À mesure que l’adoption des actifs numériques s’étend, leur intégration aux modes opératoires criminels s'intensifie, alerte Broker Defense. Au point que la plateforme française d’aide aux victimes d’arnaques financières s’est spécialisée en traçage de cryptomonnaies.
Des petits malins ont eu l’idée de distribuer des logiciels de triche pour Call of Duty et d’autres jeux sur Battle.net. Sauf que… surprise ! En réalité, ces soi-disant « cheats » étaient bourrés de malwares qui aspirent les Bitcoins des joueurs ! Un coup de maître digne d’un scénario de Mr Robot.
D’après les experts en cybersécurité de VX Underground, cette attaque d’hameçonnage ciblée aurait potentiellement compromis près de 5 millions de comptes, rien que ça ! Une fois installé sur l’ordi de la victime, le malware s’attaque direct au portefeuille Bitcoin Electrum pour siphonner les précieuses crypto. On parle de presque 3,7 millions de comptes Battle.net, plus de 560 000 comptes Activision et environ 117 000 comptes ElitePVPers. Autant dire que les cybercriminels se sont fait plaisir.
Bon, Activision affirme que ses serveurs n’ont pas été directement compromis. Mais quand même, ça la fout mal. La boîte conseille à tous les joueurs qui auraient pu cliquer sur un lien louche de changer rapidement leur mot de passe et d’activer l’authentification à deux facteurs ce qui est un minimum.
Bref, méfiez-vous comme de la peste des logiciels de triche. Comme dirait l’autre, si c’est trop beau pour être vrai, c’est que ça cache sûrement une entourloupe !
Puis où est passé le plaisir de jouer à la loyale, de progresser à la sueur de son front et de laminer ses adversaires à la régulière ?
Qui est donc ce mystérieux Satoshi Nakamoto, le créateur de Bitcoin dont l’identité reste un mystère depuis plus d’une décennie ? C’est LA question qui fascine et intrigue la communauté crypto depuis les tous débuts.
De nombreuses théories ont d’ailleurs été avancées au fil des années, mais aucune n’a réussi à percer définitivement le secret. Certains pensent que derrière ce pseudonyme se cache en réalité un groupe de personnes, travaillant main dans la main alors que d’autres imaginent un génie solitaire, un visionnaire qui a préféré rester dans l’ombre et laisser sa création parler d’elle-même…
Cependant, une nouvelle piste des plus intrigantes vient d’être mise au jour par un redditeur passionné. En fouillant méticuleusement dans de vieilles publications académiques sur la cryptographie, il a fait une découverte plutôt étonnante : Lors d’une conférence sur la crypto en 1998, un certain Satoshi Hada a donné une présentation aux côtés d’un autre intervenant nommé Toshiaki Tanaka.
Satoshi ? Cela a immédiatement titillé la curiosité de notre détective en herbe qui en creusant un peu plus, s’est rendu compte que les travaux de recherche de Satoshi Hada, Toshiaki Tanaka et d’un troisième larron, Naohiko Uramoto, portaient justement sur les clés publiques et privées… c’est à dire sur les fondements de la blockchain !
Encore plus troublant, si on combine astucieusement des morceaux de leurs trois noms, on obtient… Satoshi + Naka + Moto… Satoshi Nakamoto ! Serait-ce un hommage de la part du véritable créateur de Bitcoin ? Ou bien ces trois cryptographes japonais d’IBM sont-ils les cerveaux derrière la révolutionnaire crypto-monnaie ?
Les indices s’accumulent en tout cas. Leurs publications académiques se sont mystérieusement taries peu après l’envol de Bitcoin. Troublant non ?
Bien sûr, il ne s’agit pour l’instant que d’une théorie, aussi fascinante soit-elle. Peut-être une simple coïncidence ou un habile leurre de la part du vrai Satoshi. Mais avouez que l’hypothèse a de quoi faire cogiter !
Tous les quatre ans a lieu un événement que les mineurs et les adeptes de bitcoin attendent : le halving. Protocole inscrit dans le code du bitcoin, il détermine en grande partie le futur de la cryptomonnaie - et participe à la fluctuation des prix. Le prochain halving va avoir lieu dans quelques jours.
Dollar, euro ou yen : toutes ces monnaies ont leur émoji. Alors pourquoi pas le bitcoin ? À quelques jours du halving, des activistes ont lancé une pétition en ligne pour donner à la cryptomonnaie emblématique son émoji. Pourrons-nous bientôt inonder nos messages d'émoticônes BTC ? La question est moins anodine qu'on ne le pense.
Le halving du bitcoin approche de plus en plus. L'évènement devrait survenir le 19 avril, mais l'heure exacte reste encore floue, et aucun des comptes à rebours en ligne n'est d'accord. Comment cela se fait-il ?
Le halving est un phénomène très attendu par l'industrie des crypto-monnaies, car il est normalement suivi par une forte période d'augmentation des prix. Cette fois-ci, les mineurs sont également à l'affût de bitcoins très particuliers.
Le 3 avril 2024, le Bitcoin Cash, une copie dérivée du bitcoin, a fait son halving en avant-première. Deux semaines avant le BTC, cette cryptomonnaie a divisé son émission de jetons numériques par deux. Elle nous donne un aperçu de ce qui attend le véritable bitcoin le 20 avril.
Le halving approche à grands pas. Les experts sont divisés sur ce qu'il va advenir du bitcoin après cet évènement. Le prix de la crypto-monnaie va-t-il exploser, stagner ou bien chuter ?
Alors que le halving du bitcoin approche, de nouvelles études se montrent pessimiste quant à son influence sur le prix de la crypto-monnaie. Certains estiment que le halving ne créera pas d'augmentation, d'autres pensent qu'il va les faire chuter.
Le halving du bitcoin a eu lieu dans la nuit du 20 avril 2024, et ses premiers effets se font d'ores et déjà ressentir sur le cours de la crypto-monnaie. Il va cependant falloir attendre avant de voir son impact sur le long terme.
Avec le halving, les mineurs reçoivent deux fois moins de bitcoins. Tous les quatre ans, leur récompense est automatiquement réduite et remet en jeu la viabilité de leur modèle économique. Comment font les mineurs pour être rentables, malgré cette baisse de revenu ?
Le célèbre lanceur d’alerte Edward Snowden vient de tirer la sonnette d’alarme sur Twitter. Selon lui, les développeurs de Bitcoin ont intérêt à se bouger les fesses pour intégrer des fonctionnalités de confidentialité au niveau du protocole, sinon ça va sentir le roussi !
Snowden a balancé ça en réponse à une annonce de Wasabi Wallet qui a dû suspendre ses services pour les utilisateurs américains. Eh oui, les autorités US s’attaquent en ce moment à plusieurs projets qui osent protéger un tant soit peu la vie privée des utilisateurs de cryptos. Même Trezor, le célèbre fabricant de hardware wallets, a dû mettre un terme à sa fonctionnalité CoinJoin qui permettait d’anonymiser un peu les transactions.
C’est la suite logique de l’arrestation des fondateurs de Tornado Cash il y a quelques jours que le département de la justice américain (DOJ) accuse carrément de blanchiment d’argent et de complot ! Tout ça parce qu’ils ont développé un outil pour protéger la vie privée des utilisateurs…
Mais c’est la définition même de « service de transmission monétaire » qui pose problème puisque les procureurs US ont décidé de l’étendre à toutes les sauces, même aux développeurs de wallets qui n’ont aucun contrôle direct sur les fonds des utilisateurs. Autant dire que ça fout un sacré bordel.
Coin Center, un groupe de défense des libertés numériques, parle carrément de violation de la liberté d’expression et de la vie privée et estime que la position du DOJ est une interprétation agressive et démesurée de la loi. Même le FBI s’y met en mettant en garde les Américains contre l’utilisation de services non enregistrés.
Alors qu’est ce que ça implique concrètement pour les utilisateurs lambda ? Eh bien, disons que si vous tenez à votre vie privée, il va falloir redoubler de prudence parce que les plateformes qui exigent une vérification d’identité (le fameux KYC) sont de véritables pièges ! Une fois que votre wallet perso a interagi avec l’une d’entre elles, c’est foutu puisque tout votre historique de transactions en plus d’être exposée au grand jour, est forcement lié à votre identité.
Heureusement, il existe encore quelques solutions pour garder un semblant d’anonymat. Les monnaies confidentielles comme Monero ou Zcash par exemple, qui intègrent des mécanismes de confidentialité directement dans leur protocole. Mais attention, même ces outils ne sont pas parfaits et nécessitent de bien savoir ce qu’on fait.
En attendant, on ne peut qu’espérer que les développeurs de Bitcoin et des autres cryptos prennent au sérieux cet avertissement de Snowden et se bougent pour intégrer des fonctionnalités de confidentialité robustes au cœur même des protocoles. Des mécanismes comme les preuves à divulgation nulle de connaissance (zk-SNARKs) pourraient permettre d’avoir une vraie confidentialité au niveau protocolaire.