Un bug dans la MAJ Windows 11 KB5067036 empêche le Gestionnaire des tâches de se fermer correctement. Microsoft confirme le problème
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Microsoft a récemment mis à jour ses conditions de mise à jour pour Windows 11 versions 24H2 et 25H2 en introduisant une exigence désormais obligatoire : tout PC souhaitant installer ou passer à ces versions doit préalablement installer le correctif cumulative KB5064081 (build 26100.5074) ou un chiffre de build supérieur, avant de pouvoir appliquer le paquet d’activation vers 25H2.
Autrement dit, même si un PC répond aux critères matériels de Windows 11, le déploiement vers 25H2 (ou l’activation depuis 24H2) ne sera pas proposé tant que cette condition logicielle n’est pas satisfaite.
Ce changement, relayé par le site Neowin, souligne que Microsoft ne se contente plus de vérifier uniquement les exigences matérielles (TPM 2.0, Secure Boot, processeur compatible) : désormais, un niveau logiciel précis devient un verrou d’accès à la mise à jour majeure.
Le correctif KB5064081 contient une base commune que la mise à jour 25H2 utilise comme point de départ. Microsoft explique que les branches 24H2 et 25H2 partagent le même cœur de système, et que les nouveautés de 25H2 sont déjà présentes mais inactives dans 24H2. Le prérequis logiciel garantit que :
Pour les utilisateurs et administrateurs, cela signifie que les mises à jour ne se bloquent plus uniquement par le matériel incompatible mais aussi par un blocage logiciel visible. Plusieurs reports d’utilisateurs montrent que certains PC compatibles restent bloqués sur 24H2 simplement parce qu’ils n’ont pas reçu ou installé ce correctif préalable.
Pour assurer une transition fluide vers Windows 11 25H2 ou activer cette version depuis 24H2 :
Microsoft confirme qu’avec la mise à jour Windows 11 2025 (24H2/25H2), les appareils qui partagent un même SID ordinateur ne peuvent plus s’authentifier avec NTLM ou Kerberos. Autrement dit, si vous avez cloné des images sans Sysprep /generalize (ou sans procédure de régénération de SID), les postes “jumeaux” échoueront désormais à s’authentifier auprès des contrôleurs de domaine, des partages SMB, ou de services qui reposent sur ces protocoles.
Concrètement, ce durcissement de sécurité met fin à une tolérance historique : des duplications de SIDs machines qui « fonctionnaient » parfois par le passé se traduisent maintenant par des échecs d’authentification et des comportements erratiques (impossibilité d’accéder à des ressources réseau, erreurs lors de la jonction domaine, sessions qui ne s’ouvrent plus sur certains services).
Ce qu’il faut faire côté IT :
Ce changement améliore la sécurité et l’intégrité de l’authentification sur le réseau, mais il peut révéler des dettes techniques dans les parcs clonés “à l’ancienne”. Mieux vaut l’anticiper dès maintenant pour éviter des interruptions de service au moment de la montée vers 24H2/25H2.
La mise à jour Windows 11 2025 (24H2 / 25H2) marque un double tournant dans la gestion des installations et de la sécurité réseau.
D’une part, Microsoft impose désormais un prérequis logiciel obligatoire : le correctif KB5064081 ou une build ultérieure doit être installé avant toute migration vers 25H2. Ce verrou garantit une mise à niveau plus fluide et plus stable, mais il signifie aussi que les systèmes “en retard” sur les mises à jour cumulatives ne verront pas la version 25H2 proposée avant d’être à jour.
D’autre part, l’entreprise renforce la sécurité des environnements Windows : les appareils partageant un SID machine dupliqué ne pourront plus s’authentifier via NTLM ou Kerberos. Cette mesure met fin à une pratique encore courante dans certains déploiements d’images clonées sans passage par Sysprep /generalize.
Les administrateurs doivent donc s’assurer que chaque poste du parc dispose d’un SID unique, sans quoi des erreurs d’authentification ou de jonction domaine apparaîtront après la mise à jour.
En clair :
Ces deux exigences illustrent la volonté de Microsoft de rendre les futures versions de Windows 11 à la fois plus fiables et plus sûres, mais elles demandent aux administrateurs de mieux préparer leurs environnements avant déploiement.
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La fin d'un mois d'octobre permet de découvrir de nouveaux tests et dossiers. Voici le meilleur du Net Francophone (semaine 44).
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Microsoft vient de dévoiler plusieurs modifications importantes apportées à Windows Update. D’une part, l’éditeur améliore l’interface et la lisibilité des mises à jour, d’autre part, il annonce avoir corrigé une erreur récurrente, le code 0x800F0983, qui bloquait l’installation de certains correctifs.
Microsoft explique que les titres des mises à jour seront désormais « plus simples et plus intuitifs », avec un format uniforme et clair. L’objectif : que l’utilisateur voie immédiatement ce qu’il installe, sans être noyé dans des détails techniques inutiles. Par exemple, les libellés ne mentionneront plus systématiquement l’architecture ou la date, mais uniquement l’identifiant KB, la version ou build de Windows concernée.
Cette amélioration participe d’une volonté plus large : rendre les mises à jour moins irritantes, plus transparentes, et donc renforcer la confiance de l’usager.
Neowin.net explique par exemple que :
Here is what a cumulative update currently looks like in Windows Update history:
2025-10 Mise à jour cumulative pour Windows 11, version 25H2 pour les systèmes x64 (KB5066835) (26200.6899)
Avec la nouvelle approche, cela ressemblera à ceci :
Mise à jour de sécurité (KB5066835) (26200.6899)
A lire : Les mises à jour cumulatives et de qualité de Windows 11/10
Par ailleurs, Microsoft traite spécifiquement l’erreur d’installation 0x800F0983, souvent liée à des fichiers système manquants ou corrompus lorsque Windows Update tente de patcher une mise à jour. Selon les remontées de la communauté, cette erreur bloquait l’installation de certaines mises à jour cumulatives sous Windows 11.
Microsoft a publié des orientations techniques pour la résoudre : exécution des outils SFC et DISM, vérification des composants de Windows Update, voire réparation du système si nécessaire.
Ces deux changements sont complémentaires. Une interface revisitée facilite la compréhension et la gestion des mises à jour pour les particuliers comme pour les professionnels, tandis que la correction de l’erreur 0x800F0983 réduit un frein technique fréquent à l’adoption des dernières versions. Pour les administrateurs, cela signifie moins de tickets support liés à l’installation des mises à jour, et pour les utilisateurs, une maintenance plus fluide.
Connexionsfc /scannow puis DISM /Online /Cleanup-Image /RestoreHealth,Microsoft franchit un cap en matière de gestion des mises à jour : l’interface devient plus lisible et l’installation plus fiable grâce à la correction ciblée de l’erreur 0x800F0983. Un pas important pour que Windows Update devienne moins contraignant et plus transparent.
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L'extension AI Warning for Steam pour Chrome et Firefox avertit les joueurs lorsqu’un jeu Steam contient du contenu généré par l’intelligence artificielle.
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Microsoft déploie la mise à jour facultative KB5067112 pour Windows 11 23H2. Elle introduit de la publicité et corrige des bugs.
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Microsoft vient de confirmer que Windows 11 évolue pour devenir un système d’exploitation “AI-native” : un OS où l’intelligence artificielle ne serait plus un simple ajout, mais un élément central de l’expérience utilisateur.
D’après Stefan Kinnestrand, vice-président chez Microsoft, « Windows évolue vers une plateforme AI-native : sécurisée, extensible, conçue pour le travail agentif ». L’idée est que l’IA devienne aussi fondamentale que le menu Démarrer ou la barre des tâches, et non plus une simple fonction annexe.
Cette orientation ouvre de vastes opportunités : amélioration de la productivité, automatisation des tâches, interactions plus naturelles. Mais elle soulève aussi des défis : compatibilité matérielle, performance (notamment pour les NPU exigés), vie privée et sécurité. Microsoft souligne d’ailleurs que cette « plateforme agentive » sera bâtie « avec votre permission »
Pour les utilisateurs classiques, cela signifie que les prochaines versions de Windows 11 mettront davantage l’accent sur l’IA : celles-ci pourront nécessiter du matériel plus récent (comme un NPU), ou proposer des fonctionnalités réservées aux machines “AI-ready”.
Microsoft ne se contente plus d’ajouter des capacités IA par ci-par-là : avec Windows 11, l’intelligence artificielle devient un axe structurant de l’OS. Le passage à un système véritablement « AI-native » est annoncé comme majeur — même s’il reste encore à concrétiser pleinement. Reste à voir comment cette vision se traduira en expérience utilisateur et quelle part du parc PC pourra en profiter rapidement.
En complément, lire : Comment Microsoft introduit l’IA dans Windows 11
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Après des années de promesses et de demi-mesures, Microsoft semble prêt à franchir un cap : le mode sombre de Windows 11 va être étendu à de nombreuses zones de l’interface qui jusqu’à présent restaient en plein blanc, même lorsque tout l’environnement était réglé sur “Sombre”.
Depuis l’introduction du mode sombre dans Windows 10, puis son maintien dans Windows 11, de nombreux utilisateurs se sont plaints que certaines parties du système — boîtes de dialogue, fenêtres de suppression/copie, invites “Exécuter” (Win + R), ou encore avertissements — restaient systématiquement en fond clair, provoquant un contraste brutal avec le thème sombre et une fatigue visuelle accrue.
Microsoft reconnaît ce problème et indique que ses équipes sont en train de travailler à “étoffer les zones du système” concernées, en commençant par les parties les plus visibles comme les dialogues de copie/mouvement, les barres de progression, et la boîte de dialogue “Exécuter”.
Malgré ces avancées, certaines parties importantes sont encore hors du périmètre pour l’instant :
Adopter un mode sombre vraiment cohérent améliore l’expérience utilisateur :
Microsoft semble avoir entendu les critiques et engage une opération de rattrapage visuelle majeure pour Windows 11. Ce chantier ne se clôturera pas du jour au lendemain, mais les premiers tests dans les versions Insider montrent déjà des résultats visibles. Pour l’utilisateur final, c’est un signe que l’éditeur place désormais le raffinement visuel (et non plus seulement les fonctionnalités) au cœur de ses priorités.
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