Pour ceux qui auraient raté l'info, deux terroristes ont ouvert le feu le 14 décembre dernier, lors d'une célébration de Hanoukka à Bondi Beach (Sydney en Australie), tuant 15 personnes. Et dans les minutes qui ont suivi, X s'est transformé, comme à son habitude, en machine à désinformation...
Un homme d'affaires pakistanais portant le même nom que l'un des tireurs (Naveed Akram) s'est alors retrouvé accusé d'être l'auteur de l'attentat. Sa photo a été partagée des milliers de fois, il a reçu des menaces de mort et sa famille a même été harcelée. Sauf que ce gars n'avait strictement rien à voir avec l'attaque, mais partageait juste un nom de famille très courant avec le vrai coupable.
Mais ça, les abrutis de cette planète n'y ont même pas pensé. C'est dire s'ils sont cons...
Après vous allez me dire : « Ouais mais y'a les Community Notes pour corriger ça » sauf que ça marche pas de fou ces notes de la communauté. A titre d'exemple, selon le
Center for Countering Digital Hate
, 74% de la désinformation liée aux élections américaines de 2024 n'a JAMAIS reçu de note de la communauté. Et quand une note finit par arriver, il faut compter entre 7 et 75 heures selon les cas pour qu'elle soit diffusée.
Donc autant dire une éternité à l'échelle d'Internet...
Et comme si la situation n'était pas encore assez critique, d'après une étude du MIT, les fausses infos se propagent 6 fois plus vite que les vraies sur ces plateformes. Bref, on est foutu face à la connerie humaine.
Surtout que
d'après Timothy Graham
, chercheur en médias numériques à l'université QUT en Australie, il y a maintenant une économie autour de la désinformation, notamment sur X car leur système de monétisation paie les créateurs en fonction de l'engagement généré par les utilisateurs vérifiés. Ainsi, Plus vos posts font réagir, plus vous gagnez d'argent.
Et devinez quel type de contenu génère le plus d'engagement ?
Hé bien les trucs faux, les trucs scandaleux, les trucs qui font monter les tensions.
Y'a même eu une vidéo de feux d'artifice présentée comme des « célébrations arabes » après l'attentat qui n'était que pure invention. C'était en fait les feux d'artifice de Noël du Rotary Club local, programmés des mois à l'avance. Le truc a fait des millions de vues avant d'être démenti. Certains parmi vous ont peut-être mordu à l'hameçon de cette fake news d'ailleurs.
Pire encore, Grok, l'IA d'Elon Musk intégrée à X, a carrément inventé le nom du héros qui a désarmé l'un des tireurs. Quand les utilisateurs lui demandaient qui avait sauvé des vies, l'IA sortait « Edward Crabtree » de nulle part, un nom totalement fictif tiré d'un site web frauduleux créé le jour même de l'attentat.
Et pendant ce temps, le vrai héros de cette tragédie, Ahmed al-Ahmed, un Australien d'origine syrienne qui a risqué sa vie pour désarmer l'un des tireurs et protéger les victimes, était à peine mentionné. Plus de 2,6 millions de dollars ont été collectés pour lui depuis, mais il a fallu creuser fort pour trouver la vraie histoire pendant que les fake news monopolisaient l'attention.
Le problème c'est que le modèle économique de X encourage les comptes à poster vite et fort, sans vérification. Avoir 5 millions d'impressions et seulement 2000 abonnés, ça permet de monétiser. Et plus on génère de réactions, plus on palpe... Du coup, poster « BREAKING : le tireur identifié » avec une photo d'un random est rentable, même si c'est faux.
Surtout si c'est faux, en fait... Vous savez ce syndrome de "Les merdias mainstream nous cachent des choses, mais heureusement j'ai vu une vérité alternative sur X.com et c'est encore la faute aux zarabes, à l'Europe et aux élites judéo-maçonique-réptiliennes qui veulent manger nos enfants" qui frappe ce genre de personnes dont le cerveau est trop atrophié pour qu'ils puissent développer une réflexion qui leur est propre.
Après, je ne pense pas être naïf, car la désinformation a toujours existé, mais là on parle quand même d'un système de merde qui récompense financièrement ceux qui la propagent. C'est plus un bug, c'est une feature et quand un innocent se fait menacer de mort parce qu'un comploplo en slip dans sa cave a voulu faire du clic, ça me fout les nerfs.
Bref, tant que l'engagement restera la métrique reine et que les plateformes paieront au buzz plutôt qu'à la véracité des faits, on continuera à subir ce genre de dérives horribles...
En Chine, RoboCop c'est plus vraiment de la science-fiction puisque la ville de Hangzhou vient de déployer un robot humanoïde qui fait la circulation à un carrefour. Et je trouve ça un poil flippant ^^.
Ce robot qui s'appelle Hangxing-1 a commencé son boulot le 1er décembre dernier, à l'intersection de Binsheng Road et Changhe Road dans le district de Binjiang. Le truc mesure 1m80, il est équipé de caméras haute définition et de capteurs qui lui offrent une bonne vision de ce qui se passe autour de lui et il roule sur des petites roues omnidirectionnelles, affublé d'un uniforme haute visibilité avec des bandes de police. Bref, impossible de le louper.
Et son job, c'est de faire des gestes pour diriger les voitures, les scooters et les piétons. Les ingénieurs ont modélisé ses mouvements sur ceux de vrais policiers pour que ce soit bien standardisé et il peut siffler de manière électronique en synchro avec les feux de circulation. Et le truc marrant, c'est qu'il est capable de détecter les infractions en temps réel, comme les motards sans casque, les voitures qui dépassent la ligne d'arrêt ou encore les piétons qui traversent au rouge. Et quand il chope quelqu'un en flagrant délit, il balance un message vocal bien poli.
Bien sûr, on est en Chine, donc toutes les infractions sont logguées et envoyées direct dans la base de données de la police.
Côté autonomie, le robot peut tenir plusieurs heures sur une charge, ce qui couvre largement les heures de pointe et quand la batterie est à plat, il retourne tout seul au bistrot à sa station de recharge. La machine a été développée entièrement à Hangzhou, fruit d'une collab entre la police locale et des boîtes tech du coin.
D'après les premières observations locales, le respect des règles à ce carrefour se serait nettement amélioré depuis que le robot est en poste. Bon, y'a quand même des flics humains pas loin pendant cette phase test, au cas où les avertissements vocaux du robot ne suffiraient pas.
Hangxing-1 fonctionne pour l'instant dans deux modes : gestion du trafic et sensibilisation civique. Mais la ville prévoit de l'upgrader avec des capacités de langage naturel pour qu'il puisse donner des directions et répondre aux questions des passants. Le robot est d'ailleurs connecté au "City Brain" d'Alibaba, le système de gestion urbaine intelligent déployé à Hangzhou.
Et Hangzhou n'est pas la seule ville à jouer avec ces robots puisque Chengdu a déployé 5 robots policiers sur la place Tianfu, Mianyang utilise des chiens robots pour patrouiller dans les quartiers d'affaires, et Shenzhen teste des robots humanoïdes d'Engine AI qui serrent la main aux passants. Le gouvernement chinois veut clairement multiplier ce genre de déploiements.
Perso, je trouve ça plus mignon (et apparemment plus efficace) qu'un policier municipal même s'il ne faut pas oublier que ce robot vous filme, vous identifie, enregistre la moindre de vos infractions et les balance à la vraie police...
Ce monde commence sérieusement à ressembler à un épisode de Black Mirror.
Vous connaissez ce rêve de dev qui consiste à tout plaquer pour faire LE jeu qu'on a toujours voulu faire ? Yoshinama, un YouTuber japonais avec plus d'un million d'abonnés, l'a fait et pas qu'un peu puisqu'il a sorti 25 millions de yens de sa poche, soit environ 160 000 dollars, pour créer Mamon King.
Et si je vous en parle c'est parce que son histoire est folle. En effet, le gars ne s'attendait à rien. Yoshinama a dit texto : "Les gens doivent penser que je suis bizarre, mais je me suis dit 'Je veux faire un jeu. Je n'ai pas besoin de faire de profit.' Honnêtement, je pense que faire du profit avec ce projet serait extrêmement difficile. Je n'ai aucun historique dans le développement de jeux et aucune crédibilité dans le domaine, je suis juste un streamer. Malgré tout, je voulais désespérément faire un jeu."
Et devinez quoi ?
Mamon King a dépassé les 60 000 copies vendues (toutes plateformes confondues) en seulement 9 jours après sa sortie le 10 décembre ! Le jeu a même atteint la première place du classement Steam au Japon et la deuxième place des téléchargements sur le My Nintendo Store japonais.
Yu Totsuka, le directeur du jeu chez LiTMUS (le studio qui a co-développé le projet avec Yoshinama), était lui-même scotché : "Je me disais qu'on pouvait viser de manière réaliste 30 000 copies en un an, mais 10 000 en une semaine, c'était déjà un objectif très ambitieux. J'étais abasourdi quand j'ai appris qu'on en avait vendu 60 000 en une semaine."
Quelle belle success story, n'empêche !
Alors c'est quoi exactement Mamon King ? Hé bien c'est un simulateur d'élevage de monstres inspiré de Monster Rancher. Vous invoquez des Mamons (les monstres du jeu), vous les entraînez, vous les faites combattre dans des tournois, vous partez en expéditions pour les renforcer. Y'a 38 créatures différentes avec plus de 170 compétences qui peuvent évoluer et les combats sont en 1v1 avec un système de commandes tactiques basé sur des points de compétence.
Le jeu est dispo sur Steam et Nintendo Switch à un peu plus de 8 euros en promo actuellement, et les avis sont excellents. Donc si vous êtes fans de Monster Rancher ou de jeux d'élevage de créatures, ça vaut peut-être le coup !
Et pour la suite, Yoshinama a annoncé que tous les revenus qu'il touchera sur les ventes seront réinvestis dans un prochain jeu encore meilleur. Une version physique pour Nintendo Switch est aussi annoncée mais sans date pour le moment.
A l'heure où les voitures autonomes font encore flipper tout le monde, un avion vient de se poser tout seul samedi dernier près de Denver suite à une urgence en plein vol.
C'était le 20 décembre dernier, vers 13h43 heure locale. Un Beechcraft King Air 200 décolle d'Aspen pour rejoindre l'aéroport Rocky Mountain Metropolitan à Broomfield dans le Colorado. Une vingtaine de minutes après le décollage, alors que l'avion monte vers 23 000 pieds d'altitude, la cabine perd sa pressurisation. L'équipage enfile alors directement les masques à oxygène.
Et c'est là que le système Garmin Autoland entre en action car face à cette situation d'urgence et à l'absence de réaction du pilote, le système s'est activé. L'avion a alos entamé sa descente et a déclenché le code d'urgence 7700 sur son transpondeur. Mais comme personne n'a repris les commandes, le système a enchaîné sur la séquence d'atterrissage automatique.
La tour de contrôle de Rocky Mountain Metropolitan a alors reçu un message d'une voix féminine robotisée annonçant une incapacité du pilote et l'intention d'atterrir. Les contrôleurs ont dégagé le trafic et sécurisé l'aéroport pour accueillir l'avion qui s'est posé en toute autonomie à 14h19.
D'après Chris Townsley de Buffalo River Aviation, l'équipage a préféré laisser le système gérer tout seul par précaution. C'est beau la confiance en la technologie ! Et la bonne nouvelle c'est que personne n'a été blessé.
Si je vous en parle c'est parce que c'est la première fois que ce système Autoland développé par Garmin, est utilisé dans une vraie urgence depuis sa certification en 2020. Quand il s'active, le système choisit l'aéroport le plus adapté en fonction de plusieurs critères comme la distance, la longueur de piste, le carburant restant ou encore la météo, et gère tout de A à Z... la navigation, les communications avec la tour, la descente, l'approche, l'atterrissage et le freinage. Selon les modèles d'avion, il peut aussi couper les moteurs une fois l'appareil arrêté.
A l'époque, Garmin avait reçu le prestigieux Robert J. Collier Trophy 2020 pour cette technologie, récompensant la plus grande avancée dans l'aéronautique américaine et à ce jour, ce sont plus d'un millier d'avions en service qui sont équipés de ce système, notamment des Cirrus Vision Jet, des Piper M600 ou des King Air 200.
Reste à savoir ce qui a provoqué la dépressurisation, mais y'aura forcément une enquête.
Voilà, c'est quand même fou de se dire qu'un avion peut gérer une urgence tout seul mieux qu'une Tesla qui galère encore avec les ronds-points ^^.
Vous vous souvenez d'ARPANET, ce réseau militaire américain des années 60-70 qui a donné naissance à Internet ? En 2006, les États-Unis ont remis le couvert avec GENI, un autre réseau de recherche afin de tester les technologies futures du web et qui a fonctionné durant plus d'une décennie avant de s'éteindre progressivement jusqu'en 2023.
Et aujourd'hui, devinez qui vient de prendre le relais ?
La Chine, évidemment !
Le pays vient en effet d'annoncer la mise en service officielle de CENI, pour China Environment for Network Innovation, qui est ni plus ni moins que la première infrastructure nationale chinoise dédiée à l'innovation dans les technologies réseau. Et les specs font un peu peur je dois dire...
Il s'agit d'un réseau qui relie 40 villes chinoises via plus de 55 000 km de fibre optique et qui a nécessité plus de 10 ans de construction. Le truc est capable de supporter 128 réseaux hétérogènes simultanément et de mener 4 096 tests de services en parallèle... Niveau chiffres, c'est assez costaud.
Pour vous donner une idée de ce que ça peut faire, ils ont effectué un test de transfert avec le radiotélescope FAST dans la province du Guizhou. Résultat, 72 téraoctets de données transférées vers la province du Hubei en à peine 1,6 heure sur une distance d'environ 1 000 km. Un calcul rapide nous donne un débit proche des 100 Gbit/s soutenu sur la durée... Sur une connexion fibre grand public à 1 Gbit/s, ce même transfert aurait pris environ une semaine.
Mais le plus impressionnant, c'est la stabilité du bouzin. D'après Liu Yunjie, le chef scientifique du labo Zijin Mountain,
CENI affiche zéro perte de paquets lors des tests avec une
gigue de latence
inférieure à 20 microsecondes, même à pleine charge, sur un backbone de 13 000 km traversant 13 provinces et gérant 10 000 services déterministes. Ce sont des performances qu'on ne voit pas tous les jours...
Et côté applications, c'est le feu ! Huawei et Baidu sont déjà sur le coup pour tester leurs technos respectives, notamment pour des modèles d'IA avec 100 milliards de paramètres, dont chaque itération ne prend que 16 secondes grâce aux débits de CENI pour synchroniser les GPU. Y'a aussi le support des technologies 5G-A et 6G qui est prévu, ainsi que des applications pour l'industrie, l'énergie, la santé et l'éducation.
Et leur prochaine étape, ça va être de connecter 100 universités et entreprises leaders au réseau.
L'objectif avoué de CENI, c'est donc de développer des innovations "5 à 10 ans en avance sur l'industrie" et de, je cite, "prendre l'initiative dans la compétition internationale en matière de cyberespace". Bref, c'est aussi une question de souveraineté technologique et de positionnement géopolitique.
Screenshot
La Chine reprend donc explicitement le flambeau des projets de recherche réseau américains désormais abandonnés. ARPANET a ouvert la voie dans les années 70, GENI a pris le relais jusqu'en 2023, et maintenant c'est CENI qui devient le laboratoire mondial pour les architectures réseau du futur.
Et avec ses 221 brevets déposés, 139 droits d'auteur logiciels et 206 normes internationales et nationales, le projet a déjà une belle base de propriété intellectuelle...
Donc on verra bien ce qui en sortira dans les années à venir...
L’université de Cambridge a dévoilé le 11 décembre un outil qui suit en temps réel le coût de la vérification par SMS de faux comptes sur plus de 500 plateformes. L’analyse publiée dans la revue Science met en évidence de fortes disparités selon les pays, mais surtout une hausse des prix à l’approche d’élections sur certaines messageries.
L’université de Cambridge a dévoilé le 11 décembre un outil qui suit en temps réel le coût de la vérification par SMS de faux comptes sur plus de 500 plateformes. L’analyse publiée dans la revue Science met en évidence de fortes disparités selon les pays, mais surtout une hausse des prix à l’approche d’élections sur certaines messageries.
Vous pensiez que les cafards servaient juste à vous faire flipper quand vous allumez la lumière de la cuisine de votre Airbnb à 3h du mat (Oui c'est une histoire vraie que j'ai vécue) ?
Hé bien une startup allemande a décidé de leur donner une seconde vie un peu plus... stratégique.
SWARM Biotactics
, fondée en 2024 et basée à Kassel, développe des cafards de Madagascar équipés de mini sacs à dos bourrés d'électronique pour des missions de reconnaissance militaire.
Le concept c'est assez dingue quand on y pense car ces cafards siffleurs de Madagascar (les gros qui font du bruit, vous voyez le genre...) sont équipés de petits sacs à dos de 15 grammes contenant des caméras, des microphones, un radar Doppler et des modules de communication sécurisés. L'objectif c'est de descendre à 10 grammes pour optimiser leur mobilité, mais ces bestioles peuvent déjà transporter une charge utile significative.
Y'avait exactement ça dans le film Le Cinquième Élément, j'sais pas si vous vous souvenez.
Et le truc encore plus fou c'est leur système de contrôle. Des électrodes sont fixées sur les antennes du cafard pour stimuler sa navigation naturelle. En gros, quand on active l'électrode gauche, le cafard pense qu'il y a un obstacle de ce côté et tourne à droite. C'est Dora l’exploratrice version télécommandée, le bordel.
Alors pourquoi des cafards plutôt que des drones classiques ou des petits vieux trépanés ? Hé bien parce que ces petites bêtes sont quasi indestructibles. Elles résistent à la chaleur, aux produits chimiques, aux radiations, et peuvent se faufiler dans des endroits où aucun robot ne pourrait passer. Que ce soit des décombres après un tremblement de terre, des zones contaminées, des bâtiments effondrés... Tout comme BHL, le cafard s'en fout, il passe.
Et la startup ne compte pas s'arrêter au contrôle individuel. Elle développe des algorithmes pour coordonner des essaims entiers de cafards cyborgs de manière autonome. Ça représente des dizaines, voire de centaines d'insectes opérant ensemble, du coup ça ressemble de plus en plus à un épisode de Black Mirror, mais c'est bien réel.
SWARM travaille déjà avec la Bundeswehr, l'armée allemande, pour tester ses cafards sur le terrain. Et c'est vrai que contexte géopolitique aide pas mal car avec la guerre en Ukraine, l'Allemagne repense sérieusement sa défense et s'intéresse à ce genre de technologies alternatives. En juin, la startup a levé 10 millions d'euros en seed, portant son financement total à 13 millions d'euros.
Pour l'instant, SWARM se concentre donc sur la défense et la reconnaissance donc pas question de transformer les cafards en kamikazes avec des explosifs, même si Wilhelm reconnaît que les applications pourraient évoluer "légalement" à l'avenir. Et au-delà du militaire, il voit aussi un potentiel pour les opérations de sauvetage, comme envoyer des cafards dans des bâtiments effondrés pour localiser des survivants.
Voilà, les premiers déploiements opérationnels à grande échelle sont prévus pour dans 18 à 24 mois alors d'ici là, si vous croisez un cafard avec un truc bizarre sur le dos, c'est peut-être pas une bonne idée de l'écraser...
Après avoir reconnu avoir trompé des investisseurs, Do Kwon, fondateur de Terraform Labs, a été condamné à 15 ans de prison à New York le 11 décembre 2025. L’effondrement des cryptomonnaies TerraUSD et Luna en 2022 a engendré des pertes estimées à 40 milliards de dollars, alors que des poursuites l’attendent encore en Corée du Sud.
La Fédération nationale des Associations d'Usagers des Transports a partagé des chiffres montrant une forte hausse des prix des billets de trains OuiGo. De quoi remettre en question la promesse de ce train présenté comme low cost ?
Network attached storage in 2025 has shifted from being a niche utility to a central part of how many homes, studios and small businesses manage data. Rising storage needs, more capable low power CPUs and a renewed interest in self hosted services have produced a wave of compact, power efficient systems alongside more traditional multi bay enclosures. This article identifies a small group of NAS devices that stood out during 2025 for their hardware design, price-to-performance balance or the specific problems they address, rather than for brand familiarity alone. To qualify for inclusion, a NAS had to be commercially available for general sale during 2025, not an older carry over model or a crowdfunded prototype. No Kickstarter, Indiegogo or pre production units were considered, and devices that only existed as region locked or short lived batches were excluded where availability could not be reasonably confirmed. Both turnkey systems with bundled NAS operating systems and OS agnostic, barebones style hardware are included, provided they offer a clear proposition for real world use in home lab, small business or mobile workflows.
Honourary Mention – The UniFi UNAS Series – $199 to $799
SPECS: Quad core ARM Cortex A55 or A57 at 1.7 to 2.0 GHz – 4 to 16 GB LPDDR4 – 2 to 8 x 3.5″ SATA bays – 1 x 2.5 GbE RJ45 / 1 x 1 GbE RJ45 / up to 3 x 10 GbE (RJ45 and SFP+) – 0 or 2 x M.2 NVMe SSD slots for cache (depending on model).
While not a single flagship unit, UniFi’s expanded UNAS NAS range in 2025 merits an honorary mention as a platform level development. Moving from a single NAS offering in 2024 to multiple UNAS models in 2025, UniFi shifted from dabbling in storage to positioning itself as a serious option for small business, UniFi centric home labs and integrators that want storage tightly aligned with existing UniFi networking and management.
The significance here is not an isolated specification or feature, but the fact that a major networking vendor is rapidly building out a NAS portfolio at a time when private data ownership, self hosted services and integrated stacks are becoming more important, adding competitive pressure on more established, slower moving NAS brands.
SPECS: AMD Ryzen 7 Pro 8845HS – up to 128 GB DDR5 ECC via 2 SODIMM slots – 6 x 3.5″/2.5″ SATA bays – 2 x 2.5 GbE RJ45 / 2 x 10 GbE SFP+ – 5 x M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 slots.
The Aoostar WTR Max is a prebuilt, OS agnostic NAS chassis that stands out for its hardware density at its price point. It combines 6x hard drive bays with 4x M.2 NVMe slots, dual 10 GbE networking and an AMD server grade platform with ECC memory support in a compact enclosure that has been noted for effective cooling relative to its size. Rather than tying buyers to a proprietary operating system, it is intended to run third party NAS or server platforms, which gives it flexibility but also means any software integration and management experience depends on the OS the user chooses to deploy. Throughout 2025 it has frequently been in short supply, indicating sustained demand from home lab users and small operators who want near turnkey hardware with specifications that would be expensive to replicate via a fully DIY build.
What We Said in our June ’25 review HERE: The Aoostar WTR Max stands out as a rare blend of high storage density, advanced connectivity, and raw compute performance in a compact NAS form factor, making it well-suited for experienced users seeking a versatile, self-managed platform. With support for up to 11 drives—six SATA and five NVMe Gen 4—paired with an enterprise-grade Ryzen 7 PRO 8845HS CPU and ECC memory compatibility, the system offers workstation-class capabilities for storage-heavy workflows, including virtualization, multimedia processing, and hybrid file serving. Dual 10GbE SFP+ and dual 2.5GbE ports provide ample bandwidth for multi-user access or isolated subnet roles, while the OCuLink interface enables high-speed external expansion, compensating for the absence of a traditional PCIe slot. Additional benefits like a fully customizable LCD status display, low fan noise, and consistently low thermals under load reinforce the system’s value in 24/7 deployments.
However, the WTR Max does present some caveats—namely, internal NVMe cross-performance appears constrained by shared bandwidth, and the lack of an internal PCIe slot could be limiting for users requiring more conventional upgrade paths. The LCD panel’s configuration software also proved cumbersome, raising security flags and requiring manual IP client setup, which may deter less technically inclined users. Lastly, the use of an external 280W PSU—while effective—won’t appeal to those expecting internal power integration in a workstation-style chassis. Nonetheless, for users who value full control over their NAS stack and want to avoid restrictive ecosystems, the WTR Max delivers a rare combination of hardware freedom and scalability that few turnkey systems offer in this price and size category.
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BUILD QUALITY - 10/10
HARDWARE - 10/10
PERFORMANCE - 8/10
PRICE - 9/10
VALUE - 9/10
9.2
PROS
High Storage Density in Compact Form Supports up to 11 drives (6x SATA + 5x NVMe) in a desktop-sized chassis, ideal for users with large-scale storage needs but limited physical space. Enterprise-Class CPU with ECC Support AMD Ryzen 7 PRO 8845HS offers 8C/16T performance, ECC memory support, and integrated RDNA 3 graphics—rare at this price and size. Dual 10GbE SFP+ and Dual 2.5GbE Networking Provides flexible, high-throughput networking for content creators, virtual environments, or advanced home labs. Strong Virtualization and Transcoding Performance Smooth Proxmox VM hosting and real-time Plex 4K/8K transcoding using Radeon 780M hardware acceleration. OCuLink PCIe Expansion Port Enables high-speed external storage or GPU support without sacrificing internal NVMe bandwidth. Customizable LCD Monitoring Panel Real-time display of system metrics (CPU, RAM, network, storage) with theme options, useful for headless setups. Robust Cooling System with Vapor Chamber Glacier Pro 1.0 design keeps thermals in check across four fans and distinct airflow zones; low fan noise even under load. Open Software Ecosystem No proprietary OS or restrictions; supports TrueNAS, Unraid, Proxmox, or Linux-based setups for full admin control.
CONS
Limited Internal NVMe Cross-Throughput Inter-M.2 transfer speeds are capped (~500–600 MB/s), possibly due to shared chipset lanes or controller design. No Internal PCIe Slot Expansion is limited to OCuLink; users needing traditional PCIe cards (e.g., GPUs or HBAs) may find this restrictive. LCD Panel Software Can Be Problematic Configuration software raised browser security flags and requires static IP client setup, making it less accessible. External Power Brick Only 280W external PSU is functional but not ideal for rackmount or integrated enclosures; some users may prefer internal ATX power.
SPECS: AMD Ryzen 7 255 or AMD Ryzen AI 9 HX Pro 370 – up to 96 GB DDR5 (ECC on N5 Pro) – 5 x 3.5″/2.5″ SATA bays – 1 x 5 GbE RJ45 / 1 x 10 GbE RJ45 – 3 x M.2 NVMe slots (2 convertible to U.2, PCIe 4.0).
The Minisforum N5 is a compact 5-bay NAS that targets users who want preconfigured hardware with some workstation derived design features. It uses an x86 CPU in the same general class as the Aoostar WTR Max, paired with an internal storage module of 64 GB for the system volume, and is typically sold in the 599 to 699 USD range, with the separate Pro variant occupying a higher bracket. The chassis integrates a removable drive base section for easier maintenance, and the platform includes multi-gig networking up to 10 GbE and 5 GbE, a PCIe expansion slot and USB4 connectivity for additional bandwidth or external devices. Minisforum ships the N5 with its own NAS operating system to provide an immediate out of box experience, but the software is still relatively young and many buyers elect to overwrite the included module with a more established NAS or server OS. Throughout 2025, availability has been intermittent, reflecting a level of demand from home lab users who want higher specification NAS hardware without building entirely from individual components.
The Minisforum N5 Pro is an impressive and highly versatile NAS platform that successfully combines the core strengths of a storage appliance with the capabilities of a compact, workstation-class server, making it suitable for demanding and varied use cases. Its defining features include a 12-core Ryzen AI 9 HX PRO 370 CPU with 24 threads and onboard AI acceleration up to 50 TOPS, support for up to 96GB of ECC-capable DDR5 memory for data integrity, and a hybrid storage architecture offering up to 144TB total capacity through a mix of five SATA bays and three NVMe/U.2 slots. Additional highlights such as ZFS file system support with snapshots, inline compression, and self-healing, along with high-speed networking via dual 10GbE and 5GbE ports, and expansion through PCIe Gen 4 ×16 and OCuLink interfaces, position it well beyond the capabilities of typical consumer NAS systems. The compact, fully metal chassis is easy to service and efficiently cooled, enabling continuous operation even under sustained virtual machine, AI, or media workloads.
At the same time, the bundled MinisCloud OS, while feature-rich with AI photo indexing, Docker support, and mobile integration, remains a work in progress, lacking some enterprise-grade polish, robust localization, and more advanced tools expected in mature NAS ecosystems. Minor drawbacks such as the external PSU, the thermally challenged pre-installed OS SSD, and the higher cost of the Pro variant relative to the standard N5 are important to weigh, particularly for users who may not fully utilize the Pro’s ECC and AI-specific advantages. For advanced users, homelab builders, and technical teams who require high compute density, flexible storage, and full control over their software stack, the N5 Pro delivers workstation-level performance and configurability in NAS form—offering one of the most forward-thinking and adaptable solutions available today in this segment.
High-performance AMD Ryzen AI 9 HX PRO 370 CPU with 12 cores, 24 threads, and AI acceleration (50 TOPS NPU) is INCREDIBLE for a compact desktop purchase Support for up to 96GB DDR5 memory with ECC, ensuring data integrity and stability in critical environments ZFS-ready storage with numerous ZFS and TRADITIONAL RAID configurations, snapshots, and inline compression Hybrid storage support: five 3.5\\\"/2.5\\\" SATA bays plus three NVMe/U.2 SSD slots, with up to 144TB total capacity Versatile expansion options including PCIe Gen 4 ×16 slot (×4 electrical) and OCuLink port for GPUs or NVMe cages Dual high-speed networking: 10GbE and 5GbE RJ45 ports with link aggregation support + (using the inclusive MinisCloud OS) the use of the USB4 ports for direct PC/Mac connection! Fully metal, compact, and serviceable chassis with thoughtful cooling and accessible internal layout - makes maintenance, upgrades and troubleshooting a complete breeze! Compatibility with third-party OSes (TrueNAS, Unraid, Linux) without voiding warranty, offering flexibility for advanced users
CONS
MinisCloud OS is functional but immature, with unfinished localisation and limited advanced enterprise features - lacks MFA, iSCSI, Security Scanner and More. Nails several key fundamentals, but still feels unfinished at this time. Despite External PSU design (will already annoy some users), it generates a lot of additional heat and may not appeal to all users overall Preinstalled 64GB OS SSD runs hot under sustained use and lacks dedicated cooling. Plus, losing one of the 3 m.2 slots to it will not please everyone (most brands manage to find a way to apply an eMMC into the board more directly, or use a USB bootloader option as a gateway for their OS Premium $1000+ pricing may be hard to justify for users who don’t need ECC memory or AI capabilities compared to the standard N5 at $500+
SPECS: Intel N150 quad core Twin Lake SoC up to 3.6 GHz – 12 GB LPDDR5 (with 16 GB LPDDR5 variant announced) – 6 x M.2 2280 SSD bays – dual 2.5 GbE RJ45 / WiFi 6 – 6 x M.2 NVMe PCIe 3.0 slots (5 x1 / 1 x2, one slot also supporting SATA SSD).
The Beelink ME Mini N150 is an all flash, ultra compact NAS style platform built around 6x M.2 NVMe bays, an Intel N150 CPU and 12 to 16 GB of memory, aimed at low power home lab and edge storage roles. It typically ships in the 200 to 250 USD bracket depending on retailer and configuration, and includes a small amount of onboard eMMC storage intended for the operating system, with users commonly installing Linux distributions such as Ubuntu or other lightweight NAS platforms. Connectivity includes dual 2.5 GbE ports, making it suitable for multi gig networks despite its size, and its idle power draw with all slots populated has been measured in the sub 10 to 12 W range, which positions it as an efficient always on node. While comparable N150 based systems from GMKTEC and turnkey brands like TerraMaster arrived in the same period, the ME Mini gained wider attention in 2025 because its combination of price, power envelope and density is difficult to match via a conventional DIY build using standard motherboards and cases.
The Beelink ME Mini NAS delivers an uncommon blend of size, functionality, and efficiency in a market segment often dominated by larger, louder, and less integrated alternatives. It is not designed to compete with traditional enterprise-grade NAS devices or modular, scalable solutions for prosumers. Instead, its strengths lie in targeting the needs of home users who want a quiet, energy-efficient storage solution that is easy to deploy, aesthetically unobtrusive, and capable of handling daily tasks such as media streaming, file backup, or soft routing. The inclusion of six M.2 NVMe SSD slots—paired with a Gen 3 x2 system slot—offers a rare level of expansion in such a small enclosure. The integration of an internal PSU, silent fan-assisted cooling, and a surprisingly effective thermal design are thoughtful touches that differentiate it from the majority of DIY NAS mini PCs.
That said, it is not without limitations. The memory is non-upgradable, thermal accumulation at the base suggests room for improvement, and bandwidth ceilings imposed by Gen 3 x1 lanes will constrain users who demand high parallel throughput. Still, for its price point—particularly when pre-order discounts are applied—the ME Mini offers significant value, especially when compared to ARM-based NAS solutions with similar or lower specifications. With bundled Crucial SSD options and support for a wide range of NAS operating systems, it positions itself as a ready-to-go platform for tech-savvy users wanting to avoid the assembly of a fully DIY system. Overall, while not a product for every use case, the Beelink ME Mini succeeds in its aim to be a compact, stylish, and capable home NAS.
BUILD QUALITY - 9/10
HARDWARE - 8/10
PERFORMANCE - 8/10
PRICE - 9/10
VALUE - 10/10
8.8
PROS
Compact cube design (99x99x99mm) ideal for discreet home deployment Supports up to 6x M.2 NVMe SSDs with total capacity up to 24TB Integrated PSU eliminates bulky external power adapters Dual 2.5GbE LAN ports with link aggregation support Wi-Fi 6 and UnRAID7 Support means not limited to 2x2.5G Low power consumption (as low as 6.9W idle, ~30W peak with full load) Silent fan and effective internal thermal management via large heatsink Includes Crucial-branded SSDs in pre-configured options for reliability
CONS
Five of the six SSD slots are limited to PCIe Gen 3 x1 bandwidth Memory is soldered and non-upgradable Not 10GbE Upgradable (maybe m.2 adapter - messy) Bottom panel retains heat due to lack of active ventilation
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SPECS: Intel N100 quad core up to 3.4 GHz – 16 GB LPDDR5 – 2 x 2.5″ SATA bays / 4 x M.2 NVMe bays (total 6 bays) – 1 x 10 GbE RJ45 – 4 x M.2 2280 NVMe SSD slots.
The Lincstation N2 is a compact prebuilt NAS positioned primarily on value, combining an Intel N100 quad core CPU, 16 GB of non upgradable memory and 10 GbE networking in a small chassis. Storage is split between 4x M.2 NVMe bays and 2x 2.5 inch SATA bays, giving a mix of high speed solid state and more conventional, higher capacity drives, with visible status LEDs on the exterior. Typical street pricing in 2025 has been around 400 to 450 USD depending on tax and discounts, but its effective cost is reduced further by the inclusion of an Unraid license, which separately represents a non trivial software expense and is pre supported via a USB loader for straightforward deployment. While the N100 CPU and PCIe lane distribution place it below some competing platforms in raw performance, the combination of 10 GbE, mixed media bays, bundled software and small footprint makes it a distinct option for users who prioritise overall throughput and licensing value rather than maximum compute power.
The Lincstation N2 NAS is a solid upgrade over its predecessor, the N1, offering better connectivity, improved cooling, and more efficient hardware. The inclusion of 10GbE networking makes it a more appealing option for users who require higher data transfer speeds, and the passive and active cooling improvements ensure better thermal regulation under sustained workloads. With support for four M.2 NVMe SSDs and two SATA SSDs, the N2 provides flexible storage options, allowing users to build a high-speed, all-flash NAS setup. The Intel N100 processor and 16GB LPDDR5 memory deliver decent performance for most home and small business NAS applications, but the non-upgradeable memory may be a limiting factor for more demanding users. The compact, efficient design makes it an ideal NAS for those looking for a balance between power efficiency and performance.
That being said, the N2 does have a few drawbacks that may impact users looking for greater expandability. The lack of PCIe expansion slots means users cannot add additional NICs or storage controllers, making it less versatile compared to some competing NAS solutions. Additionally, while the 10GbE port is a significant upgrade, it is limited by PCIe bandwidth constraints, meaning users may not be able to fully utilize its maximum throughput in all scenarios. The USB connectivity options are decent, but having only one high-speed USB-C 10Gbps port may feel restrictive for those wanting multiple fast external connections. Furthermore, the reliance on a barrel-type power connector instead of USB-C is another missed opportunity for modernization.
Overall, the Lincstation N2 NAS remains a good choice for UnRAID users looking for an affordable, high-speed, all-flash NAS solution. It provides great energy efficiency, a streamlined setup process, and a solid mix of connectivity options. While it lacks some scalability features, for most home and small business users, it offers a compelling blend of performance, efficiency, and ease of use. If Lincplus continues refining their NAS lineup, future iterations with more robust networking, storage expandability, and minor refinements to cooling and connectivity could make it a standout competitor in the small NAS market.
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SOFTWARE - 9/10
HARDWARE - 8/10
PERFORMANCE - 7/10
PRICE - 8/10
VALUE - 9/10
8.2
PROS
10GbE networking for high-speed transfers Compact, silent, and power-efficient Includes 1 Year UnRAID license for easy setup Supports four M.2 NVMe SSDs and two SATA SSDs Low power consumption and passive+active cooling Improved design over the N1 with better airflow
CONS
Limited PCIe lanes affecting 10GbE throughput Non-upgradeable RAM (fixed 16GB LPDDR5) N100 CPU has very recently seen a refresh towards the N150 Uses a barrel-type power adapter instead of USB-C
SPECS: ARM 8 core processor (2 x quad core SoCs) up to 2.0 GHz – 8 GB LPDDR4X – 2 x M.2 NVMe bays – 1 x 2.5 GbE RJ45 / WiFi 6 – 2 x M.2 2280 NVMe SSD slots.
The UnifyDrive UT2 is a dual M.2 NVMe mobile NAS that targets content creators and field teams who need portable, battery backed storage rather than a static rack or desktop system. It is built around an 8 core ARM platform (implemented as 2 quad core chips) with 8 GB of memory, 2.5 GbE networking, WiFi 6 support and can act as an access point, with additional connectivity via USB type C, USB type A and dual SD card slots. UniFi supplies its own NAS operating system, which covers file sharing, backup, containers and an app center but does not provide full virtual machine hosting, and the unit can also operate as a direct attached storage device over USB. An internal 2200 mAh battery provides roughly 2 hours of standalone use and the device can also be powered from an external USB power bank, allowing workflows where camera media is ingested on location, duplicated to other storage or cloud targets and then transported while tasks continue in the background. Pricing during 2025 has generally ranged between 399 and 599 USD depending on promotions, positioning the UT2 as a niche but distinct option for mobile data capture and collaboration rather than a traditional always on NAS.
The UnifyDrive UT2 Portable NAS offers a compact, portable storage solution designed for users who need on-the-go data management. Its features include a built-in battery, Wi-Fi 6, 2.5Gb Ethernet, HDMI output, and dual M.2 NVMe SSD slots, which together make it capable of handling media playback, file storage, and real-time collaboration. The UT2 also includes UDR selective RAID, one-touch SD card backups, and an AI-powered photo recognition system, all controlled through a user-friendly mobile app. These features position the UT2 as a versatile device for professionals such as photographers and content creators, who need portable, high-speed data storage and secure file management.
As a crowdfunded product, the UT2 is set to launch on Kickstarter, meaning there are some inherent risks associated with its development. While the hardware and software shown in the review appear polished and near completion, the final product may vary from the reviewed unit, and there is no guarantee of timely delivery or final quality. The early-bird price of $399 may appeal to those looking for a portable NAS, though the full retail price of $599 could place it in competition with larger, full-featured NAS systems. Potential backers should consider these factors when deciding whether to support the project.
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BUILD QUALITY - 10/10
HARDWARE - 9/10
PERFORMANCE - 8/10
PRICE - 8/10
VALUE - 8/10
8.6
PROS
Compact and Portable: Small, lightweight design makes it easy to carry, ideal for on-the-go professionals. Built-in Battery: The 2200mAh battery provides up to an hour of runtime without external power, offering flexibility in mobile environments. Wi-Fi 6 and 2.5Gb Ethernet: High-speed network options ensure fast file transfers and smooth data access. Dual M.2 NVMe SSD Slots: Supports up to two NVMe SSDs, offering high-speed storage options. HDMI Output: Enables media playback and control via remote, supporting up to 8K video for a versatile media experience. One-Touch Backup: Simple SD and CFe card backup with a single button, ideal for photographers and videographers. User-Friendly Mobile App: Intuitive control via iOS and Android, with detailed system monitoring and management features. UDR Selective RAID: Offers flexible RAID-like redundancy on a folder level, allowing selective data protection without using the full capacity. AI-Powered Photo Recognition: Includes facial and object recognition, enhancing media organization. Multiple Connectivity Options: USB, Ethernet, and wireless options provide flexibility for different use cases.
CONS
Heavily Dependent on Software Support: Long-term functionality and feature enhancements will rely on continuous software updates, which are not guaranteed. Crowdfunding Risks: As a crowdfunded product, there\\\'s uncertainty about delivery timelines and the final product quality. Non-Upgradable RAM: The 8GB of RAM is soldered, limiting future scalability as storage or performance needs grow. Price at Full Retail: At $599, it approaches the cost of larger, more powerful NAS systems, making it less competitive for budget-conscious buyers.
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Le fabricant de aspirateurs robots iRobot a déposé une demande de mise en faillite le 14 décembre 2025 devant un tribunal du Delaware. Le chinois PICEA, son principal sous-traitant, devrait racheter 100 % de son capital.
Edit du 22/12/2025 : Bonne nouvelle ! Le développeur a finalement récupéré son compte. Un employé d'Apple Executive Relations basé à Singapour l'a contacté pour lui annoncer que tout était réglé. Il s'avère que la carte cadeau qu'il avait essayé d'utiliser avait déjà été "consommée" d'une manière ou d'une autre (probablement du tampering classique de carte cadeau), et son compte s'est retrouvé flaggé à cause de ça. Apple lui a conseillé de n'acheter des cartes cadeaux que directement chez eux et quand il a demandé si ça signifiait que leur chaîne d'approvisionnement (Blackhawk Network, InComm et autres revendeurs) était peu fiable, Apple a refusé de commenter. Comme quoi, même après 25 ans de fidélité, faut quand même gueuler un bon coup pour que ça bouge...
Vous vous souvenez de mes conseils sur les backups ? Ceux que je vous rabâche régulièrement depuis des années ? Hé bien voici une histoire qui va vous donner envie de les suivre une bonne fois pour toutes.
Dr Paris Buttfield-Addison, c'est un développeur Apple depuis 25 ans. Le mec a écrit plus de 20 bouquins sur Objective-C et Swift, il co-organise le plus ancien événement développeur Apple non-officiel... Bref, c'est pas un random qui a téléchargé une app météo une fois. C'est un évangéliste Apple depuis 30 ans.
Et bien du jour au lendemain, son compte Apple ID a été fermé. Sans explication. Sans recours. Sans rien.
L'élément déclencheur ? Il a essayé de racheter une carte cadeau Apple de 500 dollars pour payer son abonnement iCloud+ de 6 To. Le code a foiré, le vendeur lui a proposé un remplacement, et quelques temps après... boom, compte verrouillé.
Résultat : environ 30 000 dollars de matos Apple devenu inutilisable, des milliers de dollars de logiciels et médias achetés auxquels il n'a plus accès, plus d'iMessage, et surtout des téraoctets de photos de famille qu'il ne peut plus récupérer. 25 ans de souvenirs numériques, volatilisés.
Le support Apple ? Réponse standard : fermé pour "conformité avec les conditions". Pas d'explication. Zéro escalade possible. Et comme conseil : créer un nouveau compte. Sauf que ça pourrait aussi le faire bannir ce nouveau compte. Logique Apple...
Et le pompon ? On lui a également suggéré de se présenter physiquement au siège australien d'Apple. Comme si le mec allait prendre un billet d'avion pour aller plaider sa cause en personne. C'est difficilement compréhensible comme réponse venant d'une boîte qui vaut 3000 milliards de dollars.
Le truc, c'est que cette histoire peut arriver à n'importe qui. Que ce soit chez Apple, Google ou Microsoft, vous êtes à la merci d'un algorithme qui décide un beau matin que votre compte est suspect. Et bonne chance pour trouver un interlocuteur prêt à mouiller sa chemise pour vous. Spoiler : y'en a pas.
Moi-même j'ai eu tellement de problèmes de synchro avec iCloud au fil des années que j'ai perdu des fichiers. C'est de la merde, vraiment. Optez pour un truc mieux si vous le pouvez.
Du coup, comment éviter ça ? L'idéal c'est l'auto-hébergement si vous avez le temps et les compétences. Sinon, au minimum, faites des backups réguliers de vos données. Pour Apple Notes par exemple, y'a un outil qui s'appelle
Exporter
qui permet d'exporter toutes vos notes vers du Markdown ou du HTML. Comme ça le jour où Tim Cook décide que votre tronche lui revient pas, vous aurez au moins une copie de vos données quelque part.
Bref, ne faites jamais confiance à 100% à ces plateformes avec vos données les plus précieuses. Elles peuvent vous couper l'accès du jour au lendemain, et vous n'aurez aucun recours...
Amazon vient d’annoncer un truc qui va faire plaisir à tous les lecteurs d’ebooks. A partir du 20 janvier 2026, les auteurs auto-édités pourront proposer leurs ebooks sans DRM en formats EPUB et PDF via la plateforme KDP (Kindle Direct Publishing). Vous pourrez enfin télécharger vos achats dans un format lisible ailleurs que sur Kindle et ça, ça fait plaisir parce que
DeDRM
ça commençait à bien faire ^^.
Toutefois, cette décision d’activer ou non le DRM reste entre les mains des auteurs et vu les réactions sur les forums KDP, beaucoup risquent de garder les verrous en place. Pour les titres déjà publiés, rien ne change automatiquement et les auteurs qui le souhaitent devront se connecter au portail KDP et modifier manuellement les paramètres de chaque livre s’ils veulent proposer les versions sans DRM. Et Amazon dans sa grande bonté, prévient que les modifications prendront jusqu’à 72 heures pour être effectives…
Donc si vous désactivez le DRM sur vos ouvrages, tous les acheteurs vérifiés pourront télécharger les fichiers EPUB et PDF. Et si vous réactivez le DRM plus tard, les nouveaux téléchargements dans ces formats seront bloqués. Rassurez-vous quand à vos royalties, elles restent identiques dans les deux cas.
Ce qui est dingue dans cette histoire, c’est qu’Amazon renforce en parallèle le DRM sur ses liseuses Kindle de 11e et 12e génération. Une mise à jour récente a en effet introduit un nouveau système de protection qui empêche les utilisateurs de sauvegarder leurs ebooks, sauf en jailbreakant l’appareil. Ils ont aussi supprimé la possibilité de télécharger et transférer des livres via USB.
Du coup, d’un côté Amazon ouvre une porte aux formats ouverts pour les auteurs indépendants, et de l’autre ils cadenassent encore plus leur écosystème Kindle pour les éditeurs traditionnels. La grande majorité des livres sur le Kindle Store restera donc protégée par DRM…
Bref, pour les lecteurs qui jonglent entre différentes plateformes (Apple Books, Google Play, Kobo et j’en passe), ça pourrait quand même faciliter les choses puisque vous pourrez importer vos achats KDP sans protection dans la liseuse de votre choix.
Mais encore faut-il que les auteurs jouent le jeu ? On verra bien !
Si vous pensiez que LEGO se contentait de mouler du plastique comme dans les années 50, vous vous gourez car la marque danoise vient de franchir un cap historique en commercialisant sa toute première pièce fabriquée par impression 3D dans un set grand public.
Et il leur a fallu neuf ans de R&D pour y arriver !
La pièce en question se trouve dans le set Holiday Express Train (10361) de la gamme LEGO Icons, disponible depuis octobre. C’est une mini locomotive bleue avec des roues qui tournent et une petite cheminée qui monte et qui descend quand le train avance. Bref, un petit élément décoratif en apparence, mais qui représente un sacré tournant pour l’entreprise.
Alors pourquoi neuf ans de développement pour une pièce de quelques centimètres ? (qui a dit cmb ?). Parce que LEGO ne rigole pas avec la qualité, les amis ! L’équipe de Billund a dû construire un système de fabrication additive (c’est comme ça qu’on appelle les imprimantes 3D qui ajoutent les couches les unes au dessus des autres) capable de produire des pièces en masse avec le niveau de finition attendu par les fans. Ils utilisent pour cela une technologie de fusion de poudre polymère d’EOS, plus précisément une plateforme P 500 avec résolution Fine Detail, qui utilise un laser CO₂ ultra-fin pour créer des détails impossibles à obtenir avec le moulage par injection classique.
Cela permet d’avoir des mécanismes internes, des assemblages tarabiscotés, bref des trucs qu’un moule traditionnel ne pourrait jamais faire. L’impression 3D ouvre donc des possibilités que LEGO n’avait jamais eues.
Ronen Hadar, le responsable de la fabrication additive chez LEGO, compare ce moment à l’achat de la première machine à injection par les fondateurs dans les années 40. Un changement de paradigme donc et ça va s’accélérer puisque LEGO a déjà doublé la vitesse de production de ses machines et l’objectif pour eux, c’est que ces pièces imprimées en 3D deviennent “ennuyeusement normales” dans leur catalogue, et pas des curiosités de niche pour les collectionneurs.
Voilà, pour l’instant c’est une seule petite pièce dans un set de train de Noël mais si LEGO tient ses promesses, on pourrait voir débarquer des éléments de plus en plus complexes dans les années à venir… Des briques avec des mécanismes intégrés, des formes organiques, et des trucs qu’on n’imagine même pas encore.
Discord a trouvé une solution radicale pour gérer son app de ses morts qui bouffe 4 Go de RAM sous Windows 11 (consommation ressentie : 4 millions de Go) : La redémarrer automatiquement quand elle dépasse ce seuil.
Les champions quoi ! Plutôt que de corriger les fuites mémoires, ils ont tout simplement décidé d’intégrer un auto-relaunch dans l’app en douce pour qu’elle se relance toutes les quelques heures.
Bien sûr Discord présente ça comme une solution temporaire pendant qu’ils bossent sur le vrai problème, mais je trouve ça marrant de normaliser ce bug en ajoutant une fonctionnalité qui le “contourne” bruyamment.
Le pire dans tout ça, c’est que le problème vient d’une connerie technique assez basique. L’app Discord utilise une bibliothèque appelée “systeminformation” qui appelle PowerShell avec des commandes comme Get-WmiObject Win32_logicaldisk juste pour récupérer des infos système basiques. Mais comme ils passent par Powershell
plutôt que d’utiliser les API natives
de Windows, ça bouffe de la RAM comme un gros porc.
Comme vous, je me demande pourquoi Discord ne refait pas son app avec un framework plus léger ? Hé bien c’est simple : ils sont coincés ! Parce Discord est bâti sur Electron, et Electron c’est un framework qui embarque un Chromium complet salade tomates oignons dans chaque application.
Ça permet aux devs web de créer des apps desktop avec du JavaScript, du HTML et du CSS
, mais le prix à payer c’est une app qui pèse 85 Mo à l’installation et bouffe 200-400 Mo de RAM au démarrage.
En théorie Electron permet de créer une app cross-platform facilement. C’est-à-dire d’avoir un seul code pour Windows, Mac et Linux. Mais dans les faits, Discord maintient quand même du code spécifique par plateforme pour les notifications, l’overlay gaming, les raccourcis système, etc. Bref, ils ont tous les inconvénients d’Electron (RAM, taille) sans vraiment profiter de l’avantage du “write once, run everywhere”.
C’est vrai que réécrire Discord en natif coûterait des millions. Faudrait refaire toute l’interface, toutes les fonctionnalités, tous les systèmes de plugins et de thèmes. Surtout que pendant ce temps, l’équipe actuelle continue d’ajouter des fonctionnalités sur leur usine à gaz, ce qui creuse encore plus la dette technique. C’est le
sunk cost fallacy
version logicielle… en gros, ils ont tellement investi dans Electron qu’ils ne peuvent plus reculer, même si repartir de zéro serait probablement moins coûteux sur le long terme.
Pourtant, des alternatives à Electron existent.
Tauri est devenu le framework préféré des devs qui veulent de la performance
… On est à 2-3 Mo d’installeur, 30-40 Mo de RAM au repos et il utilise Rust et le webview natif du système plutôt que d’embarquer Chromium. Les apps sont donc légères, rapides, et consomment 10 fois moins de ressources.
Y’a aussi Flutter, React Native Desktop, Qt… des frameworks qui produisent des apps vraiment natives avec des performances dignes de ce nom.
Visual Studio Code démontre qu’Electron peut être performant
si on l’optimise correctement, mais ça demande un boulot monstre et malheureusement, Discord n’a clairement pas envie de mettre les moyens.
Le vrai problème n’est donc pas technique, c’est économique, car
pour 1 dev natif, y’a 8 devs web
. Electron permet d’embaucher des devs JavaScript pas cher plutôt que des devs C++/Rust/Swift qui coûtent une blinde… donc, sacrifier la RAM des utilisateurs coûte moins cher que payer des ingénieurs système. Et comme les PC ont maintenant 16-32 Go de RAM, ils se disent que 4 Go pour du chat en ligne, c’est acceptable. Lol.
Bref, tout ça pour dire que Discord normalise le “patch-as-a-feature”, et j’imagine que demain Slack, Teams et tous les autres vont faire pareil. En attendant, jetez un œil à
Ripcord
et
Stoat
pour ceux qui veulent un truc mieux.
En s’appuyant sur Polymarket, la plateforme Polyglobe propose une cartographie numérique des conflits pour suivre l’évolution des paris liés à l’actualité internationale. Alimenté par des données anonymes et une cryptomonnaie dédiée, le dispositif convertit la géopolitique en opportunité de marché.
Les autorités américaines ont mis en examen quatre hommes accusés d’avoir monté, entre 2023 et 2025, un circuit de contrebande de puces d’IA Nvidia vers la Chine en s’appuyant sur une fausse société immobilière et des documents douaniers falsifiés. Ils risquent jusqu’à 20 ans de prison.
Le service Revolut Fast Track, un système de coupe-file accessible depuis son application, a fait son arrivée en France le 10 décembre 2025. Le service, déjà actif dans plusieurs pays européens depuis novembre 2025, permet de passer devant tout le monde pendant les contrôles de sécurité.