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Aujourd’hui — 14 mai 2024Flux principal

Résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update

Par : malekalmorte
14 mai 2024 à 08:58

Le code erreur 0x80070426 apparaît dans Windows lorsqu’un utilisateur tente de mettre à jour le système d’exploitation Windows ou d’installer des mises à jour logicielles et qu’un problème se produit.
En général, ce problème se produit lors de la phase d’installation et donc la mise à jour est en échec d’installation.

Dans ce guide, je vous donne plusieurs solutions pour résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update.

Résoudre l'erreur 0x80070426 sur Windows Update

Résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update

Réparer les fichiers systèmes avec SFC et DISM

Pour réparer les fichiers systèmes de Windows 10 ou Windows 11, on utilise les utilitaires SFC (vérificateur de fichiers systèmes) et DISM.
Ces deux outils s’utilisent en invite de commandes.

Dism /Online /Cleanup-Image /CheckHealth
DISM - réparer les images de Windows 10
  • Puis enchaînez avec une vérification et réparation des fichiers corrompus et manquants avec l’outil SFC. Pour cela, saisissez :
sfc /scannow

Laisse le vérificateur de fichiers systèmes analyser Windows 10 ou Windows 11.
Enfin si des fichiers systèmes sont corrompus, SFC tente de les réparer.

sfc scannow - le vérificateur de fichiers systèmes de Windows 10

Plus de détails dans l’article suivant :

Vider le cache Windows Update et réinitialiser les services Windows Update

En cas de corruption de Windows Update, vous pouvez vider le cache Windows Update et réinitialiser les services.
Suivez ces instructions :

net stop wuauserv
net stop cryptSvc
net stop bits
net stop msiserver
ren C:\Windows\SoftwareDistribution SoftwareDistribution.old
ren C:\Windows\System32\catroot2 catroot2.old
net start wuauserv
net start cryptSvc
net start bits
net start msiserver
  • Redémarrez le PC afin de prendre en compte les changements
  • Puis relancez les mises à jour Windows Update

Un article existe sur le site dédié avec d’autres méthodes pour vider le catalogue Windows Update et résoudre les erreurs d’installation :

Démarrer Windows en mode normal

Le démarrage sélectif permet de désactiver des applications et services Windows afin d’alléger le démarrage.
Si vous avez suivi un mauvais tutoriel et désactiver des services Windows, cela peut causer des dysfonctionnements.

Il faut alors remettre le mode de démarrage en démarrage normal.
Pour cela :

  • Sur votre clavier, appuyez sur la touche + R
  • Puis saisissez msconfig
  • Ensuite dans général, cochez démarrage normal
  • Cliquez sur OK puis redémarre le PC ensuite
msconfig mode de démarrage normal.

Plus de détails et explications :

Windows Repair

Windows Repair est un utilitaire gratuit qui permet de réparer des composants et fonctionnalités de Windows.

Installer Windows Repair
  • Windows Repair se lance automatique, acceptez les conditions d’utilisation
Windows Repair EULA
  • Toutefois, il est conseillé de faire les réparations en mode sans échec. Pour cela, en bas, cliquez sur Reboot To Safe Mode.. ou suivez ce guide complet : Redémarrez Windows en mode sans échec
Démarrer Windows en mode sans échec avec Windows Repair
  • Puis relancez Windows Repair
  • Cliquez sur l’onglet Réparation – Principal
  • La liste des type de réparation de Windows s’affiche : cliquez sur Préréglages : Réparations communes
Windows Repair - réparer Windows
  • Vous obtenez alors la liste ci-dessous, laissez les éléments cochés
Liste des réparation Windows Repair
  • Enfin cliquez en bas à droite sur Démarrer les réparations
  • L’opération se lance avec une succession d’étape… des fenêtres noires peuvent s’ouvrir ou se refermer
Réparer Windows avec Windows Repair
  • Laissez terminer, un message vous indique que la réparation Windows Repair est terminée
  • Redémarrez le PC en mode normal de Windows

Plus de détails dans ce tutoriel complet :

Réparer Windows 10 ou Windows 11

Lorsque Windows est totalement endommagé et que les problèmes sont trop nombreux, vous pouvez tenter de réparer Windows 10, 11 sans perte de données et en conservant les programmes installés.
Cela permet de rétablir un système fonctionnel à partir des fichiers ISO et images de Windows.
La procédure est décrite pas à pas dans cet article :

Il s’agit d’une opération de réinitialisation et de remise à zéro qui supprime les applications et remet le système à son état d’origine.
C’est la solution radicale pour retrouver un système fonctionnel :

Réinitialiser Windows

Liens

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Hier — 13 mai 2024Flux principal

Microsoft va noyer Windows 11 sous la pub, les joueurs ne seront pas épargnés

Le Xbox Game Pass, le service de cloud gaming de Microsoft, va lui aussi avoir le droit à sa campagne de pub sur Windows 11. De nouvelles recommandations devraient effectivement apparaître sur la page d'accueil des Paramètres lors de la prochaine mise à jour 24H2.

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À partir d’avant-hierFlux principal

Comment créer, restaurer et supprimer un point de restauration sur Windows 11 ?

10 mai 2024 à 14:00

I. Présentation

Dans ce tutoriel, nous allons apprendre à créer, restaurer et supprimer des points de restauration sur Windows 11. Cette fonctionnalité de Windows joue un rôle important puisqu'elle facilite le retour à un état antérieur en cas de dysfonctionnement. Que ce soit en tant qu'utilisateur final ou en tant qu'administrateur système, vous avez tout intérêt à avoir connaissance de cette fonctionnalité de Windows.

Remarque : sur Windows Server, vous ne pouvez pas créer directement de point de restauration de la même façon que sur Windows 10 et Windows 11. Vous devez installer la fonctionnalité "Sauvegarde Windows" (Windows Backup) et effectuer une sauvegarde de l'état du système par ce biais.

II. Qu'est-ce qu'un point de restauration ?

Un point de restauration système est une fonctionnalité de Windows, présente depuis des années, et toujours accessible sur Windows 11 qui permet à votre ordinateur de revenir à un état antérieur, connu comme "point de restauration", sans affecter vos fichiers personnels.

Cette fonctionnalité est extrêmement utile si vous rencontrez des problèmes après avoir installé une mise à jour, une application ou un nouveau pilote, ou après avoir apporté des modifications importantes à votre système (dans la base de Registre Windows, par exemple).

Pour vous donner un exemple concret, imaginons que vous ayez installé un nouveau logiciel sur votre PC et que celui-ci a causé des problèmes au point de rendre votre machine instable... Vous pouvez utiliser la fonction de restauration du système pour revenir à un point de restauration antérieur à l'installation du logiciel (à condition d'en avoir créé un, bien entendu). Une fois la restauration effectuée, votre système reviendra à l'état dans lequel il était à ce moment-là, comme si le logiciel problématique n'avait jamais été installé !

Un point de restauration comprend un ensemble d'éléments, dont une copie de l'état du système, ce qui inclut les paramètres du système, les applications installées et le contenu de la base de Registre Windows. Cependant, il ne sauvegarde pas vos fichiers personnels (documents, images, etc.).

J'insiste bien sur le fait qu'un point de restauration ne protège pas vos données et n'altère pas vos données lors de la restauration.

Remarque : la fonctionnalité de point de restauration de Windows s'appuie sur le service VSS (Shadow Copies). Les points de restauration seront stockés dans le répertoire "System Volume Information" présent à la racine de chaque volume.

III. Créer, restaurer et supprimer un point de restauration Windows

A. Créer un point de restauration

Tout d'abord, nous allons apprendre à créer un point de restauration sur une machine Windows 11. Mais, avant cela, nous devons également vérifier la configuration de cette fonctionnalité : est-elle activée ?

Sur votre PC Windows 11, ouvrez les "Paramètres", cliquez sur "Système" à gauche puis sur "Informations système" afin de cliquer sur "Protection du système" dans la section avec les liens connexes. Vous pouvez aussi appeler le raccourci suivant dans la zone de recherche de Windows :

systempropertiesprotection

Au sein de l'onglet "Protection du système", vous verrez vos différents lecteurs, et pour chacun d'entre eux, l'état de la protection. Par défaut, cette protection est activée uniquement sur le disque C sur lequel est installé le système Windows. Si vous avez un autre disque sur votre machine, il ne sera pas protégé, mais vous pouvez activer la protection à cet endroit.

1 - Sélectionnez le lecteur Windows dans la liste.

2 - Cliquez sur le bouton "Configurer..."

3 - Ici, vous pouvez activer ou désactiver la protection du système, veillez à ce que l'option "Activer la protection du système" soit sélectionnée. Vous pouvez également voir l'espace disque consommé par cette fonctionnalité, et autoriser l'utilisation de plus ou moins d'espace disque.

Ensuite, pour créer un nouveau point de restauration, sélectionnez le lecteur Windows dans la liste, puis cliquez sur le bouton "Créer". Vous devez nommer ce point de restauration : utilisez un nom explicite, car si vous devez le restaurer par la suite, il sera visible avec ce nom-là.

Il ne vous reste plus qu'à patienter : Windows va créer le point de restauration.

À titre informatif, sachez que cette action crée plusieurs événements visibles dans le journal "Application" de Windows, via l'Observateur d'événements. Ceci permet d'en savoir plus sur le déroulement de l'opération. Lorsqu'un point de restauration est correctement créé, un événement avec l'ID "8194" est ajouté. Voici un exemple :

B. Restaurer un point de restauration système

Plusieurs méthodes sont à votre disposition pour restaurer le système à un état antérieur à partir d'un point de restauration. En fait, ceci dépend notamment de l'état de votre machine : est-elle encore opérationnelle ou devez-vous revenir à un état antérieur suite à un crash complet ?

Tout d'abord, partons du principe que la machine est en ligne, mais que nous souhaitons revenir à un état antérieur suite à un problème de stabilité ou de performances, faisant suite à une modification récente.

Toujours à partir de "Protection du système", cliquez sur "Restauration du système". Un assistant s'exécute, sélectionnez l'option "Choisir un autre point de restauration" et cliquez sur "Suivant".

À l'étape suivante, vous devez sélectionner le point de restauration à sélectionner. Windows liste les points de restauration disponibles, avec la date et l'heure, et leur nom. Windows utilise aussi cette fonctionnalité pour ses propres besoins, donc vous pouvez visualiser aussi d'autres points de restauration que vous n'avez pas créés manuellement.

Sélectionnez le point de restauration à restaurer, puis cliquez sur "Rechercher les programmes concernés" pour comparer la liste des applications, des services et des pilotes présents dans l'image Windows en ligne avec la liste de ces éléments dans le point de restauration sélectionné. C'est plutôt pratique. Ensuite, poursuivez...

Cliquez sur "Terminer" pour lancer la restauration du système.

Laissez Windows travailler. La machine va automatiquement redémarrer afin d'effectuer le retour-arrière. Une fois que ce sera fait, un message sera visible sur l'écran de votre PC pour vous indiquer si tout s'est bien passé, ou pas.

Dans le cas où Windows ne parviendrait plus à s'exécuter correctement, vous pouvez passer par le mode de récupération pour effectuer la restauration du système à un état antérieur. Dans les "Options avancées" de la section "Dépannage", vous pouvez utiliser la fonctionnalité "Restauration du système".

Ici, il vous suffira de sélectionner le point de restauration à restaurer et de lancer l'opération.

C. Supprimer un point de restauration Windows

Si vous souhaitez supprimer un ou plusieurs points de restauration de Windows, sachez qu'il y a un bouton "Supprimer" accessible via les paramètres de configuration, dans la section "Protection du système". L'inconvénient, c'est qu'il va supprimer l'ensemble des points de restauration présents sur votre PC, pour le lecteur sélectionné. L'alternative consiste à utiliser l'outil de "Nettoyage de disque" de Windows, mais le résultat sera le même.

Pour supprimer un point de restauration spécifique, comment faire ? Vous devez utiliser la ligne de commande.

Tout d'abord, exécutez la commande ci-dessous pour lister tous les points de restauration disponibles sur votre PC, pour le lecteur "C".

vssadmin list shadows /for=c:

Le problème, c'est que cette commande ne retourne pas les noms des points de restauration, donc il faudra essayer de s'appuyer sur la date et l'heure pour identifier le point de restauration à supprimer. Ensuite, pour supprimer le point de restauration, vous devez spécifier son identifiant, c'est-à-dire son "ID du cliché instantané".

Imaginons que nous souhaitions supprimer le point de restauration avec l'identifiant "{b4c22461-1325-4adf-9621-572575b04faa}", ceci donnera la commande suivante :

vssadmin delete shadows /shadow="{b4c22461-1325-4adf-9621-572575b04faa}"

Vous devez confirmer la suppression en indiquant "O" puis en appuyant sur Entrée.

Si vous souhaitez supprimer le point de restauration le plus ancien présent sur le lecteur "C", sachez que vous pouvez utiliser cette commande :

vssadmin delete shadows /for=C: /oldest

À ce jour, il n'existe pas de cmdlet PowerShell pour effectuer la suppression d'un point de restauration. Sachez tout de même qu'il y a deux cmdlets relatifs à la manipulation des points de restauration :

IV. Conclusion

Suite à la lecture de ce tutoriel, vous devriez être en mesure de prendre en main la fonctionnalité de points de restauration présente dans Windows ! Si vous êtes adepte de scripts PowerShell, sachez que le cmdlet "Checkpoint-Computer" vous permet de créer un point de restauration : ce qui peut être utile si votre script est amené à modifier en profondeur la configuration du système.

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iVentoy – Un serveur PXE léger pour déployer Windows, Linux et VMware ESXi par le réseau

8 mai 2024 à 18:00

I. Présentation

Dans ce tutoriel, nous allons découvrir iVentoy, un serveur PXE très léger et simple à utiliser capable de déployer des images Windows, Linux, mais aussi VMware ESXi. À l'heure actuelle, il prend en charge de nombreux systèmes et 170 images différentes ont été testées !

iVentoy a été développé par la même personne que Ventoy, le célèbre outil de création de clés USB bootable. Sauf qu'iVentoy est un serveur PXE clé en main qui intègre à la fois le serveur DHCP et le boot PXE, tout en proposant un ensemble d'options et fonctionnalités. iVentoy est une alternative à d'autres solutions comme le rôle Windows Deployment Services (WDS) de Windows Server.

Le principe est simple : vous stockez sur votre serveur iVentoy différentes images ISO (Windows 11, Debian, Ubuntu, Windows Server, etc.) et vous démarrez iVentoy de façon à pouvoir déployer ces images ISO via le réseau local. Autrement dit, l'installation du système d'exploitation est effectuée par le réseau et vous pouvez installer plusieurs machines en même temps.

iVentoy est gratuit pour une utilisation personnelle et il est facturé 49 dollars pour une utilisation commerciale. C'est un tarif plus que raisonnable et ceci permettra de soutenir le projet. La version gratuite permet de déployer jusqu'à 20 machines simultanément, tandis que la version commerciale n'a aucune limite. Vous pouvez consulter le site d'iVentoy pour en savoir plus.

Pour approfondir le sujet du boot PXE et de WDS, voici des lectures recommandées :

II. Télécharger et installer iVentoy

iVentoy peut être installé sur Linux, mais également Windows et Windows Server. Dans cet exemple, nous allons l'installer sur un poste de travail Windows 11 : l'outil fonctionnera parfaitement et n'a aucune dépendance vis-à-vis de Windows Server.

L'installation est vraiment simple ! Rendez-vous sur le GitHub officiel et téléchargez la dernière version correspondante à votre système d'exploitation. Ici, le fichier "iventoy-1.0.220-win64-free.zip" est téléchargé.

Quand c'est fait, décompressez l'archive ZIP sur votre PC. Puis, accédez au dossier obtenu afin d'exécuter le fichier nommé "iVentoy_64". Il va permettre de lancer le serveur iVentoy ! Une notification apparaîtra à l'écran pour vous demander d'autoriser iVentoy dans le pare-feu : acceptez. Il y a également une alerte SmartScreen parce que l'exécutable n'est pas signé, mais vous pouvez l'exécuter (ce serait bien que le développeur améliore ce point).

Si nécessaire, cliquez sur "Open Link" pour accéder à l'interface de gestion d'iVentoy. Il s'agit d'une interface web accessible en locale à l'adresse suivante :

http://127.0.0.1:26000/

Voici un aperçu :

Voilà, le serveur iVentoy n'attend plus qu'une chose : être configuré pour vous permettre de déployer vos premières machines !

III. Configurer le serveur iVentoy

La première chose à effectuer, c'est alimenter la bibliothèque d'images ISO d'iVentoy. C'est très simple, il vous suffit de copier-coller vos images ISO dans le répertoire "iso" de l'application. Dans cet exemple, deux images ISO pour Windows 11 et Debian sont copiées. La liste des images ISO testées est disponible sur cette page.

Ensuite, à partir de l'interface web, cliquez sur "Image Management". Vous devriez voir apparaître vos images ISO. En cliquant sur une image ISO, nous accédons à plusieurs options, notamment pour :

  • Définir l'image sélectionnée comme image de démarrage par défaut ("Set as default boot file").
  • Protéger le démarrage sur cette image par un mot de passe ("Boot Password").
  • Injecter des pilotes ou des scripts ("Injection File")
  • Utiliser un script d'auto-installation, c'est-à-dire un fichier Unattend.xml pour Windows, un fichier preseed.cfg pour Debian, un modèle Cloud-init pour Ubuntu, etc. ("Auto Install Script")

Basculer vers l'onglet "Configuration" qui donne accès aux options pour les serveurs TFTP et DHCP. iVentoy intègre son propre serveur DHCP, mais vous pouvez utiliser un serveur DHCP externe, sur Windows Server, par exemple. Si vous utilisez un autre serveur DHCP, veillez à bien le configurer. Pour cette démonstration, le serveur DHCP intégré à iVentoy est utilisé.

Pour utiliser un serveur DHCP externe, vous devez configurer l'option "DHCP Server Mode" et ne pas utiliser le mode "Internal". Vous devez alors configurer l'option DHCP 66 avec l'adresse IP du serveur iVentoy et l'option DHCP 67 avec la valeur "iventoy_loader_16000". Pour information, le "16000" dans le nom correspond au numéro de port par défaut de l'interface web.

Basculez vers l'onglet "Boot Information" afin de démarrer le serveur iVentoy. Mais avant cela, nous devons configurer la partie "IP Configuration" afin de définir un masque de sous-réseau, une adresse IP de passerelle, un serveur DNS, ainsi qu'une plage d'adresses IP à distribuer aux machines clientes à déployer.

Voici un exemple :

Une fois que c'est fait, vous pouvez cliquer sur le bouton vert "Lecture" pour démarrer le serveur iVentoy.

Remarque : la section "MAC Filter" du menu permet de configurer le filtrage MAC pour autoriser uniquement certaines machines, via leur adresse MAC.

Désormais, nous allons pouvoir tester notre serveur iVentoy, car il est - déjà - prêt !

IV. Déployer une machine via le réseau

Pour tester le déploiement via le réseau, vous pouvez utiliser un ordinateur physique ou une machine virtuelle. Pour ma part, je vais utiliser une machine virtuelle sur VMware Workstation. Elle a bien démarré sur le réseau en iPXE et j'arrive sur une interface avec le logo iVentoy où je vois bien mes deux images : Debian et Windows 11 !

Avec les flèches directionnelles du clavier, il suffit de choisir l'image correspondante au système que nous souhaitons déployer et d'appuyer sur "Entrée".

La machine va charger l'image ISO par le réseau. Nous arrivons sur le programme d'installation de Debian 12 :

Dans le même temps, côté serveur iVentoy, la section "Device List" présente dans "Boot Information" liste toutes les machines en cours de déploiement. La colonne "Status" est intéressante, car elle indique où en est la machine et notamment l'image de démarrage sélectionnée.

Par ailleurs, il est tout à fait possible d'installer Windows 11, toujours via le boot iVentoy !

Il ne reste plus qu'à patienter pendant l'installation du système !

V. Conclusion

L'application iVentoy est à la fois simple à utiliser et très efficace ! Elle offre la possibilité de déployer facilement des images Linux, Windows, etc... Très facilement car il suffit de copier-coller l'image ISO dans le répertoire "iso" de l'application ! Si vous en avez assez de vos clés USB Ventoy, vous pouvez vous orienter sur iVentoy pour effectuer du déploiement par le réseau !

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Avec Zero Trust DNS, Microsoft veut sécuriser les accès réseau sous Windows 11

7 mai 2024 à 15:32

Microsoft a dévoilé Zero Trust DNS, appelé aussi ZTDNS, une nouvelle fonctionnalité destinée à renforcer la sécurité des réseaux grâce au DNS. Elle être intégrée à Windows par la suite. Faisons le point sur cette annonce.

Microsoft veut renforcer l'implémentation et l'utilisation de DNS dans Windows pour qu'il puisse s'aligner sur le modèle de sécurité Zero Trust. Modèle qui implique d'authentifier et de vérifier l'activité du réseau, que ce soit sur le périmètre interne ou externe. Avec Zero Trust DNS, Microsoft veut lutter contre les abus du protocole DNS et offrir une meilleure protection contre les cybermenaces.

ZTDNS va intégrer Windows 11

"ZTDNS sera utile à tout administrateur qui tente d'utiliser les noms de domaine comme identifiant fort du trafic sur le réseau.", précise Microsoft dans son article. Au sein de Windows, ZTDNS va intégrer le client DNS du système d'exploitation ainsi que la plateforme de filtrage Windows (WFP).

Dans la pratique, l'objectif étant de forcer la machine Windows 11 à communiquer uniquement avec des serveurs DNS approuvés et sécurisés, via l'utilisation du DNS-over-HTTPS (DoH) ou DNS-over-TLS (DoT). Ceci permet de s'assurer que les échanges DNS entre la machine et le serveur DNS sont chiffrés.

De plus, la machine ne pourra pas communiquer avec un autre serveur DNS : "Windows bloque tout le trafic IPv4 et IPv6 sortant, à l'exception des connexions aux serveurs DNSainsi que du trafic DHCP, DHCPv6 et NDP nécessaire pour découvrir les informations de connectivité du réseau.", peut-on lire.

La requête DNS sert de validation pour autoriser ou non l'accès à un hôte. ZTDNS permettra de bloquer les flux suspects ou inhabituels. "Lorsque des applications et des services tentent d'envoyer du trafic IPv4 ou IPv6 à une adresse IP qui n'a pas été apprise par ZTDNS (et qui ne figure pas sur la liste des exceptions manuelles), le trafic est bloqué.", précise Microsoft.

Zero Trust DNS Windows 11 - Schema
Source : Microsoft

Une sélection stricte de serveurs DNS

La liste de "Protective DNS servers", c'est-à-dire de serveurs DNS protégés et de confiance, pourra uniquement contenir des serveurs DNS compatibles DoH ou DoT. Pour mettre au point son mécanisme de sécurité ZTDNS, Microsoft s'est appuyé sur des protocoles existants tout en veillant à l'interopérabilité.

À ce sujet, il est précisé : "Dans tous les cas, le ZTDNS n'introduit pas de nouveaux protocoles de réseau, ce qui en fait une approche interopérable prometteuse pour le verrouillage basé sur les noms de domaine. - Microsoft évoque Windows 11 sur ses différents schémas, mais pour le moment, une éventuelle prise en charge par Windows 10 ou par Windows Server n'est pas évoquée.

Dès à présent, Zero Trust DNS est accessible à certaines personnes dans le cadre d'une préversion privée. Par la suite, Zero Trust DNS devrait être disponible pour les membres du programme Windows Insiders. Pour approfondir le sujet, vous pouvez lire cet article.

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Windows 11 24H2 va introduire une configuration minimale requise plus restrictive

Par : Jerome G
7 mai 2024 à 14:52

Windows 11 de MicrosoftMicrosoft prévoit d’apporter un petit changement à la configuration minimale requise de Windows 11 lors du lancement de Windows 11 24H2.

Cet article Windows 11 24H2 va introduire une configuration minimale requise plus restrictive a été publié en premier par GinjFo.

Intune – Comment déployer Microsoft 365 Apps sur Windows ?

7 mai 2024 à 08:00

I. Présentation

Dans ce tutoriel, nous allons apprendre à déployer la suite Microsoft 365 Apps sur des appareils Windows 10 et Windows 11 à l'aide de la solution Intune. Ceci va permettre d'installer les applications de la suite Office sur les machines des utilisateurs : Word, Outlook, Excel, PowerPoint, Access, etc... Et même Visio et Project, si vous avez besoin et que vous disposez des abonnements adaptés.

Nous allons voir que Microsoft a tout prévu pour faciliter le déploiement de la suite Microsoft 365 Apps à partir d'Intune. Vous n'aurez qu'à vous laisser guider par ce tutoriel pour atteindre votre objectif final : automatiser le déploiement des applications Office sur vos PC Windows.

D'autres articles sur le sujet du déploiement d'applications avec Intune sont disponibles sur notre site :

Ainsi que sur le déploiement de Microsoft Office :

II. Prérequis

Commençons par évoquer les prérequis nécessaires pour suivre ce tutoriel.

  • Système d'exploitation des appareils Windows : Windows 10 version 1703 (ou supérieure) ou Windows 11
  • Des abonnements Microsoft 365 avec les applications Microsoft 365 Apps intégrées : Business Standard, Business Premium, E3, E5, etc.
  • Des appareils inscrits dans Entra ID et Intune : Join et Hybrid Join
  • Plusieurs déploiements Microsoft 365 Apps ne sont pas pris en charge. Un seul déploiement sera distribué à l’appareil (donc attention à l'affectation de la stratégie, notamment si vous créez plusieurs stratégies pour cette même application).

Bien entendu, vous devez aussi disposer d'une licence Microsoft Intune : le "Plan 1" de base sera suffisant.

III. Déployer les applications Microsoft 365 Apps avec Intune

Commencez par vous connecter au Centre d'administration Microsoft Intune.

Une fois connecté au portail Intune, suivez ce chemin :

1 - Cliquez sur "Applications" sur la gauche puis sur "Windows".

2 - Cliquez sur le bouton "Ajouter".

3 - Choisissez la valeur "Windows 10 et ultérieur" sous "Applications Microsoft 365" car Microsoft a créé un type d'application spécifique pour faciliter le déploiement de Microsoft 365 Apps.

Cliquez sur le bouton "Sélectionner" pour valider.

Un assistant s'exécute. Il va vous permettre de personnaliser le déploiement de la suite Microsoft 365 Apps. Vous devez commencer par définir les informations globales sur l'application. J'attire votre attention sur ces options :

  • Nom de la suite : vous pouvez corriger la valeur afin d'indiquer "Microsoft 365 Apps pour Windows".
  • Catégorie : choisissez la catégorie que vous souhaitez, même si "Productivité" qui est présélectionné me semble adapté.
  • Afficher ceci en tant qu'application à la une dans le Portail d'entreprise : choisissez "Oui" si vous désirez que cette application soit visible dans l'application Portail d'entreprise (voir ce tutoriel à ce sujet), ce qui sera utile si vous voulez mettre à disposition cette application en libre-service.

Cliquez sur "Suivant". Éventuellement, vous pouvez modifier les autres valeurs, selon vos besoins.

L'étape "Configurer la suite d'applications" se présente à vous. Vous avez le choix entre deux formats pour les paramètres de configuration :

  • Concepteur de configuration : utiliser les paramètres de configuration proposés par l'interface Intune, c'est ce que nous allons faire.
  • Entrer des données XML : ceci permet d'avoir une zone de saisie dans laquelle vous pouvez coller le code XML obtenu à l'aide de l'outil "Office Deployment Tool (ODT)", afin de personnaliser la configuration d'Office.

Le fait de choisir "Concepteur de configuration" donne accès à différentes options. Tout d'abord, nous pouvons choisir les applications Office que nous souhaitons installer. Dans cet exemple, seules 5 applications seront installées : Excel, Outlook, PowerPoint, Teams et Word. Via l'option "Sélectionner d'autres applications Office (licence obligatoire)", vous pouvez ajouter Visio et/ou Project, en supplément.

Puis, nous devons sélectionner le type d'architecture, ici "64 bits" sera sélectionné. Aujourd'hui, la quasi-majorité des machines utilisent une architecture 64 bits. De plus, vous devez choisir :

  • Le format de fichier par défaut : le format "Office Open XML Format" correspond au format officiel de la suite Office.
  • Canal de mise à jour : permet d'indiquer sur quel canal de mise à jour, vous souhaitez "vous brancher" pour recevoir les mises à jour. Pour la production, je vous recommande : "Canal d'entreprise mensuel" ou "Canal Entreprise semi-annuel". Dans les deux cas, vous bénéficiez chaque mois des correctifs pour la sécurité et la résolution de bugs. Avec le "Canal d'entreprise mensuel", vous avez accès aux nouvelles fonctionnalités tous les mois, tandis qu'avec le "Canal Entreprise semi-annuel", vous avez accès aux nouvelles fonctionnalités deux fois par an (tous les 6 mois, environ).

En complément, voici d'autres options à configurer :

  • Supprimer les autres versions : sélectionnez "Oui" pour que les autres versions de Microsoft Office soient automatiquement supprimées.
  • Version à installer / version spécifique : vous pouvez sélectionner une version spécifique à installer, ou tout simplement déployer la dernière en date (vis-à-vis du canal sélectionné).
  • Utiliser l'activation de l'ordinateur partagé : ceci est utile lorsque plusieurs utilisateurs utilisent le même ordinateur, afin d'éviter qu'une activation soit décomptée sur le compte de l'utilisateur (voir cet article pour cette notion : Microsoft Office - Shared computers). Sélectionnez "Non", sauf si vous avez un besoin spécifique.
  • Accepter les termes du contrat de licence.... : choisissez "Oui" pour ne pas être perturbé par cette étape lors du premier lancement d'une application Office.
  • Langues : par défaut, Office va se caler sur la langue du système, mais vous pouvez ajouter un ou plusieurs langues supplémentaires si vous le souhaitez.

Quand c'est bon pour vous, poursuivez.

L'étape "Affectations" se présente à l'écran. Il s'agit de l'étape habituelle pour affecter la stratégie à un ou plusieurs groupes. Ici, l'application Microsoft 365 Apps sera obligatoire pour les appareils membres du groupe "PC_Windows" donc elle sera installée automatiquement.

Poursuivez, vérifiez votre configuration et validez la création de la stratégie.

IV. Tester sur un appareil

Désormais, la stratégie doit être testée sur un appareil qui rentre dans le périmètre de celle-ci. Après synchronisation, la suite Microsoft 365 Apps est correctement déployée par l'intermédiaire du composant Intune Management Extension.

Les applications ne seront pas épinglées dans le menu Démarrer, mais elles sont visibles dans la liste de toutes les applications.

En parallèle, le déploiement de l'application peut être suivi à l'aide du portail Intune.

V. Conclusion

En suivant ce tutoriel pas à pas, vous devriez être en mesure de déployer la suite Microsoft 365 Apps sur vos appareils Windows ! Microsoft a fait le nécessaire pour rendre le déploiement des applications Microsoft Office relativement simplement, et nous n'allons pas nous plaindre.

Pour obtenir des informations supplémentaires et prendre connaissances des "problèmes connus" relatifs à ce déploiement, consultez la documentation de Microsoft :

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