Chaque année, l’offre de smartphones s’élargit avec l’arrivée de nouvelles générations qui partagent le catalogue avec d'anciens modèles. Entre performances, qualité photo, autonomie, suivi logiciel, intégration de l’IA, et surtout le prix, le choix n’a rien d’évident. Chez Numerama, nous testons des dizaines de modèles chaque année pour vous aider à y voir plus clair. Voici notre sélection des meilleurs smartphones à choisir en 2025.
Depuis 2024, les propriétaires d’iPhone et de smartphones Android peuvent enfin utiliser leur téléphone pour prendre le métro, le tramway ou le bus en région Île-de-France. On peut aussi acheter un titre ou un forfait dématérialisé directement sur notre appareil. Voici comment faire.
Dès le 20 du mois précédent, il est possible d'utiliser son smartphone pour renouveler son passe Navigo mensuel (et ainsi éviter la queue aux distributeurs de la RATP). Les personnes qui le souhaitent peuvent aussi créer un passe virtuel sur leur smartphone.
Spotify à 12 balles par mois, YouTube Music et Apple Music qui vous taxe 11 euros… Franchement, à ce rythme, écouter de la musique va bientôt nécessiter un crédit à la conso chez Cofidrisse. Heureusement, un développeur nommé Valeri Gokadze a décidé de renverser la table avec Musify, une app de streaming musical complètement gratuite et open source qui fait tout pareil, mais sans vous demander un rond.
Car oui, pourquoi payer pour accéder à de la musique qui est déjà disponible publiquement ? L’app utilise les API de Piped (un frontend alternatif pour YouTube respectueux de la vie privée) pour streamer directement les morceaux depuis YouTube Music. Du coup, vous avez accès à des millions de titres sans pub, sans compte, sans abonnement et sans que Google ne vous traque comme un lapin dans la forêt.
Développée en Flutter, cette petite merveille tourne sur Android et propose des fonctionnalités qui feraient pâlir les géants du secteur. Un mode hors ligne pour écouter votre musique sans connexion, la possibilité de créer des playlists personnalisées, mais également les paroles synchronisées pour vos karaokés solo, et du SponsorBlock pour zapper automatiquement les segments sponsors dans les podcasts. Ah et cerise sur le gâteau, l’interface
Material Design
s’adapte dynamiquement aux couleurs de votre fond d’écran si vous êtes sur Android 12 ou plus.
Les dev ont porté beaucoup d’attention aux détails d’ailleurs… L’app propose 21 langues différentes, un thème noir pur pour les écrans OLED, et même un système d’import/export de vos données pour ne jamais perdre vos playlists. Les audiophiles apprécieront également l’optimisation sonore intégrée, tandis que les paranos de la vie privée seront ravis d’apprendre qu’il n’y a absolument aucun tracking. Pas besoin des services Google, pas de collecte de données, nada.
Bref, Musify offre une expérience fluide et agréable pour streamer de la musique, rendant la découverte de nouveaux morceaux simple et la lecture sans effort. L’app fonctionne même quand votre téléphone est verrouillé avec les contrôles média sur l’écran de verrouillage, même si le changement de piste peut parfois être un peu lent.
Pour installer Musify, vous avez maintenant plusieurs options. La plus simple reste
F-Droid
, sinon, vous pouvez récupérer les dernières versions directement sur
GitHub
ou sur
le site officiel du projet
. Vous téléchargez l’APK, autorisez l’installation depuis des sources inconnues, et c’est parti mon kiki !
L’app n’est disponible que sur Android pour le moment (désolé les utilisateurs d’iPhone), et comme elle dépend de YouTube pour le contenu, certains morceaux peuvent parfois être indisponibles selon votre région, mais franchement, pour une app gratuite, sans pub et open source, c’est difficile de faire la fine bouche.
Puis le code est complètement ouvert sous licence GPL v3 donc vous pouvez le forker, le modifier, l’améliorer, et pourquoi pas créer votre propre version.
Bref, si vous en avez marre de jongler entre vos abonnements streaming ou si vous cherchez simplement une alternative éthique et gratuite,
Musify
mérite clairement le détour.
Il est possible de répliquer la fonction AirDrop de l'écosystème Apple entre un smartphone Android et un Mac. Cela vous permet d'envoyer des fichiers sans fil entre vos différents appareils. On vous explique comment.
Avec nos smartphones, on passe notre vie le nez collé sur l’écran, à tapoter par ici, swipper par là, enchainant les manips pour planifier un trajet, répondre à un message ou commander un truc et parfois… ça peut être assez répétitif.
Heureusement, Ayush Chaudhary vient de sortir un truc qui pourrait changer vos intéractions avec votre smartphone. Cela s’appelle
Panda
, et c’est une IA qui contrôle votre téléphone Android à votre place.
Le slogan du projet m’a fait sourire : “You touch grass. I’ll touch your glass.” En gros, pendant que vous profitez de la vraie vie allongé dans l’herbe, Panda se charge de toucher votre écran pour vous. Sympa comme philosophie, non ?
Concrètement, Panda c’est donc un agent IA qui comprend vos instructions en langage naturel et qui manipule l’interface de votre téléphone exactement comme vous le feriez. Vous lui dites “commande-moi une pizza margherita sur Uber Eats pour ce soir” et hop, il ouvre l’app, navigue dans les menus, sélectionne la pizza, valide la commande. Tout ça sans que vous ayez à lever le petit doigt.
Ce que je trouve cool dans ce projet, c’est son architecture multi-agents, car Panda n’est pas juste un gros modèle monolithique. En fait, il s’agit de 3 composants qui bossent ensemble. Il y a d’abord, les Eyes & Hands, basés sur le service d’accessibilité d’Android, qui lui permettent de voir et toucher l’écran. Ensuite The Brain, le LLM qui analyse et prend les décisions. Et enfin The Agent, l’exécuteur qui orchestre le tout avec un système de notes pour mémoriser les actions.
Ce projet utilise les modèles Gemini de Google pour la partie intelligence artificielle donc il vous faudra une clé API. D’ailleurs, plus vous renseignez de clés API Gemini différentes dans la config, plus Panda sera rapide. Petite astuce pour contourner le rate limiting !
Pour l’instant, Panda est encore en phase de proof-of-concept. Vous pouvez bien sûr le compiler vous-même à partir des sources mais pour ce qui est de l’APK end-user prêt à consommer, le développeur a mis en place pour le moment un programme de test fermé via un
formulaire Google
et un
serveur Discord
pour la communauté. En tout cas, les premières démos sont impressionnantes. Par exemple dans cette vidéo, on voit Panda enchaîner 5 tâches complexes d’affilée sans broncher.
Si vous voulez le tester (donc le compiler vous-même) il vous faudra Android Studio, un appareil avec l’API 26 minimum, et bien sûr des clés API Gemini. Le code est entièrement écrit en Kotlin, ce qui garantit de bonnes performances sur Android et une fois installé, il faut juste activer le service d’accessibilité dans les paramètres du téléphone pour que Panda puisse prendre les commandes.
Alors bien sûr, ça soulève des questions de sécurité car onner un accès complet à son téléphone à une IA, c’est pas rien. Mais le fait que tout tourne en local sur l’appareil est quand même rassurant. Puis c’est open source sous licence MIT, donc au moins on peut vérifier ce que fait le code.
Dans le contexte actuel où
OpenAI
et
Anthropic
sont tous les deux sur le coup pour automatiser des tâches grâce à l’IA dans le navigateur Desktop, Panda arrive pile au bon moment pour remplir ce vide sous Android. Et comme c’est open source c’est encore mieux, forcement… ^^
Voilà, donc si vous êtes développeur Android et que le projet vous intéresse, je vous encourage à y jeter un œil.
Malgré un petit nombre d'évolutions entre le Pixel 9 Pro et le Pixel 10 Pro, Google réussit une nouvelle fois à proposer l'un des meilleurs smartphones du marché, si ce n'est le meilleur. Les Pixel 10 Pro et Pixel 10 Pro XL, à 1 099 euros et 1 299 euros, n'ont rien à envier aux iPhone comme aux Samsung Galaxy.
[Deal du jour] Lancé il y a seulement quelques semaines, le Nothing Phone (3) passe déjà sous la barre des 650 €. Une chute de prix précoce qui vient bousculer les iPhone 16, Galaxy S25 et compagnie.
Android : à partir de septembre 2026, les développeurs devront faire vérifier leur identité, même pour les applications distribuées en dehors du Play Store.
Google c’est trop des dingos. Du jour au lendemain, ils transforme un écosystème entier juste parce que ça les fait marrer. Bon, j’abuse un peu, mais par exemple, hier, ils ont décider de s’attaquer à un problème épineux : Comment faire le ménage dans l’univers des apps Android sans pour autant tuer la poule aux oeufs d’or ?
Et leur solution ça va être
d’exiger la vérification de l’identité des développeurs
pour TOUTES les installations d’applications sur les appareils Android certifiés. Et quand je dis toutes, c’est vraiment toutes : Play Store, stores tiers, et même le fameux sideloading. Oui, je sais, ça vous stresse un peu, mais vous allez voir, c’est pour le bien de tout le monde.
Pour comprendre l’ampleur du changement, il faut savoir que jusqu’à présent, seuls les développeurs du Play Store devaient passer par cette vérification.
Selon Android Authority
, Google étend maintenant ce système à tous les canaux de distribution Android avec pour objectif de combattre les malwares et les arnaques financières qui pullulent dans l’écosystème.
Le processus de vérification lui-même ressemble à “un contrôle d’identité à l’aéroport”, selon Google. Il s’agit de confirmer l’identité du développeur sans pour autant examiner le contenu des applications. Notez qu’il y aurait 50 fois plus de malwares provenant du sideloading que du Play Store, donc c’est peut-être pas une si mauvaise idée.
Google a même prévu un système séparé pour les étudiants et les développeurs amateurs puisque ces derniers bénéficieront d’un processus de vérification allégé, différent de celui imposé aux développeurs commerciaux. C’est pas con, je trouve car ça évite d’écraser la créativité et l’apprentissage sous le poids des contraintes administratives. Donc normalement, vous pourrez toujours vous dev une app custom rien que pour vous sans que ce soit trop contraignant.
Cette mesure s’appliquera dès 2026, mais ça va se passer en plusieurs étapes. D’abord il va y avoir un programme d’accès anticipé en octobre 2025 pour les développeurs motivés, puis ensuite une ouverture complète du processus de vérification en mars 2026. Les premiers utilisateurs concernés seront au Brésil, en Indonésie, à Singapour et en Thaïlande dès septembre 2026, avant un déploiement final mondial en 2027.
Pour les développeurs déjà présents sur le Play Store, la transition devrait être relativement douce car la plupart remplissent probablement déjà les critères de vérification. La nouvelle Android Developer Console, spécialement conçue pour ceux qui ne distribuent que hors du Play Store, nécessitera les informations légales habituelles, un
numéro D-U-N-S
pour les organisations, et évidemment des frais de 25 dollars.
Google assure que leur but n’est pas de contrôler le contenu des applications, mais bien de s’assurer qu’on sache qui se cache derrière chaque app. D’ailleurs, les autorités gouvernementales des pays pilotes ont accueilli favorablement cette initiative, y voyant un moyen de protéger les utilisateurs tout en préservant l’ouverture d’Android.
Maintenant, reste à voir si l’écosystème suivra le mouvement ou si y’aura de la résistance…
Si vous êtes dans le reverse engineering sur mobile et que vous ne connaissez pas encore Frida CodeShare, préparez-vous à découvrir votre nouveau terrain de jeu préféré les amis ! Faut imaginer un GitHub ultra spécialisé où les développeurs du monde entier déposent leurs meilleurs scripts Frida, prêts à être utilisés en une seule commande.
Comme ça, au lieu de réinventer la roue à chaque fois que vous voulez contourner un SSL pinning ou tracer des appels de méthodes, vous piochez directement dans une bibliothèque de scripts éprouvés.
Pour ceux qui découvrent, Frida est un toolkit d’instrumentation dynamique qui vous permet d’injecter du JavaScript dans n’importe quel processus, sans avoir besoin du code source. Ça fonctionne sur Windows, macOS, Linux, iOS, Android, et même FreeBSD. Le truc magique, c’est que Frida injecte QuickJS directement dans le processus cible, ce qui vous donne un accès total à la mémoire et la possibilité de hooker des fonctions natives.
Frida a la capacité à fonctionner dans trois modes différents : Injected (le plus courant), Embedded et Preloaded via le Frida Gadget. Sur Android, vous pouvez même l’utiliser sans être root en utilisant frida-gadget sur une app debuggable.
Pour iOS, l’histoire est un peu différente mais tout aussi cool car Frida supporte les modes jailed et jailbroken, avec évidemment plus de possibilités sur un appareil jailbreaké. Sur iOS 13 et plus récent, vous pouvez par exemple utiliser Frida en mode jailed avec des builds debuggables, ce qui ouvre la porte à l’analyse même sur des appareils non-jailbreakés.
Les bindings disponibles montrent aussi la versatilité de l’outil puisque vous pouvez l’utiliser depuis Node.js (npm), Python (PyPI), Swift, .NET, Qt/Qml, Go, ou directement via l’API C. Cette diversité permet à chaque développeur de travailler dans son environnement préféré.
Maintenant, ce qui rend CodeShare puissant, c’est en réalité son intégration native avec Frida. Pas besoin de télécharger manuellement les scripts, il suffit de lancer :
… et boom, vous interceptez le trafic HTTPS comme si de rien n’était.
Les scripts les plus populaires sur la plateforme sont tous les scripts de contournement SSL (un véritable cauchemar pour les développeurs qui pensent que leur certificate pinning est inviolable) mais aussi les scripts pour observer toutes les méthodes d’une classe spécifique, tracer les appels JNI, ou même désactiver la vérification TLS de Flutter, et j’en passe…
Pour les développeurs Android, l’écosystème est particulièrement riche. Le dépot frida-codeshare-scripts rassemble par exemple une collection impressionnante de scripts utiles, organisés par catégorie. Vous y trouvez par exemple des scripts pour dumper la mémoire avec Fridump (python3 fridump.py -U -o memory_dump <app-name>), tracer les accès au système de fichiers, ou même observer les communications réseau en temps réel.
D’autres outils complémentaires enrichissent encore plus l’écosystème. Je pense par exemple à Medusa, un excellent wrapper Frida avancé avec une base de données de scripts utiles exécutables par commande. Il y a aussi des interfaces web user-friendly qui rendent le filtrage et l’exécution de scripts beaucoup plus simple qu’en ligne de commande. Et frida-rust maintient des sessions persistantes avec les applications, augmentant la vitesse d’exécution de plusieurs fois par rapport aux méthodes traditionnelles.
Maintenant, si vous voulez commencer avec CodeShare, le plus simple est de cloner quelques repositories de référence comme hyugogirubato/Frida-CodeShare. Chaque script est dans son propre répertoire avec un README qui explique son utilisation. C’est parfait pour comprendre comment les scripts fonctionnent et les adapter à vos besoins spécifiques.
Bref, je trouve que cette histoire de CodeShare sont vraiment cool car ça démocratise le reverse engineering en plus de faire gagner du temps. Plus besoin d’être un expert en assembleur ARM pour analyser une app Android par exemple.
Le 20 août 2025 a décidément été une grosse journée pour Google. Alors que l'entreprise américaine dévoilait en grande pompe son nouveau smartphone Pixel 10, une nouvelle application est apparue en catimini sur Google Play : un gestionnaire de mots de passe. Un outil qui répond à un besoin essentiel pour les utilisateurs Android.
Le 20 août 2025 a décidément été une grosse journée pour Google. Alors que l'entreprise américaine dévoilait en grande pompe son nouveau smartphone Pixel 10, une nouvelle application est apparue en catimini sur Google Play : un gestionnaire de mots de passe. Un outil qui répond à un besoin essentiel pour les utilisateurs Android.
Officiellement promu par la famille du président américain, le Trump T1 est un appareil mystérieux aux caractéristiques contradictoires. Les dernières images publiées en ligne montrent un Samsung Galaxy S25 Ultra avec une coque Spigen, ce qui n'a pas tardé à faire réagir l'accessoiriste.
Vous savez ce qui pousse des ingénieurs bien payés d’Amazon Web Services à tout plaquer ? C’est l’écœurement total face à ce qu’ils appellent “l’économie de la surveillance”.
Et c’est exactement ce qui est arrivé à Mohammed, Murtaza et Santhosh en 2019 qui selon leur propre témoignage, ont donc abandonné leurs postes confortables chez AWS, IBM et Scientific Games par, je cite, “un dégoût de l’économie de de la surveillance et par la frustration devant le manque d’app de sécurité faciles à utiliser pour les 3 milliards d’utilisateurs d’Android sans méfiance”.
Le produit de cette rébellion s’appelle donc RethinkDNS, et c’est une app qui fait quelque chose d’assez unique puisqu’elle transforme votre téléphone Android en forteresse, sans jailbreak, sans demander les droits root et sans vous noyer sous les options techniques.
Concrètement, l’app intercepte tout votre trafic réseau via une connexion VPN locale (qui ne sort pas de votre téléphone) et à partir de là, elle peut analyser chaque connexion, bloquer les traqueurs au niveau DNS, ou carrément empêcher certaines apps de se connecter à Internet.
D’après leur propre analyse, 60% du trafic d’un téléphone Android typique part vers des réseaux publicitaires et des traqueurs connus. Du coup, RethinkDNS vous montre tout ça en temps réel, avec des logs détaillés de qui se connecte où et quand. Concernant la partie DNS, ça utilise du chiffrement DNS-over-HTTPS vers leurs serveurs déployés dans plus de 300 endroits via Cloudflare Workers, mais vous pouvez aussi configurer n’importe quel autre resolver DNS chiffré si vous préférez.
Le firewall par app est également très malin puisqu’au lieu de bloquer des ports ou des IP comme un firewall traditionnel, il identifie quelle app génère quelle connexion et vous laisse décider. Une calculatrice qui veut se connecter à Internet ? C’est chelou, alors on bloque la connexion ! Une application Réveil Matin qui envoie vos données ? Allez, hop, bloquée aussi.
Y’a pas de configuration complexe, pas de certificats à installer, pas de bricolage. RethinkDNS, c’est juste une interface claire qui vous fait du DNS privé et sécurisé tournant à la vitesse de l’éclair, mais surtout (et c’est là que ça devient fun) vous pouvez aussi créer vos propres règles custom pour bloquer ce qui vous gonfle. Genre, vous voulez bloquer Facebook pendant vos heures de boulot ? Hop, une petite règle temporelle et c’est réglé !
Et si vous êtes du genre parano (ou juste prudent, hein), vous avez plus de 190 listes de blocage toutes prêtes pour dégager les pubs, les trackers et autres joyeusetés du web. Le tout avec des stats pour voir exactement ce qui se passe sous le capot.
L’app est disponible sur F-Droid et Google Play, entièrement open source. Le code source révèle d’ailleurs une architecture intéressante puisqu’ils ont forké le ce projet de Google et l’ont considérablement étendu.
Niveau alternatives, on retrouve généralement Portmaster, AdGuard et NextDNS comme principales concurrents même si RethinkDNS a l’avantage d’être gratuit, sous licence libre, et de ne pas limiter le nombre de requêtes DNS.
Leur modèle économique est d’ailleurs intéressant puisque l’app reste gratuite, mais ils proposent des services cloud payants pour ceux qui veulent des listes de blocage personnalisées ou du proxying avancé. Donc voilà, pas de marketing anxiogène mais juste des outils pour que vous puissiez décider par vous-même.
Dévoilé en 2020, le Escobar Fold 2 se présentait comme un concurrent du Samsung Galaxy Fold aux couleurs du trafiquant Pablo Escobar. Après plusieurs polémiques, une extraction et une enquête internationale, son créateur a finalement reconnu avoir conçu une vaste arnaque.