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Ces extensions VPN gratuites aspirent toutes vos conversations avec ChatGPT

Vous utilisez une extension VPN gratuite sous Chrome ou Edge pour "protéger votre vie privée" ? Cool story les bro, mais si je vous disais que cette même extension enregistre peut-être toutes vos conversations avec ChatGPT, Claude, Gemini et compagnie pour les revendre à des courtiers en données (les fameux data brokers) ?

Hé bien c'est exactement ce que viennent de découvrir les chercheurs en sécurité de Koi qui ont mis le doigt sur 4 extensions très populaires comptabilisant plus de 8 millions d'utilisateurs au total : Urban VPN Proxy (6 millions à elle seule), 1ClickVPN Proxy, Urban Browser Guard et Urban Ad Blocker qui aspirent silencieusement tout ce que vous tapez dans vos chat IA préférées.

Le truc vicieux, c'est que ces extensions ne se contentent pas de regarder votre historique de navigation comme les trackers classiques. Non non non, elles injectent du code JavaScript directement dans les pages des chatbots IA quand vous les visitez et ça modifie les fonctions de base du navigateur (fetch() et XMLHttpRequest pour les techos) pour intercepter absolument tout ce qui passe entre vous et l'IA.

Vos prompts, les réponses du chatbot, les métadonnées de conversation, tout est aspiré et envoyé vers les serveurs analytics.urban-vpn.com et stats.urban-vpn.com. Et le pire c'est que cette collecte continue en arrière plan même quand le VPN est désactivé. Bye bye tous vos secrets.

Derrière ces extensions se cache Urban Cyber Security Inc., une boîte affiliée à BiScience, un courtier en données bien connu des chercheurs en sécurité. Ces gens-là sont passés de la collecte d'historique de navigation à la collecte de conversations IA complètes, soit un niveau de sensibilité bien supérieur vu ce qu'on peut raconter à une IA (questions médicales, code propriétaire, problèmes personnels, données financières...).

Et devinez quoi ? Ces extensions arboraient fièrement le badge "Featured" sur le Chrome Web Store et le Microsoft Edge Add-ons, censé garantir que Google et Microsoft ont vérifié leur sécurité. Nos deux géants américains ont donc validé des extensions qui violent directement leur propre politique d'utilisation limitée des données utilisateurs.

Bref, si vous avez installé une de ces extensions et utilisé ChatGPT, Claude, Gemini, Copilot, Perplexity, DeepSeek, Grok ou Meta AI depuis juillet de cette année, partez du principe que toutes ces conversations sont maintenant sur les serveurs d'un data broker et potentiellement revendues à des annonceurs.

La morale de l'histoire, c'est que dans le cas des VPN gratuits, le produit c'est littéralement tout ce que vous faites en ligne. Donc si vous voulez vraiment protéger votre vie privée avec un VPN, mieux vaut payer quelques euros par mois pour un service sérieux comme NordVPN ou Surfshark qui n'a pas besoin de revendre vos données pour survivre.

🔒 VPN sérieux vs extensions gratuites douteuses

Pour protéger réellement vos conversations IA et votre vie privée sans finir dans une base de données de data broker, NordVPN fait le job :

  • ✓ Politique stricte de non-conservation des logs (auditée par des tiers indépendants)
  • ✓ Chiffrement AES-256 de tout votre trafic, y compris vos échanges avec ChatGPT & co
  • ✓ Protection contre les fuites DNS et WebRTC
  • ✓ Plus de 8000 serveurs dans 110+ pays
  • ✓ Garantie satisfait ou remboursé 30 jours

Tester NordVPN sans risque → (lien affilié)

Et désinstallez moi ces merdes immédiatement si vous les avez.

Source

Surfshark VPN et la nouvelle ère des contrôles d'âge : Protéger sa vie privée sur un Web qui vous surveille

-- Article en partenariat avec Surfshark --

La vérification d'âge est en train de transformer le Web en sas de contrôle permanent, et avec elle arrive une nouvelle catégorie de risques pour la vie privée : selfies stockés sur des serveurs tiers, scans de carte d'identité confiés à des prestataires obscurs, profils biométriques qui traînent on ne sait où. Dans ce contexte, un VPN comme Surfshark devient un outil essentiel pour protéger ce qui peut encore l'être : le reste de votre navigation.

En Europe, ce n'est plus un « si » mais un « comment ». Entre le RGPD, le Digital Services Act et les projets d'identité numérique européenne, la Commission pousse vers des systèmes harmonisés d'âge minimum pour tout ce qui est jugé « sensible » : contenus adultes, jeux d'argent, alcool en ligne, certaines applis sociales, voire des services qui brassent des données de santé ou de finances. Chaque État ajoute sa couche : la loi jeunesse en Allemagne, les expérimentations AGCOM en Italie, les débats récurrents en France… Pour décider quel contrôle appliquer, les plateformes doivent d'abord savoir d'où vous venez et vous coller dans une case juridique, ce qui implique géolocalisation, filtrage par IP, et de plus en plus souvent, association de votre identité réelle à votre navigation. Se prendre en photo avec sa carte d'identité à côté de son visage ? Prouver son identité en fournissant des infos bancaires ou en effectuant un micropaiement ? Se faire estimer son âge par une IA ? Autant d'options en discussions qui font saliver nos élites.

C'est précisément là que Surfshark prend tout son sens : même si vous devez vous authentifier sur certains services, le VPN protège tout le reste de votre activité en ligne. En masquant votre IP et en chiffrant votre connexion, il empêche que votre FAI ou des tiers puissent reconstituer l'ensemble de votre navigation et créer un profil complet de vos habitudes. Ce n'est pas une question de contourner quoi que ce soit, mais de limiter l'exposition de vos données à ce qui est strictement nécessaire.

Techniquement, Surfshark pose un tunnel chiffré entre vos appareils et l'un de ses plus de 4 500 serveurs RAM-only répartis dans une centaine de pays ; ce tunnel empêche l'IP de départ d'être visible par le site final, qui ne voit que celle du serveur VPN. L'infrastructure a été poussée un cran plus loin avec l'arrivée des premiers serveurs 100 Gb/s à Amsterdam, dix fois plus costauds que l'actuelle norme 10 Gb/s du secteur, justement pour encaisser les usages lourds (streaming, visio, cloud, jeu en ligne) sans transformer la protection en goulot d'étranglement. Ajoutez à cela un chiffrement AES‑256, des protocoles WireGuard, OpenVPN et IKEv2, un Kill Switch qui coupe tout en cas de chute du tunnel, et des protections contre les fuites DNS/WebRTC/IPv6, et l'on obtient une boîte noire bien hermétique pour transporter votre trafic.

Les nouveautés apparues en 2025 renforcent encore un peu plus cette protection au quotidien. Multi IP permet d'associer plusieurs adresses IP dédiées ou statiques à un même compte, voire à un même emplacement, pour compartimenter ses usages : une IP pour le boulot, une autre pour le streaming, une troisième pour les tests, sans que les services puissent recoller toutes ces activités à une seule identité réseau. En parallèle, Surfshark améliore la rotation d'IP : certains serveurs renouvellent automatiquement l'adresse sans couper la connexion, ce qui rend beaucoup plus difficile le suivi de session prolongée par des réseaux publicitaires ou des systèmes de scoring qui associent « IP stable = profil bien cerné ». Dans un contexte où les données personnelles sont de plus en plus corrélées entre elles, ce simple brouillage d'IP devient un levier très concret de protection contre le profilage massif.

L'intérêt est particulièrement tangible dans l'Union européenne (j'ai failli écrire prison européenne, lapsus des doigts oops). D'un côté, l'UE planche sur un « Age Verification Blueprint » et un portefeuille d'identité numérique (EU Digital Identity Wallet) censés permettre de prouver que l'on a plus de 18 ans sans balancer toute sa vie privée. Sur le papier, c'est rassurant. Dans la pratique, cela signifie surtout que les interactions en ligne vont de plus en plus se faire avec des marqueurs d'identité forts, interopérables d'un service à l'autre. Un VPN comme Surfshark ne remplace pas ces systèmes et ne prétend pas les contourner, mais il protège tout ce qui se passe autour : votre navigation générale, vos recherches, vos habitudes. Il empêche qu'un contrôle ponctuel de majorité ne devienne la porte d'entrée vers un profilage complet de votre vie numérique.

À côté de ce réseau, Surfshark continue d'empiler des fonctions très terre-à-terre, mais qui prennent tout leur sens pour la protection de la vie privée. CleanWeb filtre pubs, trackers et tentatives de phishing, ce qui réduit non seulement le profilage publicitaire, mais aussi le risque de tomber sur des sites douteux qui se cachent derrière des bannières ou des redirections hasardeuses. Le mode Camouflage rend l'usage du VPN lui-même difficile à détecter par certains FAI ou pare-feux, ce qui garantit une connexion stable sans blocages intempestifs. Le split tunneling (Bypasser) laisse passer certaines applis hors VPN – par exemple pour garder un service bancaire local tatillon – tout en protégeant le reste du trafic, et MultiHop fait transiter la connexion par deux pays pour ceux qui ont des besoins de confidentialité renforcée. Le tout avec un nombre d'appareils et de connexions simultanées illimité et des clients très complets sur desktop, mobile, TV, routeurs et consoles, ce qui permet de protéger toute la maison sans jongler avec des licences.

En dehors de l'UE, les enjeux de vie privée sont les mêmes, même si les lois diffèrent. Au Royaume-Uni, l'Online Safety Act a considérablement étendu les exigences de vérification d'âge, multipliant les occasions où les utilisateurs doivent confier des données sensibles à des tiers. En Amérique du Nord, Canada et plusieurs États américains combinent leurs propres lois de protection des mineurs avec des règles de data privacy parfois plus souples, ce qui laisse beaucoup de place aux intermédiaires commerciaux pour collecter et exploiter les données. Dans tous ces contextes, un VPN sérieux sert à protéger l'ensemble de sa navigation et à limiter la quantité d'informations exploitables par ces intermédiaires.

Au final, l'utilité concrète de Surfshark VPN, dans ce contexte d'Internet sous contrôle d'âge, tient en trois points : protéger l'ensemble de votre navigation au-delà des points de contrôle obligatoires, limiter les corrélations possibles entre vos différentes activités en ligne, et réduire votre surface d'exposition dans un écosystème qui collecte toujours plus de données personnelles. Avec son réseau musclé, ses outils de rotation et de multi-IP, et ses fonctions de sécurité périphériques, Surfshark ne promet pas de faire disparaître les contrôles… mais offre une couche de protection essentielle pour tout ce qui se passe en dehors.

Le VPN ne coûte que 64,48€ TTC pour 27 mois de couverture (abonnement 2 ans + 3 mois offerts). Donc vous pouvez profiter d'une vie un peu plus relax pour moins de 2.5€/mois, c'est pas si mal.

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Quand votre IP vous trahit partout - Surfshark VPN, la parade anti-tracking

– Article en partenariat avec Surfshark

Chaque clic laisse une empreinte digitale indélébile. Chaque adresse IP devient le talon d’Achille d’une vie en ligne. Les sites, les publicitaires, les pirates et même les gouvernements la traquent pour dresser un portrait précis de vos habitudes, de vos achats et de vos déplacements virtuels. Bloquée sur une identité fixe, elle vous rend prévisible, ciblable, vulnérable aux pubs invasives ou aux restrictions géographiques. Surfshark VPN répond à ce piège avec un arsenal technique qui non seulement masque cette empreinte, mais la fait muter en permanence, transformant votre navigation en exercice d’évasion fiscale fluide et sécurisée.​

Au cœur de cette solution trône un réseau titanesque de plus de 4 500 serveurs RAM-only, déployés dans 100 pays. Dont les premiers exemplaires à 100 Gb/s testés à Amsterdam pour absorber les charges extrêmes du streaming 4K ou du gaming cloud. Ces machines, qui effacent toute donnée à chaque redémarrage, s’appuient sur un chiffrement AES-256 bits couplé à un hachage SHA512 et un échange de clés DHE-RSA 2048, via les protocoles WireGuard pour la vitesse fulgurante, OpenVPN pour la robustesse ou IKEv2 pour la mobilité. Résultat : des débits élevés constants, même sur fibre, sans jamais de fuites DNS, WebRTC ou IPv6. Le Kill Switch coupe instantanément tout trafic en cas de défaillance, tandis que le mode camouflage rend le contenu visionné avec le VPN indétectable par les FAI ou les pare-feux restrictifs.​

Les nouveautés : Multi IP et rotation d’IP améliorée

Les dernières nouveautés propulsent Surfshark dans une ligue à part. La fonction Multi IP, lancée il y a quelques jours (ça sent toujours le pain chaud), permet d’associer plusieurs adresses IP statiques à un même emplacement. Idéal pour les comptes multiples sur plateformes sensibles comme les réseaux sociaux ou les marketplaces, sans risquer de bannissement pour changement d’IP suspect. Parallèlement, l’amélioration de la rotation d’IP, en phase bêta depuis début 2025, opère un renouvellement automatique et discret de l’adresse toutes les quelques minutes, tout en maintenant la connexion active et l’emplacement fixe. Cette flexibilité brise les chaînes du tracking : les algorithmes publicitaires perdent le fil, les sites ne peuvent plus profiler précisément, et l’utilisateur gagne une invisibilité dynamique, parfaite pour le télétravail nomade ou les sessions prolongées sans alerte.​

Cette puissance s’étend à tous les usages quotidiens. Pour le streaming, tous les serveurs débloquent Netflix US/UK/Australie, Amazon Prime Video, Disney+ ou HBO sans contorsion. Grâce à une infrastructure Nexus optimisée P2P et IP statiques. Le Bypasser (split tunneling) exclut certaines apps locales du tunnel pour une réactivité maximale, tandis que le MultiHop double le chiffrement via deux serveurs distants pour les scénarios haute sécurité. Il contourne bien sûr les censures nationales et CleanWeb purge pubs, trackers et phishing en amont, allégeant la navigation. Sur mobile, l’invisibilité réseau local et la modification GPS protègent contre les scans Wi-Fi publics, avec des apps complètes sur Android/iOS très bien notées pour leur fluidité.​

Comparaison des innovations anti-tracking IP chez Surfshark

FonctionnalitéAvantage principalUsage idéal
Rotation d'IPChangement automatique sans déconnexionSessions longues, anti-profilage
Multi IPPlusieurs IP fixes par emplacementComptes multiples, marketplaces
IP statiqueAdresse dédiée et stableP2P, streaming intensif
Mode camouflageMasque le transit VPN au FAIPays restrictifs

Cette grille illustre comment Surfshark aligne flexibilité et robustesse pour neutraliser le fléau du tracking IP, sans compromettre vitesse ou simplicité.​

En plus de sa politique no-log (auditée régulièrement par des organismes indépendants), Surfshark autorise des connexions simultanées illimitées sur tous appareils (PC, Mac, consoles, routeurs, TV, téléphones …). Avec toujours l’essai satisfait avec 30 jours remboursables. Face à l’omniprésence du pistage, le VPN ne se contente pas de cacher : il réinvente l’identité numérique dans un mouvement perpétuel, vous rendant plus fuyant qu’un saumon dans une mer d’huile.

Et du côté du tarif ? Il reste l’un des (si pas LE) plus intéressants en termes de rapport qualité/prix puisqu’il ne coûte que 64,48€ TTC pour 27 mois de couverture (2 ans + 3 mois offerts). Soit moins de 2.4€/mois. Un petit paiement et hop, toute la famille est tranquille jusqu’en … 2028 ! Et d’ici là, autant vous dire qu’on sera dans un autre monde, sans doute bien différent.

Profitez de l’offre du moment !

Il ne reste plus que quelques heures pour profiter de Proton VPN à moins de 3 euros [Sponso]

Cet article a été réalisé en collaboration avec Proton VPN

Le Cyber Monday est là et Proton a décidé de prolonger son offre du Black Friday pour encore quelques jours avec son abonnement à - 75 %.

Cet article a été réalisé en collaboration avec Proton VPN

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Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender

Avant de faire le plein de bonnes affaires en ligne, quelques précautions s’imposent. Faisons le point sur ces petites actions pourtant incontournables à mettre en place avant de finaliser ses achats.

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Pourquoi les gamers utilisent un VPN sur Battlefield 6 et Black Ops 7 ?

– Article en partenariat avec NordVPN –

Vous aviez remarqué que depuis quelques années, les joueurs de FPS multijoueurs sont de plus en plus nombreux à passer par un VPN ? Et non, ce n’est pas pour télécharger des trucs louches en cachette mais pour une raison bien plus technique.

Et avec la sortie de Battlefield 6 en octobre dernier et Black Ops 7 mi-novembre, ce sujet revient en force, alors je me suis demandé mais pourquoi diable utiliser un VPN pour jouer ?

Le truc, c’est que même si ces deux jeux gèrent leur matchmaking de façon complètement différente, dans les deux cas, un VPN peut vous sauver la mise. Battlefield 6 mise en effet principalement sur un matchmaking basé sur la géolocalisation et la connexion, sans SBMM agressif (le fameux Skill-Based Matchmaking qui vous colle systématiquement avec des gens de votre niveau).

Cela veut dire que si vous habitez en France ou aux États-Unis, zones ultra-peuplées de joueurs, vous vous taperez des parties hyper compétitives en permanence avec très peu de bots. À l’inverse, si vous êtes au Moyen-Orient, en Australie ou en Nouvelle-Zélande, vous vous retrouverez dans des lobbies où une bonne partie des participants sont des IA pour combler les places vides. Sympa pour se détendre donc mais moins pour progresser.

Pour Black Ops 7, c’est l’inverse qui pose problème car malgré les promesses d’Activision de minimiser le SBMM, le système vous matche constamment avec des adversaires de votre niveau exact, rendant chaque partie aussi tendue qu’une finale de championnat. Du coup, les joueurs râlent fort ! Grosse flemme pour ceux qui veulent juste faire quelques kills tranquilles après une journée de boulot.

Voilà où le VPN entre en jeu !

Vous l’aurez compris, techniquement, quand vous lancez une recherche de partie, le jeu prend en compte votre localisation, votre ping estimé et le nombre de joueurs disponibles dans votre zone. En vous connectant via un serveur VPN situé dans une autre région, vous perturbez ces paramètres et le système pense dans certains cas que vous aurez un ping élevé et assouplit parfois ses critères de matchmaking.

Pour Battlefield 6, un joueur européen qui veut des lobbies avec des bots peut se connecter à un serveur VPN au Moyen-Orient, en Océanie ou en Asie du Sud-Est. Comme je vous le disais, ces zones ont moins de joueurs, et donc le jeu remplit les places vides avec de l’IA. L’astuce bonus c’est de viser les heures creuses de la région ciblée, entre 3h et 7h du matin heure locale, quand la population de joueurs humains chute.

Pour Black Ops 7, la technique est différente car il faut se connecter à des régions où il sera tôt le matin ou tard le soir. Moins de joueurs connectés signifie un pool plus restreint, donc le SBMM n’a pas d’autre choix que de mélanger les niveaux. Les régions comme l’Afrique centrale (Kenya, Ghana) ou certaines parties de l’Asie (Inde, Taiwan) sont souvent recommandées par les joueurs.

Après, un VPN pour le gaming, ça ne s’improvise pas. Donc oubliez les VPN gratuits avec leur bande passante limitée, leurs serveurs bondés, et parfois même des risques de sécurité. Le jeu en ligne ça demande du débit et surtout une latence minimale.

Pour cela, le protocole WireGuard est actuellement ce qui se fait de mieux pour ça. Il est conçu pour être rapide et léger, avec une latence supplémentaire quasi imperceptible sur un bon serveur. Comparé à OpenVPN qui peut ajouter 5 à 10 ms facilement, c’est le jour et la nuit pour du gaming compétitif.

WireGuard utilise des primitives cryptographiques modernes (ChaCha20, Poly1305) qui sont moins gourmandes en CPU que l’AES traditionnel sur les machines sans accélération matérielle. Et pour optimiser encore un peu plus les performances, les experts recommandent d’ajuster le MTU (autour de 1412 pour éviter la fragmentation des paquets).

Enfin, au-delà du matchmaking, un VPN gaming (lien affilié) offre d’autres avantages non négligeables comme la protection contre les attaques DDoS. En masquant votre IP réelle, vous empêchez les mauvais perdants de vous déconnecter en pleine partie. En effet, certains joueurs toxiques récupèrent votre IP via des outils tiers mal sécurisés, et bombardent votre connexion pour vous faire ragequit. Avec un VPN, ils tapent sur le serveur VPN, et pas sur votre box.

Il y a aussi la question du throttling car certains FAI détectent le trafic de jeu et réduisent volontairement votre bande passante, surtout aux heures de pointe. En chiffrant votre connexion, un VPN peut parfois empêcher un FAI de savoir que vous jouez. Du coup, vous avez une connexion stable et sans bridage.

Et si vous jouez sur des réseaux publics (hôtel, café, aéroport), le chiffrement du VPN protège vos identifiants de jeu et vos données personnelles contre l’interception.

Après pour les joueurs console, il y a une subtilité car les PS5 et les Xbox ne supportent pas nativement les applications VPN. Il faut donc passer par votre routeur. Heureusement, la plupart des VPN gaming proposent des guides pour configurer ça sur les routeurs compatibles (généralement ceux sous firmware DD-WRT, Tomato ou les routeurs pré-configurés). NordVPN par exemple offre cette possibilité avec son protocole NordLynx (leur implémentation de WireGuard) et plus de 8000 serveurs dans plus de 110 pays.

🎮 VPN recommandé pour le gaming

Pour optimiser votre matchmaking et protéger votre connexion en jeu, NordVPN coche toutes les cases :

  • ✓ Protocole NordLynx (basé sur WireGuard) pour une latence minimale
  • ✓ Plus de 8000 serveurs dans 110+ pays pour cibler n'importe quelle région
  • ✓ Protection DDoS et masquage de votre IP réelle
  • ✓ Compatible routeur pour PS5/Xbox + jusqu'à 10 appareils simultanés
  • ✓ Garantie satisfait ou remboursé 30 jours

Tester NordVPN pour le gaming → (lien affilié)

Attention quand même aux risques, car les développeurs ne sont pas dupes.

En effet, en 2025, les systèmes anti-triche sont devenus plus malins et certains jeux détectent les comportements suspects et peuvent appliquer des shadowbans aux comptes qui manipulent trop souvent le matchmaking.

Un shadowban, c’est quand vous pouvez toujours jouer, mais uniquement contre d’autres joueurs suspects ou des cheaters. Sympa l’ambiance… Je précise quand même qu’utiliser un VPN n’est pas interdit en soi, c’est la manipulation répétée et abusive du matchmaking qui peut déclencher des alertes.

Et n’oubliez pas que changer de région ne garantit pas forcement des lobbies faciles. C’est surtout un effet secondaire du timing, de la population et de la région, et pas une certitude car un lobby peut être peu peuplé mais contenir quand même des tryharders locaux qui n’attendent que de vous massacrer.

Bref, utiliser un VPN pour le gaming c’est une pratique qui peut réellement améliorer votre expérience, que ce soit pour trouver des lobbies moins compétitifs sur Battlefield 6 ou tenter d’échapper au SBMM oppressant de Black Ops 7, mais comme tout outil, ça demande de comprendre comment ça fonctionne et apprendre à l’utiliser intelligemment.

VPN : Site-to-site, distant, bidouillage maison… Quand (et quoi) utiliser pour naviguer, bosser, etc.

– Article en partenariat avec Surfshark

À force d’entendre parler « du » VPN comme d’un bloc tout-puissant, on finirait presque par oublier qu’il existe plusieurs espèces de VPN sur Internet. Pour l’utilisateur lambda ou le pro du télétravail, la question cruciale, ce n’est pas juste « ai-je besoin d’un VPN ? »… mais « lequel ? ». Et là, la différence entre site-to-site et accès distant peut complètement changer votre expérience numérique.

Petite anatomie des VPN : deux familles, deux philosophies

D’un côté le VPN de site-à-site : il s’agit de liaisons sécurisées entre réseaux physiques. Prenons l’exemple d’une entreprise dont le siège social est à Paris et qui possède une filiale à Montréal. Les 2 bossent sur le même intranet comme si elles étaient côte à côte. Ici, on connecte deux groupes d’ordinateurs, de façon permanente et (surtout) sans qu’aucun utilisateur n’ait rien à faire à son niveau.

De l’autre on a le Remote access VPN (VPN à accès distant) : un accès sécurisé à distance, pour l’indépendant, l’employé en télétravail ou le geek nomade qui choisit où il code. Ici, c’est la machine qui se connecte au réseau, via un tunnel chiffré, et l’utilisateur décide quand activer ou couper la connexion. Ce modèle donne la liberté ultime, de sa maison dans la Creuse à une plage thaïlandaise obscure.

Surfshark, l’arsenal tout-en-un… et plug and play

Au-delà des protocoles, Surfshark brille par son accès instantané : création du compte, choix du serveur, tout est fait pour connecter la planète en trois clics. Que ce soit pour cacher son identité, consulter une ressource du bureau, ou sécuriser la session Wi-Fi du café du coin. Ses fonctions phares incluent :

  • CleanWeb : blocage des publicités, des trackers, du phishing, des malwares & Co pour une navigation plus rapide et moins polluée.
  • Kill Switch : si le VPN lâche, tout le trafic est instantanément coupé pour éviter les fuites d’IP ou de données sensibles.
  • Mode Camouflage : votre opérateur ne verra même pas ce que vous faites.
  • Rotation d’IP : votre adresse change régulièrement et automatiquement sans intervention de votre part et sans couper votre surf
  • Split tunneling (Bypasser) : choisissez quelles applis passent par le VPN ou non. Pratique pour le streaming local et la sécurité en même temps.
  • MultiHop dynamique : deux bonds de VPN pour brouiller un peu mieux les pistes (double chiffrement et anonymisation).
  • Protocole WireGuard/OpenVPN/IKEv2 : sécurité et rapidité, config adaptée à tous les usages (streaming, télétravail, gaming, etc.).

Quand choisir un VPN site-to-site ?

Le site-to-site, c’est le choix naturel des entreprises avec plusieurs antennes ou bureaux. On connecte deux réseaux LAN via un tunnel IPsec, configuration permanente gérée au niveau des routeurs ou firewalls. Les avantages : il n’y a personne à former, pas de logiciels à déployer partout, l’administration est centralisée et pas de « bouton » VPN à activer localement. Les inconvénients : mise en place plus complexe, peu flexible pour le télétravail individuel, inutile pour l’utilisateur mobile ou nomade.

Typiquement, Surfshark ne cible pas ce segment : ce sont les routeurs/matériels pros ou les grands comptes qui gèrent ce genre de VPN, alors que Surfshark vise une expérience utilisateur directe, multi-appareils, et prête à l’emploi. Mais cela reste jouable malgré tout.

source image : Surfshark

Quand privilégier un remote VPN (accès distant) ?

Ici, on rentre dans le cœur du marché Surfshark . Vous êtes en déplacement, mais vous voulez accéder à votre NAS maison, serveur du bureau ou contourner une restriction géobloquée ? On lance le VPN, on choisit le pays, le serveur, et le tunnel est ouvert en 2 secondes.

Comme je le mentionnais plus haut, il est ultra flexible (compatible tous OS/appareils, sans config complexe, ni besoin d’un support IT), adapté autant au salarié en télétravail, au freelance sur Wi-Fi public qu’au gamer ou au parent qui veut sécuriser la connexion de toute la famille (puisqu’il est l’un des seuls du marché à proposer un nombre de connexions illimitées).

Le remote VPN permet aussi la connexion éphémère : aucun engagement, on coupe tout quand on veut, et la sécurité reste maximale.

Petit tableau comparatif

CaractéristiqueSite-to-site VPNRemote access VPN (Surfshark)
CibleRéseaux d’entreprises/multi-sitesIndividus, télétravailleurs, familles
InstallationRouteurs/firewalls sur chaque siteApplication sur chaque appareil
ConnexionContinue (toujours active, réseau à réseau)À la demande (lorsque l’utilisateur le choisit)
Facilité d’utilisationInvisible pour l’utilisateur finalHyper simple via appli, accessible à tous
SécuritéChiffrement IPsec, administration réseau préciseChiffrement AES-256, Kill Switch, CleanWeb, MultiHop
Gestion des utilisateursCentralisée, informatique dédiéeContrôle et personnalisation par utilisateur
Cas d’usage typiqueBureaux internationaux, filiales, réseaux d’entrepriseTélétravail, nomadisme, protection familiale
LimitesPeu flexible, technique, pas pour l’utilisateur lambdaMoins adapté à la connexion automatique réseaux LAN entre entreprises

Choisir l’adaptabilité sans les galères

Le grand plus de Surfshark, c’est de donner à chacun la bonne dose de sécurité, où qu’il soit, et sans amener la complexité d’un déploiement façon entreprise. Si vous êtes du genre à bosser dans le train ou à streamer des séries d’un autre continent, son architecture privilégie l’humain, non la bureaucratie. Au final : ceux qui veulent un VPN « clé en main », simple, puissant et riche en fonctions avancées (sans le casse-tête du site-à-site), savent désormais que Surfshark coche toutes les cases et joue la carte de la simplicité, partout, pour tous.

Et ce qui ne gâche rien à la recette c’est qu’il reste parmi les tout meilleurs en ce qui concerne le rapport qualité-prix. L’abonnement 2 ans (+3 mois offerts) est toujours à tarif cassé en cette fin d’année, 64.5€ TTC pour 27 mois de couverture, avec la création d’identités alternatives incluse. Et si vous pouvez vous faire rembourser la TVA, ça fera encore quasi 11€ de moins (53.74€).

Essayez Surfshark VPN au meilleur prix !

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