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City Game Studio – Créez votre studio de jeux vidéo !

Par : Korben
22 mai 2024 à 17:36

Vous rêvez de créer votre propre studio de développement de jeux vidéo ?

Avec City Game Studio, plongez-vous dans la peau d’un entrepreneur qui lance son premier studio de développement dans les années 70 et faites-le prospérer jusqu’à aujourd’hui ! Vous devrez gérer tous les aspects de votre entreprise, du recrutement au game design en passant par le marketing. Alors bien sûr, au début, vous travaillerez dans un tout petit bureau en solo, puis avec une équipe réduite, mais au fur et à mesure que vous enchaînerez les succès, vous pourrez agrandir vos locaux, embaucher plus de monde et améliorer vos jeux qui deviendront des AAA, forcément ^^.

L’un des aspects les plus excitants de City Game Studio est de pouvoir concevoir vos propres jeux de A à Z. Vous choisissez un genre (RPG, FPS, plateformes…), un thème (médiéval, sci-fi, horreur…) puis vous créez un gameplay avec vos propres graphismes… et plus vous progresserez, plus vous débloquerez de nouvelles fonctionnalités pour réaliser des jeux toujours plus impressionnants.

Même si vos jeux sont exceptionnels (qui en doute ?), au départ vous n’aurez pas assez de fans pour les sortir vous-même. Il faudra donc faire appel à des éditeurs qui prendront une grosse part des bénéfices. Pour vous libérer de cette contrainte, vous devrez enchainer les succès et vous constituer une communauté de joueurs fidèles. Ensuite, vous pourrez alors proposer vos propres contrats d’édition et dominer le marché (et vous faire construire une villa avec piscine !).

City Game Studio se distingue par sa profondeur dans le gameplay et son look très léché. C’est développé par Binogure Studio en utilisant le moteur de jeu Godot, et ça mélange tout ce qu’on aime, à savoir le tycoon du développement de jeux vidéo et de la simulation de gestion de ville.

Évidemment, pour réussir, il est essentiel de prendre soin de vos employés. Un bon repas dans un restaurant chic boostera le moral et la créativité. Vous pouvez aussi les envoyer en formation pour qu’ils gagnent en compétence. Et si un de vos rivaux vous vole vos meilleurs éléments, vous pouvez contre-attaquer en débauchant les siens ! Bref, c’est la guerre pour devenir le leader du jeu vidéo mais ce côté bien être des employés est vraiment sympa et certains studios IRL feraient bien se s’en inspirer.

A télécharger sur :

Voici quelques conseils pour réussir dans le jeu :

  • Soyez à l’affût des nouvelles tendances : genres en vogue, technologies innovantes… Surfez sur la vague pour booster vos ventes.
  • Soignez votre réputation : vos jeux reçoivent de superbes critiques ? Affichez-les fièrement dans vos locaux pour impressionner les visiteurs !
  • Espionnez les jeux de vos concurrents : comme ça, vous saurez ce qu’ils préparent et pourrez les battre en sortant un hit similaire avant eux.
  • Optimisez les compétences de vos équipes : un bon level designer peut sauver un jeu avec un scénario faible. Un graphiste talentueux pourra transformer une médiocrité en une œuvre vidéoludique remarquable.

Notez qu’en tant qu’ancien employé d’Ubisoft, Xavier Sellier, le fondateur de Binogure Studio et lecteur assidu de Korben.info, a consacré ces 5 dernières années à développer ce jeu qui a recueilli près de 90% de critiques positives sur Steam. Bravo mec ! D’ailleurs, pour vous remercier d’avoir lu cet article jusqu’au boulot, je vous offre, enfin Xavier vous offre (merci !!) une clé Steam pour son jeu.

Les 4 clés ont été remporté ! Bravo à Yohan, Sylvain, Nico et Rémi ! J’en ai 4 à vous offrir et ça passe par mail. Envoyez moi un message à korben at korben.info et les 4 premiers à m’écrire recevront une licence offerte par Binogure. Et si je vous répond pas, c’est que c’est trop tard (et que vous êtes trop nombreux à m’avoir écrit donc que je croule sous les messages).

Bonne chance et amusez-vous bien dans votre conquête de l’industrie du jeu vidéo !

Reverse engineering de Choplifter, le classique de l’Apple II

Par : Korben
21 mai 2024 à 09:56

Vous avez déjà entendu parler de Choplifter ? Non, c’est PÔ PÔSSIBLE puisque c’est l’un des jeux vidéo les plus mythiques de l’Apple II ! Sorti en 1982, année glorifiée par ma naissance, ce classique de Dan Gorlin a marqué toute une génération de gamers avec un gameplay novateur et son scrolling horizontal révolutionnaire pour l’époque.

Pour mieux comprendre l’importance de Choplifter, il faut connaître un peu l’histoire de l’Apple II. Cette série d’ordinateurs, commercialisée de 1977 à 1993, a vu la création de centaines de milliers de logiciels, dont des dizaines de milliers de jeux. Parmi tous ceux là, seuls quelques-uns sont alors vraiment marquants, et Choplifter figure assurément en tête de liste aux côtés d’autres classiques comme Lode Runner. Ce qui est particulièrement impressionnant avec ce jeu, c’est sa longévité puisqu’il est resté l’un des meilleurs jeux sur Apple II pendant seize ans, malgré la sortie de jeux étonnants comme Knights of Legend et Space Rogue vers la fin de la vie de cette machine.

Mais comment cet œuvre a-t-elle été codée ?

C’est la question que s’est posée Quinn Dunki, développeuse et hackeuse de talent qui armée de ses outils et de sa curiosité, elle s’est lancée dans une rétro-ingénierie complète de Choplifter, pour en décortiquer les mécanismes internes et percer tous ses secrets ! Elle a donc passé 8 semaines intenses à désassembler, analyser et commenter le code source de ce jeu culte.

La première chose qui saute aux yeux, c’est avant tout l’incroyable prouesse technique réalisée par Dan Gorlin à l’époque. Rappelons qu’on est en 1982, l’Apple II est encore jeune, les outils de développement sont rudimentaires et malgré tout cela, ce génie a réussi à tirer le maximum de la machine en exploitant astucieusement ses capacités graphiques et sonores. Choplifter intègre des innovations folles pour l’époque : des sprites animés pixel par pixel, de la rotation et de l’inclinaison des hélicos en temps réel, un scrolling horizontal fluide et des collisions parfaitement gérées. Tout cela avec un processeur 8 bits cadencé à 1 MHz et 48 Ko de RAM, vous vous rendez compte ?

Une autre prouesse du jeu est la qualité de son game design. Dan Gorlin a passé un temps fou à peaufiner le gameplay, à équilibrer la difficulté et à rendre le pilotage fun et accessible. Les mécanismes sous le capot sont d’une finesse incroyable et Quinn a pu retracer les choix et les astuces du développeur, tel que son système de vecteurs pour passer les paramètres aux fonctions et ses algorithmes de tri des entités pour gérer le rendu dans le bon ordre.

Parmi les découvertes les plus étonnantes, on trouve un moteur 3D maison que Dan avait commencé à coder pour gérer la rotation des sprites. Oui, de la 3D sur Apple II en 1982 ! Bien que cette fonctionnalité n’ait pas été utilisée dans la version finale, elle témoigne de l’avant-gardisme du dev.

En plus de décortiquer le code, Quinn a également réussi l’exploit de recompiler le jeu pour obtenir un binaire à l’octet près identique à l’original. Elle a même découvert un petit bug dans les listes chaînées que Dan cherchait probablement à l’époque!

Pour les passionnés de technologie et de culture geek que vous êtes, je vous invite à découvrir les coulisses d’un monument du jeu vidéo et à vous familiariser avec le développement 6502 old-school en allant lire l’autopsie de Choplifter sur le blog de Quinn Dunki. C’est un voyage fascinant dans l’univers de la programmation des années 80.

Le code source complet de Choplifter est également sur GitHub.

Jailbreakez votre PS4 avec une simple TV LG !

Par : Korben
16 mai 2024 à 15:01

Jailbreaker une PS4, ça vous paraît compliqué ? Je suis sûr que vous pensez qu’il faut un matériel compliqué et des compétences de hacker pour y arriver ? Et bien détrompez-vous ! Vous pouvez maintenant le faire avec un outil des plus improbables : votre TV LG !

Alors tout d’abord, il faut préciser que vous aurez besoin d’un modèle Smart TV LG webOS relativement récent et qu’avant de pouvoir bidouiller votre PlayStation, il faudra rooter votre TV ! Et oui, il va falloir commencer par cracker le système de votre télé mais c’est un jeu d’enfant grâce à ce petit guide bien pratique.

Une fois votre TV libérée, délivrée de ses chaînes, vous allez pouvoir y installer le fameux outil qui va faire des miracles : PPLGPwn. Cet astucieux programme s’appuie sur une faille baptisée PPPwn et adaptée pour les TVs LG par Zauceee et xfangfang.

Ensuite, il vous suffit de relier votre PS4 et votre TV LG par un simple câble Ethernet, et simplement en lançant l’exploit depuis la TV et en demandant à la console de configurer le réseau en PPPoE, votre PlayStation sera automatiquement jailbreakée !

Avouez que c’est quand même balèze de faire ça avec une simple télé.

Bien sûr, certains geeks vous diront qu’il existe d’autres techniques pour craquer une PS4 sans passer par l’électroménager (les possesseurs de TV LG en PLS ^^). Mais vous avouerez que la méthode a le mérite d’être originale et amusante en plus d’impressionnez vos potes…

Et avec ça, vous allez pouvoir installer des homebrews, lancer des backups, et euuh… Bref, faire les 400 coups sur votre PS4 ! Mais toujours avec sagesse et modération, hein ?

Qui parmi vous aurait cru, qu’un jour, on se servirait d’une TV pour contourner la sécurité d’une console ? Faut croire en ses rêves mes amis, faut croire en ses rêves…

Source

RetroArch débarque sur iPhone, iPad et Apple TV

Par : Korben
16 mai 2024 à 07:13

Attendez une petite seconde… Vous me dites que je peux transformer mon iPhone et mon Apple TV en Super Nintendo? En PlayStation? En Sega Master System ?? Incroyable ! Et oui mes petits rétro gamers, c’est désormais possible grâce à l’arrivée tant attendue de RetroArch sur l’App Store !

Pour ceux qui débarquent, c’est un programme qui vous permet de jouer à tous vos jeux rétro préférés sur une seule plateforme. Grâce à son système de « cores », vous pouvez émuler différentes consoles et retrouver vos jeux d’enfance sans problème.

Cette plateforme est open-source et multi-système et s’appuie sur l’API libretro pour fournir une interface uniforme pour l’émulation. Ce qui rend RetroArch unique, c’est son adoption de technologies modernes comme le support pour les shaders GPU avancés, le contrôle de taux dynamique, ou encore l’utilisation de l’API Vulkan pour un rendu graphique optimisé.

Depuis son lancement initial, RetroArch n’a cessé de se développer et de s’améliorer, supportant désormais un éventail impressionnant de plateformes : Windows, macOS, Linux, Android, iOS, tvOS ainsi que des consoles comme la PlayStation et la Xbox.

Parmi ses fonctionnalités, on retrouve :

  • Support avancé des shaders GPU
  • Contrôle de la fréquence dynamique pour synchroniser l’audio et la vidéo
  • Enregistrement vidéo avec FFmpeg
  • Interface de configuration automatique des gamepads
  • Netplay peer-to-peer pour jouer en ligne sans latence
  • Fonctionnalités avancées de sauvegarde et de rembobinage du gameplay
  • Superposition de boutons sur écran tactile
  • Thumbnails des jaquettes de jeux
  • Options pour réduire la latence d’entrée et audio
  • Interfaces utilisateur multiples comme CLI, XMB, GLUI et Ozone

L’émulation n’est pas sa seule spécialité puisque RetroArch englobe un large éventail d’applications, ce qui en fait une véritable toile pour les passionnés de rétro-gaming.

Pour la configuration et l’installation de RetroArch, c’est simple :

  1. Téléchargez RetroArch à partir de RetroArch.com. Ou si vous êtes sur un appareil Apple c’est par ici.
  2. Installez le logiciel en suivant les instructions spécifiques à votre système d’exploitation.
  3. Téléchargez et installez les cores (émulateurs) via RetroArch.
  4. Ajoutez vos ROMs en scannant votre répertoire de jeux.

Une fois configuré, vous pouvez également profiter de fonctionnalités avancées telles que les shaders pour améliorer les graphismes, ou encore la configuration de manettes personnaliser votre gameplay. Et pour ceux qui aiment jouer en ligne, RetroArch propose également une fonction Netplay, permettant de jouer à vos jeux rétro préférés avec vos amis, quel que soit leur lieu géographique.

Bref, n’attendez plus pour transformer votre iPhone, iPad, Apple TV, ou tout autre appareil compatible, en une véritable machine à remonter le temps du gaming. Pour plus de détails et de tutoriels, visitez le site officiel de RetroArch.

Amusez-vous bien !

Le marché gris des clés de jeux PC – Un voyage en zone trouble

Par : Korben
11 mai 2024 à 18:30

Je viens de regarder une chouette vidéo de Monsieur Plouf sur le marché de revente de clés de logiciels et jeux vidéos et comme j’ai appris pleins de trucs, et bien je la partage avec vous. Perso, je m’étais jamais intéressé au sujet plus que ça car je ne suis pas gamer mais je pensais quand même que c’était un truc réglo.

Alors, c’est quoi ce marché gris dont il parle ?

En gros, c’est un peu comme les brocantes du dimanche matin, sauf qu’au lieu de chiner des vieilles babioles, on chine des clés de jeux pas chères. Ces clés permettent d’activer un jeu sur une plateforme comme Steam et normalement, elles sont fournies par les développeurs ou les éditeurs. Mais sur le marché gris dont parle Monsieur Plouf, elles débarquent d’on ne sait où, revendues par ces sites un peu louches.

Kinguin, G2A, Instant Gaming… etc, vous les connaissez peut-être, ce sont les principaux acteurs du marché gris, et ils ne sont pas vraiment copains avec les développeurs ni les éditeurs car ils revendent des clés sans leur accord, et souvent à des prix défiant toute concurrence. Pour y parvenir, ces sites achètent en réalité des clés dans des pays où les jeux sont moins chers, genre en Argentine ou en Turquie, ou en récupère via des fuites diverses et variées pour les revendre partout ailleurs. Des combines pas très réglo que développeurs ne voient pas d’un bon œil.

Bref, si vous pouvez éviter, c’est mieux surtout que Steam est parti en guerre contre ça et risque de désactiver vos clés, donc autant être patient et attendre les soldes.

RomM – Le gestionnaire de ROMs des retro gamers sérieux

Par : Korben
9 mai 2024 à 09:00

Vous galérez avec vos ROMs de jeux rétro éparpillées un peu partout sur votre PC ? Vous passez des heures à chercher le bon émulateur, les bons fichiers, les bonnes versions ? Et bien tout ça c’est fini, grâce à RomM qui est un gestionnaire de ROMs vraiment cool.

Vous lui indiquez le répertoire qui contient tous vos jeux, et hop, en quelques clics, il scanne et organise tout ce bordel avec les bonnes infos et les jolies jaquettes qu’il va récupérer direct sur IGDB. RomM gère surtout un paquet de plateformes comme la Super Nintendo, la PlayStation, la GameBoy, la MegaDrive et même des trucs plus obscurs comme le PocketStation.

Ce outil vous permet même lancer vos jeux directement dans le navigateur grâce à EmulatorJS comme ça, pas besoin d’installer 50 émulateurs, tout est intégré, propre et facile. C’est beau !

C’est également super customisable, avec support des ROMs en plusieurs fichiers pour les jeux PS1, parsing des tags des noms de fichiers pour classer par région, gestion des permissions et des utilisateurs…etc Bref, c’est du solide !

Et si vous êtes un gros noob, pas de panique, c’est pas sorcier de l’installer. Vous créez votre clé API IGDB, vous mettez vos ROMs dans le bon format de dossier, vous modifiez deux trois trucs dans le fichier docker-compose.yml et voilà, en deux temps trois mouvements vous aurez votre serveur qui tourne ! Sur le NAS par exemple, c’est top comme ça plus de galère, plus de temps perdu, juste le plaisir du jeu à l’ancienne.

Le mec derrière RomM a même fait un wiki très complet sur le GitHub du projet.

A découvrir ici !

Encore merci à Lorenper !

Test de l’Anbernic RG353M – Votre compagnon rétro-gaming de poche !

Par : Korben
25 mai 2024 à 08:35

— Article rédigé par l’ami Lilian — Contient des liens affiliés Amazon —

Soirée rétro-gaming ce soir ?

Si comme moi vous ne savez pas choisir quel émulateur, quelle console ou encore quels jeux, j’ai ce qu’il vous faut : la console portable Anbernic RG353M s’occupe de tout.

Anbernic est une marque de rétrogaming qui date de 2017, basée en Chine. Elle sort environ 4-5 appareils par an. Ils se sont fait une assez bonne réputation dans ce milieu car la marque est très fiable et produit des consoles de très bonne qualité.

C’est une console de 14 x 7 cm pour 230 grammes environ, avec un CPU RK3566 Quad-Core 64 bit Cortex-A55 et 2GB de RAM DDR4. Une batterie qui dure environ 7 heures, un port USB-C pour charger et un écran IPS multi-touch de 3,5 pouces avec angle de vue complet, d’une résolution max 640*480.

Elle prend en charge le Bluetooth pour connecter une manette ou un casque par exemple et un port micro-HDMI pour la connecter à un écran externe est également présent. Elle dispose aussi de 2 emplacements pour micro SD. Son boîtier en aluminium m’a agréablement surpris de par sa prise en main (avec 2 grips en caoutchouc à l’arrière) et la souplesse des sticks directionnels.

Elle est aussi multilingue et a des haut-parleurs de très bonne qualité pour sa petite taille ainsi qu’une bonne vieille prise jack. Les 2 emplacements pour micro SD s’expliquent par la présence de 2 OS (un système Android sur la mémoire interne et un système Linux sur la première carte SD). La deuxième carte sert à stocker les ROMs.

Le logiciel phare de cette console est bien sûr RetroArch, qui est open source et qui permet d’émuler plein de jeux rétro, mais si vous n’êtes pas convaincus, vous pouvez installer des systèmes d’exploitation alternatifs comme ArkOS ou encore Recalbox.

Sur cette console, j’ai adoré jouer à Mario Bros ou encore Pokémon Rouge qui, tous deux, tournaient sans aucun lag ni ralentissement. Mais attention, si vous voulez vous frotter à des jeux PSP par exemple, aucun problème si vous tournez à 30 FPS, mais par contre à 60 FPS, ça devient un peu bancal et aléatoire.

Bien évidemment, on ne peut pas jouer à des jeux récents comme par exemple à Mario Odyssey sur Switch… c’est une console retrogaming quand même ^^ !

Moyennant finance, Anbernic peut livrer en option avec la console, une carte SD de 64 gigas remplie de jeux, mais malheureusement, ils sont exclusivement en anglais.

Le mode Linux est très complet pour jouer et ne sert qu’à ça. Par contre, le mode Android est plus polyvalent. Je l’utilise pour regarder des vidéos sur YouTube, lire des livres ou encore écouter des audiobooks ou de la musique. Et on peut uniquement ajouter des applis en APK (pas de PlayStore sauf si vous la rootez, désolé).

Ce qui est cool, c’est qu’elle est aussi disponible sous d’autres form factors, du genre de celui de la Game Boy ou de la PSP par exemple.

Franchement, j’ai adoré l’emmener partout avec moi et jouer à des classiques de la DS ou de la Nintendo 64. Pour les vacances cet été, ça va être le top ! Par contre, pour certains jeux, je trouve que les contrôles sont un peu petits, mais en les re-mappant dans l’émulateur, on peut retrouver un peu de confort.

La console est dispo sur Amazon à environ 220€.

Sopwith – Le jeu d’avion rétro culte fête ses 40 ans !

Par : Korben
3 mai 2024 à 09:38

Sopwith, ce nom ne vous dit peut-être rien, mais ce petit jeu d’avion rétro vient tout juste de souffler ses 40 bougies ! Pour l’occasion, je vous propose donc un petit voyage dans le temps, direction 1984.

À l’époque, les ordis avaient encore une drôle de tête. L’IBM PC, sorti 3 ans plus tôt, était le roi de la jungle informatique et c’est dans ce contexte que David L. Clark, un programmeur de génie chez BMB Compuscience, a pondu Sopwith. Le concept était simple mais diablement efficace : vous pilotez un biplan vu de côté, comme dans les bons vieux scrolling shooters, et vous devez exploser un max d’ennemis.

Jusque-là, rien de bien original… Mais Sopwith avait plus d’un tour dans son sac ! Déjà, le jeu était jouable en réseau, via un système appelé Imaginet. Une vraie prouesse technique pour l’époque et niveau gameplay, c’était top puisque le coucou pouvait lâcher des bombes pour démolir les bâtiments ennemis, exécuter des figures aériennes du feu de dieu pour semer ses adversaires, et même récolter des power-ups pour upgrader son arsenal. Le tout avec une maniabilité aux petits oignons et des graphismes hauts en couleurs pour l’époque.

Résultat des courses, Sopwith est vite devenu un classique sur les IBM PC de l’époque. Les geeks s’arrachaient littéralement le jeu, au point que des copies pirates ont commencé à circuler sous le manteau. D’ailleurs, BMB Compuscience n’a jamais vraiment cherché à le commercialiser, préférant s’en servir comme vitrine technologique.

Et vous savez quoi ? 40 ans après, Sopwith est toujours là !

Grâce à SDL, un clone open source du jeu a pu voir le jour et vous pouvez y jouer directement dans votre navigateur ou sur votre Windows, macOS, Linux, BeOS…etc. Et je peux vous dire que les sensations sont intactes et le plaisir de jeu aussi. Si j’abusais, je dirais que ce jeu n’a pas pris une ride. Mais je n’abuse jamais, je sais rester raisonnable comme garçon.

Bref, si vous voulez replonger dans la grande époque des jeux rétro ou simplement découvrir un morceau d’histoire du jeu vidéo, foncez sur Sopwith. C’est gratuit et c’est fun, et si vous voulez en savoir plus sur l’histoire fascinante de ce jeu culte, jetez un œil à cette page rétrospective sur les 40 ans de Sopwith

Un Konami Code dans Castlevania Legacy of Darkness sur Nintendo 64

Par : Korben
24 avril 2024 à 19:42

Vous pensiez connaître Castlevania sur le bout des doigts ? Eh bien 25 ans après la sortie de Castlevania: Legacy of Darkness sur notre bonne vieille Nintendo 64, des petits malins ont déniché un tout nouveau code Konami planqué dans les entrailles du jeu.

Ce code Konami est une vraie petite bombe puisqu’il déverrouille d’un coup TOUS les personnages et leurs costumes alternatifs, et ce dès le début de l’aventure ! Fini de devoir se farcir le jeu deux fois pour accéder à Henry et Carrie. Là c’est open bar direct, et ça change complètement la donne !

Moises et LiquidCat, deux fans passionnés du jeu, ont également déniché deux autres codes bien sympathiques. Le premier remplit entièrement votre inventaire, peu importe le héros que vous incarnez. Fini la galère pour trouver des potions et des équipements, vous voilà paré pour latter du vampire en claquant des doigts. Le second code, disponible uniquement dans les versions japonaise et européenne, booste votre arme au max et vous file un stock de joyaux dont même Picsou serait jaloux. De quoi rendre votre quête bien plus funky !

Pour activer ces codes, rien de plus simple :

  1. Ouvrez le jeu et sélectionnez le mode histoire.
  2. Tapez le code en doublant les inputs du code Konami classique : Up, Up, Down, Down, Left, Right, Left, Right, B, A, Start.
  3. Utilisez les boutons directionnels et A/B de votre manette N64.
  4. Appuyez sur Start pour confirmer l’activation.
  5. Enjoy ! Vous pouvez maintenant jouer avec tous les persos dès le début.

Codes bonus pour les plus curieux :

  • Inventaire au max : Up, Up, Down, Down, Left, Right, Left, Right, B, A, Start (x2)
  • Arme boostée et argent illimité (versions PAL/JPN uniquement)

Alors certes, dit comme ça, ça peut sembler un poil cheaté mais ça fait un quart de siècle que ce jeu nous nargue avec ses secrets, donc ça va, y’a tolérance. En plus, avouons-le, ces codes tombent à pic pour (re)découvrir cet opus culte car s’il y a bien un reproche qu’on pouvait faire à Legacy of Darkness, c’était ce côté un peu prise de tête avec un seul personnage jouable au début. Un choix curieux qui pouvait rebuter certains joueurs. Mais grâce à ce code Konami providentiel, ce problème est relégué aux oubliettes ! Vous pouvez enfin profiter des cinq perso et de leurs capacités uniques sans vous prendre le chou.

Alors si vous aussi vous avez une Nintendo 64 qui prend la poussière dans un coin (ou un émulateur), c’est le moment ou jamais de ressortir Castlevania: Legacy of Darkness et de tester ces fameux codes.

Source

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