La Chine a annoncé ce 22 septembre 2025 le lancement d'une nouvelle campagne de surveillance d’Internet. Officiellement, il s’agit de lutter contre les contenus qui « attisent des émotions négatives » et « sèment le pessimisme ». Mais en pratique, le texte vise aussi ceux qui critiquent la situation économique du pays : chômage, ralentissement, coût de la vie.
200 Go pour 15 euros et 300 Go pour 21 euros : Sosh (Orange) propose des offres 5G nettement plus compétitives qu'auparavant. De quoi un peu mieux rivaliser avec ses concurrents.
125 ans après sa découverte, ce fossile n'était pas correctement identifié. Cela ne l'empêchait pas d'être exposé au musée national du Pays de Galles. Grâce au progrès de la technologie, un étudiant a pu le reconstituer numériquement pour en avoir une vision détaillée. Les résultats sont surprenants.
Mise en ligne le 19 septembre 2025 sur Netflix, El refugio atómico, la nouvelle série du créateur de La Casa de Papel, réunit un groupe de milliardaires dans un bunker de luxe. Si le pitch avait de quoi intriguer, le rendu manque de panache.
La Chine a annoncé ce 22 septembre 2025 le lancement d'une nouvelle campagne de surveillance d’Internet. Officiellement, il s’agit de lutter contre les contenus qui « attisent des émotions négatives » et « sèment le pessimisme ». Mais en pratique, le texte vise aussi ceux qui critiquent la situation économique du pays : chômage, ralentissement, coût de la vie.
Microsoft has confirmed a known issue that prevents some apps from playing Digital Rights Management (DRM) protected video content or displaying and recording live TV. [...]
Microsoft is offering users alternatives to rising e-waste concerns, including options to trade in or recycle old PCs as Windows 10 approaches its end of life.
Square Enix has committed support to Xbox, but seemingly, without disc-based versions of its upcoming games. This seems to be happening more and more, but why?
Tired of waiting for Microsoft to release Windows 11 version 25H2 via Windows Update? The official RTM ISO media is now online and can be downloaded straight from Microsoft.
The security landscape now moves at a pace no patch cycle can match. Attackers aren’t waiting for quarterly updates or monthly fixes—they adapt within hours, blending fresh techniques with old, forgotten flaws to create new openings. A vulnerability closed yesterday can become the blueprint for tomorrow’s breach.
This week’s recap explores the trends driving that constant churn: how threat
Et si votre serveur Linux était comme un appart en coloc où tout le monde partage la même cuisine, le même salon, les mêmes chiottes ?? Forcément, ça finit toujours mal avec quelqu’un qui monopolise les toilettes pendant que vous avez une urgence en spray, un autre fait crasher la machine à laver avec ses expérimentations douteuses de voyage dans le temps, et au final personne n’est content.
Hé bien figurez-vous qu’un développeur nommé Cong Wang de Multikernel Technologies vient de proposer une solution radicale qui consiste à donner à chaque processus son propre kernel Linux, avec ses propres core CPU, comme des colocataires qui auraient enfin chacun leur studio…
Selon le patch soumis sur la Linux Kernel Mailing List
(LKML), cette architecture “multikernel” permettrait de faire tourner plusieurs noyaux Linux indépendants sur la même machine physique. C’est pas vraiment de la virtualisation classique façon VMware ou KVM, mais c’est plutôt comme si vous découpiez votre ordinateur en tranches et que chaque tranche vivait sa vie. Le truc marrant, c’est que Cong Wang n’est pas un petit nouveau qui débarque avec ses idées folles. Le bonhomme a déjà contribué à plus de 1000 patches au noyau Linux et il maintient le sous-système de
traffic control
. Autant dire qu’il sait de quoi il parle quand il touche au code du noyau.
D’ailleurs cette idée de séparer les kernels rappelle furieusement le projet
Barrelfish
que Microsoft Research et l’ETH Zurich avaient lancé il y a quinze ans. À l’époque, ils voulaient traiter l’OS comme un système distribué où chaque core CPU aurait son propre kernel qui communique avec les autres par messages. Sauf que voilà, c’était trop tôt. Les processeurs n’avaient pas assez de cores pour qu’on puisse se permettre ce genre de luxe, et puis franchement, qui avait besoin de ça en 2009 ?
Aujourd’hui avec nos CPU à 128 cores et nos problèmes de sécurité qui explosent, l’idée prend soudainement tout son sens.
Selon Phoronix
et les patches sur la LKML, l’implémentation de Wang utilise kexec, ce mécanisme qui permet normalement de redémarrer directement dans un nouveau noyau sans repasser par un reboot. Sauf qu’ici, au lieu de remplacer le noyau existant, on en charge plusieurs qui vont cohabiter. Chaque kernel se voit attribuer ses propres cores CPU et ils communiquent entre eux via un système d’interruptions inter-processeurs (IPI) spécialement conçu pour l’occasion. Et dans les 7 patches proposés en RFC, Wang prévoit des mécanismes de surveillance pour gérer tous ces petits mondes parallèles.
Et pendant que Cong Wang bricolait son multikernel dans son coin, les géants du cloud comme Amazon, Microsoft et Google ont développé en parallèle une technologie appelée KHO (
Kexec HandOver
) qui permet de préserver l’état système lors du changement de kernel. En gros, ils veulent pouvoir mettre à jour le noyau Linux de leurs serveurs sans perdre les VMs qui tournent dessus. Sauf que si le multikernel de Wang fonctionne vraiment, ça pourrait rendre leur stack de virtualisation complètement obsolète.
Car pourquoi s’embêter avec des hyperviseurs complexes quand on peut juste donner à
chaque workload
son propre kernel ?
Le plus drôle dans tout ça, c’est que Wang admet candidement dans son RFC que pour l’instant, ça marche “que sur sa machine de dev avec des paramètres hardcodés”.
Maintenant si cette techno décolle, on pourrait voir des trucs assez dingues. Genre un kernel temps réel qui gère les processus critiques pendant qu’un kernel classique s’occupe du reste. Ou alors des kernels spécialisés pour différents types de workloads : un pour le machine learning, un pour les bases de données, un pour le réseau. Vous pourriez même imaginer des kernels avec différents niveaux de sécurité du genre un kernel ultra-paranoia pour vos données sensibles et un kernel plus relax pour Netflix. Et le plus beau c’est que si un kernel plante, les autres continuent de tourner tranquillement.
C’est comme avoir plusieurs systèmes de secours intégrés directement dans la machine.
Mais attention, on parle quand même d’une RFC, et pas encore d’un truc prêt pour la prod. La communauté des barbus du noyau va probablement passer des mois à débattre de chaque ligne de code, et c’est tant mieux parce que toucher à l’architecture fondamentale de Linux, c’est pas comme patcher un bug dans Firefox. Si ça merde, c’est potentiellement des millions de serveurs qui partent en vrille.
Au final, que ce patch soit accepté ou pas, ça montre surtout que Linux continue d’évoluer de manière radicale pour toujours aller plus loin ! Et si vous l’évolution de ce projet,
tout se passe sur la LKML
.
Meta CEO Mark Zuckerberg says the company would rather invest billions in AI than risk missing the chance to deliver superintelligence ahead of its rivals.
We hear this a lot:
“We’ve got hundreds of service accounts and AI agents running in the background. We didn’t create most of them. We don’t know who owns them. How are we supposed to secure them?”
Every enterprise today runs on more than users. Behind the scenes, thousands of non-human identities, from service accounts to API tokens to AI agents, access systems, move data, and execute tasks
Pendant les journées du patrimoine, plus de 2 000 personnes ont pu assister au documentaire Apple Vision Pro proposé par la startup Immersive Flashback au Palais de l'Élysée. Il s'agit d'un reportage dans les coulisses du défilé militaire du 14-juillet, avec Emmanuel Macron comme guide.
À travers un communiqué publié le 20 septembre 2025, l’ANTS a démenti les rumeurs affirmant que 13 millions de données sensibles issues de l’agence étaient en vente sur le dark web. Ce dénouement met fin à un brouhaha de plusieurs mois qui aura mis en lumière les mécaniques de désinformation de l’écosystème cyber.
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