Un incident réseau chez Cloudflare, société spécialisée dans la sécurité web, a perturbé le trafic Internet et entraîné la panne de plusieurs sites hier à la mi-journée. Parmi les plateformes touchées, X (anciennement Twitter) figure comme le service le plus important à avoir cessé de fonctionner. D’autres sites ont également rencontré des problèmes. Cloudflare indique […]
Le 17 novembre 2025, Microsoft Azure a annoncé avoir subi une attaque DDoS d’une ampleur phénoménale, atteignant 15,72 Tbit par seconde. Cette opération malveillante, survenue quelques semaines plus tôt, serait l’œuvre d’un vaste réseau d’ordinateurs et d’appareils infectés nommé Aisuru.
Le 17 novembre 2025, Microsoft Azure a annoncé avoir subi une attaque DDoS d’une ampleur phénoménale, atteignant 15,72 Tbit par seconde. Cette opération malveillante, survenue quelques semaines plus tôt, serait l’œuvre d’un vaste réseau d’ordinateurs et d’appareils infectés nommé Aisuru.
Après une panne mondiale de plusieurs heures ayant paralysé une partie importante du web, Cloudflare a dévoilé les causes de l'incident. Contrairement aux soupçons initiaux, il ne s'agissait pas d'une cyberattaque, mais d'une erreur technique assez banale. Mais cela a fini par devenir la pire panne de Cloudflare depuis 2019.
Le 18 novembre 2025, une bonne partie du web est tombée en panne. Des milliers de sites et de services en ligne sont brutalement devenus indisponibles et le responsable a vite été trouvé : Cloudflare. Mais au juste, c'est quoi Cloudflare ? Et comment un seul fournisseur de services informatiques peut provoquer un tel incident ?
Le 18 novembre 2025, une bonne partie du web est tombée en panne. Des milliers de sites et de services en ligne sont brutalement devenus indisponibles et le responsable a vite été trouvé : Cloudflare. Mais au juste, c'est quoi Cloudflare ? Et comment un seul fournisseur de services informatiques peut provoquer un tel incident ?
Véritable pilier du web, l'entreprise Cloudflare est parfois au cœur de l'actualité, quand elle connait une panne. Rien de surprenant, tant ses prestations sont au cœur de bien des sites. Et c'est d'ailleurs de là que vient l'origine du nom de Cloudflare.
Twitter, ChatGPT, Google, Canvas, League of Legends et même DownDetector… Des milliers de sites et de services en ligne sont en panne, à cause d'un incident chez Cloudflare. La panne du 18 novembre semble avoir été résolue vers 15h40, après trois heures d'interruption.
Le service Cloudflare est victime d’une importante panne depuis quelques heures. La situation est critique au point de rendre inaccessibles une grande partie de Web.
On est d’accord, c’est dérisoire, et pendant ce temps, Google et Facebook se gavent en revendant votre contenu et l’attention de vos lecteurs à leurs clients.
Le modèle est cassé, tout le monde le sait
, mais personne n’avait de solution viable… enfin, jusqu’à maintenant.
Matthew Prince, CEO de Cloudflare, vient en effet d’annoncer le lancement du Net Dollar, un stablecoin adossé au dollar américain conçu pour les micropaiements instantanés. Son objectif c’est donc de tuer le modèle publicitaire et le remplacer par du pay-per-use généralisé. Comme ça, terminé le “gratuit financé par la pub”, et bonjour le web à 0,01 euro l’article.
1 Net Dollar = 1 dollar US, puisque c’est un stablecoin adossé au dollar. Il n’y a donc pas la volatilité de Bitcoin et pas de spéculation. C’est vraiment fait pour les transactions, pas l’investissement.
Ainsi, chaque fois qu’un agent IA accède à votre contenu, il paie automatiquement quelques centimes de manière instantanée et cela peu importe où vous vous trouvez… Par exemple, vous êtes en France, un agent IA lit votre article au Japon, et hop vous recevez 0,01 dollar dans la seconde.
On évite ainsi les virements qui mettent du temps, les commissions abusives (coucou Paypal), les seuils minimums avant de prendre le pognon et si ça nous amuse, on peut même facturer 0,0001 dollar par requête API ce qui ne serait pas exemple pas possible avec Visa qui de toute façon prend 0,30 dollars de frais fixes. Là avec Net Dollar, on va pouvoir descendre à des fractions de centimes…
Par exemple, si je me tape dans le mois 50 000 agents IA qui viennent lire un de mes articles, et que je leur facture 0,01 euro par lecture, ça me fait 500 euros dans la poche. Et pour les dev, c’est pareil. Vous pouvez proposer une API gratuitement sans crouler sous les requêtes abusives. Là vous enclenchez un micro-paiement à 0,0001 dollar par requête, comme ça, chacun peut payer à la hauteur de sa consommation. Même chose pour les photographes ou les graphistes, quand une IA utilisera votre photo pour illustrer une de ces réponses….etc.
Bref, c’est plutôt cool pour les créateurs.
Maintenant reste à savoir qui va vraiment payer car ce n’est pas vraiment très clair ? Est ce uniquement les IA de OpenAI, Anthropic, Google qui vont passer à la caisse ? Ou est ce qu’à terme, les humains vont devoir créditer leur navigateur pour pouvoir surfer sur les sites web ? Honnêtement, je n’en sais rien mais si on tombe dans un monde où chaque site exige quelques centimes, je pense que chacun va y réfléchir à deux fois avant de cliquer sur un lien.
Et comme on est sur de la blockchain privée, je vous laisse imaginer le flot de données que ça va apporter à Cloudflare. Ils sauront exactement quel article vous avez lu, ou quel API vous avez utilisé. C’est pas forcement très cool.
Bref, je ne sais pas si le Net Dollar va révolutionner le web, finir de l’achever ou terminer comme toutes ces initiatives qui n’ont jamais décollé, mais à un moment, faudrait qu’on se pose la question de savoir si on préfère se farcir des bannières de pub ou payer 1 centime pour lire un article…
Le 22 septembre, Cloudflare a annoncé avoir enregistré une nouvelle cyberattaque record. L’entreprise américaine experte dans la sécurité cloud indique avoir bloqué une attaque DDoS ayant atteint un pic de 22,2 térabits par seconde, soit près du double du précédent record établi trois semaines plus tôt.
Le 1er septembre 2025, Cloudflare a annoncé sur son compte X avoir déjoué une cyberattaque d’une ampleur inédite. Survenue durant l’été, cette attaque par déni de service distribué (DDoS) aurait atteint un pic de 11,5 térabits par seconde, établissant ainsi un nouveau record mondial selon l’entreprise américaine spécialisée dans les solutions de sécurité cloud.