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Hier — 25 juillet 2025Flux principal

Le mythe des 10 000 pas par jour a été pulvérisé par la science

25 juillet 2025 à 15:24

On entend souvent qu'il faut faire 10 000 pas par jour pour être en bonne santé. Cependant, une nouvelle étude change la donne, des bénéfices significatifs pour la santé étant déjà observé au bout de 7 000 pas quotidien : diminution du risque de décès, de maladie cardiovasculaire ou de démence.

Ce que l’on sait de la saison 2 de la série Ahsoka

25 juillet 2025 à 15:01

La saison 2 d'Ahsoka a été confirmée début 2024. Selon l'un des acteurs de la série, le tournage a commencé en mars. En conséquence, la sortie de la suite des aventures d'Ahsoka Tano ne devrait pas advenir avant 2026.

US sanctions North Korean firm, nationals behind IT worker schemes

Par : Bill Toulas
25 juillet 2025 à 14:40
The U.S. Department of the Treasury's Office of Foreign Assets Control (OFAC) has sanctioned three North Korean nationals and a company for supporting fraudulent IT worker schemes that generated illicit revenue for the Democratic People's Republic of Korea (DPRK) government. [...]

1 milliard de dollars de puces Nvidia "tombées du camion" se retrouvent en Chine

Par : Korben
25 juillet 2025 à 15:50

Bon, apparemment il suffit que des puces Nvidia soient “tombées du camion” pour qu’un milliard de dollars de GPU ultra puissants se retrouvent sur le marché noir chinois. Le Financial Times a enquêté et ce qu’ils ont découvert est assez dingue.

Alors que les États-Unis font tout pour empêcher la Chine d’accéder aux dernières technologies d’IA, des B200, H100 et H200 de Nvidia circulent tranquillement sur les réseaux sociaux chinois. Leur prix ? 50% au-dessus du tarif normal, mais visiblement ça ne freine personne. Les vendeurs proposent même des racks pré-assemblés avec 8 puces B200, prêts à brancher dans un datacenter. Genre tu commandes sur WeChat et hop, tu reçois ton rack de 150 kilos à 560 000 dollars.

D’après l’enquête du FT, rien qu’entre avril et juin 2025, c’est plus d’un milliard de dollars de matos qui aurait transité. Les puces passent par la Thaïlande, la Malaisie, et d’autres pays d’Asie du Sud-Est où les contrôles sont… disons plus souples. La Malaisie a d’ailleurs vu ses importations de GPU avancés exploser de 3400% début 2025. Coïncidence ? Je ne crois pas…

Le plus ironique dans l’histoire, c’est que ces restrictions viennent juste d’être assouplies pour les puces moins puissantes comme la H20. Mais bon, pourquoi se contenter d’une 2CV quand on peut avoir une Ferrari, même au marché noir ?

Une boîte chinoise basée à Shanghai, “Gate of the Era” (ça ne s’invente pas), créée en février juste avant que les restrictions ne tombent (le timing est parfait), aurait à elle seule écoulé pour 400 millions de dollars de systèmes B200. Ils vendent même des racks complets entre 3,9 et 3,95 millions de yuans pièce.

Un rack de B200

Et Nvidia, de son côté, fait la sourde oreille. Leur réponse officielle ? “Nous ne fournissons support et service qu’aux produits Nvidia autorisés”. Traduction : démerdez-vous avec vos GPU de contrebande. Mais bon, avec une valorisation de 4000 milliards de dollars, ils vont pas trop pleurer sur quelques puces qui s’égarent.

Ce qui est fascinant, c’est comment les Chinois ont industrialisé le contournement. Les vendeurs testent même les puces avant de les vendre pour garantir qu’elles fonctionnent. Service après-vente inclus apparemment. Un opérateur de datacenter chinois l’a dit cash au FT : “Les contrôles à l’export n’empêcheront pas les produits les plus avancés de Nvidia d’entrer en Chine. Ça ajoute juste de l’inefficacité et crée d’énormes profits pour les intermédiaires prêts à prendre des risques.

Pendant ce temps, DeepSeek et d’autres boîtes d’IA chinoises prétendent faire aussi bien que les modèles américains avec beaucoup moins de ressources, mais visiblement, ça ne les empêche pas de quand même vouloir mettre la main sur les derniers joujoux de Nvidia.

Jensen Huang, le CEO de Nvidia né à Taiwan, voit toujours la Chine comme une opportunité énorme. C’est d’ailleurs lui qui aurait négocié avec Trump pour assouplir certaines restrictions. Mais pour les B200 et H100, c’est toujours un niet officiel !

Le gouvernement américain essaie surtout pendant ce temps de boucher les trous. Le Department of Commerce envisage par exemple d’imposer des contrôles plus stricts sur des pays comme la Thaïlande dès septembre. Mais franchement, quand y’a autant d’argent en jeu, croyez-moi, les contrebandiers trouveront toujours un moyen.

Au final, cette histoire montre bien les limites d’une guerre commerciale technologique. C’est un peu comme la drogue… Tu peux interdire, restreindre, sanctionner, mais quand la demande est là et que les profits sont juteux, le marché trouve toujours un chemin où les seuls qui s’enrichissent vraiment, ce sont les intermédiaires qui prennent leur commission de 50% au passage.

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Des réacteurs à fusion qui transforment le mercure en or - Le Bitcoin va-t-il remplacer le métal jaune ?

Par : Korben
25 juillet 2025 à 15:16

Alors ça, c’est le genre de news qui pourrait foutre en l’air le marché de l’or. En effet, une startup américaine, Marathon Fusion, vient de publier un papier scientifique où ils expliquent tranquillement comment transformer du mercure en or dans leurs réacteurs à fusion nucléaire. Et attention, je ne vous parle pas de trois grammes pour faire joli, mais bien de 5 tonnes d’or par gigawatt d’électricité produit par an.

C’est le rêve des alchimistes du Moyen Âge qui devient réalité grâce à la physique nucléaire. C’est un truc de fou, surtout que le principe est relativement simple (enfin, sur le papier). Vous prenez du mercure-198, un isotope assez commun du mercure. Vous le bombardez avec des neutrons rapides de 14 MeV générés par la fusion deutérium-tritium dans un tokamak. Le mercure-198 perd alors un neutron et devient du mercure-197, qui est instable. Et en 64 heures environ, pouf, il se transforme naturellement en or-197, le seul isotope stable de l’or.

Le cœur d’un réacteur Tokamak

D’après leurs calculs, un réacteur à fusion d’un gigawatt pourrait ainsi produire 5000 kilos d’or par an. Au cours actuel de l’or (environ 3400 dollars l’once), ça représente plus de 544 millions de dollars. De quoi donc largement rentabiliser l’exploitation du réacteur et avoir de quoi s’offrir un yacht ou deux.

Mais attendez, avant de vous emballer et de vendre tous vos lingots, y’a quelques détails importants à connaitre avant. D’abord, Marathon Fusion n’a pas encore construit de réacteur. Leur papier, intitulé “Scalable Chrysopoeia via (n, 2n) Reactions Driven by Deuterium-Tritium Fusion Neutrons” (la chrysopoeia, c’est le nom savant pour la transmutation en or), est encore en attente de validation par les pairs même si l’équipe a l’air solide avec des anciens de SpaceX, Helion Energy, TAE Technologies et une dizaine de PhD en physique et chimie.

Le physicien Ahmed Diallo du Department of Energy américain, qui a passé en revue l’étude, déclare : “Sur le papier, ça a l’air génial et tous ceux à qui j’en ai parlé jusqu’à présent restent intrigués et excités”. C’est plutôt bon signe quand même.

Ce qui est vraiment malin dans leur approche, c’est que la production d’or ne compromet pas la génération d’électricité du réacteur. En fait, les réactions (n, 2n) du mercure-198 participent à la multiplication des neutrons nécessaire au fonctionnement du réacteur. C’est du win-win car vous produisez de l’énergie propre ET de l’or en même temps.

Alors évidemment, si cette technologie devient réalité et se déploie à grande échelle, qu’est-ce que ça veut dire pour la valeur de l’or ? Et surtout, est-ce que le Bitcoin va enfin pouvoir prendre sa place comme “l’or numérique” ? Parce que bon, si on peut fabriquer de l’or à la chaîne dans des réacteurs, l’argument de la rareté du métal jaune prend un sacré coup.

Les experts en crypto sont déjà sur le coup. Standard Chartered prédit que le Bitcoin pourrait atteindre 200 000 dollars d’ici fin 2025, avec une trajectoire vers 500 000 dollars en 2028. VanEck table sur 180 000 dollars pour 2025. Et certains analystes plus optimistes parlent même de 220 000 dollars comme objectif “raisonnable”.

Le truc, c’est que le Bitcoin a cet avantage indéniable, à savoir que sa quantité est limitée à 21 millions d’unités, point barre. Pas moyen d’en créer plus avec un réacteur nucléaire ou d’aller en chercher dans l’espace. Cette rareté programmée pourrait devenir son principal atout face à un or qui deviendrait soudainement beaucoup moins rare.

Mais bon, restons réalistes deux secondes. Même si Marathon Fusion arrive à faire fonctionner leur truc, on parle de combien de réacteurs dans le monde ? Une centaine ? Deux cents dans le meilleur des cas ? À 5 tonnes par réacteur par an, ça fait maximum 1000 tonnes d’or supplémentaires par an. C’est beaucoup, mais la production minière actuelle est déjà d’environ 3000 tonnes par an. Donc on augmenterait la production de 33%, ce qui est significatif mais pas non plus apocalyptique pour le marché de l’or.

Et puis y’a la question du mercure. Pour produire tout cet or, il faut du mercure-198 enrichi à 90%. Le processus d’enrichissement n’est pas gratuit et le mercure n’est pas exactement un matériau super sympa à manipuler (coucou les problèmes environnementaux). N’empêche, l’idée qu’on puisse créer de l’or comme sous-produit de la production d’énergie propre, c’est quand même bluffant. Les alchimistes cherchaient la pierre philosophale, on a trouvé le tokamak. Et au passage, comme je vous le disais, ça pourrait bien donner un coup de boost au Bitcoin comme alternative à l’or physique.

Donc en attendant que Marathon Fusion construise son premier réacteur (ils n’ont pas donné de date, mais vu la complexité de la fusion, on peut tabler sur 10-15 ans minimum). Bref, on verra bien !

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Par : Pascal
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