Lors de la conférence Meta Connect 2025, Mark Zuckerberg a présenté les nouvelles Meta Ray-Ban Display, premières lunettes de la marque équipées d’un écran de réalité augmentée. Mais la démonstration censée prouver leur potentiel a vite tourné au malaise.

Numerama a essayé en avant-première les Meta Ray-Ban Display, les premières lunettes du marché avec un écran intégré et un bracelet neuronal pour contrôler l'interface. Bluffantes, futuristes et positionnées à un tarif étrangement raisonnable, les héritières des Google Glass souffrent de quelques défauts de jeunesse et d'une disponibilité limitée.

Après un premier essai avec les Oakley Meta HSTN, des lunettes connectées cousines des Ray-Ban Meta, l'équipementier Oakley dévoile les Oakley Meta Vanguard, sa première monture conçue pour les sportifs. Le design change totalement avec ce produit qui risque de faire des ravages.

Esthétiquement identiques aux premières Ray-Ban Meta, les nouvelles lunettes Ray-Ban Meta 2 s'améliorent sur deux aspects : l'autonomie et la vidéo.

Deux jours avant sa grande conférence Meta Connect, le groupe de Mark Zuckerberg a publié sur YouTube une vidéo de ses futures lunettes, dont une édition inédite avec un écran et un bracelet de contrôle. Une grosse erreur pour une entreprise qui avait jusque-là évité les leaks.

Le service de messagerie instantanée Whatsapp a annoncé, le 5 août 2025, la mise en service de nouvelles mesures de sécurité pour lutter contre les arnaques en ligne. L'application affichera notamment des messages de prévention avant que vous n'entamiez une discussion avec un groupe ou un interlocuteur inconnu.

Selon des informations issues de la chaîne d'approvisionnement, Meta aurait relancé son projet de montre connectée dotée d'une caméra et de fonctionnalités d'intelligence artificielle, avec une présentation potentielle lors de sa conférence en septembre.

L’article Meta pourrait lancer une montre connectée avec caméra et IA à la rentrée est apparu en premier sur Tom’s Hardware.

Sur Instagram ou Facebook, Meta force désormais ses utilisateurs à faire un choix clair : payer pour naviguer sans publicité ou bien accepter le traitement de vos données personnelles pour continuer à utiliser les réseaux sociaux gratuitement.