La Chine a annoncé ce 22 septembre 2025 le lancement d'une nouvelle campagne de surveillance d’Internet. Officiellement, il s’agit de lutter contre les contenus qui « attisent des émotions négatives » et « sèment le pessimisme ». Mais en pratique, le texte vise aussi ceux qui critiquent la situation économique du pays : chômage, ralentissement, coût de la vie.
Mise en ligne le 19 septembre 2025 sur Netflix, El refugio atómico, la nouvelle série du créateur de La Casa de Papel, réunit un groupe de milliardaires dans un bunker de luxe. Si le pitch avait de quoi intriguer, le rendu manque de panache.
La Chine a annoncé ce 22 septembre 2025 le lancement d'une nouvelle campagne de surveillance d’Internet. Officiellement, il s’agit de lutter contre les contenus qui « attisent des émotions négatives » et « sèment le pessimisme ». Mais en pratique, le texte vise aussi ceux qui critiquent la situation économique du pays : chômage, ralentissement, coût de la vie.
Square Enix has committed support to Xbox, but seemingly, without disc-based versions of its upcoming games. This seems to be happening more and more, but why?
Et si votre serveur Linux était comme un appart en coloc où tout le monde partage la même cuisine, le même salon, les mêmes chiottes ?? Forcément, ça finit toujours mal avec quelqu’un qui monopolise les toilettes pendant que vous avez une urgence en spray, un autre fait crasher la machine à laver avec ses expérimentations douteuses de voyage dans le temps, et au final personne n’est content.
Hé bien figurez-vous qu’un développeur nommé Cong Wang de Multikernel Technologies vient de proposer une solution radicale qui consiste à donner à chaque processus son propre kernel Linux, avec ses propres core CPU, comme des colocataires qui auraient enfin chacun leur studio…
Selon le patch soumis sur la Linux Kernel Mailing List
(LKML), cette architecture “multikernel” permettrait de faire tourner plusieurs noyaux Linux indépendants sur la même machine physique. C’est pas vraiment de la virtualisation classique façon VMware ou KVM, mais c’est plutôt comme si vous découpiez votre ordinateur en tranches et que chaque tranche vivait sa vie. Le truc marrant, c’est que Cong Wang n’est pas un petit nouveau qui débarque avec ses idées folles. Le bonhomme a déjà contribué à plus de 1000 patches au noyau Linux et il maintient le sous-système de
traffic control
. Autant dire qu’il sait de quoi il parle quand il touche au code du noyau.
D’ailleurs cette idée de séparer les kernels rappelle furieusement le projet
Barrelfish
que Microsoft Research et l’ETH Zurich avaient lancé il y a quinze ans. À l’époque, ils voulaient traiter l’OS comme un système distribué où chaque core CPU aurait son propre kernel qui communique avec les autres par messages. Sauf que voilà, c’était trop tôt. Les processeurs n’avaient pas assez de cores pour qu’on puisse se permettre ce genre de luxe, et puis franchement, qui avait besoin de ça en 2009 ?
Aujourd’hui avec nos CPU à 128 cores et nos problèmes de sécurité qui explosent, l’idée prend soudainement tout son sens.
Selon Phoronix
et les patches sur la LKML, l’implémentation de Wang utilise kexec, ce mécanisme qui permet normalement de redémarrer directement dans un nouveau noyau sans repasser par un reboot. Sauf qu’ici, au lieu de remplacer le noyau existant, on en charge plusieurs qui vont cohabiter. Chaque kernel se voit attribuer ses propres cores CPU et ils communiquent entre eux via un système d’interruptions inter-processeurs (IPI) spécialement conçu pour l’occasion. Et dans les 7 patches proposés en RFC, Wang prévoit des mécanismes de surveillance pour gérer tous ces petits mondes parallèles.
Et pendant que Cong Wang bricolait son multikernel dans son coin, les géants du cloud comme Amazon, Microsoft et Google ont développé en parallèle une technologie appelée KHO (
Kexec HandOver
) qui permet de préserver l’état système lors du changement de kernel. En gros, ils veulent pouvoir mettre à jour le noyau Linux de leurs serveurs sans perdre les VMs qui tournent dessus. Sauf que si le multikernel de Wang fonctionne vraiment, ça pourrait rendre leur stack de virtualisation complètement obsolète.
Car pourquoi s’embêter avec des hyperviseurs complexes quand on peut juste donner à
chaque workload
son propre kernel ?
Le plus drôle dans tout ça, c’est que Wang admet candidement dans son RFC que pour l’instant, ça marche “que sur sa machine de dev avec des paramètres hardcodés”.
Maintenant si cette techno décolle, on pourrait voir des trucs assez dingues. Genre un kernel temps réel qui gère les processus critiques pendant qu’un kernel classique s’occupe du reste. Ou alors des kernels spécialisés pour différents types de workloads : un pour le machine learning, un pour les bases de données, un pour le réseau. Vous pourriez même imaginer des kernels avec différents niveaux de sécurité du genre un kernel ultra-paranoia pour vos données sensibles et un kernel plus relax pour Netflix. Et le plus beau c’est que si un kernel plante, les autres continuent de tourner tranquillement.
C’est comme avoir plusieurs systèmes de secours intégrés directement dans la machine.
Mais attention, on parle quand même d’une RFC, et pas encore d’un truc prêt pour la prod. La communauté des barbus du noyau va probablement passer des mois à débattre de chaque ligne de code, et c’est tant mieux parce que toucher à l’architecture fondamentale de Linux, c’est pas comme patcher un bug dans Firefox. Si ça merde, c’est potentiellement des millions de serveurs qui partent en vrille.
Au final, que ce patch soit accepté ou pas, ça montre surtout que Linux continue d’évoluer de manière radicale pour toujours aller plus loin ! Et si vous l’évolution de ce projet,
tout se passe sur la LKML
.
Élément essentiel de la mission Artémis 3, l'atterrisseur lunaire de SpaceX, censé déposer les astronautes à la surface, ne se développe pas comme prévu. Des experts de la Nasa craignent qu'il ne soit pas prêt à temps pour 2027, date prévue pour l'alunissage.
Les amis, je ne sais pas si vous êtes sous Mac, mais si c’est le cas, vous avez peut-être succombé à la mise à jour vers macOS Tahoe.
En tout cas, moi, j’ai fait la migration, et franchement, j’ai vu aucune différence, à part quelques petits aspects graphiques par-ci par-là. En tout cas, ça m’a pas hypé de fou, ni traumatisé non plus.
Par contre, ce qui m’a VRAIMENT traumatisé, ce sont les performances de mon Mac Studio M4 Max qui est quand même assez puissant et qui se retrouve à tourner comme un escargot asthmatique fumeur de joints. Cela se produit notamment lorsque je lance mes lives sur
Twitch
et c’est assez handicapant pour ne pas dire inutilisable… Le scroll est lent, les applications rament, mes streams lagguent, c’est l’enferrrrr et ça me met de mauvaise humeur !
Et après avoir été faire un tour sur Reddit, ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a beaucoup de gens dans mon cas qui gueulent contre cette nouvelle version de Mac OS parce qu’elle est buggée, parce qu’elle rame, parce que ce n’est pas ouf. Donc déjà, je voudrais dire un gros “bouuuuh” à Apple.
Moi, ce qui me posait vraiment problème sur mon macOS, c’est le processus WindowServer qui tournait à FOND les ballons. Alors, effectivement, j’aurais pu croire que c’était un malware qui minait des bitcoins en douce, mais, bon, je fais un petit peu attention, quand même…
Non, non, non, c’est du ralentissement natif by design made in Cupertino.
Après moult péripéties, j’ai donc trouvé comment régler ce problème (jusqu’au problème suivant…). Je vous livre donc cette petite astuce si vous aussi vous avez WindowServer qui part dans les choux après la mise à jour vers Mac OS Tahoe.
Allez dans les réglages au niveau de la section énergie et vérifiez que vous n’avez pas activé le mode économie d’énergie. Moi, en tout cas, c’est ce mode-là qui m’a mis dedans. J’ai l’impression que ça bride l’ordinateur et le système d’exploitation, bref que c’est mal géré et ça fait tout ramer.
Du coup, en désactivant ce truc, mon ordinateur est redevenu à nouveau utilisable. Woohoo !
Donc j’attends la prochaine mise à jour Apple, mais, bon, voilà, en attendant, essayez au moins ça, vous verrez si ça marche.
Et, après, pour tous les autres problèmes liés à Spotlight, à l’indexation des photos, ce genre de trucs, faut parfois redémarrer, tuer les processus, désactiver, par exemple, dans iCloud la synchronisation des contacts (process contactd) sur des comptes Gmail ou Exchange
Ou virer des choses dans la config de Spotlight, ce genre de truc, en attendant un fix…
Voilà, bon courage à tous les galériens fans de la pomme et à très bientôt !
Les nouvelles coques en tissu d'Apple sont-elles suffisamment résistantes pour protéger les iPhone 17 Pro et Pro Max ? Un premier test donne ses conclusions.
Plus de 8 ans après le carton de La Casa de Papel, les showrunners espagnols Álex Pina et Esther Martínez Lobato sont de retour avec une toute nouvelle création, toujours pour Netflix : El refugio atómico. Pour continuer sur cette lancée post-apocalyptique, voici 4 séries similaires à dévorer en streaming.
Ce matin, en sirotant mon matcha latte artisanal (support local businesses!!! 💚), j’ai eu une ÉPIPHANIE qui a changé ma vie.
J’étais en train de scroller LinkedIn quand soudain 💥 j’ai réalisé que mes données étaient utilisées pour entraîner l’IA de Microsoft. Cette révélation m’a frappé comme une tonne de briques (métaphore puissante, je sais). Car oui, LinkedIn utilise maintenant nos données par défaut pour entraîner ses modèles d’IA générative.
Mais ATTENDEZ.
C’est là que ça devient INSPIRANT. 🌟
Au lieu de me plaindre comme 99% des gens (be the 1%!!!), j’ai décidé d’être PROACTIF et j’ai transformé ce défi en OPPORTUNITÉ DE CROISSANCE PERSONNELLE. Voici donc mon framework propriétaire “The P.R.I.V.A.C.Y Protocol™” que j’ai développé en 3 minutes 47 secondes (oui, j’ai chronométré parce que #datadriven).
P - Prendre conscience (mindfulness is KEY 🧘♂️)
R - Réagir avec sagesse (pas avec émotion!!!)
I - Implémenter les changements
V - Valoriser ses données personnelles
A - Agir maintenant (URGENCY creates RESULTS)
C - Célébrer ses victoires (self-care isn’t selfish!)
Y - Yearning for more (toujours avoir faim de succès 🦁)
Laissez-moi maintenant vous partager mon PARCOURS TRANSFORMATIONNEL en 4 étapes qui ont LITTÉRALEMENT changé ma trajectoire de vie !
Ce click m’a appris que parfois, dans la vie ET dans le business, il faut savoir dire NON. C’est donc la première chose à faire et moi j’y vois une métaphore du LEADERSHIP: Savoir protéger son équipe (ici, mes données) des influences extérieures toxiques.
Fun fact : Saviez-vous que 87% des CEOs ne connaissent pas ce réglage? (source: mon intuition de thought leader)
Ce moment m’a rappelé quand Steve Jobs a dit “Stay hungry, stay foolish” (RIP la légende 🕊️). Sauf que moi je dis “Stay private, stay empowered” car LinkedIn partage plus de données avec Microsoft pour la publicité. Donc c’est le seul moyen de les en empêcher ! Et vous savez quoi? C’est une OPPORTUNITÉ d’apprendre à établir des LIMITES SAINES.
Histoire vraie: Mon chat Elon (oui, comme Musk, je suis disruptif même dans le naming de mes animaux) m’a regardé faire ce changement et a miaoulé. Coïncidence? Je ne crois pas aux coïncidences. L’UNIVERS me parlait. 🐱✨
Les VRAIS leaders mesurent leur succès différemment. Pas en clics. Pas en impressions. Mais en IMPACT HUMAIN.
Cette étape m’a enseigné l’importance du DÉTACHEMENT. Comme le dit le Dalaï Lama (que j’ai rencontré spirituellement lors d’une méditation LinkedIn Live), “le vrai bonheur vient de l’intérieur”. C’est pourquoi mes données aussi doivent rester à l’intérieur. CQFD.
Petit reminder: Si vous ne protégez pas vos données, qui le fera ? (hint: personne, soyez votre propre héros 🦸♂️)
Car oui LinkedIn va bientôt utiliser nos posts pour entraîner l’IA. Vous devez donc ANTICIPER comme un vrai leader !
Mais écoutez ça…
J’ai transformé ce moment en MASTERCLASS de croissance personnelle. En désactivant ce paramètre, j’ai réalisé que JE SUIS LE CEO DE MES DONNÉES. Et vous savez quoi ? Vous l’êtes aussi! 💪
Anecdote inspirante: Ma grand-mère de 94 ans (oui, elle est sur LinkedIn, #nevertooolate) m’a appelé en PLEURANT de joie quand je lui ai montré ces réglages. Elle m’a dit “tu es le Ghandi de la privacy digitale”. J’ai pleuré. Elle a pleuré. Même ma plante de bureau a pleuré (l’arrosage automatique s’est déclenché mais je préfère y voir un signe).
LE PLOT TWIST QUI VA VOUS CHOQUER 😱
Après avoir fait ces 4 changements, quelque chose d’INCROYABLE s’est produit…
Mon taux d’engagement a EXPLOSÉ de 0.0001%!!! 📈
Coïncidence? Je pense que NON.
MES 7 LEARNINGS CLÉS (parce que les listes impaires convertissent mieux):
La privacy est le nouveau luxe (notez ma phrase, c’est le Bitcoin de 2026)
Chaque click compte (littéralement, j’ai compté: 4 clicks)
L’IA nous observe (mais on peut l’observer en retour #reverseengineering)
Microsoft ❤️ vos données (mais votre amour-propre doit être plus fort)
Le RGPD est votre ami (même si personne ne sait ce que ça veut dire vraiment)
Les thought leaders qui ne protègent pas leurs données ne sont pas de vrais thought leaders (controversial ? peut-être. Vrai ? définitivement)
Ce post va devenir viral (manifestation positive 🙏)
ACTION ITEMS POUR VOUS (parce que je CARE 💙 sur vous):
✅ Likez ce post si vous êtes TEAM PRIVACY
✅ Commentez “PRIVACY WARRIOR” si vous avez fait les changements
✅ Partagez à votre réseau (ils me remercieront plus tard)
✅ Suivez-moi pour plus de contenus qui DISRUPTENT
✅ Activez la cloche (Ah non, merde, c’est pas pour Linkedin ça…)
UN DERNIER MOT (promis c’est le dernier… ou pas 😏)
Si vous êtes arrivé jusqu’ici, BRAVO. Vous faites partie du TOP 1% des lecteurs LinkedIn (étude inventée par moi-même).
Selon Bloomberg
, LinkedIn devient de plus en plus “cringe”, mais vous savez quoi ? Le cringe d’aujourd’hui est le GÉNIE de demain et rappelez-vous… on se moquait d’Einstein aussi.
Mon conseil ? Soyez comme l’eau. Fluide. Adaptable. Et surtout, gardez vos données pour vous comme Bruce Lee gardait ses secrets de kung-fu. 🥋
P.S.: Si ce post vous a TRANSFORMÉ, tapez “AMEN” dans les commentaires. Si ce post ne vous a pas transformé, c’est que vous n’êtes pas PRÊT pour ce niveau de conscience. Travaillez sur votre mindset et revenez dans 6 mois. 🧠
P.P.S.: Mon prochain post: “Comment j’ai utilisé ChatGPT pour écrire ce post sur la protection contre l’IA et pourquoi c’est une métaphore du capitalisme tardif”. Stay tuned!
P.P.P.S.: N’oubliez pas: vous n’êtes pas vos données. Vous êtes une MACHINE À IMPACT. Une LÉGENDE en devenir. Un PHARE dans la tempête digitale. 🌊⚡
P.P.P.P.S.: J’organise un webinar GRATUIT (valeur 5000€) sur “Privacy Leadership for Disruptive Innovators”. Les 10 premiers inscrits recevront mon ebook “J’ai désactivé 4 paramètres LinkedIn et ma vie a changé” (PDF de 3 pages dont 2 de remerciements).
Mena Sato Kato has been instrumental in boosting Japanese game devs support of the Xbox ecosystem, and now she's charting a new course across the entire continent.
À compter du 3 novembre 2025, LinkedIn va utiliser les données de votre compte LinkedIn pour entraîner son IA, sauf si vous désactivez cette option maintenant.
Si comme moi vous avez déjà bavé devant
un setup i3 sous Linux
mais que vous êtes coincé sous Windows “pour le boulot” (lol), j’ai une excellente nouvelle pour vous.
Seelen
débarque et va transformer votre Windows 10/11 en véritable environnement de bureau customisable à moooort.
Concrètement, Seelen c’est un overlay qui vient se greffer sur Windows sans toucher au système. Tout est codé en Rust et TypeScript, avec Tauri qui fait le lien entre les deux et le résultat c’est un truc léger qui ne bouffe pas 2 Go de RAM comme Electron.
Avec Seelen, vos fenêtres s’organisent automatiquement en tuiles, façon i3 ou dwm, comme ça, plus besoin de passer 10 minutes à redimensionner vos fenêtres à la souris comme un furieux. Un raccourci clavier et hop, tout se range proprement. C’est ce qu’on peut avoir de plus proche d’un environnement de bureau custom sous Windows.
Et l’installation est hyper facile. Ça se fait soit par le
Microsoft Store
(option que je vous recommande), soit via Winget avec un petit winget install Seelen.SeelenUI, soit en téléchargeant le .exe sur GitHub. Attention quand même, ça nécessite WebView2 et Microsoft Edge pour fonctionner correctement.
Et les fonctionnalités sont plutôt sympas. Vous avez un launcher façon
Rofi
pour lancer vos apps rapidement, des contrôles média intégrés pour gérer Spotify sans ouvrir la fenêtre, et surtout une personnalisation poussée avec thèmes, des widgets et des layouts. Le projet supporte même +70 langues, donc votre grand-mère pourra l’utiliser en breton si elle veut.
Après c’est pas parfait non plus. Par exemple, les previews des fenêtres mettent parfois 2 secondes à charger, et certaines apps (celles avec des fenêtres flottantes custom) refusent de se faire tiler correctement. Mais c’est déjà impressionnant.
Voilà, donc si vous en avez marre de l’interface figée de Windows et que vous voulez retrouver la flexibilité visuelle de Linux et pouvoir exprimer le plein potentiel de votre mauvais goût, sans changer d’OS,
Seelen vaut vraiment le coup
. C’est gratuit, open-source, et ça ne casse rien dans votre système…. Au pire, si ça vous plaît pas, vous le désinstallez et Windows redevient comme avant.
A l’époque où je bossais encore pour de vrai dans une entreprise normale et que je n’étais pas encore super-blogueur-professionnel, PhishyURL est le genre de truc qui ne m’aurait pas forcement fait beaucoup rire… Mais le temps est passé et je me dis que si votre équipe informatique vous casse un peu les pieds, c’est peut être le moment de prendre votre (gentille) revanche en leur faisant un petit poisson d’avril en plein mois de septembre.
Hé oui car
PhishyURL
est un générateur d’URLs qui n’a pour seul but que de foutre les jetons à votre équipe informatique. L’idée c’est que vous entrez une URL parfaitement légitime, disons celle de la page d’accueil de votre boîte, et l’outil vous sort un lien qui ressemble à ce que Satan lui-même enverrait par mail après une nuit de beuverie avec des hackers russes.
Et au menu des thèmes disponibles, on trouve tout ce qui fait transpirer un responsable sécu : crypto douteuse, finance louche, phishing assumé, shopping suspect, casino en ligne, rencontres hot et même du contenu adulte. De quoi transformer n’importe quel lien vers les photos de vacances de mamie en quelque chose qui ressemble à une invitation directe vers les enfers numériques.
Une fois votre super URL générée, vous l’envoyez par mail à un collègue et le rythme cardiaque de quelques personnes va s’accélérer…
JE SAIS C’EST MAL ! Mais c’est drôle quand même ! Ça peut même servir pour faire vos épreuves de phishing et faire ensuite la morale à Michel de la compta qui clique sur tout ce qui peut lui permettre de voir des boobs.
Voilà, amusez-vous bien mais n’abusez pas des bonnes choses…
Si vous avez déjà joué avec des simulateurs de contrôle aérien, vous savez à quel point ça peut vite devenir un super casse-tête… Des écrans remplis d’informations, des interfaces complexes, des dizaines de paramètres à gérer… Et puis, il y a
Arrival Radar
, un petit jeu de simulation qui tient dans un carré de 128x128 pixels et qui vous fait comprendre l’essence même du métier d’aiguilleur du ciel en quelques minutes.
Ce jeu, créé par xkqr, c’est tout le contraire de ce qu’on pourrait attendre d’un simulateur moderne. Y’a pas de graphismes photoréalistes, pas d’interface bourré de boutons, pas de tuto de 45 minutes. Non, y’a juste l’essentiel, la base de la base à savoir faire atterrir des avions en évitant qu’ils se rentrent dedans.
Arrival Radar tourne sur
PICO-8
, cette fameuse “console fantasy” qui imite volontairement les limitations techniques des années 80. En gros si vous ne connaissaient pas, PICO-8
c’est un petit univers clos
où les développeurs s’imposent des contraintes drastiques telles qu’une palette de 16 couleurs, une résolution de 128x128 pixels, une mémoire limitée…etc
Mais alors comment on joue à Arrival Radar ? Hé bien comme je vous le disais, votre boulot, c’est de guider les avions qui arrivent vers leur approche finale. Et comme vous ne pouvez pas donner de cap ou d’altitude aux pilotes, à la place, vous assignez chaque avion à une route d’arrivée standard.
Les commandes tiennent en quelques touches : les flèches gauche/droite pour sélectionner un avion, haut/bas pour choisir sa route d’arrivée, X pour confirmer l’instruction et Z pour ajuster le point d’entrée sur cette route. Vous pouvez même accélérer le temps en maintenant X enfoncé. C’est tout. Pas de menus cachés, pas de raccourcis clavier chelou à mémoriser. Le développeur a passé seulement quelques heures à créer ce simulateur, mais pourtant il capture parfaitement l’essence du métier.
Et l’interface vous montre des lignes grises qui projettent la trajectoire de chaque avion pour la minute suivante,c e qui en fait un peu votre boule de cristal pour anticiper les croisements dangereux. Le jeu recommande de maintenir au moins 30 secondes d’écart entre les appareils, et croyez-moi, ça paraît simple dit comme ça, mais quand vous avez 6 avions qui convergent vers le même aéroport… C’est chaud, de fou.
Bref, Arrival Radar c’est de la créativité contrariée, qui permet de se concentrer sur l’essentiel : le gameplay pur. Pas de surcharges graphiques pour masquer un game design bancal, pas d’effets spéciaux pour compenser un manque d’inspiration… Juste une idée brute, mise en forme avec les moyens du bord.
Et vous verrez comme les bonnes bornes d’arcade des années 80, Arrival Radar s’apprend en 30 secondes mais demande des heures pour être maîtrisé…
La fusée Starship a maintenant réalisé plus de 10 tentatives de vol orbital et continue sur cette lancée. L'occasion de voir si le bébé de SpaceX va enfin tenir ses promesses après quelques succès... et plusieurs d'échecs !
Après avoir testé les moteurs du booster du Starship, SpaceX passe à la vérification de la propulsion de l'étage supérieur. Le 11e vol devrait désormais advenir d'ici à quelques semaines.