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Aujourd’hui — 22 octobre 2025Flux principal

Boitiers CPL - C'est l'heure de tester le Kit Multiroom Devolo Magic 2 WiFi 6 Next

Par : Korben
22 octobre 2025 à 08:25
– Article en partenariat avec Devolo –

J’avais besoin de WiFi dans un local technique pour brancher des caméras de surveillance parce que mes routeurs sont à l’opposé de la zone à couvrir et finalement la solution la plus fiable et la moins prise de tête que j’ai trouvé, ça a été de passer par mes bons vieux câbles électriques.

Devolo m’a donc envoyé ses Magic 2 WiFi 6 Next en test (Le multiroom kit avec trois adaptateurs), et je les ai vraiment trouvé pas mal. Le kit se compose d’une prise LAN que vous branchez à votre routeur en ethernet, et de deux prises WiFi que vous placez là où vous voulez chez vous. Et le tout communique via votre réseau électrique (technologie CPL ou powerline pour les intimes), et diffuse du WiFi 6 avec mesh intégré.

L’installation prend deux minutes chrono. Vous branchez les trois prises, vpous attendez un peu que toutes les diodes passent au blanc, puis avec l’app devolo Home Network, vous configurez tout ça. Aucune bidouille, aucun paramétrage manuel puisque les trois adaptateurs sont détecté tout seuls et créent alors un réseau mesh transparent.

Attention ne branchez JAMAIS vos adaptateurs CPL sur une multiprise car ça crée des perturbations qui massacrent les perfs. Branchez-les directement sur une vraie prise murale, et ensuite vous pourrez utiliser la prise intégrée aux boitiers pour brancher votre multiprise par-dessus.

Le gros atout du CPL face au mesh WiFi classique, c’est sa stabilité. Un mesh WiFi pur va fluctuer selon les interférences, les murs, les voisins qui balancent du 2.4 GHz à fond. Alors que là, le backhaul (la connexion entre les prises) passe par les câbles électriques à 2400 Mbps max, donc zéro fluctuation. Le WiFi 6 diffusé ensuite monte jusqu’à 3000 Mbps (574 Mbps en 2,4 GHz + 2402 Mbps en 5 GHz), avec du roaming automatique entre les prises.

Par contre, je vais être clair, les performances dépendent énormément de la qualité de votre installation électrique. Si votre maison date de Mathusalem avec un câblage pourri, vous n’atteindrez jamais les débits théoriques. C’est le seul point noir du CPL… ça dépend énormément de votre install électrique.

Ensuite, j’ai mesuré les performances avecc ma configuration. Même étage que le routeur je suis environ 500 Mbps en CPL et au premier étage je suis entre 330 et 415 Mbps selon où je me trouve. Du coup, pour mes caméras de surveillance ou se faire un film en streaming 4K, c’est largement suffisant et surtout ultra-stable.

Si vous regardez bien, sous chaque prise WiFi il y a deux ports Ethernet gigabit, ce qui est parfait si vous avez des appareils filaires à brancher (NAS, switch, caméras PoE avec injecteur…etc) et tout le réseau est extensible puisque vous pouvez ajouter autant de prises Devolo que vous voulez partout chez vous pour couvrir une surface gigantesque.

Le système Devolo embarque également tout ce qu’on attend d’une solution de routeurs / répéteurs modernes : un chiffrement WPA3 pour la sécurité, du WiFi invité pour vos potes histoire de pas leur filer votre mot de passe principal, contrôle parental avec programmation horaire, et Airtime Fairness pour que vos appareils rapides ne soient pas ralentis par le vieux smartphone de belle-maman. Tout se pilote bien sûr via l’app devolo Home Network, disponible sur iOS et Android.

Pour ceux qui ont des connaissances pointues en CPL, sachez que ce système utilise la techno G.hn qui est plus rapide et plus stable que l’ancien HomePlug AV2. Donc si vous avez de vieux adaptateurs CPL qui traînent, autant les offrir à quelqu’un qui n’en a pas parce que la différence de performances est énorme. Le G.hn gère carrément mieux les perturbations et offre des débits très supérieurs.

Voilà, alors si vous êtes comme moi et que vous avec une maison ancienne avec des murs épais, plusieurs étages, ou des zones où le WiFi ne passe juste pas genre loin dans le jardin, suffit d’avoir l’électricité et vous êtes opérationnel. Par contre, si vous vivez dans un appart récent avec des murs en placo, un simple système mesh WiFi fera probablement l’affaire pour moins cher.

Maintenant le truc qui pique un peu mais quand on aime on ne compte pas, c’est le prix. Comptez environ 400-470 euros le kit Multiroom (3 adaptateurs) selon les revendeurs. C’est cher, mais quand l’alternative c’est de tirer des câbles Ethernet à travers toute la baraque ou de galérer avec un mesh WiFi capricieux dans une vieille baraque, ça se défend. Et Devolo offre une garantie de trois ans, donc vous êtes tranquille.

Notez qu’il existe aussi un Starter Kit à deux adaptateurs autour de 240-260 euros si vous avez une surface plus modeste.

Donc voilà, pour mon local technique et mes caméras WiFi, le Devolo Magic 2 WiFi 6 Next fait très bien le job. Après c’est comme tout, c’est une solution miracle mais pour des cas comme le mien où le WiFi classique ne suffit pas et que les distances sont trop grandes, ça change la vie ! Et maintenant j’ai un super wifi pour bosser dans le jardin et faire mes tests de caméras !

Hier — 21 octobre 2025Flux principal

Comment se débarrasser de Liquid Glass sous macOS 26 Tahoe ?

Par : Korben
21 octobre 2025 à 11:53

Apple a sorti il y a quelques jours macOS 26 Tahoe avec sa nouvelle interface “Liquid Glass” qui est censée “révolutionner votre expérience utilisateur”. Mais bon ça plait pas à grande monde… Y’a soit les gars comme moi à qui ça en touche une sans faire bouger l’autre. J’ai même pas trop vu la différence à vrai dire. Puis y’a les gens qui veulent la désactiver le plus vite possible.

Le problème c’est que quand Apple lance un truc “révolutionnaire” que tout le monde cherche à virer, c’est jamais simple !

Pour ceux qui en sont encore à se demander s’il faut passer sous Windows 11, sachez que Liquid Glass, c’est cette nouvelle couche visuelle qu’Apple a plaquée sur macOS 26. C’est de mon point de vue, une bonne grosse idée marketing pour nous vendre de la transparence, de la luminosité, des effets de flou artistique partout. Ça fait joli dans les keynotes avec les animations fluides et des transitions qui brillent sauf qu’en vrai, sur le Mac, ça donne surtout des menus où on voit que dalle et des fenêtres où le texte est en partie illisible.

Voilà donc le premier vrai gros problème de Liquid Glass, c’est la lisibilité. Les menus sont tellement transparents que vous ne voyez plus ce qui est écrit dedans et le Centre de contrôle c’est une abomination, avec des couches de blanc sur du blanc et juste une petite ombre portée ridicule pour différencier les éléments.

Et le pire, c’est que c’est pas un design pensé pour Mac. C’est un design iOS qu’Apple a voulu coller de force sur macOS. Les boutons arrondis façon Liquid Glass qui sont super réactifs sur un écran tactile, bah sur Mac avec une souris, c’est juste des boutons tout naze et vu que les barres d’outils c’est partout dans macOS, on se tape ça en permanence !

Certains utilisateurs bien OuinOuin relous se plaignent même de fatigue oculaire. Le contraste bas, la transparence excessive et l’encombrement visuel font que tout se mélange dans leur petit cerveau tout mou et au final on passe plus de temps à plisser les yeux pour lire un menu qu’à bosser. Et c’est pas Apple qui va rembourser les séances chez l’orthoptiste !

Heureusement, y’a des solutions pour virer toute cette merde. La première c’est la méthode officielle via les réglages d’accessibilité. Vous ouvrez Réglages Système, vous allez dans Accessibilité puis Affichage, et vous cochez “Réduire la transparence”. Ça désactive pas complètement Liquid Glass mais ça réduit l’intensité de l’effet. C’est mieux que rien.

Mais si vous voulez vraiment tuer Liquid Glass dans l’œuf, y’a une commande qui fait le taf très bien. Vous ouvrez un Terminal et vous tapez :

defaults write -g com.apple.SwiftUI.DisableSolarium -bool YES

Vous redémarrez ensuite votre Mac et hop, Liquid Glass sera un lointain souvenir. Ce qui est marrant, c’est que cette commande suggère que Liquid Glass n’est qu’un simple skin plaquée par-dessus l’interface classique de macOS… donc au final toute cette révolution visuelle incroyable c’est juste un bon gros vernis qui va même surement jaunir avec le temps.

Et pour ceux qui veulent aller encore plus loin, y’a SolidGlass , un petit utilitaire gratuit et open-source qui vous permet de désactiver Liquid Glass soit pour tout le système, soit app par app. Vous le téléchargez, vous lui donnez les permissions d’accessibilité (oui, ça demande pas mal d’accès mais c’est open-source donc vous pouvez vérifier le code), et il vous liste toutes vos apps installées avec des cases à cocher.

Vous cochez une app, vous la relancez, et bim, plus de Liquid Glass sur cette app. C’est parfait si vous voulez garder l’effet sur certaines apps et le virer sur d’autres par contre attention, certaines apps système sont obligées de garder leur effet Liquid Glass. C’est donc parfois impossible à virer mais c’est comme ça. (Merci Apple ^^)

Puis si ça vous plait pas, c’est peut-être le moment de retourner sous Windows ou d’aller découvrir les plaines sauvages de Linux !

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Test Minisforum M1 Pro : un mini PC prêt à l’emploi ou en version barebone

21 octobre 2025 à 09:00

Le Minisforum M1 Pro est un mini PC polyvalent et performant, équipé d'un Intel Core Ultra 125H et de : USB4, OCulink (pour un eGPU), DDR5, Wi-Fi 7, etc...

The post Test Minisforum M1 Pro : un mini PC prêt à l’emploi ou en version barebone first appeared on IT-Connect.

Cet appareil photo pour enfants est tellement génial que j’en veux un pour moi

Par : Korben
20 octobre 2025 à 18:28
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Petite tranche de vie pour commencer. Il y a quelques jours, j’étais invité à l’anniversaire d’un enfant de 4 ans. Comme vous le savez peut-être, mon dada à moi, c’est la photo. Du coup, je me suis mis en quête d’un cadeau sympa sur ce thème, un truc pour l’initier.

Je suis tombé sur cet appareil : un Appareil Photo Instantané de la marque CAMCLID , alors ça a l’air d’être un nom de marque de chinoiserie, mais en vrai ils ont vraiment une grosse gamme d’appareils, et c’est vraiment très chouette**.**

Honnêtement, en voyant le prix (on va y revenir), je me suis dit : “Bon, ça va être un gadget en plastique un peu nul, mais ça fera illusion 10 minutes et ça fera le job pour l’anniversaire”.

Et bien, laissez-moi vous dire que je me suis planté. Mais alors, royalement. Ce truc est complètement génial !

Le “Wow Effect” de l’instantané (sans se ruiner)

Je l’ai déballé pour le tester avant de l’offrir (on est pro ou on l’est pas) et j’ai été bluffé. C’est incroyable. L’appareil permet de prendre des photos, mais surtout… de les imprimer. Tout de suite. Ou à la demande, en choisissant depuis la galerie.

C’est là toute la magie du truc. On n’est pas sur une technologie Polaroid ou Instax qui vous coûte un bras et deux reins à chaque recharge. Non, ici, on parle d’impression thermique sans encre. En gros, ça s’imprime en noir et blanc sur des rouleaux de papier qui ne coûtent franchement* rien* ( les 10 rouleaux sont à 8 balles ici ).

La qualité ? Franchement, c’est chouette. C’est du noir et blanc (avec deux modes : matriciel ou niveaux de gris), mais c’est net, contrasté, et en fait ça a un charme fou. Le gamin peut mitrailler, imprimer 100 photos dans l’après-midi, ce n’est pas grave. C’est absolument super.

Et le meilleur, c’est ce que la marque appelle le “DIY Painting”. L’enfant imprime sa photo et… il la colorie ! Ça transforme un simple jouet tech en une activité manuelle et créative. J’adore.

Plus qu’un simple “imprimeur”

Bon c’est un détail, mais l’appareil fait vraiment pas pal de trucs pour le prix. C’est un vrai petit couteau suisse numérique pour les mômes.

  • Vraies Photos et Vidéos HD : Il ne fait pas qu’imprimer. Il enregistre des photos couleur et des vidéos en 1080P.
  • Carte 32GB fournie : Pas de blague. L’appareil est livré avec une carte microSD de 32 Go déjà installée. Pas besoin de courir en acheter une. On déballe, ça marche.
  • Filtres et Stickers : Évidemment, pour le fun, il y a plus de 20 filtres et cadres photo intégrés. Moustaches de chat, cadres d’Halloween, chapeaux de pirate… De quoi customiser ses œuvres avant l’impression.
  • Zoom 10x : C’est du zoom numérique, donc on ne va pas se mentir, la qualité se dégrade vite. Mais pour un enfant qui veut “voir de plus près” comme un espion, ça fait totalement le job et ça l’éclate.
  • Extras : Ils ont même réussi à coller 3 jeux de puzzle, un mode rafale, un time-lapse et un lecteur de musique. Je vous le dis, c’est un couteau suisse le truc.

L’appareil en lui-même ( le modèle M5 , en bleu pour mon test) est robuste, tient bien dans les petites mains, et l’écran couleur de 2 pouces est suffisant pour viser. La batterie rechargeable promet jusqu’à 4 heures d’utilisation, ce qui est largement assez pour griller un après-midi complet. Il se recharge en USB-C.

Et le prix ?

On en vient au point qui fâche… ou plutôt, qui fait plaisir. L’appareil est affiché sur Amazon à 45,99 € . C’est déjà correct pour un appareil photo instantané + numérique avec carte 32 Go et 3 rouleaux de papier inclus.

MAIS ! Il y a tout le temps des coupons et des promotions, vous pouvez sans problème l’avoir à 30 balles , et même moins.

Un tel prix pour un appareil photo HD, qui filme, qui imprime à volonté sans encre, avec la carte mémoire et les rouleaux inclus ? C’est un grand oui.

Verdict

J’y suis allé franchement à reculons, en pensant acheter une connerie en plastique qui finirait à la poubelle. Je me suis retrouvé avec un produit malin, ludique, créatif et surtout économique à l’usage (le nerf de la guerre avec les enfants).

Pour un anniversaire (la boîte dit 3-12 ans, le petit de 4 ans a adoré, il ne le lâche plus), pour Noël qui approche, ou juste pour initier vos gosses à la joie de la photo papier sans vous ruiner, c’est un immense OUI.

Si ça vous tente, le lien vers la bête est par ici .

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

À partir d’avant-hierFlux principal

Windows 11 ne peut plus se parler à lui-même car Microsoft a cassé localhost

Par : Korben
17 octobre 2025 à 10:23

Vous connaissez ce mème que tous les barbus sans originalité ont sur un t-shirt ou une tasse et qui dit : “There’s no place like 127.0.0.1” ? (Oui moi aussi j’ai eu un t-shirt comme ça ^^)

Ce jeu de mots culte fait référence au Magicien d’Oz et surtout au localhost, qui est l’adresse locale où votre machine se connecte à elle-même. Eh bien mauvaise nouvelle, Microsoft vient de la rendre littéralement inopérante avec leurs dernières mises à jour de merde. Ainsi, Windows 11 ne peut plus accéder à sa propre adresse localhost. C’est fou quand même ! On dirait presque une blague mais non…

Les patchs KB5066835 et KB5065789 sortis en joli mois d’octobre ont pété totalement HTTP.sys, un composant du kernel Windows qui permet aux applications de discuter en local via HTTP/2. Du coup, les connexions vers 127.0.0.1 en HTTP/2 plantent systématiquement avec des messages d’erreur du genre ERR_CONNECTION_RESET ou ERR_HTTP2_PROTOCOL_ERROR.

Votre machine ne se reconnaît plus. Elle est là, elle fonctionne, mais elle ne peut plus se pinguer elle-même. Et évidemment, ceux qui trinquent ce sont surtout les développeurs. Visual Studio ne peut plus déboguer correctement, SQL Server Management Studio refuse de se connecter avec l’authentification Entra ID, l’application Duo Desktop, utilisée pour le 2FA, est complètement KO. Même des softs pros comme Autodesk Vault sont touchés.

Bref, si vous bossez avec du dev local ou des outils qui tournent en localhost, vous êtes dans la mierda.

Microsoft a corrigé dans ce patch un nombre record de 175 vulnérabilités CVE, dont 6 zero-days critiques et ils ont aussi fait le ménage en supprimant un vieux driver Agere Modem vieux de 20 ans qui traînait encore. Ils ont nettoyé, sécurisé, et optimisé Windows un peu plus mais visiblement sans faire quelques vérifications de base. Je trouve ça vraiment surprenant qu’aucun dev chez Microsoft ne s’en soit rendu compte avant que ça parte en prod.

Bon et alors, comment on s’en sort de leur nouvelle connerie ? Hé bien il y a 2 solutions, pas très classes mais qui fonctionnent.

La première, c’est de bidouiller le registre Windows pour désactiver HTTP/2. Vous allez dans

HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Services\HTTP\Parameters

Et vous mettez EnableHttp2Tls et EnableHttp2Cleartext à 0.

Redémarrage obligatoire (C’est Windows, bébé) et voilà !

La deuxième solution, plus radicale, consiste à désinstaller les mises à jour. Un petit coup de

wusa /uninstall /kb:5066835

ou

wusa /uninstall /kb:5065789

dans votre terminal et hop, vous retrouvez votre localhost fonctionnel, sauf que voilà, au bout d’un moment, Windows Update va gentiment vous les réinstaller automatiquement au prochain redémarrage si vous ne faites pas gaffe. C’est un peu comme votre ex toxique qui revient sans cesse dans votre vie…

Le truc encore plus wtf dans cette histoire, c’est que ce bug n’existe pas sur les installations toutes fraîches de Windows 11 24H2. Donc si vous installez Windows 11 proprement depuis zéro, localhost fonctionnera nickel. C’est seulement si vous avez mis à jour votre machine que vous êtes maudit du cul. Microsoft suggère donc “implicitement” que la meilleure solution serait… de tout réinstaller ! Bah ouais, on a que ça à foutre ! Merci du conseil, les gars.

Bref, encore une fois, on a l’impression que les équipes QA de Redmond ont pris des vacances prolongées. Bref, encore un fail monumental ! Bilou reviens, tu nous manques ! ^^

Voilà, donc si vous êtes développeur et que Visual Studio vous fait la gueule depuis début octobre comme un ado qui viendrait de se lever, vous savez maintenant pourquoi. Ce n’est pas votre code qui est pourri (enfin, peut-être qu’il l’est, mais c’est un autre sujet…), c’est juste Windows 11 qui a la gueule de bois !

Home sweet home ? Plutôt “home where is my home ?”, ouais.

Source

Vous perdez parfois vos lunettes ? Cet étui à lunettes connecté est complètement indispensable

Par : Korben
14 octobre 2025 à 11:58

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Salut à tous chers amis geeks distraits ! Aujourd’hui, on va parler d’un objet qui a résolu un de mes plus gros problèmes du quotidien : la perte de mes lunettes. Je n’en porte que depuis quelques mois, et vu le prix que j’y ai mis, et la qualité de déplacements que je fais chaque semaines, les perdre était une angoisse constante. Mais genre vraiment.

Les semaines ont passé, et ce problème s’est amplifié. J’ai maintenant trois paires de lunettes essentielles : mes solaires (parce que le soleil, c’est mal), mes progressives (parce que l’âge, c’est mal aussi) et mes lunettes mi-distance le travail (parce que les écrans H24… bref, vous avez compris).

Trois paires, c’est trois fois plus de chances d’en égarer une. La panique, la perte de temps, le mini-infarctus quand on pense les avoir définitivement perdues sur une aire d’autoroute ou au MacDo à l’autre bout de la France. C’était mon lot quotidien. Jusqu’à ce que je tombe sur l’étui à lunettes connecté FindAll de Satechi . J’en ai acheté trois d’un coup, oui oui. Un pour chaque paire. Et après plusieurs mois d’utilisation intensive, le verdict est sans appel : je ne peux plus m’en passer.

C’est quoi ce truc ?

L’étui Satechi FindAll ressemble à un étui à lunettes classique, mais en plus élégant. Il est pliable, ce qui le rend ultra-plat quand il est vide, et se déplie pour former un prisme rigide qui protège parfaitement vos précieuses binocles. L’extérieur est en cuir vegan, l’intérieur en micro-suède pour ne pas rayer les verres, et la fermeture est magnétique. C’est propre, c’est sobre, ça respire la qualité.

Mais la magie n’est pas là. La magie, c’est que cet étui intègre une puce compatible avec le réseau « Localiser » (Find My) d’Apple. Exactement comme un AirTag, mais directement intégré à l’objet. Fini le bricolage avec un AirTag qui se balade dans l’étui et risque de rayer vos verres. Ici, la technologie est invisible. Et en plus, le truc se recharge en MagSafe, sur n’importe quel chargeur sans fil.

L’installation : 30 secondes chrono

Le jumelage est d’une simplicité enfantine, typique de l’écosystème Apple. Il suffit d’appuyer sur le petit bouton (très discret) de l’étui, d’ouvrir l’application « Localiser » sur son iPhone et de sélectionner « Ajouter un autre objet ». L’appareil est détecté quasi instantanément. Il ne reste plus qu’à lui donner un nom et un emoji pour finaliser la configuration. En moins d’une minute, votre étui est désormais traçable partout dans le monde.

Screenshot

À l’usage, c’est une révolution

Concrètement, cet étui change la donne au quotidien. La fonction que j’utilise le plus est sans conteste l’alerte d’oubli, qui met fin au fameux « Oups, j’ai oublié ». Si je pars d’un restaurant ou du bureau en laissant mon étui derrière moi, je reçois une notification sur mon iPhone avant même d’avoir atteint la porte. Il est aussi possible de faire sonner l’étui assez fort (90 dB) pour le repérer facilement. Enfin, si vous les oubliez vraiment quelque part en ville, le vaste réseau « Localiser » prend le relais, en signalant de manière anonyme et sécurisée la dernière position connue de l’étui sur une carte dès qu’un autre appareil Apple passe à proximité. J’utilise ces étuis depuis plusieurs mois, ça m’a été vraiment utile deux fois, à chaque fois j’avais oublié mes lunettes chez de la famille. Rien de grave donc, mais j’ai été rassuré tout de suite.

Autonomie et recharge ne sont pas un problème.

On pourrait craindre de devoir recharger un énième gadget toutes les semaines. Que nenni ! Satechi annonce une autonomie allant jusqu’à 8 mois. Après plusieurs mois d’utilisation, je n’ai toujours pas eu à les recharger. Enfin, c’est pas tout à fait exact. En réalité je n’en sais rien, car comme je peux les charger sur mes chargeurs MagSafe (aimantés ou non), je les pose de temps en temps, aléatoirement sur mon chargeur d’iPhone, et sans vraiment m’en préoccuper, je les recharge régulièrement, ça n’est même pas un sujet.

Le seul “reproche” qu’on pourrait lui faire est l’absence de la puce UWB (Ultra-Wideband) présente dans les AirTags d’Apple. Vous n’aurez donc pas la fonction « Localisation précise » avec la petite flèche qui vous guide au centimètre près. Mais honnêtement, pour un objet de cette taille, la sonnerie est bien plus efficace et l’absence de l’UWB ne m’a jamais manqué. Après bien sur, il faut que vos lunettes soient dans leurs étuis, mais c’est une habitude que j’ai pris tout de suite, dès qu’elles ne sont plus sur mon nez, je les pose dans leurs étuis, avec leur petite chiffonette s(au passage je vous recommande ces chiffonnettes là, elles sont incroyables).

Bret, indispensable pour les têtes en l’air

En ce moment elles souvent à moins de 40 euros, et même 33 euros au moment où j’écris ces lignes en cochant un coupon sur Amazon .  Cet étui n’est pas un simple gadget. C’est une assurance tranquillité. Le coût de remplacement d’une seule de mes paires de lunettes justifie à lui seul cet investissement.

Si vous portez des lunettes (de vue, de soleil, etc.) que vous êtes un peu distrait, foncez. C’est le genre de produit intelligent, bien pensé et qui répond à un vrai problème, et en plus c’est aussi un chouette cadeau à faire !

J’en profite pour vous informer que j’ai ouvert une petite page sur Amazon avec tous les produits que je recommande et utilise au quotidien, pensez à y faire un petit saut !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

J'ai testé un détecteur de gaz radon et c'est flippant !

Par : Korben
8 octobre 2025 à 17:14
– Article contenant des liens affiliés –

Vous connaissez le radon ? C’est ce gaz radioactif qui s’infiltre insidieusement dans nos maisons depuis le sol. Et si vous habitez en Auvergne comme moi ou en Bretagne ou dans une région où il y a du radon , vous êtes peut-être dans une zone à risque. C’est pour cela que j’ai acheté un détecteur Ecosense EcoBlu EB100 pour voir enfin comment ça se passait vraiment chez moi.

Mais avant de vous parler du produit, laissez-moi quand même vous expliquer ce qu’est le radon… Il s’agit d’un gaz radioactif naturel qui vient de la désintégration de l’uranium présent dans le sol. Il est inodore, incolore, invisible. Vous ne le sentez pas, vous ne le voyez pas, mais il est là. Et le truc, c’est qu’en Auvergne, avec notre sous-sol granitique du Massif Central, on est particulièrement exposé.

Le radon entre donc dans les maisons par les fissures, les passages de canalisations, les caves, les vides sanitaires…etc et remonte du sol pour finir par se concentrer dans les pièces fermées. Et là, c’est pas bon du tout !! Le Centre international de recherche sur le cancer a classé le radon comme cancérigène certain pour le poumon depuis 1987. En France, c’est d’ailleurs la deuxième cause de cancer du poumon après le tabac. Rien que ça ! Le radon c’est donc environ 3 000 décès par an.

Du coup, ça fait un petit moment que je sais que l’Auvergne fait partie des zones les plus touchées en France avec la Bretagne, le Limousin et la Corse, mais je m’en étais pas trop inquiété jusqu’à ce que je lise un article scientifique là dessus. J’ai donc voulu savoir à quoi moi et ma famille on s’exposait parce que bon, c’est vrai qu’en hiver, je suis pas le champion de l’aération ! Puis surtout, on est un peu impuissant face à un truc qu’on ne voit pas. Donc au moins, si on peut le mesurer, on peut agir !

Bref, l’ Ecosense EcoBlu EB100 , c’est un petit boîtier blanc de la taille d’un réveil. Vous le branchez, et en 10 minutes vous avez déjà une première lecture. Après pour un résultat vraiment fiable, il faut attendre une heure. L’écran LED affiche alors le taux de radon en temps réel, la moyenne du jour, de la semaine et du mois. C’est super simple à utiliser !

Initialisation en cours…

Y’a même une alarme qui se déclenche si les niveaux deviennent critiques. Pour info, le seuil de référence en France, c’est 300 Bq/m3 en moyenne annuelle. Au-dessus, il faut agir.

Chez moi, les premiers jours, j’étais à 450 Bq/m3 dans le salon. Carrément au-dessus du seuil donc. Du coup, j’ai fait ce qu’il faut : aérer à fond ! Et assez rapidement finalement, c’est revenu à des taux plus tolérables, autour de 100 Bq/m3, parfois moins. J’ai renforcé la ventilation dans les pièces du sous-sol car c’est par là que ça arrive et surtout j’aére tous les jours. Et ce qui est bien avec cet appareil, c’est que machinalement je pose les yeux dessus et donc j’y pense et j’ouvre les fenêtres.

Sans ça, j’en aurais pas vraiment conscience par contre, et finalement je ne saurais pas si j’aère la maison assez ou pas.

Car ce qui est important à comprendre surtout, c’est que le taux de radon varie tout le temps. Selon la météo, la saison, l’état de vos fondations, le chauffage que vous mettez…etc. En fonction de tout un tas de critères, les taux peuvent monter ou descendre. C’est assez random. Y’a des matin, je me lève et je suis à 30 Bq/m3 et d’autres matins, c’est la fiesta largement au dessus des 300… Bref, l’EcoBlu me permet de surveiller ça en continu.

Après à ce prix, c’est quand même un investissement mais ça vaut le coup si vous êtes en zone à risque et si vous avez une maison ou en rez de chaussée d’apart. Si vous êtes en étage, y’a moins de risque d’être intoxiqué par cette saloperie.

Maintenant ce qu’il faut retenir c’est que le radon, c’est pas une blague. C’est comme si vous fumiez plusieurs clopes tous les jours ! Imaginez ça sur des années, ça craint ! Et si en plus, vous fumez pour de vrai, le risque de cancer du poumon est multiplié par 20.

L’idéal c’est quand même de repasser sous la barre des 100…

Voilà, après en dehors de l’aération, vous pouvez aussi agir sur l’étanchéité de votre maison. Colmater les fissures dans les dalles, les passages de canalisations, mettre une membrane étanche dans la cave si elle est en terre battue, ventiler les vides sanitaires…etc… Bref, limiter les entrées du radon depuis le sol c’est jouable ! L’idéal, c’est évidemment une VMC qui tourne en continu et pas juste une aération ponctuelle car le radon s’accumule quand l’air ne circule pas. Ainsi, plus vous renouvelez l’air intérieur, moins le radon stagne.

Perso, j’ai installé 2 ventilations à la cave comme je vous le disais. C’est mieux que rien, mais ça ne suffit pas.

En tout cas, je ne regrette pas cet achat de détecteur temps réel. Matérialiser un danger invisible, ça change tout et maintenant, que je vois les chiffres, je sais quand il faut aérer, et je sais que je ne me pèle pas les noisettes pour rien en plein hiver. Bref, c’est rassurant surtout !

Voilà, donc si vous êtes en Auvergne, Bretagne, Limousin, Vosges, Alpes, Corse… ou n’importe quelle zone granitique, je vous conseille vivement de mesurer le radon chez vous. Vous serez peut-être surpris… au mieux, vous découvrirez que tout va bien et vous pourrez renvoyer ce détecteur à Amazon et vous faire rembourser et au pire, vous corrigerez ce problème avant qu’il ne devienne grave…

Sources :

Synology capitule et annule le verrouillage des disques durs après 6 mois de boycott acharné

Par : Korben
8 octobre 2025 à 16:44

6 petits mois, c’est le temps qu’il aura fallu à la communauté “NAS” pour faire plier Synology et son délire de verrouillage propriétaire . Comment je le sais ? Hé bien DSM 7.3 vient de sortir, et visiblement, leurs foutues restrictions sur les disques Seagate et Western Digital ont complètement disparu. Woohoo \o/ !

Ça s’est fait sans fanfare, ni excuses, mais juste en mode marche arrière à fond la caisse ! Ouééé, c’est ça qu’on voulait !

Retour rapide quand même sur l’histoire… En avril de cette année, on ne sait pas pourquoi, Synology décide que ses nouveaux NAS DS925+, DS1825+ et DS425+ n’accepteront que leurs propres disques HAT3300 et HAT5300.

Traduction, faudra payer 30 à 40% de plus pour exactement le même matos rebrandé ! Du coup, les Seagate IronWolf et WD Red qui fonctionnaient parfaitement depuis des années, aux chiottes ! Et si vous voulez installer DSM sur un disque non-approuvé, un NAS comme le DS925+ refuse carrément de booter.

Et comme y’a pas de VRAIE raison technique à cela, la réaction a été immédiate et brutale. Les ventes se sont effondrées, les revendeurs ont commencé à recommander activement QNAP, TrueNAS, UGREEN et les clients ont annulé leurs précommandes.

Même les reviewers tech ont qualifié ce move de Synology de “greedy and shortsighted” ce qui pourrait se traduire par cupide et sans vision à long terme…

Et au delà du boycott pur, la communauté s’est aussi bougé le cul. Car pendant que Synology tenait bon sur sa position stuipide, des scripts Python ont fleuri un peu partout sur GitHub pour contourner ces restrictions. Des guides complets ont été publiés sur XDA-Developers expliquant comment se connecter en Telnet et patcher l’installation de DSM pour accepter n’importe quel disque et c’est comme ça que des gens ont commencé à hacker leurs propres NAS qu’ils venaient d’acheter plusieurs centaines d’euros.

C’est ça la vraie passion les gars !! ^^

Puis quand vos propres partenaires commerciaux historiques vous lâchent, vous savez que vous avez merdé…. Breeeef, Synology a fait demi-tour et même si ce n’est pas une révélation éthique (ils ont juste compris que le jeu n’en valait pas la chandelle), c’est tout à leur honneur ! D’autres se seraient entêtés jusqu’à mettre en danger la boite. Je pense par exemple à HP et ses cartouches d’imprimante à puce… Ça s’est soldé par un règlement judiciaire à plusieurs millions et une réputation en charpies.

Voilà… Donc maintenant avec DSM 7.3 qui sort aujourd’hui, les disques Seagate et Western Digital fonctionnent à nouveau comme avant. Le monitoring complet, les alertes, et toutes les fonctionnalités software sont rétablies et ces maudits warnings “unverified” ont disparu. Vous pouvez à nouveau installer ce que vous voulez dans votre NAS comme si de rien n’était !

Ouf ! Encore une victoire de canard gagnée en votant avec le portefeuille !

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Microsoft continue sa guerre contre les comptes locaux Windows 11...

Par : Korben
7 octobre 2025 à 15:00

Putain, ils sont relous chez Microsoft ! Vous vous souvenez quand Microsoft a supprimé la commande oobe\bypassnro en mars dernier ? Cette petite astuce permettait tout simplement d’installer Windows 11 sans compte Microsoft et sans connexion internet. Les geeks ont alors râlé pendant 48 heures, puis quelqu’un a découvert une nouvelle parade : start ms-cxh:localonly. C’est une commande magique qu’il suffisait de taper pendant l’installation (Shift+F10, vous connaissez la manip..) pour contourner l’obligation d’avoir un compte en ligne.

Eh bien devinez quoi ? Microsoft vient de colmater cette “faille” aussi.

Bref, dans une nouvelle build test de Windows 11 publiée le 6 octobre dernier, Amanda Langowski du Windows Insider Program a annoncé officiellement que toutes les méthodes connues pour créer un compte local pendant l’installation sont en train d’être supprimées. La raison officielle c’est que ces mécanismes contourneraient des étapes critiques de configuration et laisseraient des appareils pas complètement configurés.

Mouais, ça sent un peu le prétexte bidon pour justifier une décision déjà prise depuis longtemps, vous ne trouvez pas ?

Concrètement, si vous essayez maintenant la commande start ms-cxh:localonly sur les nouvelles versions, elle réinitialisera simplement le processus d’installation et vous ramènera au point de départ. Bref, game over, Microsoft a gagné cette bataille.

Après vous allez me dire mais alors pourquoi tant de haine de la part des utilisateurs contre ce fichu compte Microsoft ??

Et bien déjà, il y a cette histoire débile du nom de dossier utilisateur car quand vous créez un compte Microsoft, Windows 11 génère automatiquement un nom de dossier à partir de votre adresse email. Donc c’est jamais ce qu’on veut, même si maintenant avec cette update, on peut d’après ce que j’ai compris régler ça à l’aide d’une commande un peu planquée.

Ensuite, il y a la question de contrôle car un compte Microsoft, c’est la synchronisation automatique de vos paramètres, de vos données, de votre historique. Du coup, c’est Edge qui s’impose, c’est Bing qui devient votre moteur de recherche par défaut, c’est OneDrive qui se synchronise que vous le vouliez ou non. Alors pour quelqu’un qui veut juste installer Windows proprement, sans toute cette couche de services Microsoft, c’est l’enfer !

Et je ne parle même pas des techos qui installent des dizaines de machines pour des clients. Faut se créer un compte Microsoft temporaire à chaque fois, puis le supprimer, puis reconfigurer… C’est du temps perdu pour rien. Le compte local, c’était simple, rapide, et efficace.

Mais bon Microsoft s’en fout royalement. Pour eux, Windows 11 est devenu surtout un portail vers leur écosystème de merde et plus vraiment un OS qui vous appartient vraiment. Vous payez votre licence, certes, mais la vraie valeur pour Microsoft, c’est que vous soyez connecté à leurs services. Tout ce qui est données de télémétrie, habitudes d’utilisation, publicités ciblées dans le menu Démarrer…etc, tout ça ne fonctionne qu’avec un compte en ligne.

Mais bon, rassurez-vous, il reste encore des solutions. Enfin, pour l’instant…

Rufus , l’outil de création de clés USB bootables, propose toujours des options pour créer une installation Windows 11 sans compte Microsoft. Vous pouvez aussi passer par des modifications du registre pendant l’installation, mais c’est un peu plus technique. Et si vous avez Windows 11 Pro ou Enterprise, l’option “Domain join” permet encore de créer un compte local, mais pour combien de temps ?

Pour le moment, Microsoft s’attaque aux méthodes faciles, celles que monsieur et madame tout-le-monde peuvent utiliser en suivant un tuto, mais je ne serais pas surpris que dans 6 mois, Microsoft s’attaque aussi à Rufus, à Flyoobe ou aux ISO modifiées.

C’est dommage je trouve car ce qui faisait le charme de Windows depuis toujours c’était justement de pouvoir le bidouiller jusqu’à l’os. En plus pour une boite qui se présente comme champion de l’open source depuis quelques années, c’est un move un peu bizarre… WSL pour faire tourner Linux sous Windows, VSCode qui est devenu l’éditeur de code préféré de la planète, GitHub racheté et mis à disposition gratuitement… C’est cool, mais côté Windows pur, ils font l’exact l’inverse de tout ça en verrouillant un max !

Rassurez-vous, Microsoft n’est pas le seul à suivre cette mauvaise pente… Apple aussi pousse de plus en plus iCloud sur macOS et je ne vous parle pas de Google qui rend ses services quasi-inutilisables sans compte. Bref, tout devient “service en ligne” même quand ça ne devrait pas l’être et ce PC qu’on possédait vraiment, celui sur lequel on configurait comme on voulait tout ce qu’on voulait est en train de disparaitre.

Bien sûr, vous pourrez toujours compter sur moi pour que je vous partage des astuces ou des outils pour contourner toutes ces limitations techniques à la con mais franchement, c’est fatigant. Je comprends que Linux fasse chavirer de plus en plus de cœurs…

En attendant, vous l’aurez compris, direction Rufus pour installer Windows 11 avec un compte local. Et dépêchez-vous avant que Microsoft décide que ce sera la prochaine cible à abattre !

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Test de la nouvelle Logitech MX Master 4 : la souris ultime

Par : Korben
6 octobre 2025 à 11:21

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

La Logitech MX Master 4 apporte quelques ajustements bien sentis à une formule déjà très aboutie. Haptique, gestes, ergonomie : tout est là pour une expérience fluide et efficace, que ce soit sur Mac ou PC. Je l’ai testé ici sur Mac, avec un constat simple : difficile de trouver mieux.

Une évolution, pas une révolution

Avec la MX Master 4 , Logitech ne bouleverse pas sa recette. Et tant mieux. Le design reste globalement le même que celui de la 3S : une souris sculptée pour les droitiers, pensée pour épouser la main sans effort. Les matériaux ont été revus : fini les revêtements soft-touch qui s’abîment vite et étaient vite sales, place à des plastiques plus bruts mais plus durables. Les clics sont encore plus silencieux, les boutons mieux positionnés, et la glisse gagne en souplesse grâce à des patins PTFE beaucoup plus larges. C’est une mise à jour maîtrisée, centrée sur l’usage et l’optimisation.

Screenshot

L’Action Ring change la donne

La vraie nouveauté, c’est l’Action Ring. Un menu circulaire qui s’affiche autour du curseur quand on presse le nouveau bouton sous le pouce, baptisé Haptic Sense Panel. On y place jusqu’à huit raccourcis personnalisés : apps, dossiers, fonctions système… Le retour haptique, ultra satisfaisant, vient valider les actions avec une petite vibration, discrète mais efficace. Le tout s’intègre parfaitement à macOS et Windows via Logi Options+, qui permet de créer des profils différents selon les applications. À l’usage, on gagne du temps. Beaucoup.

Une personnalisation très poussée

Comme les modèles précédents, la MX Master 4 mise sur la personnalisation : sept boutons configurables, deux molettes (verticale motorisée, horizontale crantée), capteur 8 000 DPI, compatibilité multi-appareils, et désormais une couche haptique ajustable.

On peut choisir l’intensité des vibrations, désactiver certaines fonctions, ou encore créer des macros avec les Smart Actions. Pour aller plus loin, un marketplace propose des plugins selon les apps : Adobe, Zoom, Excel, Figma, etc. Peu nombreux pour l’instant, mais en développement.

Screenshot

Mac vs PC : rien de majeur

La version Mac, testée ici, se distingue surtout par ses coloris exclusifs (Space Black, White Silver). Elle est livrée sans dongle USB-C (présent sur la version PC). Mais à l’usage, aucune différence en termes de performance ou de fonctions, contrairement à la MX Master 3S qui était moins performantes en Bluetooth (perso j’avais acheté le dongle à part). Dans tous les cas, la souris est pleinement compatible avec macOS ET Windows.

Une autonomie solide et une vraie réparabilité

Côté autonomie, Logitech annonce 70 jours sur une charge complète. Et bonne nouvelle : on peut recharger tout en continuant d’utiliser la souris (contrairement à la Magic Mouse…). Autre point à noter : la facilité de démontage. Pas besoin d’arracher les patins pour accéder aux vis, et des pièces comme la batterie seront disponibles en remplacement. Une rareté sur ce segment.

On en dit quoi ?

La MX Master 4 n’est pas une révolution, mais c’est clairement une des meilleures souris du marché pour un usage pro ou créatif. Confort, silence, fluidité, personnalisation : tout y est. L’Action Ring est au final un vrai plus une fois adopté, et l’intégration au système macOS est bien pensée. Même si vous avez une 3S, ça peut valoir le coup d’investir, croyez-moi ! Reste juste à espérer qu’un jour Logitech pense aux gauchers. Elle est dispo sur Amazon en cliquant ici !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Test de la Xerox C235, l'imprimante multifonction qui assure

Par : Korben
30 septembre 2025 à 18:47
– Article en partenariat avec Xerox –

Xerox m’a gentiment envoyé leur imprimante multifonction C235 à tester et franchement, je dois avouer que je ne m’attendais pas à ce qu’une imprimante me fasse encore de l’effet en 2025. Mais bon, vu que j’imprime encore pas mal de trucs et que mon ancienne commençait à rendre l’âme, autant vous faire un retour complet.

La C235, c’est donc une laser multifonction couleur qui fait tout : impression, scanner, photocopieuse et même fax si vous êtes du genre nostalgique. C’est compact, ça tient dans 41 x 39 x 34 cm pour environ 20 kg , donc vous pouvez la caser dans un bureau sans qu’elle squatte toute la place. Elle crache du 24 pages par minute en noir comme en couleur, ce qui reste très correct pour un usage domestique ou une petite structure.

Ce que j’ai kiffé d’entrée, c’est l’installation. Vous branchez le câble USB, Ethernet ou vous la connectez en Wi-Fi, et en quelques minutes c’est plié. Xerox a également bien bossé l’interface, avec un écran tactile couleur de 2,4 pouces qui rend la navigation plutôt intuitive. Pas besoin de sortir le manuel de 200 pages pour comprendre comment lancer une impression recto-verso ou scanner un document. D’ailleurs, le recto-verso automatique, ça change la vie quand vous imprimez des dossiers de plusieurs pages. Puis ça économise du papier et du temps.

Le scanner intégré possède un chargeur automatique de 50 feuilles, ce qui est bien pratique pour numériser des piles de documents. Par contre, petite déception : le chargeur automatique ne gère pas le recto-verso. Du coup, si vous voulez scanner les deux faces d’une pile de feuilles, il faudra retourner le tas à la main et relancer le scan. C’est un peu dommage sur une machine de ce standing, mais bon, on fait avec…

Côté qualité d’impression, rien à redire. Le rendu laser est net, précis, les couleurs sont fidèles sans être ultra-saturées. Je n’ai jamais eu d’imprimantes lasers et je peux vous dire que ça n’a rien à voir avec les jets d’encre ! Pour des documents pros, des présentations ou même des photos imprimées sur du papier correct, ça fait le job sans broncher.

La première page sort même en moins de 11 secondes, ce qui évite d’attendre comme un idiot devant l’imprimante en se demandant si elle a bien reçu le fichier. Et surtout, la compatibilité est au rendez-vous : AirPrint pour les fans d’Apple, Mopria pour les Android, Chromebook aussi, et bien sûr le bon vieux Wi-Fi Direct si vous voulez imprimer directement depuis votre smartphone sans passer par le réseau. Xerox a pensé à tout le monde, et ça, c’est appréciable.

Bon, maintenant parlons du point qui fâche : les consommables. Xerox fournit des toners “starter” qui tiennent environ 500 pages donc autant dire que si vous imprimez régulièrement, vous allez vite devoir racheter des cartouches. Et là, selon les retours utilisateurs sur Amazon et autres sites, le prix des toners peut vite piquer. C’est le classique piège des imprimantes : la machine coûte environ 300 euros, mais il faut bien calculer le coût à la page sur le long terme. Si vous imprimez beaucoup, ça peut vite chiffrer.

Autre petit détail qui aurait pu être mieux : la capacité du bac papier. Avec un magasin de 250 feuilles et un chargeur manuel d’une feuille, c’est correct pour un usage modéré, mais si vous êtes une petite boîte qui imprime des centaines de pages par semaine, vous allez recharger souvent. Rien de rédhibitoire cela dit, mais c’est bon à savoir.

Au final, la Xerox C235 se révèle être une excellente machine pour qui cherche une imprimante multifonction fiable et compacte. Elle fait le boulot proprement, l’installation est rapide, la qualité d’impression au rendez-vous et les fonctionnalités sont complètes. J’ai été également super surpris par le peu de bruit qu’elle fait. C’est assez agréable… Sans oublier le recto-verso automatique et la connectivité sans fil sont des vrais plus, je trouve.

Bref, pour un bureau à domicile ou une petite équipe qui a besoin d’une imprimante qui tient la route sans se prendre la tête, c’est un excellent choix !

Page officielle Xerox C235

Test EcoFlow RAPID Pro : un chargeur de bureau et une batterie externe haut de gamme

30 septembre 2025 à 18:30

Découvrez la gamme RAPID Pro de chez EcoFlow, avec une batterie externe dotée d'un câble USB-C intégré et un chargeur de bureau 6-en-1 pour tous vos appareils.

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Test des AirPods Pro 3 : Apple a-t-il (encore) créé les écouteurs parfaits ?

Par : Korben
29 septembre 2025 à 15:54
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Les nouveaux AirPods Pro 3 sont arrivés, et avec eux, la promesse d’une expérience audio encore améliorée. Après quelques jours d’utilisatio intensive, le constat est clair : Apple a su peaufiner une formule déjà très efficace pour livrer des écouteurs sans fil qui excellent clairement sur les points essentiels. Ce sont toujours les meilleurs écouteurs qui soient, que vous soyez sur iPhone ou Android.

Qualité sonore : la précision avant tout

À la première écoute, on ne note pas de révolution, mais une évolution qui s’entend quand même. Le profil sonore a été retravaillé pour offrir plus de présence dans les basses. Celles-ci sont plus profondes, plus rondes, ce qui donne une assise sonore solide à l’ensemble. On peut y voir un rapprochement avec la signature de certains casques Bose, connus pour leur chaleur. Pour autant, les médiums et les aigus sont aussi clairs et détaillés, et proposent une bonne polyvalence sur tous les styles musicaux, des podcasts aux morceaux les plus complexes.

La véritable avancée de ses petites beautés se situe au niveau de la réduction de bruit active (l’ANC). Sans être une rupture totale avec la génération précédente, son efficacité a été encore améliorée augmentée. Les bruits de fond constants, comme ceux que l’on subit dans les transports en commun, sont filtrés avec une efficacité redoutable. Les nouveaux embouts aident probablement, on y reviendra. Le mode “Transparence Adaptatif” est également de plus en plus convaincant : il atténue les bruits soudains et agressifs (travaux, sirènes) sans vous couper complètement de votre environnement. C’est un vrai plus au quotidien.

De plus en plus confortables

Le confort a été l’un des axes d’amélioration. Apple fournit désormais une nouvelle taille d’embouts en silicone, permettant à une plus grande majorité d’utilisateurs de trouver un ajustement stable et confortable. Pour ma part, cela a réglé les soucis de tenue que je pouvais rencontrer quand j’allais courir avec mes AirPods par exemple.

J’ai également pu tester la fonction de test auditif. C’est rigolo, et potentiellement interessant si vous avez le sentiment d’avoir des problèmes d’audition. Ca dure 5 minutes, et ça fini par vous dire votre niveau d’audition. Ca semble assez sérieux.

Une compatibilité Android efficace

C’est souvent le point qui fâche, mais Apple a assuré sur ce point. Une fois appairés en Bluetooth standard à un smartphone Android, les AirPods Pro 3 délivrent leurs qualités premières : l’excellente restitution sonore et une réduction de bruit active très performante, que l’on active par une pression longue sur la tige.

Bien entendu, l’intégration n’est pas aussi poussée qu’avec un iPhone. On fait l’impasse sur l’appairage rapide, la bascule automatique entre les appareils ou l’Audio Spatial avec suivi des mouvements de la tête. (que je n’utilise de toutes manières pas sur iOS). Cependant, pour une utilisation centrée sur l’écoute de musique et la gestion des appels avec ANC, l’expérience est tout à fait qualitative. Ces manques ne sont pas bloquants pour qui cherche avant tout la performance audio.

La puce qui équipe ces écouteurs leur ouvre des perspectives intéressantes. On pense en particulier à la fonctionnalité de traduction en temps réel, qui a été annoncée mais qui n’est pas encore disponible en Europe. Son arrivée, probablement via une mise à jour logicielle, viendra encore enrichir l’écosystème.

Bref, perso je sur-valide. Ces AirPods Pro 3 ne réinventent pas le concept, mais ils l’optimisent sur tous les plans. Avec une qualité sonore améliorée, une réduction de bruit de premier ordre et un confort clairement amélioré, ils se positionnent comme un choix solide et une référence difficilement détrônable sur le marché. Leur compatibilité assurée avec Android pour les fonctions clés les rend d’autant plus recommandables ! Ils sont dispos en livraison rapide sur Amazon en cliquant par ici.

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Test Geekom A9 Max : l’infatigable mini PC avec un AMD Ryzen AI 9

29 septembre 2025 à 13:00

Le Geekom A9 MAX est une bête de course : il est ultra-réactif et parvient à faire tourner des jeux gourmands. Un mini PC redoutable dans de nombreux scénarios.

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macOS Tahoe - FileVault enfin déverrouillable à distance

Par : Korben
25 septembre 2025 à 15:56

Bon, on va pouvoir l’avouer maintenant, tous ceux qui se la racontent parce qu’ils peuvent prendre le contrôle à distance de leur joli Mac, ont la même galère depuis que FileVault existe… En effet, après une coupure de courant ou une mise à jour du système, votre super serveur Mac redevient une boite à chaussure jusqu’à ce que quelqu’un déplace son gros cul d’admin sys pour taper le mot de passe sur un clavier tout ça.

Et là, on a Jeff Geerling qui nous annonce l’air de rien qu’Apple vient enfin de “légaliser” la bidouille qu’on utilisait tous en douce à savoir déverrouiller FileVault à distance via SSH dans macOS Tahoe.

Ce qui était donc avant une astuce d’admin système un peu à la one again (script d’autologin / désactiver le chiffrement…etc) devient maintenant une fonctionnalité officielle. Sous macOS 26 Tahoe, si vous activez la “Session à distance” dans les réglages de partage, vous pouvez maintenant vous connecter en SSH avant même que l’utilisateur se soit authentifié. Un admin tape son mot de passe à distance et hop, le Mac démarre complètement. La documentation officielle explique même que le SSH se déconnecte brièvement pendant le montage du volume, puis revient. C’est la classe !

Par contre, petit détail qui tue, c’est censé fonctionner en WiFi mais Jeff Geerling qui a testé l’astuce n’a réussi à se connecter qu’en Ethernet. Il pense qu’en Wifi, ça ne passe pas parce que les clés réseau sont dans le Keychain, qui est lui-même chiffré sur le volume verrouillé. C’est le serpent qui se mord la queue (oui, vous le savez d’expérience, ça fait mal de se mordre la queue)… Du coup, tous ceux qui ont des Mac mini planqués derrière leur télé en mode serveur Plex, vont devoir tirer un petit câble RJ mais bon, vrai bonhomme fait vrai réseau en Ethernet, le Wifi c’est pour les faibles, ouga-ouga !

Cette nouvelle fonction arrive pile poil au moment où Apple change aussi la façon dont FileVault stocke les Recovery Keys. Selon TidBITS , fini le stockage basique dans iCloud, maintenant c’est dans l’iCloud Keychain avec chiffrement de bout en bout.

Quoiqu’il en soit, cette fonction très pratique pour les admins autorise quand même potentiellement de nouvelles attaques pre-auth sur les Mac, car avant, un Mac avec FileVault activé était une forteresse imprenable au démarrage. Mais maintenant, si vous avez activé le SSH distant, il y a une nouvelle surface d’attaque avec laquelle s’amuser. Alors oui, faut toujours le mot de passe admin mais bon, c’est moins sympa qu’une vraie sécurité physique…

En tout cas, tous les vieux de la vieille qui gèrent des fermes de Mac mini pour du CI/CD ou du rendu sont aux anges ! Plus besoin de supplier le stagiaire d’aller dans la salle serveur après chaque reboot, par contre, les puristes de la sécurité font un peu la grimace car cette connexion SSH, c’est du password-only pour l’instant. Apple a encore fait les choses à moitié, comme d’hab.

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Mini PC Geekom : jusqu’à 16% de réduction sur les modèles A6 et IT13 2025 Édition

23 septembre 2025 à 11:00

À l'occasion de son 22ème anniversaire, Geekom propose des remises sur ses mini PC : 11% sur le Geekom A6 et 16% sur le Geekom IT13 2025 Edition.

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Geekom célèbre ses 22 ans en commençant avec 250 € de réduction sur le GEEKOM IT15

22 septembre 2025 à 11:57

Geekom fête ses 22 ans avec des promos exclusives sur ses mini PC : découvrez la première offre spéciale sur le mini PC Geekom IT15 équipé d'un Core Ultra 9.

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macOS Tahoe rame ? J'ai peut-être la solution

Par : Korben
22 septembre 2025 à 10:36

Les amis, je ne sais pas si vous êtes sous Mac, mais si c’est le cas, vous avez peut-être succombé à la mise à jour vers macOS Tahoe.

En tout cas, moi, j’ai fait la migration, et franchement, j’ai vu aucune différence, à part quelques petits aspects graphiques par-ci par-là. En tout cas, ça m’a pas hypé de fou, ni traumatisé non plus.

Par contre, ce qui m’a VRAIMENT traumatisé, ce sont les performances de mon Mac Studio M4 Max qui est quand même assez puissant et qui se retrouve à tourner comme un escargot asthmatique fumeur de joints. Cela se produit notamment lorsque je lance mes lives sur Twitch et c’est assez handicapant pour ne pas dire inutilisable… Le scroll est lent, les applications rament, mes streams lagguent, c’est l’enferrrrr et ça me met de mauvaise humeur !

Et après avoir été faire un tour sur Reddit, ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a beaucoup de gens dans mon cas qui gueulent contre cette nouvelle version de Mac OS parce qu’elle est buggée, parce qu’elle rame, parce que ce n’est pas ouf. Donc déjà, je voudrais dire un gros “bouuuuh” à Apple.

Moi, ce qui me posait vraiment problème sur mon macOS, c’est le processus WindowServer qui tournait à FOND les ballons. Alors, effectivement, j’aurais pu croire que c’était un malware qui minait des bitcoins en douce, mais, bon, je fais un petit peu attention, quand même…

Non, non, non, c’est du ralentissement natif by design made in Cupertino.

Après moult péripéties, j’ai donc trouvé comment régler ce problème (jusqu’au problème suivant…). Je vous livre donc cette petite astuce si vous aussi vous avez WindowServer qui part dans les choux après la mise à jour vers Mac OS Tahoe.

Allez dans les réglages au niveau de la section énergie et vérifiez que vous n’avez pas activé le mode économie d’énergie. Moi, en tout cas, c’est ce mode-là qui m’a mis dedans. J’ai l’impression que ça bride l’ordinateur et le système d’exploitation, bref que c’est mal géré et ça fait tout ramer.

Du coup, en désactivant ce truc, mon ordinateur est redevenu à nouveau utilisable. Woohoo !

Donc j’attends la prochaine mise à jour Apple, mais, bon, voilà, en attendant, essayez au moins ça, vous verrez si ça marche.

Et, après, pour tous les autres problèmes liés à Spotlight, à l’indexation des photos, ce genre de trucs, faut parfois redémarrer, tuer les processus, désactiver, par exemple, dans iCloud la synchronisation des contacts (process contactd) sur des comptes Gmail ou Exchange

Ou virer des choses dans la config de Spotlight, ce genre de truc, en attendant un fix…

Voilà, bon courage à tous les galériens fans de la pomme et à très bientôt !

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