Microsoft 365 Premium combines productivity applications—Word, Excel, PowerPoint, OneNote, and Outlook—with advanced AI capabilities in a subscription plan launched in October 2025. The plan introduces "vibe working," Microsoft's term for iterative human-agent collaboration in which users guide AI through multi-step tasks to create documents, spreadsheets, and presentations. The subscription consolidates features from Microsoft 365 Family and the discontinued Copilot Pro subscription while introducing exclusive AI agents and elevated usage limits for individual subscribers.
A new update for Word has changed how the app handles new documents. Going forward, the app will automatically save everything to OneDrive with autosave enabled.
The end of support for Office 2016 and Office 2019 on October 14, 2025, forces organizations to choose between upgrading to Office 2024 or adopting Microsoft 365 Apps. Both solutions offer Office applications like Word, Excel, and PowerPoint, but differ significantly in pricing models, AI capabilities, cloud integration, and update cycles. While Office 2024 delivers a one-time purchase with long-term stability and offline functionality, Microsoft 365 Apps provides continuous feature updates, AI-powered Copilot integration, and collaborative cloud tools through a subscription model. This guide compares Office 2024 vs. Microsoft 365 Apps to help you make the right upgrade decision before support ends.
Microsoft has released significant updates to Administrative Templates (ADMX/ADML files) throughout 2025, introducing new Group Policy options for Windows 11 and Microsoft Office applications. These templates enable IT administrators to manage registry-based policy settings through Group Policy and Microsoft Intune.
Vous avez déjà rêvé de faire tourner Word ou Photoshop sur Linux sans avoir l’impression d’utiliser une VM des années 90 ?? Moi oui et c’est pourquoi je suis heureux de vous annoncer qu’un développeur a transformé ce fantasme en réalité. Cela s’appelle WinApps et ça fait tourner Windows dans une machine virtuelle cachée et projette les applications directement sur votre bureau Linux. Comme ça votre Excel s’ouvre à côté de Firefox comme si de rien n’était…
Le principe est malin puisqu’au lieu de vous montrer tout le bureau Windows dans une fenêtre VirtualBox, WinApps utilise FreeRDP pour extraire uniquement l’application dont vous avez besoin. La VM tourne en arrière-plan avec Docker, Podman ou libvirt, et vous ne voyez que ce qui vous intéresse. Vous pouvez même faire un clic droit sur un fichier .docx dans Nautilus et l’ouvrir directement avec Word.
L’intégration est tellement poussée que vos collègues sous Windows vont se demander comment vous faites cette magie noire !!??
Car Wine, c’est bien pour les applications simples, mais dès qu’on parle de la suite Office complète ou d’Adobe Creative Cloud, ça devient vite la galère. WinApps contourne donc le problème en utilisant les vraies applications Windows, et pas du portage approximatif.
L’installation demande un peu de préparation. Il vous faut d’abord une ISO de Windows 10 ou 11 et une licence valide (oui, Microsoft veut quand même toucher ses royalties 😉). Ensuite, vous choisissez votre backend. Vous pouvez utiliser Docker et Podman qui automatisent l’installation de Windows, ou libvirt qui vous donnera plus de contrôle mais demandera aussi plus de configuration manuelle. Après je vous connais, vous êtes des Warriors 😙.
Dans tous les cas, c’est KVM qui fait le gros du travail côté performances, et croyez-moi, ça envoie du lourd.
Ce projet est né d’une frustration simple. Celle du créateur original, Fmstrat, qui en avait marre de jongler entre deux OS pour bosser. Mais depuis, la communauté a pris le relais avec ce fork actif sur winapps-org. Cette version communautaire ajoute régulièrement de nouvelles fonctionnalités, comme le widget de barre des tâches qui permet de gérer la VM Windows sans ouvrir un terminal.
Le niveau d’intégration est plutôt élevé vous verrez. Par exemple, votre dossier home Linux est accessible depuis Windows via \tsclient\home. Les liens Microsoft Office (genre ms-word://) s’ouvrent automatiquement dans la bonne application. Le système détecte même les applications installées dans Windows et crée les raccourcis correspondants sur votre bureau Linux. C’est transparent au point qu’on oublie qu’il y a une VM qui tourne.
Avec WinApps en mode “manuel”, on pourrait même avec un peu de bidouille, faire pointer l’outil vers un vrai PC Windows (en serveur RDP) sur votre réseau plutôt qu’une VM. Comme ça votre vieille tour Windows planquée dans un placard peut servir uniquement à faire tourner les apps Windows dont vous avez besoin, accessibles depuis votre laptop Linux. Les performances d’affichage seront alors limitées uniquement par votre réseau local. A tester quoi…
Le projet supporte une liste impressionnante d’applications : toute la suite Microsoft Office, Adobe Creative Cloud, les outils de développement Windows, et même l’explorateur de fichiers ou l’invite de commande. Certains ont réussi à faire tourner des jeux Steam, même si ce n’est clairement pas l’usage principal visé.
Pour les performances, comptez environ 4 Go de RAM dédiés à la VM Windows, plus ce dont vos applications ont besoin. Sur une machine moderne avec 16 Go de RAM, c’est largement gérable. Le CPU n’est sollicité que quand les applications Windows sont actives, et KVM fait un excellent travail de gestion des ressources.
L’aspect sécurité mérite également réflexion car vous faites tourner un Windows complet sur votre machine, avec tous les risques que ça implique. La VM est isolée certes, mais elle a accès à votre dossier home via RDP. Donc conseil d’ami si vous êtes parano (et vous devriez l’être), créez un utilisateur Linux dédié avec des permissions limitées pour WinApps, ce sera mieux.
Bref WinApps est un compromis, mais un compromis intelligent je trouve, surtout si vous en avez marre de redémarrer sous Windows juste pour modifier un PowerPoint vite fait.
Microsoft is adding a Threads layout to Teams channel posts. This feature introduces a new level of structure that enables more interactive conversations, similar to social networks like Facebook or X.
Synology poursuit sa montée en puissance avec la sortie de Synology Office 3.7 Bêta. Cette nouvelle version intègre pour la première fois une couche d’intelligence artificielle. Disponible pour les NAS sous DSM 7.2.2, cette mise à jour s’intègre à Synology AI Console 1.1 et étend les capacités IA de la suite Office et de MailPlus.
IA et Synology Office
Synology Office 3.7 Bêta intègre un assistant IA conçu pour enrichir les 3 applications clés de la suite bureautique :
Documents : relecture intelligente, correction stylistique, traduction de fichiers entiers, génération de contenu contextuel à partir de documents existants. Une icône flottante permet d’accéder rapidement à des actions, comme la reformulation ou la traduction de paragraphes.
Tableurs : assistance à la création de fonctions, explication de formules en temps réel, aperçu contextuel, prise en charge du RTL (Right-To-Left), recherche dans les onglets masqués, filtrage amélioré pour les cellules fusionnées.
Slides : relecture, reformulation, traduction intégrale, zoom dans le volet de prévisualisation, déplacement simplifié des commentaires.
Tout n’est pas parfait, mais l’intégration est prometteuse… il faut bien l’avouer. Attention, Synology prévient qu’après l’installation de cette version Bêta, vous ne pourrez pas revenir à une version officielle antérieure.
Limitations
Comme précisé par Synology, l’assistant IA ne fonctionne pas en local. Il nécessite un compte payant chez un fournisseur d’IA tiers. Aussi, les données traitées sont envoyées dans le Cloud, ce qui peut soulever des questions légitimes en matière de confidentialité et de sécurité des données.
Aussi, vous l’aurez certainement compris, l’IA dans Synology Office 3.7 fonctionne avec Synology AI Console. Cette application est également disponible en Bêta depuis le Centre de paquets.
En synthèse
Synology Office 3.7 Bêta marque un tournant : la bureautique sur NAS devient proactive et contextuelle grâce à l’intelligence artificielle. Si certaines fonctions restent à peaufiner, l’apport de l’IA est concret. Toutefois, l’accès à ces fonctionnalités suppose plusieurs conditions : utilisation d’un NAS compatible, installation de l’AI Console et ajout d’au moins un fournisseur de services IA externe (Amazon Bedrock, Azure OpenAI, Baidu AI Cloud, Google AI Studio, Google Vertex AI, OpenAI). Synology ne propose pas de moteur IA intégré.
L’authentification des courriers électroniques est très importante pour la sécurité de vos e-mails. Elle permet de vérifier que les courriers électroniques que vous envoyez sont bien légitimes et qu’ils n’ont pas été falsifiés ou altérés. Cela est particulièrement important pour les entreprises qui utilisent des services de courrier électronique tels que Microsoft 365 mais pas …
La messagerie électronique est l’une des applications les plus anciennes d’Internet. Son développement a eu lieu à une époque où Internet n’était pas encore un réseau public. Cependant, à l’heure actuelle, les cas d’usurpation d’identité utilisant le courrier électronique se multiplient en raison de la possibilité de renseigner n’importe quelle adresse dans l’en-tête « De » d’un …
Hey ! Bonjour à toutes et à tous ! 🤙 Nous voici de nouveau ensemble pour un nouvel article et aujourd’hui, celui-ci va concerner notre application de messagerie favorite qui est Microsoft Outlook 365. En particulier, une petite option qui a fait son apparition dans les dernières mises à jour du logiciel et qui change …
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