X11 ou X Window System est un système de fenêtrage pour les systèmes Unix et Unix-like qui fournit les bases pour la création d’interfaces graphiques. Voici une liste des commandes courantes associées à X11, accompagnée d’une brève description de chacune.
Commandes de base X11
Commande
Description
startx
Lance une session X depuis la ligne de commande
xauth
Gère les autorisations d’accès au serveur X
xclock
Affiche une horloge analogique ou numérique sur l’écran
xinit
Démarre le serveur X et exécute une commande spécifique (souvent utilisé pour des tests ou des environnements X personnalisés)
xdpyinfo
Affiche des informations sur l’affichage X, y compris les résolutions supportées et les extensions disponibles.
xeyes
Affiche une paire d’yeux qui suivent le mouvement du curseur. Principalement un jouet ou un exemple de programme X
xinput
Gère les périphériques d’entrée comme les claviers, souris et tablettes graphiques.
xkill
Permet de fermer une fenêtre X en cliquant dessus
xprop
Affiche et définit les propriétés des fenêtres X
xrandr
Utilisé pour gérer les écrans, les résolutions et les orientations dans X11
xrdb
Gère la base de données des ressources X, permettant de modifier des paramètres comme les couleurs et les polices des applications X
xset
Configure diverses options utilisateur dans X, comme la répétition de touches, l’économie d’énergie du moniteur, et plus encore
xterm
Un émulateur de terminal standard pour le système X Window
xwininfo
Affiche des informations détaillées sur les fenêtres X
xdm/gdm/kdm/lightdm
Gestionnaires d’affichage pour X11 qui offrent une interface de connexion graphique (X Display Manager, GNOME Display Manager, KDE Display Manager, et Light Display Manager respectivement)
Commandes associées à la gestion des fenêtres et des écrans
Commande
Description
xclip
Interface en ligne de commande pour le gestionnaire de presse-papiers X
xev
Outil de débogage qui affiche les événements X reçus par une fenêtre
xmessage
Affiche une boîte de dialogue simple avec un message texte
xmodmap
Modifie les tables de mappage du clavier dans X
xvfb
Serveur X virtuel qui permet de lancer des applications X sans affichage physique. Utile pour les tests et les environnements de serveur sans tête
Commandes pour la gestion des sessions et des autorisations
Commande
Description
xauth
Gère les autorisations d’accès au serveur X
xfs
Démarre le serveur de polices X, qui fournit des polices aux applications X
xhost
Contrôle l’accès au serveur X en ajoutant ou supprimant des noms d’hôte ou des adresses
Commandes pour le développement et le débogage
Commande
Description
xlogo
Affiche le logo X Window. Principalement utilisé comme exemple ou test
xsetroot
Modifie les propriétés de la fenêtre racine, comme la couleur d’arrière-plan
xdotool
Simule les entrées clavier et souris, utile pour l’automatisation
xwd
Capture une image d’une fenêtre et la sauvegarde dans un fichier
Utilitaires et outils divers
Commande
Description
xkbcomp
Compile les descriptions de clavier XK
xload
Affiche une fenêtre graphique avec l’utilisation de la charge système
xlsfonts
Liste les polices disponibles sur le serveur X
xsetpointer
Sélectionne l’appareil à utiliser comme pointeur X
xsetroot
Définit les attributs de la fenêtre racine, comme la couleur d’arrière-plan
Sur Linux, il arrive parfois que l’on peut avoir besoin de récupérer le PID d’un processus à partir d’une fenêtre active sur X11. Par exemple, la fenêtre ne répond plus et vous souhaitez utiliser la commande kill pour arrêter le processus.
Dans ce tutoriel, je vous donne deux méthodes avec xprop et wmctrl pour trouver le processus à partir d’une fenêtre dans Linux.
Comment trouver le d’un processus à partir de sa fenêtre sur Linux
avec xprop (Méthode 1)
L’utilitaire xprop permet d’afficher les propriétés des fenêtres et des polices dans un serveur X en cliquant simplement dessus. On peut récupérer toutes sortes d’informations et notamment le PID.
Depuis un terminal, passez la commande suivante :
xprop | sed -nre 's/(WM_NAME\(STRING\)|_NET_WM_PID\(CARDINAL\)) =(.*)/\2/p'
Puis cliquez sur la fenêtre en question.
Le titre et le PID du processus lié à la fenêtre s’affiche
Voici une autre variante de la commande qui renvoie aussi les informations du processus via l’utilitaire ps :
xprop _NET_WM_PID | sed 's/_NET_WM_PID(CARDINAL) = //' | ps `cat`
Enfin, plus simple pour retourner que le PID du processus d’une fenêtre :
xprop | awk '/PID/ {print $3}'
Comme la commande n’est pas simple à retenir, vous pouvez créer un alias. Pour cela :
Éditez le fichier ~/.bashrc avec votre éditeur de texte favoris
Ajoutez l’alias suivant :
alias pf='xprop | sed -nre "s/(WM_NAME(STRING)|_NET_WM_PID(CARDINAL)) =(.*)/\2/p"'
Ouvrez un nouveau terminal, dorénavant utilisez la commande pf pour récupérer le PID d’une fenêtre
avec wmctrl (Méthode 2)
wmctrl est une commande qui peut être utilisée pour interagir avec un gestionnaire de fenêtres X compatible avec la spécification EWMH/NetWM. wmctrl peut demander des informations au gestionnaire de fenêtres et demander que certaines actions de gestion de fenêtres soient effectuées. On peut très facilement récupérer des informations d’une fenêtre active.
L’utilitaire n’est pas installée par défaut, vous devez donc l’installer avec le gestionnaire de paquets de votre distributions Linux. Par exemple avec APT :
sudo apt install wmctrl
Puis utilisez les options -l (Liste des fenêtres gérées par le gestionnaire de fenêtres et -p (pour obtenir le PID)
wmctrl -lp
La première colonne contient toujours l’identité de la fenêtre sous la forme d’un entier hexadécimal, et la deuxième colonne contient toujours le numéro du bureau (un -1 est utilisé pour identifier une fenêtre collante). Puis le PID, nom de l’ordinateur et le titre de la fenêtre s’affiche.
La commande winsat (Windows System Assessment Tool) est un outil intégré à Windows qui permet d’évaluer les performances de différents composants matériels du système, tels que le processeur, la mémoire, le disque dur, et la carte graphique. Il a été introduit pour la première fois dans Windows Vista et est inclus dans toutes les nouvelles versions de Windows depuis lors, y compris Windows 10 et Windows 11. Le fichier exécutable de l’outil, winsat.exe, se trouve dans le dossier system32 du dossier System32.
Dans ce tutoriel, je vous apprends à utiliser la commande winsat avec de nombreux exemples.
Quelle est la syntaxe de winsat
Winsat doit être exécuté depuis un utilisateur appartenant au groupe Administrateurs local (ou équivalent). De plus, vous devez utiliser une invite de commandes en administrateur.
Voici la syntaxe de la commande :
Winsat <évaluation> <paramètres>
Winsat peut effectuer plusieurs évaluations, chacune avec ses propres paramètres. Les principales évaluations que l’outil peut effectuer sont énumérées ci-dessous.
Evaluations
Description
formal
Effectue une évaluation complète
cpu
Teste du processeur
mem
teste la mémoire
disk
teste les dispositifs de stockage connectés
d3d
évalue les capacités d’application Direct 3D
media
test des capacités des médias
mfmedia
Évaluation de Windows Media Foundation
features
Exécute l’évaluation des caractéristiques
dwm
Exécute l’évaluation du gestionnaire de bureau Windows
prepop
Résultats d’évaluation WinSAT pré-populsés
Les tests de performances de winsat
Vous pouvez adjoindre des options et paramètres liés à l’évaluation. Voici aussi les paramètres globaux qui fonctionnent pour tous les tests.
Paramètres
Description
-v
Envoyer une sortie verbeuse à STDOUT, y compris des informations sur l’état et la progression. Les erreurs éventuelles seront également écrites dans la fenêtre de commande.
-xml <file name>
Enregistre le résultat de l’évaluation dans le fichier XML spécifié. Si le fichier spécifié existe déjà, il sera écrasé.
-idiskinfo
Enregistrer les informations sur les volumes physiques et les disques logiques dans la section de la sortie XML.
-iguid
Créer un identifiant unique global (GUID) dans le fichier de sortie XML.
-note “note text”
Ajouter le texte de la note à la section du fichier de sortie XML.
-icn
Inclure le nom de l’ordinateur local dans le fichier de sortie XML.
-eef
Énumère des informations supplémentaires sur le système dans le fichier de sortie XML.
Paramètres optionnels
Après avoir exécuté les commandes winsat, les résultats sont généralement stockés dans un fichier XML situé dans le répertoire C:\Windows\Performance\WinSAT\DataStore. Vous pouvez consulter ces fichiers pour obtenir des informations détaillées sur les performances de chaque composant testé.
A noter que l’utilitaire est aussi capable d’énumèrer les informations pertinentes sur le système avec l’option features :
winsat features
Comment utiliser winsat
Évaluer les performances du disque dur
winsat disk -drive c
Ces résultats donnent une indication sur les performances de lecture et d’écriture du disque dur. Vous pouvez analyser ces résultats pour comprendre comment différents aspects de votre disque dur se comportent sous différentes charges de travail.
Pour évaluer les performances d’écriture d’E/S séquentiels sur le lecteur C:, utilisez l’option -seq :
winsat disk -seq -write -drive d:
Avec l’option -ran, vous pouvez évaluer les performances d’écriture d’E/S aléatoires sur le lecteur C: :
winsat disk -ran -write -drive c
Paramètres
Description
-flush
Évalue les performances du disque en mode « flush » de la politique d’écriture. Ne peut être utilisé en combinaison avec -seq, -ran, -write ou -read.
-seq
Évalue les performances des entrées-sorties séquentielles. Ne peut être utilisé en combinaison avec -ran ou -flush.
-ran
Évalue les performances des entrées-sorties aléatoires. Ne peut être utilisé en combinaison avec -seq ou -flush.
-read
Évalue les performances de lecture. Ne peut être utilisé en combinaison avec -write ou -flush.
-write
Évalue les performances en écriture. Ne peut être utilisé en combinaison avec -read ou -flush.
-n <disk identification number>
Identifie par le numéro d’identification du disque physique le disque qui doit être évalué. Ne peut être utilisé en combinaison avec -drive.
-drive <drive letter>
Identifie par lettre de lecteur le disque qui doit être évalué. Ne peut être utilisé en combinaison avec -n.
Paramètres obligatoires
Paramètres
Description
-count <1-50>
Spécifiez le nombre d’itérations à effectuer. La valeur par défaut est 1.
-iocount <256-5000>
Indiquez le nombre d’opérations d’entrée-sortie qui seront effectuées pour l’évaluation. La valeur par défaut est 256.
-seqsize <65536-1048576>
Spécifier la taille des IO qui seront émises pour une évaluation séquentielle des IO en octets. La valeur par défaut est 65536. Les valeurs supérieures à 1 Mo utiliseront 1 Mo. Les valeurs qui ne sont pas alignées sur un secteur seront arrondies à la baisse pour être alignées sur un secteur, sauf si la valeur est inférieure à un secteur, auquel cas elle sera arrondie à la taille du secteur.
-ransize <16384-1048576>
Spécifier la taille des IO qui seront émises pour une évaluation aléatoire des IO en octets. La valeur par défaut est 16384. Les valeurs supérieures à 1 Mo utiliseront 1 Mo. Les valeurs qui ne sont pas alignées sur un secteur seront arrondies à la baisse pour être alignées sur un secteur, sauf si la valeur est inférieure à un secteur, auquel cas elle sera arrondie à la taille du secteur.
-v
Envoyer une sortie verbeuse à STDOUT, y compris des informations sur l’état et la progression. Les erreurs éventuelles seront également écrites dans la fenêtre de commande.
-xml <file name>
Enregistre le résultat de l’évaluation dans le fichier XML spécifié. Si le fichier spécifié existe déjà, il sera écrasé.
-idiskinfo
Enregistrer les informations sur les volumes physiques et les disques logiques dans la section de la sortie XML.
-iguid
Créer un identifiant unique global (GUID) dans le fichier de sortie XML.
-note “note text”
Ajouter le texte de la note à la section du fichier de sortie XML.
-icn
Inclure le nom de l’ordinateur local dans le fichier de sortie XML.
-eef
Énumère des informations supplémentaires sur le système dans le fichier de sortie XML.
Paramètres optionnels
Évaluer les performances du processeur
Évalue les performances du ou des processeurs en utilisant le cryptage et le décryptage ou la compression et la décompression. Vous devez spécifier le type de test.
Pour effectuer une évaluation à l’aide d’une compression Lempel-Zev :
winsat cpu -compression
Pour effectuer une évaluation à l’aide d’un chiffrement AES 256 bits :
winsat cpu -encryption
Paramètres
Description
-encryption
Effectuez la sous-évaluation du cryptage et du décryptage en utilisant des algorithmes cryptographiques AES 256 bits.
-encryption2
Exécutez la sous-évaluation du chiffrement et du déchiffrement en calculant un hachage SHA1.
-compression
Effectuez la sous-évaluation de la compression et de la décompression à l’aide d’un algorithme de Lempel-Zev.
-compression2
Exécutez la sous-évaluation de la compression et de la décompression à l’aide d’un algorithme de compression interne de Microsoft. Il s’agit du même algorithme que celui utilisé pour compresser le fichier d’hibernation et avec les technologies ReadyBoost et ReadyDrive.
Paramètres obligatoires
Paramètres
Description
-buffersize <n>
Définir la taille de la mémoire tampon pour l’évaluation. La taille minimale est de 4 K. La taille maximale est de 2 Mo. La valeur par défaut est de 16 Ko.
-data <file name>
Indiquer un fichier à charger dans la mémoire tampon en vue de son utilisation dans l’évaluation. Le fichier par défaut utilisé si aucun n’est spécifié est %SystemRoot%\system32\shell32.dll
-nbr <n>
Indiquer le nombre de régions tampons utilisées dans l’évaluation. La valeur par défaut est de 16 régions.
-brs <n>
Spécifier la taille des régions tampons utilisées dans l’évaluation.
Paramètres facultatifs
Évaluer les performances de la mémoire
Teste la largeur de bande de la mémoire du système d’une manière qui reflète les grandes copies de mémoire à mémoire tampon, telles qu’elles sont utilisées dans le traitement multimédia.
winsat mem
Pour exécuter l’évaluation pendant au moins 4 secondes et pas plus de 12 secondes, en utilisant une taille de mémoire tampon de 32 Mo et en enregistrant les résultats au format XML dans le fichier memtest.xml :
winsat mem -mint 4.0 -maxt 12.0 -buffersize 32MB -xml memtest.xml
Paramètres
Description
-up
Forcez le test de mémoire avec un seul thread. La valeur par défaut consiste à exécuter un thread par processeur physique ou cœur.
-rn
Spécifiez que les threads de l’évaluation doivent s’exécuter à une priorité normale. La valeur par défaut équivaut à une exécution à la priorité 15.
-nc
Spécifie que l’évaluation doit allouer de la mémoire et la marquer comme non mise en cache. Cet indicateur signifie que les caches du processeur sont ignorés pour les opérations de copie. La valeur par défaut équivaut à une exécution dans l’espace mis en cache.
-do <n>
Spécifie la distance, en octets, entre la fin de la mémoire tampon source et le début de la mémoire tampon de destination. La valeur par défaut est 64 octets. Le décalage de destination maximal autorisé est de 16 Mo. La spécification d’un décalage de destination non valide entraîne une erreur. Remarque : Zéro est une valeur valide pour <n>, mais pas les nombres négatifs.
-mint <n>
Spécifiez la durée d’exécution minimale en secondes de l’évaluation. La valeur par défaut est 2.0. La valeur minimale est 1.0. La valeur maximale est 30,0. Remarque : La spécification d’une valeur de -mint supérieure à la valeur -maxt quand les deux paramètres sont utilisés en combinaison entraîne une erreur.
-maxt <n>
Spécifiez la durée d’exécution maximale en secondes de l’évaluation. La valeur par défaut est 5.0. La valeur minimale est 1.0. La valeur maximale est 30.0. Si elle est utilisée en combinaison avec le paramètre -mint, l’évaluation commence à opérer des vérifications statistiques périodiques de ses résultats après la période spécifiée dans -mint. Si les vérifications statistiques réussissent, l’évaluation se termine avant l’expiration de la période spécifiée dans -maxt. Si l’évaluation s’exécute sur toute la durée de la période spécifiée dans -maxt sans satisfaire aux vérifications statistiques, l’évaluation se termine à ce moment-là et retourne les résultats qu’elle a collectés.
-buffersize <n>
Spécifiez la taille de mémoire tampon que le test de copie de mémoire doit utiliser. Le double de cette quantité sera alloué par processeur, ce qui détermine la quantité de données copiées d’une mémoire tampon vers une autre. La valeur par défaut est fixée à 16 Mo. Cette valeur est arrondie à la limite de 4 Ko la plus proche. La valeur maximale est de 32 Mo. La valeur minimale est 4 Ko. La spécification d’une taille de mémoire tampon non valide entraîne une erreur.
Évaluer les performances de la carte graphique pour Aero
Ce test simule les opérations de composition du Desktop Window Manager et produit une mesure du débit de la mémoire graphique (bande passante) en corrélation avec les performances de la composition du bureau.
winsat dwm
Paramètres
Description
-normalw <n>
Spécifie le nombre de textures utilisées pour représenter les fenêtres normales dans la simulation. Requis lorsque d’autres paramètres sont spécifiés.
-glassw <n>
Spécifiez le nombre de textures utilisées pour représenter les fenêtres en verre dans la simulation.
-time <n>
Indique en secondes la durée de l’évaluation. Obligatoire lorsque d’autres paramètres sont spécifiés.
-winwidth <n>
Spécifiez la largeur de la fenêtre en pixels. La valeur par défaut est 500.
-winheight <n>
Spécifiez la hauteur de la fenêtre en pixels. La valeur par défaut est 500.
-noupdate
Appeler le verrouillage et le déverrouillage de chaque fenêtre, mais ignorer la mise à jour de chaque pixel par l’unité centrale.
-nodisp
Spécifier que l’évaluation est dessinée sur une surface hors écran, de sorte que l’évaluation n’est pas visible pendant qu’elle est en cours d’exécution.
-nolock
Ignorer le verrouillage et le déverrouillage pour toutes les fenêtres. Cela signifie qu’il n’y a pas d’animation de fenêtre et que l’évaluation est entièrement liée au remplissage.
-width <n>
Spécifiez la largeur du bureau (écran) en pixels pour l’évaluation. La valeur par défaut est 1024.
-height <n>
Spécifiez la hauteur du bureau (écran) en pixels pour l’évaluation. La valeur par défaut est 768.
-fullscreen
Indique que le périphérique D3D doit être créé en mode plein écran. Par défaut, le périphérique D3D est créé en mode fenêtré.
Évaluer les performances de la carte graphique pour Direct3D
Évalue la capacité d’un système à exécuter des applications basées sur la technologie D3D, telles que les jeux :
winsat d3d
Vous pouvez spécifier la version de DirectX 10 ou DirectX 9 :
Winsat d3d -dx10
Winsat d3d -dx9
L’exemple suivant évalue les performances avec 20 sphères totales et 10 textures rendues à l’aide du shader alu, sans alpha blending du tampon arrière et en mode plein écran, pendant 10 secondes, en envoyant une sortie verbeuse sur stdout.
Les primitives utilisées dans l’évaluation sont des sphères. Le paramètre spécifie la quantification thêta et phi. L’augmentation de ce nombre entraîne un traitement plus important du shader. Plage de valeurs : [2, 180/taille du lot]
-sradius
Spécifie le rayon des sphères. Un rayon plus petit réduira le nombre de pixels dessinés pour cette sphère tout en gardant l’overhead de cette sphère constant. Plage de valeurs : [0.01, 8]
-totalobj
Nombre total de sphères dans la scène. Un grand nombre d’objets, combiné à une petite taille d’objet, donne une évaluation limitée au lot. Plage de valeurs : [0, 8]
-texw -texh
Largeur et hauteur des textures créées par l’évaluation sous la forme d’une puissance de 2. Plage de valeurs : [1, 12]
-totaltex
Nombre total de textures que WinSAT va créer. Si le nombre de textures est inférieur au nombre total d’objets nécessitant une texture, WinSAT réutilisera les textures de la scène. S’il y a plus de textures requises dans la scène, WinSAT itère sur la liste en utilisant autant de textures que nécessaire pour cette image. Cela signifie que toutes les textures seront finalement utilisées. Plage de valeurs : [0, 8]
-texpobj
Il s’agit du nombre de textures nécessaires au rendu de chaque sphère. Plage de valeurs : [0, 16]
-batchcnt
L’existence de lots importants réduit le temps de travail du conducteur et tend à limiter le taux de remplissage de l’application. À l’inverse, l’existence de nombreux petits lots entraîne une augmentation des frais généraux du conducteur. Plage de valeurs : [1, TotalObjs]
-time
Nombre de secondes nécessaires à l’exécution de l’évaluation. Plage de valeurs : [5, 8]
-out
Spécifie le chemin d’accès à un fichier dans lequel enregistrer les résultats ainsi que les arguments de WinSAT. Plage : string
-width -height
Largeur et hauteur de la fenêtre dans laquelle l’application s’exécute. Sous XP, il s’agit de la résolution de l’écran ; sous Vista, elle sera similaire, mais ne fonctionnera pas en mode exclusif. Plage : [256, 8] pour le mode fenêtré et les résolutions d’écran prises en charge par la carte pour le mode plein écran.
-vs <profile>
Force l’utilisation d’un profil de nuanceur de vertex particulier. L’évaluation n’est pas garantie de fonctionner correctement lorsqu’elle est forcée d’utiliser un modèle de nuanceur particulier.
-ps <profile>
Force l’utilisateur à utiliser un profil de nuanceur de pixels particulier. L’évaluation n’est pas garantie de fonctionner correctement lorsqu’elle est forcée d’utiliser un modèle de nuanceur particulier.
-fps <n>
En mode plein écran, limite la fréquence de rafraîchissement (images par seconde) à la fréquence la plus proche prise en charge par la carte.
-rendertotex <n>
Rendu en texture flottante . Simule un rendu de texture hors écran en plusieurs étapes. WinSAT passe par le nombre spécifié de cibles de rendu.
-rtdelta <n>
Lors d’un rendu avec des cibles de rendu, le delta définit jusqu’où l’évaluation ira dans le tampon circulaire de la cible de rendu pour définir une cible de rendu précédente en tant que texture. La valeur par défaut est 1.
-fullscreen
Spécifie que le périphérique D3D doit être créé en mode plein écran.
-noalpha
Désactive le mélange alpha du tampon arrière.
-NoDisp
Définit la fenêtre comme « non visible » afin que l’évaluation dessine sur une surface hors écran.
-texshader
Utilisez le shader de texture qui échantillonne jusqu’à 16 textures et les additionne au lieu du shader simple par défaut.
-alushader
Utilisez le shader alu qui charge jusqu’à deux textures et calcule une formule d’éclairage intensive au lieu du shader simple par défaut.
-fixedseed
Il s’agit d’ensemencer rand avec un nombre fixe afin d’effectuer plusieurs fois la même évaluation.
-nozwarming
Désactive le réchauffement du tampon z utilisé pour rendre les résultats cohérents pour les évaluations non alpha.
-ref
Force la rastérisation logicielle de l’évaluation. Cette option peut réduire la vitesse de l’évaluation.
-noetw
Désactive la traçabilité de l’ETW. Utilisez cette option si vous avez l’intention d’effectuer votre propre enregistrement ETW et que vous ne voulez pas que l’enregistrement s’arrête lorsque l’évaluation s’exécute.
-noclear
Désactive l’appel à l’effacement dans la fonction OnFrameRender.
Evaluer les performances du décodage vidéo
Pour évaluer les performances du décodage vidéo à l’aide du cadre de la Media Foundation.
winsat media
Évaluer les performances du décodage vidéo à l’aide du cadre de la Media Foundation :
winsat mfmedia
Paramètres
Description
-input <file name>
Obligatoire : Indiquez le fichier contenant le clip vidéo à lire ou à encoder. Le fichier peut être dans n’importe quel format pouvant être rendu par DirectShow.
-dumpgraph
Indiquer que le graphique de filtrage doit être enregistré dans un fichier compatible avec GraphEdit avant le début de l’évaluation.
-ns
Spécifier que le graphique filtrant doit s’exécuter à la vitesse de lecture normale du fichier d’entrée. Par défaut, le graphique filtrant s’exécute aussi vite que possible, sans tenir compte des temps de présentation.
-show
Lancer l’évaluation en mode décodage et afficher le contenu du fichier spécifié dans -input dans une fenêtre. Par défaut, l’évaluation n’affiche aucune fenêtre visible.
-play
Exécute l’évaluation en mode décodage et lit tout contenu audio fourni dans le fichier spécifié dans -input en utilisant le périphérique DirectSound par défaut. Par défaut, la lecture audio est désactivée.
-encode <PRX profile file name>
Réencode le contenu décodé du fichier spécifié dans -input à l’aide du codec Windows Media. Nom du fichier de profil PRX est le nom d’un fichier contenant le profil PRX qui configure l’encodeur. Ce profil est créé à l’aide de l’application Windows Media Profile Editor dans le jeu d’outils Windows Media Encoder.
Exécuter une évaluation complète du système
Vous pouvez aussi évaluer le système au complet en effectuant une série de test de performances. Pour cela, utilisez la commande suivante :
winsat formal
Le paramètre formel exécute un test complet de tous les composants de votre ordinateur et enregistre les résultats dans un fichier XML situé dans ce dossier : Windows/Performance/Winsat/DataStore Vous devez donc disposer d’un éditeur de fichiers XML
Comment visualiser les scores de performances de votre ordinateur
Vous pouvez consulter le fichier et voir les performances de votre ordinateur. De nouveau, à l’invite PowerShell (Admin) (figure C), saisissez l’une des commandes suivantes :
La barre de recherche de démarrage recherche les applications installées et vous donne les résultats Web. C’est à dire que dans les résultats de recherche, vous pouvez avoir une recherche WEB menant à des sites internet. Cependant, nous avons remarqué que la recherche Windows ne donne aucun résultat web, ce qui oblige à ouvrir un navigateur à chaque fois que l’on cherche quelque chose, ce qui nuit à la productivité. Dans cet article, je vous aide à résoudre ce problème.
Comment résoudre la recherche Windows qui ne donne aucun résultat WEB
Réactiver la recherche internet dans le registre Windows
En apportant quelques modifications au registre Windows, vous pouvez désactiver la recherche sur le web. Mais si ce n’était pas intentionnel, nous devrons vérifier si le registre est présent et y apporter les modifications nécessaires. Pour ce faire, ouvrez l’Éditeur de registre en le recherchant dans le menu Démarrer. Ensuite, naviguez jusqu’à l’emplacement suivant.
Recherchez DisableSearchBoxSuggestions, double-cliquez dessus et définissez sa valeur à 0.
Enfin, redémarrez votre système et vérifiez si le problème est résolu.
Redémarrez le service “Windows Search”
Une autre solution consiste à réinitialiser le service Windows Search qui peut provoquer des problèmes pendant la recherche de Windows. Voici comment faire :
@echo off
echo On arrête le service Windows Search
net stop wsearch
REG ADD "HKLM\SOFTWARE\Microsoft\Windows Search" /v SetupCompletedSuccessfully /t REG_DWORD /d 0 /f
echo On change les permissions
takeown /F "%ProgramData%\Microsoft\Search\Data" /A /R
rem icacls "%ProgramData%\Microsoft\Search\Data" /grant:r Utilisateurs:F /T
rem icacls "%ProgramData%\Microsoft\Search\Data" /grant:r administrateurs:F /T
echo On supprime l'indexation de fichiers
del "%ProgramData%\Microsoft\Search\Data\Applications\Windows\Windows.db"
echo On relance le service Windows Search
:wsearch
net start wsearch
IF NOT %ERRORLEVEL%==0 (goto :wsearch) ELSE goto :END
:END
Enregistrez le fichier sur le bureau sous le nom reinitialiser-index-fichiers.cmd
Fermez le bloc-notes
Puis allez sur le bureau de Windows
Faites un clic droit sur reinitialiser-index-fichiers.cmd et Exécuter en tant qu’administrateur
Le script batch va alors réinitialiser l’indexation des fichiers de Windows 11
Enfin, redémarrez votre ordinateur et vérifiez si le problème est résolu
Utiliser l’utilitaire de recherche et d’indexation
Le programme de dépannage Recherche et indexation répare automatiquement les problèmes de recherche Windows et peut résoudre le problème en question. Vous pouvez lancer le programme de dépannage à partir de la rubrique Obtenir de l’aide ou suivre les étapes mentionnées ci-dessous.
Une fois que l’utilitaire de dépannage apparaît, suivez les instructions qui s’affichent à l’écran et vous serez prêt à partir. Après avoir exécuté l’utilitaire de dépannage, vérifiez si le problème est résolu.
Reconstruire l’indexation de fichiers
Les index permettent à la base de données de fonctionner efficacement. La plupart des administrateurs de bases de données ont tendance à planifier la reconstruction des index afin de supprimer les anciens index et de les remplacer par de nouveaux. La recherche Windows fonctionne également avec une base de données locale pour rechercher des fichiers locaux. Nous allons reconstruire les index locaux parce que la recherche peut rester bloquée dans la boucle lorsqu’elle recherche du contenu local, ce qui signifie qu’elle ne commence même pas à rechercher du contenu Web. Pour reconstruire l’index de recherche, suivez les étapes ci-dessous.
Ouvrez les paramètres de Windows 10
Puis Rechercher
A gauche cliquez sur Recherche dans Windows
Tout en bas, cliquez sur Paramètres avancées de l’indexeur de recherche
Ouvrez les options d’indexation de fichiers
Puis cliquez sur Avancé
Ensuite cliquez sur Reconstruire
Confirmez en cliquant sur OK sur la fenêtre reconstruire l’index
Windows Repair
Windows Repair est un utilitaire gratuit qui permet de réparer des composants et fonctionnalités de Windows.
Windows Repair se lance automatique, acceptez les conditions d’utilisation
Toutefois, il est conseillé de faire les réparations en mode sans échec. Pour cela, en bas, cliquez sur Reboot To Safe Mode.. ou suivez ce guide complet : Redémarrez Windows en mode sans échec
Puis relancez Windows Repair
Cliquez sur l’onglet Réparation – Principal
La liste des type de réparation de Windows s’affiche : cliquez sur Préréglages : Réparations communes
Vous obtenez alors la liste ci-dessous, laissez les éléments cochés
Enfin cliquez en bas à droite sur Démarrer les réparations
L’opération se lance avec une succession d’étape… des fenêtres noires peuvent s’ouvrir ou se refermer
Laissez terminer, un message vous indique que la réparation Windows Repair est terminée
systemd-analyze peut être utilisé pour déterminer les statistiques de performance au démarrage du système et récupérer d’autres informations sur l’état et le suivi du système et du gestionnaire de services, ainsi que pour vérifier l’exactitude des fichiers unitaires.
Dans ce tutoriel, je vous montre comment mesurer le temps de démarrage Linux et trouver ce qui allonge le démarrage de votre appareil.
Introduction
Lorsqu’un système Linux est démarré, le processus de démarrage est géré par systemd. La première étape du processus de démarrage consiste à charger le noyau Linux, qui est le cœur du système d’exploitation. Une fois le noyau chargé, il initialise le matériel, puis lance le processus systemd, qui est le premier processus à s’exécuter sur le système.
À partir de là, systemd prend le relais et commence à lancer les autres services système nécessaires à la mise en route du système. Il s’agit notamment du service de mise en réseau, du gestionnaire de connexion et de tout autre service nécessaire au fonctionnement du système. Systemd démarre ces services en parallèle, plutôt que de manière séquentielle comme avec le système init traditionnel, ce qui permet au système de démarrer plus rapidement et d’être plus réactif.
Une fois que tous les services nécessaires ont été lancés, le système est prêt à être utilisé et le gestionnaire de connexion s’affiche, permettant à l’utilisateur de se connecter et de commencer à utiliser le système. Systemd continue de fonctionner en arrière-plan, en gérant et en contrôlant les services du système en fonction des besoins. Cela permet au système de rester stable et réactif même lorsque les services du système sont démarrés, arrêtés ou modifiés.
Cette commande affiche le temps passé dans le noyau avant que l’espace utilisateur ne soit atteint, le temps passé dans l’initrd avant que l’espace utilisateur du système normal ne soit atteint, et le temps que l’espace utilisateur du système normal a pris pour s’initialiser. Notez que ces mesures ne font que mesurer le temps passé jusqu’au moment où tous les services du système ont été lancés, mais pas nécessairement jusqu’à ce qu’ils aient terminé leur initialisation ou jusqu’à ce que le disque soit inactif.
systemd-analyze
Le temps de démarrage s’affiche de la manière suivante = 1min 10.363s
Startup finished in 6.324s (firmware) + 13.418s (loader) + 36.079s (kernel) + 14.541s (userspace) = 1min 10.363s graphical.target reached after 14.488s in userspace.
Mesurer le temps de démarrage de chaque service (unit) Linux
Pour connaître le temps de démarrage de chaque unit, ajoutez l’option critical-chain comme ceci :
systemd-analyze critical-chain
Cela imprime un arbre de la chaîne d’unités critiques en termes de temps (pour chacune des unités spécifiées ou pour la cible par défaut dans le cas contraire). L’heure à laquelle l’unité est active ou démarrée est imprimée après le caractère « @ ». Le temps nécessaire au démarrage de l’unité est imprimé après le caractère « + »
Créer un graphique d’analyse du processus de démarrage
L’utilitaire system-analyse peut aller encore plus loin en générant un graphique SVG, détaillant quels services système ont été démarrés à quelle heure, en mettant en évidence le temps qu’ils ont passé à l’initialisation, soit des données temporelles brutes au format JSON ou tableau. l’initialisation, soit les données temporelles brutes au format JSON ou tableau.
Pour créer un graphique SVG détaillant les services du système qui ont été démarrés et à quel moment, en indiquant le temps total passé à l’initialisation.
systemd-analyze plot >/tmp/bootup.svg
Cette commande génère un arbre de dépendance graphique. ne soit passé, le graphique généré graphique généré montrera à la fois les dépendances d’ordre et les dépendances d’exigences.
Obtenir les détails complet de chaque démarrage unit
Sans paramètre, cette commande produit une sérialisation (généralement très longue) lisible par l’homme de l’état complet du gestionnaire de service. Un modèle peut être spécifié, ce qui limite la sortie aux unités dont le nom correspond à l’un des motifs. Le format de sortie est sujet à des Le format de sortie est susceptible d’être modifié sans préavis et ne doit pas être analysé par les applications. Cette commande est limitée en taux pour les utilisateurs non privilégiés.
Trouver ce qui ralentit le démarrage du système
Cette commande permet d’afficher une liste de toutes les unités en fonctionnement, classées en fonction du temps qu’il leur a fallu pour s’initialiser. Ces informations peuvent être utilisées pour optimiser les temps de démarrage.
Vous pouvez alors désactiver les services non essentiels :
systemctl disable <nom du service>
systemctl mask <nom du service>
Commandes de system-analyse
Commande
Description
time
Indique le temps nécessaire au système pour que l’espace utilisateur soit entièrement chargé et initialisé (= jusqu’à ce que le système puisse être « utilisé »). La sortie est divisée en firmware, loader (= chargement de l’initrd), kernelanduserspace
blame
Produit une liste de toutes les unités de systemd en cours d’exécution, triées en fonction du temps dl’initialisation.
critical-chain
Indique le temps nécessaire au système pour que l’espace utilisateur soit entièrement chargé et initialisé (= jusqu’à ce que le système puisse être « utilisé »). La sortie est divisée en firmware, loader (= chargement de l’initrd), kernelanduserspace
plot
Trace les débuts du système sous la forme d’un diagramme au format SVG. Le temps est indiqué sur l’axe X du graphique et les unités sur l’axe Y. La sortie doit être directe dans un fichier redirigé vers, par exemple systemd-analyze plot > graph.svg.
dot
Génère un graphe de dépendance des unités au format point de Graphviz.
dump
Affiche en détail l’état de chaque unité chargée. Comme la liste est très longue – généralement plusieurs dizaines de milliers de lignes – la sortie doit être redirigée vers un fichier ou filtrée directement avec grep ou quelque chose de similaire.
verify [unitédate]
Vérifie l’exactitude de toutes les unités actives. Si un fichier d’unité est également spécifié dans UNITDATEI, seules cette unité et les unités nécessaires au démarrage de cette unité sont vérifiées. Pour ce faire, des droits d’accès à la racine sont requis.
Les vignettes ou miniatures de Windows 10 ou Windows 11 sont lentes à s’afficher ?
Windows affiche des vignettes d’images et de vidéos lorsque nous ouvrons un dossier. L’aperçu des vignettes des images nous aide à visualiser les images sans les ouvrir, ce qui nous permet de trouver l’image que nous recherchons sans l’ouvrir. Parfois, l’aperçu des vignettes se charge lentement. Dans ce guide, nous allons vous montrer ce que vous pouvez faire si les vignettes de Windows sont lentes à charger.
Comment accélérer l’affichage des miniatures d’images sur Windows
Vider le cache des vignettes et les autres fichiers temporaires
Les fichiers Windows Thumbnail cache ou Thumbs.db sont des fichiers de données cachés dans le système d’exploitation Windows, qui contiennent de petites images, affichées lorsque vous visualisez un dossier en mode “vignettes”, par opposition à l’affichage par tuiles, icônes, listes ou détails. Windows conserve une copie de toutes les vignettes de vos images, vidéos et documents afin de les afficher rapidement lorsque vous ouvrez un dossier.
La première étape consiste à supprimer le cache des vignettes sur votre système. Windows conserve une copie de toutes les vignettes de vos photos, vidéos et documents afin qu’elles s’affichent rapidement lorsque vous ouvrez un dossier. Si vous supprimez ces vignettes, Windows les recréera si nécessaire.
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + I
Allez dans Système > Stockage
Cliquez sur Fichiers temporaires
Assures-vous que Miniatures est coché, puis cliquez sur Supprimer les fichiers
L’étape ci-dessus supprimera les vignettes de votre système. Si vous souhaitez supprimer d’autres fichiers temporaires, vous pouvez également cocher ces cases.
Vous pouvez également utiliser ces commandes dans un CMD élevé pour supprimer et vider le cache des vignettes :
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Puis copiez/collez les commandes suivantes :
taskkill /IM explorer.exe /F
cd /d %userprofile%\AppData\Local\Microsoft\Windows\Explorer
attrib -h
thumbcache_*.db
del thumbcache_*.db
start explorer
Passer à un SSD
L’affichage des miniatures des images nécessitent des accès disque. Lorsque les images sont stockées sur un vieux disques dur HDD, notamment en 5400 tr/min, cela risque de prendre du temps. La meilleure solution pour accélérer le chargement des miniatures est de stocker vos images sur un SSD, bien plus rapide qu’un HDD. Pour vous y aider, suivez ce guide : Pourquoi installer un SSD sur son PC
Notez que les performances de votre disque peuvent être atténué si ce dernier rencontre des problèmes matériels notamment si des secteurs défectueux sont présents. Vous pouvez vérifier cela en suivant ce guide : Vérifier l’état et la santé du disque dur/SSD
Accélérer la vitesse de chargement des vignettes via l’éditeur de registre
Assurez-vous que le dossier Thumbnail Cache est sélectionné dans la partie gauche. Double-cliquez sur l’entrée Autorun sur le côté droit et entrez 0 dans ses données de valeur
Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications.
Fermez l’éditeur du registre et redémarrez votre ordinateur
La valeur par défaut est 3, vous pouvez remettre la valeur si cela pose des problèmes.
L’uptime est le temps de fonctionnement de votre système sans aucune interruption de service. Le temps de disponibilité est utilisé pour mesurer la stabilité et les performances du système. La vérification du temps de fonctionnement du système dans Windows facilite le débogage, la maintenance et la supervision.
Si vous souhaitez savoir la durée de fonctionnement de votre PC en Windows 10 ou Windows 11, suivez ces méthodes.
Connaître la durée de fonctionnement de son PC en Windows 10/11 (uptime)
Par les paramètres avancés du réseau
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + I. Sinon d’autres méthodes dans le tutoriel suivant : Comment ouvrir les paramètres de Windows 11
Puis allez dans Réseau et Internet
Tout en bas, cliquez sur Paramètres réseau avancés
Enfin consultez la ligne durée pour connaître la durée de fonctionnement de votre PC
Par le Panneau de configuration
Vous pouvez aussi connaître la durée de fonctionnement de votre PC par le statut de votre interface réseau depuis le Panneau de configuration.
Faites une recherche sur connexions réseau
Et ouvrez Afficher les connexions réseau
Vous pouvez ouvrir ce dernier directement par la commande ncpa.cpl.
Faites un clic droit sur votre interface réseau
Puis cliquez sur Statut
Enfin vérifiez la ligne Durée pour connaître l’uptime de votre PC
puis Gestionnaire des tâches. Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier CTRL+MAJ+ESC
Allez dans le menu Performances
Sur Processeur, en bas, vous avez la durée de fonctionnement
En invite de commandes
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Puis utilisez la commande suivante :
net statistics workstation
Si vous êtes sur un serveur, il faut utiliser la commande : net stats server
Saisissez la commande d’informations du système suivante en filtrant sur l’heure de démarrage du système :
systeminfo | find "Heure de démarrage du système"
En PowerShell
Enfin pour savoir la durée de fonctionnement de votre PC en PowerShell :
Appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
Windows 11 IoT Enterprise LTSC 2021 est une version de support étendue (LTSC (Long-Term Servicing Channel)). De plus, la configuration requise est moins restrictive notamment TPM et le démarrage sécurisé (Secure boot) ne sont pas obligatoires. Cela peut permettre à des PC qui ne répondent pas aux exigences de bénéficier de Windows 11, si des pilotes matériels compatibles sont disponibles.
Dans ce tutoriel, je vous donne toutes les étapes, pas à pas, pour réussir à Installer Windows 11 IoT Enterprise LTSC.
Comment installer Windows 11 IoT Enterprise LTSC
Créer la clé USB d’installation
Insérez dans votre PC une clé USB de 8 Go (minimum) et sauvegardez les données qui s’y trouvent
Cliquez sur ce lien pour récupérer l’image de Windows 10 Enterprise LTSC :
Windows 11 Entreprise LTSC 2021 (x64) (Français) - English
Ensuite dans Keyboard or input method, choisissez French standard AZERTY pour définir la disposition du clavier
Laissez l’option Install Windows 11 cochée
Cochez l’option I agree everything will be deleted including files, apps and settings
Puis vous devez saisir votre clé produit, si vous en avez pas, vous pouvez utiliser la clé produit démo suivante : PM6N-7J2WJ-P88HH-P3YRH-YY74H
Cliquez sur Accept pour accepter le contrat de licence
Sélectionnez l’espace non alloué et cliquez sur Next. Les utilisateurs confirmés peuvent créer le partitionnement de disque souhaité. En autre, depuis cette page, vous pouvez charger des pilotes supplémentaires
Copie des fichiers
Arrivé à cette étape, tout est prêt pour lancer l’installation de Windows 11
La copie de fichiers s’effectue, patientez
Puis l’ordinateur redémarre automatiquement et l’installation se poursuit
Premier démarrage et passer Windows 11 en Français
L’étape suivante consiste à paramétrer le système d’exploitation, notamment la région et localisation, la création d’un compte utilisateur et les paramètres OneDrive, Office, etc.
Une fois le paramétrage terminé, connectez vous au compte utilisateur
Le bureau de Windows 11 IoT Enterprise LTSC est accessible et l’installation est terminée
Voici comment passer le système en Français :
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Settings
A gauche, allez dans Time & Language
Cliquez sur à droite, sur le bouton bleu, Add language
Depuis la liste, cherchez et sélectionnez Français
Cliquez sur Next
Patientez pendant le téléchargement et l’installation du pack de langue
Enfin en haut dans Windows display language, choisissez Français
Fermez et relancez la session utilisateur pour passer Windows 11 complètement en Français
FAQ
Qu’est-ce que LTS dans Windows 11 ?
Les versions LTSC (Long-Term Servicing Channel) de Windows 10/11 Enterprise sont conçues pour offrir un support de mise à jour plus long (10 ans) et sont dépourvues de la plupart des applications du Store (UWP).
Quelle est la configuration requise ?
La configuration requise pour Windows 11 IoT Enterprise LTSC est moins exigeante. Dans le cas des spécifications optionnelles, une carte avec un BIOS suffit pour les deux versions, au lieu de l’UEFI. Le TPM est optionnel et le Secure Boot est également optionnel. On peut déjà le constater avec un matériel non pris en charge si l’on veut installer un ISO Windows 11 Enterprise.
Si l’on choisit l’ISO Enterprise « simple » pour l’installation, Windows se plaint que la configuration matérielle requise n’est pas remplie. Si l’on choisit l’IoT Enterprise, l’installation se déroule sans problème. Même en ce qui concerne les processeurs, Windows 11 24H2 IoT Enterprise est très peu gourmand. Un Intel Atom à deux cœurs (Elkhart Lake), par exemple, suffit.
Configuration minimale requise pour Windows 11 IoT Enterprise LTSC
Quelle est la différence entre Windows 11 Entreprise et Windows 11 IoT Entreprise
La seule différence entre IoT Enterprise LTSC et IoT Enterprise Subscription LTSC est que l’édition d’abonnement prend en charge une licence d’abonnement. Voici tout de même un comparatif.
Windows 10 GAC (General Availability Channel) atteindra la fin de son support le 14 octobre 2025. Donc, si votre matériel ne supporte pas Windows 11, vous pouvez utiliser Windows 10 IoT Enterprise LTSC 2021 car il est supporté jusqu’au 13 janvier 2032. En effet, LTSC signifiant (Long-Term Servicing Channel). Toutefois, vous aurez besoin d’une licence pour l’activer.
Dans ce tutoriel, je vous guide dans les étapes pour installer Windows 10 Enterprise LTSC sur votre PC à partir d’une clé USB d’installation
Comment installer Windows 10 IoT Enterprise LTSC
Créer la clé USB d’installation
Insérez dans votre PC une clé USB de 8 Go (minimum) et sauvegardez les données qui s’y trouvent
Cliquez sur ce lien pour récupérer l’image de Windows 10 Enterprise LTSC :
Sélectionnez la langue Française et cliquez sur Suivant
Puis cliquez sur Installer maintenant
Choisissez Windows 10 Entreprise LTSC comme système d’exploitation et passez à l’étape suivante
Windows 10 Entreprise NTLTSC inclut Windows Media Player
Cochez “J’accepte les termes du contrat de licence” et passer à l’étape suivante
Choisissez Personnaliser comme type d’installation
Sélectionnez l‘espace non allouée et cliquez sur Suivant. L’utilitaire de partitionnement se charge de créer les partitions de disques systèmes et principale sinon vous pouvez le faire manuellement
L’installation de Windows avec la copie de fichiers s’effectue
L’ordinateur va redémarrer pour continuer l’installation
Paramétrages et fin de l’installation
Puis vous arrivez à la phase de paramétrage où vous devez définir le nom de l’ordinateur, créer un compte utilisateur Windows et choisir les paramètres (OneDrive, Localisation, etc)
Ensuite connectez vous à votre compte utilisateur, pour terminer les paramétrage
Le bureau de Windows 10 est alors accessible
FAQ
Qu’est-ce que Windows 10 IoT Enterprise ?
Le système d’exploitation Windows 10 IoT Enterprise est une version complète de Windows 10 qui offre une facilité de gestion et une sécurité d’entreprise aux solutions IoT. Microsoft fournit des systèmes d’exploitation pour les appareils embarqués depuis des décennies. Windows 10 IoT Enterprise est le dernier né de la gamme des systèmes d’exploitation « embarqués » basés sur les principaux systèmes d’exploitation de Microsoft. Ces dernières comprennent l’apprentissage automatique, la prise en charge des conteneurs, une interface utilisateur naturelle et une connectivité simple à Azure IoT. Comme son nom l’indique, cette version de Windows dans les environnements IoT et industriels, dans le monde industriel pour un usage Points de vente (POS), Kiosques interactifs, intégré dans les systèmes embarqué, etc
En quoi Windows 10 IoT Enterprise est-il différent des autres éditions de Windows 10 ?
Windows 10 IoT Enterprise est fonctionnellement équivalent à Windows 10 Enterprise, qui est le système d’exploitation Windows le plus sécurisé, le plus facile à gérer et le plus productif de Microsoft notamment grâce aux fonctionnalités BitLocker, Secure Boot, Device Guard, et Credential Guard. La différence réside dans le fait que Windows 10 Enterprise fait l’objet d’une licence via Microsoft Volume (lié à l’utilisateur final au moment de l’achat) et Windows 10 IoT Enterprise est concédé sous licence directement aux constructeurs d’appareils IoT (OEM) et comprend des règles concernant les appareils à usage dédié. De plus, cette version de Windows est Long-Term Servicing Channel (LTSC) qui offre des mises à jour de sécurité et un support technique à long terme (jusqu’à 10 ans), idéal pour les dispositifs en production qui ne peuvent pas être souvent mis à jour.
Ma licence Windows 10 Home, Pro fonctionne-t-elle sur Windows 10 IoT Entreprise ?
Non, mes licences pour Windows 10 Home ou Pro ne sont pas compatibles avec Windows 10 IoT Enterprise et ne peuvent pas être utilisées pour activer cette édition du système d’exploitation. Pour acquérir une licence Windows 10 IoT Entreprise, vous devez être une entreprise ou fabricants de matériel (OEM). Bien entendu, on trouve des versions activées illégalement.
Vous souhaitez connaître la température de votre PC, ce qui est une bonne chose pour prévenir de baisse de performances ou d’instabilité. Toutefois, vous rencontrez un problème de lecture incorrecte de la température du processeur. Ce tutoriel examine les raisons possibles pour lesquelles la température affichée peut être incorrecte.
Pourquoi le CPU ou processeur donne-t-elle de fausses indications de température
Si la température du processeur affichée est anormalement élevée ou basse, plusieurs facteurs peuvent contribuer au problème, comme indiqué ci-dessous :
Overclocking incorrect du processeur : L’overclocking peut endommager le capteur de température du processeur, ce qui entraîne des lectures incohérentes et un enregistrement incorrect de la température du processeur.
Transfert thermique : La pâte thermique transfère la chaleur du cœur de l’unité centrale vers le dissipateur thermique, évitant ainsi la surchauffe. Toutefois, si elle n’est pas appliquée correctement ou si l’unité centrale est mal placée, des fentes d’air peuvent entraver le transfert de chaleur et entraîner des relevés de température incorrects.
Capteurs de l’unité centrale endommagés : Les capteurs de température des unités centrales ou les thermistances peuvent devenir imprévisibles ou bloqués sur une valeur spécifique s’ils sont endommagés, ce qui entraîne des enregistrements de température inexacts.
Logiciel défectueux utilisé pour vérifier la température : Plusieurs logiciels de contrôle de la température de l’unité centrale sont disponibles sur le marché, mais certains peuvent ne pas être fiables en raison de bogues. Ces bogues peuvent entraîner des relevés de température incorrects, ce qui conduit à des diagnostics erronés des problèmes du système et endommage le matériel. Vous trouverez des logiciels dans ce guide : Connaître la température de son PC (CPU, GPU, SSD et disque dur)
Corriger la lecture incorrecte de la température du processeur sous Windows
Vérifier les capteurs de l’unité centrale
Les capteurs de température de l’unité centrale surveillent, enregistrent et fournissent des données en temps réel sur le niveau de température de l’unité centrale. Pour s’assurer que les capteurs enregistrent la bonne température, ils doivent donc être en parfait état de fonctionnement. Ils sont généralement situés à côté de la prise du processeur, et nous pouvons les retirer avec précaution pour vérifier s’ils sont cassés ou endommagés.
Chaque capteur de l’unité centrale a généralement son propre emplacement physique et enregistre ses relevés. Par conséquent, si une boucle d’air est présente autour des capteurs, les relevés peuvent être incorrects sous son influence. Par exemple, dans la plupart des cas, le capteur CPU0 enregistre en permanence des températures plus élevées que le CPU1.
Vérifier le dissipateur et réappliquer la pâte thermique
La ré-application de la pâte thermique peut aider à transmettre correctement la chaleur du cœur de l’unité centrale au dissipateur thermique. De même, le fait de refixer le dissipateur thermique (un composant métallique qui touche physiquement l’unité centrale et dissipe la chaleur) peut garantir que la température reste dans le seuil autorisé, éliminant ainsi les risques d’enregistrement incorrect de la température.
Une autre solution que vous pouvez essayer est de réinitialiser le capteur de température du CPU. Voici les étapes à suivre :
Débranchez la connexion électrique et ouvrez le boîtier de l’ordinateur
Recherchez le capteur, qui se trouve généralement à proximité de la prise CPU de la carte mère
Retirez le capteur de son logement avec précaution et nettoyez-le à l’aide d’une brosse douce
Une fois nettoyé, remettez-le dans son logement
Ensuite rebranchez tous les câbles puis relancez votre ordinateur
Testez la température de votre ordinateur
Mettre à jour le BIOS
Enfin dans de rares cas, le BIOS de votre PC peut être en cause dans la mauvaise lecture des températures de votre ordinateur. Cela est essentiellement dû à un bug de la mauvaise gestion de l’énergie (ACPI) ou des captures de la carte mère. Mettre à jour le BIOS de votre PC peut aider à résoudre ce problème.
Undervolt : réduire ou ajuster la tension du processeur
L’abaissement de la tension de l’unité centrale peut exclure la possibilité d’une surchauffe de l’unité centrale. Si le processeur enregistre des températures anormalement élevées même après avoir abaissé la tension, cela indique que les capteurs sont endommagés. Par conséquent, les ajustements de tension, bien qu’ils ne résolvent pas le problème dans de tels cas, peuvent nous aider à identifier rapidement le problème réel. Consultez ce guide :
Lorsque l’on modifie la configuration de Linux notamment en rajoutant un service, on peut avoir besoin que ce service s’exécute après la mise en veille de l’appareil. Ce tutoriel vous guide dans les étapes pour créer un service qui se déclenche en retour de mise en veille.
Comment exécuter un service sur Linux après mise en veille
Éditez le fichier de configuration du service suivant
PowerShell est le nouveau shell de Windows qui permet aux administrateurs de passer toutes sortes de commandes sur Windows 10 et Windows 11. Il possède aussi des cmdlet pour gérer la base de registre Windows. Ainsi vous pouvez sans problème manipuler le registre Windows en PowerShell.
Grâce à ce tutoriel, vous allez comprendre comment créer, modifier, effacer des clés du registre Windows en PowerShell et bien plus.
Créer, modifier, effacer des clés du registre Windows en PowerShell
Afin de ne pas rencontrer des problèmes d’autorisations et permissions sous la forme de message d’accès refusé lors de la modification du registre Windows en Powershell, ouvrez ce dernier en administrateur. Pour cela :
Prenez l’habitude d’encadrer les clés du registre Windows avec des apostrophes car lorsqu’il y a un espace dedans, c’est obligatoire
Elle fonctionne avec les chemins HKLM, HCKU, etc
Lister une clé du registre Windows
Voici comment lister une clé du registre Windows en PowerShell. On utilise Get-Item avec le caractère * pour lister en récursif.
Get-Item -Path 'HKCU:\SOFTWARE\SysInternals\*'
Une autre méthode pour lister le contenu du registre Windows en PowerShell consiste à utiliser Get-childitem. Tout d’abord on se positionne sur la clé à lister avec Set-location :
Pour recherche une clé dans le registre Windows PowerShell, on utilise Get-childitem. Ici on recherche des valeurs Chrome dans HCKU (HKEY_CURRENT_USER) :
Les erreurs d’activation de Windows figurent parmi les problèmes les plus fréquents rencontrés par les utilisateurs. Ce problème est généralement lié au serveur d’activation de Windows, qui ne parvient pas à valider ou reconnaître la licence associée au compte numérique. Une erreur courante à laquelle les utilisateurs peuvent être confrontés : “Nous ne pouvons pas activer Windows sur cet appareil car nous ne pouvons pas nous connecter au serveur d’activation de votre organisation. Assurez-vous d’être connecté au réseau de votre organisation et réessayez. Si les problèmes d’activation persistent, contactez le service d’assistance de votre organisation. Code d’erreur 0x8007007B.”. Ce tutoriel fournit plusieurs solutions de dépannage afin de vous expliquer l’origine de ce problème et vous aider à résoudre cette erreur d’activation des produits Windows.
Nous ne pouvons pas activer Windows sur cet appareil car nous ne pouvons pas nous connecter au serveur de votre organisation
Le “serveur de votre organisation” dans le contexte de l’activation de Windows fait référence à un serveur de gestion de clés (KMS, Key Management Service) utilisé principalement par les grandes entreprises et les institutions pour activer en masse les copies de Windows sur leur réseau. Key Management Service (KMS) est une technologie d’activation de volume développée par Microsoft. Elle permet aux organisations d’activer les systèmes d’exploitation Windows et les produits Microsoft Office en interne, sans avoir besoin de contacter directement les serveurs d’activation de Microsoft pour chaque installation.
Lorsque vous voyez une erreur indiquant que Windows ne peut pas se connecter au serveur de votre organisation, cela signifie généralement que le système d’exploitation tente de contacter un serveur KMS d’entreprise pour l’activation, mais ne parvient pas à établir la connexion. Ce message d’erreur rencontré par un particulier peut se produire dans les cas suivants :
Vous tentez d’activer Windows illégalement à l’aide d’un utilitaire de crack tel que KMSPico / KMSAuto
Vous avez installé Windows Entreprise sur votre PC personnel et tenter d’activer avec une clé produit provenant d’une entreprise
Vous avez acheté une licence pas chère sur internet lié à des licences de volume. La référence à un serveur d’organisation signifie qu’il dispose d’une licence de volume qui n’est pas valable pour un utilisateur personnel et qui est souvent utilisée par un vendeur suspect pour activer Windows illégalement.
Comment résoudre le problème “Nous ne pouvons pas activer Windows sur cet appareil car nous ne pouvons pas nous connecter au serveur de votre organisation”
Enregistrer à nouveau la clé produit de Windows
Vous pouvez tenter à nouveau d’enregistrer la clé produit de Windows. Assurez-vous que vous disposez d’une connexion internet stable puis suivez ces étapes :
Sur votre clavier, appuyez sur les touches
+
R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Puis saisissez les commandes suivantes où #####-#####-#####-#####-##### est la clé produit
Si le message d’erreur à l’activation de Windows persiste, il est probable que votre clé produit ne soit pas valide.
Réparer le service d’activation
Ouvrez à nouveau une invite de commandes en administrateur
Copiez/collez les commandes suivantes :
net stop sppsvc
cd %windir%\ServiceProfiles\LocalService\AppData\Local\Microsoft\WSLicense
ren tokens.dat tokens.bar
net start sppsvc
cscript.exe %windir%\system32\slmgr.vbs /rilc
Puis redémarrez l’ordinateur et ré-enregistrer la clé produit Windows
Activer Windows par téléphone
Une autre solution est d’essayer d’activer Windows par téléphone car cela ne requiert aucune connexion au serveur d’activation.
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis saisissez la commande suivante :
slui.exe 4
Puis dans la liste, sélectionnez France (ou autre pays)
Ensuite cliquez sur Suivant
Téléphonez au centre d’activation de Microsoft avec le numéro indiqué gratuit ou pays
Puis indiquez l’ID d’installation (IID)
Puis saisissez le code retourné par le centre d’activation de Microsoft
Toujours impossible d’activer Windows ? Si vous avez acheté une licence pas chère sur internet, il est probable que celle-ci ne soit pas valide ou blacklistée par Microsoft. Contactez le vendeur pour lui demander une nouvelle clé produit. Si aucune réponse de sa part, il s’agit d’une arnaque.
Dans le cas d’un achat sur des plateformes telles qu’Amazon ou CDiscount, laissez un commentaire pour prévenir d’autres internautes. Tentez aussi de dénoncer le vendeur auprès de la plateforme.
Depuis Windows 10 et donc sur Windows 11, il est possible de monter un fichier ISO depuis l’Explorateur de fichiers. Malheureusement, dans certains cas, cela ne fonctionne pas. Le message d’erreur le plus courant est le suivant :
Impossible de monter le fichier Désolé, il y a eu un problème pour monter le fichier
Si vous rencontrez ces problèmes pour monter le fichier ISO, suivez les étapes de ce guide complet pour résoudre les problèmes d’accès au fichier ISO sur Windows.
Impossible de monter le fichier ISO sous Windows
Désactiver votre antivirus
Si votre antivirus détecte un fichier malveillant dans le fichier ISO, il va verrouiller ce dernier. A partir de là, Windows sera incapable de monter le fichier ISO. Pour vérifier cette hypothèse désactivez votre antivirus. En général, un clic droit sur l’icône depuis la zone de notification et désactiver la protection en temps réel ou désactiver l’agent de protection.
Pour désactiver la protection Windows Defender :
Ouvrez Sécurité en double-cliquant sur l’icône bouclier en bas à droite de l’écran, dans la zone de notification
Allez dans Protection contre les virus et les menaces
Sous Paramètres de protection contre les virus et les menaces, choisissez Gérer les paramètres,
Puis désactivez la case à cocher Protection en temps réel
Si le fichier ISO possède de mauvais attributs, cela peut être la source de problème pour accéder au contenu. Cela peut générer un message d’erreur d’accès refusé. Réinitialiser les attributs des fichiers ISO peut aider à corriger le problème.
Si vous rencontrez le message : Ce fichier provient d’un autre ordinateur et peut être bloqué pour protéger cet ordinateur. Débloquer le fichier comme ceci :
Faites un clic droit sur le fichier ISO
Puis Propriétés
En bas à droite, décochez l’option Débloquer
Copier le fichier ISO dans un autre emplacement
Dans certains cas, la solution la plus simple consiste à copier le fichier ISO à un autre endroit, puis à monter l’image. Si un fichier image ISO se trouve dans un dossier réseau partagé accessible par un chemin UNC, essayez de le copier sur votre ordinateur local.
Réinitialiser les paramètres du lecteur de CD/DVD dans le registre
Dans certains cas, les problèmes de montage des fichiers ISO dans Windows peuvent être dus à des paramètres incorrects pour le lecteur de CD/DVD (physique et virtuel). Vous pouvez réinitialiser les paramètres du périphérique CD dans le registre :
Si vous intéressez au fonctionnement des processus sous UNIX ou Linux, vous allez tôt ou tard confrontez aux signaux généralement au travers de la commande Kill. Les signaux sont des interruptions que l’on peut envoyer à un processus pour informer d’un évènement.
Dans ce tutoriel, je vous donne une définition des signaux UNIX/Linux, la liste des signaux et comment envoyer un signal à un processus.
Qu’est-ce qu’un signal dans UNIX ou Linux
Les signaux sont des notifications diverses envoyées à un processus afin de l’informer de divers événements “importants”. De par leur nature, ils interrompent ce que le processus est en train de faire, et l’obligent à les traiter immédiatement. Chaque signal possède un nombre entier qui le représente (1, 2, etc.), ainsi qu’un nom symbolique qui est généralement défini dans le fichier /usr/include/signal.h ou dans l’un des fichiers inclus par celui-ci directement ou indirectement (HUP, INT, etc.). Utilisez la commande “kill -l” pour obtenir la liste des signaux pris en charge par votre système).
Chaque signal peut avoir un gestionnaire de signal, qui est une fonction appelée lorsque le processus reçoit ce signal. La fonction est appelée en “mode asynchrone”, ce qui signifie qu’aucun code de votre programme n’appelle directement cette fonction. Au lieu de cela, lorsque le signal est envoyé au processus, le système d’exploitation arrête l’exécution du processus et le “force” à appeler la fonction de gestion du signal. Lorsque la fonction de gestion du signal revient, le processus poursuit son exécution là où il se trouvait avant la réception du signal, comme si l’interruption n’avait jamais eu lieu.
En quelques sortes, le signal visant un processus fonctionne comme une interruption (IRQ) pour le matériel. Le signal n’est rien d’autre qu’une interruption dans l’exécution du processus. Un processus peut se signaler lui-même ou provoquer le passage d’un signal à un autre processus. Ces interruptions (signaux) peuvent provenir de diverses sources, par exemple des erreurs matérielles telles que l’accès à des adresses mauvaises ou mal alignées, la mort d’un processus enfant, les signaux générés par l’utilisateur à l’aide de la commande kill, ou à partir d’autres processus utilisant un appel système.
Raccrochage détecté sur le terminal de contrôle ou mort du processus de contrôle. Il intervient à la perte ou fermeture du terminal : tout programme démarré dans un terminal donné recevra un SIGHUP lorsque le terminal sera fermé. L’autre possibilité est que quelque chose envoie délibérément à votre processus un SIGHUP qui, par “tradition”, est souvent utilisé pour signaler à un processus qu’il doit relire sa configuration.
SIGINT
2
Émise si l’utilisateur envoie un signal d’interruption (Ctrl + C). Le comportement par défaut est de mettre fin au processus, mais il peut être rattrapé ou ignoré. L’intention est de fournir un mécanisme pour un arrêt ordonné et gracieux.
SIGQUIT
3
Émis si l’utilisateur envoie un signal de sortie (Ctrl + D). Le comportement par défaut est de mettre fin au processus et de vider le noyau, mais il peut être rattrapé ou ignoré. L’intention est de fournir un mécanisme permettant à l’utilisateur d’interrompre le processus. Vous pouvez considérer SIGINT comme un “arrêt heureux initié par l’utilisateur” et SIGQUIT comme un “arrêt malheureux initié par l’utilisateur”.
SIGFPE
8
Émis si une opération mathématique illégale est tentée.
SIGKILL
9
Si un processus reçoit ce signal, il doit s’arrêter immédiatement et n’effectuera aucune opération de nettoyage.
SIGALRM
14
Signal d’alarme (utilisé pour les minuteries).
SIGTERM
15
Signal de fin de logiciel. Le comportement par défaut est de mettre fin au processus, mais il peut également être pris en charge ou ignoré. L’intention est de tuer le processus, gracieusement ou non, mais de lui donner d’abord une chance de se nettoyer.
SIGSTOP
19
Mettre le processus en pause ; le signal ne peut pas être capté ou ignoré. L’interpréteur de commandes utilise la pause (et son équivalent, la reprise via SIGCONT) pour mettre en œuvre le contrôle des tâches.
Quelle est la liste des signaux UNIX
Vous obtenir très facilement la liste des signaux avec la commande kill :
Pour envoyer un signal à un processus, il faut utiliser la commande kill. La syntaxe est la suivante où signal est le nom ou le numéro du signal.
kill -<signal< <pid>
Ici, signal est le numéro ou le nom du signal à délivrer et PID est l’ID du processus auquel le signal doit être envoyé. Par exemple –
kill -1 2001
La commande équivalente est :
kill -SIGHUP 2001
La commande ci-dessus envoie le signal HUP ou de raccrochage au programme qui s’exécute avec l’ID de processus 2001. Pour envoyer un signal kill au même processus, utilisez la commande suivante –
kill -9 2001
Cette commande tue le processus qui s’exécute avec l’ID de processus 2001.
Le terminal Linux permet d’effectuer des opérations parfois impossible en graphique ou plus rapidement. C’est un élément obligatoire à maîtriser pour les administrateurs de système Linux. Connaître les raccourcis clavier du terminal Linux vous permet de gagner en productivité et confort.
Dans ce guide complet, je vous fournis une liste complète des raccourcis clavier Linux.
Liste des raccourcis clavier du terminal Linux
Raccourci clavier
Description
CTRL+A
Se déplacer au début de la ligne
CTRL+E
Se déplacer jusqu’à la fin de la ligne
CTRL+U
Effacer à partir du curseur jusqu’au début de la ligne
CTRL+K
Effacer à partir du curseur jusqu’à la fin de la ligne
CTRL+W
Supprime le mot précédant le curseur
CTRL+L
Effacer l’écran du terminal
CTRL+C
Arrêter le processus/commande en cours
CTRL+D
Déconnexion ou sortie du terminal
CTRL+Z
Interrompt le processus en cours (peut être repris)
CTRL+R
Recherche dans l’historique des commandes (recherche en amont)
CTRL+U
Coller le texe effacé
CTRL+O
Exécute la commande précédente
↑
Affiche la commande précédente (à partir de l’historique des commandes)
↓
Affiche la commande suivante (à partir de l’historique des commandes).
!!
Répétez le dernier ordre
!n
Répéter la nième commande de l’historique
TAB
Auto-complétion de commandes, de fichiers ou de répertoires
TAB (2 fois)
Dressez la liste de tous les compléments possibles
CTRL+MAJ+C
Copie le texte ou la commande sélectionné(e)
CTRL+MAJ+V
Coller le texte ou la commande copié(e)
CTRL+MAJ+N
Ouvrez une nouvelle fenêtre de terminal
CTRL+MAJ+T
Ouvrez un nouvel onglet dans le terminal
CTRL+TAB ou CTRL+PageDown
Passer d’un onglet de terminal à l’autre
Liste des raccourcis clavier du terminal Linux
TAB : compléter automatiquement la commande
Ce raccourci est l’un des plus important à connaître. En effet, il permet de gagner énormément de temps en complétant automatiquement les lignes. Il vous permet aussi de retrouver certaines commandes.
Commencez simplement à taper une commande, un nom de fichier, un nom de répertoire ou même des options de commande et appuyez sur la touche de tabulation. Le programme complétera automatiquement ce que vous avez tapé ou affichera tous les résultats possibles pour vous.
Si vous ne pouviez retenir qu’un seul raccourci, ce serait celui-là.
Ctrl + C : interrompre l’exécution d’une commande
Ce sont les touches sur lesquelles vous devez appuyer pour sortir d’une commande ou d’un processus sur un terminal. Cela arrêtera (terminera) immédiatement un programme en cours d’exécution. Il interrompt proprement la plupart des programmes en envoyant le signal SIGINT au programme que je veux interrompre et abandonner. La plupart des programmes l’attrapent correctement et se terminent proprement. Si le programme ne spécifie pas comment gérer le signal SIGINT, les processus sous-jacents s’arrêtent d’eux-mêmes. Oui, c’est une méthode sûre.
Si vous voulez arrêter d’utiliser un programme qui s’exécute au premier plan, il suffit d’appuyer sur cette combinaison de touches.
Ctrl + Z : suspendre une commande
Ce raccourci suspend un programme en cours d’exécution et vous donne le contrôle de l’interpréteur de commandes. Il envoie le signal SIGTSTP au processus d’avant-plan. Par exemple, vous travaillez dans un éditeur de texte et vous avez besoin d’en sortir pour trouver des données. Vous pouvez utiliser ce raccourci pour suspendre et envoyer l’éditeur en arrière-plan, effectuer votre autre tâche, puis exécuter fg pour revenir dans votre application.
Ce raccourci clavier vous déconnecte du terminal en cours. Si vous utilisez une connexion SSH, elle sera fermée. Si vous utilisez un terminal directement, l’application sera fermée immédiatement.
Il s’agit de l’équivalent de la commande ‘exit’.
Ctrl + L : effacer l’écran de votre terminal
Comment effacer l’écran de votre terminal ? J’imagine qu’on utilise la commande clear. Au lieu d’écrire clear, vous pouvez simplement utiliser CTRL+L pour effacer le terminal.
Ctrl + A : déplacer le curseur au début de la ligne
Supposons que vous ayez tapé une longue commande ou un long chemin dans le terminal et que vous souhaitiez aller au début de la ligne, l’utilisation de la touche fléchée pour déplacer le curseur prendra beaucoup de temps. Notez que vous ne pouvez pas utiliser la souris pour déplacer le curseur au début de la ligne.
C’est là que Ctrl+A vous sauve la mise.
Ctrl + E : déplacer le curseur en fin de ligne
Ce raccourci est en quelque sorte l’inverse de CTRL+A. CTRL+A envoie le curseur au début de la ligne, tandis que CTRL+E déplace le curseur à la fin de la ligne.
Note : Si vous disposez des touches Home et Fin sur votre clavier, vous pouvez également les utiliser. La touche Accueil est équivalente à CTRL+A et la touche Fin est équivalente à CTRL+E.
Ctrl + U : effacer à partir du curseur pour commencer
Vous avez tapé une mauvaise commande ? Au lieu d’utiliser la touche d’effacement arrière pour abandonner la commande en cours, utilisez le raccourci Ctrl+U dans le terminal Linux. Ce raccourci efface tout ce qui se trouve entre la position actuelle du curseur et le début de la ligne.
Ctrl+U ne supprime pas seulement le texte du début de la ligne jusqu’au curseur, il le copie dans une mémoire tampon. Vous pouvez ensuite récupérer le texte – le coller, si vous voulez – en utilisant CTRL+Y.
Ctrl + K : effacer du curseur à la fin
Ce raccourci est similaire au raccourci Ctrl+U. La seule différence est qu’au lieu du début de la ligne, il efface tout ce qui se trouve entre la position actuelle du curseur et la fin de la ligne.
Ctrl + W : supprimer un seul mot avant le curseur
Vous venez d’apprendre à effacer du texte jusqu’au début et à la fin de la ligne. Mais que faire si vous ne voulez effacer qu’un seul mot ? Utilisez le raccourci CTRL+W.
En utilisant le raccourci CTRL+W, vous pouvez effacer le mot qui précède la position du curseur. Si le curseur se trouve sur un mot, il effacera toutes les lettres à partir de la position du curseur jusqu’au début du mot.
La meilleure façon de l’utiliser est de déplacer le curseur jusqu’à l’espace suivant le mot ciblé, puis d’utiliser le raccourci clavier CTRL+W.
Ctrl + Y : coller le texte effacé
Cette fonction permet de coller le texte effacé à l’aide des raccourcis CTRL+W, CTRL+U et CTRL+K. Elle est pratique si vous effacez un mot. Cette fonction est pratique si vous avez effacé un texte erroné ou si vous devez utiliser le texte effacé à un autre endroit.
Ctrl + P : afficher la commande précédente
Ce raccourci permet d’afficher la commande précédente. Vous pouvez appuyer plusieurs fois sur cette touche pour revenir en arrière dans l’historique des commandes. Dans de nombreux terminaux, la même chose peut être obtenue avec la touche PgUp.
Alternativement, vous pouvez aussi utiliser le raccourci ↑ pour revenir à la commande précédente depuis l’historique.
Ctrl + N : affiche la commande suivante
Vous pouvez utiliser ce raccourci en conjonction avec CTRL+P. Ctrl+N affiche la commande suivante. Si vous consultez les commandes précédentes avec CTRL+P, vous pouvez utiliser CTRL+N pour naviguer en avant et en arrière. Sur de nombreux terminaux, ce raccourci est associé à la touche PgDn.
Alternativement, vous pouvez aussi utiliser le raccourci ↓pour revenir à la commande précédente depuis l’historique.
Ctrl + R : recherche dans l’historique des commandes
Voici un autre raccourci clavier très utile pour retrouver une commande depuis l’historique.
Lorsque vous appuyez sur CTRL+R, une fenêtre de recherche s’ouvre (reverse-i-search), dans laquelle vous pouvez taper n’importe quelle partie de la commande et qui trouvera la commande correspondant à la chaîne de caractères que vous avez saisie.
Une fois la commande trouvée, il vous suffit d’appuyer sur la touche Entrée pour l’exécuter.
Ctrl+R : rappelle la dernière commande correspondant aux caractères fournis
Ctrl+R (à nouveau) : Naviguer parmi les commandes correspondantes
Ctrl+O : Renvoyer la commande à votre terminal ou sélectionner Entrée pour exécuter la commande à partir du mode de recherche
Ctrl+G : quitter le mode de recherche dans l’historique sans exécuter de commande
Le journal des événements Windows est un outil important qui permet aux administrateurs de suivre les erreurs, les avertissements et les autres rapports d’information consignés par le système d’exploitation, ses composants ou ses programmes. Vous pouvez utiliser le snap-in graphique MMC de l’Observateur d’événements (eventvwr.msc) pour afficher le journal des événements de Windows. Dans certains cas, il est beaucoup plus pratique d’utiliser PowerShell pour analyser les informations des journaux d’événements. Dans cet article, vous apprendrez à utiliser la cmdlet Get-WinEvent pour obtenir des informations à partir des journaux d’événements Windows.
Get-WinEvent : Recherche dans les journaux d’événements à l’aide de PowerShell
Lorsque vous utilisez la commande sans aucun paramètre, PowerShell liste l’ensemble des journaux Windows.
Get-WinEvent
Pour filtrer sur un journal, utilisez l’option -LogName suivi du nom.
Get-WinEvent -LogName system
Get-WinEvent -LogName security
Autre exemple pour récupérer tous les évènements “disk” avec une erreur matériel (Microsoft-Windows-Kernel-WHEA) !
De plus, vous pouvez restreindre le nombre d’évènements grâce l’option -MaxEvents.
Get-WinEvent -LogName Application -MaxEvents 30
Par défaut, la commande affiche les colonnes Date de création, Id, niveau du message et message. Pour afficher ou masquer des colonnes, utilisez la cmdlet Format-table comme ceci.
Get-WinEvent -LogName System | Format-Table Machinename, TimeCreated, Id, UserID, Message
Filtrer sur les journaux
Nous l’avons vu il est possible de filtrer sur un journal. Pour obtenir la liste complète, utilisez la commande suivante :
Get-WinEvent -ListLog *
Puis utilisez le paramètre LogName pour spécifier le journal des événements de Windows PowerShell
Filtrer sur les niveaux (erreurs, avertissements, etc)
Vous pouvez avoir besoin de filtrer des évènements des journaux Windows. Par exemple, si vous souhaitez obtenir des informations sur les erreurs et les avertissements des journaux Système et Application pour les dernières 24 heures, utilisez le code suivant :
Vous avez un fichier ISO de Windows 10 ou Windows 11 qui traîne sur votre PC ou une clé USB d’installation de Windows mais vous ne savez plus quelle est la version Windows. Si le nom d’un fichier ISO ne contient pas de version et de build, il est difficile de savoir quelle version de Windows se trouve à l’intérieur.
Dans ce tutoriel, je vous donne plusieurs méthodes pour déterminer la version et le build d’un fichier image de Windows ou d’une clé USB d’installation.
Connaître la version et build d’un fichier ISO ou clé USB de Windows
Puis lancez l’installation qui ne prend que quelques secondes
Si vous possédez une clé USB d’installation de Windows, insérez la
Dans le cas d’un fichier ISO : faites un clic droit sur le fichier ISO puis Monter
Repérez le dossier Sources et cherchez, un de ces fichiers :
install.wim
install.esd
install.swm
Faites un clic droit sur ce fichier install > 7-zip > ouvrir archive
A la racine de install.wim, se trouve le fichier [1].xml, double-cliquez dessus
Ce dernier doit s’ouvrir dans le navigateur internet
Repérez le champs VERSION avec la version de Windows du fichier ISO ou de la clé USB d’installation
Avec DISM en ligne de commandes (Méthode 2)
Dans cette seconde méthode, je vous montre comment utiliser DISM et PowerShell pour savoir quelles images Windows (versions, éditions, builds, pack de langue) sont stockées dans des fichiers ISO ou WIM, ou ESD.
Si vous possédez une clé USB d’installation de Windows, insérez la
Dans le cas d’un fichier ISO : faites un clic droit sur le fichier ISO puis Monter
Repérez le dossier Sources et cherchez, un de ces fichiers :
install.wim
install.esd
install.swm
Faites un clic droit sur ce fichier install puis copier le chemin
Puis ouvrez l’invite de commandes. Pour cela, Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Passez la commande DISM en remplaçant le chemin du fichier install.wim par un clic droit et coller
Vous verrez une liste des éditions (Education, Home, Enterprise, Pro, etc.) disponibles dans cette image ISO Windows. Dans notre exemple, vous pouvez installer 8 éditions différentes de Windows à partir de cette image. Chaque édition possède un index que vous pouvez utiliser pour obtenir des informations détaillées sur l’image.
Puis on utilise la commande suivante avec le paramètre /index et le numéro de l’index de l’édition Windows qui vous intéresse
A partir de là, les informations complètes sur l’édition de Windows avec la taille, l’architecture, la langue, la date de création et bien sûr la version et le build
Vous souhaitez imprimer tous les fichiers d’un répertoire ou d’un dossier ou tout simplement extraire la liste des fichiers d’un dossier ? Il existe plusieurs options pour l’imprimer à l’aide de la solution CMD, PowerShell vers un fichier texte. Mais vous pouvez aussi utiliser des logiciels tiers. Ces derniers permettent à l’utilisateur d’imprimer rapidement la liste des fichiers d’un dossier ou de sauvegarder le contenu d’un répertoire. Ils proposent diverses options, telles que l’énumération du contenu d’un dossier sélectionné et l’enregistrement du rapport au format CSV, HTML, TXT et XLS, DOC ou dans d’autres formats pris en charge. Certains permettent d’imprimer directement sur une imprimante. Vous pouvez utiliser ce programme de répertoire de listes d’impression pour gérer vos bases de données MP3 ou créer manuellement une liste de lecture MP3U. Certains de ces programmes sont portables et ne nécessitent pas d’installation, etc.
Voici donc plusieurs façons et méthodes pour y parvenir.
Obtenir et imprimer la liste des fichiers d’un dossier sur Windows
Imprimer la liste des fichiers d’un dossier en CMD
La commande dir permet de lister les fichiers. A partir de là, vous pouvez rediriger la sortie vers un fichier pour obtenir la liste des fichiers d’un dossier.
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Utilisez la commande cd en spécifiant le répertoire dont vous souhaitez imprimer la liste
cd <répertoire>
Puis copiez et collez le texte suivant dans l’invite de commande :
dir > %USERPROFILE%\Desktop\fichiers.txt
Appuyez sur la touche Entrée de votre clavier
Si vous avez des erreurs d’accès refusé lors du listage du répertoire, ouvrez l’invite de commandes en administrateur.
Vous l’aurez remarqué, la liste des fichiers contient des informations comme les dates de création. Pour épurer tout cela, utilisez la commande dir avec les options suivantes :
dir /s /b /o:gn > %USERPROFILE%\Desktop\fichiers.txt
Voici un descriptif des options :
/S Affiche les fichiers du répertoire spécifié et de tous les sous-répertoires.
/B Le format est dépouillé (pas d’en-tête ni de résumé).
/O Liste des fichiers par ordre de tri.
Ensuite, dans :gn, g trie les dossiers puis les fichiers, et n place ces fichiers dans l’ordre alphabétique.
Enfin, notez qu’il existe aussi la commande tree pour imprimer l’arborescence complète d’un répertoire :
tree /f
Créer une liste de fichier d’un dossier en PowerShell
Appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
Utilisez la commande suivante en remplaçant le chemin du répertoire dont vous souhaitez obtenir la liste des fichiers
Si vous avez des erreurs d’accès refusé lors du listage du répertoire (PermissionDenied), ouvrez Terminal Windows en administrateur.
Dir -Recurse c:\chemin\ | Get-Childitem > $Env:USERPROFILE\Desktop\fichiers.txt
Kiran’s Directory Print est un utilitaire logiciel conçu pour aider les utilisateurs à générer des listes détaillées des fichiers et dossiers présents sur leur système informatique. Avec cet outil, les utilisateurs peuvent créer des rapports complets sur la structure de leurs répertoires, y compris des informations telles que les noms de fichiers, les tailles, les dates de modification et les autorisations d’accès.