Dans ce tutoriel, nous allons apprendre à créer notre première fonction en Bash sous Linux, avec des exemples et l'utilisation de paramètres et valeurs.
Bon, déjà si vous êtes sous Windows, je sais c'est dur la vie ^^. Mais si en plus vous êtes anti-IA, votre quotidien doit être encore plus difficile depuis que Microsoft a décidé de coller de l'intelligence artificielle partout dans son OS. Copilot par-ci, Recall par-là, des features IA dans Paint, dans le Bloc-notes, dans les paramètres... Bref, c'est l'invasion et y'a malheureusment pas vraiment de bouton "OFF" officiel pour tout virer d'un coup.
Hé bien figurez-vous qu'un développeur du nom de zoicware a créé un script PowerShell qui fait exactement ça. Ça s'appelle
RemoveWindowsAI
et ça permet de dégager TOUTES les fonctionnalités IA de Windows 11 en quelques secondes. Aux chiottes Copilot, Recall, les suggestions de frappe, l'IA dans Paint, dans Edge, les effets vocaux... Tout y passe et c'est cool !
Et ce script ne se contente pas de désactiver des options dans les paramètres comme un vulgaire amateur puisqu'il modifie les clés de registre, supprime les packages Appx (même ceux marqués "non supprimables" par Microsoft), nettoie les fichiers cachés dans le Component-Based Servicing, et surtout il installe un bloqueur pour empêcher Windows Update de vous remettre tout ce bazar à la prochaine mise à jour. Parce que oui, Microsoft adore réinstaller ses trucs en douce...
Pour l'utiliser, c'est assez simple. Vous lancez PowerShell en admin (attention, pas PowerShell 7 mais bien le bon vieux Windows PowerShell 5.1) et vous tapez une seule commande qui télécharge et exécute le script. Y'a même une interface graphique interactive pour ceux qui préfèrent cocher des cases plutôt que de taper des lignes de commande (Allez quand même lire le code avant sur le Github pour vous assurer que c'est OK, c'est une bonne habitude à prendre).
Maintenant, quelques précautions à savoir quand même. Certains antivirus merdiques vont hurler au loup en voyant ce script. Rassurez-vous, c'est un faux positif classique avec ce genre d'outils qui touchent au système en profondeur. Faudra soit désactiver temporairement votre antivirus, soit ajouter une exception et surtout, le développeur recommande fortement de tester ça dans une machine virtuelle avant de l'appliquer sur votre PC principal. Avec VirtualBox ou Hyper-V, vous pouvez créer un Windows 11 de test en quelques clics et voir si tout se passe bien.
Et si jamais vous changez d'avis et que vous voulez récupérer vos features IA adorées, pas de panique ! Y'a un mode "Revert" qui permet de tout restaurer. Vous n'êtes donc pas coincé pour toujours si vous décidez finalement de revenir vers le côté obscur de la Force.
Bref, si vous faites partie de ceux qui pensent que l'IA dans Windows c'est plus une nuisance qu'autre chose (et que ça pompe des ressources pour des fonctionnalités dont vous n'avez pas besoin), ce petit script vous sera utile.
Dessiner des schémas en ASCII art, c’est un peu le sport national des devs qui documentent leur code dans des fichiers texte. Sauf que jusqu’ici, soit on se tapait ça à la main caractère par caractère, soit on passait par des outils en ligne qui demandent de se créer un compte et gardent vos diagrammes sur leurs serveurs. Heureusement, Cascii règle le problème puisqu’il s’agit d’un éditeur graphique complet qui tient dans un seul fichier HTML !
Et comme Cascii est écrit en JavaScript pur, y’a aucune dépendance, aucun framework, aucun npm install…etc. Vous téléchargez juste le fichier HTML, vous l’ouvrez dans votre navigateur, et c’est parti mon kiki.
Et pour l’installer, une commande suffit :
curl https://cascii.app -o cascii.html && open cascii.html
Ahaha ouais c’est la commande curl la plus nulle de l’histoire des commandes curl mais ça vous montre que je n’abuse pas.
Côté fonctionnalités, on a donc tout ce qu’il faut pour dessiner des diagrammes propres. Des lignes libres, des lignes en escalier, des carrés, des cercles, des losanges, du texte, des tableaux. Un système de calques permet d’organiser les éléments et de les grouper. Le plus malin, je trouve, c’est les “jointures intelligentes” qui connectent automatiquement les formes entre elles… parce que dessiner des flèches qui arrivent pile au bon endroit à la main, c’est l’enfer. Même comme ça, je suis pas doué, cela dit…
Ne le jugez pas…
L’éditeur propose plusieurs charsets tels que ASCII classique ou Unicode pour ceux qui veulent des lignes plus jolies et il y a 3 styles de lignes (pointillées, solides fines, solides épaisses) ainsi que des flèches directionnelles. Côté thèmes, du sombre, du clair, ou un mode “console” pour les nostalgiques du terminal.
La sauvegarde se fait automatiquement dans le stockage local du navigateur, donc même si vous fermez l’onglet par erreur, votre travail n’est pas perdu et pour partager ou archiver, il y a un export en Base64 qui permet de tout récupérer plus tard. Si vous utilisez la version hébergée sur cascii.app, vous pouvez aussi générer des liens courts pour partager vos créations.
Le projet est sous licence Apache 2.0 et le code source est dispo sur
GitHub
et pour les raccourcis clavier, c’est du classique : Ctrl+Z pour annuler, Ctrl+C/V pour copier-coller, Ctrl+G pour grouper des éléments, Shift+Click pour la multi-sélection. L’historique est illimité donc vous pouvez revenir en arrière autant que vous voulez.
Voilà, si vous documentez du code, dessinez des architectures système ou avez juste besoin de faire un petit schéma rapide sans sortir l’artillerie lourde,
Cascii
fera le job !
Vous vous souvenez de Notch, le créateur de Minecraft ?
Avant de devenir milliardaire dépressif à temps plein en vendant son jeu à Microsoft, le bonhomme participait à des game jams et pondait des petits jeux en moins de 48 heures. Et
Prelude of the Chambered
c’était justement l’un de ces projets, créé lors de la Ludum Dare 21 en août 2011 avec le thème “Escape”. Un dungeon crawler à l’ancienne façon Dungeon Master ou Eye of the Beholder, codé en Java.
Le projet s’appelle
Prelude of the Chambered: Reborn
et c’est donc une réécriture complète du code original. Aux chiottes le Java, et bonjour le TypeScript moderne avec Vite pour le build. Le rendu 3D utilise uniquement le Canvas 2D et du raycasting software pur, sans WebGL ni accélération GPU. Bref, tout se fait à l’ancienne, comme dans le jeu original, mais en version web accessible depuis n’importe quel appareil.
Le truc cool avec le jeu de Notch, c’est son système de level design. Les niveaux sont définis par des images PNG où chaque couleur de pixel représente un élément du jeu : mur, porte, ennemi, objet… C’est du “data-driven” avant l’heure, et ça permet à n’importe qui de créer ses propres niveaux sans toucher au code. Angelo a bien sûr conservé ce système dans sa version modernisée.
Côté contenu, vous avez six niveaux à explorer : Prison, Dungeons, Overworld, Crypt, Temple et Ice Cave. Y’a des ennemis plutôt variés comme des chauves-souris, des ogres, des yeux flottants, Jordan Bardella et des fantômes (un intrus s’est glissé dans cette liste), plus des versions boss. Votre objectif c’est donc de collecter quatre clés pour vous échapper, tout en ramassant des power-ups comme le Power Glove, un pistolet, des palmes pour nager et des patins à glace. Le jeu se finit en 20-30 minutes, mais attention !!!! Si vous mourrez, vous recommencez tout depuis le début.
D’ailleurs, petit fun fact,
certaines textures d’objets de Prelude of the Chambered
ont été réutilisées par Notch dans Minecraft lui-même, notamment pour les armures en cuir, en fer et les épées. Quand on vous dit que le mec recyclait tout, même les pots de yaourts…
Les contrôles c’est du classique… WASD ou les flèches pour bouger, Q/E pour tourner, Espace pour taper ou utiliser des objets, touches de 1 à 8 pour l’inventaire et y’a même un mode plein écran avec la touche F pour les puristes qui veulent l’expérience immersive complète.
Voilà, si vous voulez découvrir un petit bout d’histoire du jeu vidéo indé et voir ce que Notch était capable de pondre en 48 heures bien avant que Minecraft ne devienne le mastodonte qu’on connaît,
foncez jouer à Prelude of the Chambered: Reborn
.
Merci à Angelo d’avoir partagé sa création lors de mon live
sur Twitch
.
Y’a plein d’images et de scans en PDF sur le net ou sur votre disque dur, qui sont difficilement exploitable / indexables parce que la reconnaissance de caractères n’a pas bien fonctionné. L’OCR automatique a par exemple transformé un mot-clé en charabia et c’est illisible. Du coup, ce passage est perdu dans les limbes et impossible de le retrouver avec une simple recherche textuelle. C’est moche.
Faut dire que le problème est réel car quand on numérise des millions de livres avec un OCR à 90% de précision, ça a l’air génial, sauf que les 10% d’erreurs ne sont pas aléatoires. C’est toujours les mêmes confusions qui reviennent : “A” qui devient “H”, “C” qui devient “G”, “22” qui se transforme en “55”. Et pour les documents historiques avec des polices anciennes, c’est encore pire.
Heureusement, il existe un outil gratuit et open source qui tourne dans votre navigateur et qui va vous permettre de corriger ces milliers d’erreurs OCR sans envoyer vos docs sur les serveurs de Google, Microsoft ou je ne sais quoi d’autre. Cela s’appelle
ScribeOCR
et vous allez l’adorer !
Pourquoi ? Hé bien parce que c’est un éditeur d’OCR open-source qui tourne à 100% dans votre navigateur, donc aucune donnée n’est envoyée sur le net et parce qu’il est capable de corriger toutes les erreurs efficacement ! L’interface affiche le texte OCRisé par-dessus l’image source, comme ça, vous voyez immédiatement où sont les problèmes et vous corrigez tout ça en série.
Et surtout ScribeOCR génère une police custom pour chaque document. Ça vous laisse garder l’apparence originale du doc, tout en ayant un texte parfaitement indexable pour des recherches par exemple. Vous obtenez ainsi un PDF qui ressemble au document d’origine mais où chaque mot est cliquable et cherchable. Bref, c’est super pratique si vous numérisez des archives ou des vieux bouquins.
L’outil supporte plusieurs moteurs OCR dont Tesseract LSTM et Legacy et vous pouvez ajuster les paramètres de reconnaissance selon le type de document : vitesse, qualité, langue…etc. Y’a même des options avancées pour le debug et l’optimisation des polices.
L’outil permet donc de créer des PDF recherchables à partir de scans (c’est le cas classique) mais également de corriger des données OCR existantes, y compris les fichiers HOCR de Tesseract. Et pour numériser complètement des documents ou livres anciens, l’interface de correction vous aidera à faire de l’excellent travail !
git clone --recursive https://github.com/scribeocr/scribeocr.git
cd scribeocr
npm i
npx http-server
Mais si vous voulez juste tester, y’a une démo sur
scribeocr.com
. Vous uploadez votre fichier, vous choisissez votre langue et votre moteur OCR, et hop c’est parti mon kiki.
Et pour les sorties, vous avez le choix : PDF, DOCX, HTML et d’autres formats. Vous pouvez même ajuster les paramètres d’export selon vos besoins. Auto-rotation, optimisation de police, tout est configurable !
Bref, au final
ScribeOCR
répare ces angles morts bien relou de la numérisation massive de documents sans que vous ayez à sacrifier votre vie privée !
BitTorrent c’était le diable dans les années 2000. Y’a eu des procès, des fermetures de trackers, et
une guerre totale contre le piratage
. Mais ça reste quand même une belle techno, notamment pour certaines plateformes de streaming un peu niche et solutions d’entreprise qui s’en servent discrètement afin d’économiser des millions en frais de CDN.
Car oui, avec le P2P, c’est vous qui payez la bande passante (en partie) ^^.
P2P Media Loader
, c’est son nom est donc une lib JavaScript open source qui utilise WebRTC pour faire du streaming vidéo peer-to-peer directement dans votre browser. Vous regardez une vidéo, votre navigateur se connecte à d’autres viewers et vous échangez des segments vidéo entre vous. En gros, c’est comme BitTorrent, mais en version HTML5.
P2P Media Loader est donc la solution parfait pour réduire les coûts de bande passante des plateformes de streaming. Et tout ça de manière totalement transparente !
Techniquement, ça repose donc sur WebRTC et des trackers (comme BitTorrent) qui permettent aux navigateurs de se trouver entre eux (
y’a une démo ici
). Le projet utilise le protocole de signalisation de WebTorrent, ce qui veut dire que vous pouvez utiliser des trackers publics pour débuter, ou installer votre propre tracker si vous voulez gérer des gros volumes.
Et là, ça devient vraiment intéressant niveau scalabilité car avec un petit VPS à 3,50 €/mois et le tracker
wt-tracker
, vous pouvez gérer jusqu’à 20 000 viewers en simultané. Et si vous passez sur
Aquatic
(un tracker écrit en Rust), un serveur dédié 8 cœurs à 10-30€/mois peut tenir une charge de 100 000 viewers en simultané. Et si vous êtes vraiment radin (coucou les Auvergnats), Oracle Cloud offre
un tier gratuit avec 4 cœurs ARM et 24 Go de RAM
qui peut gérer des pics jusqu’à 100k peers sans rien débourser.
Et pour aller au-delà du million de viewers, il faudra passer sur du sharding (découpage en plusieurs trackers) avec différentes stratégies… Soit par contenu, soit par région géographique, soit par hash… Bref, des techniques classiques de distribution de charge, mais appliquées au P2P.
Le truc cool, je trouve c’est que ça fonctionne aussi bien pour du live que pour de la VOD, et même sur les apps mobiles iOS et Android. D’ailleurs, des projets comme
PeerTube
l’utilisent déjà pour réduire leurs coûts d’hébergement.
Bref, votre browser devient un mini-CDN en tout discrétion et ça permet aux personnes qui montent des infras de streaming, d’économiser de la thune.
Bon, si vous me lisez depuis loooongtemps, vous connaissez forcément le risque que représentent les métadonnées contenues dans les images que vous partagez en ligne. Oui, je parle bien des fameux EXIFs qui contiennent aussi bien le modèle d’appareil photo utilisé, l’heure précise à la seconde près où vous avez pris le cliché, les réglages de l’objectif, parfois même l’altitude, et surtout les coordonnées GPS exactes de l’endroit où vous étiez.
Et toutes ces données, si vous mettez vos photos en ligne par exemple, chez Google ou Apple, et bien eux les récupèrent et les utilisent. C’est dommage, surtout que ce sont des données qui sont quand même utiles pour peu qu’on garde ça en local sur sa machine.
Alors que faire ?
Hé bien, il existe un logiciel open source sous licence MIT qui s’appelle
ChronoFrame
. C’est une galerie photo que vous pouvez héberger vous-même, qui va parser automatiquement toutes les données exif de vos clichés, extraire la géolocalisation, faire du reverse géocoding pour identifier le lieu exact et afficher tout ça sur une espèce de carte interactive sur laquelle vous pouvez naviguer pour revoir vos souvenirs de voyage.
En gros c’est comme Google Photo sauf que c’est vous qui gérez vos données et vous contrôlez qui accède à quoi.
L’intérêt de ChronoFrame, c’est qu’il rend visible l’invisible. Vous uploadez une image, ChronoFrame lit les métadonnées, extrait les coordonnées GPS si elles existent, et lance un appel à l’API
Mapbox
ou
MapLibre
pour faire du reverse geocoding. Ça, ça veut dire transformer des coordonnées GPS (48.8584, 2.2945) en adresse lisible (“Tour Eiffel, Paris, France”).
Et surtout, ChronoFrame supporte les Live Photos d’Apple ET les Motion Photos de Google. La génération de miniatures, quand à elle, utilise
ThumbHash
, un algorithme de placeholder ultra-compact créé par Evan Wallace (cofondateur de Figma). Ainsi au lieu de générer plusieurs tailles de miniatures (100x100, 200x200, 400x400…etc), ThumbHash encode une version floue de l’image dans moins de 100 bytes et comme ça, les vignettes se chargent instantanément, et l’affichage est ensuite progressif (flou -> net) jusqu’à ce que l’image full résolution arrive.
L’interface est bien sûr responsive, supporte le touch et la navigation par gestes, et donne une expérience proche d’une app native. Pour la déployer, vous devez créer un fichier .env avec vos variables d’environnement (email admin, mot de passe, provider de stockage, token Mapbox…etc), vous lancez docker pull ghcr.io/hoshinosuzumi/chronoframe:latest, et hop, ça tourne direct.
Le
guide de démarrage
détaille tout le process et ça vous prendra 5 minutes chrono.
Une fois lancé, vous accédez à l’interface web, vous vous loggez avec votre email/password (ou via GitHub OAuth si configuré), vous allez dans /dashboard, et vous uploadez vos photos.
Voilà, j’ai trouvé ça cool parce que reprendre le contrôle de ses photos, ça veut pas forcément dire supprimer les métadonnées comme je l’ai souvent conseillé. Ça peut aussi vouloir dire décider de qui a accès à ces métadonnées. Car ça reste des informations précieuses et c’est quand même dommage de s’en priver donc autant héberger soi-même ses photos, comme ça vous pouvez les exploiter comme bon vous semble.
Notez que ChronoFrame ne vous aidera pas à supprimer vos EXIFs, mais il existe des outils pour faire ça comme
ExifTool
ou
mat2
. Vous pouvez aussi scripter ça avant d’uploader quoique ce soit sur les réseaux sociaux mais la plupart des gens ne le font pas parce qu’ils ne savent même pas que les données sont là. Je sais aussi que des sites comme X.com retirent certaines des méta données avant de diffuser votre photo publiquement mais ça ne veut pas dire qu’eux ne les exploitent pas en amont pour vous balancer de la pub par exemple…
Voilà, si vous voulez voir ce que ça donne, il y a un
site de démo
où vous pouvez voir l’interface en action !
Get Graphics Drivers and Hardware Transcoding BACK for Plex/Jellyfin/Emby on your Synology NAS
Note – the video on this fix will be published soon and I will update this article with images ASAP.
Synology’s 2025 refresh brought the DS225+ and DS425+ with the familiar Intel Celeron J4125, but it also quietly removed the kernel graphics driver support that Plex, Jellyfin, and Emby use for hardware transcoding of H.264 and HEVC. This guide explains what changed, why it matters for real-world streaming, and how you can restore GPU-accelerated transcoding on these models using an unofficial SSH method shared by the community. If you rely on your NAS to reshape 4K or high bitrate files for phones, tablets, hotel TVs, or limited connections, this walkthrough will help you get that efficiency back.
IMPORTANT – Massive credit to RROrg group over on Github for ‘cracking the nut’ on this with their latest repo HERE
Additionally, credit to Luka @ Blackvoid, who made this great article, covered this first and gave me permission to use his guide here and in my upcoming video. Read his article HERE
What Happened to Hardware Transcoding on the Synology 2025 NAS, and Why Is This a Problem
When Synology launched the 2025 “x25” lineup, users expected a minor refresh of familiar models like the DS225+ and DS425+. Instead, they discovered that Synology had removed the i915 graphics driver from DSM, effectively disabling hardware transcoding on the Intel Celeron J4125 CPU. This meant that Plex, Jellyfin, and Emby could no longer tap into the iGPU’s Quick Sync Video capabilities. Synology confirmed the change in support tickets, explaining that both H.264 (AVC) and H.265 (HEVC) transcoding had been deliberately blocked at the kernel driver level. The company cited licensing costs for HEVC, even though AVC is license-free, and argued that most client devices already support native playback. The earliest and longest discucssions on this topic are HERE on this Plex Forum thread.
The result is a significant downgrade for users who bought these models expecting the same multimedia performance as their predecessors. Instead of 10–20% CPU usage during hardware-accelerated transcoding, users now see 80–100% CPU utilization when reshaping video on the fly. For remote streaming, converting 4K to 1080p or 720p becomes slow, inefficient, and often unworkable. This change undermines the value proposition of the J4125 platform and leaves Plex and Jellyfin users with hardware that is technically capable but artificially restricted, creating frustration across the Synology community.
Disclaimer: This Is Unofficial – Know the Risks!
Before diving into the workaround, it is important to understand that this method is not supported by Synology and involves altering core system modules via SSH. These steps rely on community-compiled drivers and are provided “as is,” without warranty. Making changes at the kernel level can cause instability, break after DSM updates, or in the worst case, lead to data loss if mistakes are made. You should always keep verified backups of your data before proceeding, and only attempt this if you are comfortable working with the command line and root-level access. Proceed entirely at your own risk.
Step By Step Guide to Get J41225 Graphics Drivers Hardware Transcoding Back
Log into DSM and create a new Shared Folder (e.g. scripts) on your main volume.
Make sure your DSM account has full access, since root privileges will be needed later.
Upload the Archive
Use File Station or SMB to upload the .zip file into the new scripts shared folder.
Once uploaded, extract it on the NAS by right-clicking and selecting Extract Here.
If extraction creates subfolders, move the relevant script files (such as transcode_4_x25.sh) directly into the main scripts directory for easier referencing.
Set the event to Boot-up so the script runs every time the NAS restarts.
Point to the Script
In the task settings, paste the full path to the script file, for example:
sh /volume1/scripts/transcode_4_x25.sh
If unsure, right-click the .sh file in File Station, select Properties, and copy the full directory path.
Confirm and Save
DSM will warn you about using root and non-standard scripts. Acknowledge this and proceed.
Enter your DSM admin password when prompted.
The scheduled task will now appear in the list.
Run the Script
Right-click the new task and select Run to execute it immediately.
Optionally, reboot your NAS to confirm that the driver loads automatically on startup.
Verify Hardware Transcoding
Open Plex (or Jellyfin/Emby) and play a file requiring transcoding.
Check playback statistics: you should now see HW (hardware transcoding) instead of CPU-only usage.
Conclusion
Synology’s decision to remove iGPU drivers from the 2025 DS225+ and DS425+ left many users frustrated, especially those who rely on Plex or Jellyfin for remote streaming. While the company cites licensing costs and client-side decoding as justification, the hardware itself remains fully capable of transcoding. Thanks to community-driven efforts, it is possible to re-enable Quick Sync on these models with an SSH-based workaround. This fix restores the efficiency and functionality users expected, though it comes with risks and requires maintenance after reboots. For multimedia enthusiasts who value hardware transcoding, this unofficial solution may be the only way to unlock the true potential of these NAS systems.
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