Passez de Debian 12 Bookworm à Debian 13 Trixie avec ce tutoriel étape par étape, en suivant les bonnes pratiques pour réussir l'upgrade de votre machine.
Félicitations ! Si vous avez installé la mise à jour KB5063878 de Windows 11, vous venez de débloquer la fonctionnalité cachée “Roulette Russe du stockage”. Et oui, Microsoft et Phison innovent ensemble en transformant votre précieux SSD en disque de Schrödinger, sur lequel vos données existent et n’existent pas en même temps… Enfin, jusqu’à ce que vous tentiez de les copier.
Allez, je vous spoile, en vrai, elles n’existent déjà plus.
En effet, la mise à jour d’août 2025 censée, je cite, “corriger les problèmes de performance des jeux” ET des failles de sécurité (oui, Microsoft essayait vraiment de bien faire pour une fois), a décidé que la meilleure façon d’améliorer les perfs était de supprimer complètement votre disque. C’est du génie car plus de SSD, ça veut dire plus de problèmes de performance ! Ni de sécurité d’ailleurs !
Le bug est magnifique puisque dès que vous copiez 50 GB de données, hop, votre SSD disparaît comme David Copperfield en aurait rêvé. Sur 21 disques testés, 12 sont devenus invisibles selon les tests réalisés par la communauté. Un Western Digital SA510 de 2TB, a carrément décidé de prendre sa retraite anticipée. Même après un redémarrage, il refuse de revenir. C’est beau ! Les Japonais sont particulièrement chanceux sur ce coup-là, ils remportent le jackpot avec le plus grand nombre de plaintes recensées.
Phison, le fabricant de contrôleurs touché, a publié un communiqué digne d’un sketch des Monty Python : “Nous sommes conscients des effets à l’échelle de l’industrie”. Traduction : “Oups, nos contrôleurs PS5012-E12 avaient déjà des problèmes de stabilité qu’on savait pas trop comment gérer, et Microsoft vient de révéler le pot aux roses”. Bref, ils “travaillent avec leurs partenaires” et mènent un “audit interne”, probablement en train de chercher qui va payer la facture entre eux et Microsoft. Bonus : ils ne prendront pas en charge directement les utilisateurs. Sympa !
Les SSD DRAM-less avec contrôleur Phison sont donc les plus vulnérables, mais surprise, les contrôleurs Maxio se joignent aussi à la fête ! On a le Corsair Force MP600, le SanDisk Extreme Pro et d’autres dans le club des disparus. WindowsForum confirme que le problème se déclenche quand l’utilisation du contrôleur dépasse 60%. Autrement dit, c’est un parfait combo Microsoft-Phison : Windows pousse le contrôleur dans ses retranchements pour la sécurité, et le contrôleur répond “404 SSD not found”.
Et la cerise sur le gâteau c’est quand Microsoft Support indique que l’update peut aussi se gaufrer avec une jolie erreur 0x80240069 sur WSUS. Bref, même quand elle n’arrive pas à s’installer, elle trouve un moyen de casser les pieds. Maintenant, pour les “chanceux” (non) qui ont déjà installé cette bombe à retardement co-développée, les recommandations officielles sont à se pisser dessus de rire puisqu’ils conseillent d’éviter les transferts de plus de 50 GB ou de faire des sauvegardes régulières sur un disque non affecté. Bon, déjà faire des sauvegardes, ça peut fonctionner uniquement si elles font moins de 50 GB… Et s’il y a toujours un SSD vivant pour faire le backup…
Le plus fun dans tout ça, c’est que cette mise à jour a été classée sécurité critique. “Critique”, tu m’étonnes… Entre Microsoft qui sécurise tellement bien qu’on ne peut plus accéder à nos fichiers, et Phison dont les contrôleurs avaient déjà des soucis de stabilité cachés sous le tapis, c’est le mariage parfait de l’incompétence. En attendant un correctif (prévu pour 2026 si Microsoft et Phison arrivent à se mettre d’accord sur qui est responsable ^^), votre meilleure option est de revenir à Windows 10. Ou mieux, Linux avec des SSD qui n’utilisent pas de contrôleurs Phison.
Au moins, quand quelque chose plante, vous saurez exactement qui blâmer : vous-même !
In my previous post, I explained why you might want to run OpenAI gpt-oss-20b or gpt-oss-120b on your own virtual machine and how to select an appropriate EC2 instance type. Today, I will show you how to install Ollama via script or snap on Ubuntu within an EC2 instance. Most steps can be adapted for other cloud providers, on-premises setups, or Linux distributions with minor modifications. I will also briefly discuss the benefits of running open-weight models on an EC2 instance with Ollama compared to Bedrock, SageMaker, vLLM, or Hugging Face Transformers.
Si vous êtes du genre à passer votre vie en SSH sur des serveurs distants comme moi, alors voici un petit outil bien sympa qui va peut-être changer votre façon de bosser. Cela s’appelle sshrc et au début, j’ai cru à une énième tentative de réinventer la roue, mais en fait non. Ce truc est vraiment cool car quand vous vous connectez en SSH, il copie automatiquement votre configuration locale dans un dossier temporaire sur le serveur distant. Comme ça, vous retrouvez instantanément vos alias bash, vos raccourcis vim, votre prompt avec ses jolies couleurs…etc. Tout ce qui fait que vous vous sentez chez vous… mais sur votre serveur.
Le truc vraiment cool, c’est que ça ne pollue pas le serveur car tout est stocké dans /tmp dans un dossier propre à votre session. Si d’autres utilisateurs se connectent (même avec sshrc), ils auront leurs propres configs et pas les vôtres.
Pour l’installer, rien de plus simple. Sous macOS avec Homebrew :
Pour les autres systèmes, vous pouvez récupérer le script directement depuis le repo GitHub.
Une fois installé, créez un fichier ~/.sshrc avec vos configs préférées. Par exemple, vous pouvez mettre vos alias les plus utiles, quelques fonctions bash, et même des variables d’environnement spécifiques.
Ensuite, au lieu de taper ssh user@server, vous faites sshrc user@server et c’est tout. Derrière, l’outil fait sa magie noire en compressant vos configurations, en les envoyant sur le serveur, puis en les décompressant dans /tmp, et en sourçant le tout automatiquement. Vous pouvez même avoir des configurations différentes selon les serveurs en créant des fichiers comme ~/.sshrc.d/servername.
Pour les fans de vim, il y a une astuce sympa. Ajoutez cette ligne dans votre ~/.sshrc :
Et placez votre .vimrc dans ~/.sshrc.d/. Comme ça, vim utilisera votre config perso même sur le serveur distant.
Attention quand même, il y a une limite. Si votre dossier ~/.sshrc.d fait plus de 64KB, certains serveurs peuvent bloquer la connexion. C’est pour ça qu’une alternative existe : SSHdot. Cette variante n’a pas de limite de taille et fonctionne exactement pareil. C’est pratique si vous avez une config vim bien chargée avec plein de plugins.
D’ailleurs, pour ceux qui préfèrent une approche différente, il y a aussi la méthode git. Vous mettez tous vos dotfiles dans un repo, et vous configurez vos serveurs pour pull automatiquement à la connexion. C’est plus lourd à mettre en place mais ça scale mieux si vous gérez beaucoup de machines.
Un dernier truc sympa, sshrc fonctionne aussi avec tmux. Vous pouvez donc configurer tmux pour qu’il utilise vos raccourcis habituels même sur le serveur distant. Il suffit d’ajouter votre .tmux.conf dans ~/.sshrc.d et de définir un alias dans ~/.sshrc qui pointe vers cette config.
Au final, sshrc vous n’en aviez pas besoin, mais maintenant que vous savez qu’il existe, c’est un incontournable ! Bref, si vous en avez marre de retrouver un environnement spartiate à chaque connexion SSH, essayez-le, ça prend 2 minutes à installer et ça change vraiment la donne niveau confort de travail.
Debian 13 est disponible depuis le 9 août 2025 : quels sont les nouveautés et changements ? Comment télécharger Debian 13 ? Voici un récapitulatif complet.
Debian est une distribution Linux renommée, réputée pour sa stabilité et son respect des principes du logiciel libre. Elle équipe de nombreux serveurs à travers le monde, assurant fiabilité et sécurité sur le long terme. Mais Debian n’est pas réservée qu’aux environnements serveurs : elle s’adresse aussi aux ordinateurs de bureau et portables, offrant un … Lire la suite
Vous avez un ordinateur personnel ou vous administrez un serveur sous Debian 12 « Bookworm » et vous souhaitez le faire passer à la toute nouvelle version Debian 13 « Trixie » ? Vous êtes au bon endroit ! Avec la sortie officielle de Debian 13 en août 2025, les administrateurs système et tous les utilisateurs de Debian ont … Lire la suite
The XZ-Utils backdoor, first discovered in March 2024, is still present in at least 35 Linux images on Docker Hub, potentially putting users, organizations, and their data at risk. [...]
Je viens de découvrir un truc qui pourrait bien changer votre façon de jouer sur PC. Ça s’appelle Bazzite et c’est un genre de SteamOS boosté aux stéroïdes compatible avec absolument tout. Oui, même votre vieille tour qui prend la poussière dans un coin.
L’idée de base est chouette puisqu’il s’agit de prendre Fedora Silverblue, cette distribution Linux “immutable” (en gros, impossible à casser même en faisant n’importe quoi), et la transformer en machine de guerre gaming. On obtient alors un OS qui démarre direct en mode Steam Big Picture si vous voulez, qui supporte le HDR sur AMD, et qui fait tourner vos jeux Windows sans que vous ayez à toucher une seule ligne de commande.
The Verge a testé et apparemment les jeux tournent souvent mieux que sous Windows. C’est plus fluide, moins gourmand en batterie, et y’a zéro tracas avec les mises à jour foireuses de Microsoft. Forbes va même jusqu’à dire que c’est “objectivement meilleur que Windows” sur les consoles portables comme le ROG Ally. Rien que ça.
Car contrairement à SteamOS qui est bloqué sur Steam Deck (et quelques rares configs), Bazzite fonctionne sur pratiquement n’importe quel PC x86 de la dernière décennie. Votre laptop gaming, votre tour, votre mini PC branché à la télé, et bien sûr toutes les consoles portables du marché : Steam Deck, ROG Ally, Legion Go, GPD Win, et j’en passe. D’après la documentation officielle, ils supportent même les dernières puces AMD 9070 et Strix Halo de 2025, c’est à dire celles que SteamOS ne peut même pas faire booter.
Le truc vraiment bien, c’est surtout le système d’updates atomiques. En gros, chaque mise à jour est une image complète du système. Si quelque chose foire, vous redémarrez et hop, retour à la version précédente. Fini les soirées à réparer un OS cassé par une mise à jour nvidia, surtout que ces mises à jour arrivent toutes les semaines, et pas tous les six mois comme sur SteamOS.
Pour les utilisateurs Steam Deck, c’est donc très intéressant car vous gardez le mode Gaming que vous aimez, mais vous gagnez un vrai desktop utilisable avec Wayland (donc un scaling correct sur écran haute résolution), le support d’Android via Waydroid pour faire tourner vos apps mobiles, et surtout la possibilité d’installer ce que vous voulez : Decky Loader, EmuDeck, RetroDECK, tout est disponible dès l’installation.
Le projet est porté par la communauté Universal Blue, des gens qui ont compris que Linux pouvait être simple sans sacrifier la puissance et ils ont créé différentes versions : Deck pour les consoles portables, Desktop avec KDE ou GNOME selon vos préférences, et même une version HTPC pour transformer votre PC salon en console de jeu.
Techniquement, tout est basé sur des conteneurs OCI (comme Docker si vous connaissez), ce qui permet d’avoir un système super stable avec des applications qui tournent dans leur bulle. Et les jeux, ça passe par Steam, Lutris ou Heroic Games Launcher, tous préinstallés. Les codecs propriétaires sont inclus et les drivers Nvidia sont déjà là si vous en avez besoin. Y’a même le support du ray tracing avec NVK sur les cartes récentes.
Ce qui est vraiment cool, c’est que vous pouvez tester sans rien casser. Vous gravez l’ISO sur une clé USB, vous bootez dessus, et vous voyez si ça vous plaît. Si c’est le cas, l’installation prend ensuite 20 minutes chrono. Sinon, vous redémarrez sous Windows et on n’en parle plus.
Pour les bidouilleurs, sachez que même si le système est, comme je vous le disais, “immutable”, vous pouvez toujours installer ce que vous voulez via Flatpak (le store Flathub est intégré), Distrobox pour des environnements isolés, ou même rpm-ostree pour des modifications système permanentes. C’est le meilleur des deux mondes puisque ça a la stabilité d’un Chromebook avec la flexibilité d’un Linux classique.
Après c’est cool mais c’est pas magique non plus car certains jeux avec anti-cheat ne fonctionneront jamais sous Linux (merci les éditeurs…) et le support VR est encore perfectible. Puis si vous êtes du genre à avoir besoin d’Adobe Creative Suite ou de logiciels Windows spécifiques, ça reste du Linux avec ses limitations.
Mais pour du gaming pur, c’est une tuerie. Les performances sont là, la stabilité aussi, et vous échappez à toute la télémétrie et les pubs de Windows 11. En plus, avec le kernel fsync modifié qu’ils utilisent, vous avez accès aux dernières optimisations gaming du noyau Linux.
Donc si vous voulez tenter l’aventure, direction bazzite.gg pour récupérer l’ISO qui correspond à votre matos. L’installation est vraiment simple, et la communauté sur Discord est super active si vous avez des questions.
C’est peut-être la preuve que Linux Desktop c’est peut-être plus uniquement un délire de barbu mal sevré de leur tétine, mais une vraie alternative crédible pour le gaming. Donc peut-être même que 2025 sera vraiment l’année du Linux desktop… au moins pour les gamers ! (C’est le marronnier de la presse tech, t’as capté ? ^^)
Après deux ans de développement, Debian 13 « Trixie » est officiellement disponible depuis le 9 août 2025 ! Connue pour sa stabilité exemplaire, Debian est utilisé sur de nombreux ordianteurs et serveurs à travers le monde, et sert de base à de nombreuses autres distributions populaires comme Ubuntu, Linux Mint ou elementary OS. Les changements de cette … Lire la suite
Après deux années de développement intensif, Debian 13 « Trixie » sera officiellement disponible demain (9 août 2025). Véritable pilier des distributions GNU/Linux, Debian sert de base à de nombreuses variantes populaires : Ubuntu, Linux Mint ou encore Kali Linux. Chaque nouvelle version est scrutée de près par la communauté et Trixie ne fait pas exception, en promettant fiabilité, modernité et évolutivité tout en restant fidèle à la philosophie Debian : la stabilité avant tout.
Quelles sont les nouveautés de Debian 13 ?
Tout d’abord, il est important de rappeler que Debian 13 embarque le noyau Linux 6.12 LTS (une version stable et maintenue sur le long terme). Celui-ci étend le support aux architectures émergentes comme RISC-V en 64 bits, tout en optimisant la prise en charge des processeurs Intel, AMD et ARM, des cartes graphiques pour une accélération fluide, ainsi que des réseaux Wi-Fi 6/7 ou Ethernet haut débit. Les améliorations concernent également le stockage avec une gestion renforcée des SSD/NVMe et des périphériques USB/Bluetooth, tandis que des fonctionnalités de sécurité accrues et une efficacité énergétique optimisée assurent une stabilité durable. Tout ceci rend Debian 13 particulièrement adaptée aux serveurs, ordinateurs portables et réseaux, sans nécessiter de pilotes externes complexes.
Environnement graphique actualisé
GNOME 48 : plus rapide et mieux intégré, avec une interface retravaillée
KDE Plasma 6.3 : idéal pour les amateurs d’esthétique et de personnalisation
Python 3.13, PHP 8.4, GCC 14.2, Perl 5.40 : un arsenal à jour pour les développeurs
Intégration de systemd 257, avec de nouvelles options de sécurité et de journalisation
Wayland devient le serveur graphique par défaut sous GNOME, mais X11 reste disponible en fallback
Sécurité renforcée
Trixie met l’accent sur la sécurité :
Paquets compilés avec des options de durcissement avancées (hardening), pour mitiger les vulnérabilités comme ROP et COP/JOP sur amd64 et arm64
Meilleure séparation des privilèges dans les services système, alignée sur les priorités de sécurité de Trixie
Support accru pour les environnements chiffrés (LUKS2 par défaut), pour une gestion plus robuste du chiffrement
Cloud et conteneurs
Avec l’essor du DevOps, Debian 13 n’est pas en reste :
Meilleure intégration avec Podman, Docker et systemd-nspawn
Outils cloud mis à jour : OpenStack Bobcat, Kubernetes 1.30 et support renforcé pour les images cloud préconstruites
Pourquoi passer à Trixie ?
Debian 13 n’est pas juste une mise à jour : c’est une refonte progressive de l’écosystème Debian, avec une attention particulière portée à la compatibilité matérielle, à la sécurité et à la modernisation. Que vous soyez un développeur, un sysadmin, ou un utilisateur exigeant, Trixie coche toutes les cases.
Et malgré toutes ces nouveautés, Debian reste fidèle à sa stabilité légendaire. C’est l’OS de confiance pour les serveurs, les postes de travail et les projets open source à long terme.
La sortie est prévue demain. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel sur debian.org…
Vous connaissez les fortunes ? Mais siii, ce sont petites citations aléatoires qui s’affichent dans le terminal ! Eh bien figurez-vous que Debian a décidé de faire le grand ménage dans les versions “offensantes” de ces paquets. Et forcément, ça fait des vagues.
L’histoire a commencé avec deux bug reports (#1109166 et #1109167) déposés par Andrew M.A. Cater qui a tout simplement demandé la suppression pure et simple des paquets fortunes-es-off (la version espagnole) et fortunes-it-off (la version italienne), arguant que ces blagues n’avaient “aucune place dans Debian”. Et c’est là, que c’est parti en cacahuète.
D’un côté, il y a donc Agustin Martin qui maintient le paquet espagnol depuis des années et qui nous explique qu’il a déjà fait un sacré tri en virant les trucs vraiment violents, et que ce qui reste c’est de l’humour qui peut choquer certaines personnes “avec un seuil de tolérance bas”. Et de l’autre, Salvo Tomaselli qui gère la version italienne et qui n’était vraiment pas content qu’on lui demande de supprimer son paquet en pleine période de freeze.
Alors quand le contributeur NoisyCoil a analysé le contenu du paquet italien et y a trouvé des citations qui appellent explicitement à la violence contre les femmes, du genre, des trucs qui disent que les femmes devraient être battues régulièrement, c’était plus possible !
Là, on n’était clairement plus dans l’humour douteux mais dans quelque chose de beaucoup plus problématique.
Paul Gevers de l’équipe de release Debian a donc tranché en déclarant que “les versions offensantes des paquets fortune n’ont plus leur place dans Debian”. Une décision qui fait écho à ce qui s’était déjà passé avec la version anglaise fortunes-off, supprimée il y a déjà quelques années.
Ce qui est intéressant, je trouve, dans cette histoire, c’est de voir comment une communauté open source gère ce genre de tensions car d’un côté, vous avez cette “tradition” de la liberté totale, et de l’autre, la volonté de créer un environnement inclusif.
Mais bon, au final, Tomaselli a cédé et supprimé les paquets offensants notant avec une pointe d’ironie dans le changelog que c’était dû à des “bug reports bien synchronisés de l’équipe de release pendant la période de freeze”.
Alors est-ce qu’on doit tout accepter au nom de la liberté ? Ou est-ce qu’il y a des limites à ne pas franchir ?
Perso, je pense qu’entre une blague de mauvais goût et un appel à la violence contre les femmes, il y a quand même une sacrée différence. Mais bon visiblement, tout le monde n’est pas d’accord là-dessus… Certes les mentalités évoluent dans le bon sens, mais il y en a qui évoluent moins vite que les autres (voire qui sont encore bloqués dans les années 50…).
Bref, ce qui est sûr, c’est que tant que certains n’auront pas compris que discriminer des gens déjà fortement discriminés, ce n’est pas de l’humour mais de la violence, alors ce genre de débat continuera à agiter le monde du libre !
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Le noyau Linux 6.16 est officiellement disponible, et cette nouvelle version stable, apporte son lot de nouveautés et d'améliorations : TCP zero-copy, etc.
The Network File System (NFS) is a widely used file-sharing protocol in Linux environments. However, many Windows administrators may not know you can mount an NFS share easily on Windows 11 and Windows Server. This guide shows you step-by-step instructions on activating NFS for Windows and mounting a share using PowerShell.