Le déplacement à Paris durant les Jeux olympiques de 2024 sera conditionné à la présentation d'un pass jeux, basé sur un QR Code. Ce pass sera requis dans certains périmètres de la capitale et de l'Île-de-France. La plateforme d'inscription pour le récupérer est désormais en ligne. Voilà les grandes lignes de son fonctionnement.
[Info Numerama] Le ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques nous a confirmé le piratage du compte X d'Amélie Oudéa-Castéra vendredi dernier. Le profil a été restauré depuis.
Cet article a été réalisé en collaboration avec pCloud
Entre -58 et -65 % : ce sont les remises impressionnantes que propose le fournisseur suisse pCloud sur ses formules de stockage à vie.
Cet article a été réalisé en collaboration avec pCloud
Il s’agit d’un contenu créé par des rédacteurs indépendants au sein de l’entité Humanoid xp. L’équipe éditoriale de Numerama n’a pas participé à sa création. Nous nous engageons auprès de nos lecteurs pour que ces contenus soient intéressants, qualitatifs et correspondent à leurs intérêts.
[Info Numerama] Le ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques nous a confirmé le piratage du compte X d'Amélie Oudéa-Castéra vendredi dernier. Le profil a été restauré depuis.
Vous en avez assez des moustiques qui vous empêchent de profiter de votre jardin ? Moi aussi ! Mais j’ai peut-être la solution pour vous : la borne anti-moustiques LAMI ! Et c’est même une entreprise française qui l’a inventée ^^.
Alors, qu’est-ce que c’est exactement ?
Et bien il s’agit d’une borne solaire qui imite la présence humaine pour attirer les moustiques et les piéger en utilisant des leurres olfactifs comme des phéromones et du CO2 pour faire croire aux moustiques qu’un délicieux repas les attend. Et quand ils s’approchent, surprise ! Ils se font aspirer dans un filet.
Rassurez-vous, la borne ne piège que les moustiques et pas les autres insectes utiles comme les abeilles ou les papillons. C’est un système très sélectif qui en plus fonctionne sur tous les types de moustiques, même les redoutables moustiques tigres qui nous pourrissent la vie.
Le top du top, c’est que cette borne est totalement autonome en énergie grâce à son panneau solaire et sa batterie. Vous pouvez même détacher le panneau pour le recharger au soleil tranquillement. Pratique si vous voulez déplacer la borne. Et niveau portée, on est sur un rayon d’action de 20 à 30 mètres. Largement suffisant pour protéger votre petit coin de paradis.
Maintenant, parlons un peu technique. Les leurres olfactifs, il faut les renouveler tous les mois et pour une efficacité optimale, il faut bien positionner la borne : près de la végétation mais pas trop proche de vos espaces de vie. Sinon, vous risquez d’attirer les moustiques vers vous au lieu de les piéger. Par contre, il faut être un peu patient et une fois la borne installée, comptez 2 à 4 semaines pour voir une réduction de 80% des moustiques. Le temps que les œufs éclosent et que les adultes se fassent avoir. C’est le cycle de la vie, on n’y peut rien. 🤷♂️
Mais ce qui est génial avec LAMI, c’est leur état d’esprit car ils ont carrément rendu les fichiers de construction de la borne accessibles à tous, gratuitement ! Vous pouvez les télécharger sur leur site web et fabriquer votre propre borne si vous êtes un peu bricoleur. C’est top pour la communauté des makers et des bidouilleurs. Et si le bricolage n’est pas votre truc, pas de souci, vous pouvez aussi acheter la borne en kit prête à monter.
Allez donc faire un tour sur leur site anti-moustiques-intelligent.com, pour y trouver plein d’infos sur le projet, l’équipe, le fonctionnement de la borne…etc. Je trouve cette initiative super cool car ils démocratisent une technologie efficace et écolo pour lutter contre les moustiques, tout en favorisant le partage et l’autonomie. C’est le genre de projet collaboratif que j’adore.
Allez, je vous laisse, je retourne entrainer mes grenouilles pour attraper les moustiques. Que la force soit avec vous dans cette guerre sans merci contre ces satanées bestioles !
Le label Made in France constitue bien souvent une manne financière pour les marques. Le petit drapeau bleu blanc rouge raconte, attire, séduit, même sur les vélos et VAE. Mais est-ce simplement de la poudre de perlimpinpin ?
Les réseaux privés virtuels (VPN) jouissent d'une notoriété croissante, mais il existe des usages en ligne qui ne sont pas neutres. Certaines activités peuvent ainsi avoir des répercussions judiciaires. L'occasion de faire le point sur le cadre légal des VPN en France.
L’émulation N64 a longtemps été limitée par des logiciels datant des années 2000, basés sur d’anciens systèmes de plugins. Mais ça, c’était avant !
Grâce à un nouvel outil révolutionnaire de « recompilation statique » baptisé N64: Recompiled et développé par le moddeur Wiseguy, on peut désormais transformer une ROM N64 en un exécutable Windows / Linux fonctionnel en quelques minutes seulement. Le premier projet exploitant cet outil s’appelle Zelda 64: Recompiled et permet de jouer nativement à Majora’s Mask (et bientôt Ocarina of Time) sur PC avec une foule d’améliorations.
Le principe est simple : l’outil traduit le code de la ROM en langage C pour qu’il puisse tourner sur un processeur moderne. À l’exécution, le rendu est converti en appels d’API bas niveau (Direct3D12 sous Windows, Vulkan sous Linux) grâce au moteur RT64. C’est une approche qui rappelle la couche de compatibilité Proton de Valve ou la Mega Man Legacy Collection.
Le résultat est bluffant : une précision quasi parfaite des effets spéciaux, une compatibilité totale avec les shaders et microcodes custom, des temps de chargement instantanés, une latence réduite au minimum… Le tout avec une stabilité à toute épreuve et des options pour jouer en 4K, ultrawide ou à plus de 60 FPS. De plus, le gyroscope est géré nativement sur les manettes compatibles, dont la Nintendo Switch Pro et la Steam Deck. Plus besoin de bidouiller des réglages pendant des heures !
Bien sûr, la recompilation n’est pas parfaite et nécessite encore quelques ajustements manuels, mais c’est sans commune mesure avec une décompilation complète qui peut prendre des années. La preuve, alors que le projet decompile Ocarina n’est pas terminé, Wiseguy a pu sortir un recomp jouable en seulement 2 jours ! Cela ouvre la voie à des portages de jeux N64 obscurs en un temps record.
Autre avantage : les recomps profitent directement des améliorations du moteur RT64, comme le ray tracing en temps réel, sans avoir à réécrire le code du jeu. C’est d’ailleurs prévu au programme, en plus du DLSS, des textures HD ou des caméras libres. De quoi redonner un sacré coup de jeune à ces classiques !
Évidemment, les portages « maison » type Ship of Harkinian restent pertinents avec leur approche plus fine et leur côté moddable à l’infini. Mais ces recomps offrent une alternative plus simple et rapide, idéale pour (re)découvrir les jeux dans les meilleures conditions. D’autant qu’ils tournent parfaitement sous Linux et Steam Deck !
Pour l’instant, seul le recomp Majora’s Mask est disponible, mais comme je le disais en intro, Ocarina of Time suivra bientôt. À terme, l’idée est de combiner les deux jeux dans un même launcher, de proposer des mods et des packs de textures, voire une version web pour jouer dans le navigateur. Si vous êtes développeur, vous pouvez même contribuer au projet sur GitHub et tenter de recompiler d’autres jeux. Les portes sont grandes ouvertes !
Les réseaux privés virtuels (VPN) jouissent d'une notoriété croissante, mais il existe des usages en ligne qui ne sont pas neutres. Certaines activités peuvent ainsi avoir des répercussions judiciaires. L'occasion de faire le point sur le cadre légal des VPN en France.
Pendant huit ans, un escroc a vendu du matériel informatique contrefait et déguisé en d'authentiques produits de fournisseurs officiels. Il est parvenu à tromper l'armée américaine avec ses faux équipements.
Si vous avez l'impression que les nouvelles voitures ne sont pas vraiment finalisées quand vous les achetez les premiers exemplaires, c'est parce que c'est souvent le cas. C'était en tout cas le thème choisi pour l'édito de la newsletter Watt Else du 9 mai.
Pendant huit ans, un escroc a vendu du matériel informatique contrefait et déguisé en d'authentiques produits de fournisseurs officiels. Il est parvenu à tromper l'armée américaine avec ses faux équipements.
Open WebUI débarque pour changer notre façon d’interagir avec Ollama grâce à une interface graphique intuitive et ergonomique ! Parce que l’IA, c’est cool, mais si c’est simple à utiliser, c’est encore mieux. Ollama pour rappel, c’est un outil qui permet de faire tourner des LLM en local et qui s’utilise soit via du code, soit directement en ligne de commande.
Avec Open WebUI, vous allez enfin avoir une interface web personnalisable avec votre thème, sombre pour les hackers en herbe ou clair pour les âmes sensibles, dans la langue de votre choix, de l’anglais au klingon en passant par le français, et vous pourrez ainsi causer avec Ollama comme si vous étiez sur ChatGPT. Avec le support de Markdown, de LaTeX et de la coloration syntaxique, vous pourrez même lui faire cracher du code et des formules mathématiques comme jamais.
Open WebUI permet même d’utiliser plusieurs modèles en parallèle, comparer leurs réponses, et même les faire discuter entre eux… Et si vous voulez de l’interaction plus poussée, lâchez-vous avec les fonctionnalités de Récupération Augmentée (RAG). Vous pourrez intégrer des documents externes dans vos conversations et même aller les chercher directement sur le web grâce à une fonction de navigation intégrée.
Avec l’outil de création de fichiers modèle (modelfiles), vous pouvez également définir des agents conversationnels sur mesure et les partager avec la communauté Open WebUI.
Bien sûr, comme tout bon logiciel qui se respecte, Open WebUI gère la reconnaissance vocale, la synthèse Text-to-Speech et même la génération d’images avec DALL-E et d’autres systèmes compatibles. Cadeau bonux, l’intégration avec les API compatibles OpenAI, pour encore plus de possibilités déjantées.
C’est open source, c’est puissant, c’est customisable à outrance alors que vous soyez un champion du dev ou comme moi, juste un curieux qui veut s’amuser avec l’IA, vous allez vous régaler.
Avant de vous lancer dans l’installation d’Open WebUI, assurez-vous d’avoir les prérequis suivants :
Docker installé sur votre machine
Une URL de base pour Ollama (OLLAMA_BASE_URL) correctement configurée
Pour configurer l’URL de base d’Ollama, vous pouvez soit la définir en tant que variable d’environnement, soit la spécifier dans un fichier de configuration dédié.
Une fois les prérequis remplis, vous pouvez procéder à l’installation d’Open WebUI en utilisant Docker :
docker run -d -p 3000:8080 --name open-webui --restart always ghcr.io/open-webui/open-webui:main
Cette commande va télécharger l’image Docker d’Open WebUI et lancer un conteneur accessible sur http://localhost:3000.
Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises de Subsonic, un logiciel qui permet de monter sur votre serveur un clone de Spotify / Deezer / Apple Music… Et évidemment, qui dit serveur, dit client !
Et l’un des meilleurs clients du moment, c’est Submariner. Il fonctionne sous macOS et va vous permettre d’écouter aussi bien votre musique que vos podcasts auto-hébergés.
Développé à l’origine par Rafaël Warnault, le projet était un peu en pause ces derniers temps mais depuis 2022, Calvin Buckley a repris le flambeau pour lui redonner une seconde jeunesse et l’adapter aux dernières versions de macOS et de Subsonic.
La nouvelle version 3.0 vient donc de sortir et c’est du lourd ! Fini Electron, on est sur du 100% natif (Swift) pour d’excellentes performances et une intégration parfaite à macOS. Ça respecte les conventions d’Apple jusqu’au bout des ongles.
Avec Submariner, vous allez pouvoir streamer votre bibliothèque musicale et vos podcasts depuis votre propre serveur Subsonic ou les alternatives compatibles comme Navidrome. C’est hyper simple à configurer, il suffit de rentrer l’URL de votre serveur, vos identifiants et c’est parti mon kiki !
L’interface est bien pensée avec un design aux petits oignons et vous y retrouverez vos artistes, albums et playlists directement dans une jolie sidebar. Vous pouvez mettre des likes sur vos morceaux et albums préférés, et ça se synchronisera directement avec le serveur.
Côté fonctionnalités, y’a de quoi faire : lecture des formats sans perte, mini-lecteur accessible par raccourci, AirPlay, illustrations des albums qui s’affichent en grand quand on clique dessus, gestion des podcasts, égaliseur, scrobbling (suivi automatique de vos habitudes), mode sombre… Et même le support d’AppleScript pour contrôler la lecture via vos propres scripts. Ça c’est cool pour ceux qui aiment bidouiller.
Puis les petits détails bien pratiques comme pouvoir glisser-déposer un morceau de l’appli vers une playlist, ou des fichiers sur l’icône du dock pour les importer dans la bibliothèque, le choix de l’ordre de tri des albums, la purge des fichiers téléchargés, le support du tactile avec les gestes de navigation…
BYD a de grandes ambitions pour sa branche européenne. La BYD Seagull pourrait notamment être l’arme la plus redoutable de BYD pour partir à la conquête de l’Europe et y devenir un leader avant 2030.
Tesla a acheté pour 2 millions d’euros de Lidar au premier trimestre 2024. Une logique qui déroute les analystes, imaginant déjà un changement de stratégie chez Tesla. Ce n'est pas forcément le cas.