VPN : Site-to-site, distant, bidouillage maison… Quand (et quoi) utiliser pour naviguer, bosser, etc.
À force d’entendre parler « du » VPN comme d’un bloc tout-puissant, on finirait presque par oublier qu’il existe plusieurs espèces de VPN sur Internet. Pour l’utilisateur lambda ou le pro du télétravail, la question cruciale, ce n’est pas juste « ai-je besoin d’un VPN ? »… mais « lequel ? ». Et là, la différence entre site-to-site et accès distant peut complètement changer votre expérience numérique.
Petite anatomie des VPN : deux familles, deux philosophies
D’un côté le VPN de site-à-site : il s’agit de liaisons sécurisées entre réseaux physiques. Prenons l’exemple d’une entreprise dont le siège social est à Paris et qui possède une filiale à Montréal. Les 2 bossent sur le même intranet comme si elles étaient côte à côte. Ici, on connecte deux groupes d’ordinateurs, de façon permanente et (surtout) sans qu’aucun utilisateur n’ait rien à faire à son niveau.
De l’autre on a le Remote access VPN (VPN à accès distant) : un accès sécurisé à distance, pour l’indépendant, l’employé en télétravail ou le geek nomade qui choisit où il code. Ici, c’est la machine qui se connecte au réseau, via un tunnel chiffré, et l’utilisateur décide quand activer ou couper la connexion. Ce modèle donne la liberté ultime, de sa maison dans la Creuse à une plage thaïlandaise obscure.
Surfshark, l’arsenal tout-en-un… et plug and play
Au-delà des protocoles, Surfshark brille par son accès instantané : création du compte, choix du serveur, tout est fait pour connecter la planète en trois clics. Que ce soit pour cacher son identité, consulter une ressource du bureau, ou sécuriser la session Wi-Fi du café du coin. Ses fonctions phares incluent :
- CleanWeb : blocage des publicités, des trackers, du phishing, des malwares & Co pour une navigation plus rapide et moins polluée.
- Kill Switch : si le VPN lâche, tout le trafic est instantanément coupé pour éviter les fuites d’IP ou de données sensibles.
- Mode Camouflage : votre opérateur ne verra même pas ce que vous faites.
- Rotation d’IP : votre adresse change régulièrement et automatiquement sans intervention de votre part et sans couper votre surf
- Split tunneling (Bypasser) : choisissez quelles applis passent par le VPN ou non. Pratique pour le streaming local et la sécurité en même temps.
- MultiHop dynamique : deux bonds de VPN pour brouiller un peu mieux les pistes (double chiffrement et anonymisation).
- Protocole WireGuard/OpenVPN/IKEv2 : sécurité et rapidité, config adaptée à tous les usages (streaming, télétravail, gaming, etc.).
Quand choisir un VPN site-to-site ?
Le site-to-site, c’est le choix naturel des entreprises avec plusieurs antennes ou bureaux. On connecte deux réseaux LAN via un tunnel IPsec, configuration permanente gérée au niveau des routeurs ou firewalls. Les avantages : il n’y a personne à former, pas de logiciels à déployer partout, l’administration est centralisée et pas de « bouton » VPN à activer localement. Les inconvénients : mise en place plus complexe, peu flexible pour le télétravail individuel, inutile pour l’utilisateur mobile ou nomade.
Typiquement, Surfshark ne cible pas ce segment : ce sont les routeurs/matériels pros ou les grands comptes qui gèrent ce genre de VPN, alors que Surfshark vise une expérience utilisateur directe, multi-appareils, et prête à l’emploi. Mais cela reste jouable malgré tout.
source image : Surfshark
Quand privilégier un remote VPN (accès distant) ?
Ici, on rentre dans le cœur du marché Surfshark . Vous êtes en déplacement, mais vous voulez accéder à votre NAS maison, serveur du bureau ou contourner une restriction géobloquée ? On lance le VPN, on choisit le pays, le serveur, et le tunnel est ouvert en 2 secondes.
Comme je le mentionnais plus haut, il est ultra flexible (compatible tous OS/appareils, sans config complexe, ni besoin d’un support IT), adapté autant au salarié en télétravail, au freelance sur Wi-Fi public qu’au gamer ou au parent qui veut sécuriser la connexion de toute la famille (puisqu’il est l’un des seuls du marché à proposer un nombre de connexions illimitées).
Le remote VPN permet aussi la connexion éphémère : aucun engagement, on coupe tout quand on veut, et la sécurité reste maximale.
Petit tableau comparatif
| Caractéristique | Site-to-site VPN | Remote access VPN (Surfshark) |
|---|---|---|
| Cible | Réseaux d’entreprises/multi-sites | Individus, télétravailleurs, familles |
| Installation | Routeurs/firewalls sur chaque site | Application sur chaque appareil |
| Connexion | Continue (toujours active, réseau à réseau) | À la demande (lorsque l’utilisateur le choisit) |
| Facilité d’utilisation | Invisible pour l’utilisateur final | Hyper simple via appli, accessible à tous |
| Sécurité | Chiffrement IPsec, administration réseau précise | Chiffrement AES-256, Kill Switch, CleanWeb, MultiHop |
| Gestion des utilisateurs | Centralisée, informatique dédiée | Contrôle et personnalisation par utilisateur |
| Cas d’usage typique | Bureaux internationaux, filiales, réseaux d’entreprise | Télétravail, nomadisme, protection familiale |
| Limites | Peu flexible, technique, pas pour l’utilisateur lambda | Moins adapté à la connexion automatique réseaux LAN entre entreprises |
Choisir l’adaptabilité sans les galères
Le grand plus de Surfshark, c’est de donner à chacun la bonne dose de sécurité, où qu’il soit, et sans amener la complexité d’un déploiement façon entreprise. Si vous êtes du genre à bosser dans le train ou à streamer des séries d’un autre continent, son architecture privilégie l’humain, non la bureaucratie. Au final : ceux qui veulent un VPN « clé en main », simple, puissant et riche en fonctions avancées (sans le casse-tête du site-à-site), savent désormais que Surfshark coche toutes les cases et joue la carte de la simplicité, partout, pour tous.
Et ce qui ne gâche rien à la recette c’est qu’il reste parmi les tout meilleurs en ce qui concerne le rapport qualité-prix. L’abonnement 2 ans (+3 mois offerts) est toujours à tarif cassé en cette fin d’année, 64.5€ TTC pour 27 mois de couverture, avec la création d’identités alternatives incluse. Et si vous pouvez vous faire rembourser la TVA, ça fera encore quasi 11€ de moins (53.74€).
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