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Aujourd’hui — 28 juillet 2025Flux principal

Les menaces sur le web évoluent, mais Surfshark One est déjà en 2026

Par : Korben
28 juillet 2025 à 08:53

– Article en partenariat avec Surfshark

Vous vous souvenez de l’époque où un simple antivirus et un pare-feu suffisaient pour dormir sur vos deux oreilles ?

Moi aussi, et franchement on se sent vieux. Aujourd’hui, un malware peut apprendre à contourner vos défenses plus vite que vous n’apprenez à prononcer son nom, et les ransomwares 2.0 négocient leur rançon en cryptomonnaie avant même que vous n’ayez cliqué sur « Oui ». La menace évolue à la vitesse d’un post viral, et si votre protection reste bloquée sur la version 2023, vous jouez déjà la place de dernier.

On va donc voir pourquoi Surfshark One n’est pas une suite de sécurité comme les autres, mais plutôt un système qui mûrit en même temps que les attaques. Pas de blabla, juste le constat d’un gars qui a testé la bête sur trois OS, deux pays et quelques week-ends marathons de séries.

Le VPN qui anticipe plutôt que de suivre

On connaît le refrain : chiffrement AES-256, pas de logs, 3 200 serveurs dans 100 pays. Sympa, mais Surfshark a ajouté Nexus depuis 2022, une technologie qui change votre IP en continu sans couper la connexion. Pourquoi ? Parce que les trackers multi-sites s’appuient sur des corrélations temporelles ; si votre IP varie toutes les deux minutes, leurs graphes ressemblent vite à un plat de spaghettis. Pourtant, vous continuez à streamer Netflix US sans jamais rafraîchir la page.

Ensuite, il y a le multi-hop dynamique : l’appli choisit automatiquement deux serveurs optimaux pour votre localisation et votre usage. Pas besoin de devenir expert en routage, le truc calcule la latence et la charge en temps réel. Résultat : même sur la 4G d’un TGV, la vidéo ne rame pas, et votre banquier croit que vous êtes à Lisbonne.

Antivirus qui bosse avec l’IA et le cloud

Surfshark a non seulement intégré le moteur Avira, mais il l’a amélioré avec un module de détection comportementale alimenté par l’IA. Traduction : il ne se contente plus de reconnaître des signatures obsolètes, il observe ce que fait un fichier en direct. Un exécutable qui se connecte à un C&C (command & control) en .onion tombe en quarantaine avant même d’avoir fini son transfert.

Le Cloud Protect System analyse les échantillons inconnus sur leurs propres serveurs, pas sur votre CPU. Ainsi, votre PC ne rame pas pendant que l’antivirus cogite sur un binaire suspect de 400 Mo. Et puis, les définitions de virus sont poussées toutes les trois heures, ce qui veut dire qu’un nouveau cheval de Troie découvert à 6 h 12 est déjà totalement neutralisé à 9 h 15 pour tout le monde.

Alert, l’espion qui lit le dark web pour vous

Vous avez déjà reçu un e-mail « Votre mot de passe a fuité » trois mois après la brèche ? Surfshark Alert coupe l’herbe sous le pied : dès qu’une adresse mail, un numéro de carte ou même un numéro de sécu apparaît dans une base volée, vous êtes notifié en temps réel. Pas besoin d’attendre que Troy Hunt (le gars qui possède le site Have I Been Pwned) tweete le truc.

Le dashboard web centralise tout : vous ajoutez vos e-mails, vos IBAN, vos pseudos Steam et hop, vous obtenez une timeline claire des fuites. En plus, aucune info n’est stockée en clair ; tout est haché et comparé via un système de correspondance sécurisée. Même si le serveur d’Alert se faisait hacker, vos données resteraient illisibles.

Search, le moteur sans piste ni pub

Google vous file des résultats « personnalisés » parce qu’il sait que vous aimez les sneakers et les recettes de ramen. Surfshark Search, lui, renvoie les mêmes réponses que votre voisin ronchon : zéro bulle de filtres, zéro trackers, zéro pubs. Les résultats sont fournis via une API tierce anonymisée, donc même Surfshark ne sait pas que vous cherchez « comment réparer une Nintendo DS brisée ».

Le petit plus rigolo : vous pouvez choisir le pays pour vos requêtes. Envie de voir les vrais prix d’un billet d’avion sans géolocalisation ? Sélectionnez « Allemagne » et hop, bye bye les prix gonflés et bonjour le passeport numérique infini.

Alternative ID, l’avatar jetable en deux clics

Besoin d’un faux profil pour tester un service douteux ? Surfshark génère un nom, une adresse, une date de naissance et un mail en cinq secondes. Vous pouvez même choisir le pays ; je suis devenu « Hector Tavares » vivant à Porto pour un essai de VPN gratuit. Ensuite, tous les mails reçus sur cette adresse alias sont redirigés vers votre vraie boîte, sans que personne ne sache qui vous êtes.

C’est le genre de fonction qu’on utilise plus qu’on ne le pense : inscription à une newsletter, accès à un forum douteux, ou juste envie de ne pas balancer son vrai nom sur un comparateur de prix. Votre identité réelle reste en dehors des radars marketing.

Alternative ID

Ajouter Surfshark One à l’abonnement VPN coûte moins de 3€ par mois. Soit autour de 81€ TTC pour 27 mois avec l’abonnement 2 ans (+3 mois offerts). Pour le prix d’un petit cappuccino, vous obtenez un VPN, un antivirus, un chasseur de fuites, un moteur de recherche privé et un générateur d’alias. Le bundle ne fait pas de compromis sur la qualité : même les labos indépendants comme AV-Test valident la protection. Et si vous craignez l’engagement, il y a 30 jours remboursés. Rien à perdre, sauf peut-être la prochaine tentative de phishing qui vous visait.

On ne choisit plus entre sécurité et simplicité : Surfshark One les fusionne. Le VPN se met à jour régulièrement pour contrer les nouvelles techniques de fingerprinting et autres, l’antivirus apprend des attaques en temps réel, et Alert scrute les fuites avant même qu’elles ne soient rendues publiques. Autrement dit, la suite grandit avec les menaces au lieu d’attendre le prochain patch mensuel.

Donc, oui, les cyberattaques évoluent. Mais tant que Surfshark One continue de faire son boulot d’éclaireur et reste en avance de trois longueurs, vous pouvez garder votre calme, votre bande passante et votre argent.

À partir d’avant-hierFlux principal

YouTube vs ad-blockers - Chronique d’un bras de fer sans fin

Par : Korben
24 juillet 2025 à 08:00

– Article en partenariat avec Surfshark

Depuis ses débuts, YouTube a été le terrain de jeu favori des créateurs, des viewers… et des publicitaires. Mais à mesure que les pubs se sont multipliées, les internautes ont sorti la boîte à outils : bloqueurs de pubs, scripts maison, applis alternatives. Rien de très grave pendant des années, mais depuis 2023, la plateforme vidéo a décidé de sortir l’artillerie lourde. Ce qui n’était qu’une escarmouche est devenu une vraie guerre de tranchées, avec des offensives, des contre-attaques, et des dégâts collatéraux.

2023 : les premiers coups de semonce

Fin 2023, YouTube passe à l’offensive et commence à afficher des avertissements aux utilisateurs d’ad-blockers. Un message s’incruste sur la vidéo : “Ad blockers violate YouTube’s Terms of Service.” Pour continuer, il faut désactiver le bloqueur ou passer à YouTube Premium. Au début, la mesure ne touche qu’une poignée d’utilisateurs, mais la riposte s’organise côté adblockers, qui adaptent leurs filtres pour masquer ce message.

En novembre, YouTube élargit la portée de sa campagne anti-adblockers à l’échelle mondiale. Les utilisateurs se retrouvent face à des vidéos qui refusent de se lancer, des pop-ups persistants, et des ralentissements artificiels du site. Les forums et réseaux sociaux s’enflamment, chacun cherchant la parade du moment.

2024 : La guerre totale

Début 2024, YouTube affine sa stratégie et use la lenteur comme arme psychologique. Plutôt que de bloquer frontalement, la plateforme introduit des ralentissements ciblés. Les vidéos mettent des plombes à charger, les miniatures refusent de s’afficher, le site devient “malade” dès qu’un adblocker est détecté. Officiellement, il s’agit d’une “expérience de visionnage sous-optimale”. Les utilisateurs, excédés, commencent à désinstaller leurs bloqueurs pubs par centaines de milliers, mais d’autres cherchent des alternatives ou migrent vers des navigateurs moins exposés.

Au printemps, YouTube s’attaque aux applications mobiles tierces qui intègrent un bloqueur de pubs. Les apps comme Vanced, NewPipe ou les fork alternatifs voient leur accès restreint, voire bloqué. Si l’appli ne respecte pas les conditions d’utilisation de l’API, c’est rideau : “The following content is not available on this app”. La manœuvre vise à couper l’herbe sous le pied des solutions qui permettaient encore de regarder YouTube sans pub sur mobile.

Comme toujours, les développeurs d’adblockers ne restent pas inactifs. Chaque nouvelle parade de YouTube est contournée par une mise à jour de filtre, un script, ou une astuce communautaire. Mais la fenêtre de répit se réduit à chaque fois : les correctifs ne tiennent parfois que quelques jours avant d’être à nouveau contournés par Google. Les utilisateurs s’adaptent, jonglent entre navigateurs, extensions, et méthodes alternatives.

2025 : YouTube sort le bazooka

En juin 2025, YouTube déploie une nouvelle salve technique. Les principaux anti-pubs voient leurs astuces neutralisées. Le site détecte désormais toute tentative de blocage d’annonces, que ce soit via extension ou application tierce, et réagit par différents moyens : parfois la vidéo ne démarre pas, parfois elle met cinq secondes à charger, parfois un message d’avertissement s’affiche. Ce n’est donc plus un blocage pur et simple, mais une expérience volontairement dégradée, avec des ralentissements ou des délais avant le lancement de la vidéo.

Les exceptions qui confirment la règle

Mais dans ce chaos, deux solutions tirent leur épingle du jeu. D’abord, la solution CleanWeb de Surfshark : malgré tous les efforts de Google, CleanWeb continue de bloquer efficacement les pubs sur YouTube, aussi bien sur navigateur que sur mobile, là où la plupart des autres bloqueurs sont mis en échec. Les tests menés en 2025 confirment que CleanWeb reste opérationnel pour filtrer les pubs Google et offrir une expérience fluide, sans ralentissement ni pop-up d’avertissement.

Autre survivant de la purge : le navigateur Brave. Grâce à son bloqueur de pubs intégré et à des mises à jour régulières, Brave parvient encore à bloquer les pubs sur YouTube, sans déclencher systématiquement les messages d’erreur ou les ralentissements imposés par Google.

Les conséquences : désinstallations massives et migration

Face à l’impasse, de nombreux utilisateurs abandonnent leurs adblockers. Les statistiques explosent : AdGuard, Ghostery, et consorts enregistrent des pics de désinstallations jamais vus, parfois plus de 50 000 en une seule journée. D’autres, lassés, finissent par céder à YouTube Premium, tandis qu’une minorité continue la résistance en cherchant des solutions temporaires ou en changeant de plateforme.

Les arguments de chaque camp

YouTube : “La pub, c’est la vie (de la plateforme)”. Pour Google, la justification est simple : la pub finance la plateforme et rémunère les créateurs. Pas de pub, pas de YouTube gratuit. L’entreprise martèle que les bloqueurs de pubs mettent en péril l’écosystème, et que l’alternative existe : payer pour YouTube Premium.

Les utilisateurs : “Trop, c’est trop”. De l’autre côté, la grogne monte. Les pubs sont jugées trop longues, trop intrusives, parfois même dangereuses (scams, malwares, etc.). Beaucoup dénoncent une expérience dégradée, l’impression d’être pris en otage, et le sentiment que la plateforme pousse à l’abonnement Premium par la contrainte plus que par la qualité du service.

Un bras de fer sans vainqueur ?

La guerre entre YouTube et les adblockers ressemble à une partie d’échecs sans fin. Chaque offensive de Google est suivie d’une contre-attaque des développeurs d’adblockers, mais la plateforme semble désormais avoir l’avantage technologique, surtout grâce à l’intégration des pubs côté serveur et à la fermeture des API tierces. La résistance continue, mais les fenêtres de tir se réduisent. Les utilisateurs doivent choisir : accepter les pubs, payer l’abonnement, migrer vers des alternatives… ou s’équiper d’outils comme CleanWeb ou Brave qui, à ce jour, restent les solutions les plus efficaces pour retrouver un YouTube sans pubs. Pour combien de temps, cela reste à voir.

Et maintenant ?

YouTube a remporté une manche, mais la guerre n’est jamais vraiment finie sur Internet. Les utilisateurs continueront de chercher des moyens de reprendre la main sur leur expérience, que ce soit via de nouveaux outils, des alternatives ou des changements d’habitude. Mais la question de fond demeure : jusqu’où une plateforme peut-elle aller pour imposer la pub, et à quel prix pour la liberté de ses utilisateurs ?

Pour celles et ceux qui veulent la tranquillité numérique sans multiplier les abonnements et les extensions, Surfshark propose donc une formule complète qui va bien au-delà du simple VPN. Avec un seul abonnement, vous bénéficiez non seulement d’un VPN rapide et fiable pour sécuriser vos connexions et contourner les censures, mais aussi de CleanWeb, ainsi que d’Alternative ID, un outil malin pour générer des identités virtuelles et éviter que vos vraies infos ne se baladent dans les bases de données des marketeurs ou des hackers. Tout cela à partir de 2.38€/mois TTC (abonnement 2 ans + 3 mois offert).

En résumé, un seul abonnement Surfshark, et vous profitez d’une navigation privée, sans pubs, sans tracking, sans censure et avec une couche supplémentaire d’anonymat pour toutes vos inscriptions en ligne. Le tout, sur un nombre illimité d’appareils, pour protéger toute la famille sans prise de tête. De quoi préparer la fin des vacances et la rentrée scolaire en toute décontraction du slip.

Les meilleurs ad-blockers du moment (avec CleanWeb de Surfshark)

Par : Korben
17 juillet 2025 à 08:38

– Article en partenariat avec Surfshark

Le Web, c’est devenu un grand bazar qui vous vend de tout et ou tout se vend (sauf la paix). Aujourd’hui, surfer sans ad-blocker, c’est comme essayer de lire un bouquin dans le métro à l’heure de pointe, mais avec des vendeurs sur le marché qui vous crient dans les oreilles toutes les trois lignes. Bref les pubs sont partout (sauf ici).

D’un côté vous avez les vidéos qui vous balancent trois réclames avant de passer la minute visionnée, d’un autre les pop-ups qui surgissent comme des jumpscares dans un film d’horreur, puis les bannières qui ralentissent votre bécane … on se croirait dans une version numérique de Blade Runner, mais sans les néons stylés.

Pourquoi les fuites explosent en France (et comment vérifier si vos infos sont dans la nature)

Par : Korben
26 juin 2025 à 23:20

– Article en partenariat avec Surfshark

2024 aura été une année noire pour la cybersécurité hexagonale. Adidas, Ticketmaster, et même des organismes publics français (Urssaf, France Travail …) : les fuites de données s’enchaînent à un rythme inquiétant. Des millions de comptes clients chez Adidas, des paiements et infos persos siphonnés chez Ticketmaster, et des centaines de milliers de dossiers issus du secteur public, santé et éducation compris, balancés sur le web ou le dark web.

Nettoyez vos infos des bases de données commerciales avec Incogni (pour entreprises et particuliers)

Par : Korben
24 juin 2025 à 10:06

– Article en partenariat avec Incogni

La protection des données n’est plus, aujourd’hui, un simple sujet de conversation pour les responsables IT un peu stressés ou les geeks qui chiffrent tout ce qui bouge. Pour les entreprises, c’est devenu une question de survie, de réputation et, bien sûr aussi, d’argent. Entre les cyberattaques qui pleuvent, les fuites de données qui font la une et les amendes RGPD qui tombent plus vite que les mises à jour de Chrome, ignorer le sujet revient à laisser la porte du serveur grande ouverte avec un panneau “Servez-vous !”.

Surfshark Cleanweb - Le bloqueur de pubs nouvelle génération

Par : Korben
12 juin 2025 à 09:15

– Article en partenariat avec Surfshark

Internet ressemble de plus en plus à une brocante géante où chaque site veut vous vendre une brosse à dents connectée ou vous inviter à investir dans la crypto du futur. Même YouTube, autrefois havre de paix, vous envoie trois pubs pour chaque vidéo de chat de 2 minutes. Les bloqueurs de pubs classiques (uBlock Origin, AdGuard, Ghostery…) font le taf, mais la guerre est loin d’être gagnée. Les pubs natives, les scripts malins, les sites qui vous bloquent si vous bloquez leurs pubs… on tourne en rond.

Surfshark VPN : le meilleur pote des voyageurs connectés (et radins malins)

Par : Korben
9 juin 2025 à 15:56

– Article en partenariat avec Surfshark

Fini le temps où tu baroudais avec un guide papier et un plan griffonné sur un coin de nappe. Aujourd’hui, si tu n’as pas ton smartphone, ta tablette, ton laptop et ta montre connectée, tu es nu comme un ver. Mais cette hyperconnectivité, c’est aussi la porte ouverte à toutes les emmerdes : Wi-Fi publics dignes d’un gruyère, blocages Netflix, prix de billets d’avion qui changent selon la lune… Bref, le monde moderne.

Voici les trois meilleurs VPN du moment en promotion

8 juin 2025 à 11:41

[Deal du jour] Avoir un VPN pour se rendre sur Internet s'est largement démocratisé, grâce notamment à des campagnes marketing intensives de la part des fournisseurs. Mais quels sont les meilleurs VPN du moment au meilleur rapport qualité-prix ?

Surfshark, le VPN qui ne dort jamais

Par : Korben
29 mai 2025 à 09:00

– Article en partenariat avec Surfshark VPN

Bon, on ne va pas se mentir : en 2025, la cybersécurité, c’est devenu un sport de combat. Entre les hackers qui bossent la nuit, les gouvernements qui veulent tout voir, et les pubs qui te suivent jusque dans tes rêves, tu as intérêt à être bien équipé. Et là, bim, Surfshark débarque. Le petit VPN qui s’est imposé comme une référence n’est pas en reste du côté des nouveautés cette année.

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