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Hier — 8 octobre 2025Flux principal

J'ai testé un détecteur de gaz radon et c'est flippant !

Par : Korben
8 octobre 2025 à 17:14
– Article contenant des liens affiliés –

Vous connaissez le radon ? C’est ce gaz radioactif qui s’infiltre insidieusement dans nos maisons depuis le sol. Et si vous habitez en Auvergne comme moi ou en Bretagne ou dans une région où il y a du radon , vous êtes peut-être dans une zone à risque. C’est pour cela que j’ai acheté un détecteur Ecosense EcoBlu EB100 pour voir enfin comment ça se passait vraiment chez moi.

Mais avant de vous parler du produit, laissez-moi quand même vous expliquer ce qu’est le radon… Il s’agit d’un gaz radioactif naturel qui vient de la désintégration de l’uranium présent dans le sol. Il est inodore, incolore, invisible. Vous ne le sentez pas, vous ne le voyez pas, mais il est là. Et le truc, c’est qu’en Auvergne, avec notre sous-sol granitique du Massif Central, on est particulièrement exposé.

Le radon entre donc dans les maisons par les fissures, les passages de canalisations, les caves, les vides sanitaires…etc et remonte du sol pour finir par se concentrer dans les pièces fermées. Et là, c’est pas bon du tout !! Le Centre international de recherche sur le cancer a classé le radon comme cancérigène certain pour le poumon depuis 1987. En France, c’est d’ailleurs la deuxième cause de cancer du poumon après le tabac. Rien que ça ! Le radon c’est donc environ 3 000 décès par an.

Du coup, ça fait un petit moment que je sais que l’Auvergne fait partie des zones les plus touchées en France avec la Bretagne, le Limousin et la Corse, mais je m’en étais pas trop inquiété jusqu’à ce que je lise un article scientifique là dessus. J’ai donc voulu savoir à quoi moi et ma famille on s’exposait parce que bon, c’est vrai qu’en hiver, je suis pas le champion de l’aération ! Puis surtout, on est un peu impuissant face à un truc qu’on ne voit pas. Donc au moins, si on peut le mesurer, on peut agir !

Bref, l’ Ecosense EcoBlu EB100 , c’est un petit boîtier blanc de la taille d’un réveil. Vous le branchez, et en 10 minutes vous avez déjà une première lecture. Après pour un résultat vraiment fiable, il faut attendre une heure. L’écran LED affiche alors le taux de radon en temps réel, la moyenne du jour, de la semaine et du mois. C’est super simple à utiliser !

Initialisation en cours…

Y’a même une alarme qui se déclenche si les niveaux deviennent critiques. Pour info, le seuil de référence en France, c’est 300 Bq/m3 en moyenne annuelle. Au-dessus, il faut agir.

Chez moi, les premiers jours, j’étais à 450 Bq/m3 dans le salon. Carrément au-dessus du seuil donc. Du coup, j’ai fait ce qu’il faut : aérer à fond ! Et assez rapidement finalement, c’est revenu à des taux plus tolérables, autour de 100 Bq/m3, parfois moins. J’ai renforcé la ventilation dans les pièces du sous-sol car c’est par là que ça arrive et surtout j’aére tous les jours. Et ce qui est bien avec cet appareil, c’est que machinalement je pose les yeux dessus et donc j’y pense et j’ouvre les fenêtres.

Sans ça, j’en aurais pas vraiment conscience par contre, et finalement je ne saurais pas si j’aère la maison assez ou pas.

Car ce qui est important à comprendre surtout, c’est que le taux de radon varie tout le temps. Selon la météo, la saison, l’état de vos fondations, le chauffage que vous mettez…etc. En fonction de tout un tas de critères, les taux peuvent monter ou descendre. C’est assez random. Y’a des matin, je me lève et je suis à 30 Bq/m3 et d’autres matins, c’est la fiesta largement au dessus des 300… Bref, l’EcoBlu me permet de surveiller ça en continu.

Après à ce prix, c’est quand même un investissement mais ça vaut le coup si vous êtes en zone à risque et si vous avez une maison ou en rez de chaussée d’apart. Si vous êtes en étage, y’a moins de risque d’être intoxiqué par cette saloperie.

Maintenant ce qu’il faut retenir c’est que le radon, c’est pas une blague. C’est comme si vous fumiez plusieurs clopes tous les jours ! Imaginez ça sur des années, ça craint ! Et si en plus, vous fumez pour de vrai, le risque de cancer du poumon est multiplié par 20.

L’idéal c’est quand même de repasser sous la barre des 100…

Voilà, après en dehors de l’aération, vous pouvez aussi agir sur l’étanchéité de votre maison. Colmater les fissures dans les dalles, les passages de canalisations, mettre une membrane étanche dans la cave si elle est en terre battue, ventiler les vides sanitaires…etc… Bref, limiter les entrées du radon depuis le sol c’est jouable ! L’idéal, c’est évidemment une VMC qui tourne en continu et pas juste une aération ponctuelle car le radon s’accumule quand l’air ne circule pas. Ainsi, plus vous renouvelez l’air intérieur, moins le radon stagne.

Perso, j’ai installé 2 ventilations à la cave comme je vous le disais. C’est mieux que rien, mais ça ne suffit pas.

En tout cas, je ne regrette pas cet achat de détecteur temps réel. Matérialiser un danger invisible, ça change tout et maintenant, que je vois les chiffres, je sais quand il faut aérer, et je sais que je ne me pèle pas les noisettes pour rien en plein hiver. Bref, c’est rassurant surtout !

Voilà, donc si vous êtes en Auvergne, Bretagne, Limousin, Vosges, Alpes, Corse… ou n’importe quelle zone granitique, je vous conseille vivement de mesurer le radon chez vous. Vous serez peut-être surpris… au mieux, vous découvrirez que tout va bien et vous pourrez renvoyer ce détecteur à Amazon et vous faire rembourser et au pire, vous corrigerez ce problème avant qu’il ne devienne grave…

Sources :

Synology capitule et annule le verrouillage des disques durs après 6 mois de boycott acharné

Par : Korben
8 octobre 2025 à 16:44

6 petits mois, c’est le temps qu’il aura fallu à la communauté “NAS” pour faire plier Synology et son délire de verrouillage propriétaire . Comment je le sais ? Hé bien DSM 7.3 vient de sortir, et visiblement, leurs foutues restrictions sur les disques Seagate et Western Digital ont complètement disparu. Woohoo \o/ !

Ça s’est fait sans fanfare, ni excuses, mais juste en mode marche arrière à fond la caisse ! Ouééé, c’est ça qu’on voulait !

Retour rapide quand même sur l’histoire… En avril de cette année, on ne sait pas pourquoi, Synology décide que ses nouveaux NAS DS925+, DS1825+ et DS425+ n’accepteront que leurs propres disques HAT3300 et HAT5300.

Traduction, faudra payer 30 à 40% de plus pour exactement le même matos rebrandé ! Du coup, les Seagate IronWolf et WD Red qui fonctionnaient parfaitement depuis des années, aux chiottes ! Et si vous voulez installer DSM sur un disque non-approuvé, un NAS comme le DS925+ refuse carrément de booter.

Et comme y’a pas de VRAIE raison technique à cela, la réaction a été immédiate et brutale. Les ventes se sont effondrées, les revendeurs ont commencé à recommander activement QNAP, TrueNAS, UGREEN et les clients ont annulé leurs précommandes.

Même les reviewers tech ont qualifié ce move de Synology de “greedy and shortsighted” ce qui pourrait se traduire par cupide et sans vision à long terme…

Et au delà du boycott pur, la communauté s’est aussi bougé le cul. Car pendant que Synology tenait bon sur sa position stuipide, des scripts Python ont fleuri un peu partout sur GitHub pour contourner ces restrictions. Des guides complets ont été publiés sur XDA-Developers expliquant comment se connecter en Telnet et patcher l’installation de DSM pour accepter n’importe quel disque et c’est comme ça que des gens ont commencé à hacker leurs propres NAS qu’ils venaient d’acheter plusieurs centaines d’euros.

C’est ça la vraie passion les gars !! ^^

Puis quand vos propres partenaires commerciaux historiques vous lâchent, vous savez que vous avez merdé…. Breeeef, Synology a fait demi-tour et même si ce n’est pas une révélation éthique (ils ont juste compris que le jeu n’en valait pas la chandelle), c’est tout à leur honneur ! D’autres se seraient entêtés jusqu’à mettre en danger la boite. Je pense par exemple à HP et ses cartouches d’imprimante à puce… Ça s’est soldé par un règlement judiciaire à plusieurs millions et une réputation en charpies.

Voilà… Donc maintenant avec DSM 7.3 qui sort aujourd’hui, les disques Seagate et Western Digital fonctionnent à nouveau comme avant. Le monitoring complet, les alertes, et toutes les fonctionnalités software sont rétablies et ces maudits warnings “unverified” ont disparu. Vous pouvez à nouveau installer ce que vous voulez dans votre NAS comme si de rien n’était !

Ouf ! Encore une victoire de canard gagnée en votant avec le portefeuille !

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À partir d’avant-hierFlux principal

Microsoft continue sa guerre contre les comptes locaux Windows 11...

Par : Korben
7 octobre 2025 à 15:00

Putain, ils sont relous chez Microsoft ! Vous vous souvenez quand Microsoft a supprimé la commande oobe\bypassnro en mars dernier ? Cette petite astuce permettait tout simplement d’installer Windows 11 sans compte Microsoft et sans connexion internet. Les geeks ont alors râlé pendant 48 heures, puis quelqu’un a découvert une nouvelle parade : start ms-cxh:localonly. C’est une commande magique qu’il suffisait de taper pendant l’installation (Shift+F10, vous connaissez la manip..) pour contourner l’obligation d’avoir un compte en ligne.

Eh bien devinez quoi ? Microsoft vient de colmater cette “faille” aussi.

Bref, dans une nouvelle build test de Windows 11 publiée le 6 octobre dernier, Amanda Langowski du Windows Insider Program a annoncé officiellement que toutes les méthodes connues pour créer un compte local pendant l’installation sont en train d’être supprimées. La raison officielle c’est que ces mécanismes contourneraient des étapes critiques de configuration et laisseraient des appareils pas complètement configurés.

Mouais, ça sent un peu le prétexte bidon pour justifier une décision déjà prise depuis longtemps, vous ne trouvez pas ?

Concrètement, si vous essayez maintenant la commande start ms-cxh:localonly sur les nouvelles versions, elle réinitialisera simplement le processus d’installation et vous ramènera au point de départ. Bref, game over, Microsoft a gagné cette bataille.

Après vous allez me dire mais alors pourquoi tant de haine de la part des utilisateurs contre ce fichu compte Microsoft ??

Et bien déjà, il y a cette histoire débile du nom de dossier utilisateur car quand vous créez un compte Microsoft, Windows 11 génère automatiquement un nom de dossier à partir de votre adresse email. Donc c’est jamais ce qu’on veut, même si maintenant avec cette update, on peut d’après ce que j’ai compris régler ça à l’aide d’une commande un peu planquée.

Ensuite, il y a la question de contrôle car un compte Microsoft, c’est la synchronisation automatique de vos paramètres, de vos données, de votre historique. Du coup, c’est Edge qui s’impose, c’est Bing qui devient votre moteur de recherche par défaut, c’est OneDrive qui se synchronise que vous le vouliez ou non. Alors pour quelqu’un qui veut juste installer Windows proprement, sans toute cette couche de services Microsoft, c’est l’enfer !

Et je ne parle même pas des techos qui installent des dizaines de machines pour des clients. Faut se créer un compte Microsoft temporaire à chaque fois, puis le supprimer, puis reconfigurer… C’est du temps perdu pour rien. Le compte local, c’était simple, rapide, et efficace.

Mais bon Microsoft s’en fout royalement. Pour eux, Windows 11 est devenu surtout un portail vers leur écosystème de merde et plus vraiment un OS qui vous appartient vraiment. Vous payez votre licence, certes, mais la vraie valeur pour Microsoft, c’est que vous soyez connecté à leurs services. Tout ce qui est données de télémétrie, habitudes d’utilisation, publicités ciblées dans le menu Démarrer…etc, tout ça ne fonctionne qu’avec un compte en ligne.

Mais bon, rassurez-vous, il reste encore des solutions. Enfin, pour l’instant…

Rufus , l’outil de création de clés USB bootables, propose toujours des options pour créer une installation Windows 11 sans compte Microsoft. Vous pouvez aussi passer par des modifications du registre pendant l’installation, mais c’est un peu plus technique. Et si vous avez Windows 11 Pro ou Enterprise, l’option “Domain join” permet encore de créer un compte local, mais pour combien de temps ?

Pour le moment, Microsoft s’attaque aux méthodes faciles, celles que monsieur et madame tout-le-monde peuvent utiliser en suivant un tuto, mais je ne serais pas surpris que dans 6 mois, Microsoft s’attaque aussi à Rufus, à Flyoobe ou aux ISO modifiées.

C’est dommage je trouve car ce qui faisait le charme de Windows depuis toujours c’était justement de pouvoir le bidouiller jusqu’à l’os. En plus pour une boite qui se présente comme champion de l’open source depuis quelques années, c’est un move un peu bizarre… WSL pour faire tourner Linux sous Windows, VSCode qui est devenu l’éditeur de code préféré de la planète, GitHub racheté et mis à disposition gratuitement… C’est cool, mais côté Windows pur, ils font l’exact l’inverse de tout ça en verrouillant un max !

Rassurez-vous, Microsoft n’est pas le seul à suivre cette mauvaise pente… Apple aussi pousse de plus en plus iCloud sur macOS et je ne vous parle pas de Google qui rend ses services quasi-inutilisables sans compte. Bref, tout devient “service en ligne” même quand ça ne devrait pas l’être et ce PC qu’on possédait vraiment, celui sur lequel on configurait comme on voulait tout ce qu’on voulait est en train de disparaitre.

Bien sûr, vous pourrez toujours compter sur moi pour que je vous partage des astuces ou des outils pour contourner toutes ces limitations techniques à la con mais franchement, c’est fatigant. Je comprends que Linux fasse chavirer de plus en plus de cœurs…

En attendant, vous l’aurez compris, direction Rufus pour installer Windows 11 avec un compte local. Et dépêchez-vous avant que Microsoft décide que ce sera la prochaine cible à abattre !

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Test de la nouvelle Logitech MX Master 4 : la souris ultime

Par : Korben
6 octobre 2025 à 11:21

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

La Logitech MX Master 4 apporte quelques ajustements bien sentis à une formule déjà très aboutie. Haptique, gestes, ergonomie : tout est là pour une expérience fluide et efficace, que ce soit sur Mac ou PC. Je l’ai testé ici sur Mac, avec un constat simple : difficile de trouver mieux.

Une évolution, pas une révolution

Avec la MX Master 4 , Logitech ne bouleverse pas sa recette. Et tant mieux. Le design reste globalement le même que celui de la 3S : une souris sculptée pour les droitiers, pensée pour épouser la main sans effort. Les matériaux ont été revus : fini les revêtements soft-touch qui s’abîment vite et étaient vite sales, place à des plastiques plus bruts mais plus durables. Les clics sont encore plus silencieux, les boutons mieux positionnés, et la glisse gagne en souplesse grâce à des patins PTFE beaucoup plus larges. C’est une mise à jour maîtrisée, centrée sur l’usage et l’optimisation.

Screenshot

L’Action Ring change la donne

La vraie nouveauté, c’est l’Action Ring. Un menu circulaire qui s’affiche autour du curseur quand on presse le nouveau bouton sous le pouce, baptisé Haptic Sense Panel. On y place jusqu’à huit raccourcis personnalisés : apps, dossiers, fonctions système… Le retour haptique, ultra satisfaisant, vient valider les actions avec une petite vibration, discrète mais efficace. Le tout s’intègre parfaitement à macOS et Windows via Logi Options+, qui permet de créer des profils différents selon les applications. À l’usage, on gagne du temps. Beaucoup.

Une personnalisation très poussée

Comme les modèles précédents, la MX Master 4 mise sur la personnalisation : sept boutons configurables, deux molettes (verticale motorisée, horizontale crantée), capteur 8 000 DPI, compatibilité multi-appareils, et désormais une couche haptique ajustable.

On peut choisir l’intensité des vibrations, désactiver certaines fonctions, ou encore créer des macros avec les Smart Actions. Pour aller plus loin, un marketplace propose des plugins selon les apps : Adobe, Zoom, Excel, Figma, etc. Peu nombreux pour l’instant, mais en développement.

Screenshot

Mac vs PC : rien de majeur

La version Mac, testée ici, se distingue surtout par ses coloris exclusifs (Space Black, White Silver). Elle est livrée sans dongle USB-C (présent sur la version PC). Mais à l’usage, aucune différence en termes de performance ou de fonctions, contrairement à la MX Master 3S qui était moins performantes en Bluetooth (perso j’avais acheté le dongle à part). Dans tous les cas, la souris est pleinement compatible avec macOS ET Windows.

Une autonomie solide et une vraie réparabilité

Côté autonomie, Logitech annonce 70 jours sur une charge complète. Et bonne nouvelle : on peut recharger tout en continuant d’utiliser la souris (contrairement à la Magic Mouse…). Autre point à noter : la facilité de démontage. Pas besoin d’arracher les patins pour accéder aux vis, et des pièces comme la batterie seront disponibles en remplacement. Une rareté sur ce segment.

On en dit quoi ?

La MX Master 4 n’est pas une révolution, mais c’est clairement une des meilleures souris du marché pour un usage pro ou créatif. Confort, silence, fluidité, personnalisation : tout y est. L’Action Ring est au final un vrai plus une fois adopté, et l’intégration au système macOS est bien pensée. Même si vous avez une 3S, ça peut valoir le coup d’investir, croyez-moi ! Reste juste à espérer qu’un jour Logitech pense aux gauchers. Elle est dispo sur Amazon en cliquant ici !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Test de la Xerox C235, l'imprimante multifonction qui assure

Par : Korben
30 septembre 2025 à 18:47
– Article en partenariat avec Xerox –

Xerox m’a gentiment envoyé leur imprimante multifonction C235 à tester et franchement, je dois avouer que je ne m’attendais pas à ce qu’une imprimante me fasse encore de l’effet en 2025. Mais bon, vu que j’imprime encore pas mal de trucs et que mon ancienne commençait à rendre l’âme, autant vous faire un retour complet.

La C235, c’est donc une laser multifonction couleur qui fait tout : impression, scanner, photocopieuse et même fax si vous êtes du genre nostalgique. C’est compact, ça tient dans 41 x 39 x 34 cm pour environ 20 kg , donc vous pouvez la caser dans un bureau sans qu’elle squatte toute la place. Elle crache du 24 pages par minute en noir comme en couleur, ce qui reste très correct pour un usage domestique ou une petite structure.

Ce que j’ai kiffé d’entrée, c’est l’installation. Vous branchez le câble USB, Ethernet ou vous la connectez en Wi-Fi, et en quelques minutes c’est plié. Xerox a également bien bossé l’interface, avec un écran tactile couleur de 2,4 pouces qui rend la navigation plutôt intuitive. Pas besoin de sortir le manuel de 200 pages pour comprendre comment lancer une impression recto-verso ou scanner un document. D’ailleurs, le recto-verso automatique, ça change la vie quand vous imprimez des dossiers de plusieurs pages. Puis ça économise du papier et du temps.

Le scanner intégré possède un chargeur automatique de 50 feuilles, ce qui est bien pratique pour numériser des piles de documents. Par contre, petite déception : le chargeur automatique ne gère pas le recto-verso. Du coup, si vous voulez scanner les deux faces d’une pile de feuilles, il faudra retourner le tas à la main et relancer le scan. C’est un peu dommage sur une machine de ce standing, mais bon, on fait avec…

Côté qualité d’impression, rien à redire. Le rendu laser est net, précis, les couleurs sont fidèles sans être ultra-saturées. Je n’ai jamais eu d’imprimantes lasers et je peux vous dire que ça n’a rien à voir avec les jets d’encre ! Pour des documents pros, des présentations ou même des photos imprimées sur du papier correct, ça fait le job sans broncher.

La première page sort même en moins de 11 secondes, ce qui évite d’attendre comme un idiot devant l’imprimante en se demandant si elle a bien reçu le fichier. Et surtout, la compatibilité est au rendez-vous : AirPrint pour les fans d’Apple, Mopria pour les Android, Chromebook aussi, et bien sûr le bon vieux Wi-Fi Direct si vous voulez imprimer directement depuis votre smartphone sans passer par le réseau. Xerox a pensé à tout le monde, et ça, c’est appréciable.

Bon, maintenant parlons du point qui fâche : les consommables. Xerox fournit des toners “starter” qui tiennent environ 500 pages donc autant dire que si vous imprimez régulièrement, vous allez vite devoir racheter des cartouches. Et là, selon les retours utilisateurs sur Amazon et autres sites, le prix des toners peut vite piquer. C’est le classique piège des imprimantes : la machine coûte environ 300 euros, mais il faut bien calculer le coût à la page sur le long terme. Si vous imprimez beaucoup, ça peut vite chiffrer.

Autre petit détail qui aurait pu être mieux : la capacité du bac papier. Avec un magasin de 250 feuilles et un chargeur manuel d’une feuille, c’est correct pour un usage modéré, mais si vous êtes une petite boîte qui imprime des centaines de pages par semaine, vous allez recharger souvent. Rien de rédhibitoire cela dit, mais c’est bon à savoir.

Au final, la Xerox C235 se révèle être une excellente machine pour qui cherche une imprimante multifonction fiable et compacte. Elle fait le boulot proprement, l’installation est rapide, la qualité d’impression au rendez-vous et les fonctionnalités sont complètes. J’ai été également super surpris par le peu de bruit qu’elle fait. C’est assez agréable… Sans oublier le recto-verso automatique et la connectivité sans fil sont des vrais plus, je trouve.

Bref, pour un bureau à domicile ou une petite équipe qui a besoin d’une imprimante qui tient la route sans se prendre la tête, c’est un excellent choix !

Page officielle Xerox C235

Test EcoFlow RAPID Pro : un chargeur de bureau et une batterie externe haut de gamme

30 septembre 2025 à 18:30

Découvrez la gamme RAPID Pro de chez EcoFlow, avec une batterie externe dotée d'un câble USB-C intégré et un chargeur de bureau 6-en-1 pour tous vos appareils.

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Test des AirPods Pro 3 : Apple a-t-il (encore) créé les écouteurs parfaits ?

Par : Korben
29 septembre 2025 à 15:54
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Les nouveaux AirPods Pro 3 sont arrivés, et avec eux, la promesse d’une expérience audio encore améliorée. Après quelques jours d’utilisatio intensive, le constat est clair : Apple a su peaufiner une formule déjà très efficace pour livrer des écouteurs sans fil qui excellent clairement sur les points essentiels. Ce sont toujours les meilleurs écouteurs qui soient, que vous soyez sur iPhone ou Android.

Qualité sonore : la précision avant tout

À la première écoute, on ne note pas de révolution, mais une évolution qui s’entend quand même. Le profil sonore a été retravaillé pour offrir plus de présence dans les basses. Celles-ci sont plus profondes, plus rondes, ce qui donne une assise sonore solide à l’ensemble. On peut y voir un rapprochement avec la signature de certains casques Bose, connus pour leur chaleur. Pour autant, les médiums et les aigus sont aussi clairs et détaillés, et proposent une bonne polyvalence sur tous les styles musicaux, des podcasts aux morceaux les plus complexes.

La véritable avancée de ses petites beautés se situe au niveau de la réduction de bruit active (l’ANC). Sans être une rupture totale avec la génération précédente, son efficacité a été encore améliorée augmentée. Les bruits de fond constants, comme ceux que l’on subit dans les transports en commun, sont filtrés avec une efficacité redoutable. Les nouveaux embouts aident probablement, on y reviendra. Le mode “Transparence Adaptatif” est également de plus en plus convaincant : il atténue les bruits soudains et agressifs (travaux, sirènes) sans vous couper complètement de votre environnement. C’est un vrai plus au quotidien.

De plus en plus confortables

Le confort a été l’un des axes d’amélioration. Apple fournit désormais une nouvelle taille d’embouts en silicone, permettant à une plus grande majorité d’utilisateurs de trouver un ajustement stable et confortable. Pour ma part, cela a réglé les soucis de tenue que je pouvais rencontrer quand j’allais courir avec mes AirPods par exemple.

J’ai également pu tester la fonction de test auditif. C’est rigolo, et potentiellement interessant si vous avez le sentiment d’avoir des problèmes d’audition. Ca dure 5 minutes, et ça fini par vous dire votre niveau d’audition. Ca semble assez sérieux.

Une compatibilité Android efficace

C’est souvent le point qui fâche, mais Apple a assuré sur ce point. Une fois appairés en Bluetooth standard à un smartphone Android, les AirPods Pro 3 délivrent leurs qualités premières : l’excellente restitution sonore et une réduction de bruit active très performante, que l’on active par une pression longue sur la tige.

Bien entendu, l’intégration n’est pas aussi poussée qu’avec un iPhone. On fait l’impasse sur l’appairage rapide, la bascule automatique entre les appareils ou l’Audio Spatial avec suivi des mouvements de la tête. (que je n’utilise de toutes manières pas sur iOS). Cependant, pour une utilisation centrée sur l’écoute de musique et la gestion des appels avec ANC, l’expérience est tout à fait qualitative. Ces manques ne sont pas bloquants pour qui cherche avant tout la performance audio.

La puce qui équipe ces écouteurs leur ouvre des perspectives intéressantes. On pense en particulier à la fonctionnalité de traduction en temps réel, qui a été annoncée mais qui n’est pas encore disponible en Europe. Son arrivée, probablement via une mise à jour logicielle, viendra encore enrichir l’écosystème.

Bref, perso je sur-valide. Ces AirPods Pro 3 ne réinventent pas le concept, mais ils l’optimisent sur tous les plans. Avec une qualité sonore améliorée, une réduction de bruit de premier ordre et un confort clairement amélioré, ils se positionnent comme un choix solide et une référence difficilement détrônable sur le marché. Leur compatibilité assurée avec Android pour les fonctions clés les rend d’autant plus recommandables ! Ils sont dispos en livraison rapide sur Amazon en cliquant par ici.

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Test Geekom A9 Max : l’infatigable mini PC avec un AMD Ryzen AI 9

29 septembre 2025 à 13:00

Le Geekom A9 MAX est une bête de course : il est ultra-réactif et parvient à faire tourner des jeux gourmands. Un mini PC redoutable dans de nombreux scénarios.

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macOS Tahoe - FileVault enfin déverrouillable à distance

Par : Korben
25 septembre 2025 à 15:56

Bon, on va pouvoir l’avouer maintenant, tous ceux qui se la racontent parce qu’ils peuvent prendre le contrôle à distance de leur joli Mac, ont la même galère depuis que FileVault existe… En effet, après une coupure de courant ou une mise à jour du système, votre super serveur Mac redevient une boite à chaussure jusqu’à ce que quelqu’un déplace son gros cul d’admin sys pour taper le mot de passe sur un clavier tout ça.

Et là, on a Jeff Geerling qui nous annonce l’air de rien qu’Apple vient enfin de “légaliser” la bidouille qu’on utilisait tous en douce à savoir déverrouiller FileVault à distance via SSH dans macOS Tahoe.

Ce qui était donc avant une astuce d’admin système un peu à la one again (script d’autologin / désactiver le chiffrement…etc) devient maintenant une fonctionnalité officielle. Sous macOS 26 Tahoe, si vous activez la “Session à distance” dans les réglages de partage, vous pouvez maintenant vous connecter en SSH avant même que l’utilisateur se soit authentifié. Un admin tape son mot de passe à distance et hop, le Mac démarre complètement. La documentation officielle explique même que le SSH se déconnecte brièvement pendant le montage du volume, puis revient. C’est la classe !

Par contre, petit détail qui tue, c’est censé fonctionner en WiFi mais Jeff Geerling qui a testé l’astuce n’a réussi à se connecter qu’en Ethernet. Il pense qu’en Wifi, ça ne passe pas parce que les clés réseau sont dans le Keychain, qui est lui-même chiffré sur le volume verrouillé. C’est le serpent qui se mord la queue (oui, vous le savez d’expérience, ça fait mal de se mordre la queue)… Du coup, tous ceux qui ont des Mac mini planqués derrière leur télé en mode serveur Plex, vont devoir tirer un petit câble RJ mais bon, vrai bonhomme fait vrai réseau en Ethernet, le Wifi c’est pour les faibles, ouga-ouga !

Cette nouvelle fonction arrive pile poil au moment où Apple change aussi la façon dont FileVault stocke les Recovery Keys. Selon TidBITS , fini le stockage basique dans iCloud, maintenant c’est dans l’iCloud Keychain avec chiffrement de bout en bout.

Quoiqu’il en soit, cette fonction très pratique pour les admins autorise quand même potentiellement de nouvelles attaques pre-auth sur les Mac, car avant, un Mac avec FileVault activé était une forteresse imprenable au démarrage. Mais maintenant, si vous avez activé le SSH distant, il y a une nouvelle surface d’attaque avec laquelle s’amuser. Alors oui, faut toujours le mot de passe admin mais bon, c’est moins sympa qu’une vraie sécurité physique…

En tout cas, tous les vieux de la vieille qui gèrent des fermes de Mac mini pour du CI/CD ou du rendu sont aux anges ! Plus besoin de supplier le stagiaire d’aller dans la salle serveur après chaque reboot, par contre, les puristes de la sécurité font un peu la grimace car cette connexion SSH, c’est du password-only pour l’instant. Apple a encore fait les choses à moitié, comme d’hab.

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Mini PC Geekom : jusqu’à 16% de réduction sur les modèles A6 et IT13 2025 Édition

23 septembre 2025 à 11:00

À l'occasion de son 22ème anniversaire, Geekom propose des remises sur ses mini PC : 11% sur le Geekom A6 et 16% sur le Geekom IT13 2025 Edition.

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Geekom célèbre ses 22 ans en commençant avec 250 € de réduction sur le GEEKOM IT15

22 septembre 2025 à 11:57

Geekom fête ses 22 ans avec des promos exclusives sur ses mini PC : découvrez la première offre spéciale sur le mini PC Geekom IT15 équipé d'un Core Ultra 9.

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macOS Tahoe rame ? J'ai peut-être la solution

Par : Korben
22 septembre 2025 à 10:36

Les amis, je ne sais pas si vous êtes sous Mac, mais si c’est le cas, vous avez peut-être succombé à la mise à jour vers macOS Tahoe.

En tout cas, moi, j’ai fait la migration, et franchement, j’ai vu aucune différence, à part quelques petits aspects graphiques par-ci par-là. En tout cas, ça m’a pas hypé de fou, ni traumatisé non plus.

Par contre, ce qui m’a VRAIMENT traumatisé, ce sont les performances de mon Mac Studio M4 Max qui est quand même assez puissant et qui se retrouve à tourner comme un escargot asthmatique fumeur de joints. Cela se produit notamment lorsque je lance mes lives sur Twitch et c’est assez handicapant pour ne pas dire inutilisable… Le scroll est lent, les applications rament, mes streams lagguent, c’est l’enferrrrr et ça me met de mauvaise humeur !

Et après avoir été faire un tour sur Reddit, ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a beaucoup de gens dans mon cas qui gueulent contre cette nouvelle version de Mac OS parce qu’elle est buggée, parce qu’elle rame, parce que ce n’est pas ouf. Donc déjà, je voudrais dire un gros “bouuuuh” à Apple.

Moi, ce qui me posait vraiment problème sur mon macOS, c’est le processus WindowServer qui tournait à FOND les ballons. Alors, effectivement, j’aurais pu croire que c’était un malware qui minait des bitcoins en douce, mais, bon, je fais un petit peu attention, quand même…

Non, non, non, c’est du ralentissement natif by design made in Cupertino.

Après moult péripéties, j’ai donc trouvé comment régler ce problème (jusqu’au problème suivant…). Je vous livre donc cette petite astuce si vous aussi vous avez WindowServer qui part dans les choux après la mise à jour vers Mac OS Tahoe.

Allez dans les réglages au niveau de la section énergie et vérifiez que vous n’avez pas activé le mode économie d’énergie. Moi, en tout cas, c’est ce mode-là qui m’a mis dedans. J’ai l’impression que ça bride l’ordinateur et le système d’exploitation, bref que c’est mal géré et ça fait tout ramer.

Du coup, en désactivant ce truc, mon ordinateur est redevenu à nouveau utilisable. Woohoo !

Donc j’attends la prochaine mise à jour Apple, mais, bon, voilà, en attendant, essayez au moins ça, vous verrez si ça marche.

Et, après, pour tous les autres problèmes liés à Spotlight, à l’indexation des photos, ce genre de trucs, faut parfois redémarrer, tuer les processus, désactiver, par exemple, dans iCloud la synchronisation des contacts (process contactd) sur des comptes Gmail ou Exchange

Ou virer des choses dans la config de Spotlight, ce genre de truc, en attendant un fix…

Voilà, bon courage à tous les galériens fans de la pomme et à très bientôt !

Test des Eero Pro 7 : quand le Wi-Fi 7 d’Amazon règle (vraiment) mes galères réseau

Par : Korben
22 septembre 2025 à 10:02
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Vous pensez que le Wi-Fi 7 n’est que du marketing ? Moi aussi, au début. J’avais déjà testé le kit Eero Pro 7 à sa sortie, dans mon ancien logement un peu tordu sur trois niveaux, où les murs épais faisaient suffoquer ma Freebox et mes répéteurs Wi-Fi 7. À l’époque, ce kit m’avait sauvé la mise. J’ai déménagé depuis, dans un appart plus classique, et je pensais pouvoir m’en passer. Spoiler : je me trompais.

Un logement plus simple… mais un cas d’usage bien précis

Mon nouvel appart est une location, donc tirer des câbles Ethernet partout était exclu. Sauf que j’avais trois pôles réseau indispensables : mon bureau (où j’ai besoin de débit pour bosser), mon coin télé avec Xbox et Apple TV, et enfin mon NAS, accompagné d’un mini PC qui sert de serveur Plex, tous les deux bruyants et donc exilés au-dessus du frigo dans la cuisine. Trois zones distinctes, trois besoins critiques en débit et en stabilité.

On a brainstormé avec l’ami Korben : câbler en Ethernet ? Trop compliqué donc, en loc. Miser sur le Wi-Fi natif ? Bof, l’Apple TV plafonnait à 150 Mb/s. Les CPL ? Vu l’installation électrique foireuse du logement, pas la peine. La seule vraie solution, c’était de ressortir le kit Eero Pro 7 .

Comment j’ai transformé mon appart en hub Wi-Fi 7

J’ai branché un premier module Eero sur ma Livebox fibre (8 Gb/s), puis placé les deux satellites stratégiquement : un au salon près de ma télé, relié en Ethernet à la Xbox et à l’Apple TV, l’autre dans ma cuisine, branché au NAS et au mini PC. Résultat ?

L’Apple TV, qui stagnait à 150 Mb/s, tourne désormais à près de 900 Mb/s. Le NAS ? Parfaitement stable, avec des débits soutenus pour Plex, sans aucune coupure, même avec plusieurs accès distants. Et cerise sur le gâteau, mon iPhone 17 Air profite aussi du Wi-Fi 7 pour ses propres usages.

La vraie force, ce n’est pas seulement le Wi-Fi 7 en lui-même, mais la vitesse de communication entre les modules. Chaque satellite devient une prise réseau haut débit, sans câble à tirer. Pour une location ou un appart où le câblage est impossible, c’est tout simplement idéal.

Simple, efficace et (presque) plug & play

Pourquoi les Eero Pro 7 plutôt qu’un autre système Mesh ? Pour leur simplicité. L’appli iOS/Android permet de tout configurer en dix minutes chrono, de gérer les appareils, d’ouvrir Plex vers l’extérieur… bref, c’est pensé pour être rapide et fiable. Les deux ports Ethernet 5 Gb/s par module suffisent pour mes besoins, et je n’ai pas ressenti de limite. Pour la stabilité, rien à dire : avec du stream 4K, du jeu en ligne et un NAS sollicité 24/7, le réseau ne bronche pas.

Alors oui, ça n’est pas donné : 350 € le module, 800 € le pack de trois . Mais quand ça remplace sans douleur un câblage Ethernet impossible à mettre en place, c’est un investissement qui se justifie largement. Et puis pour peu que vous ne vous y connaissiez pas et que fassiez appel à un électricien pour câbler tout votre logement, ça vous coutera aussi un bureau billet, sans étendre votre couverture Wi-Fi chez vous !

Notez au passage que si vous avez des besoins plus modestes, donc pas de gros NAS à connecter au monde et pas besoin d’un débit monstrueux partout, les Eero 7 classiques sont aussi Wi-Fi 7, avec des ports Ethernet à 2,5 Gb/s, qui vous suffiront probablement largement (en réalité ça m’aurait suffit aussi, mais que voulez-vous, comme tout bon geek, j’ai voulu un peu de marge :p).

Verdict : la solution réseau parfaite pour les cas “compliqués”

Bref, je pensais que dans mon nouveau logement je pourrais m’en passer. En réalité, le Eero Pro 7 s’est imposé comme la seule solution viable. C’est le genre de kit qui ne se contente pas de “faire joli” en Wi-Fi 7, mais qui transforme concrètement un réseau domestique en quelque chose de fiable, stable et rapide. Pour les petits logements, un seul module suffira. Pour des besoins plus complexes, le pack de trois est une valeur sûre.

Voilà les liens pour vous les procurer :

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

L'iPhone Air est-il vraiment solide ?

Par : Korben
20 septembre 2025 à 21:54

Vous avez-vu la finesse du nouvel **iPhone Air d’Apple **? Le truc fait 5,6 mm d’épaisseur alors autant vous dire que quand je l’ai vu en photo, je me suis dit que le machin serait vite plié dans ma poche.

Hé bien oui, car le problème avec les objets fins, c’est qu’on les imagine fragiles. Notre cerveau associe automatiquement “mince” avec “cassable” et ça c’est totalement ancré dans notre ADN depuis l’époque où nos ancêtres cassaient des branches pour faire du feu. Et Apple le sait très bien. En fait, ils comptent même là dessus pour vous faire acheter toute leur gamme d’accessoires de protection.

Mais c’était sans compter sur Zach (le mec de JerryRigEverything) qui a réalisé un test de pliage d’iPhone Air. Il a donc commencé par le test classique avec ses pouces. Mais que dalle. L’iPhone s’est légèrement courbé puis est revenu à sa forme originale comme un élastique. Apparemment, c’est grâce à l’armature en titanium de l’iPhone qui est 60% plus élastique que l’aluminium tout en étant deux fois plus rigide. En gros, ça plie mais ça casse pas, et surtout ça reprend sa forme initiale.

Le nouveau verre Ceramic Shield 2 est aussi une vraie amélioration et dans la vidéo de Zach, on voit que les rayures n’apparaissent quasiment pas au niveau 6 de l’ échelle de Mohs , et à peine au niveau 7. A titre de comparaison, le Galaxy S25 Ultra avec son Gorilla Armor 2 montre des rayures dès le niveau 6 .

Après y’a quand même des compromis avec cette finesse extrême. L’iPhone Air n’a qu’un seul haut-parleur (dans l’écouteur), pas de haut-parleur stéréo en bas et la batterie est plus petite et charge plus lentement aussi. Selon les specs officielles , il faut 30 minutes de charge pour atteindre les 50% contre 20 minutes sur les Pro. Et puis une seule caméra arrière de 48 mégapixels qui fait semblant d’être deux caméras…

Mais bon, comme pourrait le dire Bernard Arnault , on peut pas tout avoir dans la vie…

Bref, pour continuer son test, Zach a alors décidé de le coincer sérieusement et d’exercer une pression progressive sur l’appareil avec des chaines. Je ne vais pas vous faire tourner autour du pot : l’iPhone Air s’est cassé à 98 kg de pression ! Pas mal quand même et le pire c’est qu’il continue de fonctionner parfaitement alors qu’il est plié en 2. C’est vraiment impressionnant.

Historiquement, le dernier iPhone vraiment fin était l’iPhone 6 à 6.9mm, et on se souvient tous encore du “Bendgate” où les téléphones se pliaient dans les poches. L’iPhone Air à 5.6mm bat donc ce record tout en étant paradoxalement l’un des plus solide. C’est ça la magie du titanium versus l’aluminium de l’époque.

L’équipe design d’Apple a quand même passé 3 ans à se casser la tête sur ce projet. 3 ans pour enlever 2.6mm par rapport à l’iPhone 16 Pro, ça fait environ 0.86mm gagné par année de développement. À ce rythme-là, dans 7 ans on aura donc un iPhone qui n’existera plus physiquement ^.

Voilà, donc la conclusion à tout ça c’est que l’iPhone Air est techniquement incassable si vous l’utilisez normalement. Vous pouvez essayer de le péter en 2 avec votre gros cul, les poches de votre jean se déchireront avant que l’appareil ne casse.

Du coup, si vous cherchez un téléphone fin qui résiste à tout sauf à une chute face contre terre sur du béton (parce que la gravité, elle, s’en fout du titanium), l’iPhone Air tiendra ses promesses. Par contre, préparez quand même 80 balles à mettre dans une coque, non pas parce que le téléphone est fragile, mais parce que votre cerveau, lui, est persuadé qu’il l’est.

C’est ça le génie marketing d’Apple !

Source

Tom Cruise vs l'effet soap opera

Par : Korben
20 septembre 2025 à 14:52

Si Tom Cruise débarquait chez vous en rappel depuis votre fenêtre pour vous hurler de changer les réglages de votre télé, vous le feriez, non ???

Bon, en 2018, il a fait à peu près ça sous la forme d’une vidéo et comme je viens de tomber dessus, je me suis dit que c’était la bonne occaz de reparler des problèmes de l’interpolation vidéo de nos TV.

Hé oui car le problème, c’est le motion smoothing ou “effet soap opera” pour les intimes. Cette saloperie de fonctionnalité qui transforme un film à 250 millions de dollars en épisode des Feux de l’Amour car avec ce filtre activé, votre télé génère artificiellement des images supplémentaires entre celles du film original. Ainsi, un film tourné à 24 images par seconde se retrouve magiquement à 60 ou 120 fps.

Et ça c’est un problème car Mad Max Fury Road ressemble à Plus Belle la Vie, Blade Runner 2049 à un reportage de France 3, et Avatar semble avoir été tourné avec un smartphone Android. Bref, c’est de la merde.

Et ce qui rend Tom Cruise dingue, c’est que la plupart des télés sont vendues avec cette saloperie activée par défaut. Comme il l’explique dans sa vidéo (oui, c’est oooold, mais je m’en cogne), la plupart des télés HD ont cette fonctionnalité déjà activée et la désactiver nécessite d’aller dans des menus pour chercher cette option qui souvent est renommée autrement par les constructeurs. Par exemple Samsung appelle ça Auto Motion Plus, LG, c’est TruMotion, Sony c’est MotionFlow….etc. Bref, chaque fabricant a inventé son petit nom marketing pour la même connerie.

D’ailleurs, vous savez pourquoi ça s’appelle l’effet soap opera ?

Hé bien il faut savoir que les séries télé cheap sont souvent tournées à 30 ou 60 images par seconde, ce qui leur donne cet aspect “en direct” super réaliste mais pas cinéma du tout. Les films, eux, restent à 24 fps depuis presque un siècle. C’est ce qui crée ce flou de mouvement naturel, cette texture cinématographique qu’on aime tous inconsciemment. Mais pas de bol, le motion smoothing vient détruire cette magie en comblant les trous avec ses images générées par algo.

Après cette technologie n’est pas complètement à bannir. Par exemple pour voir un match de foot sans flou de mouvement, c’est cool. Même chose pour les jeux vidéo. Mais pour les films, c’est comme mettre de la sauce Barbecue Carrefour sur le plat signature de Anne-Sophie Pic.

Et Tom Cruise n’a pas été le seul à péter les plombs à l’époque sur ce sujet. Christopher Nolan, Paul Thomas Anderson, et plein d’autres réalisateurs ont fait du lobbying auprès de la Directors Guild of America pour négocier avec les fabricants de télés. Ils voulaient avoir leur mot à dire sur comment leurs œuvres sont présentées, ce que je trouve ça assez normal, quand on passe des années à peaufiner chaque plan. C’est un peu comme mater un grand film en accéléré sur un écran de smartphone… ça les énerve fort fort ^^.

La bonne nouvelle c’est qu’en 2020, l’industrie a fini par réagir. En effet, plusieurs fabricants ont lancé le “Filmmaker Mode”. Un bouton magique qui désactive automatiquement toutes les merdes de post-traitement quand la télé détecte un film. Samsung, LG, Vizio, Panasonic, tous s’y sont mis tel un mode avion pour respecter le cinéma.

Mais bon si y’a pas ça sur votre TV, ça vaut surement le coup d’aller dans les réglages et de désactiver cette option, puis profitez en aussi pour désactiver tout ce que vous pourrez trouver en filtres visuels sur votre télévision. Ça devrait moins baver / flasher à l’écran et vos yeux vous diront merci !

Et un grand merci à Tom Cruise pour son rappel qui revient tous les 2 mois sur le devant de la scène comme une dissolution de gouvernement !

Seelen - Transformez complétement le look de votre Windows

Par : Korben
19 septembre 2025 à 12:53

Si comme moi vous avez déjà bavé devant un setup i3 sous Linux mais que vous êtes coincé sous Windows “pour le boulot” (lol), j’ai une excellente nouvelle pour vous. Seelen débarque et va transformer votre Windows 10/11 en véritable environnement de bureau customisable à moooort.

Concrètement, Seelen c’est un overlay qui vient se greffer sur Windows sans toucher au système. Tout est codé en Rust et TypeScript, avec Tauri qui fait le lien entre les deux et le résultat c’est un truc léger qui ne bouffe pas 2 Go de RAM comme Electron.

Avec Seelen, vos fenêtres s’organisent automatiquement en tuiles, façon i3 ou dwm, comme ça, plus besoin de passer 10 minutes à redimensionner vos fenêtres à la souris comme un furieux. Un raccourci clavier et hop, tout se range proprement. C’est ce qu’on peut avoir de plus proche d’un environnement de bureau custom sous Windows.

Et l’installation est hyper facile. Ça se fait soit par le Microsoft Store (option que je vous recommande), soit via Winget avec un petit winget install Seelen.SeelenUI, soit en téléchargeant le .exe sur GitHub. Attention quand même, ça nécessite WebView2 et Microsoft Edge pour fonctionner correctement.

Et les fonctionnalités sont plutôt sympas. Vous avez un launcher façon Rofi pour lancer vos apps rapidement, des contrôles média intégrés pour gérer Spotify sans ouvrir la fenêtre, et surtout une personnalisation poussée avec thèmes, des widgets et des layouts. Le projet supporte même +70 langues, donc votre grand-mère pourra l’utiliser en breton si elle veut.

Après c’est pas parfait non plus. Par exemple, les previews des fenêtres mettent parfois 2 secondes à charger, et certaines apps (celles avec des fenêtres flottantes custom) refusent de se faire tiler correctement. Mais c’est déjà impressionnant.

Voilà, donc si vous en avez marre de l’interface figée de Windows et que vous voulez retrouver la flexibilité visuelle de Linux et pouvoir exprimer le plein potentiel de votre mauvais goût, sans changer d’OS, Seelen vaut vraiment le coup . C’est gratuit, open-source, et ça ne casse rien dans votre système…. Au pire, si ça vous plaît pas, vous le désinstallez et Windows redevient comme avant.

Installer et mettre à jour des applications macOS en ligne de commande

Par : Korben
17 septembre 2025 à 15:23

Vous le savez, j’ai toujours eu un faible pour les outils qui font des trucs qu’ils ne devraient pas pouvoir faire. Et mas-cli , c’est exactement ça : un petit utilitaire en ligne de commande qui permet d’automatiser le Mac App Store depuis votre terminal

Si vous êtes sous Mac et que comme moi, vous trouvez l’App Store d’Apple lent et peu pratique, cet outil open-source écrit en Swift va peut-être vous changer la vie. Il utilise des frameworks Apple privés non-documentés pour automatiser un store qui n’a jamais été pensé pour ça. C’est beau comme du Bruno Le Maire dans le texte…

Les développeurs Mac, supposés accepter l’expérience voulue par Apple, recréent donc secrètement leur propre système de paquets à la Unix. L’amour c’est compliqué, je sais…

Installation

L’installation se fait très simplement via Homebrew :

brew install mas

Vous pouvez aussi récupérer directement le binaire si vous préférez.

Utilisation au quotidien

Une fois installé, vous pouvez vous connecter à l’App Store directement depuis un terminal avec :

mas signin [email protected]

Pour lister vos applications installées via l’App Store :

mas list

Lancer une recherche d’app :

mas search MOTCLÉ

capture-decran-2017-02-03-10-51-43

Et installer l’application de votre choix en utilisant son ID :

mas install 123456789

Gestion des mises à jour

Pour lister les applications qui n’ont pas été mises à jour :

mas outdated

Pour mettre une application spécifique à jour, utilisez l’ID de l’app en question :

mas upgrade 123456789

Et pour tout mettre à jour d’un coup :

mas upgrade

L’automatisation ultime

Là où ça devient vraiment intéressant, c’est que mas-cli, avec son intégration à homebrew-bundle, permet de scripter complètement l’installation d’un nouvel environnement Mac. Vous pouvez définir dans un Brewfile toutes vos apps, y compris celles du Mac App Store, et tout installer d’un coup. C’est exactement ce dont rêvent tous les développeurs qui passent leur vie dans un terminal.

Ça va être particulièrement pratique pour scripter 2 ou 3 trucs afin de gérer au mieux la mise à jour de vos applications ou la récupération régulière d’une liste de softs installés. Tout ça depuis votre terminal, sans jamais ouvrir l’interface graphique du Mac App Store.

Les limites à connaître

Comme l’expliquent les développeurs eux-mêmes , mas-cli utilise des frameworks Apple privés non-documentés qui peuvent changer sans préavis. C’est génial sur le papier, mais dans la réalité, vous ne saurez jamais si ça marchera encore demain car Apple peut décider de changer ses API.

Mais bon, en attendant que ça casse, profitons-en pour automatiser tout ce qui peut l’être !

Merci à Lorenper pour le partage.

Article paru initialement le 09/02/2017, mis à jour le 17/09/2025

BOOX Go 7 Color Gen 2 : la liseuse parfaite devient encore plus indispensable

Par : Korben
15 septembre 2025 à 17:18
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Il y a quelques semaines, je vous disais tout le bien que je pensais de la BOOX Go 7 , cette liseuse sous Android qui a joyeusement envoyé ma Kindle à la retraite. Je la qualifiais de géniale pour sa liberté, son écran magnifique et son ergonomie parfaite. Eh bien, accrochez-vous, il y a encore mieux : BOOX a décidé de prendre ce qui était déjà excellent pour y ajouter la seule chose qui pouvait encore manquer : la couleur.

Voici la BOOX Go 7 Color Gen 2 , et je vais être direct : c’est une petite merveille.

La révolution douce de l’encre numérique en couleur

Ne vous attendez pas à l’éclat agressif d’une tablette LCD. La beauté de la technologie E-Ink, c’est son confort visuel, et la Go 7 Color le préserve à 100%. Elle intègre la dernière génération d’écrans E-Ink Kaleido 3, qui affiche 4096 couleurs. Le rendu est subtil, avec des tons pastel doux qui imitent à la perfection l’impression d’un magazine ou d’une bande dessinée.

Le plus fort ? La netteté du texte noir et blanc impeccable avec une résolution de 300 PPI, on perd un tout petit peu de contraste comme avec toutes les liseuses couleur, mais avec le retroeclairage activé, tout va bien. La couleur, elle, s’affiche en 150 PPI, ce qui est largement suffisant pour que les images, les graphiques et les couvertures de livres prennent vie sans jamais fatiguer les yeux. C’est le meilleur des deux mondes : un confort de lecture absolu pour les romans, et l’apport de la couleur là où ça compte vraiment.

Là où la couleur change absolument tout

“Ok, mais à quoi ça sert, la couleur sur une liseuse ?”, me direz-vous. C’est simple, ça ouvre des horizons de lecture jusqu’ici réservés aux tablettes, avec la fatigue visuelle en moins. Voici quelques exemples concrets :

  • Les BD, Comics et Mangas : C’est l’évidence même. Lire une BD franco-belge, un comics américain ou même les quelques pages couleur d’un manga sur cet écran est un pur bonheur. Fini les nuances de gris frustrantes, les planches retrouvent leur saveur originelle.
  • Les magazines et la presse : Suivre un graphique, admirer une photo de reportage, lire un magazine technique… La couleur apporte un contexte et une clarté indispensables. Et vous pouvez même installer Cafeyn sur la tablette, ou les applications comme Le Monde, Mediapart, etc.
  • Les livres pour enfants : Les illustrations prennent vie et rendent la lecture sur liseuse enfin attractive pour les plus jeunes.
  • Les documents de travail et les livres scolaires : Vous vous souvenez des PDF avec des passages surlignés en couleur ou des schémas importants ? Maintenant, vous les voyez tels qu’ils ont été conçus. C’est un game-changer pour les étudiants et les professionnels.
  • La prise de notes : Avec le stylet (toujours en option), vous pouvez désormais surligner et annoter vos documents avec différentes couleurs pour organiser vos idées. Un code couleur pour les citations, un autre pour les points à vérifier… C’est simple, mais efficace.

On ne change pas une équipe qui gagne

Le plus rassurant, c’est que la Go 7 Color Gen 2 conserve tout l’ADN qui rendait sa grande sœur si géniale. On retrouve avec un immense plaisir :

  1. La liberté totale d’Android : C’est LE point fort de BOOX. L’accès au Google Play Store est toujours là. Vous pouvez installer l’appli Kindle pour lire vos livres Amazon, l’appli Kobo, celle de votre libraire, mais aussi Pocket pour sauvegarder des articles, Feedly ou Inoreader pour vos flux RSS, et même quelques jeux légers. C’est votre liseuse, vous en faites ce que vous voulez.
  2. Une ergonomie pensée pour les lecteurs : Les boutons physiques pour tourner les pages sont toujours là, et c’est un confort dont on ne peut plus se passer une fois qu’on y a goûté. La liseuse reste fine, légère (195g) et parfaitement équilibrée.
  3. Une polyvalence inégalée : Elle lit nativement tous les formats (EPUB, MOBI, PDF, CBR/CBZ…), le transfert de fichiers est un jeu d’enfant, et elle peut se transformer en un clin d’œil en carnet de notes numérique. Vous pouvez même jouer avec (je joue tout le temps aux échecs sur la mienne), et bien sûr aller sur internet.

Le Verdict : Noir & Blanc ou Couleur, laquelle choisir ?

Avec l’arrivée de ce modèle Color, BOOX ne complique pas le choix, il l’affine. La question n’est plus “quelle marque choisir ?”, mais “quelle BOOX Go 7 est faite pour moi ?”.

  • Noir & Blanc si : Vous êtes un dévoreur de romans, de thrillers, d’essais… Bref, si 99% de votre lecture est du texte pur. Son contraste légèrement supérieur en noir et blanc reste la référence absolue pour le texte brut, et elle est un peu plus abordable.
  • Color si : Votre bibliothèque est variée. Si vous passez d’un roman à une BD, d’un article de presse à un PDF professionnel. Si vous êtes étudiant, fan de mangas, ou si vous aimez simplement l’idée d’avoir les couvertures de vos livres en couleur. Le surcoût est justifié par une polyvalence qui la rend quasi parfaite.

Dans les deux cas, vous optez pour une liseuse ouverte, puissante et respectueuse de votre liberté. En ce qui me concerne, cette version couleur a trouvé sa place dans mon sac et n’est pas près de le quitter. Disponible sur Amazon en cliquant ici !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

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