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Microsoft écarte les antivirus du noyau de Windows — un tournant pour la stabilité système

En juillet 2024, une mise à jour défectueuse du logiciel CrowdStrike a déclenché des crashes BSOD sur 8,5 millions de machines Windows, affectant notamment des aéroports, des banques et des hôpitaux. Ce blocage massif a entraîné une refonte des politiques de stabilité et de sécurité de Windows.

Le Windows Resiliency Initiative (WRI)

Microsoft a ainsi lancé en 2024 son initiative Windows Resiliency Initiative (WRI), avec pour objectif :

  • restreindre l’accès direct au noyau,
  • renforcer les contrôles de sécurité pour les drivers et les apps sensibles.

Désormais, la société annonce un virage majeur : les antivirus et solutions EDR (Endpoint Detection and Response) ne pourront plus s’exécuter en mode noyau, mais devront fonctionner en mode utilisateur.

Comment cela va-t-il se passer ?

Pour amorcer cette transition, Microsoft a déjà lancé une préversion privée de sa nouvelle architecture de sécurité, actuellement testée par plusieurs éditeurs majeurs d’antivirus comme CrowdStrike, Bitdefender, ESET, Trend Micro ou encore SentinelOne. Ces partenaires participent à un programme baptisé Microsoft Virus Initiative 3.0, qui vise à co-développer une nouvelle série d’APIs dédiées à l’exécution des antivirus en mode utilisateur. Microsoft leur fournit une documentation technique, des outils de test et un accompagnement pour adapter leurs moteurs de détection à cette nouvelle structure, sans accès direct au noyau du système. L’objectif est de permettre à ces solutions de continuer à offrir un haut niveau de protection, tout en éliminant les risques liés à l’exécution de code tiers dans les couches les plus sensibles de Windows. Une fois les retours consolidés et les ajustements effectués, cette architecture sera intégrée progressivement aux futures versions de Windows, notamment via Windows 11 24H2.

Quelles conséquences ?

Avantages :

  • Stabilité renforcée : réduire le risque de plantages en noyau, comme celui constaté avec CrowdStrike.
  • Reprise rapide : grâce à la future fonctionnalité Quick Machine Recovery, un système non démarrable pourra se répararer automatiquement depuis Windows RE, bientôt incluse dans la version 24H2 de Windows 11.
  • Diagnostic plus clair : l’équipe Windows a retravaillé le BSOD — nouveau « Black Screen », épuré, lisible, avec les codes et les drivers listés directement.

Inconvénients et défis :

  • Performance : exécuter des antivirus en mode utilisateur pourrait affecter les performances ou la vitesse d’analyse.
  • Contre‑attaques : certains anti‑cheat jeux, encore très ancrés dans le noyau, devront migrer et repenser leur architecture.
  • Sécurité à repenser : les AV en mode utilisateur seront plus isolés, mais aussi plus vulnérables à des interférences par d’autres apps — un équilibre à atteindre.

Vers une refonte complète des systèmes anti-triche

En parallèle du retrait des antivirus du noyau, Microsoft ambitionne de revoir en profondeur les systèmes anti-triche intégrés aux jeux sous Windows. Actuellement, de nombreuses solutions anti-triche (comme Vanguard de Riot ou BattlEye) s’exécutent au niveau noyau, ce qui leur permet de surveiller l’intégrité du système pour détecter les manipulations les plus avancées. Mais cette approche pose un double problème : risque élevé pour la stabilité, et failles de sécurité potentielles si ces outils sont mal conçus. Microsoft souhaite donc fournir une nouvelle plateforme sécurisée en mode utilisateur qui offrirait aux développeurs d’anti-triche les mêmes capacités de détection, sans accès direct au noyau. Ce changement obligera les éditeurs à adapter leur technologie, mais pourrait à terme limiter les plantages liés aux drivers mal codés et réduire les abus d’accès système au nom de la sécurité.

Ce qui arrive bientôt

  • Préversion de la plateforme Endpoint Security aux partenaires, attendue dans les tout prochains mois .
  • Windows 11 version 24H2, prévue cet été, intégrera le « Black Screen of Death » et la fonctionnalité Quick Machine Recovery par défaut.
  • Les logiciels anti‑cheat devront eux aussi s’adapter ou migrer vers des architectures en mode utilisateur à la future API sécurisée .

Verdict

Microsoft fait un choix stratégique : priorité à la stabilité et à la fiabilité. En plaçant les antivirus en espace utilisateur, les risques de crashs à grande échelle devraient être drastiquement atténués. Cependant, cela nécessite des révisions techniques importantes pour les éditeurs d’AV et d’anti-cheat, ainsi qu’un équilibre subtil entre performance et sécurité.

Source(s) : Pureinfotech.com

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DISM erreur 5 (accès refusé) : Les solutions

Vous tentez d’utiliser l’outil DISM (Deployment Imaging Service and Management Tool) pour réparer Windows, mais vous êtes bloqué par l’erreur 5 – « Accès refusé » ? Ce message frustrant est courant, mais heureusement, il existe plusieurs méthodes simples et efficaces pour le résoudre.
Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail les causes possibles de cette erreur et vous guider pas à pas vers les solutions adaptées. Découvrez comment exécuter DISM correctement et retrouver un système Windows pleinement fonctionnel.

Quelles sont les sources de l’erreur 5 sur DISM

Voici les raisons qui peuvent expliquer pourquoi DISM ne fonctionne pas correctement :

  • Commande non exécutée en tant qu’administrateur : C’est la cause la plus fréquente. DISM nécessite des privilèges élevés pour fonctionner. Notez que dans certains cas, cela peut venir d’un bug de l’UAC
  • Problèmes de permissions sur les fichiers système ou les dossiers utilisés : Si DISM tente d’accéder à un répertoire ou à un fichier protégé, il échouera sans les droits nécessaires.
  • Logiciel antivirus ou de sécurité : Certains antivirus peuvent bloquer les opérations système sensibles, comme celles de DISM.
  • Corruption du profil utilisateur : Un profil utilisateur endommagé peut empêcher l’exécution correcte de DISM.
  • Service ou dépendance non démarré(e) : Certains services Windows doivent être actifs pour que DISM fonctionne, comme le service « Windows Modules Installer ».
  • Système de fichiers endommagé : Des erreurs dans le système de fichiers peuvent bloquer l’accès à des composants nécessaires.

Comment corriger l’erreur 5 sur DISM

Exécuter l’invite de commandes en tant qu’administrateur :

  • Dans la recherche Windows, saisissez « Invite de commandes« 
  • Puis à droite, cliquez sur « Exécuter en tant qu’administrateur« 
Ouvrir invite de commandes en administrateur
  • Le contrôle des comptes utilisateurs (UAC) doit se déclencher et vous devez répondre Oui. Si ce dernier n’apparaît pas, il y a un problème.
UAC (contrôle de compte utilisateur) sur l'interpréteur de commandes

Plus de détails, comment ouvrir une invite de commandes en administrateur :

Vérifier les autorisations du dossier de destination

Une autre cause fréquente de l’erreur DISM 5 est un problème de permissions sur le dossier ou le fichier utilisé pendant l’opération. DISM peut tenter d’accéder à une ressource système protégée ou à un dossier dont les autorisations sont insuffisantes.

Quand ce problème se pose :

  • Vous utilisez l’option /ApplyImage, /CaptureImage ou /Mount-Image.
  • Vous spécifiez un chemin de destination personnalisé.
  • Le fichier .wim ou .esd se trouve sur un disque externe ou dans un dossier restreint.

Étapes de vérification et de correction :

  • Assurez-vous que vous avez les droits administrateur sur le dossier : Onglet Sécurité > Modifier > ajoutez votre compte utilisateur avec Contrôle total.
  • Évitez les dossiers système protégés : N’utilisez pas de chemins comme C:\Windows ou C:\Program Files. Préférez un dossier simple comme C:\DISM.
  • Exécutez CMD en tant qu’administrateur (même si vous avez accès au dossier).
Pour être sûr, créez un nouveau dossier à la racine de C:\, par exemple C:\DISM, et utilisez ce chemin dans vos commandes DISM.

Désactiver temporairement l’antivirus

Certains logiciels antivirus peuvent interférer avec les opérations de DISM.
Dans ce cas, désactivez temporairement votre antivirus et réessayez la commande.
Autre solution, tentez la commande depuis le mode sans échec : Comment démarrer Windows en mode sans échec.
Si cela fonctionne en mode sans échec, une application est la source de problèmes d’autorisations pour DISM.

Tentez la commande DISM depuis le compte administrateur intégré

Le compte administrateur intégré n’est pas soumis à l’UAC.
Si ce dernier pose un problème, vous pouvez contourner l’erreur 5 de DISM de cette manière.

Utiliser DISM depuis les options de récupération avancées (WinRE)

Si l’erreur DISM 5 persiste malgré l’exécution en tant qu’administrateur, il est conseillé d’exécuter DISM depuis l’environnement de récupération Windows (WinRE), où le système est moins chargé et les fichiers système ne sont pas verrouillés.
Étapes à suivre :

  • Redémarrer en mode de récupération :
  • Cliquez sur le menu Démarrer, maintenez Shift (Maj) enfoncé et sélectionnez Redémarrer.
  • Ou allez dans Paramètres > Mise à jour et sécurité > Récupération > Redémarrer maintenant sous « Démarrage avancé« .
  • Plus d’aide : Comment démarrer Windows dans les options de récupération
  • Accéder à l’invite de commandes : Dans les options de récupération, cliquez sur Dépannage > Options avancées > Invite de commandes.
  • Identifier la lettre de lecteur Windows :Tapez diskpart, puis list volume pour identifier la lettre de la partition contenant Windows (souvent D: au lieu de C:).
  • Tapez exit pour quitter diskpart.
  • Lancer DISM depuis WinRE avec l’option /Image. Par exemple :
dism /Image:D:\ /Cleanup-Image /RestoreHealth
DISM /Image:D:\ /Cleanup-Image /StartComponentCleanup

Réparer Windows

Tout d’abord, vous pouvez tenter de réparer les composants de Windows à l’aide de l’excellent utilitaire Windows Repair.
Si certains services ne démarrent pas ou sont corrompus, cela peut les réparer. De même si des permissions et autorisations de fichiers sont erronées.
Aidez-vous de ce guide complet : Windows Repair – outil de réparation de Windows.

Lorsque Windows est totalement endommagé et que les problèmes sont trop nombreux, vous pouvez tenter de réparer Windows 10, 11 sans perte de données et en conservant les programmes installés.
Cela permet de rétablir un système fonctionnel à partir des fichiers ISO et images de Windows.
La procédure est décrite pas à pas dans cet article :

Il s’agit d’une opération de réinitialisation et de remise à zéro qui supprime les applications et remet le système à son état d’origine.
C’est la solution radicale pour retrouver un système fonctionnel.
Pour cela :

  • Allez dans Paramètres > Mise à jour et sécurité > Récupération
  • Sous la section Réinitialiser ce PC, clique sur Commencer et choisis si tu veux conserver ou supprimer tes fichiers personnels

Les tutoriels :

Réinitialiser Windows

Consulter les journaux pour plus d’informations :

Les fichiers journaux de DISM peuvent fournir des détails supplémentaires sur l’erreur.

Vérifiez le fichier C:\Windows\Logs\DISM\dism.log pour des informations spécifiques.

Voici un exemple d’entrée de log :

2025-05-24 20:50:33, Info DISM DISM Package Manager: PID=13920 TID=12144 Error in operation: (null) (CBS HRESULT=0x80070005) - CCbsConUIHandler::Error
2025-05-24 20:50:33, Error DISM DISM Package Manager: PID=13920 TID=5276 Failed finalizing changes. - CDISMPackageManager::Internal_Finalize(hr:0x80070005)
2025-05-24 20:50:33, Error DISM DISM Package Manager: PID=13920 TID=5276 Failed processing package changes - CDISMPackageManager::StartComponentCleanupEx(hr:0x80070005)
2025-05-24 20:50:33, Error DISM DISM Package Manager: PID=13920 TID=5276 Failed to start component cleanup. - CPackageManagerCLIHandler::ProcessCmdLine_CleanupImage(hr:0x80070005)
2025-05-24 20:50:33, Error DISM DISM Package Manager: PID=13920 TID=5276 Failed while processing command cleanup-image. - CPackageManagerCLIHandler::ExecuteCmdLine(hr:0x80070005)
2025-05-24 20:50:33, Info DISM DISM Package Manager: PID=13920 TID=5276 Further logs for online package and feature related operations can be found at %WINDIR%\logs\CBS\cbs.log - CPackageManagerCLIHandler::ExecuteCmdLine
2025-05-24 20:50:33, Error DISM DISM.EXE: DISM Package Manager processed the command line but failed. HRESULT=80070005

Ici, 0x80070005 = Access Denied (Accès refusé). Cela indique que DISM n’a pas les droits nécessaires pour finaliser les opérations de nettoyage d’image.

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Microsoft affirme que Windows 11 est jusqu’à trois fois plus rapide que Windows 10, et met l’accent sur la sécurité

Alors que la fin du support de Windows 10 approche (prévue pour le 14 octobre 2025), Microsoft multiplie les communications pour encourager la migration vers Windows 11. Dans deux publications récentes — une sur son blog officiel et une autre relayée par la presse — l’entreprise met en avant les avantages en matière de performance, de sécurité et d’intelligence artificielle de son système actuel. Et le message est clair : Windows 11 est « plus rapide, plus sûr, et plus intelligent » que Windows 10.

Windows 11 : jusqu’à 3x plus rapide sur les PC récents selon Microsoft

Dans un billet publié le 26 juin, Microsoft affirme que les PC optimisés pour Windows 11 (notamment les Copilot+ PC) sont jusqu’à 2 à 3 fois plus rapides que les machines équipées de Windows 10. Cette différence ne concerne pas uniquement la vitesse brute, mais englobe :

  • les temps de démarrage,
  • l’ouverture d’applications,
  • la réactivité globale du système,
  • et l’utilisation de l’intelligence artificielle intégrée (via NPUs, Neural Processing Units).

L’optimisation est particulièrement visible sur les Copilot+ PCs, une nouvelle génération de machines lancée en 2024, conçues autour des architectures ARM64 et intégrant nativement des modèles IA comme Recall ou Live Captions multilingues.

Microsoft précise que ces gains de performance ne sont pas obtenus uniquement par le matériel, mais aussi par des améliorations logicielles profondes dans Windows 11, notamment dans :

  • la gestion de la mémoire,
  • l’utilisation des cœurs de performance/efficacité,
  • le planificateur de tâches système (scheduler),
  • et les pilotes optimisés pour les architectures modernes.

Windows Latest a produit le tableau suivant :

ClaimExample from Test Data
Les PC sous Windows 11 ont jusqu’à 2,7 heures d’autonomie de plus que les PC sous Windows 10Windows 10 – 15.77 hrs
Windows 11 – 20.13 hrs
▶ Différence: +4.36 hrs
Les PC sous Windows 11 sont jusqu’à 2,3 fois plus rapides que les PC sous Windows 10 (Geekbench 6 Multi-core)Windows 10: Testé sur i7-8750H, i5-6200U, etc.
Windows 11: Testé sur i7-1355U, Ultra 5 125H
Windows 11 offre une navigation web jusqu’à 3,2 fois plus rapide que Windows 10 (Speedometer)Testé avec Edge versions 130/131
Appareils :: Win10 (i3-6100U, i5-10210U) vs Win11 (Ultra 5 125U, i5-1335U)
Windows 11 offre une productivité Office jusqu’à deux fois plus rapide (test Procyon Office)Windows 10 utilisant i5-8250U, i7-1065G7
Windows 11 utilisant i5-1335U, Ultra 5 125H
▶ Les ordinateurs modernes équipés de Win11 obtiennent deux fois plus de points dans le test de référence d’Office

Windows 11 : une sécurité de nouvelle génération

Au-delà des performances, Microsoft insiste sur les protections de sécurité intégrées dans Windows 11, que Windows 10 ne peut pas égaler, même avec un antivirus à jour.

Parmi les technologies mises en avant :

Microsoft rappelle que toutes ces fonctionnalités reposent sur des fondations matérielles modernes que Windows 10 ne peut exploiter pleinement. En clair : même bien configuré, Windows 10 reste structurellement moins protégé qu’un PC sous Windows 11 avec les fonctionnalités de sécurité activées.

À lire : Windows 11 et 10 : évolutions des protections de sécurité intégrées contre les virus et malwares

Windows 11 et l’intelligence artificielle embarquée

Les Copilot+ PCs, au cœur de la stratégie Windows 11, intègrent des puces NPU qui permettent d’exécuter localement des fonctions d’intelligence artificielle :

  • Résumés de documents,
  • Traductions en temps réel,
  • Génération de texte ou d’images,
  • Assistant Copilot contextuel dans les applications.

Ces usages ne sont pas compatibles avec Windows 10, et nécessitent à la fois le matériel spécifique et le noyau de Windows 11, optimisé pour ces traitements hybrides (local + cloud).

La fin de Windows 10 approche : Microsoft pousse à la transition

Avec la date de fin de support de Windows 10 fixée au 14 octobre 2025, Microsoft rappelle que les utilisateurs doivent commencer à planifier la migration.
Pour les particuliers, des mises à jour de sécurité seront disponibles jusqu’en 2028 via un abonnement Microsoft 365 (ESU). Pour les entreprises, les mises à jour ESU seront payantes dès 2025.

Mais, Microsoft préfère insister sur une logique de modernisation, plutôt qu’un simple prolongement du support :

“Migrer vers Windows 11, c’est passer sur une plateforme qui protège mieux vos données, travaille plus vite, et tire parti des innovations IA de demain.”

Sur ce sujet : Windows 10 : les mises à jour de sécurité prolongées seront gratuites pour les particuliers via Microsoft 365

À lire :

Source(s) : windowslatest.com

L’article Microsoft affirme que Windows 11 est jusqu’à trois fois plus rapide que Windows 10, et met l’accent sur la sécurité est apparu en premier sur malekal.com.

Enable hidden Windows features with the free ViVeTool

ViVeTool is an open-source tool for Windows 10 and Windows 11 that allows you to enable or disable hidden or experimental Windows features. Microsoft often tests new features in Insider builds that are not immediately visible to all users. This program lets you manually control these hidden features without waiting for official updates.

Source

Windows 11 23H2 : la mise à jour facultative KB5060826 est disponible, que contient-elle ?

Ce 26 juin 2025, Microsoft vient de publier la mise à jour facultative KB5060826 pour tous les utilisateurs de Windows 11 version 23H2 (l’avant-dernière version de Windows 11). Comme toutes les mises à jour mensuelles facultatives, elle offre un aperçu des améliorations et nouvelles fonctionnalités qui seront intégrées dans la future mise à jour mensuelle obligatoire (celle d’août 2025) … Lire la suite

Source

Windows 11 24H2 : la mise à jour facultative KB5060829 est disponible, que contient-elle ?

Ce 26 juin 2025, Microsoft vient de publier la mise à jour facultative KB5060829 pour tous les utilisateurs de Windows 11 version 24H2. Comme toutes les mises à jour mensuelles facultatives, elle offre un aperçu des améliorations et nouvelles fonctionnalités qui seront intégrées dans la future mise à jour mensuelle obligatoire (celle d’août 2025) et ne contient pas aucun … Lire la suite

Source

Windows 11 : un certificat lié aux exigences matérielles va expirer, mais Microsoft rassure

Un certificat fondamental lié aux exigences matérielles de Windows 11 va expirer prochainement, ce qui a suscité des inquiétudes chez certains utilisateurs et observateurs du système. Ce certificat est utilisé pour valider la conformité des machines avec les exigences de démarrage sécurisé (Secure Boot) imposées par Microsoft. Heureusement, Microsoft indique que cela ne compromettra ni la compatibilité, ni la sécurité, mais le sujet mérite quelques éclaircissements.

Quel est ce certificat qui va expirer ?

Le certificat en question fait partie du UEFI Secure Boot DBX (Revoked Signature Database). Il est utilisé pour bloquer le démarrage de composants non approuvés au niveau du firmware, ce qui empêche des logiciels malveillants (comme les bootkits) d’être chargés avant même Windows.

Plus précisément, il s’agit d’un certificat de signature de confiance permettant de vérifier les binaires EFI légitimes (les fichiers qui lancent le démarrage de Windows). Microsoft a utilisé ce certificat dans les phases initiales du développement de Windows 11 pour vérifier que les PC étaient capables d’utiliser le Secure Boot, une des exigences majeures de Windows 11 avec le TPM 2.0.

Ce certificat était intégré dans certains pilotes de validation internes et dans les outils d’auto-test de compatibilité (HSTI) utilisés par les OEM et certains utilisateurs techniques.

Pourquoi son expiration a-t-elle soulevé des inquiétudes ?

Ce certificat expire le 24 juillet 2025. Plusieurs membres de la communauté tech ont soulevé un point important : qu’adviendra-t-il des PC validés à l’aide de ce certificat si celui-ci est révoqué ou n’est plus considéré comme fiable ?

Cela a conduit certains à craindre que :

  • des systèmes valides deviennent incompatibles après cette date,
  • ou que certaines fonctions comme le Secure Boot échouent à se lancer correctement.

Microsoft rassure : pas de risque pour les utilisateurs

Microsoft a officiellement répondu aux interrogations. L’entreprise affirme que l’expiration de ce certificat ne perturbera pas le fonctionnement de Windows 11, ni les mécanismes de Secure Boot déjà en place. L’explication tient à ceci :

Le certificat concerné a été utilisé uniquement durant les phases de vérification des exigences matérielles. Il n’est pas exploité dans les binaires de démarrage actuels du système, ni dans la chaîne de confiance active au quotidien.

En d’autres termes : si votre PC est déjà certifié conforme à Windows 11, vous n’avez rien à faire. Le Secure Boot continuera de fonctionner normalement et votre système ne sera pas rétrogradé ou bloqué.

Et pour les OEM ou professionnels de l’intégration ?

Les constructeurs et intégrateurs qui utilisent encore des outils de validation basés sur ce certificat devront mettre à jour leurs chaînes de test et outils HSTI avant l’été 2025. Microsoft publiera de nouveaux outils de certification adaptés, sans dépendance au certificat expirant.

Cela concerne principalement :

  • les OEM qui fabriquent des PC labellisés « Windows 11 ready »,
  • les équipes IT qui automatisent la validation de parc via des scripts ou des outils UEFI.
Date d’explirationExpiration du certificatCertificat actualiséCe qu’il faitLieu de stockage
Juin 2026Microsoft Corporation KEK CA 2011Microsoft Corporation KEK 2K CA 2023Signe les mises à jour de DB et DBXKey Enrollment Key (KEK)
Microsoft Corporation UEFI CA 2011 (ou une autorité de certification UEFI tierce)*Microsoft Corporation UEFI CA 2023 Microsoft Option ROM UEFI CA 2023Signe les composants tiers du système d’exploitation et des pilotes matériels Signale les ROM optionnelles tiercesAllowed Signature database (DB)
Octobre 2026Microsoft Windows Production PCA 2011Windows UEFI CA 2023Signe le chargeur d’amorçage Windows et les composants d’amorçage

Conclusion

Bien que l’expiration de ce certificat ait pu paraître inquiétante au premier abord, il s’agit d’un composant interne de validation utilisé en amont, et non d’un élément actif dans la chaîne de démarrage du système. Microsoft précise qu’il ne sera pas révoqué et qu’aucune fonctionnalité de sécurité ne sera affectée. Les utilisateurs peuvent donc continuer à utiliser leur PC Windows 11 en toute sérénité.

Pour ces appareils, Microsoft offre une assistance limitée, décrite en détail dans l’article de blog. Vous pouvez également suivre les mises à jour du certificat Windows Secure Boot dans un document d’assistance récemment publié. Un article plus générique est mis à disposition par Microsoft : Windows Secure Boot certificate expiration and CA updates

Source(s) : neowin.net

L’article Windows 11 : un certificat lié aux exigences matérielles va expirer, mais Microsoft rassure est apparu en premier sur malekal.com.

La fin de Windows 10 ! Passez à un Windows 11 propre pour seulement 9 € !

L’échéance se rapproche inexorablement, Windows 10 ne sera bientôt plus maintenu par Microsoft. Il est donc temps d’envisager sérieusement la suite. La solution pourrait bien venir de VIP-URCDKEY qui propose en ce moment Windows LTSC 2024 pour 13€ seulement. Attention, l’offre est limitée dans le temps !

L’article La fin de Windows 10 ! Passez à un Windows 11 propre pour seulement 9 € ! est apparu en premier sur Tom’s Hardware.

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Windows 10 : les mises à jour de sécurité prolongées seront gratuites pour les particuliers via Microsoft 365

À l’approche de la fin officielle du support de Windows 10, Microsoft clarifie sa stratégie de transition pour les utilisateurs restés sur l’ancienne version de son système. Alors que le support standard prendra fin le 14 octobre 2025, l’entreprise annonce que les mises à jour de sécurité étendues (ESU) seront gratuites pour les particuliers, à condition d’utiliser Microsoft 365.

Fin de support en 2025 : que cela signifie-t-il ?

Microsoft a annoncé depuis longtemps que Windows 10 ne recevra plus de mises à jour de sécurité régulières après octobre 2025. Cela concerne toutes les éditions, y compris Windows 10 Home et Pro. Au-delà de cette date, les systèmes non migrés vers Windows 11 deviendront plus vulnérables, car les failles découvertes ne seront plus corrigées.

Cependant, comme pour Windows 7 à son époque, Microsoft mettra en place un programme de mises à jour de sécurité étendues (ESU), qui permet de continuer à recevoir des correctifs critiques pendant trois années supplémentaires, soit jusqu’en octobre 2028.

Mises à jour gratuites… mais avec conditions

La principale nouveauté est que, contrairement à Windows 7 où l’ESU était payant, les particuliers pourront bénéficier de ces mises à jour gratuitement, mais uniquement via Microsoft 365.

Concrètement :

  • Les utilisateurs de Microsoft 365 (famille ou personnel) qui continueront à utiliser Windows 10 après 2025 recevront les mises à jour de sécurité critiques sans frais supplémentaires.
  • Cela permet à Microsoft de protéger les utilisateurs actifs tout en les incitant à rester dans son écosystème.

À noter : les entreprises, elles, devront payer un abonnement annuel ESU pour continuer à recevoir les correctifs, comme c’était le cas avec Windows 7. Les détails tarifaires seront communiqués ultérieurement.

Une solution de transition avant migration

Microsoft ne recommande pas de rester sous Windows 10 à long terme. L’objectif reste clair : faire migrer les utilisateurs vers Windows 11, notamment pour bénéficier des dernières protections système (TPM 2.0, VBS, Smart App Control…). Mais cette initiative vise à éviter que des millions de machines soient exposées sans protection dès octobre 2025.

Cette approche est aussi une réponse aux nombreuses entreprises et particuliers qui n’ont pas encore migré, souvent pour des raisons de compatibilité logicielle, de coût ou simplement par choix matériel.

Comment bénéficier des mises à jour après 2025 ?

Pour les particuliers :

  • Il faudra être connecté à un compte Microsoft lié à un abonnement actif Microsoft 365 Famille ou Personnel.
  • Les mises à jour seront automatiquement proposées via Windows Update (comme aujourd’hui), sans procédure complexe.

Pour les entreprises :

  • Il faudra probablement souscrire à une licence ESU via Microsoft Volume Licensing ou via Intune.
  • Un abonnement annuel sera requis, avec un prix croissant chaque année.

À lire : ESU Windows : comment continuer à recevoir des mises à jour de sécurité après la fin de support

En résumé

  • Fin du support standard : 14 octobre 2025
  • Mises à jour de sécurité étendues (ESU) : jusqu’en octobre 2028
  • Gratuites pour les particuliers disposant de Microsoft 365
  • Payantes pour les entreprises, via abonnement annuel
  • Objectif : laisser plus de temps à ceux qui ne peuvent pas migrer immédiatement vers Windows 11, sans compromettre leur sécurité

Cette décision de Microsoft marque un changement stratégique dans la gestion de fin de vie d’un système, combinant incitation commerciale (via 365) et souci de sécurité pour éviter une nouvelle génération de machines vulnérables post-2025.

Fin de support de Windows 10 et ESU (Extened Security Updates)
Source(s) : pureinfotech.com

L’article Windows 10 : les mises à jour de sécurité prolongées seront gratuites pour les particuliers via Microsoft 365 est apparu en premier sur malekal.com.

Windows 11 24H2: la mise à jour KB5060829 apporte des icônes redimensionnables, un nouvel outil de migration, et plus encore

Microsoft continue d’enrichir Windows 11 avec des nouveautés discrètes mais bienvenues. Avec la mise à jour KB5060829, actuellement disponible pour les Insiders en canal Canary (build 26241), plusieurs fonctionnalités expérimentales et ajustements de l’interface ont été introduits. Ces ajouts concernent autant l’ergonomie du bureau que la préparation à la migration vers un nouveau PC.

Icônes de la barre des tâches redimensionnables

L’une des principales nouveautés de cette build est la possibilité de redimensionner les icônes de la barre des tâches. Une option longtemps demandée par les utilisateurs, notamment sur les écrans haute résolution ou pour ceux qui souhaitent un affichage plus compact.

Bien que la fonctionnalité soit encore en phase de test (via une activation via vivetool ou A/B testing), elle ouvre la voie à une personnalisation plus fine de l’espace de travail, particulièrement utile sur les écrans tactiles ou les configurations multi-écrans.

Un nouvel outil de migration PC

Microsoft introduit également une expérience de migration repensée pour faciliter la configuration d’un nouvel appareil Windows 11. Lors de la première configuration d’un nouveau PC, l’utilisateur peut désormais reprendre plus facilement ses préférences et fichiers depuis un ancien appareil, via son compte Microsoft.

Ce nouvel assistant se rapproche de ce que propose Apple avec iCloud ou Google avec Android, permettant une transition plus fluide d’un ancien PC vers un nouveau, avec :

  • la reprise des paramètres de personnalisation,
  • l’historique des applications installées,
  • et des recommandations contextuelles lors de la configuration.

Microsoft vise ici à réduire les frictions lors du changement de machine, en rendant le processus moins technique et plus automatisé pour les utilisateurs non experts.

Améliorations de l’expérience de configuration (OOBE)

Toujours dans cet esprit, la séquence OOBE (Out Of Box Experience) a été ajustée. Elle propose désormais une interface plus dynamique, avec davantage de suggestions visuelles et une meilleure présentation des options liées à Microsoft 365, OneDrive et aux paramètres de confidentialité. Ces ajustements visent à rendre l’expérience plus cohérente et moins intrusive.

Autres changements techniques et corrections

La build 26241 (et donc la KB5060829) embarque aussi plusieurs corrections de bugs et ajustements internes, notamment :

  • des améliorations de stabilité pour les appareils ARM64,
  • des ajustements dans le système de prédiction de saisie et suggestions de texte,
  • la préparation de certaines fonctionnalités encore désactivées par défaut, mais visibles pour les testeurs avancés via ViVeTool.

À noter que certaines de ces nouveautés sont encore déployées par vagues (A/B testing) et peuvent ne pas apparaître immédiatement chez tous les utilisateurs du canal Canary.

Une mise à jour orientée utilisateur et continuité

La mise à jour KB5060829 n’introduit pas de rupture majeure, mais elle continue de montrer la volonté de Microsoft de raffiner Windows 11 par petites touches : plus de personnalisation, une meilleure portabilité entre appareils, et des outils mieux intégrés à l’écosystème Microsoft.

Elle préfigure sans doute plusieurs fonctionnalités qui seront généralisées dans la mise à jour majeure Windows 11 24H2, attendue plus tard cette année.

Vous pouvez télécharger la KB5060829 en allant dans Paramètres > Windows Update. Vous pouvez également l’obtenir à partir du catalogue de mises à jour de Microsoft en cliquant sur ce lien.

La liste complète des nouveautés : https://support.microsoft.com/fr-fr/topic/june-26-2025-kb5060829-os-build-26100-4484-preview-e31ba7c2-ff65-4863-a462-a66e30840b1a

KB5060829 dans Windows Update
Source(s) : neowin.net

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Windows 11 : les mises à jour n’imposeront plus de redémarrage par défaut sur les PC professionnels

Microsoft continue d’améliorer l’expérience de gestion des mises à jour sous Windows 11, en particulier dans les environnements professionnels. À partir des prochaines versions de Windows 11, les mises à jour de sécurité et de fonctionnalités ne nécessiteront plus automatiquement un redémarrage du système, notamment sur les PC configurés comme “bureautiques” (office PCs).

Concrètement, cela signifie que lorsqu’un correctif est déployé, Windows tentera d’appliquer les mises à jour sans interruption directe pour l’utilisateur. Le système privilégiera une approche plus souple : appliquer les correctifs en arrière-plan et différer le redémarrage aussi longtemps que possible, afin de limiter les coupures de travail non planifiées.

Cette nouvelle approche s’inscrit dans la logique des environnements d’entreprise où les interruptions causées par un redémarrage peuvent impacter la productivité, notamment dans des postes partagés, des salles de réunion ou des chaînes de production informatisées. Microsoft précise que cette règle ne concerne pour l’instant que certains types de postes identifiés comme office PCs, probablement selon leur profil dans Active Directory ou selon les stratégies de groupe appliquées.

Cela ne signifie pas que les redémarrages sont complètement supprimés. Certains correctifs critiques, comme ceux concernant le noyau, les pilotes ou des failles de sécurité majeures, continueront à nécessiter un redémarrage immédiat. Mais pour les mises à jour plus légères, Windows tentera désormais de les appliquer à chaud, sans perturber la session en cours.

Cette évolution répond aussi à une demande ancienne des administrateurs IT, qui jonglent depuis des années entre la sécurité (mettre à jour rapidement) et l’usage métier (ne pas déranger l’utilisateur). Microsoft poursuit donc sa stratégie d’automatisation “silencieuse” des updates, avec une meilleure adaptation au contexte machine.

Le changement devrait être actif d’ici la fin 2025, probablement intégré aux builds de Windows 11 24H2 ou ultérieures. Les administrateurs pourront ajuster ce comportement via des politiques spécifiques (GPO/Intune), mais pour de nombreux parcs, il sera activé par défaut.

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Windows 11 24H2 limite la durée de vie des points de restauration à 60 jours

Avec la mise à jour de sécurité de juin 2025 (KB5060842), Microsoft a officialisé une nouvelle limite de conservation pour les points de restauration, désormais fixée à 60 jours maximum sous Windows 11 24H2. Au-delà, les points de restauration seront automatiquement supprimés.

Si jusqu’ici la durée de conservation était fluctuante — certaines installations la fixaient à 90 jours, d’autres parfois à peine 10 — cette mesure apporte une uniformisation bienvenue . Avant la mise à jour, par exemple, certains utilisateurs constataient que leurs points disparaissaient entre 10 et 90 jours.

Microsoft confirme que cette limite s’applique par défaut, à la fois dans la version actuelle de 24H2 et dans toutes les versions futures de cette branche.
La mise à jour cumulative passe la commande suivante :

$key = 'HKLM:\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion\SystemRestore'
(Get-ItemProperty -Path $key -Name RPLifeInterval).RPLifeInterval
5184000

Comme vous pouvez le constater, nous obtenons une valeur de 5184000, ce qui correspond à 60 jours (5184000 ÷ 86 400 secondes).
Un ancien document de support, vieux de 13 ans (aujourd’hui supprimé), indiquait que les points de restauration Windows étaient initialement conçus pour expirer au bout de 90 jours. C’était le cas sous Windows Vista, Windows 7 et les versions suivantes. Par ailleurs, lorsque l’espace disque devenait insuffisant, Windows supprimait automatiquement tous les points de restauration pour libérer de la place — un comportement qui semble toujours d’actualité aujourd’hui.

Et si vous souhaitez conserver vos points plus longtemps ?

Certains utilisateurs s’inquiètent de l’impact de cette limite, notamment ceux qui préfèrent un historique longue durée. Sur Reddit, les avis divergent :

« Mon point de restauration du système expire actuellement tous les 30 jours… Oui, c’est moins que la limite de 90 jours de 10/7. Mais est-ce qu’on peut le changer ? »

« Ne pouvons-nous pas déjà choisir la quantité d’espace allouée… C’est tout simplement stupide. »

Heureusement, il est possible de réajuster manuellement le délai via une clé de registre, voire de la désactiver complètement pour revenir au fonctionnement précédent.
Vous pouvez repasser facilement à 90 jours via la clé RPLifeInterval dans HKLM\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion\SystemRestore.
Modifiez alors la valeur à 7776000.

Modifier délai point de restauration système dans Windows

De même, nombreux sont ceux qui jugent que la sauvegarde régulière (via Macrium Reflect, OneDrive, etc.) est bien plus fiable si le point de restauration échoue ou disparaît soudainement.

Ce que cela signifie pour vous

Cette mise à jour confirme une volonté claire de Microsoft : limiter le stockage long terme des sauvegardes système, probablement pour économiser de l’espace disque et recentrer les utilisateurs vers des solutions de sauvegarde plus robustes.

Pour vous assurer une couverture, il est conseillé de :

  1. Créer régulièrement (au minimum une fois par mois) un point de restauration manuellement.
  2. Vérifier ou modifier la clé RPLifeInterval dans le registre si vous souhaitez prolonger la durée.
  3. Mettre en place une sauvegarde régulière (via des images système, dans le cloud, sur disque externe, etc.), car les points de restauration ne couvrent pas les données personnelles.

En résumé, si cette limitation ne devrait pas poser de problème pour une mauvaise mise à jour récente, elle pourrait pénaliser ceux qui comptent sur des restaurations à très long terme. Pour une tranquillité maximale, on recommande de combiner les points système avec des sauvegardes périodiques fiables.

Source(s) : Windowslatest.com

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Windows 11 va enfin permettre de déplacer les indicateurs à l’écran (volume, luminosité…)

Microsoft continue d’introduire de petites améliorations ergonomiques dans Windows 11, et la dernière en date devrait faire plaisir aux utilisateurs soucieux de personnaliser leur environnement. Avec une prochaine mise à jour — déjà en test dans les versions Canary (build 26236), Windows 11 permettra enfin de déplacer librement certains éléments flottants à l’écran, comme les flyouts de volume, luminosité ou verrouillage des touches (Caps Lock, Num Lock, etc.).

Jusqu’à présent, ces indicateurs visuels apparaissaient automatiquement en haut au centre de l’écran, sans aucun moyen de les repositionner. Cela posait problème à certains utilisateurs, notamment ceux sur écran tactile, en configuration multi-écrans ou simplement ceux qui trouvent cette position gênante en plein visionnage ou en jeu.

Le changement introduit est discret, mais très attendu : un nouveau bouton « Réinitialiser la position » est désormais présent dans Paramètres > Personnalisation > Indicateurs à l’écran (OSD). Il permet de repositionner manuellement ces éléments à un autre endroit de l’écran — une fois déplacés, ils y resteront. En cas de besoin, on peut rétablir la position par défaut.

Cette fonctionnalité s’inscrit dans une série d’évolutions que Microsoft opère lentement, mais sûrement dans Windows 11 pour améliorer l’expérience utilisateur. On avait déjà vu ces derniers mois l’arrivée de nouvelles animations, la refonte du panneau de widgets, ou encore des options plus avancées pour la barre des tâches. Le repositionnement des OSD n’est peut-être pas une révolution, mais c’est un geste de confort qui montre que Microsoft reste à l’écoute des retours, même sur des détails que l’on pensait figés.

La fonction est actuellement en cours de test dans le canal Canary, et pourrait arriver dans les versions stables de Windows 11 d’ici la fin 2025, potentiellement avec la mise à jour 25H2.

Source(s) : windowslatest.com

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