Linus Torvalds
vient de donner son avis sur l’IA et le vibe coding et ça ne va pas plaire à tout le monde, ahahaha.
Hé oui car pendant que le monde tech se déchire entre les évangélistes de l’IA qui veulent tout automatiser et les énervés qui refusent l’IA par principe idéologique, Linus débarque dans le game avec un avis… de complet normie.
Lors de l’Open Source Summit à Séoul qui vient d’avoir lieu, Linus a partagé sa vision sur l’IA générative et le fameux “vibe coding”. Et son avis, c’est que l’IA c’est juste un outil de plus !
Le vibe coding, pour ceux qui débarquent, c’est ce terme inventé par Andrej Karpathy d’OpenAI qui consiste à décrire ce que vous voulez coder à un LLM. Ce dernière génère alors le code, et vous testez si ça marche ou si ça marche pas. Et ensuite vous demandez des ajustements et ainsi de suite !
Autant dire que c’est devenu un sujet chaud pour pleiiiins de raisons.
Bref, Linus se déclare “plutôt positif” sur le vibe coding mais uniquement comme point d’entrée en informatique. Pour des petits projets, des prototypes rapides…etc c’est top car ça permet à des gens qui ne savent pas coder de faire des trucs super ! Mais après pour du code critique en production, il est cash en expliquant que ça risque d’être “horrible, horrible d’un point de vue maintenance”. Et je ne peux pas lui donner tort.
Linus n’utilise pas personnellement d’IA pour coder mais il voit bien que des gens testent l’IA pour travailler sur du code critique dans le noyau Linux et ça il s’en méfie à raison car les mainteneurs du kernel se prennent régulièrement des bugs reports et des security notices complètement bidons générés par des gens qui utilisent mal les IA.
Les crawlers IA posent aussi des problèmes techniques sur kernel.org car ces bots qui aspirent tout le code pour nourrir leurs modèles font ramer les serveurs. Quoiqu’il en soit, Linus est plutôt modéré sur le sujet de l’IA générative pour coder et attend avec impatience le jour où l’IA sera un truc moins hype. En gros, qu’on arrête d’en parler H24 et qu’on l’utilise juste quand c’est pertinent…
C’est vrai que d’un côté, vous avez ces fifous pro-IA à toutes les sauces qui pensent qu’on va tous devenir des prompt engineers et que les devs vont disparaître (spoiler : non). Et de l’autre, les donneurs de leçons en pureté technologique qui refusent l’IA en bloc sans jamais se poser la moindre question.
Du coup, je vous avoue que je suis content de voir qu’au milieu de tout ce bordel, y’a ce bon vieux Linus qui nous explique que c’est juste un stupide outil et qu’il faut simplement apprendre à l’utiliser intelligemment.
Y’aura bien sûr des comiques qui vont dire que Linus s’est “radicalisé” car avoir un avis nuancé en 2025, c’est devenu extrémiste de ce que j’ai pu voir ces derniers jours, mais sachez que Linus a un peu de bagage historique. Il se souvient par exemple, comme je le disais en intro, du même genre de débats quand les compilateurs sont arrivés. A l’époque, y’avait les puristes du pissage de code qui hurlaient que ça allait tuer le métier de “programmeur” alors qu’au final, ça a juste augmenté la productivité, la sécurité et que ça a permis de faire des trucs plus complexes.
Voilà… l’IA, c’est TOUT PAREIL. Ça va changer la manière dont on code au quotidien, mais ça va pas remplacer les devs (pas tout de suite en tout cas). Ça va juste les rendre plus productifs comme n’importe quel nouvel outil dispo dans votre boite à outils.
Et pour les fans de vibe coding qui veulent quand même l’utiliser sérieusement, gardez en tête les limites du truc. N’oubliez pas que vous ne pouvez pas comprendre ce que le code fait si vous ne le passez pas en revue. Et vous ne pourrez pas le débugger proprement, le maintenir sur le long terme, ou encore le sécuriser si vous ne comprenez pas précisément ce qu’il fait. Donc forcez-vous un peu ;-) !
Oh non, vilain Korben va encore parler de méchante IA, lol ! Car oui, j’sais pas si vous avez vu, mais Google vient de lancer Antigravity et tout le monde s’emballe et un Mars (uh uh !) en disant que c’est LE nouvel IDE magique pour coder avec des agents IA ! Et c’est surtout une grosse pub pour son nouveau modèle Gemini 3 sorti en même temps, faut bien le dire !
Et pour le coup, faut reconnaître que niveau timing, Google a frappé fort puisque Gemini 3 débarque moins d’une semaine après la sortie de GPT-5.1 d’OpenAI et seulement deux mois après Claude Sonnet 4.5. Hé oui, la guerre des modèles fait rage et personne ne veut laisser les autres prendre l’avantage, à ma plus grande joie (Oui, j’aime la tech et tester tous ces trucs) !
Sur le papier Antigravity est donc
une plateforme de développement “agent-first”
où les agents IA ont un accès direct à votre éditeur de code (un VS Code as usual), votre terminal et votre navigateur. Comme ça, ils peuvent écrire des specs, coder vos idées les plus folles, puis tester et valider tout ça pendant que vous, de votre côté, vous pouvez continuer à écrire des saloperies sur Mastodon !
Que demande le peuple ? lol
Et ces petits agents IA sont très forts pour produire ce que Google appelle des “artefacts”. En gros, ce sont des listes de tâches, des plans d’implémentation, des screenshots, ou encore des enregistrements vidéo de ce qu’ils ont fait ou prévoient de faire. Et vous, de votre côté, votre seul job c’est de valider ces artefacts et de commenter ce qui est produit.
Félicitations, vous venez d’avoir une promotion ! Vous n’êtes plus développeur, vous êtes maintenant chef de projet !
On peut bien sûr, toujours éditer le code, mais on va arrêter de faire semblant, ce n’est clairement plus l’objectif puisque ce sont les agents qui s’en occupent. Et ces derniers sont capables d’apprendre de vos retours en se construisant une base de connaissance interne avec vos feedbacks afin d’affiner les process et de tendre le plus efficacement possible vers vos objectifs.
Voilà… Maintenant, si vous aimez vraiment écrire du code avec vos petits doigts boudinés, ça ne sera pas fun, c’est certain. Par contre, si comme moi, vous êtes un piètre codeur mais que vous avez des tas d’idées folles et que vous aimez orchestrer, piloter, et valider des trucs, vous allez sur-kiffer !
Mis à par Gemini 3, Antigravity supporte aussi GPT-OSS, et les modèles d’Anthropic (Claude Sonnet 4.5 pour être précis) et d’OpenAI. L’outil est pour le moment gratuit en preview publique pour Mac, Windows et Linux et les limites d’utilisation de Gemini 3 Pro (en mode Low) sont très généreuses selon Google.
Et pour ceux qui se demandent si Gemini 3 c’est du vent ou du solide, sachez que le modèle cartonne sur les benchmarks avec un score de 1501 Elo sur LMArena (record absolu), 37.5% sur Humanity’s Last Exam (niveau PhD quand même), 91.9% sur GPQA Diamond, et 76.2% sur SWE-bench Verified qui teste spécifiquement les capacités de coding. Bref, sur le papier, c’est du lourd.
Google a même prévu une version “Deep Think” de Gemini 3 pour les abonnés Ultra qui arrivera dans les prochaines semaines, avec encore plus de capacités de raisonnement pour les tâches complexes. Et avec plus de 650 millions d’utilisateurs mensuels sur Gemini, on sent que Google veut vraiment en faire son fer de lance et détrôner OpenAI et Anthropic dans le cœur des codeurs !
Bref, maintenant à voir ce que ça donne en vrai et si ça fonctionne mieux que Windsurf ou Cursor, mais ça, je vous le dirai plus tard quand je me serais un peu plus amusé avec… Antigravity, c’est peut-être l’avenir du dev, ou c’est peut-être juste Google qui essaie de vous forcer à changer de taf sans vous demander votre avis… qui sait ?
On verra bien si leur mayonnaise prend, mais en attendant, si vous testez, dites-moi ce que vous en pensez, je suis curieux.
Vous vous souvenez de la dernière fois où vous avez dû redémarrer un container Docker en urgence depuis votre téléphone, planqué dans les chiottes du resto un jour de St Valentin ?
Le minuscule clavier, la connexion SSH qui rame, les commandes qu’on tape mal parce que l’autocorrect veut absolument transformer “docker ps” en “docker pas”, l’écran trop petit pour lire les logs… Bref, la grosse merde !!
Heureusement,
Docker Manager
débarque pour transformer ce cauchemar en expérience qui fait plaisir aux yeux. C’est une app Android qui gère vos containers Docker à distance, et c’est tellement bien foutu que vous allez enfin arrêter d’ouvrir votre laptop n’importe où juste pour faire un simple restart.
C’est vrai que faire du SSH depuis un smartphone, ça a toujours été possible. Y’a même plein d’apps terminal mobiles, de clients fait pour ça, même des bidouilles pour se connecter à vos serveurs. Mais “possible” et “agréable”, c’est pas vraiment la même chose.
Grâce à Docker Manager ce sera donc possible ET agréable ! Vous gérez déjà Docker, vous connaissez déjà les commandes, vous savez ce que vous faites mais au lieu de vous faire taper des commandes dans un terminal de 5 pouces, l’app vous offre une interface utilisateur carrée avec des boutons, des statistiques en temps réel, des logs lisibles, et même un shell interactif quand vous en avez vraiment besoin !
Vous connectez donc vos serveurs via SSH (mot de passe ou clé, comme d’hab), et hop, vous aurez accès à tout. Start/stop/restart de containers, inspection des images, gestion des volumes et des networks, stats CPU/RAM en direct… Tout ce que vous feriez normalement en SSH, mais sans vous arracher les yeux sur un terminal mobile.
Autre truc sympa, l’app supporte plusieurs serveurs, donc vous pouvez switch entre votre VPS perso, votre homelab, et votre serveur de prod en deux tapotages ^^. Elle gère aussi les VPN comme Tailscale, donc si vos serveurs sont derrière un réseau privé, pas de problème. Elle propose même des thèmes light/dark, parce que oui, même en pleine nuit à 3h du matin quand un container plante, vous avez le droit à votre petit confort visuel.
L’app supporte aussi Podman. Vous configurez juste votre CLI Docker custom, et ça marche ! Et en plus, c’est open source ! Vous pouvez même faire du cleanup système pour virer les images et containers qui traînent histoire de faire un peu de ménage.
L’app est dispo sur le
Play Store
et sur
GitHub
pour ceux qui veulent build depuis les sources ou juste regarder le code. Testez, vous verrez, ça change la vie.
Vous savez ce moment où vous regardez votre historique Git et vous vous demandez qui est le débile qui a écrit ce code dégueulasse ?
Ah bah ouais, c’était vous il y a 3 mois ^^. Eh bien
GitType
a trouvé la meilleure des thérapies qui est de vous faire retaper tout ça, lettre par lettre, comme une punition de primaire version développeur, totalement gamifiée avec des points, un chrono, et la possibilité de mesurer à quel point vos doigts sont devenus flasques depuis que Copilot fait tout le boulot à votre place.
Le tagline du projet, c’est “Show your AI who’s boss: just you, your keyboard, and your coding sins”. Et c’est pas une blague, c’est un manifeste car pendant que Copilot, ChatGPT, Claude Code et compagnie écrivent du code à notre place, GitType vous fait faire exactement l’inverse… il vous force à retaper du code pour redevenir bon !
Et contrairement aux tests de frappes classiques comme
Ttyper
ou
tt
qui vous font taper du texte générique, GitType utilise du VRAI code source. Votre code, celui de vos repos préférés, ou des repos trending de GitHub. Comme ça, vous ne vous entraînez pas sur du “the quick brown fox jumps over the lazy dog” à la con, mais sur vos propres merdes spaghettico-syntaxiques en Rust, TypeScript, Python ou Go.
Le jeu vous propose plusieurs modes. Y’a le mode Normal pour vous échauffer tranquillement, le Time Attack quand vous voulez vous mettre la pression, et des niveaux de difficulté de Easy à Zen pour ceux qui veulent méditer en tapant du code. Le tout avec un tracking en temps réel de votre WPM (words per minute) et de votre précision. Comme ça, plus vous progressez, plus vous montez dans le ranking avec des titres de développeur qui évoluent.
GitType supporte plus de 15 langages de programmation et propose plus de 15 thèmes visuels en mode Dark ou Light, avec possibilité de personnaliser le vôtre. L’installation est simple…
Ou via Brew, ou avec un téléchargement direct de binaires. Ça prend 30 secondes chrono. Autre truc sympa aussi, vous pouvez cloner n’importe quel repo GitHub directement depuis le jeu pour vous entraîner dessus.
Comme ça, vous pourrez réaliser votre fantasme le plus humide, à savoir retaper le code de Linus Torvalds !
Cet outil va comme ça l’air de rien vous réapprendre à taper du code vous même, parce que faut bien le reconnaitre, depuis que tout le monde s’est mis au vibe coding, c’est difficile de dire à nos doigts et nos cerveaux de s’y remettre. Avec GitType, vos doigts retrouvent leurs réflexes, vous mémorisez mieux la syntaxe, vous devenez plus rapide au clavier, votre haleine redevient fraiche et vous chopez enfin des matchs sur Tinder, c’est SÛR !!
Ce projet est dispo en
open-source sous licence MIT
et franchement, vu comment nos IA nous assistent de partout, c’est pas plus mal de garder un peu de muscle mémoire au cas où…
Get Graphics Drivers and Hardware Transcoding BACK for Plex/Jellyfin/Emby on your Synology NAS
Note – the video on this fix will be published soon and I will update this article with images ASAP.
Synology’s 2025 refresh brought the DS225+ and DS425+ with the familiar Intel Celeron J4125, but it also quietly removed the kernel graphics driver support that Plex, Jellyfin, and Emby use for hardware transcoding of H.264 and HEVC. This guide explains what changed, why it matters for real-world streaming, and how you can restore GPU-accelerated transcoding on these models using an unofficial SSH method shared by the community. If you rely on your NAS to reshape 4K or high bitrate files for phones, tablets, hotel TVs, or limited connections, this walkthrough will help you get that efficiency back.
IMPORTANT – Massive credit to RROrg group over on Github for ‘cracking the nut’ on this with their latest repo HERE
Additionally, credit to Luka @ Blackvoid, who made this great article, covered this first and gave me permission to use his guide here and in my upcoming video. Read his article HERE
What Happened to Hardware Transcoding on the Synology 2025 NAS, and Why Is This a Problem
When Synology launched the 2025 “x25” lineup, users expected a minor refresh of familiar models like the DS225+ and DS425+. Instead, they discovered that Synology had removed the i915 graphics driver from DSM, effectively disabling hardware transcoding on the Intel Celeron J4125 CPU. This meant that Plex, Jellyfin, and Emby could no longer tap into the iGPU’s Quick Sync Video capabilities. Synology confirmed the change in support tickets, explaining that both H.264 (AVC) and H.265 (HEVC) transcoding had been deliberately blocked at the kernel driver level. The company cited licensing costs for HEVC, even though AVC is license-free, and argued that most client devices already support native playback. The earliest and longest discucssions on this topic are HERE on this Plex Forum thread.
The result is a significant downgrade for users who bought these models expecting the same multimedia performance as their predecessors. Instead of 10–20% CPU usage during hardware-accelerated transcoding, users now see 80–100% CPU utilization when reshaping video on the fly. For remote streaming, converting 4K to 1080p or 720p becomes slow, inefficient, and often unworkable. This change undermines the value proposition of the J4125 platform and leaves Plex and Jellyfin users with hardware that is technically capable but artificially restricted, creating frustration across the Synology community.
Disclaimer: This Is Unofficial – Know the Risks!
Before diving into the workaround, it is important to understand that this method is not supported by Synology and involves altering core system modules via SSH. These steps rely on community-compiled drivers and are provided “as is,” without warranty. Making changes at the kernel level can cause instability, break after DSM updates, or in the worst case, lead to data loss if mistakes are made. You should always keep verified backups of your data before proceeding, and only attempt this if you are comfortable working with the command line and root-level access. Proceed entirely at your own risk.
Step By Step Guide to Get J41225 Graphics Drivers Hardware Transcoding Back
Log into DSM and create a new Shared Folder (e.g. scripts) on your main volume.
Make sure your DSM account has full access, since root privileges will be needed later.
Upload the Archive
Use File Station or SMB to upload the .zip file into the new scripts shared folder.
Once uploaded, extract it on the NAS by right-clicking and selecting Extract Here.
If extraction creates subfolders, move the relevant script files (such as transcode_4_x25.sh) directly into the main scripts directory for easier referencing.
Set the event to Boot-up so the script runs every time the NAS restarts.
Point to the Script
In the task settings, paste the full path to the script file, for example:
sh /volume1/scripts/transcode_4_x25.sh
If unsure, right-click the .sh file in File Station, select Properties, and copy the full directory path.
Confirm and Save
DSM will warn you about using root and non-standard scripts. Acknowledge this and proceed.
Enter your DSM admin password when prompted.
The scheduled task will now appear in the list.
Run the Script
Right-click the new task and select Run to execute it immediately.
Optionally, reboot your NAS to confirm that the driver loads automatically on startup.
Verify Hardware Transcoding
Open Plex (or Jellyfin/Emby) and play a file requiring transcoding.
Check playback statistics: you should now see HW (hardware transcoding) instead of CPU-only usage.
Conclusion
Synology’s decision to remove iGPU drivers from the 2025 DS225+ and DS425+ left many users frustrated, especially those who rely on Plex or Jellyfin for remote streaming. While the company cites licensing costs and client-side decoding as justification, the hardware itself remains fully capable of transcoding. Thanks to community-driven efforts, it is possible to re-enable Quick Sync on these models with an SSH-based workaround. This fix restores the efficiency and functionality users expected, though it comes with risks and requires maintenance after reboots. For multimedia enthusiasts who value hardware transcoding, this unofficial solution may be the only way to unlock the true potential of these NAS systems.
This description contains links to Amazon. These links will take you to some of the products mentioned in today's content. As an Amazon Associate, I earn from qualifying purchases. Visit the NASCompares Deal Finder to find the best place to buy this device in your region, based on Service, Support and Reputation - Just Search for your NAS Drive in the Box Below
Need Advice on Data Storage from an Expert?
Finally, for free advice about your setup, just leave a message in the comments below here at NASCompares.com and we will get back to you.Need Help?
Where possible (and where appropriate) please provide as much information about your requirements, as then I can arrange the best answer and solution to your needs. Do not worry about your e-mail address being required, it will NOT be used in a mailing list and will NOT be used in any way other than to respond to your enquiry.
[contact-form-7]
TRY CHAT Terms and Conditions
If you like this service, please consider supporting us.
We use affiliate links on the blog allowing NAScompares information and advice service to be free of charge to you.Anything you purchase on the day you click on our links will generate a small commission which isused to run the website. Here is a link for Amazon and B&H.You can also get me a Ko-fi or old school Paypal. Thanks!To find out more about how to support this advice service checkHEREIf you need to fix or configure a NAS, check FiverHave you thought about helping others with your knowledge? Find Instructions Here
Or support us by using our affiliate links on Amazon UK and Amazon US
Alternatively, why not ask me on the ASK NASCompares forum, by clicking the button below. This is a community hub that serves as a place that I can answer your question, chew the fat, share new release information and even get corrections posted. I will always get around to answering ALL queries, but as a one-man operation, I cannot promise speed! So by sharing your query in the ASK NASCompares section below, you can get a better range of solutions and suggestions, alongside my own.
Alors si vous cherchez un truc pour procrastiner intelligemment ce soir ou demain, j’ai exactement ce qu’il vous faut.
Play.ertdfgcvb.xyz
, c’est un terrain de jeu ASCII interactif où vous pouvez coder des animations directement dans votre navigateur. Et c’est hyper hypnotisant, vous allez voir !
Derrière ce nom imprononçable “ertdfgcvb” se cache
Andreas Gysin
, un artiste suisse basé à Lugano qui fait du code et du design et son playground ASCII, c’est une interface épurée au maximum composée d’un éditeur de code à gauche, d’une fenêtre de prévisualisation à droite, et c’est tout. Pas de fioritures, pas de boutons partout, juste l’essentiel. Vous tapez Cmd+Enter (ou Ctrl+Enter sur PC) et votre code s’exécute en temps réel.
Le principe de son code en live est inspiré des
fragment shaders GLSL
, sauf qu’au lieu de pixels colorés, vous manipulez des caractères. Vous avez accès à des fonctions spécifiques telle que boot() qui s’exécute une fois au démarrage, pre() pour préparer vos données, main() qui est appelée pour chaque cellule de l’écran, et post() pour les modifications finales.
Voici un exemple simple en javascript pour comprendre le délire :
Ce bout de code génère un pattern de lettres qui change selon la position X et Y sur l’écran. C’est tout con mais c’est beau.
Le playground propose également des dizaines d’exemples triés par catégorie. Vous avez les basiques pour apprendre, des démos plus complexes comme “Doom Flame” qui recrée l’effet de flamme du jeu Doom en ASCII, ou encore “Donut” qui fait tourner un donut en 3D avec juste des caractères. Y’a même une section “camera” où vous pouvez manipuler votre webcam et la transformer en ASCII art en temps réel.
D’après le GitHub du projet
, Andreas a créé ça comme un hommage à tous les artistes, poètes et designers qui utilisent le texte comme medium. C’est un projet minimaliste, avec presque pas d’interface, juste le code et le résultat. Même les marges et les numéros de ligne ont été virés.
Et tout ça tourne de manière fluide dans le navigateur et pour les dev qui veulent comprendre comment ça marche sous le capot, tout le code source est sur GitHub, et vous pouvez vraiment faire des trucs de ouf avec, par exemple des fractales, des simulations de fluides…etc. C’est complètement barré.
Mais pour commencer, le plus simple c’est d’explorer les exemples. Le classique “10 PRINT” recrée le fameux one-liner du Commodore 64 qui génère un labyrinthe infini. Les exemples SDF (Signed Distance Fields) montrent comment faire de la 3D avec des maths et des caractères. Et si vous êtes chaud, vous pouvez lui envoyer vos propres créations qui rejoindront la section “contributed”.
Andreas enseigne ces techniques dans ses cours, et apparemment les étudiants adorent. C’est vrai que c’est une approche super pédagogique du creative coding où on se prend pas la tête avec du WebGL ou des frameworks complexes… Non, faut juste pondre du code simple qui produit des résultats visuels immédiats.
Bref,
play.ertdfgcvb.xyz
c’est le genre de site qu’on bookmark et qu’on ressort quand on veut se vider la tête en codant des trucs rigolos. C’est gratuit, c’est open source, et c’est une belle démonstration que l’art et le code peuvent cohabiter sans avoir besoin de millions de polygones et de shaders complexes.
Un grand merci à Lorenper pour m’avoir fait découvrir cette pépite !