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Aujourd’hui — 18 décembre 2025Flux principal

Reprendre le contrôle de ses données avant 2026 : Incogni, le bouton "reset" de votre vie numérique

Par : Korben
18 décembre 2025 à 06:24
-- Article en partenariat avec Incogni --

Si vous êtes comme moi, chaque fin d’année, vous faites peut-être le ménage dans vos mails, vos dossiers, parfois dans la vie pro. Mais le vrai bazar ne se trouve plus dans nos tiroirs : il est éparpillé dans des centaines de bases de données commerciales, de sites de recherche de personnes et de courtiers en données qui vendent notre profil en kit. Ces entreprises savent où vous habitez, ce que vous achetez, avec qui vous vivez, vos revenus probables, vos centres d’intérêt, parfois même votre état de santé supposé. Incogni s’attaque précisément à ce chantier invisible : faire supprimer, légalement et en continu, ces informations là où elles valent le plus pour les autres… et le moins pour vous.

Vos données se baladent partout (et vous ne les suivez plus)

Les « data brokers » vivent d’un modèle simple : collecter le maximum d’informations sur vous, les recouper puis les revendre à des publicitaires, assureurs, chasseurs de têtes, agrégateurs de profils, voire des acteurs beaucoup moins recommandables. Ils se nourrissent de formulaires, programmes de fidélité, applis, jeux « gratuits », cookies, traqueurs, fuites de sites, réseaux sociaux, etc. Une fois votre profil créé, il se duplique et se revend en boucle. Le résultat, ce sont des pubs ultra ciblées, des spams de plus en plus crédibles, une augmentation des risques d’usurpation d’identité, et la sensation désagréable d’être constamment suivi, même hors ligne. Bref c'est bien relou.

Le passage à 2026 est un moment idéal pour reprendre la main, parce que la tendance ne va pas s’inverser spontanément. Encore moins à l'époque de l'IA omniprésente. Plus on attend, plus votre « clone » numérique prend de la valeur (à chaque nouvelle information ajoutée) et plus il se multiplie. L’enjeu n’est pas de disparaître à 100% (ça c'est probablement mission impossible), mais de réduire la surface d’attaque : moins de données en circulation, moins de points d’entrée pour les arnaques, les hausses de tarifs ciblées, les fuites massives. Incogni propose d’industrialiser ce ménage, là où le faire à la main demanderait des centaines d’heures et une patience hors-norme.

Incogni : le service qui passe sa journée à dire « supprimez-moi »

L’idée d’Incogni est brutale dans le bon sens du terme : plutôt que de vous fournir des conseils abstraits, le service va directement chercher vos données chez plus de 420 courtiers et sites spécialisés, puis leur envoie des demandes de suppression en s’appuyant sur les lois en vigueur (RGPD en Europe, CCPA en Californie, PIPEDA si vous êtes au Canada, etc.). Dès l’inscription, le robot lance une première vague de requêtes, puis relance automatiquement tous les acteurs qui prennent trop leur temps. Des rapports réguliers indiquent qui a répondu, ce qui a été supprimé, ce qui est en cours, et ce qui résiste encore.

Pour l’utilisateur, tout se concentre dans un tableau de bord : on y voit les brokers contactés, le type de données qu’ils exploitent, et le statut de chaque requête (suppression confirmée, en attente, refus, relance planifiée). Les plans les plus complets ajoutent la possibilité de soumettre des demandes personnalisées sur des sites précis exposant vos infos : un vieux forum, un annuaire obscur, une base d’anciens clients, etc. Dans ces cas-là, l’équipe d’Incogni prend le relais et gère la procédure à votre place. C’est cette automatisation et ce suivi sur la durée qui font la différence avec un « grand ménage » ponctuel.

Ce que disent les chiffres (et pourquoi 2026 est le bon moment)

Incogni publie régulièrement des études sur la façon dont les gens laissent filer leurs données, notamment autour de périodes comme le Black Friday qui vient de se terminer. Une enquête récente menée aux États-Unis montre, par exemple, que les consommateurs sont nombreux à multiplier les comptes, newsletters et inscriptions « juste pour une promo », sans réfléchir à ce que deviennent leurs informations après coup. Beaucoup sous-estiment totalement le nombre de bases dans lesquelles leurs données terminent, et la durée pendant laquelle elles y restent. Certes, c’est basé sur des comportements américains, mais il n’y a aucune raison de penser que les Français, qui raffolent tout autant des bons plans et des achats en ligne, soient fondamentalement différents dans ce domaine.

Cette étude met surtout en lumière un paradoxe : les gens disent être inquiets pour leur vie privée… mais acceptent sans sourciller des conditions d’utilisation qui autorisent les marchands à revendre leurs infos. Fin 2025 / début 2026, c’est donc une fenêtre parfaite pour briser ce cercle. Après une année de formulaires, de comptes créés « juste pour voir », d’abonnements, d’inscriptions à des loteries en ligne, commencer 2026 en nettoyant tout ce qui peut l’être est un geste à la fois symbolique et très concret. Incogni se positionne précisément comme ce bouton « reset » annuel, voire permanent.

Pour les particuliers, les pros, et tous ceux qui ont mieux à faire

Une des forces d’Incogni , c’est d’être pensé aussi bien pour le particulier qui en a assez de voir son nom sur des sites de recherche de personnes, que pour la petite boîte qui doit prouver qu’elle prend la protection des données au sérieux. En entreprise, le service peut contribuer à limiter les risques de fuite de fichiers clients ou d’employés utilisés en dehors du cadre initial, tout en fournissant des rapports utiles pour les audits internes ou les échanges avec la CNIL & Co. Dans l’e‑commerce, la santé ou les services financiers, réduire ce qui traîne chez les courtiers, c’est aussi limiter l’ampleur possible d’un futur incident.

Du côté des particuliers, l’intérêt est plus instinctif : moins de spam personnalisé, moins de démarchage ciblé, moins d'appels non sollicités, moins de chances que des informations sensibles (adresse, date de naissance, numéros de téléphone, données de localisation, historique d’achat) servent à monter un dossier d’usurpation d’identité ou de scam bien ficelé. L’inscription est rapide, la prise en main se fait en quelques minutes, et les premiers résultats se voient souvent sous quelques semaines (baisse de certains spams, disparition progressive de fiches sur des sites de recherche de personnes). Certaines évaluations indépendantes mentionnent même des vérifications externes (type audit Deloitte) des cycles de relance et des promesses de suppression.

Une démarche à inscrire dans la durée… mais à commencer maintenant

Le piège, ce serait de penser qu’un gros nettoyage une fois suffit. Les data brokers continuent d’aspirer en permanence des flux venant de nouvelles sources, de nouveaux partenaires, de nouveaux formulaires. C’est pour cela qu’Incogni fonctionne plutôt comme un abonnement qu’un simple « passage unique » : le service renvoie régulièrement des demandes, vérifie que les suppressions tiennent dans le temps, et ajoute à sa liste de nouveaux courtiers au fil des mois (des dizaines supplémentaires par an, selon les retours récents). L’objectif est de maintenir votre exposition à un niveau minimum, malgré la tendance inverse du marché.

Le début 2026 est un excellent prétexte pour enclencher cette logique. Faire son bilan de l’année, nettoyer ses comptes, resserrer ses mots de passe, activer un gestionnaire , et, en parallèle, lâcher Incogni sur les courtiers en données pour qu’il fasse le travail ingrat. Le combo est simple : vous limitez ce que vous donnez à l’avenir, et un service automatisé retire ce qui traîne déjà dans la nature. Ce n’est pas de la parano, c’est de l’hygiène numérique, au même titre qu’un antivirus ou un VPN. Surfshark propose d'ailleurs le triple combo dans son offre Surfshark One .

On ne récupérera sans doute jamais un contrôle absolu sur toutes les miettes laissées au fil des années. Mais réduire le volume de données exploitables, c’est déjà reprendre l’avantage. Et si un outil peut passer ses journées à harceler les courtiers en votre nom, autant le laisser faire pendant que vous vous occupez de choses plus intéressantes que de lire des politiques de confidentialité en petits caractères (vous pouvez me préparer du pain d'épice et me l'envoyer pour mes fêtes par exemple, au hasard).

Vous avez encore quelques jours pour profiter de l'offre de fin d'année à -55%, donc ne tardez pas trop. L'abonnement standard annuel revient à 86,26€ TTC, mais en appliquant le code KORBEN55 vous économisez encore un peu plus, puisque vous ne payerez que 77,63€ TTC.

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À partir d’avant-hierFlux principal

Effacer ses traces du web avant 2026 : mode d’emploi radical avec Incogni (+ promo Black Friday)

Par : Korben
10 novembre 2025 à 09:00
– Article en partenariat avec Incogni

Quitter Internet en 2025 ne relève plus du fantasme de parano. Entre la collection frénétique des courtiers en données, les réseaux sociaux qui engrangent jusqu’à la dernière virgule de votre vie, et les catalogues d’offres commerciales connectées, rester visible, c’est laisser sa vie privée en pâture. Si l’idée de disparaître vous titille (genre vraiment disparaître, votre mère demandera des preuves) alors Incogni offre une rampe de sortie rare : l’automatisation de la purge numérique.

Pourquoi vouloir disparaître du web maintenant ?

Le web d’aujourd’hui magnifie l’exposition. Les moteurs de recherche, extensions de navigateurs, réseaux sociaux, forums, outils IA variés et surtout les courtiers en données ( data brokers ) travaillent main dans la main pour compiler, vendre, recouper et réinjecter chaque bribe de votre identité. Résultat : votre numéro de portable se balade de fichiers marketing en algorithmes d’arnaque, votre adresse personnelle circule entre opérateurs et plateformes, et votre historique constitue la matière première des prochaines attaques ciblées. Et je ne vous parle même pas des fuites/hacks de base de données comme celles de votre FAI, des mutuelles, sites gouvernementaux & co

Remettre en ordre sa vie numérique impose donc de revendiquer le “droit à l’oubli” partout : chez Google, sur les plateformes, et dans ces fameuses bases obscures alimentées par les programmes de fidélité, réseaux, applis mobiles, extensions et comparateurs de prix.

Mais surtout, avec la surveillance de masse boostée à l’intelligence artificielle et nos gouvernements qui tournent de plus en plus souvent en mode 1984, on ne sait pas ce que l’avenir nous réserve. Autant retirer un maximum de choses avant que certaines choses se mettent concrètement en place. Nous avons évité Chat Control le mois dernier, mais ce ne sera pas la dernière tentative pour venir reluquer nos conversations privées.

Le plan “disparition” en 7 étapes : la méthode

  1. Cartographier ce qui traineAvant d’éliminer quoi que ce soit, fouillez votre identité numérique : nom, email, téléphone… Cherchez-vous sur Google, Bing, DuckDuckGo, et compilez les liens et profils qui s’affichent.Ouvrez aussi vos paramètres dans les réseaux sociaux (“résultats sur vous” sur Google, privacy check-up sur Facebook, etc.).
  2. Supprimer la racine : réseaux sociaux & historiquesPassez vos comptes en privé, purgez régulièrement les anciennes publications, effacez les profils secondaires inactifs. Sur Instagram, Facebook, Twitter, Tik Tok, YouTube, LinkedIn & Co : supprimez photos identifiables, tags, posts publics, géolocalisations, metadatas et tous les liens vers votre vie professionnelle ou familiale.
  3. Gérer les données chez Google et les moteursUtilisez les outils “Résultats sur vous” ou les formulaires de demande de suppression chez Google pour déréférencer vos coordonnées, photos, et contenus sensibles. Attention, cela n’efface pas le contenu d’origine : contactez aussi éventuellement le webmaster du site ou du forum pour la suppression réelle. Déplacez vos contenus cloud (Dropbox, Google Drive …) vers des solutions open source et/ou autohebergées.
  4. Éradiquer les traces chez les courtiers en données C’est ici qu’Incogni entre en scène . Au lieu de fouiller et contacter à la main chaque broker dans une liste aussi longue qu’opaque, Incogni centralise et automatise toute la procédure : l’algorithme repère les courtiers détenant vos infos en fonction des lois du pays (RGPD, CCPA, PIPEDA…).Le service envoie directement les demandes d’effacement légales à plus de 420 brokers connus, suit les réponses et relance tous les deux/trois mois si besoin. Pour l’utilisateur, un tableau de bord permet de suivre en temps réel les suppressions, refus et statuts.
  5. Annuler les programmes de fidélité, apps et extensions de dealsNe pas oublier : les programmes de fidélité, les livraisons à domicile ou apps de bons plans capturent et redistribuent allégrement vos données à des tiers. Résiliez les comptes, demandez expressément la suppression de vos données collectées (grâce à Incogni ou manuellement).
  6. **Désinscrivez-vous des newsletters, forums, groupes, jeux en ligne…**Purgez ou anonymisez chaque canal logique – mail, pseudo, alias. Certains sites proposent la suppression automatisée, d’autres exigeront des demandes expresses via formulaire RGPD.
  7. Créer plusieurs identitésJe vous ai dit plus haut de supprimer vos profils secondaires inactifs. Par contre vous pouvez en garder plusieurs s’ils sont actifs, mais les utiliser spécifiquement. Un pour tout ce qui touche à l’IA, un autre pour les réseaux, un autre pour le perso, ou une identité par projet, etc. Même si ce n’est pas parfait, cela vous permettra au moins d’éviter le recoupement de données.

Incogni : automatiser l’enfer administratif

Si entreprendre ce nettoyage à la main prend plusieurs centaines d’heures pour une personne lambda (rien qu’au premier passage ! Sans même compter les relances), Incogni se charge d’automatiser la chasse aux données, dans le cadre légal du pays (RGPD, CCPA, etc.).​

Chaque demande est envoyée avec un degré de “persuasion réglementaire” élevé, et si le broker rechigne ou ne répond pas, Incogni relance jusqu’à obtenir un vrai effacement. Et le “poids” d’Incogni sera toujours supérieur au vôtre pour les brokers. C’est beaucoup plus facile de zapper la demande d’un utilisateur X en se disant qu’il ne va pas revenir à la charge. Alors que lorsque le service de Surfshark les contacte, ils savent qu’il ne va rien lâcher et qu’ils auront bien plus difficile de dire à un organisme officiel “c’est pas que j’ai pas voulu suivre la loi, j’ai pas vu la demande chef” s’ils sont contactés.
Les abonnés à l’offre illimitée peuvent même demander des suppressions personnalisées sur des sites spécifiques (plus de 2000), pour traquer la moindre trace visible.

Après, pour utiliser moi-même le service depuis un moment, il faut dire que le désenregistrement n’est pas toujours instantané : il faut patienter quelques semaines/mois pour voir les vrais résultats. Moins de spams, disparition des infos de contact dans les bases publiques, profil effacé sur les sites d’agrégation … c’est l’accumulation des retraits au fil du temps qui rend les choses concrètes. Certains observent une forte baisse du spam ou des résultats Google liés à leur nom, d’autres signalent un effet plus lent ou partiel, surtout sur des boîtes mail déjà surexposées.
Il existe aussi des cas où la suppression ne fonctionne pas chez certains brokers ou plateformes particulièrement réticentes (heureusement elles sont rares).

Conseils de “retrait numérique” pour ne pas y revenir

Avant de vous laisser, je vous rappelle quelques points essentiels :

  • Ne jamais s’inscrire avec sa vraie adresse ou identité là où ce n’est pas nécessaire … utilisez des alias ou l’ Alternative ID dans Surfshark.
  • Éviter les programmes de fidélité trop intrusifs et refuser systématiquement l’option “partage avec partenaires”.
  • Nettoyer régulièrement les anciennes publications, photos taguées et groupes publics.
  • Garder ses mails et comptes secondaires distincts de l’usage pro ou familial.
  • Toujours utiliser l’option “effacer mon compte et mes données” lors de la fermeture d’un service.

Disparaître du Net, fin 2025, ce n’est pas juste effacer son compte Facebook : c’est retrouver la maîtrise sur tous les morceaux de soi éparpillés. Incogni apporte l’automatisation et la rendre accessible à ceux qui veulent s’en aller proprement - avant que le web ne vous rattrape là où vous ne l’attendiez pas.

D’autant plus que vous pouvez en ce moment profiter de l’offre spéciale Black Friday sur tous les abonnements annuels (standard, illimité, familial et familial illimité). L’abonnement de base, avec le code KORBEN55, vous reviendra à 78,27€ TTC l’année au lieu de 87€. Le familial (jusqu’à 5 personnes protégées) passe de 188,6€/an à 169,7€. ça fait toujours quelques dizaines d’euros de plus pour les cadeaux de fin d’année ;)

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