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Des versions piratées de Microsoft Office utilisées pour distribuer un ensemble de malwares !

3 juin 2024 à 05:55

Des versions piratées de la suite Microsoft Office diffusées via sites de torrents sont utilisées par les cybercriminels pour diffuser plusieurs logiciels malveillants : Cheval de Troie d'accès à distance, mineur de cryptomonnaie, etc... ! Faisons le point.

Une nouvelle campagne malveillante identifiée par le Security Intelligence Center d'AhnLab (ASEC) alerte sur les dangers du téléchargement de logiciels piratés. Malheureusement, ce n'est pas une évidence pour tout le monde et les adeptes de téléchargements illégaux restent très nombreux dans le monde entier. Les cybercriminels l'ont bien compris... Et, ils exploitent des versions piratées de Microsoft Office diffusées sur des sites de torrents pour distribuer un ensemble de malwares.

Les utilisateurs qui téléchargent et installent ces versions piratées de Microsoft Office se retrouvent infectés par divers types de logiciels malveillants, notamment des chevaux de Troie d'accès à distance (RATs), des mineurs de cryptomonnaie, etc.

Un programme d'installation trompeur !

Le programme de la version piratée de Microsoft Office présente une interface bien conçue, et plutôt trompeuse pour les utilisateurs. Nous pourrions même dire qu'elle est plutôt rassurante, car elle permet aux utilisateurs de choisir la version, la langue et la variante (32 ou 64 bits) qu'ils souhaitent installer.

Voici un aperçu :

Source : ASEC

Cependant, ce n'est que la face visible de ce programme d'installation. En effet, pendant ce temps, en arrière-plan, il lance un malware qui se connecte à un canal Telegram ou Mastodon, à partir duquel il pourra obtenir un lien menant vers Google Drive ou GitHub pour télécharger des logiciels malveillants. Ces services légitimes présentes l'avantage de ne pas alerter les solutions de sécurité.

Des charges utiles dangereuses...

Lors de leurs analyses, les chercheurs Coréens sont parvenus un ensemble de malwares, dont voici la liste :

  • Orcus RAT : permet un contrôle à distance complet, incluant la capture des frappes au clavier, l'accès à la webcam de l'ordinateur, la possibilité de prendre des captures d'écran ou encore d'exfiltrer des données.
  • XMRig : un mineur de cryptomonnaie utilisant les ressources du système pour miner du Monero. Pour éviter d'être détecté, le minage est arrêté lorsque l'utilisateur sollicite de façon intensive les ressources de la machine.
  • 3Proxy : convertit les systèmes infectés en serveurs proxy, permettant aux attaquants de router du trafic malveillant, par l'intermédiaire du port 3306.
  • PureCrypter : télécharge et exécute des charges malveillantes supplémentaires à partir de sources externes.
  • AntiAV : désactive ou reconfigure les logiciels de sécurité en place sur la machine infectée, de façon à diminuer son niveau de sécurité et à la rendre vulnérable aux autres menaces.

Persistance des logiciels malveillants

Même si l'utilisateur découvre et supprime certains de ces malwares, le module "Updater", exécuté au démarrage du système, les réintroduit. Bien entendu, à l'occasion de la publication de cette étude, les chercheurs d'ASEC mettent en garde les utilisateurs contre les risques de téléchargement de logiciels depuis des sources non officielles et illégales, dans le but d'obtenir des logiciels piratés. Autant que possible, pensez également à vérifier l'intégrité de vos images ISO et autres sources.

Microsoft Office étant un exemple parmi tant d'autres... En effet, des campagnes similaires ont été utilisées pour propager le ransomware STOP.

Source

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Actif depuis 15 ans, le botnet Ebury a infecté 400 000 serveurs Linux

16 mai 2024 à 07:38

Depuis 2009, le botnet nommé Ebury a infecté pas moins de 400 000 serveurs Linux, et à la fin de l'année 2023, environ 100 000 appareils étaient toujours infectés par ce logiciel malveillant. Faisons le point !

Depuis plus de 10 ans, les chercheurs en sécurité de chez ESET suivent la progression et le comportement du botnet Ebury. Il a évolué au fil des années, que ce soit au niveau de ses capacités d'infection, que du nombre de machines compromises. Le graphique ci-dessous, partagé par ESET, montre bien cette progression.

Evolution botnet Ebury 2009 - 2024
Source : ESET - welivesecurity.com

Au total, Ebury a permis d'infecter 400 000 serveurs Linux en 15 années d'activités. Ce chiffre est énorme, mais la période est importante également : tous les serveurs n'ont pas été infectés en même temps. Comme l'explique ESET, ce botnet est actif au niveau mondial : "Il est à noter qu'il n'y a pas de limite géographique à Ebury, ce qui signifie que toute variation exceptionnelle est principalement due à l'emplacement des centres de données les plus populaires."

ESET estime qu'il est difficile d'estimer la taille du botnet à un moment donné, notamment car "il y a un flux constant de nouveaux serveurs compromis, tandis que d'autres sont nettoyés ou mis hors service."

La tactique du botnet Ebury

Les cyberattaques récentes d'Ebury montrent que les cybercriminels qui sont aux manettes cherchent à s'introduire sur l'infrastructure des fournisseurs de services Cloud et hébergeurs. Ainsi, ils peuvent prendre le contrôle des serveurs des clients de l'hébergeur dont l'infrastructure est compromise. Par exemple, il peut s'agir de serveurs VPS ou de containers.

Pour l'accès initial, la technique classique du credential stuffing est utilisée, c'est-à-dire que des couples d'identifiants et mots de passe volés sont utilisés pour essayer de "brute forcer" la cible. Lorsqu'Ebury parvient à compromettre un serveur, il s'intéresse aux connexions SSH en exfiltrant le contenu du fichier "known_host" et en volant les clés SSH. Ces informations sont ensuite utilisées pour tenter de se déplacer vers d'autres machines, notamment celles connectées sur le même segment réseau.

Source : ESET - welivesecurity.com

Par la suite, le malware est capable de rediriger le trafic du serveur compromis vers un serveur piloté par les attaquants, grâce à de l'ARP spoofing. Là encore, ceci permet aux attaquants de collecter des identifiants SSH qui seront ensuite utilisés pour compromettre de nouvelles machines.

Les serveurs compromis sont utilisés par les pirates d'Ebury dans le cadre d'opérations visant à générer de l'argent. Certains serveurs seront utilisés pour envoyer des e-mails de phishing, tandis que d'autres vont héberger des sites falsifiés permettant de voler des numéros de cartes bancaires.

Enfin, si ESET a pu rédiger un rapport aussi précis et aussi complet, ce n'est pas un hasard : ESET a travaillé en collaboration avec la "National High Tech Crime Unit" (NHTCU) des Pays-Bas, qui a récemment mis la main un serveur de sauvegarde utilisé par les opérateurs d'Ebury.

Source

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Des millions de dépôts Docker Hub utilisés pour distribuer du contenu malveillant !

2 mai 2024 à 06:00

Une équipe de chercheurs en sécurité a analysé trois campagnes malveillantes s'appuyant sur des dépôts Docker Hub. D'après eux, environ 2,81 millions de dépôts sont utilisés à des fins malveillantes. Faisons le point sur cette menace.

D'après les chercheurs en sécurité de chez JFrog, environ 20 % des dépôts hébergés sur la plateforme Docker Hub contiennent du contenu malveillant, y compris des malwares. Ils ont découvert 4,6 millions de dépôts sans aucune image Docker, et donc inutilisables à partir de Docker et Kubernetes. Parmi ces dépôts, 2,81 millions ont été associés à trois campagnes malveillantes importantes lancées en mars 2021. Mais alors, quelles sont les données stockées dans ces dépôts sur Docker Hub ?

Docker Hub comme point de départ pour piéger les utilisateurs

Les cybercriminels utilisent les dépôts pour appâter les utilisateurs, en s'appuyant sur différentes techniques, dont le phishing. Par exemple, la technique baptisée "eBook Phishing" consiste à utiliser un dépôt Docker Hub pour inviter l'utilisateur à télécharger un eBook, au format PDF ou EPUB. Sauf qu'il est redirigé vers un site malveillant dont l'objectif est de collecter des numéros de cartes bancaires.

Nous pouvons citer également la technique "Downloader" où le dépôt Docker Hub est utilisé pour promouvoir des logiciels piratés ou des logiciels de triche pour les jeux-vidéos. Les cybercriminels utilisent des textes générés automatiquement et joue sur la description pour optimiser le référencement de la page. Là encore, la victime est redirigée vers un site malveillant grâce à un lien intégré à la page du dépôt. Ici, l'objectif est de déployer un malware sur la machine de la victime.

Pour rendre légitime leur lien et essayer de tromper l'utilisateur, les pirates usurpent l'identité de services de réducteurs d'URL. Par exemple, le domaine "blltly[.]com" vise à usurper l'identité du service légitime "bitly.com".

Voici un exemple :

Source : JFrog

Le graphique ci-dessous proposé par JFrog montre que le Docker Hub est activement utilisé pour des activités malveillantes. Certaines actions sont automatisées, ce qui explique le nombre conséquent de dépôts.

Classification des dépôts Docker Hub
Source : JFrog

L'équipe de Docker a fait le ménage

La bonne nouvelle, c'est que l'équipe de modération du Docker Hub a supprimé l'ensemble des dépôts malveillants suite à l'analyse effectuée par les chercheurs de JFrog. Néanmoins, il convient de rester méfiant, car il y en a surement d'autres, et d'autres seront probablement créés par la suite.

Même si le Docker Hub est une source officielle pour le téléchargement des images Docker, c'est avant tout un espace communautaire sur lequel nous pouvons retrouver "tout et n'importe quoi". Ce n'est pas un cas isolé, puisque certains pirates exploitent la plateforme PyPI dans le cadre de leurs activités malveillantes.

Source

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Toujours plus furtif, le malware Raspberry Robin contourne Microsoft Defender pour infecter Windows

18 avril 2024 à 09:43

Le malware Raspberry Robin est en circulation depuis plusieurs années et il continue de se propager pour infecter les appareils Windows. Désormais, il est capable de contourner Microsoft Defender et d'être très furtif sur la machine infectée. Faisons le point !

À la base, le logiciel malveillant Raspberry Robin se propage principalement par l'intermédiaire de clés USB, comme nous l'avions évoqué dans un précédent article publié en juillet 2022. Mais, depuis mars 2024, les pirates semblent bien décidés à le distribuer plus largement, alors qu'initialement, il ciblait plutôt les industries et les grandes entreprises.

Campagnes de phishing et fausses publicités

Un nouveau rapport publié par l'équipe de chercheurs en sécurité HP Wolf Security met en avant les nouvelles capacités et techniques employées par Raspberry Robin. Désormais, la clé USB est remplacée par de fausses publicités et des campagnes de phishing par e-mails. L'objectif étant de rediriger les utilisateurs vers des sites malveillants contrôlés par les pirates sur lesquels sont hébergés des fichiers WSF (Windows Script Files) obscurci.

"Le format de fichier WSF prend en charge les langages de script, tels que JScript et VBScript, qui sont interprétés par le composant Windows Script Host intégré au système d'exploitation Windows.", peut-on lire. De plus, les chercheurs en sécurité précisent que le code des scripts WSF distribués par les pirates est long et difficile à analyser. En effet, il y a beaucoup de lignes de code inutiles, uniquement là pour brouiller les pistes.

Une analyse minutieuse de la machine infectée

La dernière version de Raspberry Robin se démarque également par sa capacité à contourner les solutions de sécurité et à passer entre les mailles du filet. Avant de passer à l'action, le malware effectue une analyse complète de la machine pour déterminer l'environnement sur lequel il se trouve, avant de passer à la phase d'infection.

Parmi les éléments vérifiés, il y a la version de Windows, le type d'appareils (machine virtuelle, serveur, poste de travail), le type de processeur, la détection de la solution de virtualisation via l'adresse MAC, et enfin, il vérifie la présence éventuelle de certains antivirus (Kaspersky, ESET, Avast, Avira, Check Point et Bitdefender). Si l'un de ces antivirus est identifié, le script s'arrête. L'objectif principal de cette série de vérifications est de s'assurer que le malware est exécuté sur l'appareil d'un utilisateur final.

Par contre, les chercheurs en sécurité précisent que Raspberry Robin est capable de contourner Microsoft Defender : "Il est donc plus probable que le script s'exécute sur un terminal protégé par Microsoft Defender. Pour échapper à la détection, le script ajoute une exception à Microsoft Defender qui exclut l'ensemble du disque principal de l'analyse antivirus."

La phase finale : le déploiement de Raspberry Robin

Si tous les voyants sont au vert et qu'il s'agit de l'appareil d'un utilisateur final, le script va télécharger la DLL Raspberry Robin depuis un serveur situé sur Internet. Pour cela, il va s'appuyer sur la commande "curl" prise en charge nativement sur Windows, et il va stocker la DLL malveillante dans le dossier "AppData" local. Ainsi, Raspberry Robin est déployé sur la machine et il peut agir sans déclencher d'alerte sur Microsoft Defender.

Raspberry Robin est capable de télécharger et d'exécuter des charges utiles supplémentaires. Les cybercriminels ont l'habitude de l'utiliser pour déployer un ransomware ou d'autres malwares comme IcedID, BumbleBee et Truebot.

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Un script PowerShell surement codé par l’IA a été utilisé pour distribuer un malware infostealer

12 avril 2024 à 08:49

Des chercheurs en sécurité soupçonnent les cybercriminels d'avoir utilisé l'IA générative dans le cadre d'une attaque pour générer un script PowerShell. Il a été utilisé pour distribuer un malware infostealer. Faisons le point !

En mars 2024, les chercheurs en sécurité de chez Proofpoint ont identifié une campagne malveillante ciblant des dizaines d'organisations allemandes et associées au groupe de pirates suivi sous le nom de TA547, et connu également sous le nom de Scully Spider. Il s'agirait d'un groupe actif depuis 2017 et appartenant à la catégorie des "initial access broker" (courtier d'accès initial).

"Outre les campagnes menées en Allemagne, d'autres organisations ont été ciblées récemment en Espagne, en Suisse, en Autriche et aux États-Unis.", peut-on lire dans le rapport de Proofpoint.

Lors de cette campagne, les pirates ont tenté d'usurper l'identité de la marque allemande Metro en envoyant des e-mails malveillants avec une facture, au format ZIP, en pièce jointe. Pour échapper aux analyses de sécurité, ce fichier ZIP est protégé par le mot de passe "MAR26". Il contient un fichier de raccourci malveillant (.LNK) qui, lorsqu'il est exécuté, déclenche l'exécution d'un script distant via PowerShell.

L'objectif final est d'infecter la machine avec le logiciel malveillant "Rhadamanthys", de type infostealer. Ce malware a pour objectif de voler des données sur chaque machine infectée, notamment des identifiants et des cookies.

Un script PowerShell généré avec une IA ?

Les chercheurs en sécurité ont procédé à l'analyse du script PowerShell utilisé par les cybercriminels. Et, ils ont été surpris de constater que chaque ligne de code était précédée par un commentaire, très bien rédigé, comme ceux intégrés par l'IA lorsqu'on lui demande de l'aide pour un bout de code.

Voici un extrait du script PowerShell en question :

Source : Proofpoint

Les chercheurs affirment que c'est une caractéristique typique d'un code PowerShell généré avec l'aide d'une IA générative, que ce soit ChatGPT, Gemini ou Microsoft Copilot. Bien que ce ne soit pas certain à 100%, il y a de fortes chances pour que les cybercriminels aient utilisé l'IA pour écrire ou réécrire le code.

Cela signifierait que dans le cadre de cette campagne malveillante, les pirates du groupe TA547 ont recouru à l'IA. Bien entendu, cela n'est qu'un exemple parmi d'autres et dans le cas présent, l'IA pouvait difficilement se douter qu'il s'agissait d'un code PowerShell utilisé à des fins malveillantes.

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53% des appareils infectés par des malwares « infostealer » appartiennent à des entreprises !

9 avril 2024 à 06:00

D'après une étude réalisée par l’équipe Digital Footprint Intelligence de Kaspersky, le nombre d'appareils d'entreprise compromis par des logiciels malveillants de type "infostealer" est en forte augmentation : en 2023, on parle de plus d'un appareil sur deux !

Pour rappel, un logiciel malveillant de type "infostealer" est ce que l'on appelle un voleur de données ou voleur d'informations. Une fois l'appareil infecté, le malware est capable de siphonner les données présentes dans diverses applications, telles que les navigateurs, afin de voler des identifiants et mots de passe, ainsi que des cookies de connexion. Ils sont de plus en plus nombreux et RedLine est l'un des plus populaires.

L’équipe Digital Footprint Intelligence de Kaspersky a effectué une analyse basée sur les données extraites à partir de fichiers journaux de malwares "infostealer" disponibles sur le dark web. Depuis 2020, le nombre d'appareils professionnels compromis par ce type de menace a augmenté de 34%. Résultat, d'après cette étude, en 2023, plus de la moitié (53%) des appareils infectés par ce type de malware étaient des appareils appartenant à des entreprises.

Dans le cas présent, l'équipe de Kaspersky s'est concentrée sur l'analyse des éditions de Windows infectées par un infostealer. 53%, cela correspond à la part d'appareils sous Windows 10 Enterprise, donc cela n'inclut pas les appareils sous Windows 10 Pro. C'est un détail important, car l'édition "Pro" est aussi très largement utilisée par les organisations.

Kaspersky - Info stealer en entreprise
Source : Kaspersky

21% des employés ont exécuté le logiciel malveillant à plusieurs reprises

Kaspersky estime que 21% des employés dont les appareils ont été infectés ont exécuté le logiciel malveillant à plusieurs reprises.

D'ailleurs, Kaspersky a mené l'expérience suivante pour obtenir cette statistique : "Pour ce faire, nous avons examiné un échantillon de fichiers journaux contenant des données vraisemblablement liées à 50 organismes bancaires de différentes régions. Nous avons constaté que 21% des employés ont rouvert le logiciel malveillant et que 35% de ces réinfections ont eu lieu plus de trois jours après l'infection initiale. Cela peut indiquer plusieurs problèmes sous-jacents, notamment une sensibilisation insuffisante des employés, des mesures inefficaces de détection et de réponse aux incidents, l'idée qu'il suffit de changer le mot de passe si le compte a été compromis, et une réticence à enquêter sur l'incident."

À chaque fois qu'un identifiant est associé à une adresse e-mail professionnelle, Kaspersky estime qu'elle permet d’avoir accès à 1,85 application professionnelle en moyenne. Ceci peut correspondre à des portails internes, des applications, des services de messagerie, etc.

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