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Le VPN de Surfshark croque encore les prix (promo Black Friday -87%)

Par : Korben
6 novembre 2025 à 08:28
– Article en partenariat avec Surfshark

Qui n’a jamais ressenti un petit frisson en se connectant à un Wi-Fi public ? Entre la parano légitime et le ras-le-bol du pistage permanent, la frontière est mince. Pourtant, la plupart d’entre vous s’en remettent encore souvent au hasard, à défaut de solutions simples… ou abordables. En creusant un peu, Surfshark VPN s’impose aujourd’hui comme LA réponse à cette anxiété numérique, avec une conception faite pour disparaître complètement derrière votre usage quotidien, que vous soyez néophyte ou vieux barbu du net.

Oubliez le cliché du VPN qui rame

C’est terminé l’époque où activer un VPN c’était un peu comme brancher la PlayStation sur une ligne RTC : Surfshark a choisi de miser sur le muscle technique, pas la poudre aux yeux. Non content d’être passé d’un parc de 3200 machines à plus de 4500, les serveurs 100 Gb/s déployés depuis quelques semaines sur leurs hubs principaux ne sont pas qu’un chiffre choc pour faire joli dans les benchmarks. Résultat ? Que vous streamiez en 4K, télétravailliez avec dix onglets ouverts, ou téléchargiez à la volée depuis un aéroport à l’autre bout du monde, le débit tient la route. On oublie presque qu’il y a un VPN en route.

Mieux : la connexion simultanée illimitée et multiplateforme (macOS, iOS, Windows, Android …) met fin aux petites querelles de famille pour savoir qui a droit à sa session sécurisée. Tablette, box TV, ordi pro, téléphone, console… tout le monde roule en Surfshark, dans la foulée, sans coût caché ni micro-gestion.

La vraie force réside dans cette sensation de légèreté. On décolle pour l’étranger ? Netflix, Prime, chaînes nationales, tout redevient disponible comme si vous n’aviez pas quitté le salon. Surfshark gère les géorestrictions comme VPN Messi Lionel Messi évite les défenseurs adverses. Gauche-droite, tir au but (enfin un truc comme ça, vous savez que moi et le foot …). Plus besoin de jongler avec des extensions louches ou de jouer au chat et à la souris avec les catalogues internationaux.

L’appli, agréable à utiliser, ne pollue pas l’écran de pop-ups ou de réglages abracadabrants : trois clics, et la sécurité devient presque invisible. Besoin d’une couche supplémentaire ? Mode camouflage, MultiHop : activable en deux secondes pour ajouter de l’opacité selon le contexte, ou contourner les réseaux d’entreprise/fac/campus un peu trop curieux.

Sécurité de bout en bout… même quand tout part en vrille

Ce qui marque surtout, c’est l’effort pour ne jamais exploiter vos données : politique no-log auditée régulièrement par des organismes indépendants (encore récemment, le dernier audit date de juin), serveurs en RAM pure, fonctionnalité CleanWeb intégré pour bloquer pubs et malwares, etc. Et une volonté affichée de ne rien laisser trainer, surtout pas sous la pression d’on ne sait quelle demande tierce. Même si le serveur plante ou redémarre, aucune donnée ne reste stockée. Lorsque le VPN décroche (coupure Wi-Fi, extinction PC…) le Kill Switch fait le ménage en fermant tous les robinets, impossible de lâcher accidentellement votre IP ou vos habitudes de surf dans la jungle d’internet.

Marre de voir votre boîte mail infectée après chaque inscription banale ? Surfshark propose l’ Alternative ID , un générateur d’identités temporaires pour s’inscrire aux sites en limitant le spam et le pistage. Couplé à CleanWeb, c’est la fin des bannières intrusives, redirections foireuses et tentatives d’hameçonnage. Naviguer sur le web redevient aussi paisible que de lire un bouquin chez soi.

Le prix chute, la sécurité s’universalise

Black Friday ou non, l’offre du moment ne souffre aucune concurrence : moins de 2 € HT par mois sur 2 ans, et trois mois gratuits pour compléter la panoplie (soit 64.48€ TTC pour 27 mois). Pas d’options indispensables planquées dans des add-ons premium, pas de pièges à la reconduction tacite. Au contraire puisque l’abonnement ne fait qu’ajouter des options : ad-blocker, IP rotative, bypasser …

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Un VPN ne doit plus être vécu comme une rustine de geek, mais comme le socle totalement transparent de votre vie connectée. Surfshark n’essaie pas de réinventer la roue : il la fait simplement tourner à pleine vitesse, sans bruit, partout, tout le temps et pour une fois, c’est le prix qui s’adapte à la vraie vie, pas l’inverse. Pour ceux qui veulent tenter sans risque, c’est la promesse d’une sécurité totale, même en mobilité ou sur les réseaux publics, et sans jamais rogner sur le débit ni votre compte bancaire.

Et ce qui fait vraiment la différence à mes yeux, c’est la boulimie d’activité du VPN. Rien qu’en 2025, on lui doit les nouvelles technologies Everlink et FastTrack, un bloqueur de contenu web, le lancement de la VPN Trust Initiative, la mise en place de serveurs DNS publics (utilisables par tout le monde, pas seulement les abonnés), des tonnes d’améliorations de fonctionnalités existantes, etc. Plus, comme je le disais plus haut, le passage de ses serveurs du standard 10Gb/s à 100Gb/s. Bref ils bougent tout le temps et ça, c’est plutôt un gage de confiance.

Surfshark VPN  à -87% !

Pourquoi un VPN moderne reste incontournable pour 2026

Par : Korben
27 octobre 2025 à 10:19
– Article en partenariat avec Surfshark

Utiliser un VPN solide, en 2025, n’est plus l’apanage de l’admin-parano ou du téléchargeur du dimanche. Avec l’explosion de la surveillance commerciale, la multiplication des tentatives de phishing, sans oublier la géographie des contenus online toujours plus segmentée, le VPN relève désormais du kit de survie numérique. Et je ne parle pas d’un kit d’urgence à la con tout pourrit en mode gouvernement français 2025. Surfshark, dans ce paysage saturé, a tiré son épingle du jeu en multipliant les fonctionnalités de protection tout en accélérant la connectivité et en simplifiant l’accès à l’anonymat. Le tout en restant l’un des moins chers du marché.

Les grandes forces de Surfshark VPN

Puisqu’il faut toujours rappeler les bases pour savoir de quoi l’on parle, voici en quelques points :

  • Chiffrement de niveau militaire (AES-256, ChaCha20) pour assurer la confidentialité totale : vos données restent incompréhensibles sans la clé, même en cas d’interception.
  • Kill Switch : internet coupé automatiquement si le VPN décroche. Pas de fuites accidentelles, on évite d’aller placarder involontairement l’IP ou les habitudes de navigation.
  • Mode Camouflage : même votre FAI ne sait pas ce que vous faites avec votre VPN, utile face à la censure et dans certains pays restrictifs.
  • Connexion illimitée sur tous les appareils ; pas de limite familière à 5 ou 7 slots, tout le foyer peut se connecter sans surcoût.
  • No Log, audit indépendant, CleanWeb, split tunneling, MultiHop, etc. — liste longue comme le bras, aucune collecte d’activité persistante vérifiée par des audits externes ; Surfshark ajoute même des outils pour gérer l’identité en ligne ( Alternative ID ) ou supprimer ses traces sur le web (Incogni).

L’initiative VPN Trust Initiative (VTI) : redéfinir la confiance

Protéger les données, c’est bien ; prouver qu’on le fait, c’est mieux ! Les scandales récurrents dans l’industrie du VPN (fuites, ventes de logs) ont mené à la création de la VPN Trust Initiative. Cette alliance des principaux fournisseurs ( dont Surfshark , NordVPN, ExpressVPN, etc.) vise à poser des normes techniques et éthiques claires autour de 5 piliers : sécurité, confidentialité, pratiques publicitaires, transparence et responsabilité sociale.

Pour les utilisateurs, le label VPN Trust Seal fonctionne comme un repère : il atteste qu’un service respecte une charte, limite les logs à l’indispensable, utilise du chiffrement sérieux, ne fait pas de promesses mensongères et agit dans l’intérêt de l’utilisateur. Cette labellisation favorise la confiance, démystifie l’industrie, et pousse tous les acteurs vers une transparence attendue.

Sous prétexte de protéger la sécurité ou l’ordre public, de nombreux gouvernements pressent pour créer des portes dérobées ou affaiblir le chiffrement — et ça, Surfshark, épaulé par la VTI, s’y oppose frontalement. Pour eux, brider le chiffrement (au profit d’un accès simplifié pour les autorités), c’est ouvrir grand la porte aux cybercriminels, mettre en danger la vie privée de tous, et piétiner la sécurité même des États et entreprises.

La défense de l’AES-256 et du chiffrement de bout en bout n’a donc rien d’une posture marketing, c’est la garantie minimale contre l’interception de masse et le piratage industriel. Sans chiffrement fort, VPN ou pas, nul n’est à l’abri de la compromission de ses données bancaires, médicales ou stratégiques.

Le futur des VPN, entre IA et résistance au quantique

Seulement, le secteur VPN ne s’arrête pas à la stricte confidentialité du surf. Face à l’avènement de l’internet quantique, des IA prédictives, et d’une segmentation toujours plus poussée des usages, Surfshark imagine déjà la suite : chiffrement post-quantique, routage dynamique et IA anti-censure sont sur la feuille de route. L’objectif : un service adaptatif, capable de rester invisible même sous surveillance avancée, tout en conservant le confort utilisateur (débits constants, streaming instantané…). À eux de nous montrer qu’il ne s’agit pas que de buzzwords, mais qu’il y a quelque chose derrière.

On assiste à l’émergence de « super VPN » capables de mixer anonymat, suppression d’empreinte numérique et gestion automatisée d’identités virtuelles. Chez Surfshark, le réseau Nexus (routage dynamique) ou la toute nouvelle  solution FastTrack posent déjà les premiers jalons d’une défense active, plutôt que réactive.

En somme, un VPN n’est plus juste un « tunnel chiffré », mais la pierre angulaire d’une vie numérique digne de ce nom. Et autant qu’elle soit guidée par des standards de confiance stricts, un refus catégorique des compromissions sur le chiffrement, et une vision claire du futur de la confidentialité. VTI, audits, innovations : à l’ère des menaces structurelles et de la surveillance tous azimuts, ce sont ces signaux qu’il faut traquer, bien plus qu’un effet d’annonce ou une promo temporaire.

Et vous pouvez avoir tout ça durant** 27 mois (abo 2 ans + 3 mois gratuits) pour moins de 65€ TTC** ! Presque 2026 et vous pouvez encore disposer d’un VPN parmi les meilleurs pour moins de 2.4€/mois. Avec toujours la garantie satisfait ou remboursé sur 30 jours et la possibilité de payer en cryptomonnaies pour un peu plus d’anonymat (un peu j’ai dit, ne vous emballez pas trop).

Je profite de l’offre Surfshark VPN !

Surfshark VPN - Vitesse encore boostée, vie privée assurée

Par : Korben
23 octobre 2025 à 10:12
– Article en partenariat avec Surfshark

La rentrée 2025 n’est pas que le retour des agendas surchargés : c’est le moment que Surfshark a choisi pour dégainer deux nouveaux gros arguments techniques, histoire de rebattre encore une fois les cartes sur le ring des VPN. Avec la montée de serveurs à 100Gb/s et l’introduction de FastTrack, la promesse est simple : le VPN doit être un accélérateur, pas un boulet sur la bande passante.

Prendre le train en marche du haut débit

Depuis quelques années, Surfshark s’est taillé une place de choix pour protéger l’identité en ligne à petit prix, sans compromis sur la simplicité : appli claire, connexions simultanées illimitées, protection intégrée contre le phishing et même option MultiHop pour ceux qui veulent brouiller les pistes jusqu’au bout. L’utilisateur lambda retrouve sans peine ses petits, tandis que les plus exigeants bidouillent dans les options avancées (protocole WireGuard, split tunneling, blocage pub via CleanWeb …).

Sauf que dans la vraie vie numérique (un stream, un jeu, plusieurs téléchargements …), un VPN, ça peut très vite devenir une source de ralentissements, ce qui agace vite tout le monde. C’est là que les nouveautés 2025 de Surfshark tapent fort.

Les serveurs 100 Gb/s : le VPN ne doit plus freiner

Surfshark est le premier acteur du marché à déployer des serveurs VPN 100 Gb/s, inaugurés à Amsterdam sur l’AMS-IX — l’un des plus gros hubs internet d’Europe. Ce bon technique, 10 fois supérieur à la génération précédente (la norme était de 10 Gb/s), change profondément la donne. Objectif : absorber sans broncher la multiplication des appareils connectés dans chaque foyer, le boom des usages en 4K et des fichiers (ou jeux) de plus en plus lourds, comme les vidéos à 360° & co.

Concrètement, les risques de saturation ou de ralentissements sur les heures « pleines » disparaissent. Même si votre connexion fibre est upgrade à 2 Gb/s, le VPN tient le choc et ne s’interpose plus comme goulet d’étranglement. L’approche anticipe aussi l’arrivée des usages AR/VR en streaming, très gourmands en bande passante.

Côté utilisation, rien à faire de spécial : on choisit son serveur et la mécanique se charge du reste. Certes, pour l’instant seuls certains emplacements sont équipés, mais Surfshark annonce déjà des déploiements progressifs dans d’autres villes après cette première phase de test.

FastTrack : fini la galère du serveur congestionné

Deuxième innovation à signaler : FastTrack, disponible dès cet automne, vise à rendre la navigation sous VPN aussi fluide que votre trajet matinal … un lundi de grève générale sans personne dans les rues.

FastTrack analyse en temps réel le réseau Nexus de Surfshark, et trouve automatiquement le chemin le plus rapide, en court-circuitant toute zone congestionnée ou serveur embouteillé. Résultat : jusqu’à 70% de gain de vitesse dans certains cas, et une latence en chute libre, même pour du gaming ou du streaming 4K. L’optimisation se fait à la volée, l’utilisateur n’a rien à régler. C’est un peu le mode « Waze » du VPN : plutôt qu’un trajet direct plan-plan, FastTrack cherche la route la moins saturée, et ajuste tout si besoin. Voici la vidéo qui vous en dira plus :

Le déploiement se fait par étapes (d’abord MacOS, villes pilotes…), mais il n’y a pas de surcoût ni de manipulation complexe. Les premiers retours utilisateurs rapportent un effet perceptible, surtout aux heures de pointe, avec des gains sur le ping ingame ou la stabilité du stream sur plateformes exigeantes.

Donc si vous ne voyez pas encore d’amélioration c’est normal, soyez patient. La performance maximale dépend de l’emplacement des serveurs 100Gb/s ; hors Amsterdam, on reste sur de l’excellent 10 Gb/s, ce qui suffit déjà à la très grande majorité des usages domestiques.

Fonctionnalités et expérience utilisateur : une solution complète, prix mini

Surfshark conserve tous ses arguments historiques :

  • Connexions illimitées avec un seul abonnement : le VPN familial par excellence.
  • Un réseau mondial vaste (plus de 100 pays couverts, serveurs RAM only), aucune journalisation à long terme, audits indépendants réguliers.
  • Mode camouflage pour les réseaux restrictifs, CleanWeb pour bloquer pubs et phishing.
  • Support WireGuard & OpenVPN, streaming sans géo-blocage, split tunneling, etc.

À cela s’ajoute la compétitivité du tarif long terme : Surfshark affiche depuis toujours l’un des prix au mois parmi les plus bas du marché, avec souvent des promos (3 mois ou 4 mois offerts, voire plus selon la période). Et toujours la possibilité d’obtenir un remboursement si le service ne vous convient pas.

Cela dit il reste encore des points d’améliorations possibles. L’interface Linux est fonctionnelle, mais encore rugueuse comparée aux autres OS, Surfshark ne propose pas de serveur « dédié jeux vidéo » avec un ping aussi bas que certains concurrents sur ce segment, mais s’en sort très bien sur les usages généraux. Enfin l’accès en Chine reste aléatoire selon certains utilisateurs (pas testé personnellement par contre, si un jour je décide de faire un séjour au temple des moines shaolins je vous dirai).

(je fais déjà pareil avec des barres de chocolat)

Le VPN est déjà prêt pour 2026

Surfshark VPN profite de cette rentrée pour montrer que la cybersécurité ne doit plus être synonyme de concessions techniques. Les 2 dernières nouveautés, si elles ne révolutionnent pas les choses, marquent un vrai saut générationnel, ouvrant la voie à un VPN qui disparait en usage quotidien, sans sacrifier la perf’ ni la vie privée.

Côté usage, c’est toujours aussi simple : on clique, ça marche, on ne s’en occupe plus. Ceux qui veulent bidouiller pourront exploiter toutes les options, les autres se contenteront de profiter d’un Internet plus sûr, plus rapide et moins stressant.

Les promos valables en ce moment permettent de sécuriser ses connexions pour une bouchée de pain (moins de 2.4€/mois TTC), avec 3 mois offerts et une flexibilité d’utilisation rare. En résumé, Surfshark avance avec sérieux sur la vitesse et la confidentialité. Si votre VPN vous fait encore ramer, c’est peut-être le moment de changer d’ère/air.

Découvrir Surfshark VPN au meilleur tarif !

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