Face aux drones russes, l'armée ukrainienne a plusieurs cartes en main. Y compris de tirer dessus avec un fusil d'assaut. Si les soldats le font déjà, une nouvelle munition pourrait changer la donne sur le champ de bataille.
Face aux drones russes, l'armée ukrainienne a plusieurs cartes en main. Y compris de tirer dessus avec un fusil d'assaut. Si les soldats le font déjà, une nouvelle munition pourrait changer la donne sur le champ de bataille.
Les services de renseignement français ont relevé une guerre informationnelle » associée à la Chine. Objectif ? Dénigrer l'avion Rafale depuis le soudain, mais bref conflit entre l'Inde et le Pakistan en mai. Un exemplaire de l'aéronef français a été abattu dans ce cadre.
L'armée française s'équipe de plus en plus en drones en tout genre. Après une commande de 2 000 drones kamikazes en 2024, dont une partie au profit de l'Ukraine, le pays achète 1 000 nouveaux engins, dédiés cette fois à la surveillance. Ils seront notamment mobilisés pour un vaste entraînement militaire en 2026.
À la suite des frappes américaines contre trois sites nucléaires iraniens le 22 juin 2025, Donald Trump n’a pas tardé à qualifier l’opération de « succès spectaculaire ». Pourtant, la diffusion d’un rapport confidentiel du renseignement militaire est rapidement venue jeter le doute sur l’ampleur réelle des dégâts infligés. Depuis, la Maison Blanche multiplie les attaques contre les médias ayant relayé ces informations et remet ouvertement en cause le rapport de sa propre agence.
Dans une allocution faîte face à l'Assemblée Nationale, le mercredi 25 juin 2025, le ministre français des Armées Sébastien Lecornu a déclaré que la France avait intercepté plusieurs drones iraniens se dirigeant vers Israël avant la trêve du conflit.
Ni tout à fait aérienne, ni pleinement spatiale, la Très Haute Altitude (THA) est désormais au cœur des stratégies militaires françaises. Une ambition concrétisée le 23 juin 2025, par un exercice militaire de grande ampleur. Mais où en est réellement la France dans la course à la THA ?
Le Salon du Bourget ouvre ses portes au grand public ce vendredi 20 juin 2025 : l’occasion idéale de revenir sur quelques affaires d’espionnage industriel survenues lors de la précédente édition. Entre clés USB piégées, vols d'ordinateurs et espions infiltrés en agents d'entretien, les coulisses du plus grand rendez-vous aéronautique mondial réservent bien des surprises.
200 millions de dollars pour apprendre à ChatGPT à jouer à Call of Duty en vrai. Non, c’est pas une blague, OpenAI vient de signer avec le Pentagone et franchement, j’ai comme un petit goût amer en bouche.
Alors voilà les faits bruts, parce que c’est toujours mieux de partir de là. Le 16 juin 2025, le Pentagone a officialisé un contrat d’un an avec OpenAI pour 200 millions de dollars. L’objectif ? Développer des “capacités IA de pointe” pour répondre aux défis de sécurité nationale, et ça couvre autant les applications administratives que les trucs de combat pur et dur. On parle de cyberdéfense proactive, d’optimisation des soins de santé pour les militaires, d’analyse de données d’acquisition… Bref, du sérieux.
La maquette impressionnante de l'UCAS est affichée en vedette lors du salon du Bourget 2025. Derrière ce drone de combat autonome se cache un projet militaire numérique européen à l'ambition inédite et parfois contrariée : le SCAF.
C'était l'opération dans l'opération. En marge de la campagne Rising Lion lancée par Israël contre l'Iran dans la nuit du 12 au 13 juin 2025, pour attaquer son programme de nucléaire militaire, une action spéciale a aussi eu lieu proche de Téhéran. Elle impliquait une base clandestine et des drones explosifs. Un coup qui rappelle celui de l'Ukraine en Russie.
C'était l'opération dans l'opération. En marge de la campagne Rising Lion lancée par Israël contre l'Iran dans la nuit du 12 au 13 juin 2025, pour attaquer son programme de nucléaire militaire, une action spéciale a aussi eu lieu proche de Téhéran. Elle impliquait une base clandestine et des drones explosifs. Un coup qui rappelle celui de l'Ukraine en Russie.
Dans une opération inédite menée au printemps 2025, la Royal Navy a testé pour la première fois l’intégration d’un drone Puma comme éclaireur pour un hélicoptère Merlin Mk2 lors d’une mission réelle dans l’Atlantique. L’objectif : tester en conditions réelles une solution hybride capable de renforcer la furtivité et la capacité de surveillance de la flotte britannique, tout en limitant l’exposition aux radars ennemis.
L’arme nucléaire, du fait des conséquences désastreuses qu’entraînerait son emploi, est vouée à rester un élément de dissuasion. Si la menace du recours à cette arme ultime est fréquemment brandie côté russe, il n’en demeure pas moins que les responsables au Kremlin ont pleinement conscience des coûts pratiquement incalculables qu’une telle décision engendrerait. Pour autant, si le pire n’est jamais certain, il n’est jamais à exclure totalement.
C'est une première. La France a décidé de désigner la Russie comme responsable de plusieurs attaques informatiques. Paris en profite pour dénoncer l'hostilité de la Russie dans le cyberespace, et cela depuis au moins dix ans.
L'Estonie est en plein débat sur un nouveau de texte loi qui prévoit d’élargir le cadre d’action de sa marine. La législation permettrait notamment l’usage de la force contre des navires civils, en cas de menace grave avérée.
Un échange entre Elon Musk et Radosław Sikorski, ministre polonais des Affaires étrangères, a reposé la question de la dépendance de l'Ukraine au réseau Internet satellitaire Starlink. Sur fond de crainte d'une interruption de service, démentie par Elon Musk, l'Europe travaille sur ses alternatives.