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Aujourd’hui — 27 mai 2024malekal.com

Signaux UNIX: SIGILL, SIGHUP, SIGINT, …

Par : malekalmorte
26 mai 2024 à 10:45

Si vous intéressez au fonctionnement des processus sous UNIX ou Linux, vous allez tôt ou tard confrontez aux signaux généralement au travers de la commande Kill.
Les signaux sont des interruptions que l’on peut envoyer à un processus pour informer d’un évènement.

Dans ce tutoriel, je vous donne une définition des signaux UNIX/Linux, la liste des signaux et comment envoyer un signal à un processus.

Signaux UNIX: SIGILL, SIGHUP, SIGINT, ...

Qu’est-ce qu’un signal dans UNIX ou Linux

Les signaux sont des notifications diverses envoyées à un processus afin de l’informer de divers événements “importants”. De par leur nature, ils interrompent ce que le processus est en train de faire, et l’obligent à les traiter immédiatement. Chaque signal possède un nombre entier qui le représente (1, 2, etc.), ainsi qu’un nom symbolique qui est généralement défini dans le fichier /usr/include/signal.h ou dans l’un des fichiers inclus par celui-ci directement ou indirectement (HUP, INT, etc.).
Utilisez la commande “kill -l” pour obtenir la liste des signaux pris en charge par votre système).

Chaque signal peut avoir un gestionnaire de signal, qui est une fonction appelée lorsque le processus reçoit ce signal. La fonction est appelée en “mode asynchrone”, ce qui signifie qu’aucun code de votre programme n’appelle directement cette fonction. Au lieu de cela, lorsque le signal est envoyé au processus, le système d’exploitation arrête l’exécution du processus et le “force” à appeler la fonction de gestion du signal. Lorsque la fonction de gestion du signal revient, le processus poursuit son exécution là où il se trouvait avant la réception du signal, comme si l’interruption n’avait jamais eu lieu.

Qu'est-ce qu'un signal dans UNIX ou Linux
Source : https://indradhanush.github.io/blog/writing-a-unix-shell-part-3/

En quelques sortes, le signal visant un processus fonctionne comme une interruption (IRQ) pour le matériel.
Le signal n’est rien d’autre qu’une interruption dans l’exécution du processus. Un processus peut se signaler lui-même ou provoquer le passage d’un signal à un autre processus.
Ces interruptions (signaux) peuvent provenir de diverses sources, par exemple des erreurs matérielles telles que l’accès à des adresses mauvaises ou mal alignées, la mort d’un processus enfant, les signaux générés par l’utilisateur à l’aide de la commande kill, ou à partir d’autres processus utilisant un appel système.

Qu'est-ce qu'un signal dans UNIX ou Linux
Source : https://wiki.cs.manchester.ac.uk/COMP15212/index.php/Unix_Signals

Quelle est la liste des signaux UNIX et Linux

Nom du SignalNuméro du SignalDescription
SIGHUP1Raccrochage détecté sur le terminal de contrôle ou mort du processus de contrôle.
Il intervient à la perte ou fermeture du terminal : tout programme démarré dans un terminal donné recevra un SIGHUP lorsque le terminal sera fermé.
L’autre possibilité est que quelque chose envoie délibérément à votre processus un SIGHUP qui, par “tradition”, est souvent utilisé pour signaler à un processus qu’il doit relire sa configuration.
SIGINT2Émise si l’utilisateur envoie un signal d’interruption (Ctrl + C).
Le comportement par défaut est de mettre fin au processus, mais il peut être rattrapé ou ignoré. L’intention est de fournir un mécanisme pour un arrêt ordonné et gracieux.
SIGQUIT3Émis si l’utilisateur envoie un signal de sortie (Ctrl + D).
Le comportement par défaut est de mettre fin au processus et de vider le noyau, mais il peut être rattrapé ou ignoré. L’intention est de fournir un mécanisme permettant à l’utilisateur d’interrompre le processus. Vous pouvez considérer SIGINT comme un “arrêt heureux initié par l’utilisateur” et SIGQUIT comme un “arrêt malheureux initié par l’utilisateur”.
SIGFPE8Émis si une opération mathématique illégale est tentée.
SIGKILL9Si un processus reçoit ce signal, il doit s’arrêter immédiatement et n’effectuera aucune opération de nettoyage.
SIGALRM14Signal d’alarme (utilisé pour les minuteries).
SIGTERM15Signal de fin de logiciel.
Le comportement par défaut est de mettre fin au processus, mais il peut également être pris en charge ou ignoré. L’intention est de tuer le processus, gracieusement ou non, mais de lui donner d’abord une chance de se nettoyer.
SIGSTOP19Mettre le processus en pause ; le signal ne peut pas être capté ou ignoré. L’interpréteur de commandes utilise la pause (et son équivalent, la reprise via SIGCONT) pour mettre en œuvre le contrôle des tâches.
Quelle est la liste des signaux UNIX

Vous obtenir très facilement la liste des signaux avec la commande kill :

kill -l

Wikipedia fournit aussi une liste plus complète.

Comment envoyer un signal à un processus

Pour envoyer un signal à un processus, il faut utiliser la commande kill.
La syntaxe est la suivante où signal est le nom ou le numéro du signal.

kill -<signal< <pid>

Ici, signal est le numéro ou le nom du signal à délivrer et PID est l’ID du processus auquel le signal doit être envoyé. Par exemple –

kill -1 2001

La commande équivalente est :

kill -SIGHUP 2001

La commande ci-dessus envoie le signal HUP ou de raccrochage au programme qui s’exécute avec l’ID de processus 2001. Pour envoyer un signal kill au même processus, utilisez la commande suivante –

kill -9 2001

Cette commande tue le processus qui s’exécute avec l’ID de processus 2001.

Liens

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22 raccourcis de terminal Linux à connaître

Par : malekalmorte
25 mai 2024 à 08:51

Le terminal Linux permet d’effectuer des opérations parfois impossible en graphique ou plus rapidement.
C’est un élément obligatoire à maîtriser pour les administrateurs de système Linux.
Connaître les raccourcis clavier du terminal Linux vous permet de gagner en productivité et confort.

Dans ce guide complet, je vous fournis une liste complète des raccourcis clavier Linux.

Liste des raccourcis de terminal Linux à connaître

Liste des raccourcis clavier du terminal Linux

Raccourci clavierDescription
CTRL+ASe déplacer au début de la ligne
CTRL+ESe déplacer jusqu’à la fin de la ligne
CTRL+UEffacer à partir du curseur jusqu’au début de la ligne
CTRL+KEffacer à partir du curseur jusqu’à la fin de la ligne
CTRL+WSupprime le mot précédant le curseur
CTRL+LEffacer l’écran du terminal
CTRL+CArrêter le processus/commande en cours
CTRL+DDéconnexion ou sortie du terminal
CTRL+ZInterrompt le processus en cours (peut être repris)
CTRL+RRecherche dans l’historique des commandes (recherche en amont)
CTRL+UColler le texe effacé
CTRL+OExécute la commande précédente
Affiche la commande précédente (à partir de l’historique des commandes)
Affiche la commande suivante (à partir de l’historique des commandes).
!!Répétez le dernier ordre
!nRépéter la nième commande de l’historique
TABAuto-complétion de commandes, de fichiers ou de répertoires
TAB (2 fois)Dressez la liste de tous les compléments possibles
CTRL+MAJ+CCopie le texte ou la commande sélectionné(e)
CTRL+MAJ+VColler le texte ou la commande copié(e)
CTRL+MAJ+NOuvrez une nouvelle fenêtre de terminal
CTRL+MAJ+TOuvrez un nouvel onglet dans le terminal
CTRL+TAB ou CTRL+PageDownPasser d’un onglet de terminal à l’autre
Liste des raccourcis clavier du terminal Linux

TAB : compléter automatiquement la commande

Ce raccourci est l’un des plus important à connaître. En effet, il permet de gagner énormément de temps en complétant automatiquement les lignes.
Il vous permet aussi de retrouver certaines commandes.

Commencez simplement à taper une commande, un nom de fichier, un nom de répertoire ou même des options de commande et appuyez sur la touche de tabulation. Le programme complétera automatiquement ce que vous avez tapé ou affichera tous les résultats possibles pour vous.

Si vous ne pouviez retenir qu’un seul raccourci, ce serait celui-là.

Ctrl + C : interrompre l’exécution d’une commande

Ce sont les touches sur lesquelles vous devez appuyer pour sortir d’une commande ou d’un processus sur un terminal. Cela arrêtera (terminera) immédiatement un programme en cours d’exécution.
Il interrompt proprement la plupart des programmes en envoyant le signal SIGINT au programme que je veux interrompre et abandonner. La plupart des programmes l’attrapent correctement et se terminent proprement. Si le programme ne spécifie pas comment gérer le signal SIGINT, les processus sous-jacents s’arrêtent d’eux-mêmes. Oui, c’est une méthode sûre.

Si vous voulez arrêter d’utiliser un programme qui s’exécute au premier plan, il suffit d’appuyer sur cette combinaison de touches.

Ctrl + Z : suspendre une commande

Ce raccourci suspend un programme en cours d’exécution et vous donne le contrôle de l’interpréteur de commandes. Il envoie le signal SIGTSTP au processus d’avant-plan. Par exemple, vous travaillez dans un éditeur de texte et vous avez besoin d’en sortir pour trouver des données. Vous pouvez utiliser ce raccourci pour suspendre et envoyer l’éditeur en arrière-plan, effectuer votre autre tâche, puis exécuter fg pour revenir dans votre application.

Ctrl + D : déconnecter le terminal en cours

Ce raccourci clavier vous déconnecte du terminal en cours. Si vous utilisez une connexion SSH, elle sera fermée. Si vous utilisez un terminal directement, l’application sera fermée immédiatement.

Il s’agit de l’équivalent de la commande ‘exit’.

Ctrl + L : effacer l’écran de votre terminal

Comment effacer l’écran de votre terminal ? J’imagine qu’on utilise la commande clear.
Au lieu d’écrire clear, vous pouvez simplement utiliser CTRL+L pour effacer le terminal.

Ctrl + A : déplacer le curseur au début de la ligne

Supposons que vous ayez tapé une longue commande ou un long chemin dans le terminal et que vous souhaitiez aller au début de la ligne, l’utilisation de la touche fléchée pour déplacer le curseur prendra beaucoup de temps. Notez que vous ne pouvez pas utiliser la souris pour déplacer le curseur au début de la ligne.

C’est là que Ctrl+A vous sauve la mise.

Ctrl + E : déplacer le curseur en fin de ligne

Ce raccourci est en quelque sorte l’inverse de CTRL+A. CTRL+A envoie le curseur au début de la ligne, tandis que CTRL+E déplace le curseur à la fin de la ligne.

Note : Si vous disposez des touches Home et Fin sur votre clavier, vous pouvez également les utiliser. La touche Accueil est équivalente à CTRL+A et la touche Fin est équivalente à CTRL+E.

Ctrl + U : effacer à partir du curseur pour commencer

Vous avez tapé une mauvaise commande ? Au lieu d’utiliser la touche d’effacement arrière pour abandonner la commande en cours, utilisez le raccourci Ctrl+U dans le terminal Linux. Ce raccourci efface tout ce qui se trouve entre la position actuelle du curseur et le début de la ligne.

Ctrl+U ne supprime pas seulement le texte du début de la ligne jusqu’au curseur, il le copie dans une mémoire tampon. Vous pouvez ensuite récupérer le texte – le coller, si vous voulez – en utilisant CTRL+Y.

Ctrl + K : effacer du curseur à la fin

Ce raccourci est similaire au raccourci Ctrl+U. La seule différence est qu’au lieu du début de la ligne, il efface tout ce qui se trouve entre la position actuelle du curseur et la fin de la ligne.

Ctrl + W : supprimer un seul mot avant le curseur

Vous venez d’apprendre à effacer du texte jusqu’au début et à la fin de la ligne. Mais que faire si vous ne voulez effacer qu’un seul mot ? Utilisez le raccourci CTRL+W.

En utilisant le raccourci CTRL+W, vous pouvez effacer le mot qui précède la position du curseur. Si le curseur se trouve sur un mot, il effacera toutes les lettres à partir de la position du curseur jusqu’au début du mot.

La meilleure façon de l’utiliser est de déplacer le curseur jusqu’à l’espace suivant le mot ciblé, puis d’utiliser le raccourci clavier CTRL+W.

Ctrl + Y : coller le texte effacé

Cette fonction permet de coller le texte effacé à l’aide des raccourcis CTRL+W, CTRL+U et CTRL+K. Elle est pratique si vous effacez un mot. Cette fonction est pratique si vous avez effacé un texte erroné ou si vous devez utiliser le texte effacé à un autre endroit.

Ctrl + P : afficher la commande précédente

Ce raccourci permet d’afficher la commande précédente. Vous pouvez appuyer plusieurs fois sur cette touche pour revenir en arrière dans l’historique des commandes. Dans de nombreux terminaux, la même chose peut être obtenue avec la touche PgUp.

Alternativement, vous pouvez aussi utiliser le raccourci pour revenir à la commande précédente depuis l’historique.

Ctrl + N : affiche la commande suivante

Vous pouvez utiliser ce raccourci en conjonction avec CTRL+P. Ctrl+N affiche la commande suivante. Si vous consultez les commandes précédentes avec CTRL+P, vous pouvez utiliser CTRL+N pour naviguer en avant et en arrière. Sur de nombreux terminaux, ce raccourci est associé à la touche PgDn.

Alternativement, vous pouvez aussi utiliser le raccourci pour revenir à la commande précédente depuis l’historique.

Ctrl + R : recherche dans l’historique des commandes

Voici un autre raccourci clavier très utile pour retrouver une commande depuis l’historique.

Lorsque vous appuyez sur CTRL+R, une fenêtre de recherche s’ouvre (reverse-i-search), dans laquelle vous pouvez taper n’importe quelle partie de la commande et qui trouvera la commande correspondant à la chaîne de caractères que vous avez saisie.

Une fois la commande trouvée, il vous suffit d’appuyer sur la touche Entrée pour l’exécuter.

  • Ctrl+R : rappelle la dernière commande correspondant aux caractères fournis
  • Ctrl+R (à nouveau) : Naviguer parmi les commandes correspondantes
  • Ctrl+O : Renvoyer la commande à votre terminal ou sélectionner Entrée pour exécuter la commande à partir du mode de recherche
  • Ctrl+G : quitter le mode de recherche dans l’historique sans exécuter de commande

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À partir d’avant-hiermalekal.com

Interroger les journaux d’événements Windows avec PowerShell

Par : malekalmorte
24 mai 2024 à 08:45

Le journal des événements Windows est un outil important qui permet aux administrateurs de suivre les erreurs, les avertissements et les autres rapports d’information consignés par le système d’exploitation, ses composants ou ses programmes.
Vous pouvez utiliser le snap-in graphique MMC de l’Observateur d’événements (eventvwr.msc) pour afficher le journal des événements de Windows. Dans certains cas, il est beaucoup plus pratique d’utiliser PowerShell pour analyser les informations des journaux d’événements. Dans cet article, vous apprendrez à utiliser la cmdlet Get-WinEvent pour obtenir des informations à partir des journaux d’événements Windows.

Interroger les journaux d'événements Windows avec PowerShell

Get-WinEvent : Recherche dans les journaux d’événements à l’aide de PowerShell

Lorsque vous utilisez la commande sans aucun paramètre, PowerShell liste l’ensemble des journaux Windows.

Get-WinEvent

Pour filtrer sur un journal, utilisez l’option -LogName suivi du nom.

Get-WinEvent -LogName system
Get-WinEvent -LogName security

Autre exemple pour récupérer tous les évènements “disk” avec une erreur matériel (Microsoft-Windows-Kernel-WHEA) !

Get-WinEvent -LogName *disk*, Microsoft-Windows-Kernel-WHEA

De plus, vous pouvez restreindre le nombre d’évènements grâce l’option -MaxEvents.

Get-WinEvent -LogName Application -MaxEvents 30
Get-WinEvent : Recherche dans les journaux d'événements à l'aide de PowerShell

Par défaut, la commande affiche les colonnes Date de création, Id, niveau du message et message.
Pour afficher ou masquer des colonnes, utilisez la cmdlet Format-table comme ceci.

Get-WinEvent -LogName System | Format-Table Machinename, TimeCreated, Id, UserID, Message
Get-WinEvent : Recherche dans les journaux d'événements à l'aide de PowerShell

Filtrer sur les journaux

Nous l’avons vu il est possible de filtrer sur un journal.
Pour obtenir la liste complète, utilisez la commande suivante :

Get-WinEvent -ListLog *

Puis utilisez le paramètre LogName pour spécifier le journal des événements de Windows PowerShell

Get-WinEvent -LogName Microsoft-Windows-Winlogon/Operational
Get-WinEvent : Recherche dans les journaux d'événements à l'aide de PowerShell

Ou encore pour obtenir les événements d’erreur dont le nom contient une chaîne de caractères spécifiée :

Get-WinEvent -LogName *PowerShell*, Microsoft-Windows-Kernel-WHEA* | Group-Object -Property LevelDisplayName, LogName -NoElement Group-Object -Property LevelDisplayName, LogName -NoElement | Format-Table -AutoSize

Comment chercher des évènements dans les journaux Windows en PowerShell

L’argument FilterHashtable vous permet de filtrer en fonction des attributs d’événements suivants :

  • LogName
  • ProviderName
  • Path
  • Keywords (use 9007199254740992 to search for successful events and 4503599627370496 for failed ones)
  • ID
  • Level (1=FATAL, 2=ERROR, 3=Warning, 4=Information, 5=DEBUG, 6=TRACE, 0=Info)
  • StartTime
  • EndTime
  • UserID (user’s SID)
  • Data

Extraire les évènements d’un journal spécifique

Extraire tous les journaux d’événements de Windows Defender en direct :

Get-WinEvent -FilterHashtable @{logname="Microsoft-Windows-Windows Defender/Operational"}

Beaucoup d’évènements identiques sont répétés.

Comment chercher des évènements dans les journaux Windows en PowerShell

Pour compter le nombre d’évènement par leur EventID :

Get-WinEvent -LogName "Windows PowerShell"| Group-Object -Property Id -NoElement | Sort-Object -Property Count -Descending
Comment chercher des évènements dans les journaux Windows en PowerShell

Filtrer sur les niveaux (erreurs, avertissements, etc)

Vous pouvez avoir besoin de filtrer des évènements des journaux Windows.
Par exemple, si vous souhaitez obtenir des informations sur les erreurs et les avertissements des journaux Système et Application pour les dernières 24 heures, utilisez le code suivant :

$StartDate = (Get-Date) - (New-TimeSpan -Day 1)
Get-WinEvent Application,System | Where-Object {($_.LevelDisplayName -eq "Error" -or $_.LevelDisplayName -eq "Warning") -and ($_.TimeCreated -ge $StartDate )}

Filtrer sur un EventID, Chemin, Données, etc

Si vous avez besoin de trouver des événements par EventID, utilisez la commande suivante avec le paramètre FilterHashtable :

Get-WinEvent -FilterHashtable @{logname='System';id=1074}|ft TimeCreated,Id,Message

Filtrer sur le message

Si vous souhaitez chercher des évènements sur un mot clé, vous pouvez aussi utiliser cette syntaxe :

Get-WinEvent -FilterHashtable @{logname='System'}|Where {$_.Message -like "*erreur*"}
Comment chercher des évènements dans les journaux Windows en PowerShell

Exporter les évènements des journaux Windows

Vous pouvez très facilement exporter les journaux Windows grâce à l’option -FilterXML
Voici un exemple d’export en CSV :

$Events= Get-WinEvent -FilterXML $xmlQuery
$events| Export-CSV "C:\outils\FiltresJournauxWindows.csv" -NoTypeInformation -Encoding UTF8

Liens

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Connaître la version et build d’un fichier ISO ou clé USB de Windows

Par : malekalmorte
23 mai 2024 à 07:50

Vous avez un fichier ISO de Windows 10 ou Windows 11 qui traîne sur votre PC ou une clé USB d’installation de Windows mais vous ne savez plus quelle est la version Windows.
Si le nom d’un fichier ISO ne contient pas de version et de build, il est difficile de savoir quelle version de Windows se trouve à l’intérieur.

Dans ce tutoriel, je vous donne plusieurs méthodes pour déterminer la version et le build d’un fichier image de Windows ou d’une clé USB d’installation.

Connaître la version et build d'un fichier ISO ou clé USB de Windows

Connaître la version et build d’un fichier ISO ou clé USB de Windows

Avec 7-zip (Méthode 1)

  • Téléchargez l’utilitaire depuis ce lien :
  • Choisissez entre la version 32-bits ou 64-bits : Comment savoir si Windows est en 32-bits ou 64-bits
  • Puis lancez l’installation qui ne prend que quelques secondes
  • Si vous possédez une clé USB d’installation de Windows, insérez la
  • Dans le cas d’un fichier ISO : faites un clic droit sur le fichier ISO puis Monter
  • Repérez le dossier Sources et cherchez, un de ces fichiers :
    • install.wim
    • install.esd
    • install.swm
  • Faites un clic droit sur ce fichier install > 7-zip > ouvrir archive
Connaître la version et build d'un fichier ISO ou clé USB de Windows
  • A la racine de install.wim, se trouve le fichier [1].xml, double-cliquez dessus
Connaître la version et build d'un fichier ISO ou clé USB de Windows
  • Ce dernier doit s’ouvrir dans le navigateur internet
  • Repérez le champs VERSION avec la version de Windows du fichier ISO ou de la clé USB d’installation
Connaître la version et build d'un fichier ISO ou clé USB de Windows

Avec DISM en ligne de commandes (Méthode 2)

Dans cette seconde méthode, je vous montre comment utiliser DISM et PowerShell pour savoir quelles images Windows (versions, éditions, builds, pack de langue) sont stockées dans des fichiers ISO ou WIM, ou ESD.

  • Si vous possédez une clé USB d’installation de Windows, insérez la
  • Dans le cas d’un fichier ISO : faites un clic droit sur le fichier ISO puis Monter
  • Repérez le dossier Sources et cherchez, un de ces fichiers :
    • install.wim
    • install.esd
    • install.swm
  • Faites un clic droit sur ce fichier install puis copier le chemin
Connaître la version et build d'un fichier ISO ou clé USB de Windows
  • Puis ouvrez l’invite de commandes. Pour cela, Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
  • Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
  • Passez la commande DISM en remplaçant le chemin du fichier install.wim par un clic droit et coller
DISM /Get-WimInfo /WimFile:"D:\sources\install.wim"
  • Vous verrez une liste des éditions (Education, Home, Enterprise, Pro, etc.) disponibles dans cette image ISO Windows. Dans notre exemple, vous pouvez installer 8 éditions différentes de Windows à partir de cette image. Chaque édition possède un index que vous pouvez utiliser pour obtenir des informations détaillées sur l’image.
Connaître la version et build d'un fichier ISO ou clé USB de Windows
  • Puis on utilise la commande suivante avec le paramètre /index et le numéro de l’index de l’édition Windows qui vous intéresse
DISM /Get-WimInfo /WimFile:"D:\sources\install.wim" /index:1
  • A partir de là, les informations complètes sur l’édition de Windows avec la taille, l’architecture, la langue, la date de création et bien sûr la version et le build
Connaître la version et build d'un fichier ISO ou clé USB de Windows

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Obtenir et imprimer la liste des fichiers d’un dossier sur Windows

Par : malekalmorte
22 mai 2024 à 09:52

Vous souhaitez imprimer tous les fichiers d’un répertoire ou d’un dossier ou tout simplement extraire la liste des fichiers d’un dossier ?
Il existe plusieurs options pour l’imprimer à l’aide de la solution CMD, PowerShell vers un fichier texte.
Mais vous pouvez aussi utiliser des logiciels tiers. Ces derniers permettent à l’utilisateur d’imprimer rapidement la liste des fichiers d’un dossier ou de sauvegarder le contenu d’un répertoire. Ils proposent diverses options, telles que l’énumération du contenu d’un dossier sélectionné et l’enregistrement du rapport au format CSV, HTML, TXT et XLS, DOC ou dans d’autres formats pris en charge. Certains permettent d’imprimer directement sur une imprimante. Vous pouvez utiliser ce programme de répertoire de listes d’impression pour gérer vos bases de données MP3 ou créer manuellement une liste de lecture MP3U. Certains de ces programmes sont portables et ne nécessitent pas d’installation, etc.

Voici donc plusieurs façons et méthodes pour y parvenir.

Obtenir et imprimer la liste des fichiers d'un dossier sur Windows

Obtenir et imprimer la liste des fichiers d’un dossier sur Windows

Imprimer la liste des fichiers d’un dossier en CMD

La commande dir permet de lister les fichiers. A partir de là, vous pouvez rediriger la sortie vers un fichier pour obtenir la liste des fichiers d’un dossier.

  • Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
  • Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Ouvrir cmd (invite de commandes) sur Windows
  • Utilisez la commande cd en spécifiant le répertoire dont vous souhaitez imprimer la liste
cd <répertoire>
Imprimer la liste des fichiers d'un dossier en CMD
  • Puis copiez et collez le texte suivant dans l’invite de commande :
dir > %USERPROFILE%\Desktop\fichiers.txt
Imprimer la liste des fichiers d'un dossier en CMD
  • Appuyez sur la touche Entrée de votre clavier
Si vous avez des erreurs d’accès refusé lors du listage du répertoire, ouvrez l’invite de commandes en administrateur.
Imprimer la liste des fichiers d'un dossier en CMD

Vous l’aurez remarqué, la liste des fichiers contient des informations comme les dates de création.
Pour épurer tout cela, utilisez la commande dir avec les options suivantes :

dir /s /b /o:gn > %USERPROFILE%\Desktop\fichiers.txt

Voici un descriptif des options :

  • /S Affiche les fichiers du répertoire spécifié et de tous les sous-répertoires.
  • /B Le format est dépouillé (pas d’en-tête ni de résumé).
  • /O Liste des fichiers par ordre de tri.
  • Ensuite, dans :gn, g trie les dossiers puis les fichiers, et n place ces fichiers dans l’ordre alphabétique.
Imprimer la liste des fichiers d'un dossier en CMD

Enfin, notez qu’il existe aussi la commande tree pour imprimer l’arborescence complète d’un répertoire :

tree /f

Créer une liste de fichier d’un dossier en PowerShell

  • Appuyez sur le raccourci clavier  + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
  • Utilisez la commande suivante en remplaçant le chemin du répertoire dont vous souhaitez obtenir la liste des fichiers
Si vous avez des erreurs d’accès refusé lors du listage du répertoire (PermissionDenied), ouvrez Terminal Windows en administrateur.
Dir -Recurse c:\chemin\ | Get-Childitem > $Env:USERPROFILE\Desktop\fichiers.txt
Créer une liste de fichier d'un dossier en PowerShell
Get-ChildItem -Recurse "C:\chemin" | Select Fullname

Avec Kiran Directory Print

Kiran’s Directory Print est un utilitaire logiciel conçu pour aider les utilisateurs à générer des listes détaillées des fichiers et dossiers présents sur leur système informatique. Avec cet outil, les utilisateurs peuvent créer des rapports complets sur la structure de leurs répertoires, y compris des informations telles que les noms de fichiers, les tailles, les dates de modification et les autorisations d’accès.

Obtenir et imprimer la liste des fichiers d'un dossier sur Windows avec Kiran Directory Print

Les alternatives :

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OpenVPN : configurer le MTU et résoudre les problèmes de MTU

Par : malekalmorte
19 mai 2024 à 10:39

OpenVPN est un serveur VPN très populaire qui offre de nombreuses options et qui peut rendre sa configuration compliquée.
Parmi les problèmes courants que l’on peut rencontrer : les problèmes de MTU.
Les problèmes de MTU se manifestent souvent par des connexions qui se bloquent pendant les périodes d’utilisation active.

Dans ce tutoriel, je vous propose de découvrir les options MTU d’OpenVPN et comment configurer le MTU dans OpenVPN.
Je termine par quelques problèmes courants de MTU.

OpenVPN : réglage MTU et résoudre les problèmes de MTU

Comprendre le MTU dans OpenVPN

Le MTU est mesuré en octets et représente la plus grande taille de paquet qui peut être transmise sur un réseau sans être décomposée en fragments plus petits. Des valeurs MTU plus élevées permettent une transmission de données plus efficace, car moins de paquets sont nécessaires pour transmettre la même quantité de données. Cependant, si le MTU est trop élevé et dépasse les capacités de n’importe quel appareil réseau le long du chemin de transmission, une fragmentation peut se produire, entraînant des problèmes de performance ou la perte de paquets

OpenVPN fonctionne en encapsulant les données dans ses propres paquets, qui ont leur propre MTU.
Par défaut, OpenVPN définit un MTU de 1500 octets, qui est le MTU standard pour les réseaux Ethernet.
Le MTU par défaut n’est pas toujours adapté à toutes les configurations de réseau, et il peut être nécessaire de le modifier pour garantir des performances optimales.

TCP MSS et IP/Ethernet MTU

Quelles sont les options MTU dans OpenVPN

ParamètreDescriptionCôté (serveur/client)
tun-mtu 1400Détermine la taille maximale des paquets que le VPN peut transporter,
Du côté du serveur (le serveur VPN), vous pouvez modifier le fichier de configuration du serveur OpenVPN pour définir le MTU à l’aide de l‘option tun-mtu.
Serveur/Client
link-mtu 1400Réfère à la taille maximale de la charge utile UDP qui sont envoyés entre les pairs OpenVPN.
Cette taille n’inclut pas l’en-tête IP ou UDP.
Serveur
mssfix 1400Définit le MTU côté client, vous pouvez utiliser l’option mssfix.
Cette option réduit la taille maximale de segment (MSS) à 1400 octets, ce qui permet d’éviter la fragmentation.
La valeur tun-mtu du serveur ne doit pas être modifiée (à 1500) sinon le client ignore cette option.
Client
fragment 1400Permet la fragmentation effectuée par OpenVPN lui-même en utilisant son propre algorithme interne (pas la fragmentation IP), et en tant que telle, elle doit être acceptée par les deux points d’extrémité. Cependant, lorsqu’il est présent, il peut avoir des valeurs asymétriques.
L’option fragment doit être soit présent des deux côtés, soit absent des deux côtés
Des deux côtés
Path MTU Discovery (PMTUD)L’activation de la découverte du MTU du chemin (PMTUD) peut permettre aux points d’extrémité d’ajuster dynamiquement le MTU en fonction des conditions du chemin. Vous pouvez l’activer en ajoutant les lignes suivantes à votre serveur OpenVPN et aux configurations de vos clients :
fragment 1300
mssfix 1300
Ceci indique à OpenVPN de tenter de réduire le MTU à 1300 octets si des problèmes sont rencontrés.
Client
mtu-discActive ou désactive la découverte du Path MTU sur le canal TCP/UDP.
Uniquement sur les systèmes d’exploitation tels que Linux qui supportent l’appel système nécessaire pour définir le MTU.
Trois valeurs sont valides :
no — Ne jamais envoyer de trames DF (Don’t Fragment)
maybe — Utiliser des conseils par itinéraire
yes — Toujours DF (Don’t Fragment)
Les options MTU dans Openvpn

Pour plus de configurations : https://openvpn.net/community-resources/reference-manual-for-openvpn-2-6/

link-mtu vs tun-mtu

Il peut y avoir des confusions entre ceux options d’OpenVPN.
En voici les différences :

  • Link-MTU :
    • La MTU (Maximum Transmission Unit) de la liaison (link-MTU) fait référence à la taille maximale des paquets qui peuvent être transmis sur une interface réseau physique ou virtuelle, telle qu’une carte réseau Ethernet.
    • La valeur de la link-MTU dépend des caractéristiques de la connexion réseau sous-jacente, comme le type de carte réseau, le protocole utilisé, et les paramètres de configuration du système d’exploitation.
  • Tun-MTU :
    • La MTU du tunnel (tun-MTU) fait référence à la taille maximale des paquets qui peuvent être encapsulés dans le tunnel VPN entre les deux points de terminaison du VPN.
    • Dans le contexte d’OpenVPN, la tun-MTU est spécifiée dans la configuration du serveur et du client. Elle détermine la taille maximale des paquets que le VPN peut transporter, en tenant compte de la surcharge de l’en-tête VPN.

En résumé, la link-MTU est la taille maximale des paquets pouvant être transmis sur une interface réseau, tandis que la tun-MTU est la taille maximale des paquets pouvant être encapsulés dans le tunnel VPN.

mtu-disc

L’option “mtu-disc” permet à OpenVPN de détecter automatiquement la MTU maximale autorisée sur le chemin réseau entre les deux points de terminaison du VPN. Cela se fait en envoyant des paquets ICMP “Fragmentation Needed” (Type 3, Code 4) et en ajustant la MTU en conséquence pour éviter la fragmentation des paquets.

Lorsque cette option est activée, OpenVPN utilise la découverte automatique de la MTU pour ajuster la taille des paquets envoyés par la connexion VPN, ce qui peut améliorer les performances et la fiabilité de la transmission des données. Cependant, dans certains cas, il peut être nécessaire de désactiver cette option si la découverte automatique de la MTU provoque des problèmes de connectivité ou de performances sur le réseau.

Celle-ci est à configurer côté serveur :

mtu-disc yes

net.ipv4.ip_forward_use_pmtu sur Linux

L’option net.ipv4.ip_forward_use_pmtu dans Linux contrôle la façon dont le système gère la fragmentation des paquets IP lorsque la fonctionnalité de routage IP est activée (c’est-à-dire lorsque le routage est activé sur le système).

Plus précisément, lorsque cette option est activée (avec une valeur de 1), le système utilise le MTU (Maximum Transmission Unit) path discovery (PMTU) pour déterminer la taille maximale des paquets qu’il peut transmettre à travers les interfaces réseau. Cette fonctionnalité est utile pour éviter la fragmentation des paquets IP lors de leur transmission à travers des réseaux ayant des MTU différents. Elle contribue à améliorer l’efficacité et les performances de la transmission des données.

Pour modifier la valeur et tester celle-ci, utilisez la commande sysctl suivante :

sysctl net.ipv4.ip_forward_use_pmtu=1

Comment calculer la valeur du MTU optimale pour OpenVPN

Cela suggère que nous devons prendre en compte les octets de l’en-tête UDP. Donc 1470 – 28 (pour IPv4) = 1442.

Manuellement avec des tests ping

La première chose à faire pour résoudre votre problème de MTU OpenVPN est de déterminer quel est votre plus grand MTU.
Pour cela, on utilise l’utilitaire ping en faisant varier la valeur du MTU à l’aide des commandes suivantes :

ping <adresse IP passerelle VPN> -f -l <valeur mtu>
ping -c 10 -M do -s <valeur mtu> <adresse IP passerelle VPN>

L’idée est de commencer avec une valeur de 1500 et de réduire de 10 pour trouver la valeur où les paquets ne sont pas fragmenté et aucune perte de paquet n’a lieu.

ping <adresse IP passerelle VPN> -f -l 1500

A partir de là, vous pouvez déterminer la valeur optimale du MTU.

Comment calculer la valeur du MTU optimale pour OpenVPN

Automatiquement avec –mtu-test

Une autre façon de procéder est de laisser OpenVPN calculer la valeur du MTU.
Pour mesurer empiriquement le MTU au démarrage de la connexion, ajoutez l’option –mtu-test à votre configuration.
OpenVPN enverra des paquets ping de différentes tailles au pair distant et mesurera les plus gros paquets qui ont été reçus avec succès. Le processus –mtu-test prend normalement environ 3 minutes.
La sortie des journaux est la suivante :

2024-05-13 12:06:08 NOTE: Beginning empirical MTU test -- results should be available in 3 to 4 minutes.
2024-05-13 12:06:11 read UDPv4 [EMSGSIZE Path-MTU=1436]: Message too long (fd=5,code=90)
2024-05-13 12:09:08 NOTE: Empirical MTU test completed [Tried,Actual] local->remote=[1454,1454] remote->local=[1454,1454]
Les logs de l'option mtu-test dans OpenVPN

Résoudre les erreurs MTU

Lorsque les valeurs du MTU sont trop importantes, vous pouvez rencontrer une baisse des performances allant même jusqu’à des freez et blocage du VPN.
Dans les logs, vous pouvez rencontrer les entrées suivantes :

2024-05-13 11:49:34 write UDPv4 [EMSGSIZE Path-MTU=1436]: Message too long (fd=5,code=90)
OpenVPN : write UDPv4 [EMSGSIZE Path-MTU=1436]: Message too long (fd=5,code=90)

Vous pouvez corriger cela, en ajoutant des paramètres fragment côté serveur et client et mssfix côté client.

L’article OpenVPN : configurer le MTU et résoudre les problèmes de MTU est apparu en premier sur malekal.com.

Utiliser la commande resolvectl sur Linux

Par : malekalmorte
18 mai 2024 à 08:52

resolvectl est une commande utilisée pour interagir avec le système de résolution de noms de domaine (DNS) sur les systèmes Linux utilisant systemd comme gestionnaire de système et de services. Elle fait partie de systemd-resolved, un service qui fournit des fonctionnalités de résolution de noms DNS, DNSSEC, LLMNR et mDNS pour le système d’exploitation.

Dans ce tutoriel, je vous montre comment utiliser la commande resolvectl sur Linux pour modifier les serveurs DNS, connaître la configuration DNS et vider le cache DNS.

Comment utiliser la commande resolvectl sur Linux

Comment utiliser la commande resolvectl sur Linux

Connaître les serveurs DNS par interface réseau

Pour afficher la configuration DNS, utilisez l’option status :

resolvectl status

Cette commande affiche des informations sur les serveurs DNS actuellement configurés pour chaque interfaces réseau, et le statut de la résolution de noms.
Elle vous indique aussi si les protocoles DNSSEC, LLMNR et mDNS sont actifs.

Connaître les serveurs DNS par interface réseau sur Linux avec resolvectl

Tester la résolution de noms

Une autre utilisation pratique de la commande resolvectl est la possibilité de tester une résolution DNS.
Pour cela, on utilise l’option query.

resolvectl query malekal.com

L’utilitaire renvoie la ou les adresses IP de l’hôte et vous indique aussi quelle interface réseau a effectué la résolution DNS.
Cela est pratique, par exemple si un VPN est configuré pour savoir si la résolution DNS passe par ce dernier.
De plus, vous obtenez le temps de résolution DNS et si l’authentification ou le chiffrement est configuré.

Bien entendu, il est possible d’effectuer une résolution DNS inverse à partir d’une adresse IP pour obtenir le nom d’hôte.

resolvectl query <adresse ip>

Configurer les serveurs DNS pour une interface réseau spécifique

Vous pouvez aussi modifier la configuration DNS de Linux en ligne de commandes grâce à cet outil.
La syntaxe est la suivante :

sudo resolvectl dns <interface> <Serveur DNS primaire> <Serveur DNS secondaire>
sudo resolvectl dns <interface> <Serveur DNS primaire> <Serveur DNS secondaire>

Par exemple, pour modifier l’interface enp0s3 avec les serveurs DNS de Google :

sudo resolvectl dns enp0s3 8.8.8.8 8.8.4.4
Configurer les serveurs DNS pour une interface réseau spécifique avec resolvectl

Configurer les domaines de recherche DNS pour une interface réseau

De la même manière, vous pouvez configurer le domaine de recherche DNS avec l’option domain :

sudo resolvectl domain enp0s3 exemple.com

Monitorer les connexions DNS

Vous pouvez aussi écouter les résolutions DNS, ce qui peut être utile si vous pensez que des connexions malveillantes ont lieu ou pour débugueur les problèmes de connexions DNS.
Cela grâce à l’option monitor qui nécessite un accès root.

sudo resolvectl monitor
Monitorer les connexions DNS dans Linux

Afficher et vider le cache DNS

Pour afficher le cache DNS de Linux, utilisez l’option show-cache comme ceci :

sudo resolvectl show-cache

Et si vous souhaitez vider le cache DNS de Linux :

sudo resolvectl flush-cache
Afficher le cache DNS de Linux de Linux

Afficher les statistiques

Utiliser l’option statistics pour afficher les statistiques générales du résolveur, y compris des informations sur l’activation et la disponibilité de DNSSEC, ainsi que des statistiques sur la résolution et la validation.

sudo resolvectl statistics

Pour remettre à zéro les compteurs de statistiques affichés dans statistics. Cette opération requiert les privilèges de l’administrateur.

sudo resolvectl reset-statistics

Configurer les options de résolution DNS (DNS, DNSSEC, LLMNR et mDNS)

Cette commande permet de configurer les options de résolution LLMNR pour une interface réseau.

sudo resolvectl set-link-llmnr eth0 yes

Récupérer enregistrement MX, SRV

Récupérer un enregistrement MX du domaine :

sudo resolvectl --legend=no --type=MX query <domaine>

Résoudre un enregistrement SRV, par exemple _xmpp-server._tcp gmail.com :

sudo resolvectl service _service._protocol <nom>

Récupérer une clé openpgp ou TLS

Récupérer la clé publique d’une adresse électronique à partir d’un enregistrement DNS OPENPGPKEY :

sudo resolvectl opengpg <email>

Récupérer une clé TLS :

sudo resolvectl tlsa tcp <domaine>:443

Liens

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Ubuntu 24.04 LTS : Les nouveautés

Par : malekalmorte
17 mai 2024 à 08:53

Ubuntu 24.04 LTS ‘Noble Numbat’ a été publiée le 11 Avril 2024, bien que la mise à niveau de la distribution est pour le moment bloqué en attendant la sortie de 24.04.1.
Comme toute version LTS d’Ubuntu, le support est de 5 ans portant jusqu’à Juin 2029. Il est même possible d’obtenir un support de 12 ans avec Ubuntu Pro.

Si vous souhaitez connaître l’intégralité des nouveautés incluses dans cette mise à jour, en voici la liste.

Ubuntu 24.04 LTS : Les nouveautés

Quelles sont les nouveautés dans Ubuntu 24.04 LTS

Versions des paquets du système

Voici les versions des paquets systèmes dans Ubuntu 24.04 LTS

  • Gnome 46
  • Linux kernel 6.8
  • glibc 2.39
  • Systemd v255.4
  • AppArmor 4
  • Systemd 255.4
  • Netplan 1.0
  • Python 3.12
  • Golang 1.22
  • .NET 8
  • BlueZ 5.72
  • NetworkManager 1.46
  • Pipewire 1.0.4
  • xdg-desktop-portal 1.18

Nouvel installeur

Sa nouvelle mouture d’Ubuntu propose un installeur revisité que ce soit dans l’aspect de l’expérience visuelle, que son contenu.
Vous aurez l’occasion de prendre en main un tout nouvel installateur Ubuntu construit en Flutter et soutenu par Subiquity et Curtin, les puissantes technologies d’installation d’Ubuntu basées sur les serveurs.

Nous parlons ici d’une refonte des visuels, d’une amélioration de la formulation pour que chaque étape ait plus de sens, et d’une poignée de nouvelles fonctionnalités telles que la possibilité de personnaliser Ubuntu via des paramètres d’accessibilités selon vos besoins.

Options d’accessibilité à l'installation d'Ubuntu 24.04

Mais aussi la possibilité d’utiliser le « provisionnement » (via un fichier .yaml) pour automatiser l’installation et configurer les options d’accessibilité avant l’installation.

Choisir le type d'installation d'Ubuntu

En plus de cela, le programme d’installation utilise désormais par défaut le mode d’installation « minimal ».
Ainsi, vous n’obtiendrez pas de nombreux utilitaires inutiles (si vous n’en avez pas besoin).

Choisir les applications à installer dans Ubuntu

Enfin, l’installeur prend en charge les installations ZFS et le chiffrement expérimental de l’intégralité du disque soutenu par le TPM pour les personnes soucieuses de la sécurité.

Nouveau centre d’applications

Le centre d’applications remplace l’application Ubuntu Software comme moyen recommandé d’installer des logiciels dans Ubuntu 24.04 LTS. Il s’agit d’un échange décent, l’App Center offrant un aspect propre et moderne.

Vous pouvez rechercher, parcourir, installer, supprimer et mettre à jour des applications instantanées ou des paquets DEB dans l’archive Ubuntu, mais vous ne pouvez pas utiliser le centre d’applications pour installer des paquets DEB que vous téléchargez vous-même – non, pas même des logiciels comme Google Chrome, Steam, Zoom, Discord, etc.

Nouveau centre d'applications dans Ubuntu 24.04 LTS

De plus, avec Ubuntu 24.04 LTS, les applications sont organisées de manière à ce que vous trouviez différentes sections d’applications principales pour vous aider à trouver des applications utiles.

L’écran de gestion et de vérification des applications installées a également été revu et les détails sont présentés de manière organisée.

Nouveau centre d'applications dans Ubuntu 24.04 LTS

Menu Paramètres revisité

L’option Paramètres rapides utilise des commandes en forme de pilules sur lesquelles vous pouvez cliquer pour activer les fonctions matérielles. Les cosses indiquent également l’état (par exemple, le nom du réseau actif), tandis que les sous-menus se déploient pour vous permettre d’effectuer des actions, comme choisir un réseau Wi-Fi ou modifier la luminosité du rétroéclairage du clavier.

Les paramètres rapides d'Ubuntu

En outre, l’application Paramètres a été réorganisée et de nouvelles options ont été ajoutées, y compris plus de paramètres d’accessibilité ; le partage permet la connexion à distance via RDP ; tandis que Souris et pavé tactile ajoute une bascule pour empêcher le pavé tactile d’être désactivé lors de la saisie.

La section Comptes en ligne propose désormais les fournisseurs WebDAV et Microsoft 365, le premier prenant en charge la synchronisation des contacts, des fichiers et des calendriers et le second offrant – grand changement – l’accès aux fichiers OneDrive via Nautilus.

Le nouveau menu de paramétrages d'Ubuntu

Amélioration dans GNOME 46

GNOME 46 introduit de nouvelles améliorations de l’interface utilisateur afin d’améliorer l’expérience globale de l’utilisateur.
Parmi les améliorations, citons la prise en charge des écrans tactiles et l’amélioration des animations afin d’offrir une expérience de bureau fluide et immersive.

Bien qu’expérimentale (elle doit être activée manuellement), la prise en charge de la fréquence de rafraîchissement variable (VRR) est une autre nouvelle fonctionnalité majeure de GNOME 46, qui vous permettra de modifier la fréquence de rafraîchissement variable de votre moniteur à partir de l’application Paramètres de GNOME, dans la section Affichage. Bien entendu, cela ne fonctionnera qu’avec les moniteurs qui prennent en charge les taux de rafraîchissement variables.

Lorsque vous vous connectez à distance à votre bureau GNOME, vous pouvez ajuster l’affichage à partir du client distant et utiliser le système comme une ressource distante à part entière. Cependant, lors de l’utilisation d’une session de bureau à distance, il ne doit pas y avoir de session locale en cours d’exécution.

Dans Ubuntu 24.04 LTS, les notifications fournissent de meilleures informations et invitent à prendre des mesures. Par exemple, lorsque vous effectuez une capture d’écran à l’aide d’un outil de capture d’écran, une fenêtre contextuelle s’affiche pour vous informer de l’action possible, dans ce cas, coller l’image dans le presse-papiers.

Consultez ce lien pour avoir la liste complète des nouveautés incluses dans GNOME 46 : https://release.gnome.org/46/

Gnome 46 apporte aussi des améliorations dans Nautilus.

Le bouton de recherche dans la barre latérale de Nautilus active une recherche globale qui passe au crible tous les emplacements indexés. Le (nouveau) bouton de la barre d’outils situé à côté de la barre des chemins d’accès permet d’effectuer une recherche dans un dossier. Il s’agit de deux façons distinctes de rechercher des fichiers sans avoir à définir des emplacements, à appliquer des filtres, etc.

Par ailleurs, la progression du transfert de fichiers passe de la barre d’outils au bas de la barre latérale (bien qu’elle n’apparaisse que lorsqu’une opération est active). Cliquez sur cette icône lorsqu’elle est affichée pour faire apparaître une boîte de dialogue contextuelle indiquant la barre de progression, la vitesse de transfert, le temps restant, etc.

Améliorations de Nautilus dans Ubuntu 24.04

Quelques autres nouveautés dans Nautilus :

  • Ajout d’une boîte de recherche dans les préférences
  • La barre de chemin d’accès peut être modifiée en cliquant dessus
  • La fonction d’icône de dossier personnalisé est plus facile à trouver/réinitialiser
  • Option pour afficher les horodatages détaillés des fichiers/dossiers

Mosaïques améliorées

Ubuntu 24.04 est aussi la première version LTS à prendre en charge la mosaïque de fenêtres dès sa sortie.
Bien que la distribution ait toujours permis d’accrocher les fenêtres de manière à ce qu’elles occupent la moitié de l’espace disponible sur l’écran, il manquait la possibilité de carreler les fenêtres dans les coins. Des fonctionnalités avancées de mosaïque de fenêtres sont désormais intégrées.

Outre la prise en charge d’un plus grand nombre d’emplacements pour l’accrochage des fenêtres, le nouvel assistant de tuilage d’Ubuntu propose également une invite de suggestion automatique lorsque vous tuilez des fenêtres. Il suggère d’autres applications ouvertes pour qu’elles soient juxtaposées à la fenêtre que vous êtes en train de juxtaposer – il n’est pas nécessaire de les faire glisser manuellement là où vous le souhaitez.

Vous pouvez régler cela depuis Paramètres > Bureau Ubuntu > Mosaïques améliorées.

Mosaïques améliorées dans Ubuntu 24.04 LTS

Nouvel outil de mise à jour des microprogrammes (Firmware)

Il a toujours été facile de mettre à jour les microprogrammes matériels dans Ubuntu, mais c’est encore plus facile dans Ubuntu 24.04 grâce à l’inclusion d’un nouvel outil de mise à jour des microprogrammes.

Il n’est pas tape-à-l’œil, mais il n’a pas besoin de l’être : il affiche des informations sur les microprogrammes existants pour les périphériques pris en charge/améliorables, affiche les mises à jour des microprogrammes et peut également mettre à jour les microprogrammes – tout cela à partir du LVFS, bien sûr.

Nouvel outil de mise à jour des microprogrammes (Firmware) dans Ubuntu

Amélioration de la sécurité

Cette nouvelle version de la distribution Linux voit un renforcement de la sécurité a également été effectué pour les binaires où la bibliothèque GNU C fournit une protection contre les conditions de débordement de mémoire tampon.

Ubuntu 24.04 LTS inclut la dernière version d’AppArmor 4.0, qui prend en charge de nombreuses nouvelles fonctionnalités, telles que la spécification des adresses réseau et des ports autorisés dans la politique de sécurité (plutôt que des protocoles de haut niveau) ou diverses conditionnalités permettant d’exprimer une politique plus complexe. Un nouveau développement passionnant fourni par AppArmor 4 dans Ubuntu 24.04 LTS est la possibilité de reporter les décisions de contrôle d’accès à un programme de confiance de l’espace utilisateur. Cela permet de mettre en œuvre une prise de décision assez avancée, en prenant en compte le contexte plus large disponible dans l’espace utilisateur ou même d’interagir avec l’utilisateur / l’administrateur système en temps réel. Par exemple, la fonction expérimentale d’invite snapd tire parti de ce travail pour permettre aux utilisateurs d’exercer un contrôle direct sur les fichiers auxquels un snap peut accéder dans leur répertoire personnel. Enfin, au sein du noyau, AppArmor a acquis la capacité de gérer l’accès aux espaces de noms des utilisateurs ainsi qu’au sous-système io_uring, deux éléments qui, historiquement, ont fourni des surfaces d’attaque supplémentaires au noyau pour les applications malveillantes.

L’utilisation de la cryptographie pour les communications privées est l’épine dorsale de l’internet moderne. Le protocole Transport Layer Security assure la confidentialité et l’intégrité des communications internet depuis sa première normalisation en 1999 avec TLS 1.0.
Dans Ubuntu 24.04 LTS, TLS 1.0, 1.1 et DTLS 1.0 sont tous désactivés de force (pour toutes les applications qui utilisent les bibliothèques openssl ou gnutls sous-jacentes) afin de s’assurer que les utilisateurs ne sont pas exposés à d’éventuelles attaques de rétrogradation de TLS qui pourraient exposer leurs informations sensibles.

Autres améliorations en vrac

  • Le noyau Linux 6.8 qui, entre autres, permet aux processeurs Intel ‘Meteor Lake’ d’atteindre les vitesses de boost annoncées, prend en charge les manettes Nintendo Switch Online, remédie aux problèmes de Wi-Fi sur certains ordinateurs portables AMD, améliore le comportement de zswap, et bien d’autres choses encore.
  • Dans le panneau Paramètres > Wi-Fi, vous trouverez une option permettant de générer un code QR afin de partager rapidement les informations d’identification du réseau sans avoir à copier/coller le véritable mot de passe dans des applications de chat (potentiellement non sécurisées), etc ;
  • L’application Horloges GNOME fait désormais partie du jeu de logiciels par défaut dans les installations par défaut (minimales) et étendues ;
  • Thunderbird est maintenant une application snap (et le DEB dans le repo est un paquet de transition qui installera la version snap ; lors des mises à jour, la version snap sera remplacée) ;
  • Pour les PC portable, la prise en compte de la batterie a été ajoutée et l’état « équilibré » par défaut favorise désormais la durée de vie de la batterie plutôt que les performances lorsque l’ordinateur fonctionne uniquement sur batterie.
  • Prise en charge les fichiers HEIF/HEIC
  • Prise en charge étendue du chiffrement des disques ;
  • Ubuntu 24.04 met à jour sa pile réseau sous-jacente vers Netplan 1.0. Cela permet de prendre en charge les connexions WPA2 et WPA3 simultanées, le VF-LAG de Mellanox, d’améliorer le VXLAN et de fournir l’API stable libnetplan1 ;
  • Optimisation de l’utilisation de la mémoire ;
  • Portage du moniteur système vers GTK 4 ;
  • Fonctionnalités avancées pour le système de fichiers ZFS ;
  • Dépréciation et désactivation des clés de signature du référentiel APT RSA 1024 bits ;
  • Amélioration de l’intégration des conteneurs et du cloud.

Pipewire est le serveur audio par défaut d’Ubuntu 24.04 LTS. PipeWire et PulseAudio étaient tous deux inclus dans Ubuntu 22.04 mais PipeWire ne gérait que la vidéo alors que maintenant (enfin, depuis 22.10) PipeWire gère toutes les tâches audio – et très bien, je pourrais ajouter.
PipeWire offre de nombreux avantages, notamment une meilleure compatibilité matérielle, une rétrocompatibilité avec JACK, une utilisation réduite du processeur, une base de code moderne et plus agile, et une meilleure gestion des équipements audio Bluetooth modernes tels que les barres de son.

Comment passer à Ubuntu 24.04 LTS

Comme expliqué en introduction, la mise à niveau n’est pas encore disponible.
Ainsi vous n’aurez pas de popup de mise à jour de la distribution et do-release-upgrade retourne qu’aucune nouvelle version LTS n’est disponible.
Toutefois, si vous êtes pressé, vous pouvez mettre à jour Ubuntu via APT en suivant ce guide : Mettre à jour/à niveau Ubuntu en ligne de commande

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Télécharger ISO Ubuntu 24.04 LTS

Par : malekalmorte
14 mai 2024 à 14:52

Ubuntu 24.04 LTS (Noble Numbat) est la version avec un support étendu publiée en Avril 2024.
Ce support s’étend sur 5 années, soit donc jusqu’en Juin 2029.

Cette version d’Ubuntu vient avec une version du noyau Linux 6.8, GCC est mis à jour vers la version 14, binutils vers 2.42, glibc vers 2.39 et Python en 3.12.
La pile réseau par défaut est dorénavant NetPlan et PipeWire est le nouveau serveur de son.

Dans ce tutoriel, vous trouverez toutes les liens gratuits pour télécharger les images d’Ubuntu et ses dérivés Kubuntu, Lubuntu, Xubuntu.

Télécharger ISO Ubuntu 24.04 LTS

Télécharger ISO Ubuntu 24.04 LTS

Ubuntu 24.04 LTS (AMD64)

Nom de fichierubuntu-22.04-desktop-amd64.iso
Taille du fichier5,7 Go
Format du fichierISO
SHA1 / MD5SHA1 : 08aef13357ce85082fe8292b22e6d1887d46ea37
LiensTélécharger Ubuntu 24.04 LTS (malekal.com)
Télécharger Ubuntu 22.04 LTS (lien direct officiel)

Comment installer Ubuntu 22.04 LTS (Linux)

Kubuntu 24.04 LTS (AMD64)

Nom de fichierkubuntu-24.04-desktop-amd64.iso
Taille du fichier3.9 Go
Format du fichierISO
SHA1 / MD5SHA1 : c36a88584a056aa27cd8abbaf6bb95a2f813ab89
LiensTélécharger Kubuntu 22.04 LTS (malekal.com)
Télécharger Kubuntu 22.04 LTS (lien direct officiel)

Comment installer Ubuntu 22.04 LTS (Linux)

Xubuntu 24.04 LTS (AMD64)

Nom de fichierxubuntu-24.04-desktop-amd64.iso
Taille du fichier3.8 Go
Format du fichierISO
SHA1 / MD5SHA1 : 2fdb4204a5573dea18c4f19bb0e69f0ec868517f
LiensTélécharger Xubuntu 22.04 LTS (malekal.com)
TéléchargerXubuntu 22.04 LTS (lien direct officiel)

Comment installer Ubuntu 22.04 LTS (Linux)

Lubuntu 24.04 LTS (AMD64)

Nom de fichierlubuntu-24.04-desktop-amd64.iso
Taille du fichier3.1 Go
Format du fichierISO
SHA1 / MD5SHA1 : 6b1bbd6626cc66792aa8322e84da469e8c38374e
LiensTélécharger Lubuntu 24.04 LTS (malekal.com)
Télécharger Lubuntu 22.04 LTS (lien direct officiel)

Comment installer Lubuntu 22.04 LTS

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Résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update

Par : malekalmorte
14 mai 2024 à 08:58

Le code erreur 0x80070426 apparaît dans Windows lorsqu’un utilisateur tente de mettre à jour le système d’exploitation Windows ou d’installer des mises à jour logicielles et qu’un problème se produit.
En général, ce problème se produit lors de la phase d’installation et donc la mise à jour est en échec d’installation.

Dans ce guide, je vous donne plusieurs solutions pour résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update.

Résoudre l'erreur 0x80070426 sur Windows Update

Résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update

Réparer les fichiers systèmes avec SFC et DISM

Pour réparer les fichiers systèmes de Windows 10 ou Windows 11, on utilise les utilitaires SFC (vérificateur de fichiers systèmes) et DISM.
Ces deux outils s’utilisent en invite de commandes.

Dism /Online /Cleanup-Image /CheckHealth
DISM - réparer les images de Windows 10
  • Puis enchaînez avec une vérification et réparation des fichiers corrompus et manquants avec l’outil SFC. Pour cela, saisissez :
sfc /scannow

Laisse le vérificateur de fichiers systèmes analyser Windows 10 ou Windows 11.
Enfin si des fichiers systèmes sont corrompus, SFC tente de les réparer.

sfc scannow - le vérificateur de fichiers systèmes de Windows 10

Plus de détails dans l’article suivant :

Vider le cache Windows Update et réinitialiser les services Windows Update

En cas de corruption de Windows Update, vous pouvez vider le cache Windows Update et réinitialiser les services.
Suivez ces instructions :

net stop wuauserv
net stop cryptSvc
net stop bits
net stop msiserver
ren C:\Windows\SoftwareDistribution SoftwareDistribution.old
ren C:\Windows\System32\catroot2 catroot2.old
net start wuauserv
net start cryptSvc
net start bits
net start msiserver
  • Redémarrez le PC afin de prendre en compte les changements
  • Puis relancez les mises à jour Windows Update

Un article existe sur le site dédié avec d’autres méthodes pour vider le catalogue Windows Update et résoudre les erreurs d’installation :

Démarrer Windows en mode normal

Le démarrage sélectif permet de désactiver des applications et services Windows afin d’alléger le démarrage.
Si vous avez suivi un mauvais tutoriel et désactiver des services Windows, cela peut causer des dysfonctionnements.

Il faut alors remettre le mode de démarrage en démarrage normal.
Pour cela :

  • Sur votre clavier, appuyez sur la touche + R
  • Puis saisissez msconfig
  • Ensuite dans général, cochez démarrage normal
  • Cliquez sur OK puis redémarre le PC ensuite
msconfig mode de démarrage normal.

Plus de détails et explications :

Windows Repair

Windows Repair est un utilitaire gratuit qui permet de réparer des composants et fonctionnalités de Windows.

Installer Windows Repair
  • Windows Repair se lance automatique, acceptez les conditions d’utilisation
Windows Repair EULA
  • Toutefois, il est conseillé de faire les réparations en mode sans échec. Pour cela, en bas, cliquez sur Reboot To Safe Mode.. ou suivez ce guide complet : Redémarrez Windows en mode sans échec
Démarrer Windows en mode sans échec avec Windows Repair
  • Puis relancez Windows Repair
  • Cliquez sur l’onglet Réparation – Principal
  • La liste des type de réparation de Windows s’affiche : cliquez sur Préréglages : Réparations communes
Windows Repair - réparer Windows
  • Vous obtenez alors la liste ci-dessous, laissez les éléments cochés
Liste des réparation Windows Repair
  • Enfin cliquez en bas à droite sur Démarrer les réparations
  • L’opération se lance avec une succession d’étape… des fenêtres noires peuvent s’ouvrir ou se refermer
Réparer Windows avec Windows Repair
  • Laissez terminer, un message vous indique que la réparation Windows Repair est terminée
  • Redémarrez le PC en mode normal de Windows

Plus de détails dans ce tutoriel complet :

Réparer Windows 10 ou Windows 11

Lorsque Windows est totalement endommagé et que les problèmes sont trop nombreux, vous pouvez tenter de réparer Windows 10, 11 sans perte de données et en conservant les programmes installés.
Cela permet de rétablir un système fonctionnel à partir des fichiers ISO et images de Windows.
La procédure est décrite pas à pas dans cet article :

Il s’agit d’une opération de réinitialisation et de remise à zéro qui supprime les applications et remet le système à son état d’origine.
C’est la solution radicale pour retrouver un système fonctionnel :

Réinitialiser Windows

Liens

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Linux : monter un fichier ISO

Par : malekalmorte
12 mai 2024 à 09:02

Un fichier ISO est une image disque qui contient l’intégralité des données et la structure d’un disque optique, comme un CD ou un DVD.
Monter un fichier ISO est un processus qui permet de simuler la présence d’un disque physique dans votre ordinateur, sans avoir besoin d’un disque réel.
Vous pouvez faire cela très facilement sur Linux pour accéder au contenu du fichier image.

Dans ce tutoriel, je vous montre comment monter un fichier ISO sur Linux depuis un terminal ou en graphique.

Comment monter un fichier ISO sur Linux

Comment monter un fichier ISO sur Linux

En graphique

  • Faites un clic droit sur le fichier ISO puis Ouvrir avec Monteur d’image disque
Comment monter un fichier ISO sur Linux en ligne de commandes
  • Le lecteur virtuel est accessible depuis l’Explorateur, cliquez dessus
  • Selon la distribution Linux, le lecteur peut s’afficher dans les favoris, sur le bureau ou encore dans la barre des tâches ou lanceur
Comment monter un fichier ISO sur Linux en ligne de commandes
  • Pour retirer le lecteur virtuel du fichier image, faites simplement un clic droit dessus puis Démonter
Comment monter un fichier ISO sur Linux en ligne de commandes

En ligne de commandes depuis un terminal

La commande mount vous permet d’attacher (monter) des fichiers ISO à un point de montage particulier dans l’arborescence des répertoires.
Les instructions de cette section devraient fonctionner sur n’importe quelle distribution Linux, y compris Ubuntu, Debian, Linux Mint ou Fedora.

  • Voici la syntaxe de la commande mount :
sudo mount -o loop <fichier ISO> /dossier/destination
  • On créé le répertoire /media/iso :
sudo mkdir /media/iso
  • Puis par exemple, pour monter le fichier VBoxGuestAdditions_7.0.18.iso dans /media/iso :
sudo mount -o loop ~/Téléchargements/VBoxGuestAdditions_7.0.18.iso /media/iso
Comment monter un fichier ISO sur Linux en ligne de commandes
  • Vous vérifier que le fichier ISO est bien monté en utilisant la commande. Vous devez obtenir une ligne du type
/home/mak/Téléchargements/VBoxGuestAdditions_7.0.18.iso on /media/iso type iso9660 (ro,relatime,nojoliet,check=s,map=n,blocksize=2048,iocharset=utf8)
Comment monter un fichier ISO sur Linux en ligne de commandes
  • Enfin pour démonter le fichier ISO, utilisez la commande umount en indiquant le point de montage :
sudo umount /media/iso

Avec AcetoneISO

AcetoneISO est un programme libre et open-source qui permet de gérer et de manipuler des fichiers d’image disque tels que les fichiers ISO sous Linux. Il offre une interface graphique intuitive qui facilite diverses opérations sans nécessiter de commandes complexes en ligne de commande.
De plus, vous pouvez convertir des formats ISO, audio ou encore graver des DVD-Rom.

Pour l’installer :

sudo apt install acetoneiso

Vous pouvez monter un fichier ISO manuellement ou encore gérer une base de données depuis un répertoire.

Comment monter un fichier ISO sur Linux avec AcetoneISO

Liens

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ntfsfix : réparer NTFS sur Linux

Par : malekalmorte
5 mai 2024 à 07:09

Si vous rencontrez des erreurs pour monter ou accéder à une partition NTFS d’un disque dur ou d’une clé USB sur Linux, vous pouvez réparer les erreurs avec l’utilitaire ntfsfix du paquet ntfs-3g.

Dans ce tutoriel, je vous présente cet utilitaire et je vous montre comment l’utiliser à travers des exemples.

ntfsfix : réparer NTFS sur Linux

Qu’est-ce que ntfsfix

ntfsfix est un outil de réparation pour les systèmes de fichiers NTFS, généralement utilisé dans les environnements Linux. Le système de fichiers NTFS (New Technology File System) est le système de fichiers principal utilisé par les systèmes d’exploitation Microsoft Windows.

Cet outil fait partie du paquet ntfs-3g, un logiciel libre qui permet aux systèmes d’exploitation basés sur Linux de lire et d’écrire sur des systèmes de fichiers NTFS.

Les principales fonctions incluent :

  • Réparer des erreurs mineures : ntfsfix peut résoudre certaines erreurs mineures du système de fichiers NTFS, ce qui permet à un système Linux d’accéder correctement aux partitions NTFS.
  • Effacer les journaux d’erreurs : Il supprime les journaux d’erreurs marqués comme “bad” (mauvais), ce qui peut aider à résoudre certains problèmes.
  • Configurer pour une vérification complète par Windows : ntfsfix ne fait pas une réparation complète du système de fichiers NTFS. Au lieu de cela, il marque la partition NTFS pour une vérification par les outils de réparation natifs de Windows, tels que ntfsfix. Cela signifie qu’une fois que la partition NTFS est montée sur un système Windows, ce dernier effectuera une vérification complète du système de fichiers et pourra réparer toute erreur majeure.

Il est important de noter que ntfsfix ne doit pas être considéré comme un outil de réparation complet pour les systèmes de fichiers NTFS. Il est principalement conçu pour permettre l’accès immédiat à une partition NTFS depuis un environnement Linux, mais pour une réparation complète, il est recommandé d’utiliser les outils natifs de Windows.

Comment utiliser ntfsfix sur Linux

  • Sur les distributions Linux à base de Debian, Ubuntu, Mint, avec APT :
sudo apt-get install ntfs-3g
  • Pour les distributions Linux de type Fedora / Redhat :
sudo yum install epel-release # RHEL
sudo yum install ntfs-3g # Fedora
sudo ntfsfix /dev/sda5

Pour effectuer une simulation où ntfsfix n’écrit rien mais montre seulement ce qui aurait été fait, utilisez l’option -n ou –no-action.
Remplacez /dev/sda4 par le lecteur de disque :

sudo ntfsfix -n /dev/sda4

Après cela, vous pouvez lancer la réparation sans option :

sudo ntfsfix /dev/sda4

ntfsfix dispose d’une autre option utile -b ou –clear-bad-sectors pour effacer la liste des secteurs défectueux. Cette fonctionnalité est particulièrement utile après le clonage d’un ancien disque contenant des secteurs défectueux sur un nouveau disque.

sudo ntfsfix -b /dev/sda4

De plus, ntfsfix permet d’effacer le drapeau de volume sale si le volume peut être fixé et monté. Vous pouvez invoquer cette fonctionnalité en contournant l’option -d comme indiqué.

sudo ntfsfix -d /dev/sda4
Remarque : ntfsfix ne peut réparer que certaines erreurs de partition NTFS. S’il échoue, chkdsk réussira probablement. Si Windows est installé, vous pouvez également charger Windows et exécuter son programme de vérification des disques, chkdsk.

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Résoudre les erreurs et problèmes pour monter une partition NTFS (clé USB, disque dur) sur Linux

Par : malekalmorte
4 mai 2024 à 11:15

Vous utiliser Linux et vous ne parvenez pas à monter une partition NTFS (New Technology File System).
Cela peut se produire sur une partition de disque spécifique ou une clé USB.
En général vous rencontrez une erreur mount et impossible d’accéder aux fichiers de la partition de disque ou clé USB : mount: wrong fs type, bad option, bad superblock, Failed to mount ou $MFTMirr does not match $MFT (record 3).

Dans ce tutoriel, je vous donne toutes les solutions pour résoudre les problèmes pour monter une partition NTFS sur Linux.

Résoudre les erreurs et problèmes pour monter une partition NTFS (clé USB, disque dur) sur Linux

Pourquoi Linux ne parvient pas à monter une partition NTFS

Voici les principales raisons qui peuvent faire que vous rencontriez des problèmes pour accéder à un disque en NTFS sur Linux :

  • Le système de fichiers NTFS est endommagé
  • La partition de disque est corrompu. Par exemple elle est passée en RAW
  • Le disque présente un problème matériel, comme une corruption de disque

Un autre cas courant est que le système de fichiers n’est pas propre et doit être vérifié.
Dans ce cas là, mount peut renvoyer l’erreur suivant :

$MFTMirr does not match $MFT (record 3).
Failed to mount '/dev/sda1': Erreur d'entrée/sortie

NTFS is either inconsistent, or there is a hardware fault, or it's a SoftRAID/FakeRAID hardware. In the first case run chkdsk /f on Windows then reboot into Windows twice. The usage of the /f parameter is very important! If the device is a SoftRAID/FakeRAID then first activate it and mount a different device under the /dev/mapper/ directory, (e.g.
/dev/mapper/nvidia_eahaabcc1). Please see the 'dmraid' documentation for more details.

Nautilus ou autre explorateur de fichier peuvent aussi afficher une erreur

Impossible d'accéder à l'emplacement
error mounting - wrong fs type, bad option, bad superblock
Impossible d'accéder à l'emplacement sur Linux : error mounting - wrong fs type, bad option, bad superblock

Comment résoudre les erreurs NTFS sur Linux

Faire un chkdsk (si Windows est disponible)

Si vous avez une installation Dual-boot (sinon passez au paragraphe suivant), vous pouvez utiliser l’utilitaire internet de Windows chkdsk (check disk).
Comme son nom l’indique, il permet de réparer les erreurs du système de fichiers.

  • Redémarrez sous Windows
  • Sur votre partition de disque ou clé USB : faites un clic droit > Propriétés
  • Onglet Outils
  • Puis cliquez sur Vérifier

Il est aussi possible de lancer la commande depuis l’invite de commandes :

chkdsk X: /R /F

où X: est la lettre de lecteurs à vérifier.

Consultez ce guide pour plus d’aide pour utiliser l’utilitaire chkdsk : chkdsk : réparer les erreurs de disque/lecteur NTFS/FAT sur Windows

Utiliser ntfsfix sous Linux

Si Windows n’est disponible, vous pouvez utiliser l’utilitaire de réparation NTFS de Linux nommé ntfsfix.
Notez qu’il est réputé pour être moins performant que chkdsk mais il peut résoudre les problèmes mineurs.

  • Installez la suite d’utilitaires NTFS pour Linux :
sudo apt-get install ntfs-3g
  • Puis utilisez la commande suivante en spécifiant la lecteur de disque :
sudo ntfsfix /dev/sdaXX
  • Pour vérifier et réparer les secteurs défectueux, ajoutez l‘option -b. Pour effacer l’indicateur de volume sale, utilisez l’option -d :
sudo ntfsfix -b -d /dev/sda6

Monter la partition de disque manuellement

Si aucune des étapes ci-dessus n’a fonctionné, vous pouvez essayer de monter manuellement la partition. Ouvrez une fenêtre de terminal et tapez :

sudo mount -t ntfs /dev/sdXY /mnt

Remplacez /dev/sdXY par votre propre nom de périphérique ou l’emplacement de votre disque dur, et choisissez n’importe quel répertoire comme point de montage (dans ce cas, mon exemple utilise “/mnt”). Il est essentiel de garder à l’esprit que ces étapes ne peuvent réparer que quelques types d’erreurs NTFS.

Dans certains cas, la récupération d’une partition NTFS défectueuse peut nécessiter un formatage ou une restauration à partir de sauvegardes. Il est essentiel de toujours effectuer des sauvegardes régulières pour éviter de perdre des données importantes.

Si cela fonctionne, il est possible que votre fichier fstab soit mal configuré : mount et fstab : monter des partitions de disques ou NTFS, NFS, CIFS sur Linux

Vérifier les secteurs défectueux à l’aide de smartmontools

Si votre disque dur présente des secteurs défectueux, cela peut entraîner l’erreur “NTFS Partition Failed to Mount” (Échec du montage de la partition NTFS). Vous pouvez utiliser smartmontools pour vérifier la présence de secteurs défectueux sur votre disque dur.

Smartmontools est un paquetage open-source qui fournit des utilitaires pour surveiller l’état des périphériques de stockage à l’aide de S.M.A.R.T. (Self-Monitoring Analysis and Reporting Technology). Pour utiliser smartmontools, vous devez d’abord l’installer sur votre système.

sudo apt install smartmontools

Une fois installé, vous pouvez exécuter la commande “smartctl” avec les options appropriées pour vérifier l’état de votre disque dur. Si des secteurs défectueux sont détectés, vous devez remplacer votre disque dur dès que possible.

Utiliser testdisk

Si les solutions précédentes ne permettent pas de résoudre l’erreur NTFS Partition Failed to Mount, essayez d’utiliser des outils tiers tels que TestDisk et Photorec.
Ces outils puissants permettent de récupérer les partitions perdues ou endommagées, de réparer les tables de partition et de récupérer les données perdues.

  • TestDisk est un outil de ligne de commande qui peut être utilisé pour restaurer des partitions supprimées, résoudre des problèmes de table de partition et rendre les disques non amorçables à nouveau amorçables.
  • Photorec est un outil de récupération de fichiers qui permet de récupérer des fichiers perdus sur des disques endommagés ou formatés. Ces deux outils sont des logiciels libres et gratuits qui fonctionnent sur plusieurs plateformes, y compris Linux.
sudo apt-get install testdisk

Puis lancer l’utilitaire de cette manière :

sudo testdisk

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recALL : trouver les mots de passe et licences logicielles

Par : malekalmorte
3 mai 2024 à 10:23

recALL est un programme gratuit qui permet de récupérer les mots de passe de plus de 300 programmes et les clés de licence de plus de 2 800 applications.
Le programme peut récupérer les codes de série de nombreux logiciels, y compris Fast Picture Viewer, Newsbin ou des produits Microsoft tels qu’Office, Windows, courrier électronique, navigateurs web, messagerie instantanée, clients FTP, réseaux sans fil, etc.
En outre, il peut récupérer les informations de connexion de nombreux programmes de communication, y compris les navigateurs Web, les clients FTP, les applications de messagerie ou les programmes de base de données.
Il est compatible Windows 11, Windows 10 et même Windows 7 et 8.
Enfin il est disponible en Français.

Dans ce tutoriel, je vous montre comment l’utiliser.

recALL : trouver les mots de passe et licences logicielles

Comment utiliser recALL pour trouver les mots de passe et licences

  • Téléchargez l’utilitaire depuis ce lien :
  • Puis exécutez l’installeur et laissez vous guider dans les étapes du setup
Setup de recALL
  • Exécutez le logiciel. Il est possible que votre antivirus le détecte comme outil de piratage, outil à risque puisqu’un pirate peut l’utiliser pour récupérer vos mots de passe. Par exemple, Windows Defender le détecte en HackTool:Win32/Crack – Autorisez le fichier
recALL détecté en HackTool:Win32/Crack
  • Sur la page de bienvenue, laissez sur Récupération automatique et cliquez sur Suivant
Comment utiliser recALL pour trouver les mots de passe et licences
  • L’utilitaire analyse le registre Windows et les fichiers pour rechercher les mots de passe et les clés produits de vos logiciels. Les mots de passe et licences s’ajoutent dans la liste. Patientez car cela va prendre du temps
Comment utiliser recALL pour trouver les mots de passe et licences
  • Lorsque l’analyse est terminé, le bouton Suivant est disponible, cliquez dessus
Comment utiliser recALL pour trouver les mots de passe et licences
  • Une fois terminé, vous pouvez exporter les résultats de récupération de mots de passe et clé produit. Vous pouvez le faire au format CSV, HTML, ZIP au pour KeePass. Cliquez sur l’icône à droite pour parcourr pour choisir l’emplacement puis indiquez le nom du fichier
Comment utiliser recALL pour trouver les mots de passe et licences
  • Un message indique que vos données ont été sauvegardées avec succès
Comment utiliser recALL pour trouver les mots de passe et licences

Si vous cherchez des alternatives, il existe WebBrowserPassView pour récupérer les mots de passe des navigateurs internet.
Du côté des mots de passe, il existe aussi Licence Crawler, Passware Kit ou Elcomsoft Password Recovery Bundle.

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DefenderUI : Interface pour gérer Windows Defender

Par : malekalmorte
2 mai 2024 à 08:55

La gestion de Microsoft Defender n’est pas un processus simple. Microsoft a déplacé de nombreuses options vers l’application Paramètres. Cette approche imbriquée rend la gestion de Defender difficile et longue. De nombreuses options et fonctionnalités ne sont pas accessibles via le Centre de sécurité Windows Defender, elles doivent être gérées via le Registre, la Stratégie de groupe ou PowerShell.

DefenderUI est une application gratuite de VoodooShield CyberLock qui se présente sous la forme d’une interface utilisateur compatible Windows 10 et Windows 11 pour gérer Windows Defender.
Tout comme Configure Defender, il donne accès à la plupart des fonctionnalités de Windows Defender mais aussi ses paramètres cachés.
Si vous cherchez une interface utilisateur unique pour accéder à l’ensemble des fonctionnalités et paramètres de Windows Defender, cet utilitaire peut répondre à vos besoins.

Dans ce tutoriel, je vous montre comment l’utiliser.

DefenderUI : Interface pour gérer Windows Defender

Comment installer DefenderUI et premier démarrage

  • Téléchargez l’utilitaire depuis ce lien :
  • Laissez vous guider dans les étapes du setup
Setup DefenderU
  • Au premier démarrage en haut, cliquez sur le menu déroulant pour sélectionner la langue Française
Passer DefenderUI en Français
  • L’utilitaire répertorie les profils de sécurité lors de la première exécution que les utilisateurs sélectionnent comme configuration de base. Les quatre profils suivants sont actuellement pris en charge :
    • Profil recommandé — débloque certaines des fonctionnalités cachées de Microsoft Defender. Pour les utilisateurs occasionnels
    • Profil interactif — plus sûr que le profil recommandé. Pour les utilisateurs avancés
    • Profil agressif — profil le plus sûr
    • Profil par défaut — le profil par défaut de Microsoft Defender
Les profils de DefenderUI

Utiliser les fonctionnalités de Windows Defender avec WindowsDefenderUI

L’onglet Accueil contient des boutons pour plusieurs fonctionnalités, notamment la protection en temps réel, la protection fournie dans le nuage et le pare-feu Windows. Des boutons permettent également de démarrer Microsoft Defender avec Windows et de basculer entre les modes clair et foncé de l’interface utilisateur de Defender.

D’autres options permettent de désactiver la protection en temps réel, mettre à jour et de réinitialiser les signatures, d’exécuter des analyses, d’ajouter des éléments à la liste des exclusions et d’ouvrir certaines pages administratives, telles que Windows Update, l’historique de la protection et la quarantaine, ou le journal de sécurité de Defender.

Utiliser les fonctionnalités de Windows Defender avec WindowsDefenderUI

La plupart des fonctionnalités sont aussi accessibles par un clic droit sur l’icône de WindowsDefenderUI disponible dans la zone de notifications de Windows.

Menu déroulant du clic droit dans le systray

Lancer un scan Windows Defender

Depuis l’accueil, vous pouvez lancer à tout moment une analyse antivirus de votre ordinateur.
On retrouve tous les types de scan possibles :

  • Analyse rapide : L’antivirus analyse les emplacements du système les plus fréquemment utilisés par les logiciels malveillants
  • Analyse complète : Windows Defender analyse le système complètement. C’est l’analyse la plus longue mais vous vérifiez vraiment tout le système
  • Analyse personnalisée : Choisissez le dossier ou lecteur à analyser
Lancer un scan de son PC avec Windows Defender

Gérer les exclusions dans Windows Defender

Parfois Windows Defender est trop sensible et peut détecter des fichiers sains comme étant malveillants ou dangereux. Cela se nomme un faux-positif.
Dans d’autres cas pour éviter que Windows Defender utilise trop les ressources systèmes, vous pouvez exclure des dossiers contenants beaucoup de fichiers ou provenant d’applications lourdes.
Pour ce faire, vous pouvez mettre un fichier ou un dossier en exclusion.

WindowsDefenderUI donne la possibilité de gérer très facilement les exclusions.
Depuis la section Utilitaire, cliquez sur ajouter une exclusion et choisissez le type depuis le menu déroulant.

Ajouter des exclusions dans Windows Defender avec DefenderUI

Puis cochez les fichiers ou dossiers à mettre en exclusion :

Ajouter des exclusions dans Windows Defender

Depuis le bouton Gérer les exclusoins, vous pouvez lister les éléments en exception et les retirer en cliquant sur le bouton moins.

Gérer les exceptions dans Windows Defender

Effacer historique de protection

L’historique de protection liste les dernières menaces détectées.
Parfois, Windows Defender continue d’afficher une alerte sur une menace alors que celle-ci a été gérée.
Si vous souhaitez effacer ou réparer l’historique de protection, cela est très simple puisque WindowsDefenderUI fournit un bouton.

Effacer ou réparer l'historique de protection de Windows Defender

Accéder aux paramétrage cachés, basiques et avancés de Windows Defender

Réglages basiques de Windows Defender

L’onglet Basique présente d’autres options réparties dans les groupes Général, Confidentialité et Notifications.
La liste Général comprend des boutons pour de nombreuses fonctions de sécurité de Microsoft Defender, y compris la protection contre les PUA, la surveillance du comportement, la protection du réseau ou l’accès contrôlé aux dossiers.

Les options de confidentialité contrôlent, entre autres, les soumissions automatiques d’échantillons.
Les notifications définissent enfin si et quand les notifications sont affichées à l’utilisateur du système.

Certaines fonctions comprennent des options supplémentaires. La protection PUA, par exemple, peut être configurée en mode audit uniquement, ou la soumission automatique d’échantillons peut être demandée, afin de permettre à l’utilisateur de contrôler la fonctionnalité.

Réglages basiques de Windows Defender dans DefenderUI

Réglages avancés de Windows Defender

L’onglet Avancé répertorie les options d’analyse et les actions par défaut contre les menaces. Les options sont pour la plupart explicites. Les options d’analyse définissent les zones du système que Microsoft Defender inclut dans ses analyses. Des options permettant de modifier l’intervalle de vérification des mises à jour et l’utilisation moyenne de l’unité centrale pendant les analyses sont proposées.

Réglages avancés de Windows Defender dans DefenderUI

Réglages ASR

ASR (Attack Surface Reduction) que l’on peut traduire par réduction de la surface d’attaque), est l’onglet suivant. Il est conçu pour bloquer les comportements potentiellement malveillants sur le système par défaut. Les exemples incluent le blocage de l’exécution de processus non fiables et non signés qui s’exécutent à partir de périphériques USB, le blocage de la création de processus enfants par les applications Adobe Reader et Office, ou le blocage de l’utilisation abusive de pilotes signés vulnérables exploités.

Réglages ASR de Windows Defender dans DefenderUI

Windows Guard

Enfin, DefenderGuard permet aux utilisateurs de contrôler la réactivation automatique des fonctions de protection, de la protection en temps réel, de la protection fournie par le cloud et du pare-feu Windows. Ces fonctions peuvent être désactivées, de sorte qu’elles ne s’activent plus d’elles-mêmes après un certain temps.

Windows Guard

Liens

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Récupérer la clé produit d’Office (Licence)

Par : malekalmorte
30 avril 2024 à 08:30

Une clé produit (également appelée clé de licence ou clé d’activation) est une série de caractères alphanumériques utilisée pour activer et authentifier un logiciel, généralement lors de son installation. Cette clé est fournie par le fournisseur du logiciel et est unique pour chaque exemplaire du logiciel acheté ou obtenu légalement.
Microsoft Office n’échappe pas à la règle et possède aussi une clé produit.

Dans ce tutoriel, je vous donne plusieurs méthodes pour récupérer la clé produit d’Office 2021, 2016, 2019, 2013 ou Microsoft 365.

Comment récupérer la clé produit Office 365, Office 2021, 2016, 2019, 2013

Comment récupérer la clé produit Office 365, Office 2021, 2016, 2019, 2013

Méthode 1 : vérifier l’emballage du produit ou le reçu de l’e-mail

Dans le monde numérique, il est indispensable de trouver votre clé de produit Microsoft 365 pour pouvoir profiter de ses avantages. Un moyen facile de l’obtenir est de vérifier l’emballage ou le reçu de l’e-mail. Voici comment procéder :

Examinez l’emballage du produit :

  • Inspectez la boîte ou l’emballage de Microsoft 365 ou Microsoft Office
  • Vérifiez s’il y a un autocollant/étiquette avec la clé du produit
  • Décollez-le avec précaution pour obtenir le code

Vérifiez votre boîte de réception :

  • Ouvrez votre boîte de réception et recherchez un courriel provenant du magasin
  • Recherchez des mots-clés tels que “clé”, “licence” ou “série” dans l’objet ou le corps du message
  • Notez le code alphanumérique

Connectez-vous à votre compte :

  • Si vous l’avez acheté auprès de Microsoft, connectez-vous à votre compte
  • Allez dans le tableau de bord/l’historique des achats pour trouver la clé
  • Notez le code unique

Méthode 2 : ProduKey de NirfSoft

ProduKey est un petit utilitaire qui affiche la clé produit de Microsoft Office et Windows.
Vous pouvez afficher ces informations pour votre système d’exploitation actuel ou pour un autre système d’exploitation/ordinateur en utilisant les options de la ligne de commande.
Cet utilitaire peut être utile si vous avez perdu la clé de produit de votre Windows/Office et que vous souhaitez le réinstaller sur votre ordinateur.

Récupérer la clé produit de Windows et Office

Méthode 3 : recALL

recALL est un programme gratuit qui permet de récupérer les mots de passe de plus de 300 programmes et les clés de licence de plus de 2 800 applications.
Cela comprend les licences de Windows et de Microsoft Office.

Comment utiliser recALL pour trouver les mots de passe et licences

Méthode 4 : Belarc Advisor

Belarc Advisor est un logiciel gratuit conçu pour analyser un ordinateur et fournir des informations détaillées sur son matériel et son logiciel. Il examine divers aspects du système, tels que la configuration matérielle, les logiciels installés, les mises à jour manquantes, les vulnérabilités de sécurité, les clés de produit des logiciels, etc.
Parmi les fonctionnalités, il est aussi capable d‘énumérer les clés produits depuis le menu Software Licences.
Vous pouvez utiliser ce logiciel pour trouver la clé produit d’Office.

Belarc Advisor obtenir les informations du matériel et logiciel de son PC

Méthode 5 : LicenceCrawler

LicenceCrawler est un logiciel conçu pour aider les administrateurs informatiques et les professionnels de l’informatique à gérer les licences logicielles sur les réseaux d’entreprise. Il analyse les ordinateurs connectés au réseau et recueille des informations sur les licences logicielles installées, y compris les clés de produit, les numéros de série et les informations de licence associées à divers logiciels, tels que les systèmes d’exploitation, les applications bureautiques, les outils de développement, etc.

Licence Crawler obtenir les clés produits des logiciels installés dans Windows

Méthode 6 : dans Microsoft Store

Dans le cas où vous avez acheté votre licence Office dans Microsoft Store, vous pouvez trouver la clé produit depuis ce dernier.
Voici comment faire :

  • Allez sur www.microsoftstore.com. Dans le coin supérieur droit, sélectionnez “Se connecter” in et entrez l’identifiant et le mot de passe que vous avez utilisés pour acheter Office.
  • Une fois connecté, sélectionnez votre nom dans le coin supérieur droit, puis sélectionnez “Historique des commandes“.
  • Localisez l’achat unique d’Office ou l’application Office individuelle, puis sélectionnez “Installer Office” pour afficher votre clé de produit (cela n’installe pas réellement Office). Notez que cette clé de produit ne correspondra pas à la clé de produit affichée sur la page “Compte Microsoft“, services et abonnements. C’est normal.

Comment trouver la licence Office en invite de commandes ou PowerShell

Office 2021, 2016, 2019 et Office 2013

OSPP.VBS (Office Software Protection Platform) est un script utilisé par Microsoft Office pour gérer l’activation des produits Office, tels que Word, Excel, PowerPoint, etc. Il fait partie du système d’activation et de gestion des licences de Microsoft Office.
Vous pouvez l’utiliser pour obtenir le statut d’activation de Microsoft Office.
Voici comment faire :

Ouvrir invite de commandes en administrateur
  • Utilisez les commandes suivantes en fonction de votre version d’Office installée dans le système :
  • Office 2016/2019/2021 (64-bit) sur Windows 64-bit :
cscript "C:\Program Files\Microsoft Office\Office16\OSPP.VBS" /dstatus
  • Office 2016/2019/2021 (32-bits) sur Windows 32-bits :
cscript "C:\Program Files\Microsoft Office\Office16\OSPP.VBS" /dstatus
  • Office 2016/2019/2021 (32-bits) sur Windows 64-bits :
cscript "C:\Program Files (x86)\Microsoft Office\Office16\OSPP.VBS" /dstatus
  • Office 2013 (64-bit) sur Windows 64-bits :
cscript "C:\Program Files (x86)\Microsoft Office\Office15\OSPP.VBS" /dstatus
  • Office 2013 (32-bit) sur Windows 64-bits :
cscript "C:\Program Files (x86)\Microsoft Office\Office15\OSPP.VBS" /dstatus

Par exemple, sur une version crackée d’OffIce, le type de Licence est Retail Channel avec OOB_GRACE.
De plus, le code erreur 0x4004F00C s’affiche.

LICENSE NAME: Office 19, Office19HomeBusiness2019R_Retail edition
LICENSE DESCRIPTION: Office 19, RETAIL channel
BETA EXPIRATION: 01/01/1601
LICENSE STATUS: ---OOB_GRACE---
ERROR CODE: 0x4004F00C
ERROR DESCRIPTION: The Software Licensing Service reported that the application is running within the valid grace period
Last 5 characters of installed product key: R62YT
Comment trouver la licence Office 2021, 2016, 2019 en invite de commandes ou PowerShell

Voir la documentation officielle de Microsoft : Outils pour gérer l’activation en volume d’Office

Dans Microsoft 365

Dans le cas de Microsoft 365, le script à utiliser pour obtenir les informations de licence est différent et se nomme vNextDiag.ps1.
Voici comment faire :

  • Appuyez sur le raccourci clavier  + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
  • Puis utilisez les commandes suivantes, selon l’architecture de Windows
cd "c:\Program Files\Microsoft Office\Office16\" ; si Windows 32-bits
cd "c:\Program Files (x86)\Microsoft Office\Office16\" ; si Windows 32-bits
powershell -ep bypass -c ".\vNextDiag.ps1"
Comment trouver la licence Office 365 en invite de commandes ou PowerShell

Voir la documentation officielle de Microsoft : Vérifiez les statut de licence et d’activation pour Microsoft 365 Apps

Liens

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Corriger l’erreur 0xc00000e5 dans Windows

Par : malekalmorte
29 avril 2024 à 08:39

Le code d’erreur Windows 0xc00000e5 fait partie d’une série d’erreurs d’application qui empêchent les utilisateurs de lancer et d’utiliser différentes applications sur leur PC. Il est généralement associé à un message d’erreur indiquant que “l’application n’a pas pu démarrer correctement“.
Dans d’autres cas, ce code erreur peut aussi être associé à des problèmes de démarrage de périphérique visible dans le gestionnaire de périphériques.

Ce guide présente les méthodes de dépannage qui peuvent permettre à vos applications de fonctionner à nouveau.

Comment corriger l'erreur 0xc00000e5 dans Windows

Quelles sont les causes de l’erreur 0xc00000e5 sous Windows ?

Le code d’erreur 0xc00000e5 apparaît pour de nombreuses raisons, mais voici les plus courantes :

  • Un logiciel antivirus tiers, en particulier ceux de Comodo et d’AVG, bloque l’exécution de l’application, estimant qu’il s’agit d’une menace (faux positif)
  • Plusieurs programmes antivirus sont exécutés simultanément et des conflits entre eux provoquent l’erreur.
  • Windows Defender ou une autre application antivirus tierce bloque l’un des fichiers dont l’application a besoin pour fonctionner, ce qui l’empêche de fonctionner correctement
  • Certains fichiers système dont l’application que vous ouvrez a besoin sont inaccessibles.
  • Votre antivirus agit de manière anormale en raison d’une infection par un logiciel malveillant, bloquant même des applications et des processus dont l’exécution est tout à fait sûre
  • Pilotes matériels incompatibles : Des pilotes de matériel incompatibles peuvent provoquer une instabilité du système et faire apparaître le code d’erreur 0xc00000e5

Suivez les solutions suivantes pour résoudre ce problème.

Comment corriger l’erreur 0xc00000e5 dans Windows

Mettre l’application en exception sur votre Antivirus

Si vous ne voulez pas désactiver Windows Defender (ou un autre antivirus) chaque fois que vous voulez exécuter l’application, vous pouvez l’ajouter en tant qu’exclusion. Vous éviterez ainsi les faux positifs pour vos logiciels de confiance.

Chaque antivirus fonctionne différemment, de sorte que l’ajout d’une exclusion varie d’un logiciel à l’autre. La procédure suivante montre comment ajouter une exception dans le cadre de la sécurité Windows. Vous pouvez consulter la documentation d’assistance de votre suite de sécurité sur l’ajout d’exclusions.

Par exemple sur Windows Defender :

  • Double-cliquez sur l’icône bouclier en bas à droite de l’écran
  • Cliquez sur la protection contre les virus et menaces dans Sécurité Windows en bas à droite de l’écran en bas à droite dans la zone de notifications de Windows 10, 11
  • Puis dans Paramètres de protection contre les virus et menaces, cliquez sur Gérer les paramètres
  • Déroulez la fenêtre pour trouver les Exclusions
  • Puis cliquez sur Ajouter ou supprimer des exclusions
  • Laissez vous guider pour autoriser l’élément dans l’antivirus intégré de Windows
Windows Defender : ajouter une exception

Désinstaller les logiciels de sécurité

Les logiciels de sécurité peuvent parfois perturber le fonctionnement de l’ordinateur et être à l’origine de message d’erreur.
Si vous avez un antivirus tiers installés, il peut être la source de l’erreur 0xc00000e5 car il va bloquer l’exécution de l’application, par exemple dans le cas d’un faux positif.

Il est recommandé de tester l’exécution de l’antivirus en désactivant les protections ou en désinstallant ce dernier.
En général, il suffit de faire un clic droit sur l’icône de l’antivirus en bas à droite de l’écran > Protection > Désactiver la protection en temps réel.
Plus de détails dans ce guide : Comment désactiver son antivirus

Comment désactiver Avast!

Exécuter l’application en administrateur

Si le problème de l’application n’est pas lié à Windows Defender ou à un autre logiciel de sécurité, vous pouvez exécuter l’application en tant qu’administrateur. Cependant, l’exécution de l’application avec des droits élevés permet d’accéder aux fichiers système restreints dont elle a besoin pour fonctionner.

  • Faites un clic droit sur le raccourci ou l’exécutable
  • Puis “Exécuter en tant qu’administrateur
Comment exécuter une application en administrateur sur Windows 10 ou 11 depuis un raccourci

Vous pouvez aussi forcer l’exécution d’une application en administrateur.
Pour ce faire :

  • Faites un clic droit sur le raccourci
  • Puis Propriétés
  • Cliquez ensuite sur le bouton Avancé
  • Puis activer l’option Exécuter en tant qu’administrateur.
Comment exécuter une application en administrateur sur Windows 10 ou 11

Une autre teste que vous pouvez essayer, si cela touche une application spécifique est d’exécuter l’application en mode sans échec : Comment démarrer Windows en mode sans échec
Si c’est le cas, quelque chose être en conflit en mode normal, tentez de trouver la source.

Mettre à jour les pilotes

Via le gestionnaire de périphériques

via Windows Update depuis le gestionnaire de périphériques de Windows 10/11 :

  • Faites un clic droit sur le menu Démarrer ou utilisez le raccourci clavier + X
  • Puis gestionnaire de périphériques. Plus d’informations : Comment ouvrir le gestionnaire de périphériques sur Windows
  • Déroulez et cliquez sur le matériel et périphérique que vous souhaitez mettre à jour
  • Faites un clic droit dessus puis Mettre à jour le Pilote
  • Ensuite, choisissez rechercher un pilote sur mon ordinateur
  • Windows Update vérifie alors si de nouveaux pilotes sont disponibles et les installe automatiquement dans le système
Mettre à jour le pilote depuis le gestionnaire de périphériques

Automatiquement avec DriversCloud ou Snappy Driver Installer

La page suivante récapitule toutes ces méthodes pas à pas pour mettre à jour les pilotes de périphériques :

Réparer les fichiers systèmes manquants ou endommagés

Pour réparer les fichiers systèmes de Windows 10 ou Windows 11, on utilise les utilitaires SFC (vérificateur de fichiers systèmes) et DISM.
Ces deux outils s’utilisent en invite de commandes.

Dism /Online /Cleanup-Image /CheckHealth
DISM - réparer les images de Windows 10
  • Puis enchaînez avec une vérification et réparation des fichiers corrompus et manquants avec l’outil SFC. Pour cela, saisissez :
sfc /scannow

Laisse le vérificateur de fichiers systèmes analyser Windows 10 ou Windows 11.
Enfin si des fichiers systèmes sont corrompus, SFC tente de les réparer.

sfc scannow - le vérificateur de fichiers systèmes de Windows 10

Plus de détails dans l’article suivant :

Tester l’exécution de l’application en mode sans échec

Le mode sans échec est un mode restreint et limité de Windows où l’essentiel du système est actif.
C’est un bon moyen pour tester si quelque chose provoque des conflits ou des problèmes de fonctionnement.
Vous pouvez tester l’exécution l’application en mode sans échec.
Pour démarrer dans ce mode : Comment démarrer Windows en mode sans échec

Si cela fonctionne, démarrez en mode minimal — Le but est de désactiver les applications non essentiels pour parvenir à déterminer celle qui pose problème

Solutions générales

Si aucun des correctifs ci-dessus n’a permis de résoudre votre problème, essayez les solutions générales suivantes :

  • Exécutez une analyse chkdsk pour vous assurer que les secteurs défectueux du disque ne sont pas à l’origine de l’erreur
  • Maintenez votre système d’exploitation Windows à jour : Paramètres > Windows Update > Rechercher les mises à jour

En dernier lieu, demandez de l’aide gratuite sur le forum : Comment demander de l’aide sur le forum

Liens

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git clone : utilisation et exemples

Par : malekalmorte
28 avril 2024 à 14:14

Git est un système de contrôle de version distribué, conçu pour suivre les modifications dans les fichiers et coordonner le travail sur ces fichiers entre plusieurs personnes

git clone est une commande Git utilisée pour créer une copie d’un dépôt distant sur votre machine locale. Elle télécharge essentiellement l’ensemble du dépôt, y compris tous ses fichiers, ses branches et l’historique des livraisons.
Vous pouvez en avoir besoin pour récupérer un dépôt public sur GitHub ou si vous êtes un développeur pour obtenir une copie d’un projet.

Dans ce tutoriel, je vous explique comment utiliser la commande git clone.

Comment cloner un dépôt git

Comment cloner un dépôt git

Voici la syntaxe générale de la commande git clone :

git clone <repository_URL>

Par exemple, si vous voulez cloner un dépôt hébergé sur GitHub, vous utiliserez :

git clone git://github.com/<nom dépôt>.git

Cette commande créera un nouveau répertoire sur votre machine locale avec le même nom que le dépôt et téléchargera tout son contenu dans ce répertoire.

Comment cloner un dépôt git

Si vous souhaitez spécifier un nom de répertoire différent, vous pouvez le faire en l’ajoutant comme argument supplémentaire après l’URL du dépôt :

git clone <dépôt_URL> <nom_repertoire>
Comment cloner un dépôt git

Comment cloner un dépôt, y compris ses sous-modules (récursif)

Un submodule (sous-module) est un référentiel Git intégré à un autre référentiel Git plus large. Lorsque vous clônez un référentiel qui contient des sous-modules, ces sous-modules sont initialement configurés pour pointer vers une version spécifique (commit) dans leur référentiel d’origine.

Si vous souhaitez cloner un dépôt git tout en clonant également ses sous-modules, vous devez ajouter l’option –recurse-submodules :

git clone --recurse-submodules git://github.com/<nom dépôt>.git

Si vous souhaitez cloner et mettre à jour les sous-modules à leur dernière révision, ajoutez la commande –remote-submodules.
Celle-ci va mettre à jour les sous-modules d’un référentiel pour pointer vers les dernières révisions disponibles dans leurs référentiels distants. Cela signifie qu’au lieu de pointer vers une révision spécifique (commit) dans le même référentiel parent, les sous-modules pointeront vers les révisions les plus récentes de leur référentiel distant.

git clone --recurse-submodules --remote-submodules <repo-URL>
git submodule init 
git submodule update

Comment cloner une branche spécifique

Pour cloner une branche spécifique avec Git, vous pouvez utiliser la commande git clone suivie de l’URL du référentiel, puis vous pouvez spécifier la branche que vous souhaitez cloner en utilisant l’option -b ou –branch suivi du nom de la branche.

Voici la syntaxe générale :

git clone -b <URL_du_référentiel>

Par exemple, si vous souhaitez cloner la branche develop d’un référentiel, vous pouvez utiliser la commande suivante :

git clone -b develop https://github.com/utilisateur/nom_du_repos.git

Cela va cloner le référentiel et basculer automatiquement sur la branche develop après le clonage. Si vous ne spécifiez pas la branche à cloner, Git clonera automatiquement la branche par défaut, souvent master ou main , selon la configuration du référentiel.

Si vous avez déjà cloné le référentiel et que vous souhaitez basculer vers une branche spécifique après le clonage, vous pouvez utiliser la commande git checkout après avoir cloné le référentiel :

git clone https://github.com/utilisateur/nom_du_repos.git
cd nom_du_repos
git checkout

Cela va cloner le référentiel et basculer sur la branche spécifiée après le clonage.

Comment cloner un dépôt à distant par SSH

Vous pouvez aussi cloner un dépôt distant disponible par SSH.
Voici la syntaxe générale :

git clone ssh://[email protected]/<utilisateur>/<nom dépôt>.git

Pour cloner un dépôt distant avec un chemin absolu :

git clone ssh://[email protected]/chemin/absolu/vers/repo.git/

Et par un chemin relatif :

git clone [email protected]:relative/chemin/vers/repo.git/

Lorsque vous git clone, git fetch, git pull ou git push vers un référentiel distant à l’aide d’URL SSH, vous êtes invité à entrer un mot de passe et vous devez fournir la phrase secrète de votre clé SSH. Pour plus d’informations, consultez « Utilisation des phrases secrètes de clé SSH ».

Liens

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Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur (Docker) sur Linux avec Dockurr

Par : malekalmorte
27 avril 2024 à 08:07

Pour utiliser Windows dans Linux, vous avez la solution VirtualBox.
Mais grâce à Dockurr, nouveau projet open source, vous pouvez exécuter Windows à l’intérieur d’un conteneur Docker sans avoir à franchir de nombreuses étapes.
De plus, le conteneur fournit une connexion VNC et RDP notamment accessible par un simple navigateur internet.
Enfin les performances sont bonnes grâce à l’accélération KVM (Kernel Virtual Machine).

Dans ce tutoriel, je vous guide pour exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur Linux (Docker) avec Dockurr.

Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur (Docker) sur Linux avec Dockurr

Qu’est-ce que Dockurr?

Dockurr est un projet libre et gratuit qui permet d’exécuter des installations de bureau Windows client et Windows Server dans un environnement de conteneur Docker. Il vous permet également de le faire sur un hôte Docker Linux qui ne pourrait normalement exécuter que des conteneurs Linux. En utilisant l’accélération KVM, il vous permet d’exécuter des conteneurs Windows sur un hôte de conteneur Linux sans avoir besoin d’installer et de démarrer Docker Desktop ou d’autres problèmes de compatibilité qui sont typiques avec le mélange de systèmes d’exploitation entre Linux et Windows.

Il fournit également une connexion VNC au conteneur pendant le processus d’installation. Il vous permet également de vous connecter via le protocole de bureau à distance (RDP) à l’installation Windows exécutée dans Docker.

Quelles sont les configurations de distribution Windows prises en charge ?

  • Windows 11 Pro
  • Windows 10 Pro
  • Windows 10 LTSC
  • Windows 8.1 Pro
  • Windows 7 SP1
  • Windows Vista SP2
  • Windows XP SP3
  • Windows Server 2022
  • Windows Server 2019
  • Windows Server 2016
  • Windows Server 2012 R2
  • Windows Server 2008 R2
  • Tiny 11 Core
  • Tiny 11
  • Tiny 10

Installer la machine virtuelle à noyau (KVM)

Dans un premier temps, Docker doit être installé sur votre appareil en Linux.
Si ce n’est pas le cas, vous pouvez consulter ce guide : Comment installer Docker sur Linux
Ensuite, vous devez installer KVM (Kernel Virtual Machine) et qemu :

  • Exécutez la commande suivante à partir de la ligne de commande pour installer KVM. Assurez-vous d’être root ou de faire partie du groupe d’utilisateurs sudo :
sudo apt install libvirt-clients libvirt-daemon-system libvirt-daemon virtinst bridge-utils qemu-system qemu-kvm
  • Validez par O et laissez les paquets s’installer
Installer la machine virtuelle à noyau (KVM) dans Linux

Télécharger Dockurr dans un conteneur et lancer Windows dans un conteneur Docker

Après avoir installé KVM sur notre hôte Docker Linux, nous pouvons maintenant lancer le conteneur Docker appelé Dockurr, qui utilise l’isolation de KVM.
Deux manières sont possibles, par docker run ou par docker compose.

La méthode docker run est la plus automatisé et rapide. Voici comment faire :

  • Dans mon cas, j’ai du passer la commande suivante pour autoriser les sockets Docker à être utilisé par les utilisateurs Linux
sudo chmod 666 /var/run/docker.sock
  • Vous pouvez utiliser la commande docker run à partir de l’interface de commande de docker pour exécuter le conteneur :
docker run -it --rm --name windows -p 8006:8006 --device=/dev/kvm --cap-add NET_ADMIN --stop-timeout 120 dockurr/windows
Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur Linux (Docker) avec Dockurr

La méthode par docker compose vous permet de modifier le fichier de configuration si vous souhaitez installer une autre version de Windows ou modifier la configuration du réseau (voir fin de ce guide).
Voici comment faire :

  • Cloner le dépôt Git :
git clone https://github.com/dockur/windows.git
  • Modifiez le fichier compose.yml si besoin (voir plus bas)
  • Puis exécutez le conteneur :
cd windows
docker-compose up -d
Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur Linux (Docker) avec Dockurr

L’image de Windows se télécharge puis l’installation de l’OS s’effectue.

  • Après avoir utilisé les commandes ci-dessus pour installer la solution Dockurr, vous pouvez vous connecter au conteneur sur votre hôte de conteneur en vous connectant à votre hôte de conteneur dans un navigateur sur le port 8006 pour l’accès à l’interface utilisateur.
  • Lorsque vous démarrez la configuration de conteneur par défaut, elle tire une image Docker Windows 11. Notez l’exemple de configuration Docker compose ci-dessous :
Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur Linux (Docker) avec Dockurr
  • Ensuite une phase d’extraction du fichier win11x64.esd
  • Puis l’image de Windows 11 est construire
Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur Linux (Docker) avec Dockurr
  • Ensuite qemu exécute l’installeur de Windows 11, la copie de fichiers s’effectuent
Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur Linux (Docker) avec Dockurr
  • Une fois l’installation terminée, l’utilisateur se connectera automatiquement en utilisant le nom d’utilisateur docker
Exécuter Windows, Tiny11, Tiny10 dans un conteneur Linux (Docker) avec Dockurr

Voila, Windows s’exécute dans un conteneur Docker.

Ici nous utilisons le navigateur internet pour se connecter via VNC, mais vous pouvez aussi prendre la main sur Windows par RDP, avec par exemple le bureau à distance.
Le port utilisé est celui par défaut, à savoir le port 3389.

Exécuter différentes images du système d’exploitation Windows dans Docker

Comme mentionné en introduction, plusieurs versions de Windows sont supportés.
Par défaut, c’est Windows 11 qui est installé, mais vous pouvez modifier la partie suivante du fichier compose.yml pour changer la version de Windows :

environment:
VERSION: "win11"

Vous pouvez utiliser les désignateurs suivants dans la variable d’environnement pour indiquer la version de Windows que vous souhaitez lancer (win11, win10, ltsc10, win7, etc.) dans la liste d’informations ci-dessous :

ValeurDescriptionSourceTransfertTaille
win11Windows 11 ProMicrosoftRapide6,4 Go
win10Windows 10 ProMicrosoftRapide5,8 Go
ltsc10Windows 10 LTSCMicrosoftRapide4,6 Go
win81Windows 8.1 ProMicrosoftRapide4,2 Go
win7Windows 7 SP1Bob PonyMoyen3,0 Go
vistaWindows Vista SP2Bob PonyMoyen3,6 Go
winxpWindows XP SP3Bob PonyMoyen0,6 Go
2022Windows Server 2022MicrosoftRapide4,7 Go
2019Windows Server 2019MicrosoftRapide5,3 Go
2016Windows Server 2016MicrosoftRapide6,5 Go
2012Windows Server 2012 R2MicrosoftRapide4,3 Go
2008Windows Server 2008 R2MicrosoftRapide3,0 Go
core11Tiny 11 CoreArchive.orgLent2,1 Go
tiny11Tiny 11Archive.orgLent3,8 Go
tiny10Tiny 10Archive.orgLent3,6 Go
Les versions de Windows supportées par Dockurr
Exécuter Tiny11 dans un Docker Linux

Outre les versions de Windows que vous pouvez installer par défaut, vous pouvez également utiliser des images personnalisées pour vos supports Windows. Il suffit de définir l’emplacement web de l’ISO personnalisée de Windows comme suit :

environment:
  VERSION: "https://exemple.com/win.iso"

Vous pouvez également utiliser directement un fichier local et éviter le téléchargement en le liant de cette manière à votre fichier de composition :

volumes:
  - /home/user/example.iso:/storage/custom.iso

Personnaliser la configuration du conteneur

Vous avez la possibilité de modifier la configuration de l’hôte Windows.

Configurer le réseau

Par défaut, les conteneurs utilisent un réseau ponté qui utilise l’adresse IP de l’hôte Docker. Cependant, selon les détails de la documentation.
Si vous souhaitez connecter vos conteneurs Windows à un réseau spécifique en production, vous pouvez le faire avec une configuration supplémentaire.
Vous pouvez changer cela manuellement :

docker network create -d macvlan \
--subnet=192.168.0.0/24 \
--gateway=192.168.0.1 \
--ip-range=192.168.0.100/28 \
-o parent=eth0 vlan

Ensuite, votre fichier Docker compose peut utiliser ce nouveau réseau en le modifiant comme suit :

services:
  windows:
    container_name: windows
    ..<snip>..
    networks:
      vlan:
        ipv4_address: 192.168.0.100
networks:
  vlan:
    external: true

Modifier le CPU, mémoire et taille disque

Enfin pour modifier le nombre de CPU et la taille de la mémoire, modifiez la partie environnement du fichier de configuration :

environment:
RAM_SIZE: "8G"
CPU_CORES: "4"
DISK_SIZE: "256G"

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