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Ransomware LockBit 3.0 : le FBI détient 7 000 clés de déchiffrement !

Le FBI continue sa lutte contre le gang de ransomware LockBit et ses affiliés : les autorités américaines auraient en leur possession pas moins de 7 000 clés de déchiffrement de LockBit 3.0. Si vous avez été victime de ce ransomware, vous êtes invité à prendre contact avec le FBI...

La bonne nouvelle du jour est probablement est liée à l'opération Cronos menée par les forces de l'ordre de 11 pays en février 2024. D'ailleurs, lors de cette opération importante, les autorités étaient parvenues à mettre la main sur 34 serveurs de l'infrastructure LockBit ainsi qu'à des clés de chiffrement (1000 dans un premier temps, puis environ 2500 au total). Désormais, le FBI détiendrait une quantité beaucoup plus importante de clé de déchiffrement...

En effet, à l'occasion d'une conférence sur la cybersécurité organisée à Boston aux États-Unis, Bryan Vorndan, a dévoilé que le FBI détenait 7 000 clés de déchiffrement pouvant profiter aux victimes du ransomware LockBit 3.0 : "En outre, grâce à la perturbation continue de LockBit, nous disposons désormais de plus de 7 000 clés de déchiffrement et nous pouvons aider les victimes à récupérer leurs données et à se remettre en ligne.", peut-on lire. La transcription de son allocution est disponible sur cette page.

Désormais, le message du FBI est clair : si vous avez été victime de LockBit, vous devez entrer en contact avec les autorités, car une clé de déchiffrement est sûrement disponible pour vous permettre de déchiffrer vos données gratuitement. "Nous nous adressons aux victimes connues de LockBit et encourageons toute personne qui pense en avoir été victime à se rendre sur le site de l'Internet Crime Complaint Center, à l'adresse ic3.gov.", a précisé Bryan Vorndan du FBI.

Finalement, malgré tous les efforts des forces de l'ordre, et l'identification récente de LockBitSupp, l'un des leaders du gang de ransomware LockBit, ce groupe de cybercriminels reste toujours très actif et redoutable. Espérons que de nombreuses victimes puissent bénéficier de ces clés de déchiffrement.

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Une nouvelle variante Linux du ransomware TargetCompany cible VMware ESXi !

Les environnements VMware ESXi sont pris pour cible par une nouvelle variante du ransomware TargetCompany, qui vient s'ajouter à la liste des menaces capables de chiffrer les VM des hyperviseurs de VMware. Faisons le point.

Le ransomware TargetCompany, aussi connu sous les noms de Mallox, FARGO et Tohnichi, a été repéré pour la première fois en juin 2021. Dans un premier temps, il a surtout été utilisé pour mener des attaques contre les serveurs de gestion de base de données, que ce soit MySQL, SQL Server ou encore Oracle, en Corée du Sud, en Thaïlande, en Inde et à Taïwan.

Puis, en février 2022, Avast a publié un outil de déchiffrement pour TargetCompany afin d'aider les victimes de ce ransomware à récupérer leurs données gratuitement. Malgré ce coup porté par Avast, le gang de ransomware TargetCompany est rapidement revenu sur le devant de la scène... Notamment en s'attaquant aux serveurs Windows.

Mais, désormais, Trend Micro nous apprend qu'une nouvelle variante de TargetCompany pour Linux cible particulièrement les hyperviseurs VMware ESXi.

VMware ESXi dans le viseur du ransomware TargetCompany

C'est par l'intermédiaire d'un script shell exécuté sur l'hôte compromis que le logiciel malveillant effectue un ensemble de vérifications, pour déterminer sur quel environnement il se situe. Il cherche à déterminer s'il s'exécute sur un serveur VMware ESXi grâce à l'exécution de la commande "uname" à la recherche du mot clé "vmkernel".

Schéma - Ransomware TargetCompany - VMware ESXi
Source : Trend Micro / Chaîne d'infection du ransomware TargetCompany

"Le groupe de ransomwares TargetCompany emploie désormais une nouvelle variante Linux qui utilise un script shell personnalisé comme moyen de diffusion et d'exécution de la charge utile, une technique que l'on ne retrouvait pas dans les variantes précédentes.", précise Trend Micro dans son rapport.

En complément, il génère un fichier nommé "TargetInfo.txt" qui recense des informations sur la victime telles que le nom d'hôte, l'adresse IP, l'OS du serveur, l'utilisateur utilisé par le malware, etc.... Et ce fichier est envoyé vers le serveur C2 des attaquants.

S'il est exécuté sur un hyperviseur VMware ESXi, le ransomware passe à l'action dans le but de chiffrer les machines virtuelles. TargetCompany chiffre tous les fichiers relatifs aux machines virtuelles : VMDK, VMEM, VSWP, VMX, VMSN, NVRAM. Les fichiers chiffrés héritent de l'extension ".locked".

Enfin, une demande de rançon nommée "HOW TO DECRYPT.txt" est déposée sur le serveur et le malware termine en supprimant ses traces pour rendre plus difficile les futures investigations. "Une fois que le ransomware a exécuté sa routine, le script supprime la charge utile TargetCompany à l'aide de la commande "rm -f x".", précise Trend Micro.

Consultez le rapport de Trend Micro pour obtenir des détails supplémentaires, notamment les indicateurs de compromission et les URL utilisées par les attaquants.

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RansomLord, un outil open source capable de piéger les ransomwares !

Montrer que les ransomwares ne sont pas invincibles, voilà la devise de l'outil open source RansomLord ! Cet outil de cybersécurité est capable de détecter et de neutraliser les ransomwares avant même que les données ne soient chiffrées ! Comment est-ce possible ? Voici ce qu'il faut savoir !

Développé par John Page alias "hyp3rlinx", RansomLord est un outil ingénieux et innovant qui a pour objectif de venir court-circuiter le processus de chiffrement de nombreux ransomwares, y compris les plus redoutables. Ce nouvel outil anti-ransomware disponible sur GitHub est une nouvelle arme à disposition des entreprises et des particuliers dans la lutte contre les ransomwares ! Lors d'une attaque, le ransomware est neutralisé avant même de pouvoir chiffrer les données grâce au piège tendu par RansomLord.

Pour cela, RansomLord se présente comme une solution proactive pour faire face aux ransomwares. En effet, il va venir interférer avec le ransomware lors du processus de "pre-encryption" lorsque la menace va chercher à charger des bibliothèques (DLL) sur le système Windows. Il crée ses propres versions de DLL, que le ransomware va charger, et il va ainsi pouvoir mettre fin à l'exécution du ransomware grâce à un code spécial intégré dans les DLL de RansomLord. Autrement dit, il utilise la technique de "DLL hijacking", parfois elle-même utilisée par les cybercriminels !

RansomLord - Aperçu
Source : GitHub - RansomLord

La version 3.1 de RansomLord, publiée il y a quelques jours, est capable de mettre fin au processus de nombreux ransomwares, dont : LockBit, WannaCry, HelloKitty, BlackCat (ALPHV), Royal, ainsi que d'autres moins connus tels que StopCrypt, RisePro, RuRansom, ou encore MoneyMessage.

"RansomLord intercepte désormais les ransomwares testés par 49 groupes de menaces différents et y met fin.", peut-on lire sur le GitHub officiel. Grâce à des mises à jour régulières, l'auteur ajoute la prise en charge de nouveaux ransomwares.

Depuis plusieurs années, les ransomwares représentent une menace croissante pour les entreprises et les particuliers. D'ailleurs, le dernier rapport sur les menaces publié par Red Canary indique que les ransomwares sont la principale menace de ces derniers mois.

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Cyberattaque : le ransomware Monti fait trois victimes en France, à Pau

Le gang de ransomware Monti a frappé fort dans le Sud de la France en faisant 3 victimes d'un coup : l'aéroport de Pau-Pyrénées, l'école de commerce de Pau ainsi que le campus numérique de la ville. Faisons le point !

Dans la nuit du dimanche 12 au lundi 13 mai 2024, un groupe de pirates nommé Monti Ransomware a mené des cyberattaques à l'encontre de trois institutions de la ville de Pau. Les pirates sont parvenus à s'introduire sur l'infrastructure de l'aéroport de Pau-Pyrénées, l'école de commerce Eklore (ex-CNPC) et le campus numérique de la ville de Pau. Il s'agit de trois institutions liées à la Chambre de Commerce et d'Industrie (CCI) Pau Béarn.

Les journalistes de Sud-Ouest sont parvenus à obtenir des informations auprès de la CCI : « Les activités ne sont pas arrêtées mais simplement en mode dégradé. Il n’y a aucun souci sur les vols à l’aéroport. Idem à l’école de commerce, où les cours ont lieu mais sans une partie des outils numériques. », peut-on lire. Une plainte a été déposée.

Des données publiées sur le Dark Web

Sur son site accessible via le Dark Web, le gang de ransomware Monti a mis en ligne des données volées lors de cette cyberattaque. Il serait question de plusieurs milliers de documents, dont des documents administratifs, des factures, des bilans RH ainsi que des informations personnelles relatives aux salariés et aux étudiants. Des données précieuses pouvant être utilisées pour mener des campagnes de phishing ou tenter d'usurper l'identité des personnes concernées.

La divulgation des données par les pirates n'est pas une surprise : en France, les établissements publics ont pour consigne de ne pas payer la rançon demandée par les cybercriminels. Ceci est la bonne décision, mais généralement cela en résulte à la mise en ligne des données exfiltrées lors de l'attaque.

Le gang de ransomware Monti a été repéré pour la première fois en juin 2022. S'il porte un nom proche du ransomware Conti, ce n'est surement pas un hasard : le ransomware Monti partage certaines tactiques avec Conti, ce dernier ayant "fermé ses portes" en mai 2022. Ce qui a donné lieu à la naissance d'autres groupes de cybercriminels.

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RansomLord v3 – Un outil open source qui exploite les failles des ransomwares

Les ransomwares, ces programmes nuisibles qui prennent vos précieux fichiers en otage contre une rançon, font trembler pas mal de monde, même les plus expérimentés. Mais c’était sans compter sur RansomLord qui pourrait peut-être bien vous sauver la mise si vous avez été infecté.

Cet outil open source, conçu par John Page (alias hyp3rlinx), a pour mission de mettre des bâtons dans les roues des cybercriminels en exploitant les failles de sécurité présentes dans le code de ces virus modernes. Et on parle quand même de ransomwares assez balaises comme Conti, REvil ou LockBit, mais aussi de nouveaux venus comme StopCrypt, RisePro, RuRansom, MoneyMessage, CryptoFortress et Onyx.

Pour réussir cet exploit (sans mauvais jeu de mot), RansomLord génère des fichiers « DLL » qui se font passer pour des fichiers légitimes dont les rançongiciels ont besoin. En réalité, ces DLL sont remplis de code malicieux qui court-circuite le processus de chiffrement et met fin à la carrière du malware avant même qu’il n’ait pu crier « Bitcoin » !

Le plus impressionnant, c’est que RansomLord est capable de cibler spécifiquement les rançongiciels qui menacent votre entreprise ou votre secteur d’activité grâce à sa base de données de plus de 49 familles de ransomwares. Comme ça, il vous concocte le DLL parfait pour mettre hors d’état de nuire ces logiciels du démon.

Cette dernière version 3 de RansomLord intègre également une fonction de journalisation qui enregistre le hash SHA256 et le chemin d’accès complet du malware intercepté. Comme ça, vous pouvez garder une trace de l’attaque et communiquer ces détails à des experts cyber qui viendraient mener l’enquête ensuite.

Respect à hyp3rlinx pour cette trouvaille ingénieuse ! Et pour télécharger RansomLord v3 c’est par ici.

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Le ransomware ShrinkLocker utilise BitLocker pour chiffrer les machines Windows

Un nouveau ransomware baptisé ShrinkLocker présente la particularité de s'appuyer sur BitLocker, un composant intégré par défaut à Windows, pour chiffrer les données d'un ordinateur. Faisons le point sur cette menace.

Le ransomware ShrinkLocker s'appuie sur BitLocker pour chiffrer les données et les disques des machines Windows compromises, après avoir effectué des modifications sur le disque afin de créer son propre volume d'amorçage. Il a été utilisé pour cibler des organisations dans le secteur du médical, des industries ainsi qu'une entité gouvernementale.

Les chercheurs en sécurité de Kaspersky ont mis en ligne un rapport détaillé au sujet du ransomware ShrinkLocker, que vous pouvez retrouver sur cette page.

ShrinkLocker s'appuie sur VBScript, WMI et diskpart

Il est intéressant de noter que ShrinkLocker est écrit en VBScript (Visual Basic Scripting), un langage qui est en fin de vie et que Microsoft va supprimer de Windows d'ici quelques années. Mais, en attendant, VBScript est parfaitement utilisable sur Windows, même s'il devrait pouvoir être désinstallé facilement à partir de Windows 11 24H2.

Par ailleurs, pour détecter la version de Windows exécutée sur la machine ciblée, le ransomware ShrinkLocker s'appuie WMI afin de solliciter la classe "Win32_OperatingSystem", bien connue des administrateurs systèmes. Ceci permet au ransomware d'effectuer quelques vérifications, notamment de s'assurer que le domaine de la machine correspond bien à la cible et que l'OS est plus récent que Windows Vista.

Si la cible répond à différents critères, l'attaque se poursuit grâce à l'utilisation de l'outil diskpart intégré à Windows. Il est utilisé pour réduire de 100 Mo toutes les partitions qui ne sont pas des partitions de démarrage. L'espace non alloué est utilisé pour créer de nouveaux volumes primaires sur le disque de la machine.

Enfin, le Registre Windows est modifié pour configurer le système afin de désactiver les connexions Bureau à distance et pour activer BitLocker sans utiliser de puce TPM. Les clés de Registre "EnableBDEWithNoTPM" et "fDenyTSConnections" sont évoquées.

Une machine piégée avec BitLocker

Le ransomware ShrinkLocker fait en sorte d'activer et de configurer BitLocker de façon à ce que la victime ne puisse plus lancer sa machine. Nous pourrions presque dire que la machine a été sabotée par l'intermédiaire de BitLocker.

La clé BitLocker générée est transmise aux cybercriminels, tandis qu'à la fin de l'opération, ShrinkLocker force le système à s'éteindre pour appliquer toutes les modifications. Ainsi, l'utilisateur se retrouve avec une machine avec des disques verrouillés et sans aucune option de récupération BitLocker...

Ransomware ShrinkLocker - Recovery BitLocker

"Après avoir supprimé les protecteurs BitLocker et configuré le chiffrement du disque, le script suit les étapes suivantes pour effacer ses traces.", précise Kaspersky. En effet, le ransomware effectue différentes actions de nettoyage sur la machine, telle que la suppression du journal "Microsoft-Windows-PowerShell/Operational".

Il pourrait s'agir d'attaques dont l'objectif est de détruire les données puisque le ransomware ne laisse aucune note de rançon. La seule information fournie est une adresse e-mail indiquée en tant que label sur la nouvelle partition créée par le logiciel malveillant.

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Les pirates exploitent la fonction Quick Assist de Windows pour déployer le ransomware Black Basta

Quick Assist, l'outil de contrôle à distance intégré à Windows, est exploité par les cybercriminels dans le cadre d'une campagne malveillante visant à déployer le ransomware Black Basta. Faisons le point.

Quick Assist, ou en français "Assistance rapide", est une fonctionnalité présente dans Windows 10 et Windows 11 permettant d'offrir un contrôle à distance à son ordinateur. Ceci peut être utile pour une intervention de support informatique, par exemple.

Depuis la mi-avril, les cybercriminels du groupe Storm-1811, un gang financé par le gang de ransomware Black Basta, ont lancé une campagne d'attaques par ingénierie sociale.

"Les cybercriminels abusent des fonctions d'assistance rapide pour mener des attaques d'ingénierie sociale en se faisant passer, par exemple, pour un contact de confiance comme le support technique de Microsoft ou un professionnel de l'informatique de l'entreprise de l'utilisateur cible afin d'obtenir un accès initial à un appareil cible.", peut-on lire sur le site de Microsoft.

Quick Assist Windows - Ransomware Black Basta

Un mode opératoire élaboré sur fond de phishing vocal

Tout commence par l'identification des utilisateurs qui seront pris pour cible par l'intermédiaire de leur adresse e-mail. Les pirates vont inscrire ces adresses e-mails sur des listes d'abonnements afin que les utilisateurs reçoivent beaucoup de spams. Ensuite, les pirates vont contacter l'utilisateur en prétextant vouloir corriger ce problème de réception de nombreux spams.

C'est à partir de là qu'une prise de contact pourra être établie par l'intermédiaire d'un appel téléphonique. Pour piéger l'utilisateur, le pirate se fait passer pour un technicien de l'entreprise ou une personne du support de Microsoft.

Grâce à Quick Assist, ils obtiennent un accès distant à la machine et vont pouvoir demander à prendre le contrôle à distance, dans le but de résoudre ce fameux "problème" de spams.

"L'utilisateur cible n'a qu'à appuyer sur CTRL + Windows + Q et à saisir le code de sécurité fourni par le cybercriminel", précise Microsoft. En effet, ce raccourci lance immédiatement Quick Assist sur la machine. Mais, leur objectif est bel et bien de déployer un logiciel malveillant sur la machine. Un très bel exemple de phishing vocal.

Sur la machine compromise, plusieurs outils sont déployés, notamment ScreenConnect pour avoir la main à distance sur la machine (sans surveillance), Cobalt Strike, ainsi que QakBot, un Cheval de Troie bancaire très utile pour déployer d'autres logiciels malveillants. La dernière étape consiste à déployer le ransomware Black Basta sur le réseau de l'entreprise.

Microsoft vous recommande de désinstaller ou bloquer Quick Assist sur vos appareils si vous n'utilisez pas cette fonctionnalité. Bien entendu, il est également important de sensibiliser les utilisateurs et de les informer.

Source : Microsoft

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Nouvelles tactiques déployées par le groupe de ransomware LockBit

La Cellule de cybersécurité et d’intégration des communications de l’État du New Jersey (NJCCIC) vient d’alerter sur de nouvelles tactiques déployées par le groupe de ransomware influent LockBit, qui mène une attaque de phishing par e-mail à grande échelle depuis le mois d’avril 2024 par le biais du botnet Phorpiex.  Communiqué – Paolo Passeri, Cyber […]

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