Vous aussi vous avez un dossier « Notes » qui ressemble à un cimetière d'idées ? Des fichiers texte avec des noms genre « truc_important.txt » ou « a_voir_plus_tard.md » que vous n'avez jamais revus depuis 2019 ? Hé bien j'ai ce qu'il vous faut pour enfin donner un sens à tout ce bordel !
Blinko
c'est une app de prise de notes qui utilise l'IA pour vous aider à retrouver ce que vous avez noté, même quand vous avez complètement oublié les mots exacts que vous aviez utilisés. Le principe c'est du RAG (Retrieval-Augmented Generation), c'est-à-dire que l'IA va fouiller dans toutes vos notes et vous ressortir les infos pertinentes quand vous posez une question. Genre « c'était quoi ce truc que j'avais noté sur les serveurs NAS ? » et hop, l'IA vous retrouve tout.
Et le truc cool c'est que ça tourne 100% en local sur votre serveur. Pas de cloud américain de Donald, pas de données qui se baladent chez les affreux OpenAI ou Google... vos notes restent bien au chaud chez vous. Pour ceux qui comme moi sont un peu paranos avec leurs données perso, c'est exactement ce qu'il nous faut les amis !
L'interface est super clean avec deux modes de saisie. Y'a d'abord le mode « Blinko » pour les notes éphémères qui s'archivent automatiquement au bout d'un moment, genre une idée qui vous passe par la tête ou un truc à faire. Et y'a le mode « Note » pour les contenus permanents que vous voulez garder sur le long terme, avec du Markdown, des images, et tout ça. Du coup vous pouvez aussi bien capturer une pensée qui vous traverse que rédiger un article entier.
Côté installation, c'est du Docker avec un script qui fait tout pour vous. Une ligne de commande et c'est parti :
Le script va alors vous configurer tout le bazar avec PostgreSQL derrière (obligatoire pour la base de données). Y'a aussi Docker Compose si vous préférez personnaliser, tout est documenté sur le repo.
Une fois lancé, vous accédez à l'interface sur le port 1111 et vous pouvez commencer à balancer vos notes. Y'a même une démo en ligne sur
demo.blinko.space
(test / test) si vous voulez tester avant de vous lancer.
Le projet est open source sous licence GPL-3.0, c'est codé en TypeScript avec Next.js et comme je vous le disais, PostgreSQL derrière, donc c'est du solide. Et y'a même des apps natives pour macOS, Windows, Android et même Linux via Tauri si vous voulez un truc plus intégré que le web.
Bref, si vous cherchez une solution de prise de notes self-hosted avec de l'IA intégrée pour enfin retrouver ce que vous avez noté il y a 3 ans, Blinko c'est le top du top !
Vous avez déjà fait transcrire une interview ou un podcast par un service en ligne ? Vous savez, ces trucs qui vous demandent de créer un compte, de filer votre carte bleue, et d'accepter que vos fichiers audio soient envoyés sur des serveurs quelque part dans le cloud américain pour être analysés par des IA qu'on ne connaît pas. Le tout pour 100 balles par an si vous avez de la chance, et beaucoup plus si vous dépassez le quota ridicule de 20 heures par mois...
Hé bien y'a une alternative qui va vous plaire :
Scriberr
! C'est une app de transcription audio complètement open source et surtout, qui tourne 100% en local sur votre machine. Pas de cloud, pas de données qui se baladent, pas d'abonnement mais juste vous, avec votre serveur (ou votre laptop si vous avez un GPU correct), et vos fichiers audio qui restent bien au chaud chez vous.
Scriberr utilise des modèles de reconnaissance vocale de pointe comme NVIDIA Parakeet, Canary ou les fameux modèles Whisper. Du coup la qualité de transcription est vraiment au niveau des services payants, voire meilleure sur certains accents ou langues moins courantes. Et cerise sur le gâteau, vous avez l'alignement temporel au niveau du mot, ce qui veut dire que vous pouvez savoir exactement à quelle seconde chaque mot a été prononcé.
Mais le truc qui m'a vraiment tapé dans l’œil avec cet outil, c'est la détection automatique des locuteurs. Vous savez, cette fonctionnalité qu'on appelle "diarization" dans le jargon et qui permet d'identifier qui dit quoi dans une conversation. Comme ça, fini les transcriptions où tout le monde parle mais on ne sait pas qui c'est. Là, Scriberr vous découpe tout proprement avec des étiquettes pour chaque intervenant.
Et comme si ça suffisait pas, y'a aussi l'intégration avec Ollama ou n'importe quelle API compatible OpenAI. Du coup vous pouvez non seulement transcrire vos enregistrements, mais aussi leur poser des questions, générer des résumés, ou carrément avoir une conversation avec le contenu de vos transcriptions. Genre vous demandez "c'est quoi les points clés de cette réunion ?" et hop, l'IA vous fait un résumé. Pratique pour les feignasses comme moi qui détestent se retaper 2 heures de réunion pour retrouver une info.
Côté installation, c'est du Docker classique ou alors Homebrew si vous êtes sur Mac. Un petit
`brew tap rishikanthc/scriberr && brew install scriberr`
et c'est parti mon kiki. Pour Docker, y'a des images pour CPU et GPU (CUDA), et ça supporte toutes les générations de cartes NVIDIA depuis les GTX 1000 jusqu'aux RTX 50 series toutes récentes.
Le premier lancement peut prendre quelques minutes parce que ça télécharge les modèles de reconnaissance vocale, mais une fois que c'est fait, les relances suivantes sont quasi instantanées. Y'a même un Folder Watcher qui surveille un dossier et transcrit automatiquement tout ce qui arrive dedans, parfait si vous voulez brancher ça sur un workflow automatisé avec n8n ou autre.
Bref, si vous êtes podcaster, journaliste, chercheur, ou juste quelqu'un qui a régulièrement besoin de transcrire des trucs sans vouloir filer ses données à Google ou payer un abonnement, Scriberr c'est exactement ce qu'il vous faut. C'est du self-hosting comme on l'aime, c'est à dire open source, respectueux de la vie privée, et qui fait le taf sans chichi.
Vous utilisez Word pour bosser et j’imagine que vous avez vu passer le fameux Copilot de Microsoft à 30 balles par mois pour les pros ? Ouais, ça pique un peu le porte-monnaie surtout quand on a déjà nos propres clés API OpenAI ou Gemini qui traînent et sur lesquelles on claque un smic tous les mois.
Hé bien Word GPT Plus c'est justement un add-in open source qui intègre l'IA directement dans Microsoft Word, et qui vous permet d'utiliser vos propres clés API au lieu de payer un énième abonnement. Avec ça, vous pouvez générer du texte, traduire, résumer, reformuler... le tout sans quitter votre document.
Mais le truc vraiment cool, c'est le mode Agent. Là, l'IA a accès à plein d'outils qui lui permettent de manipuler directement votre document Word. Genre insérer du texte, formater des paragraphes, créer des tableaux, gérer les signets, faire des rechercher-remplacer... Vous lui dites "formate tous les titres de section en Heading 2" et hop, c'est fait. C'est pas juste un chatbot dans une sidebar, c'est carrément un assistant qui peut agir sur votre document.
Côté fournisseurs IA, vous avez le choix entre OpenAI (GPT-4, GPT-3.5, et même les modèles compatibles comme DeepSeek), Azure OpenAI si vous êtes en entreprise, Google Gemini, Groq pour les modèles Llama et Qwen, et même Ollama si vous voulez faire tourner vos LLM en local sans envoyer vos données quelque part. Et ça, c'est top pour ceux qui bossent sur des documents confidentiels.
Y'a aussi des Quick Actions bien pratiques genre traduction en plus de 40 langues, amélioration de texte, réécriture académique, résumé automatique, correction grammaticale... Bref, les classiques mais directement accessibles dans Word.
Pour l'installer, c'est hyper simple. Vous téléchargez le fichier manifest.xml depuis le repo GitHub, vous le mettez dans un dossier partagé sur votre machine, et vous l'ajoutez dans Word via Insertion > Mes compléments > Dossier partagé. Pas besoin de coder quoi que ce soit. Y'a aussi une option Docker pour ceux qui veulent l'héberger eux-mêmes ou le déployer sur un serveur.
Niveau vie privée, vos clés API et vos prompts perso sont stockés localement dans le navigateur intégré à l'add-in Word. Y'a pas de serveur intermédiaire qui récupère vos données, sauf si vous configurez vous-même un proxy. Vos documents restent ainsi bien au chaud chez vous.
Par contre, faut Word 2016 minimum, Word 2019, 2021 ou Microsoft 365 sur Windows. Et ça marche uniquement avec les fichiers .docx.
Bref, si vous voulez avoir ChatGPT ou Gemini directement dans Word sans vous ruiner avec un abonnement Copilot, c'est exactement ce qu'il vous faut. Et comme c'est open source sous licence MIT, vous pouvez auditer le code si vous êtes du genre méfiant.
Vous jouez à Rainbow Six Siege ? Hé bien félicitations, vous êtes maintenant virtuellement millionnaire ! Enfin... l'étiez, parce que tout ça va être annulé.
Rainbow Six Siege X, le jeu d'Ubisoft victime d'un hack massif
Ce week-end, Ubisoft s'est fait pirater comme des jambons et pas qu'un peu. Des hackers ont réussi à distribuer 2 milliards de R6 Credits à TOUS les joueurs du jeu. Au tarif Ubisoft (15 000 crédits pour 99,99 dollars), ça représente environ 13,33 millions de dollars de monnaie virtuelle offerte gracieusement. Sympa les pirates ^^
Mais attendez, c'est pas tout ! Les attaquants ont également débloqué absolument tous les cosmétiques du jeu pour tout le monde, y compris les skins réservés aux développeurs que personne n'était censé avoir. Et pour couronner le tout, ils se sont amusés avec le système de bannissement du jeu. Résultat, des milliers de joueurs se sont retrouvés bannis puis débannis au hasard, pendant que le fil d'actualité des bans affichait des messages satiriques visant Ubisoft et ses dirigeants.
Les messages de ban détournés par les hackers formaient des phrases trop "golri", arf arf... (
Source
)
Du coup, le streamer KingGeorge a immédiatement lancé l'alerte : "Ne vous connectez pas au jeu, ne dépensez pas de Renown, ne dépensez pas de Rainbow Credits". Sage conseil, parce que par le passé, Ubisoft a déjà banni des joueurs pour leurs propres erreurs. Pas cool.
Peu après le début du bordel, Ubisoft a donc coupé les serveurs et la marketplace pour tenter de contenir les dégâts. Les serveurs de Rainbow Six Siege sont toujours hors ligne au moment où j'écris ces lignes, sans ETA de retour. La bonne nouvelle, c'est qu'Ubisoft a confirmé qu'aucun joueur ne sera banni pour avoir dépensé les crédits reçus pendant l'incident, et qu'un rollback de toutes les transactions depuis 11h UTC est en cours.
Maintenant, le truc vraiment chaud c'est la méthode utilisée car selon le groupe de recherche en sécurité VX-Underground, plusieurs groupes de hackers auraient exploité Ubisoft en même temps. L'un d'eux aurait utilisé une faille MongoDB récemment découverte, baptisée MongoBleed (CVE-2025-14847). Cette vulnérabilité permet à n'importe qui de siphonner la mémoire des serveurs MongoDB exposés, récupérant au passage des credentials, des tokens d'authentification et des clés. Un PoC public circule depuis le 26 décembre et environ 87 000 instances MongoDB seraient vulnérables dans le monde (mettez à jour, hein !!).
Un autre groupe prétend avoir aussi utilisé cette faille pour se balader dans les dépôts Git internes d'Ubisoft et voler des archives de code source remontant jusqu'aux années 90. Ces affirmations restent non vérifiées pour l'instant, mais si c'est vrai, c'est du lourd...
Bref, si vous avez un compte Ubisoft, je vous conseille vivement de changer votre mot de passe et de retirer vos moyens de paiement enregistrés, au cas où. Et pour Rainbow Six Siege, patience, ça va revenir... probablement avec un rollback qui effacera tous ces beaux cadeaux empoisonnés.
Vous connaissez l'histoire de la NES ? Celle du petit robot R.O.B. qui a aidé à ressusciter l'industrie du jeu vidéo américaine en 1985 ? Hé bien la
Video Game History Foundation
vient de sortir un documentaire d'une heure qui raconte tout ce qu'on ne vous a jamais dit sur le lancement de cette console mythique. Et dedans, y'a des révélations qui font mal ^^.
Frank Cifaldi, le fondateur de la VGHF, a passé des années à fouiller cette histoire. Il a rencontré des gens qui étaient chez Nintendo à l'époque, il a déterré des documents que personne n'avait jamais vus, il a même manipulé des prototypes qui n'auraient jamais dû survivre. Et le résultat, c'est cette plongée incroyable dans les coulisses d'un des plus grands paris de l'histoire du gaming.
Alors remontons au printemps 1983... Nintendo négocie avec Atari, le géant de l'époque, pour leur refiler les droits de distribuer la Famicom dans le monde entier. Hé oui, en interne, Atari avait même donné un nom de code au projet : "3600". L'idée, c'était d'intégrer la technologie Nintendo dans un boîtier plastique Atari existant. Le deal était quasiment signé, et les deux boîtes s'étaient mises d'accord sur tout : Nintendo fabriquerait les composants, Atari les revendrait sous sa marque. Ils avaient même commencé à convertir des jeux arcade (Millipede, Joust et Stargate) pour le système.
Et puis tout s'est cassé la gueule au CES de 1983. Atari a vu Coleco montrer un prototype de Donkey Kong sur leur ordinateur Adam, et ils ont pété un câble. Ils pensaient que Nintendo les avait doublés en refilant les droits à un concurrent. En réalité, c'était juste un malentendu sur les licences
ColecoVision
, mais le mal était fait. Le président de Nintendo, Hiroshi Yamauchi, a tellement gueulé sur les représentants de Coleco sur le salon que tout le monde s'en souvient encore.
Ça a contribué à torpiller les négociations, et dans le contexte des turbulences internes chez Atari, le deal n'a jamais abouti. Atari, qui évaluait également le système MARIA de GCC en parallèle, s'est finalement concentré sur ce qui deviendra l'Atari 7800. Et Nintendo s'est retrouvé tout seul, obligé de se débrouiller.
Et c'est là que ça devient vraiment intéressant parce que Nintendo of America, c'était une petite boîte de rien du tout à l'époque. Quelques dizaines d'employés dont le boulot principal consistait à importer des bornes d'arcade japonaises. Ils n'avaient aucune idée de comment vendre une console de salon aux États-Unis.
Alors ils ont fait appel à Lance Barr, un designer industriel, pour repenser complètement la Famicom. Et le mec a créé un design qui ressemblait plus à une chaîne hi-fi haut de gamme qu'à une console de jeux. Le prototype s'appelait l'AVS (Advanced Video System). C'était un truc tout en finesse avec des manettes sans fil, un clavier, un magnétophone à cassettes, et une esthétique empilable façon chaîne hi-fi. Les photos de l'époque sont magnifiques, on croirait du design scandinave ^^.
Le prototype AVS de Nintendo, avec son design hi-fi et ses manettes sans fil (
Source
)
Sauf que personne n'en voulait. Nintendo a fait des tests consommateurs, et les gamins (et leurs parents) trouvaient le concept de programmation barbant. Ils aimaient bien l'idée des manettes sans fil et de l'empilement des boitiers, mais coder / modifier soi-même ses propres jeux en Basic ? Grosse flemme...
En plus, le marché américain était en plein crash. Les magasins croulaient sous les invendus de jeux Atari bradés, et personne ne voulait entendre parler d'une nouvelle console. Tous les détaillants que Nintendo rencontrait leur disaient la même chose : le jeu vidéo, c'est mort, c'était une mode passagère, passez votre chemin (tiens ça me rappelle quelque chose plus actuel... lol).
Alors Nintendo a tout viré. Plus de manettes sans fil, plus de clavier, plus de magnétophone. Ils ont gardé uniquement le robot R.O.B. comme cheval de Troie. L'idée, c'était de faire croire aux magasins de jouets qu'ils vendaient un robot high-tech, et pas une console de jeux.
Et ça a marché, les amis !!
Une armée de R.O.B., le robot qui a permis à Nintendo d'infiltrer les magasins de jouets (
Source
)
Puis en octobre 1985, Nintendo a lancé la NES dans la région de New York avec une garantie de rachat pour les détaillants : si ça ne se vendait pas, ils reprenaient tout. L'équipe a bossé comme des dingues depuis un entrepôt minable du New Jersey, infesté de rats et de serpents. Il y a même eu un ouragan pendant le lancement. Du grand n'importe quoi.
Le présentoir NES chez FAO Schwarz en 1986 (
Source
)
Mais le plus fou dans cette histoire, c'est le fameux chip CIC, le "lockout chip" qui empêchait de jouer à des jeux non autorisés par Nintendo. Et devinez d'où venait cette idée ? D'Atari eux-mêmes ! Lors des négociations de 1983, quelqu'un chez Atari avait demandé à Nintendo s'ils pouvaient créer un système technique pour bloquer les cartouches non officielles. Atari se plaignait des jeux pourris que n'importe qui pouvait sortir sur leurs consoles, et ils voulaient reprendre le contrôle.
Nintendo n'avait pas de solution à l'époque, mais ils ont retenu l'idée. Et selon les dépositions du procès Atari vs. Nintendo, le président Yamauchi aurait lui-même reconnu qu'après avoir entendu ce qu'Atari avait dit, Nintendo avait conclu qu'un système de sécurité devait être développé pour vendre des consoles aux États-Unis.
En gros, Atari aurait suggéré le concept qui allait se retourner contre eux. C'est le chip qui les empêchera plus tard de publier librement des jeux sur NES, conçu par Nintendo suite à leur demande initiale. Ironique non ? Et ce système de contrôle est ensuite devenu le modèle pour toutes les consoles qui ont suivi. Aujourd'hui, on trouve normal qu'on ne puisse pas sortir un jeu PlayStation sans l'accord de Sony, mais avant la NES, n'importe qui pouvait fabriquer des cartouches pour n'importe quelle console.
La VGHF a aussi récupéré les jeux qu'Atari avait commandés à Nintendo en 1983. Trois d'entre eux (Millipede, Joust et Stargate) sont d'ailleurs finalement sortis en 1987 via le HAL Laboratory avec un copyright "Atari 1983" sur l'écran titre. Tant mieux, ça aurait été dommage de ne pas pouvoir y jouer...
Bref, si vous avez une heure devant vous pendant les fêtes, foncez regarder ce documentaire. C'est de la recherche historique de première main, pas du réchauffé de Wikipedia. Et si vous voulez aller plus loin, la VGHF a aussi mis en ligne
un panel avec trois anciens de Nintendo
qui ont vécu le lancement de 1985. Des témoignages de première main qu'on ne retrouvera probablement jamais ailleurs...
Si vous avez toujours voulu essayer Emacs mais que la courbe d'apprentissage vous fait peur,
IDEmacs
est fait pour vous ! Ce projet transforme Emacs en clone de VSCode avec les mêmes raccourcis clavier, la même interface graphique et les mêmes fonctionnalités out-of-the-box, comme ça vous n'avez plus besoin de vous taper une configuration durant trois jours avant de pouvoir écrire une ligne de code !
Cool, hein ?
L'idée c'est donc de permettre aux développeurs habitués à des IDE modernes de passer à Emacs sans devoir réapprendre tous leurs réflexes. Les raccourcis clavier reprennent ceux de VSCode comme Ctrl+C pour copier, Ctrl+V pour coller, Ctrl+F pour chercher. C'est basique mais indispensable quand vous venez d'un autre éditeur.
Côté interface, IDEmacs intègre Treemacs pour avoir un explorateur de fichiers dans la sidebar comme sur VSCode. Y'a aussi Centaur Tabs pour les onglets, un thème Dark Plus qui ressemble à celui de Microsoft, et le support des curseurs multiples. Bref, visuellement vous êtes en terrain connu.
Du coup, c'est pour qui exactement ?
Hé bien le projet cible trois types d'utilisateurs : les développeurs qui veulent migrer vers Emacs depuis un autre IDE, les débutants en Lisp ou Scheme qui ont besoin d'Emacs pour bosser, et les non-programmeurs qui cherchent juste un éditeur de texte puissant sans se prendre la tête avec la config.
D'ailleurs, contrairement à la plupart des starter kits Emacs, IDEmacs ne cache pas les éléments graphiques par défaut. Les menus, barres d'outils et scrollbars sont visibles donc vous pouvez configurer le tout via l'interface graphique plutôt qu'en écrivant du Elisp à la main.
La config proposée inclut une vingtaine de packages tels que Vertico, Consult et Marginalia pour l'autocomplétion, Magit pour le contrôle de version, Sly et Geiser pour le développement Lisp et Scheme, plus des outils comme expand-region, multiple-cursors et smartparens pour l'édition avancée.
Pour installer IDEmacs, il vous faudra donc Emacs 29 ou plus récent, git, et optionnellement grep et locate. Clonez le repo puis lancez Emacs avec
emacs --init-directory=/path/to/IDEmacs/vscode .
Et hop, c'est prêt !
IDEmacs reste une porte d'entrée vers Emacs, et pas un remplacement définitif de VSCode mais l'idée avec ce truc, c'est de vous permettre de commencer à utiliser Emacs sans friction, puis de personnaliser au fur et à mesure que vous comprenez comment ça marche. Je vous assure que vous allez probablement vouloir modifier des trucs une fois que vous serez à l'aise.
Voilà, si vous avez toujours été curieux d'Emacs mais que vous n'avez jamais osé franchir le pas, c'est l'occaz !
Vous avez une vieille GTX 1060 qui tourne nickel sous Arch Linux ? C'est con, NVIDIA vient de vous mettre un beau coup de pied aux fesses car la boîte au caméléon vert a décidé d'abandonner le support des GPU Pascal (les GTX 10xx) dans son dernier driver 590 et ça crée un joyeux bordel, notamment sur Arch.
Le problème, c'est que quand vous faites une mise à jour système sur Arch avec une vieille carte Pascal ou Maxwell, le nouveau driver refuse de charger. Résultat, vous vous retrouvez éjecté vers la ligne de commande sans interface graphique. Sympa pour débugger quand y'a plus d'écran qui fonctionne...
Faut dire que le modèle "rolling release" d'Arch fait que les utilisateurs ont reçu ce driver incompatible automatiquement avec leur mise à jour. Ils n'ont pas eu le temps de dire ouf que leur système était déjà cassé. Et les GTX 1060 et 1050 Ti, c'est pas exactement des cartes de musée... Y'en a encore pas mal qui tournent sur Steam, et même si parmi leurs propriétaires, seule une poignée utilise Linux, et encore moins Arch, ça fait quand même du monde impacté.
Pour s'en sortir, y'a deux solutions. La première, c'est d'installer le driver legacy nvidia-580xx-dkms depuis l'AUR, qui est maintenu par l'équipe CachyOS. Le hic, c'est que ça crée des problèmes de dépendances avec Steam, donc faut aussi installer lib32-nvidia-580xx-utils pour que les jeux 32 bits fonctionnent. La deuxième option, c'est de basculer sur Nouveau, le driver open source fait par reverse engineering. Ça marche, mais avec les limitations que ça implique niveau performances et fonctionnalités.
Ce qui me rend dingue dans cette histoire, c'est que pendant des années, NVIDIA a refusé de fournir de la documentation pour ses GPU, forçant la communauté Linux à utiliser le reverse engineering pour Nouveau. Et depuis 2022, ils ont ouvert les modules kernel pour les architectures Turing et plus récentes, mais les parties user-space et le firmware restent propriétaires. Et surtout, aucune aide pour les vieilles cartes comme Pascal !! Du coup, maintenant que NVIDIA abandonne ces générations de cartes, c'est aux bénévoles de la communauté de maintenir les drivers legacy... Pas cool.
D'ailleurs,
l'annonce officielle d'Arch Linux
précise que les cartes Turing et plus récentes (RTX 20xx et GTX 1650+) vont automatiquement basculer vers les modules kernel open source, donc pas d'intervention manuelle pour eux. C'est uniquement les propriétaires de vieilles Pascal/Maxwell qui doivent se taper le boulot.
Bref, si vous avez une carte Pascal sous Arch, basculez sur nvidia-580xx-dkms avant votre prochain pacman -Syu. Dans sa grande bonté, NVIDIA a aussi promis des patchs de sécu jusqu'en 2028, mais bon, on a vu ce que valent leurs promesses côté Linux...
I have been given the latest iteration of E-WIN's Champion series of gaming chairs to review, and frankly, if I need to prop myself up to compensate for its stiff seating and rickety balance, that's not a good sign. Here's what I have to say in my full review.
I've been using the Lenovo Legion 7i 16 (Gen 10), a truly beautiful gaming laptop with serious style and impressive hardware... but it may not be the best.
Quand on pense à Netflix, on a tout de suite à l'esprit la puissance de l'algorithme de recommandation de la plateforme de SVOD. Vous n'allez pas souvent chercher quelque chose sur Netflix : on vous sert votre prochaine série TV sur la page d'accueil. Mais saviez-vous qu'il existait un moyen d'explorer l'immense catalogue de Netflix catégorie par catégorie ? On vous explique comment trouver ces catégories cachées.
La pénurie mondiale de RAM, alimentée par l’essor de l’IA, ne touche plus seulement les industriels. Smartphones, PC et consoles pourraient voir leurs prix augmenter dès 2026, selon une étude publiée le 18 décembre 2025 par le cabinet IDC.
L'année touchant à sa fin, c'est l'occasion de (re)découvrir les 10 voitures électriques qui ont marqué 2025. On n'a pas pu s'empêcher d'ajouter un onzième modèle tellement il nous a impressionnés.
Après une année 2025 riche, que pouvons-nous attendre de 2026 du côté de la science ? Entre événements annoncés et progrès espérés, un petit aperçu de ce à quoi pourrait ressembler l'année à venir en matière de recherche.
La fin de Stranger Things et une nouvelle saison pour La Chronique des Bridgerton : rien qu'avec ça, on peut dire que Netflix démarre bien l'année 2026.
Sur une base militaire en Haute-Marne, des milliers de militaires français apprennent à manier les armes qui dominent la guerre entre l’Ukraine et la Russie. Numerama a passé une journée dans cette école de drones où sont formés les futurs pilotes français, du maniement de mini-engins furtifs des forces spéciales jusqu’aux appareils de plusieurs mètres d'envergure.
Comme on pouvait s'y attendre, le troisième des quatre teasers de Avengers: Doomsday est victime d'une fuite. La qualité n'est pas au rendez-vous, mais le retour de vieux personnages Marvel est bien confirmée.
Une nouvelle année s'ouvre très bientôt et les plateformes de streaming mettent les bouchées doubles pour satisfaire leurs spectateurs, voici ce que promet Disney+ en janvier 2026.
Sous Windows 11/10, les associations de fichiers déterminent quelle application est utilisée pour ouvrir chaque type de fichier (.pdf, .jpg, .mp4, etc.) et conditionnent également l’icône affichée et le comportement à l’ouverture. Lorsqu’elles sont corrompues ou mal configurées, les fichiers peuvent s’ouvrir avec la mauvaise application, afficher une icône générique, ou provoquer systématiquement une demande Choisir une application.
Ces problèmes apparaissent souvent après une mise à jour de Windows, l’installation ou la suppression d’un logiciel, l’utilisation d’un outil de nettoyage, ou à la suite d’une infection logicielle. Dans certains cas, une simple correction ciblée suffit ; dans d’autres, il est nécessaire de réinitialiser toutes les associations pour repartir sur une base saine.
Dans ce guide, vous allez apprendre à réinitialiser et réparer les associations de fichiers sur Windows 11/10, de manière progressive et sécurisée : réinitialisation globale via les paramètres Windows, correction d’une extension précise, recours éventuel à un logiciel tiers, puis identification des situations où une réparation plus profonde de Windows devient nécessaire. L’objectif est de restaurer un comportement cohérent et durable, sans modifier inutilement les programmes par défaut ni réinstaller le système.
Symptômes et causes d’associations de fichiers corrompues
Lorsque les associations de fichiers sont corrompues sous Windows 11/10, les problèmes se manifestent généralement de façon très concrète : un double-clic n’ouvre plus le bon programme, Windows affiche un message Choisir une application, l’icône d’un type de fichier est incorrecte ou générique, ou certaines extensions ne s’ouvrent plus du tout. Dans d’autres cas, des fichiers s’ouvrent avec une application inadaptée, ou refusent de s’ouvrir malgré un logiciel installé.
Il est pertinent de réinitialiser les associations de fichiers lorsque ces dysfonctionnements apparaissent, en particulier si le problème est récent ou global. Les causes les plus courantes sont :
Installation ou désinstallation d’un logiciel (lecteur multimédia, PDF, archiveur, etc.)
Mise à jour de Windows ayant modifié les associations par défaut
Modification manuelle du registre ou des paramètres avancés
Conflit entre plusieurs applications capables d’ouvrir le même type de fichier
Profil utilisateur corrompu
Identifier ces symptômes et leur contexte permet de déterminer si une réinitialisation complète est nécessaire, ou si une réparation ciblée sur un type de fichier précis suffit, ce qui est abordé dans les sections suivantes.
Différence entre associations de fichiers et programmes par défaut
Sous Windows 11/10, les notions d’associations de fichiers et de programmes par défaut sont proches mais ne désignent pas exactement la même chose, ce qui est une source fréquente de confusion. Une association de fichiers définit le lien entre une extension (par exemple .pdf, .jpg, .mp3) et l’application chargée de l’ouvrir, ainsi que l’icône et les actions associées. Les programmes par défaut, quant à eux, correspondent au choix d’une application pour un usage général (navigateur Web, lecteur vidéo, client mail, etc.), qui peut ensuite définir plusieurs associations de fichiers en cascade.
Autrement dit, réinitialiser les programmes par défaut revient à remettre les choix globaux d’applications, tandis que réinitialiser les associations de fichiers vise à corriger des liens précis entre extensions et logiciels, souvent lorsqu’un type de fichier s’ouvre avec le mauvais programme ou ne s’ouvre plus du tout. Dans ce guide, l’objectif est donc bien de réparer ou réinitialiser les associations de fichiers, et non de choisir ou modifier les programmes par défaut de Windows, déjà couverts par des guides dédiés.
Réinitialiser toutes les associations de fichiers via les paramètres de Windows 11/10
Lorsque les associations de fichiers sont largement corrompues (plusieurs extensions concernées, icônes incorrectes, fichiers qui ne s’ouvrent plus), la solution la plus simple consiste à réinitialiser toutes les associations de fichiers aux valeurs par défaut de Windows.
Cette méthode permet de repartir sur une base saine, sans modifier les fichiers personnels.
Réinitialiser les associations de fichiers sur Windows 11
Pour réinitialiser les associations sous Windows 11 :
Ouvrez Paramètres
Allez dans Applications
Cliquez sur Applications par défaut
Faites défiler la page jusqu’en bas dans la partie « Paramètres associés«
Cliquez sur Réinitialiser (Réinitialiser aux valeurs recommandées par Microsoft)
Confirmez l’opération
Windows rétablit alors les associations par défaut pour tous les types de fichiers pris en charge.
Réinitialiser les associations de fichiers sur Windows 10
Sous Windows 10, la procédure est très proche :
Ouvrez Paramètres
Allez dans Applications
Cliquez sur Applications par défaut
Descendez jusqu’à la section Réinitialiser
Cliquez sur Réinitialiser
Confirmez
Toutes les associations de fichiers sont remises à l’état d’origine de Windows.
Ce que fait réellement cette réinitialisation
La réinitialisation :
Supprime les associations personnalisées
Rétablit les applications par défaut de Windows
Corrige de nombreuses erreurs d’ouverture de fichiers
Restaure les icônes associées aux extensions
En revanche, elle ne désinstalle aucun programme.
Points importants à connaître
Les fichiers s’ouvriront à nouveau avec les applications Microsoft par défaut
Vous devrez peut-être réassigner certaines extensions à vos logiciels préférés
Cette méthode est recommandée lorsque le problème est global, pas pour un seul type de fichier
Si le problème ne concerne qu’une extension précise, il est préférable d’utiliser une réparation ciblée, abordée dans la section suivante.
Réparer l’association d’un type de fichier spécifique
Lorsque le problème concerne une seule extension (par exemple .pdf, .jpg, .mp4), il est inutile de réinitialiser toutes les associations. Une réparation ciblée est plus rapide et évite de reconfigurer inutilement d’autres types de fichiers.
Réparer l’association depuis les paramètres de Windows
Ouvrez Paramètres
Allez dans Applications
Cliquez sur Applications par défaut
Dans le champ Définir les valeurs par défaut par type de fichier, recherchez l’extension concernée
Cliquez sur l’application associée
Sélectionnez le programme approprié
Cette action reconstruit l’association pour l’extension choisie et corrige généralement l’icône et l’ouverture du fichier.
Si l’association ne se corrige pas immédiatement :
Changez l’application associée pour une autre application
Fermez les paramètres
Revenez sur l’extension
Réattribuez ensuite l’application souhaitée
Ce va-et-vient force Windows à réenregistrer l’association.
Réparer l’association depuis l’Explorateur de fichiers
Pour un fichier précis :
Faites un clic droit sur le fichier
Cliquez sur Ouvrir avec
Sélectionnez Choisir une autre application
Cochez Toujours utiliser cette application
Validez
Cette méthode est pratique pour corriger rapidement un cas isolé.
À retenir
Utilisez une réinitialisation globale uniquement si plusieurs extensions sont affectées
Pour un seul type de fichier, privilégiez toujours une réparation ciblée
Une association correctement rétablie corrige aussi l’icône associée
Si l’association reste incorrecte malgré ces méthodes, une réparation via un logiciel tiers peut être envisagée, abordée dans la section suivante.
Réparer les associations de fichiers de Windows 11/10 avec un logiciel tiers
Lorsque les méthodes intégrées de Windows 11/10 ne suffisent pas (associations qui se réinitialisent mal, erreurs persistantes après nettoyage, profil endommagé), l’utilisation d’un logiciel tiers spécialisé peut permettre de réparer automatiquement les associations corrompues.
Ces outils modifient des paramètres sensibles du système. Ils doivent être utilisés en dernier recours, après avoir tenté les méthodes natives de Windows.
Les solutions les plus connues sont :
RstAssociations : Permet de restaurer rapidement les associations de fichiers par type ou en totalité.
Windows Repair : Outil plus global, capable de réparer de nombreux composants Windows, dont les associations de fichiers. Utilisez la réparation 22.
File Associations Fixer Tool : Utile lorsque certaines extensions critiques (EXE, COM, BAT) ne fonctionnent plus.
Cas particuliers et erreurs fréquentes
Le tableau ci-dessous permet d’identifier rapidement les situations courantes liées aux problèmes d’associations de fichiers sous Windows 11/10, ainsi que la solution la plus adaptée dans chaque cas.
Symptôme observé
Cause probable
Solution recommandée
Un type de fichier s’ouvre avec la mauvaise application
Association modifiée par un logiciel
Réparer l’association du type de fichier concerné
Windows affiche “Choisir une application” à chaque ouverture
Association manquante ou corrompue
Réattribuer l’application par défaut pour l’extension
Les icônes d’un type de fichier sont génériques
Association incorrecte ou cache corrompu
Réparer l’association ou réinitialiser le cache des icônes
Plusieurs extensions ne s’ouvrent plus correctement
Associations globalement corrompues
Réinitialiser toutes les associations de fichiers
Le problème est apparu après une mise à jour Windows
Valeurs par défaut modifiées
Réinitialiser les associations aux valeurs Windows
Les associations reviennent sans cesse à un mauvais état
Logiciel tiers ou malware
Vérifier les programmes installés, utiliser un outil tiers
Les fichiers s’ouvrent correctement sur un autre compte
Profil utilisateur endommagé
Réparer ou recréer le profil utilisateur
Le problème persiste malgré toutes les méthodes
Corruption système plus profonde
Envisager une réparation de Windows
Les associations se réinitialisent après chaque redémarrage
Profil ou système corrompu
Envisager une réparation plus profonde de Windows
À retenir
Un problème localisé à une extension doit être traité de manière ciblée
Un problème global justifie une réinitialisation complète des associations
Les erreurs récurrentes indiquent souvent une interférence logicielle ou un profil corrompu
Si aucune des solutions ci-dessus ne permet de corriger durablement le problème, il est alors pertinent d’envisager une réparation plus profonde de Windows, abordée dans la section suivante.
Quand une réparation plus profonde de Windows est nécessaire
Si les associations de fichiers continuent à dysfonctionner malgré leur réinitialisation et les réparations ciblées, le problème ne se situe probablement plus au niveau des extensions ou des applications, mais dans le fonctionnement interne de Windows.
Indices indiquant un problème système sous-jacent
Une intervention plus lourde devient pertinente lorsque vous constatez notamment :
Des associations qui se dérèglent à chaque redémarrage
Des types de fichiers qui reviennent systématiquement à une application incorrecte
Des erreurs similaires touchant d’autres composants (icônes, menu Démarrer, Microsoft Store)
Un comportement anormal apparu après une mise à jour majeure ou une opération de nettoyage système
Des réglages qui semblent appliqués, mais non persistants
Ces symptômes indiquent souvent que les paramètres utilisateurs ou système ne sont plus correctement enregistrés.
Réparer Windows sans repartir de zéro
Avant toute action radicale, il est préférable d’opter pour une réparation de Windows sans perte de données. Cette opération permet de remettre en état les composants internes responsables de la gestion des associations, sans supprimer vos fichiers personnels ni vos applications.
Elle est particulièrement adaptée lorsque :
Plusieurs fonctionnalités Windows présentent des anomalies
Les paramètres reviennent à un état incorrect sans raison apparente
Les solutions ciblées ne tiennent pas dans le temps
Si le problème est apparu récemment, une restauration système peut être une solution rapide et efficace. Elle permet de revenir à un état où les associations de fichiers fonctionnaient correctement, sans modifier les documents personnels.
Cette option est pertinente après :
Une mise à jour problématique
L’installation ou la suppression d’un logiciel impactant le système
En dernier recours : réinitialisation ou réinstallation
Si aucune solution ne permet de stabiliser durablement les associations de fichiers, il peut être nécessaire d’envisager une réinitialisation de Windows ou une réinstallation propre.
Ces solutions doivent rester exceptionnelles :
Elles nécessitent une sauvegarde complète
Les applications et personnalisations sont supprimées
Elles sont justifiées uniquement si le système est globalement instable