Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierFlux principal

Comment configurer un VPN sur Apple TV ?

Par : Korben
18 avril 2024 à 12:36

— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Vous le savez déjà parce que je vous le répète depuis des années, mais dans notre ère numérique, protéger sa vie privée en ligne et améliorer son expérience de streaming sont essentiels. Et aujourd’hui on va voir ensemble et en détail comment le faire sur une Apple TV.

En intégrant un réseau privé virtuel (VPN) sur votre smart TV, vous débloquez tout un monde de possibilités tout en assurant un accès sécurisé et illimité au contenu. Dans cet article, je vais creuser un peu les tenants et aboutissants de la configuration d’un VPN sur l’appareil de la pomme, en mettant en lumière ses fonctionnalités, ses avantages, et les meilleures options adaptées pour une intégration transparente. Et si vous n’avez pas de TV Apple ? J’ai déjà publié un article pour Surfshark VPN et n’importe quelle smart TV.

Comprendre les VPNs et Apple TV

Qu’est-ce qu’un VPN et comment ça marche ?

En 2024 je pense que tout le monde (au moins sur mon site) sait ce qu’est un VPN, mais dans le cas contraire je vais juste rappeler qu’il s’agit d’un outil qui permet d’établir une connexion sécurisée et chiffrée entre votre appareil et internet. En faisant transiter votre trafic internet par des serveurs distants, un VPN masque votre adresse IP et chiffre vos données, garantissant ainsi anonymat et confidentialité en ligne. Ce chiffrage assure que vos activités en ligne, que ce soit le streaming, la navigation ou le gaming, restent privées et sécurisées loin des regards indiscrets. Et cela même pour votre fournisseur d’accès (grâce au mode camouflage de Surfshark).

Les fonctionnalités de l’Apple TV

Une Apple TV disposant du tvOS, c’est un peu la machine de streaming révolutionnaire par excellence. Elle proposent une multitude d’options de divertissement, avec non seulement des services de streaming, mais aussi (depuis peu) des applications et des jeux. Par contre si l’Apple TV offre un accès fluide au contenu numérique il faut reconnaitre que sa connectivité internet native manque des fonctionnalités de sécurité robustes, mais aussi du déblocage géographique qu’un VPN peut offrir. En intégrant un VPN avec votre Apple TV, vous améliorez votre expérience de streaming, accédez au contenu géorestreint, et protégez votre vie privée en ligne simultanément. Que demande le peuple ?

Bref la trousse à outils par excellence, d’ailleurs je vous ai déjà détaillé tout cela. Mais pour résumer voilà les avantages d’utiliser un VPN avec Apple TV

  • confidentialité améliorée : protégez vos activités en ligne des regards indiscrets et des potentielles violations de données en chiffrant votre trafic internet.
  • Déblocage géographique : accédez au contenu restreint par région et contournez les restrictions de censure facilement, ce qui vous permet en plus de profiter d’une gamme plus large d’options de streaming (catalogues d’autres pays … par exemple le catalogue Netflix).
  • Sécurité renforcée : protégez vos informations sensibles des hackers et des menaces en ligne en chiffrant vos données et en masquant votre adresse IP.
  • Streaming optimisé : surmontez la limitation de vitesse imposée par votre fournisseur d’accès internet et profitez d’un streaming sans tampon de vos contenus préférés, garantissant une expérience de visionnage aux petits oignons

La possibilité de combiner les 2 est encore toute chaude donc toutes les fonctionnalités classiques du VPN ne sont pas encore intégrées : c’est le cas par exemple de la fonction Cleanweb (ça aussi je vous en ai déjà parlé), du MultiHop dynamique ou encore de l’IP fixe. Ces options devraient apparaitre dans un futur plus ou moins proche, en tous cas on peut l’espérer. Et je vous en reparlerai si c’est le cas.

Avez-vous besoin d’un VPN pour votre Apple TV ?

Si vous vous demandez s’il est obligatoire d’utiliser un VPN … la réponse est non. Je ne vous regarderai pas avec moins de bienveillance (encore que …). Mais si ce n’est pas une nécessité absolue pour utiliser Apple TV, il offre quand même de sacrés avantages qui améliorent votre expérience de streaming. Surtout si vous accordez de l’importance à la confidentialité, à la sécurité, ou à l’accès à une gamme plus large de contenu. Et encore plus si vous n’êtes pas trop égoïste et que vous pensez à protéger le reste de votre famille.

Parce que je vous rappelle quand même sur Surfshark VPN supporte un nombre de connexions … illimitées et simultanées. Ce qui reste un des gros points forts de l’outil VPN du requin.

Comment configurer un VPN ?

Voilà le moment que vous attendiez tous, mettre les mains dans le cambouis ! Configurer un VPN sur votre Apple TV peut se faire de plusieurs moyens, chacun adapté à votre configuration matérielle. On va creuser le processus étape par étape, et comme vous allez le voir il n’y a vraiment rien de bien compliqué.

Si vous disposez d’une Apple TV HD ou un modèle 4K (pour les 3 premières générations, voir plus bas) : vous allez commencer par installer l’appli Surfshark sur votre appareil depuis l’App Store (Captain Obvious est parmi nous). Pour ouvrir l’appli, vous pouvez utiliser votre adresse mail habituelle ou directement votre compte Apple. Et pour la version mobile, il suffit de scanner le QR Code qui apparaitra sur l’écran. Jusque là même Mme Michu est encore dans le game.

Ensuite ? Rien, c’est fini. Ce n’est pas une démarche digne de la NASA, c’est ultra simple comme sur n’importe quel autre appareil et c’est fait exprès. Vous allez simplement vous connecter à des serveurs en choisissant un pays en fonction du catalogue de votre plateforme de streaming, du pays le plus proche, etc.

Éventuellement si vous avez des soucis de connexions, il faudra passer par les paramètres de votre Apple TV (Paramètres > Réseau > Détails de connexion > Supprimer VPN) et retenter la connexion. Et si vraiment vous avez du mal et que vous préférez voir de vos yeux comment ça marche, l’équipe a mis en place une vidéo YouTube dans laquelle on apprend que le protocole par défaut est Wireguard (bon choix).

Et si, comme je le mentionnais plus haut, vous disposez d’une télévision Apple des 3 premières générations ? Pas de panique. Elles ne supportent pas l’installation d’applis, mais il est toujours possible de passer par la fonction Smart DNS ou passer par un routeur.

Configurer un VPN sur votre routeur

  1. Accédez à la page des paramètres de votre routeur et localisez la section VPN.
  2. Entrez les identifiants VPN fournis par votre fournisseur de VPN.
  3. Enregistrez les paramètres et redémarrez votre routeur pour appliquer les modifications.
  4. Connectez votre Apple TV au réseau de routeur activé par VPN.

Configurer un routeur virtuel avec un VPN

  1. Installez un client VPN sur votre ordinateur portable ou de bureau.
  2. Configurez un routeur virtuel en utilisant les paramètres intégrés de votre appareil.
  3. Connectez le routeur virtuel à votre serveur VPN.
  4. Connectez votre Apple TV au réseau du routeur virtuel.

Configurer Smart DNS sur votre Apple TV

  1. Accédez au menu Paramètres sur votre Apple TV.
  2. Sélectionnez « Réseau » puis choisissez votre réseau Wi-Fi.
  3. Entrez les adresses DNS fournies par votre fournisseur de VPN.
  4. Enregistrez les paramètres et redémarrez votre Apple TV pour appliquer les modifications.

Comment choisir le meilleur VPN ?

Lors du choix d’un VPN pour Apple TV, prenez en compte les facteurs suivants :

  • Compatibilité : assurez-vous de la compatibilité avec les appareils Apple TV pour une intégration sans faille.
  • Vitesse et performance : optez pour un VPN avec des serveurs rapides et une latence minimale pour améliorer votre expérience de streaming. De ce côté Surfshark a frappé fort en passant la majorité de son parc de serveurs de 1Gb/s à 10 Gb/s ces derniers mois.
  • Couverture serveur : choisissez un fournisseur de VPN avec un vaste réseau de serveurs pour des capacités de déblocage géographique optimales. Ce qui vous permettra d’accéder au contenu du monde entier, mais aussi d’avoir un temps de réponse plus rapide. Surfshark c’est 3200+ serveurs dans 100+ pays.
  • Fonctionnalités de sécurité : les protocoles de chiffrement doivent être solides et reconnus (AES 256, ChaCha20, Wireguard, OpenDNS …), bouton kill switch, split tunneling, protection contre les fuites DNS sont des incontournables aujourd’hui.

Même si la plupart des fournisseurs de VPN offrent un support pour divers appareils, y compris Apple TV, c’est toujours mieux d’aller vérifier précisément si c’est vraiment le cas. Recherchez un VPN qui mentionne explicitement la compatibilité avec les appareils Apple cela vous garantira que vous n’allez pas vous retrouver dans la mouise à devoir bidouiller des solutions annexes ou demander un remboursement. Juste histoire de ne pas avoir de mauvaise surprise, on se prend déjà assez la tête ailleurs. Même si la plupart des outils proposent un remboursement sous 30 jours, vous savez comment ça se passe hein … y’a jamais de soucis pour que l’argent arrive chez eux, par contre pour le retour c’est pas toujours aussi simple. Au moins Surfshark est clair de ce côté, son outil est adapté.

Les meilleurs VPNs pour Apple TV

Alors, comme vous le savez je suis un utilisateur comblé avec Surfshark depuis plusieurs années, qui me convient très bien au quotidien avec très peu de lenteurs, etc. Mais on ne va pas se mettre des oeillères non plus et d’autres VPN font plutôt bien le taf de ce que j’en sais (mais eux sans avoir testé de manière concrète). Un petit tour rapide de quelques outils que je connais en mode bullet points (à prononcer en bon français, boulettes pwoiiiin) :

Surfshark VPN

  • Avantages : connexions simultanées illimitées, fonctionnalités de sécurité robustes, et serveurs optimisés pour le streaming.
  • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, intégration transparente, capacités de streaming améliorées, bibliothèques de contenu du monde entier …

NordVPN

  • Avantages : vaste réseau de serveurs, serveurs dédiés au streaming, et protocoles de sécurité de premier ordre.
  • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, accès illimité aux bibliothèques de contenu du monde entier.

ExpressVPN

  • Avantages : serveurs ultra-rapides, interface conviviale, et excellent support client.
  • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, streaming optimisé et des fonctionnalités de sécurité améliorées.

Et du côté des VPN gratuits ?

Vous connaissez déjà mon avis sur le sujet, oui il existe des bouses options de VPN gratuites. Le souci c’est qu’elles présentent souvent des limitations comme des quotas de données, des vitesses plus lentes, moins de serveurs et c’est blindé de pubs. Et, comme si ça ne suffisait pas, il n’y a pas non plus de niveau de sécurité minimal si vous faites attention à vos données. De plus il y a de très fortes chances que la plupart d’entre eux revendent vos données à divers organismes (il faut bien manger ma bonne dame). Si vous avez déjà essayé d’utiliser un VPN gratuit … vous savez que ça fait aussi mal que de marcher sur des tessons de bouteilles. 

Pour des performances et une sécurité optimales, investir dans un service VPN payant réputé n’est pas un luxe. Performances fiables et stables, des fonctionnalités de sécurité robustes … rien de mieux pour diminuer sa dose de stress.

Surtout au prix actuel qui reste vraiment abordable depuis plusieurs années. On parle de moins de 2.75€/mois TTC avec l’abonnement 2 ans et 2 mois. C’est vraiment pas cher si vous avez 4 ou 5 machines à protéger ou que vous avez de la famille. Et du côté du paiement, Surfshark est plutôt flexible, vous pouvez payer d’un tas de manières différentes : PayPal, carte bancaire ou de débit, Google ou Amazon Pay, et même en cryptomonnaies (l’occasion d’enfin faire quelque chose de vos Ripple ou Cardano … haha). Toujours avec la garantie de 30 jours satisfait ou remboursé.

Je n’en ai pas parlé aujourd’hui parce que c’est déjà pas mal long, mais vous pouvez aussi ajouter diverses options à votre VPN si vous voulez une protection plus complète. Surfshark One (avec son antivirus, son système d’alerte, etc.) ou la version Plus (qui intègre le service Incogni) sont aussi à votre disposition pour quelques euros de plus.

Découvrir le VPN de Surfshark !

Les données récupérées par les applications d’achat de vêtements

Par : Korben
8 avril 2024 à 10:30

Incogni Applis Shopping

— Article en partenariat avec Incogni

Allez, ce matin avec Incogni on va continuer notre exploration des différents services qui récupèrent nos données à notre insu pour les revendre aux datas brokers. Il y a seulement quelques jours je vous parlais des applications Android visant spécialement nos bambins, aujourd’hui ce sont les applications de shopping. Histoire que vous sachiez de quoi il retourne d’ici les prochaines soldes.

Ces dernières années nous avons vu une explosion des applications mobiles pour l’e-commerce. Temu, Shein, Ali Express … même les grandes enseignes historiques comme Nike, The North Face & co poussent à utiliser l’app plutôt que passer par le site web classique. Je vous entends vous demander « mais pourquoi donc ? ». Si si, je l’ai entendu jusqu’ici, ne niez pas.

La réponse : car il est plus simple d’y récolter un max de données ciblées. Une app peut accéder à un tas d’informations différentes sur votre téléphone alors qu’un site web aura plus de mal. Dans son étude, le laboratoire de recherches Incogni a analysé 180 applications de shopping différentes et comme chaque fois les résultats ne sont pas glorieux. Vous êtes habitués maintenant, l’idée c’est d’extraire des infos pour ensuite les revendre et créer des profils les plus complets possibles de qui nous sommes, nos habitudes, etc.

Ce qui est intéressant c’est de voir que ces applis shopping abusent un peu moins que celles dédiées aux gamins, ou même que votre voiture intelligente. En toute logique, l’énorme majorité va stocker ce dont elle a besoin pour vous offrir le service promis : mail, adresse de livraison, numéro de téléphone, etc. Bref là rien de spécial, difficile de vous livrer un colis sans demander au moins le point de livraison. Par contre 1/4 d’entre elles (cela reste énorme) vont récolter votre galerie photo, 6-7% vos vidéos, 5% votre historique web ou la liste des applis installées et 3.3% votre orientation sexuelle ou votre liste de contacts. 22 sur 180 vont cibler précisément vos différentes localisations (dont Adidas). De plus la moitié partagent vos données directement avec des tiers (autrement dit les data brokers) et l’Europe est la seconde zone la plus touchée.

En France nous avons la chance de n’avoir quasi que de mauvais élèves, comme en politique. Les apps H&M, Hacoo (jamais entendu parler), Shein et Nike collectent à peu près tout ce qu’ils peuvent dont vos messages (pour Nike). Spéciale dédicace à ASOS, Vinted et Zalando qui non seulement récoltent un max de choses, mais en plus en revendent la moitié. Le seul bon élève ? Zara. Vous pouvez creuser la liste complète ici en fonction de votre pays de résidence.

Bref une fois encore nous sommes de bonnes vaches à lait. Pas de surprises malheureusement. Mais c’est là qu’intervient Incogni pour nous remonter un peu le moral. Grâce au service de Surfshark, il est possible de faire retirer les données que nous jugeons trop sensibles (toutes ?) des bases de données des courtiers en informations. Ce qui va couper certaines sources d’approvisionnement et fera tourner vos infos un peu moins rapidement dans les méandres du web.

Nom, prénom, adresse mail, numéro de téléphone, etc. Il suffit de dire à Incogni quoi supprimer et il va alors consulter tous les brokers qu’il connait pour leur demander de vous effacer de leurs listes. Et cela sur le long terme puisque le service va vérifier régulièrement que vous n’êtes pas rajouté par la suite (des fois que le broker aurait acheté une nouvelle base avec vous dedans). Vous pouvez aller jeter un oeil à mon test Incogni pour voir comment cela fonctionne concrètement et les résultats.

Maintenant qu’est-ce que l’on peut faire de notre côté pour limiter tout cela et agir de manière proactive ? Et bien déjà passer par la version web classique d’une boutique plutôt que via son appli. Point bonus si votre navigation est un minimum sécurisée (VPN, bloqueur de traqueur, etc.). Oui je sais, il faudra refuser l’offre promo exclusive de 3€ offerts sur votre première commande après avoir installé l’appli. Ou alors, soyons fous, tout simplement résister aux sirènes du consumérisme et arrêter d’acheter des choses inutiles en ligne. Dur.

Si vous n’êtes mentalement pas encore prêt à franchir le cap, vous pouvez déjà enclencher la solution Incogni pour moins de 95€ TTC/an. Et cela sans risques grâce à la garantie satisfait ou remboursé de 30 jours.

Testez Incogni !

La moitié des applis pour enfants sur Android récoltent leurs données

Par : Korben
28 mars 2024 à 09:33

— Article en partenariat avec Incogni —

Salut la compagnie. Alors si vous avez l’habitude de me suivre, vous savez que j’ai déjà présenté l’outil Incogni de Surfshark d’un tas de façons différentes. Et mentionné les nombreux services qu’il peut rendre en fonction de votre situation. Mais s’il y a une cible que je n’ai pas abordée, c’est celui de nos marmottes marmots.

Parce que oui, lorsqu’on pense aux informations personnelles récupérées pour le plus grand bonheur des datas brokers (courtiers en données), on pense souvent aux nôtres, celles des « grands ». Et cela afin de créer des profils les plus complets possibles, notamment pour obtenir une image assez précise des sites que nous visitons, de nos achats en ligne, notre situation financière, nos centres d’intérêt, etc.

Sauf qu’il y a une catégorie d’utilisateurs que l’ont a tendance à oublier dans l’histoire, les enfants. Et oui, à notre époque pas mal de gamins passent déjà des heures en ligne (sur un smartphone ou à la maison) sans se préoccuper de savoir s’il y a un danger. Et les parents ne sont pas souvent capables de sécuriser leur environnement et leur apprendre les bons réflexes. Peu vont se renseigner sur les pratiques et les accès accordés aux applications installées (déjà que les parents eux-mêmes utilisent encore des passoires notoires comme Meta & Co …). Or les outils qu’utilisent les enfants, même s’ils semblent aussi peu dangereux que Oui-Oui, n’en sont pas mieux sécurisés pour autant. Ces bases de données centralisent et récupèrent leurs actions et peuvent ensuite tomber entre des mains malhonnêtes.

Le laboratoire de recherche d’Incogni a ainsi analysé 74 applications parmi les plus téléchargées et utilisées au monde par les plus jeunes. Sans surprise cela a permis d’épingler presque 50% de celles-ci (34) dont 2/3 (21) annoncent directement partager leurs données avec des tiers. Quasi 15% récoltent jusqu’à 7 types d’informations différentes : email, historique d’achat, localisation … voire photo. On comprend vite comment les choses peuvent mal tourner. En Europe c’est en moyenne 5 informations qui sont récupérées, la 2e région du monde la plus surveillée.

Incogni applis android pour enfants

Bon après il s’agit la plupart du temps de récolter de la data pour raison marketing, ou pour diagnostiquer des problèmes techniques (bugs & co). Mais encore faut-il faire confiance aux développeurs de l’appli en question. Ainsi Pokémon Quest annonce être clean sur le Google Play Store alors qu’elle récupère des données et les partage. À peine 1 appli sur 7 permet de désactiver cette récolte de données, et 1 sur 3 ne permet pas de supprimer ses infos (pas très RGPD). Une bonne nouvelle s’il faut en trouver une ? 94% chiffrent les données. C’est déjà ça.

Pour différencier les bons des mauvais élèves, vous pouvez vous rendre sur ce lien (onglet « App Rankings » puis cherchez votre pays). En France les cartons rouges sont pour Toca Life World, Kahoot et Avatar World (7 à 12 infos collectées), par contre les jeux des studios YovoGames et BabyBus c’est safe. Ainsi que Pat Partouille à la Rescousse … ouf, je vais mes gosses vont pouvoir continuer à jouer.

Du coup, pour en revenir à Incogni, disposer d’un service qui va nettoyer les bases de données du web des informations liées à vos enfants pourra s’avérer une bonne pratique à mettre en oeuvre. Plus vous commencez tôt et moins les informations se retrouveront dans de multiples bases de données. Si l’adresse mail de votre enfant se retrouve chez un broker, la faire retirer au plus vite est un bon réflexe à avoir, avant qu’elle ne soit reprise à gauche et à droite. N’attendez pas d’intégrer la liste de dizaines de brokers comme je l’ai fait, ça m’apprendra à laisser mon email chez n’importe qui 😉

Encore faut-il se rendre compte que tel ou tel courtier a ces informations en main. C’est le travail d’Incogni, qui va scanner l’ensemble des brokers qu’il surveille afin d’y trouver les éléments que vous voulez faire supprimer. Il contactera alors en votre nom ces derniers et leur demandera des retraits, et répétera l’opération jusqu’à ce qu’ils lâchent l’affaire. Des heures et des heures de recherches économisées et vous aurez l’esprit tranquille en sachant qu’il va s’assurer que ces retraits soient définitifs. Vous pouvez même suivre l’avancée des travaux directement depuis une interface simple.

Mais n’oubliez pas que VOUS êtes le premier rempart de votre progéniture. Eduquez-les, expliquez-leur les conséquences potentielles de tout ce qu’ils font sur la toile, etc. Vous ne les laisseriez pas jouer n’importe où ni avec n’importe qui en extérieur, il n’y a pas de raison que ce soit différent en ligne. Et si vous vous y mettez un peu tard, appelez le soldat Incogni à la rescousse pour vous assurer que les dommages sont limités !

Je découvre Incogni

Pourquoi vous devriez prendre un abonnement à Surfshark One

Par : Korben
21 mars 2024 à 12:05

— Article en partenariat avec Surfshark —

Salut les amis, ça chauffe du côté de la sécurité en ligne et aujourd’hui, on se plonge dans l’univers de la protection ultime avec le VPN Surfshark, particulièrement dans sa formule complète, j’ai nommé Surfshark One. Parce que Surfshark ne se tourne pas les pouces depuis 2018. C’est devenu bien plus qu’un simple bouclier VPN, c’est une armure numérique complète.

Surfshark One

En plus de s’imposer comme l’un des meilleurs VPN en termes de rapport qualité/prix, Surfshark a étoffé son arsenal. Au-dessus du simple abonnement VPN, on trouve désormais la couche de sécurité intégrale, Surfshark One. Elle comprend un antivirus (basé sur le moteur Avira), un moteur de recherche, un système d’alerte, un bloqueur de pubs, et même un outil pour créer des identités alternatives. Le tout en restant léger comme une Chantilly et gérable depuis un tableau de bord unique dont l’interface est claire et simple à prendre en main. Et bien sûr, avec des analyses manuelles ou programmables au menu.

Cette boîte à outils a pour mission de vous fournir tout ce dont vous avez besoin pour être à l’abri du plus grand nombre de menaces en ligne, tout en préservant votre vie privée. Bref, Surfshark fait le boulot à votre place. Parce que franchement, il y a mieux à faire que de traquer les risques qui pullulent sur le web au quotidien. Par exemple profiter de ce début de printemps pour admirer sa nouvelle mare.

C’est donc Surfshark qui prend le relais avec une surveillance en temps réel. Leur antivirus est en mode chien de garde numérique, mettant à jour ses listes de sites malveillants toutes les trois heures, prêt à dézinguer tout virus ou logiciel corrompu qui ose s’approcher. Il va :

  • scanner tout ce que vous téléchargez
  • garder un œil sur votre webcam pour s’assurer qu’elle n’est pas utilisée à votre insu
  • détecter le phishing et autres menaces obscures (fichiers louches dans vos mails, scareware, etc.).

Ils ont même une fonctionnalité appelée Cloud Protect, qui fouille les documents dans une zone tampon avant de les balancer sur votre machine (protection contre les menaces types zero-day).

Le moteur de recherche et le système d’alerte sont simples, mais plutôt efficaces. Le moteur vous permet de faire des recherches sans dévoiler vos infos aux moteurs classiques et sans résultats biaisés par votre historique. Le système d’alerte, lui, scrute les bas-fonds d’Internet pour voir si vos données ne trainent pas où elles ne devraient pas. Et il vous alerte illico dès qu’il sent que quelque chose cloche.

Parlons du pillage de données, cette nouvelle ruée vers l’or noir du numérique. Dans mon article précédent, je vous ai parlé de la brèche majeure datée de janvier 2024 (répondant au doux nom de « Mother of all Breaches »), qui concernait plus de 26 MILLIARDS de comptes sur toutes les plateformes les plus utilisées. Depuis ce n’est pas plus calme, avec notamment une énorme faille qui a touché plus de 33 millions de Français le mois dernier (50% de la population). Cette fois ce sont Viamedis et Almerys (opérateurs de tiers payant) qui ont subi une cyberattaque relâchant dans la nature : vos noms/prénoms, numéro de SÉCU, date de naissance, assureur et type de contrat souscrit … tout y est passé. Un mail d’alerte de Surfshark qui vous secoue dès que ça chauffe, c’est quand même bien pratique pour prendre les devants.

Autre gros avantage de Surfshark One : c’est simple à configurer et ça protège jusqu’à 5 machines chez vous. Du vieux PC familial au dernier MacBook Pro, en passant par les smartphones de la famille. Peu importe le navigateur ou le système d’exploitation, Surfshark s’adapte sans sourciller. Pas besoin de faire des choix cornéliens sur quelle machine sécuriser, protégez-les toutes en même temps. Une sacrée tranquillité d’esprit, surtout si vous avez des ados ou des parents distraits qui naviguent sur le web sans trop se poser de questions niveau sécurité.

Je ne présente pas l’outil VPN dans cet article, car je l’ai déjà fait dans d’autres billets (ici par exemple), mais il est bien évidemment inclus dans le pack Surfshark One. En plus de toutes les protections citées (antivirus, alertes, moteur, identité alternative …) vous avez donc le VPN qui vous permettra de regarder du contenu bloqué/géolocalisé, de sécuriser votre trafic en ligne et vos connexions, etc.

Et pour tester Surfshark One, c’est sans risque grâce à leur garantie satisfait ou remboursé de 30 jours. En ce moment, profitez d’une belle offre à -77% + 2 mois offerts sur l’abonnement annuel, soit environ 49$ pour 14 mois de protection (l’équivalent de 3.49$/mois). Si vous l’utilisez sur 5 machines, cela fait donc moins de 70 centimes par appareil et par mois.

Alors les amis, plus d’excuses pour ne pas essayer Surfshark One !

Incogni et les différents leaks du milieu de l’automobile

Par : Korben
18 mars 2024 à 09:53

Bannière Incogni

— Article en partenariat avec Incogni

Salut la compagnie, vous vous souvenez de cette époque éloignée de fin 2023 ? Je vous avais présenté une source de fuite potentielle de vos données privées : votre voiture « intelligente ». Et bien depuis j’ai continué à voir des choses pas très fun pour nous, pauvres consommateurs de ce genre de véhicules que nous sommes.

Alors je ne sais pas si c’est le phénomène Baader-Meinhof qui agit, mais je vois passer plus souvent des informations sur le sujet depuis quelques mois. Pour ceux qui ne sachez pas, cet effet c’est une sorte de biais cognitif qui fait que lorsqu’on remarque une chose pour la première fois, on a tendance à la voir plus souvent. L’exemple typique : vous achetez un nouveau pull et subitement vous voyez 4 personnes chaque jour qui portent le même. Après c’est de votre faute aussi, vous auriez pu vous douter que 75% de la population se fournit dans les mêmes boutiques de fringues ou portent les 12 mêmes marques.

Bref, pour en revenir aux voitures, depuis l’étude Mozilla partagée dans mon article précédent … je ne vois plus que des fuites d’huile de données dans le monde de l’auto. Rien qu’en janvier, nous avons eu droit :

  • au hack de la National Automobile Dealers Association (NADA, importante organisation commerciale représentant les concessionnaires franchisés de voitures et de camions neufs aux US). Numéros de téléphones, emails, factures, paiements et cartes des acheteurs … au total plus d’un million de données.
  • Mercedez-Benz qui oublie une clé privée dans un repo GitHub public, donnant accès à tout son code source.
  • Hyundai Inde qui expose les données perso de ses clients (noms, adresses physiques …)
  • Plus de 100Gb de données récupérées chez Nissan après une attaque visant les acheteurs australien et néo-zélandais

Et ce n’est que sur une période d’un mois ! Ce qui confirme plutôt bien ce que j’écrivais dans l’article de l’an dernier : sécuriser vos données chez les constructeurs automobiles ? Aussi important qu’un grain de sable au milieu du Sahara pour un Inuit.

Ces informations sont ensuite revendues aux data brokers. Qui peuvent alors les combiner avec les nombreuses bases de données déjà récupérées ailleurs sur le web (légalement ou non). Le mail et les données bancaires que vous avez donnés au concessionnaire se retrouvent aussi dans une base de boutique en ligne qui dispose de l’historique de vos achats fringues et gadgets ? Paf, on a un profil plutôt complet de vous. De votre nom et prénom, à votre adresse physique, la voiture que vous conduisez, ce que vous faites durant vos temps libres et comment vous vous habillez. Plutôt précis. Sans compter que les endroits que vous fréquentez sont éventuellement dans la liste aussi (que ce soit via les déplacements de la voiture, ou depuis votre téléphone).

Incogni Infos Perso

Même en étant parano c’est compliqué de ne rien laisser filtrer. D’où l’intérêt de ne pas laisser trainer nos données déjà récupérées par l’un ou l’autre broker. Et pour y arriver sans passer des journées entières à effectuer les recherches en solo dans son coin : il y a Incogni.

Je vous ai déjà présenté le service à de multiples reprises ici, mais un petit rappel ne fait pas de mal. En vous abonnant à Incogni, vous allez lui donner l’autorisation de contacter les data brokers (il en connait quasi 200) en votre nom. Et leur demandera de retirer les informations que vous voulez voir disparaitre, en faisant valoir les lois en vigueur (RGPD & co). En quelques jours/semaines vous verrez les premières suppressions arriver dans votre tableau de bord.

Est-ce que ça marche ? Oui, en grande partie. J’ai d’ailleurs fait un retour d’expérience personnel sur plusieurs mois d’utilisation. Tous les brokers n’ont pas joué le jeu, mais la majorité l’a fait. Et je peux vous dire que j’ai senti une réelle différence dans le nombre de spams et de sollicitations que je reçois. Après je sais que j’ai un profil d’utilisateur du web plutôt « power user », avec une adresse mail qui traine partout depuis 20 ans et des centaines (et sans doute milliers) de sites testés pour vous concocter mes petits articles quotidiens pleins d’amour. Ce sera forcément moins sensible si vous apparaissez seulement dans 3 bases de données.

Le petit plus d’Incogni c’est qu’une fois qu’un broker vous a retiré de sa base, l’outil va continuer à vérifier de temps en temps que vous n’y revenez pas. Et son interface est ultra simple à prendre en main. Elle vous donnera même des informations précieuses sur l’avancée des travaux, mais aussi la dangerosité des gens qui ont rachetés vos infos.

Jusqu’ici le service de Surfshark se targue d’avoir validé plus de 20 millions de demandes de retraits. L’air de rien ça doit commencer à faire un peu moins de profils complets chez certains brokers. Continuons donc à leur mettre des bâtons dans les roues.

Découvrir Incogni !

Utilisez Surfshark VPN pour protéger votre smart TV

Par : Korben
22 février 2024 à 10:00

Surfshark Logo

— Article en partenariat avec Surfshark

Alors les amis, quoi de neuf dans le cyberespace ? Une des dernières fois que je vous ai parlé de Surfshark VPN c’était pour vous présenter les améliorations qui vont nous accompagner dés cette année 2024. Et oui, je dis nous, car c’est mon outil VPN au quotidien, celui que j’utilise depuis plusieurs années maintenant.

Et s’il y a une fonctionnalité qui est présente depuis assez longtemps et que je n’ai jamais détaillée, c’est la protection Smart TV. Comme tous les outils du genre, vous savez déjà que Surfshark protège la gamme de base : vos ordinateurs, laptops et autres smartphones. Mais va plus loin et prends aussi en charge vos consoles et routeurs ainsi que votre télévision intelligente, quel que soit le type de modèle (Fire TV, Apple TC …).

Tout les VPNs du marché ne le font pas. Surtout il n’y a pas besoin de sacrifier l’un de vos appareils pour protéger la TV puisque votre abonnement vous permettra de sécuriser un nombre illimité de machines. Le tout en supportant l’utilisation simultanée, donc pas besoin de s’amuser à couper certaines connexions pour éviter les ralentissements.

Alors oui il est toujours possible d’utiliser des services de Smart DNS pour accéder à certains contenus sur votre TV (restreint géographiquement, etc.). Mais cela ne vous protégera pas aussi bien qu’un vrai VPN et cela demande quelques manipulations comme d’aller modifier les adresses IP et la configuration DNS sur votre TV, etc. Rien d’hyper complexe non plus, mais ce n’est pas obligatoire si votre télétubbie tourne sur Amazon Fire, Android ou Google.

L’autre méthode c’est simplement d’installer l’application Surfshark depuis votre smart TV (depuis le Google Play Store), de connecter votre compte et ensuite de choisir un serveur. Situé à l’étranger si vous voulez apparaitre comme un utilisateur de ce pays, ou dans votre propre pays si vous voulez une connexion plus rapide. Vous pouvez aussi utiliser votre PC en tant que hotspot wi-fi et vous en servir comme routeur virtuel pour votre TV. Ou passer par un routeur, ou un simple câble Ethernet. À vous de voir la meilleure solution selon votre situation !

Surfshark va transformer votre télévision en une porte d’entrée mondiale vers le divertissement. Aucune frontière ne résistera à son pouvoir, que vous souhaitiez débloquer des bibliothèques Netflix (ou Prime & Co) exclusives ou accéder à des émissions en direct de n’importe où dans le monde.

Si tous les modèles n’ont pas une application native comme c’est le cas pour les modèles sous Android ou Amazon, toutes ont au moins la possibilité de faire fonctionner le VPN via Smart DNS (Samsung, LG, Roku …). Votre TV intelligente bénéficiera donc des avantages d’un VPN : meilleure protection de votre vie privée, meilleure sécurité, accès aux contenus bloqués, etc.

Vous disposez aussi toujours de toute la panoplie de fonctionnalités utiles de l’outil : chiffrement AES-256, bloqueur de pubs, bouton kill switch, split tunneling, MultiHop dynamique, IP fixe ou rotative, camouflage de votre activité pour votre FAI, etc., etc. Je ne vous refais pas le topo complet (que vous pouvez trouver ici). Et avec l’upgrade récent de son parc de 3200 serveurs répartis dans 100+ pays (passage de 1Gb/s à 10 Gb/s) cela rend le streaming encore plus rapide. La plupart du temps c’est même difficilement perceptible.

Bref, il n’y a aucune raison de ne pas inclure votre smart TV dans votre réseau. Ce n’est pas forcément le premier appareil auquel on va penser, mais une fois que toute votre famille est sécurisée sur les appareils les plus communs (téléphones, ordinateurs perso/pro …) autant l’intégrer à la liste. Il y a quelques jours ils ont encore été élus choix de l’année 2024 par Tech Advisor comme meilleur VPN pour multiples devices.

En ce moment Surfshark VPN, propose son abonnement sur 2 ans (24 mois + 2 offerts) pour moins de 2.75€/mois TTC. CB, PayPal, Google Pay, Amazon Pay … et même les paiements en crypto sont toujours acceptés (c’est plutôt une bonne période pour en profiter vu que les prix sont bien montés). De même que la garantie 30 jours satisfait ou remboursé pour le cas où vous ne seriez pas satisfait.

Testez Surfshark VPN par vous-mêmes !

Incogni : vos données privées sont peut-être récupérées en haut lieu

Par : Korben
19 février 2024 à 10:00

Bannière Incogni

— Article en partenariat avec Incogni

Hellow les amis, comment se passe votre premier été de l’année ? (vu les températures on pourrait presque s’y tromper). De mon côté je m’arrange pour continuer à vous parler du service Incogni de Surfshark et ses différentes utilités au quotidien. Pas de repos pour les braves, je bronzerai plus tard.

Ces derniers mois j’ai pas mal exploré avec vous la problématique du respect de vos informations privées sur le web. Notamment quels sont les organismes qui volent vos données, les achètent ou les récupèrent légalement sans votre consentement. Les fameux data brokers. Mais nous avons aussi vu que les failles potentielles ne viennent pas toujours de ce qui nous parait le plus probable (site web, ecommerce, boite mail, réseaux sociaux …).

Incogni Infos Perso

Pour vous le rappeler en 2 lignes, un data broker va chercher à se procurer des tonnes de données variées. Puis va croiser toutes ses sources pour dresser un profil aussi précis que possible de chaque internaute. Ce qui est assez simple puisqu’il suffit d’extraire les éléments communs à plusieurs bases de données. Votre adresse mail et votre lieu d’habitation sont renseignés chez un vendeur en ligne ? Le même mail a servi pour créer un profil sur un Tinder-like depuis votre smartphone ? Bam, le courtier sait que vous avez la dalle, l’endroit ou vous habitez et comment vous démarcher de plusieurs manières différentes. Mais toutes les fuites potentielles ne sont pas si facilement identifiables ou nous n’avons simplement jamais pensé qu’elles pouvaient présenter un problème.

Par exemple votre voiture intelligente est une source exploitable et surtout exploitée (certaines marques ne cachent même pas qu’elles font de la revente de données). Tout comme votre smartphone (mais ça on s’y attendait déjà), et probablement toute connexion à un service VPN gratuit & Co. C’est déjà pas mal oui, mais voilà il semble qu’il y a un autre acteur à prendre en compte : les gouvernements.

Selon Numérama, c’est en tous cas ce qu’a révélé officiellement un élu américain, Ron Wyden, fin janvier. Documents à l’appui il explique que la NSA se procure les informations personnelles d’internautes auprès de ces mêmes datas brokers dont je parlais plus haut. Et cela depuis plusieurs années. Vous allez me dire que ce n’est pas grave, c’est chez les ricains. Sauf que la NSA a également reconnu récupérer des infos sur des téléphones hors territoire national.

Et même s’ils ne s’occupaient que du peuple américain, peut-on imaginer qu’il en va différemment chez nous ? Nous avons quelques lois comme RGPD & co, mais je doute que ce soit un réel problème pour notre classe dirigeante. Donc, que faire ? Déjà commencer par sécuriser au mieux votre surf au quotidien : se servir d’outils respectueux de la vie privée, bloquer un maximum de traqueurs, cookies & Co, disposer d’un VPN fiable, ne pas s’inscrire sur des sites inutilement, nettoyer ses métadonnées et autres footprints, éventuellement utiliser des adresses jetables, etc.

Mais lorsque le mal est fait, et lorsque les brokers ont récupéré vos infos, l’éventail d’options est assez maigre. Soit vous allez devoir partir en quête de tous les courtiers, les contacter, les harceler pour qu’ils vous fassent disparaitre, faire du suivit pour vérifier qu’ils ne vous remettent pas dans leur base, etc. Ça, c’est l’option usante, frustrante et qui va occuper vos longues soirées d’hiver d’été.

L’autre possibilité c’est Incogni. Vous seul avez la capacité d’agir de manière préventive. Cependant, l’outil de Surfshark est là pour vous soutenir en ce qui concerne les incidents qui ont déjà échappé à votre vigilance.

Si vous n’êtes pas encore conscient du risque que représente la divulgation de vos données personnelles, sachez qu’il est probable qu’elles circulent déjà de manière non autorisée (surtout que la plupart des grosses plateformes ont fuité il y a juste quelques semaines). Incogni se propose de vous assister dans le nettoyage de ces données. Le service cible déjà près de 200 courtiers, et ce chiffre continue de croître. Lorsque vous sollicitez Incogni, il examine cette liste et vous informe des organismes qui détiennent des informations vous concernant, incluant le niveau de danger associé.

interface incogni

Par la suite, Incogni entre en contact avec ces entités pour faire valoir vos droits et demander la suppression de vos données de leurs bases. Ce processus est répété aussi longtemps que nécessaire, tout en surveillant constamment pour éviter tout ajout ultérieur de votre information par ceux qui l’ont retirée précédemment. Et bien sûr vous suivez toute l’évolution du processus via une interface simple à prendre en main. Vous pouvez jeter un oeil sur mon test pour vous faire une idée concrète.

Vous ne perdez rien à l’essayer, en prenant l’option annuelle cela vous reviendra à moins de 6.5€/mois (HT). Avec l’habituelle garantie 30 jours satisfait ou remboursé. Sinon vous pouvez aussi accéder au service en prenant le pack Surfshark One+. Ce dernier vous permet de bénéficier également d’un VPN, d’un antivirus, d’un système d’alerte et d’un moteur de recherche personnel pour seulement 1€/mois de plus. À vous de choisir !

Découvrir le service Incogni !

Surfshark One, la boite à outils sécu du VPN

Par : Korben
15 février 2024 à 10:17

Surfshark One

— Article en partenariat avec Surfshark —

Salut les amis, ce matin on va se pencher sur la solution de protection complète du VPN Surfshark, j’ai nommé la suite Surfshark One. Car si vous ne le savez pas encore, la société au requin propose dorénavant bien plus que ce par quoi elle a démarré en 2018, à savoir un simple outil de VPN.

Outre qu’elle a su se positionner parmi les meilleurs VPN en termes de rapport qualité/prix, elle a aussi ajouté des briques à son offre. Au-dessus de l’abonnement VPN seul, nous avons donc depuis quelques mois une couche sécurité, Surfshark One, qui comprend en plus un antivirus (basé sur le moteur de détection Avira), un moteur de recherche, un système d’alerte, un bloqueur de pubs et même un outil de création d’identité alternative. La suite complète est très légère, se gère depuis le même tableau de bord et permet bien entendu les analyses manuelles ou programmées.

Le but de cette boite à outils est de nous fournir tout le nécessaire pour être protégé des différentes attaques, menaces & co tout en préservant au maximum notre vie privée. Et de tout gérer à notre place. Parce que, si vous êtes comme moi, vous devez trouver qu’il y a mieux à faire de vos journées que de vous tenir au courant des différents risques qui apparaissent au quotidien sur le web.

C’est donc Surfshark qui va se charger de cette surveillance en temps réel. Déjà ils mettent leur antivirus à jour en permanence (toutes les 3 heures) leurs listes de sites malveillants, virus et autres logiciels corrompus à bloquer. Mais ils vont aussi analyser tout ce que vous téléchargez, surveiller une utilisation anormale de votre webcam, les tentatives de phishing ou d’autres menaces moins connues (fichiers dangereux dans vos emails, scareware …). Ils utilisent par exemple un système, appelé Cloud Protect, qui va scanner les documents dans une sorte de zone tampon avant qu’ils arrivent sur votre machine.

Quant aux options moteur de recherche et alertes, elles sont plutôt simples à comprendre, mais pas moins intéressantes. Le premier vous permet d’effectuer des recherches sans laisser filtrer vos données aux moteurs et sans résultats affichés selon votre empreinte personnelle. Le second effectue une surveillance des bas-fonds d’Internet pour voir si des informations vous concernant ne sont pas en circulation (et vous prévient aussitôt qu’il a trouvé quelque chose).

La chasse aux données personnelles est à son apogée, c’est le nouvel or noir du monde numérique. Si vous avez suivi un peu l’actu ces derniers mois vous avez dû voir que les fuites ont non seulement été nombreuses, mais surtout que leur volume impressionne. Juste en ce qui concerne les USA ce sont plus de 3200 fuites répertoriées sur le territoire pour 2023 … dont Discord par 2 fois, 23andMe, Duolingo, Sony, Reddit par 2 fois, Roblox, Chatgprouté, PayPal & Co. Tout le monde y passe, ou presque. Bien sûr c’est moins pire chez nous, parce que les fuites s’arrêtent à nos frontières c’est bien connu (haha, en vrai nous sommes le 4e pays le plus impacté au monde).

Et rien qu’en janvier de cette année nous avons eu droit à une attaque sur Trello et une bombe de 12 To pour 26 milliards de comptes leakés (Linkedin, Tencent, Twitter, Meta, Dropbox, Adobe, Telegram, Canva, Deezer, Dailymotion, VK … ), autant dire que vous avez probablement au moins un compte concerné. Cette fuite a même été nommée « mère de toutes les brèches », c’est pour vous dire. Du coup un système d’alerte mail qui vous prévient dès que ça arrive, c’est bien pratique pour mettre en place les actions nécessaires rapidement.

Autres gros avantages de Surfshark One : il est très simple à configurer et va protéger jusqu’à 5 appareils de votre foyer. Du desktop familial, au laptop professionnel, en passant par les smartphones ou la console de gamins. Et cela quel que soit le navigateur utilisé sur Windows, Android ou macOS. Peur de devoir choisir quelle machine utiliser ? Pas de problèmes, toutes peuvent être protégées en simultané. De quoi vous apporter un peu de tranquillité d’esprit si vous avez de jeunes ados ou des anciens pas trop au courant des bonnes pratiques en sécurité (exemple totalement pris au hasard).

Vous avez la possibilité de tester Surfshark One sans risques avec la garantie satisfait ou remboursé de 30 jours. Au niveau du prix il faut compter un peu moins de 92€ TTC pour l’abonnement 2 ans, soit environ 3.8€/mois. Par rapport à la version VPN seule, il y a donc moins de 1€ en supplément, c’est à dire quasi rien.

Tester Surfshark One !

❌
❌