu'à trouver le lien "Désinstaller des mises à jour". Cliquez dessus.
Si vous êtes sur une version de Windows 11 antérieure à la version 23H2, une autre fenêtre s'ouvre, comme ceci :
1 - Sélectionnez la mise à jour à désinstaller dans la liste.
2 - Cliquez sur "Désinstaller".
3 - Cliquez sur "Oui" pour valider la désinstallation de la mise à jour.
Sinon, si vous utilisez Windows 11 23H2 (ou une version plus récente), vous allez arriver sur une fenêtre semblable à celle ci-dessous.
Sur le même principe, recherchez la mise à jour à désinstaller dans la liste, puis cliquez sur "Désinstaller" une première fois, puis, une seconde fois.
Patientez le temps de la désinstallation de la mise à jour et redémarrez votre machine lorsque Windows vous le propose. Suite au redémarrage, votre machine doit être plus "stable" qu'avant la désinstallation de la mise à jour problématique.
Désormais, nous allons voir comment désinstaller une mise à jour Windows 11 à partir de la ligne de commande, grâce à plusieurs outils. Ouvrez une console PowerShell en tant qu'administrateur sur votre machine et suivez la suite de cet article.
Avant de commencer, sachez qu'en ligne de commande, vous pouvez obtenir la liste des dernières mises à jour installées avec ces différentes commandes :
# Avec wmic
wmic qfe list brief /format:table
# Avec PowerShell
Get-WmiObject -Class win32_quickfixengineering
Get-CimInstance -Class win32_quickfixengineering
Voici un exemple de sortie :
Tout d'abord, sachez que pour supprimer une mise à jour en ligne de commande, vous pouvez utiliser l'outil natif et officiel pour interagir avec Windows Update : "wusa.exe". Pour désinstaller une mise à jour, la syntaxe de la commande est la suivante :
wusa.exe /uninstall /kb:<numéro KB> /norestart /log
Par exemple, pour désinstaller la mise à jour KB5035853 sortie en mars 2024 et qui est à l'origine de plusieurs problèmes, nous devons exécuter cette commande :
wusa.exe /uninstall /kb:5035853 /norestart /log
La commande ci-dessus va permettre de désinstaller la mise à jour KB5035853, sans redémarrer l'ordinateur à la fin de l'opération. L'option "log" est facultative, mais elle permet de générer un événement (log) sur la machine locale et visible via l'Observateur d'événements.
DISM est un autre outil intégré à Windows et dans le cas présent, c'est une alternative à wusa.exe. L'outil DISM est capable d'agir sur une image Windows en ligne ou hors ligne, notamment pour réparer les fichiers système. Il sert aussi à gérer les fonctionnalités et les mises à jour, donc nous allons pouvoir le solliciter pour désinstaller une mise à jour.
Pour lister les paquets installés (fonctionnalités à la demande, mise à jour, etc.) on va utiliser l'option "/Get-Packages" de DISM. En effectuant un filtre sur la chaîne "Package_for", nous allons pouvoir récupérer seulement les mises à jour. Cela tombe bien, c'est ce qui nous intéresse dans le cas présent.
dism /Online /Get-Packages /Format:table | findstr "Package_for"
Voici un exemple de sortie :
Ici, la principale difficulté, c'est de trouver le nom de la mise à jour à désinstaller, car il n'y a pas le nom "KBXXXXXX" pour toutes les mises à jour. Il faut essayer de faire le lien entre le nom "Package_for_" et le numéro de KB que l'on recherche. Pour cela, on peut s'aider du numéro de version à la fin du nom du paquet, plus il est haut, plus la mise à jour est récente, et de la date d'installation. On retrouve aussi la date d'installation dans l'historique d'installation des mises à jour.
Dès que nous avons pu identifier notre cible, nous pouvons passer à la désinstallation de la mise à jour.
Au final, la commande DISM ressemble à la commande WUSA, sauf que les noms des paramètres sont un peu différents. Voici un exemple pour supprimer le paquet "Package_for_RollupFix~31bf3856ad364e35~amd64~~22621.3296.1.6" (sélectionné au hasard dans la liste).
dism /Online /Remove-Package /PackageName:Package_for_RollupFix~31bf3856ad364e35~amd64~~22621.3296.1.6 /norestart
Au bout de quelques minutes, la mise à jour est supprimée de votre machine ! Pour que l'opération soit effectuée silencieusement, vous pouvez inclure le paramètre "/quiet". Vous l'aurez compris, DISM est moins évident à utiliser que wusa.exe lorsqu'il s'agit de désinstaller une mise à jour, mais il représente une corde supplémentaire à notre arc...
Pour finir, nous allons utiliser une troisième méthode basée sur l'utilisation du module PowerShell nommé PSWindowsUpdate. Ce module permet de gérer Windows Update via des commandes PowerShell. Il est disponible sur la PowerShell Gallery donc nous pouvons l'installer facilement :
Install-Module -Name PSWindowsUpdate
Une fois que l'installation du module est effectuée, vous pouvez obtenir l'historique des mises à jour installées avec cette commande :
Get-WUHistory
Ensuite, vous pouvez utiliser le cmdlet "Remove-WindowsUpdate" pour supprimer la mise à jour KB5035853 (adaptez en fonction de la mise à jour ciblée) :
Remove-WindowsUpdate -KBArticleID KB5035853 -NoRestart
Ensuite, la commande ci-dessous ne devrait rien retourner puisque la mise à jour est désinstallée :
Get-WindowsUpdate -KBArticleID KB5035853
Pour en savoir plus sur ce module PowerShell, vous pouvez lire cet article :
En suivant l'une des méthodes évoquées dans ce tutoriel, vous devriez pouvoir désinstaller la mise à jour de votre choix sur votre PC Windows 11, ou Windows 10. En effet, nous venons de voir 4 méthodes différentes pour désinstaller une mise à jour ! Sachez que vous avez aussi l'opportunité d'effectuer la désinstallation à partir du démarrage avancé de Windows (Paramètres > Système > Récupération > Démarrage avancé > Redémarrer maintenant).
The post Windows 11 : comment désinstaller une mise à jour ? first appeared on IT-Connect.