I can't believe my eyes — Microsoft might finally fix dark mode on Windows 11
Le 12 août 2025, Microsoft a lancé la mise à jour cumulative KB5063878 (build 26100.4946) pour Windows 11 version 24H2. Présente dans Windows Update et disponible en téléchargement manuel via le catalogue MSU, cette mise à jour devient progressivement obligatoire sur de nombreux PC.
Cette nouvelle version corrige notamment des problèmes de stabilité apparus après les correctifs de mai 2025, responsables de baisse de performances observées dans certains jeux, comme une chute du nombre d’images par seconde dans Fortnite. Le retour à une fluidité meilleure est confirmé dans les premiers tests.
Un ensemble d’améliorations s’accompagne également d’une mise à jour du servicing stack (SSU) pour garantir une installation des mises à jour plus fiable, ainsi que de correctifs de sécurité pour renforcer la protection du système.
Dans un souci de rendre l’expérience Windows plus intuitive, le champ de recherche des paramètres est désormais centré en haut de l’application. Sur les machines Copilot+, ce champ ne se contente plus de proposer des résultats statiques : il devient un assistant AI, capable de suggérer des réglages pertinents en réponse à des questions courantes. Par exemple, une demande comme « comment faire durer la batterie, car j’ai cours demain » affichera directement des options dédiées à l’économie d’énergie.
Plus important encore, Microsoft a activé Quick Machine Recovery (QMR), un outil conçu pour automatiquement corriger un PC incapable de démarrer, en cherchant des solutions dans le cloud et en les appliquant sans intervention manuelle. Destiné à éviter les situations critiques provoquant des BSODs répétés, QMR est désormais actif par défaut sur les Windows 11 Home, tandis que les éditions Pro et Entreprise peuvent l’activer via Intune. Pour comprendre son fonctionnement et ses capacités, notre article dédié sur le sujet peut vous éclairer davantag.
L’interface de jeu s’enrichit aussi : le clavier tactile passe en mode contrôleur amélioré. Il devient possible de naviguer via un gamepad, saisir un code PIN et accéder aux menus sans clavier physique—une avancée pensée pour les futurs appareils gaming portables.
Enfin, attention à la diffusion du Black Screen of Death (BSOD), nouvelle incarnation esthétique et moderne de l’écran bleu tristement célèbre. Plus minimaliste et design, il peut toutefois être confondu avec un écran de mise à jour—prudence recommandée en cas d’écran sombre inattendu.
La mise à jour KB5063878 marque une étape clef pour Windows 11 24H2. Elle rétablit des performances altérées, introduit une assistance intelligente dans les paramètres, automatise la récupération du système via QMR et jette les bases d’une expérience pensée pour les futures plateformes de jeu. Installez-la dès que possible pour profiter d’un système plus robuste, sécurisé et résilient.
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Alors que le support de Windows 10 prendra fin en octobre 2025, les dernières mesures de performance montrent clairement pourquoi il est temps de migrer vers Windows 11. Les tests menés en 2025 soulignent des différences notables dans certains usages, en particulier les charges CPU intensives et les applications d’intelligence artificielle.
Les résultats montrent que, malgré quelques victoires ponctuelles de Windows 10 – notamment dans des benchmarks très exigeants comme Time Spy Extreme – c’est Windows 11 qui domine en majorité. En jeu, il peut prendre jusqu’à 55 % d’avance sur certains titres avec une configuration optimisée Ryzen 9 9950X3D. Les charges de productivité IA, à l’image du modèle Phi 3.5, confirment la supériorité de Windows 11, avec des écarts pouvant atteindre 46 %
Ces performances confirment les déclarations de Microsoft selon lesquelles Windows 11, optimisé pour les PC récents, offrirait une expérience jusqu’à trois fois plus rapide, notamment grâce à une meilleure gestion mémoire, un scheduler plus efficace et des pilotes adaptés à l’IA embarquée (via les PC Copilot+ et les Neural Processing Units). A ce sujet : Microsoft affirme que Windows 11 est jusqu’à trois fois plus rapide que Windows 10, et met l’accent sur la sécurité
Pour autant, il ne faut pas s’y tromper : l’idée reçue selon laquelle réinstaller Windows 11 redonnerait systématiquement des performances significativement meilleures est largement remise en cause. Des tests récents montrent que sur des ordinateurs bien entretenus, avec un usage quotidien, une réinstallation ne procure que des gains marginaux, voire parfois aucun, même sur des scénarios exigeants comme Adobe Premiere ou des titres lourds en GPU. A lire : Réinstaller Windows 11 pour booster les performances ? Les tests cassent le mythe
Les benchmarks 2025 montrent que Windows 11 s’impose comme la plateforme la plus puissante, surtout dans les environnements CPU et IA intensifs, confirmant les ambitions affichées par Microsoft. Toutefois, la tentation de “réinstaller régulièrement Windows 11” pour améliorer les performances appartient à une logique dépassée : une maintenance soignée et régulière demeure le meilleur levier pour garder une machine performante sur le long terme.
À lire :
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Vous vous souvenez du film Volte/Face avec Nicolas Cage et John Travolta ? Mais siii, c’est ce film où ils échangent leurs visages ? Bah les chercheurs allemands viennent de faire pareil avec Windows Hello, sauf qu’eux n’ont eu besoin que de deux lignes de code. Pas de chirurgie, pas d’effets spéciaux, juste un petit tour de passe-passe et hop, le PC croit que vous êtes votre collègue.
Le truc vient d’être montré en direct au Black Hat de Las Vegas par Tillmann Osswald et le Dr Baptiste David, deux chercheurs d’ERNW Research. Sur scène, David s’est connecté avec son visage, puis Osswald a tapé quelques commandes, et quelques secondes plus tard, il déverrouillait la machine de David avec son propre visage capturé sur un autre ordinateur. La sécurité biométrique de Microsoft vient de se faire avoir comme une débutante.
Ce qui rend cette attaque particulièrement sournoise, c’est qu’elle cible spécifiquement Windows Hello for Business, le système que Microsoft pousse à fond pour remplacer les mots de passe dans les entreprises. Vous savez, ce truc censé être ultra-sécurisé qui permet aux PC corporate de se connecter à Entra ID ou Active Directory avec juste votre belle gueule. Sauf que là, n’importe quel admin local malveillant ou compromis peut littéralement injecter sa tronche dans votre base de données biométrique.
Selon les informations techniques détaillées, l’attaque exploite une faiblesse dans CryptProtectData, le système censé protéger la base de données du Windows Biometric Service. Les chercheurs ont découvert qu’avec des droits admin locaux, on peut décrypter cette base et y injecter n’importe quelle empreinte biométrique.
Le plus fou dans cette histoire, c’est que Microsoft a bien une solution : Enhanced Sign-in Security (ESS). Ce système fonctionne au niveau hyperviseur avec une isolation VTL1 (Virtual Trust Level 1) qui bloque complètement l’attaque. Mais le problème c’est qu’il faut du matériel très spécifique pour que ça marche : un CPU 64 bits avec virtualisation hardware, une puce TPM 2.0, Secure Boot activé, et des capteurs biométriques certifiés.
D’ailleurs, petit détail rigolo, même des ThinkPad achetés pourtant il y a un an et demi ne supportent pas ESS parce qu’ils ont des puces AMD au lieu d’Intel. Comme l’explique Osswald, “ESS est très efficace pour bloquer cette attaque, mais tout le monde ne peut pas l’utiliser.”
Pour vérifier si vous êtes protégé, Microsoft recommande donc d’aller dans les paramètres Windows : Comptes → Options de connexion. Si vous voyez une option “Se connecter avec une caméra externe ou un lecteur d’empreintes digitales”, et qu’elle est sur OFF, ESS est activé. Quand ce toggle est OFF, vous êtes protégé mais vous ne pouvez plus utiliser de périphériques externes. Par contre, quand il est ON, vous pouvez utiliser vos gadgets mais vous êtes vulnérable.
Cette recherche fait partie du programme Windows Dissect, financé par l’Office fédéral allemand pour la sécurité informatique (BSI), un projet de deux ans qui se termine au printemps prochain. Et apparemment, ce n’est que le début car les chercheurs promettent d’autres révélations sur Windows dans les mois qui viennent. Ce qui inquiète vraiment la communauté, c’est que le fix n’est pas simple. Les experts estiment qu’il faudrait soit réécrire une partie significative du code, soit stocker les données biométriques dans le TPM, ce qui n’est peut-être même pas faisable techniquement…. Breeef, en attendant, la recommandation officielle pour les entreprises sans ESS est radicale : Désactivez complètement la biométrie et revenez au bon vieux code PIN.
Microsoft pousse agressivement tout le monde vers la biométrie depuis de nombreux mois, pour justement se débarrasser des mots de passe, mais quand je vois que leur solution de contournement recommandée est… de revenir aux codes PIN, j’avoue qu’on commence un peu à marcher sur la tête.
Et le support complet des périphériques externes avec ESS n’est pas prévu avant fin 2025 toujours selon Microsoft donc d’ici là, si vous utilisez Windows Hello for Business sans le hardware compatible ESS, vous jouez littéralement à la roulette russe avec l’identité de vos employés.
Ça montre donc que la biométrie n’est pas la solution miracle mais juste une autre forme d’authentification avec ses propres failles. Maintenant, la différence, c’est que quand quelqu’un vole votre mot de passe, vous pouvez le changer. Mais quand quelqu’un compromet votre système biométrique… bah vous changez de visage comme Cage et Travolta ?
Un scénario classique en entreprise c’est un script Python de synchronisation qui doit tourner sous Windows et qui se barre en erreur à chaque redémarrage. Le coupable c’est ce fichu service Windows qui s’obstine à chercher sa configuration dans C:\Windows\System32 plutôt que dans le répertoire de l’application. Du coup, ça prend 3 heures de débogage pour un problème vieux comme Windows NT et ça c’est moche !
Car le problème avec les services Windows, c’est qu’ils sont coincés dans les années 90. La commande sc create
ne fonctionne qu’avec des applications spécialement conçues pour être des services. Et NSSM est puissant mais avec une interface en ligne de commande cryptique et des éditions du registre à la main. Et le pire dans tout ça, c’est ce fameux répertoire de travail bloqué sur System32 qui fait planter la moitié des applications qui dépendent de chemins relatifs.
La bonne nouvelle c’est qu’il existe Servy qui débarque comme une bouffée d’air frais dans cet écosystème poussiéreux. Développé entièrement en C# par Aelassas, ce petit outil open source fait exactement ce qu’on attend de lui à savoir transformer n’importe quel executable en service Windows, avec une vraie interface graphique moderne et surtout, la possibilité de définir ce foutu répertoire de travail.
Pour l’utiliser, il vous suffit de télécharger la dernière release sur GitHub, de le décompresser, et de lancez Servy.exe. L’interface est claire… nom du service, description, chemin de l’exe, working directory (enfin !), paramètres de démarrage, et c’est parti. En 30 secondes, votre application Node.js, votre script Python ou votre serveur web tournera alors comme un vrai service Windows.
Et les fonctionnalités de Servy vont bien au-delà du simple lancement puisqu’il intègre des health checks configurables avec intervalle personnalisé (30 secondes par défaut) et un nombre d’échecs tolérés avant action. Le système de recovery gère comme un chef le redémarrage du service, du processus, ou même de la machine complète selon vos besoins. Et pour éviter les boucles infinies, vous pouvez bien sûr limiter le nombre de tentatives de redémarrage.
La gestion des logs est également un autre point fort de Servy puiqu’il peut rediriger automatiquement stdout et stderr vers des fichiers avec rotation automatique basée sur la taille. Comme ça, plus besoin de scripts batch complexes ou de solutions tierces pour capturer les sorties de vos applications console. Tout est géré proprement, avec des logs organisés et consultables.
Selon le guide Windows Services Manager, accéder aux services Windows reste toujours aussi archaïque : Win+R, services.msc, + Entrée. Heureusement, avec Servy, tout se fait depuis son interface. Vous pouvez démarrer, arrêter, mettre en pause, redémarrer vos services, modifier leur priorité (Real-time, High, Normal, Low), et même définir le type de démarrage (Automatic, Manual, Disabled).
Un détail qui fait la différence avec d’autres outils du même genre, c’est la prévention des processus zombies. Hé oui, Servy se la joue comme dans Walking Dead et gère proprement le cycle de vie des processus enfants, s’assurant qu’aucun processus orphelin ne traîne après l’arrêt d’un service. C’est le genre de conneries qu’on découvre généralement après plusieurs semaines de production, quand le serveur commence à ramer sans raison apparente.
Et ça tourne aussi bien de Windows 7 SP1 jusqu’à Windows 11, en passant par toutes les versions Server. Et surtout, le code source complet est disponible sur GitHub sous licence MIT.
Bref, c’est un super outil gratuit, open source, avec une interface bien pensée, et toutes les fonctionnalités dont on rêvait sans le côté usine à gaz !!
Pour les entreprises, c’est une solution idéale pour déployer des applications métier sans les réécrire, avoir à se former sur NSSM ou de maintenir des scripts PowerShell complexes. Cet outil permet de réduire les coûts de maintenance et les erreurs humaines. Bref, c’est un logiciel qui devrait être dans la boîte à outils de tout les admins Windows qui se respectent.
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