Dans le match entre Washington et Pékin, la voiture électrique constitue à elle seule un enjeu maximal. L'Europe, elle, assiste impuissante à ce duel au sommet, pointe cet article de The Conversation.
Une étude révèle que 80 % des fausses informations sur Twitter pour l'élection présidentielle américaine de 2020 venaient de seulement 0,3 % des utilisateurs.
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Des familles de victimes et de survivants de la fusillade d'Uvalde, survenue au Texas, assignent Activision et Meta en justice. L'éditeur de Call of Duty est notamment accusé « d’entraîner et d’habituer des enfants à tuer ». Le lien entre jeux vidéo et violence n'est cependant pas prouvé.
Deux étudiants ont trouvé une vulnérabilité dans l'app d'une société opérant des laveries, leur permettant de lancer des cycles de lavage gratuitement. Ils ont contacté l'entreprise, qui ne leur a jamais répondu, mais a vidé leur solde.
Kim Dotcom, ce nom vous dit quelque chose ? Normal, ça fait plus de 12 ans que ce personnage haut en couleur fait les gros titres avec les mésaventures judiciaires de Megaupload, son célèbre site de partage de fichiers fermé en fanfare par le FBI en 2012, que je regrette chaque jour… lol. Depuis, c’est un véritable feuilleton politico-judiciaire qui se joue entre les États-Unis, la Nouvelle-Zélande et l’Allemagne.
Lancé en 2005, Megaupload était à l’époque LE site incontournable pour partager et télécharger des fichiers, avec des millions d’utilisateurs à travers le monde. Mais ce succès a attiré l’attention des ayants droit de l’industrie du divertissement qui voyaient d’un très mauvais œil ce business florissant. Tu m’étonnes !
Résultat, un beau matin de janvier 2012, la police débarque chez Kim Dotcom en Nouvelle-Zélande, saisit ses biens et ses serveurs. C’est le début d’une longue saga judiciaire. Les autorités américaines accusent Megaupload de violer les lois sur la propriété intellectuelle en permettant le téléchargement illégal de contenus protégés par le droit d’auteur.
Mais pour Kim Dotcom, il s’agit d’un complot politique orchestré par le gouvernement américain sous influence des lobbies d’Hollywood. Il faut dire que l’affaire tombe à pic après l’échec du SOPA, cette loi anti-piratage très controversée. Kim Dotcom est donc poursuivi depuis des années pour violation de droits d’auteur et blanchiment d’argent mais il contre-attaque sur le terrain juridique et médiatique, dénonçant un acharnement politique. Il accuse notamment le gouvernement néo-zélandais d’être à la botte des États-Unis.
Plus de 10 ans après, les procédures judiciaires sont donc toujours en cours. Les anciens associés de Kim Dotcom ont fini par passer un accord avec la justice en 2022, plaidant coupable en échange de peines réduites (2 ans et demi de prison environ). Mais Kim Dotcom, lui, refuse tout compromis et jure de se battre jusqu’au bout.
De nouveaux rebondissements ont eu lieu récemment. La justice américaine a déposé de nouvelles demandes secrètes auprès des tribunaux, faisant craindre à Kim Dotcom une nouvelle attaque en règle, comme une perquisition ou une révocation de sa liberté sous caution. Il dénonce un système judiciaire biaisé, avec des juges promus pour avoir statué contre lui par le passé.
Bref, difficile de démêler le vrai du faux dans ce dossier complexe mais une chose est sûre, le combat de Kim Dotcom, aussi controversé soit-il, montre que cette guerre au téléchargement illégal est loin d’être finie. Je dirais même sans fin…
Pendant huit ans, un escroc a vendu du matériel informatique contrefait et déguisé en d'authentiques produits de fournisseurs officiels. Il est parvenu à tromper l'armée américaine avec ses faux équipements.
Le leader du gang de hackers Lockbit nie toutes les accusations des forces des polices et affirme qu'elles se sont trompées sur son identité. Des déclarations à prendre avec des pincettes.
Le ministère des Affaires étrangères russe a déclaré que les satellites Starlink de la société SpaceX pouvaient être « des cibles légitimes ». Parallèlement, l'armée russe s'approvisionne en satellites Starlink pour mener sa guerre en Ukraine.
Une opération internationale des forces de police, dont la Gendarmerie nationale, a permis de stopper le plus important groupe de hackers, Lockbit. Les visages de certains membres de ce gang sont connus publiquement.
Les États-Unis s'inquiètent de nouvelles capacités russes, qui touchent à la fois au nucléaire et au spatial. Elles sont jugées « extrêmement préoccupantes » dans la presse. Cependant, la nature de cette menace n'est pas précisée. Des hypothèses existent, avec leurs limites.