Les vignettes ou miniatures de Windows 10 ou Windows 11 sont lentes à s’afficher ?
Windows affiche des vignettes d’images et de vidéos lorsque nous ouvrons un dossier. L’aperçu des vignettes des images nous aide à visualiser les images sans les ouvrir, ce qui nous permet de trouver l’image que nous recherchons sans l’ouvrir. Parfois, l’aperçu des vignettes se charge lentement. Dans ce guide, nous allons vous montrer ce que vous pouvez faire si les vignettes de Windows sont lentes à charger.
Comment accélérer l’affichage des miniatures d’images sur Windows
Vider le cache des vignettes et les autres fichiers temporaires
Les fichiers Windows Thumbnail cache ou Thumbs.db sont des fichiers de données cachés dans le système d’exploitation Windows, qui contiennent de petites images, affichées lorsque vous visualisez un dossier en mode “vignettes”, par opposition à l’affichage par tuiles, icônes, listes ou détails. Windows conserve une copie de toutes les vignettes de vos images, vidéos et documents afin de les afficher rapidement lorsque vous ouvrez un dossier.
La première étape consiste à supprimer le cache des vignettes sur votre système. Windows conserve une copie de toutes les vignettes de vos photos, vidéos et documents afin qu’elles s’affichent rapidement lorsque vous ouvrez un dossier. Si vous supprimez ces vignettes, Windows les recréera si nécessaire.
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier
+
I
Allez dans Système > Stockage
Cliquez sur Fichiers temporaires
Assures-vous que Miniatures est coché, puis cliquez sur Supprimer les fichiers
L’étape ci-dessus supprimera les vignettes de votre système. Si vous souhaitez supprimer d’autres fichiers temporaires, vous pouvez également cocher ces cases.
Vous pouvez également utiliser ces commandes dans un CMD élevé pour supprimer et vider le cache des vignettes :
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Puis copiez/collez les commandes suivantes :
taskkill /IM explorer.exe /F
cd /d %userprofile%\AppData\Local\Microsoft\Windows\Explorer
attrib -h
thumbcache_*.db
del thumbcache_*.db
start explorer
Passer à un SSD
L’affichage des miniatures des images nécessitent des accès disque. Lorsque les images sont stockées sur un vieux disques dur HDD, notamment en 5400 tr/min, cela risque de prendre du temps. La meilleure solution pour accélérer le chargement des miniatures est de stocker vos images sur un SSD, bien plus rapide qu’un HDD. Pour vous y aider, suivez ce guide : Pourquoi installer un SSD sur son PC
Notez que les performances de votre disque peuvent être atténué si ce dernier rencontre des problèmes matériels notamment si des secteurs défectueux sont présents. Vous pouvez vérifier cela en suivant ce guide : Vérifier l’état et la santé du disque dur/SSD
Accélérer la vitesse de chargement des vignettes via l’éditeur de registre
Assurez-vous que le dossier Thumbnail Cache est sélectionné dans la partie gauche. Double-cliquez sur l’entrée Autorun sur le côté droit et entrez 0 dans ses données de valeur
Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications.
Fermez l’éditeur du registre et redémarrez votre ordinateur
La valeur par défaut est 3, vous pouvez remettre la valeur si cela pose des problèmes.
L’uptime est le temps de fonctionnement de votre système sans aucune interruption de service. Le temps de disponibilité est utilisé pour mesurer la stabilité et les performances du système. La vérification du temps de fonctionnement du système dans Windows facilite le débogage, la maintenance et la supervision.
Si vous souhaitez savoir la durée de fonctionnement de votre PC en Windows 10 ou Windows 11, suivez ces méthodes.
Connaître la durée de fonctionnement de son PC en Windows 10/11 (uptime)
Par les paramètres avancés du réseau
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + I. Sinon d’autres méthodes dans le tutoriel suivant : Comment ouvrir les paramètres de Windows 11
Puis allez dans Réseau et Internet
Tout en bas, cliquez sur Paramètres réseau avancés
Enfin consultez la ligne durée pour connaître la durée de fonctionnement de votre PC
Par le Panneau de configuration
Vous pouvez aussi connaître la durée de fonctionnement de votre PC par le statut de votre interface réseau depuis le Panneau de configuration.
Faites une recherche sur connexions réseau
Et ouvrez Afficher les connexions réseau
Vous pouvez ouvrir ce dernier directement par la commande ncpa.cpl.
Faites un clic droit sur votre interface réseau
Puis cliquez sur Statut
Enfin vérifiez la ligne Durée pour connaître l’uptime de votre PC
puis Gestionnaire des tâches. Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier CTRL+MAJ+ESC
Allez dans le menu Performances
Sur Processeur, en bas, vous avez la durée de fonctionnement
En invite de commandes
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Puis utilisez la commande suivante :
net statistics workstation
Si vous êtes sur un serveur, il faut utiliser la commande : net stats server
Saisissez la commande d’informations du système suivante en filtrant sur l’heure de démarrage du système :
systeminfo | find "Heure de démarrage du système"
En PowerShell
Enfin pour savoir la durée de fonctionnement de votre PC en PowerShell :
Appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
Windows 11 IoT Enterprise LTSC 2021 est une version de support étendue (LTSC (Long-Term Servicing Channel)). De plus, la configuration requise est moins restrictive notamment TPM et le démarrage sécurisé (Secure boot) ne sont pas obligatoires. Cela peut permettre à des PC qui ne répondent pas aux exigences de bénéficier de Windows 11, si des pilotes matériels compatibles sont disponibles.
Dans ce tutoriel, je vous donne toutes les étapes, pas à pas, pour réussir à Installer Windows 11 IoT Enterprise LTSC.
Comment installer Windows 11 IoT Enterprise LTSC
Créer la clé USB d’installation
Insérez dans votre PC une clé USB de 8 Go (minimum) et sauvegardez les données qui s’y trouvent
Cliquez sur ce lien pour récupérer l’image de Windows 10 Enterprise LTSC :
Windows 11 Entreprise LTSC 2021 (x64) (Français) - English
Ensuite dans Keyboard or input method, choisissez French standard AZERTY pour définir la disposition du clavier
Laissez l’option Install Windows 11 cochée
Cochez l’option I agree everything will be deleted including files, apps and settings
Puis vous devez saisir votre clé produit, si vous en avez pas, vous pouvez utiliser la clé produit démo suivante : PM6N-7J2WJ-P88HH-P3YRH-YY74H
Cliquez sur Accept pour accepter le contrat de licence
Sélectionnez l’espace non alloué et cliquez sur Next. Les utilisateurs confirmés peuvent créer le partitionnement de disque souhaité. En autre, depuis cette page, vous pouvez charger des pilotes supplémentaires
Copie des fichiers
Arrivé à cette étape, tout est prêt pour lancer l’installation de Windows 11
La copie de fichiers s’effectue, patientez
Puis l’ordinateur redémarre automatiquement et l’installation se poursuit
Premier démarrage et passer Windows 11 en Français
L’étape suivante consiste à paramétrer le système d’exploitation, notamment la région et localisation, la création d’un compte utilisateur et les paramètres OneDrive, Office, etc.
Une fois le paramétrage terminé, connectez vous au compte utilisateur
Le bureau de Windows 11 IoT Enterprise LTSC est accessible et l’installation est terminée
Voici comment passer le système en Français :
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Settings
A gauche, allez dans Time & Language
Cliquez sur à droite, sur le bouton bleu, Add language
Depuis la liste, cherchez et sélectionnez Français
Cliquez sur Next
Patientez pendant le téléchargement et l’installation du pack de langue
Enfin en haut dans Windows display language, choisissez Français
Fermez et relancez la session utilisateur pour passer Windows 11 complètement en Français
FAQ
Qu’est-ce que LTS dans Windows 11 ?
Les versions LTSC (Long-Term Servicing Channel) de Windows 10/11 Enterprise sont conçues pour offrir un support de mise à jour plus long (10 ans) et sont dépourvues de la plupart des applications du Store (UWP).
Quelle est la configuration requise ?
La configuration requise pour Windows 11 IoT Enterprise LTSC est moins exigeante. Dans le cas des spécifications optionnelles, une carte avec un BIOS suffit pour les deux versions, au lieu de l’UEFI. Le TPM est optionnel et le Secure Boot est également optionnel. On peut déjà le constater avec un matériel non pris en charge si l’on veut installer un ISO Windows 11 Enterprise.
Si l’on choisit l’ISO Enterprise « simple » pour l’installation, Windows se plaint que la configuration matérielle requise n’est pas remplie. Si l’on choisit l’IoT Enterprise, l’installation se déroule sans problème. Même en ce qui concerne les processeurs, Windows 11 24H2 IoT Enterprise est très peu gourmand. Un Intel Atom à deux cœurs (Elkhart Lake), par exemple, suffit.
Configuration minimale requise pour Windows 11 IoT Enterprise LTSC
Quelle est la différence entre Windows 11 Entreprise et Windows 11 IoT Entreprise
La seule différence entre IoT Enterprise LTSC et IoT Enterprise Subscription LTSC est que l’édition d’abonnement prend en charge une licence d’abonnement. Voici tout de même un comparatif.
Windows 10 GAC (General Availability Channel) atteindra la fin de son support le 14 octobre 2025. Donc, si votre matériel ne supporte pas Windows 11, vous pouvez utiliser Windows 10 IoT Enterprise LTSC 2021 car il est supporté jusqu’au 13 janvier 2032. En effet, LTSC signifiant (Long-Term Servicing Channel). Toutefois, vous aurez besoin d’une licence pour l’activer.
Dans ce tutoriel, je vous guide dans les étapes pour installer Windows 10 Enterprise LTSC sur votre PC à partir d’une clé USB d’installation
Comment installer Windows 10 IoT Enterprise LTSC
Créer la clé USB d’installation
Insérez dans votre PC une clé USB de 8 Go (minimum) et sauvegardez les données qui s’y trouvent
Cliquez sur ce lien pour récupérer l’image de Windows 10 Enterprise LTSC :
Sélectionnez la langue Française et cliquez sur Suivant
Puis cliquez sur Installer maintenant
Choisissez Windows 10 Entreprise LTSC comme système d’exploitation et passez à l’étape suivante
Windows 10 Entreprise NTLTSC inclut Windows Media Player
Cochez “J’accepte les termes du contrat de licence” et passer à l’étape suivante
Choisissez Personnaliser comme type d’installation
Sélectionnez l‘espace non allouée et cliquez sur Suivant. L’utilitaire de partitionnement se charge de créer les partitions de disques systèmes et principale sinon vous pouvez le faire manuellement
L’installation de Windows avec la copie de fichiers s’effectue
L’ordinateur va redémarrer pour continuer l’installation
Paramétrages et fin de l’installation
Puis vous arrivez à la phase de paramétrage où vous devez définir le nom de l’ordinateur, créer un compte utilisateur Windows et choisir les paramètres (OneDrive, Localisation, etc)
Ensuite connectez vous à votre compte utilisateur, pour terminer les paramétrage
Le bureau de Windows 10 est alors accessible
FAQ
Qu’est-ce que Windows 10 IoT Enterprise ?
Le système d’exploitation Windows 10 IoT Enterprise est une version complète de Windows 10 qui offre une facilité de gestion et une sécurité d’entreprise aux solutions IoT. Microsoft fournit des systèmes d’exploitation pour les appareils embarqués depuis des décennies. Windows 10 IoT Enterprise est le dernier né de la gamme des systèmes d’exploitation « embarqués » basés sur les principaux systèmes d’exploitation de Microsoft. Ces dernières comprennent l’apprentissage automatique, la prise en charge des conteneurs, une interface utilisateur naturelle et une connectivité simple à Azure IoT. Comme son nom l’indique, cette version de Windows dans les environnements IoT et industriels, dans le monde industriel pour un usage Points de vente (POS), Kiosques interactifs, intégré dans les systèmes embarqué, etc
En quoi Windows 10 IoT Enterprise est-il différent des autres éditions de Windows 10 ?
Windows 10 IoT Enterprise est fonctionnellement équivalent à Windows 10 Enterprise, qui est le système d’exploitation Windows le plus sécurisé, le plus facile à gérer et le plus productif de Microsoft notamment grâce aux fonctionnalités BitLocker, Secure Boot, Device Guard, et Credential Guard. La différence réside dans le fait que Windows 10 Enterprise fait l’objet d’une licence via Microsoft Volume (lié à l’utilisateur final au moment de l’achat) et Windows 10 IoT Enterprise est concédé sous licence directement aux constructeurs d’appareils IoT (OEM) et comprend des règles concernant les appareils à usage dédié. De plus, cette version de Windows est Long-Term Servicing Channel (LTSC) qui offre des mises à jour de sécurité et un support technique à long terme (jusqu’à 10 ans), idéal pour les dispositifs en production qui ne peuvent pas être souvent mis à jour.
Ma licence Windows 10 Home, Pro fonctionne-t-elle sur Windows 10 IoT Entreprise ?
Non, mes licences pour Windows 10 Home ou Pro ne sont pas compatibles avec Windows 10 IoT Enterprise et ne peuvent pas être utilisées pour activer cette édition du système d’exploitation. Pour acquérir une licence Windows 10 IoT Entreprise, vous devez être une entreprise ou fabricants de matériel (OEM). Bien entendu, on trouve des versions activées illégalement.
Vous souhaitez connaître la température de votre PC, ce qui est une bonne chose pour prévenir de baisse de performances ou d’instabilité. Toutefois, vous rencontrez un problème de lecture incorrecte de la température du processeur. Ce tutoriel examine les raisons possibles pour lesquelles la température affichée peut être incorrecte.
Pourquoi le CPU ou processeur donne-t-elle de fausses indications de température
Si la température du processeur affichée est anormalement élevée ou basse, plusieurs facteurs peuvent contribuer au problème, comme indiqué ci-dessous :
Overclocking incorrect du processeur : L’overclocking peut endommager le capteur de température du processeur, ce qui entraîne des lectures incohérentes et un enregistrement incorrect de la température du processeur.
Transfert thermique : La pâte thermique transfère la chaleur du cœur de l’unité centrale vers le dissipateur thermique, évitant ainsi la surchauffe. Toutefois, si elle n’est pas appliquée correctement ou si l’unité centrale est mal placée, des fentes d’air peuvent entraver le transfert de chaleur et entraîner des relevés de température incorrects.
Capteurs de l’unité centrale endommagés : Les capteurs de température des unités centrales ou les thermistances peuvent devenir imprévisibles ou bloqués sur une valeur spécifique s’ils sont endommagés, ce qui entraîne des enregistrements de température inexacts.
Logiciel défectueux utilisé pour vérifier la température : Plusieurs logiciels de contrôle de la température de l’unité centrale sont disponibles sur le marché, mais certains peuvent ne pas être fiables en raison de bogues. Ces bogues peuvent entraîner des relevés de température incorrects, ce qui conduit à des diagnostics erronés des problèmes du système et endommage le matériel. Vous trouverez des logiciels dans ce guide : Connaître la température de son PC (CPU, GPU, SSD et disque dur)
Corriger la lecture incorrecte de la température du processeur sous Windows
Vérifier les capteurs de l’unité centrale
Les capteurs de température de l’unité centrale surveillent, enregistrent et fournissent des données en temps réel sur le niveau de température de l’unité centrale. Pour s’assurer que les capteurs enregistrent la bonne température, ils doivent donc être en parfait état de fonctionnement. Ils sont généralement situés à côté de la prise du processeur, et nous pouvons les retirer avec précaution pour vérifier s’ils sont cassés ou endommagés.
Chaque capteur de l’unité centrale a généralement son propre emplacement physique et enregistre ses relevés. Par conséquent, si une boucle d’air est présente autour des capteurs, les relevés peuvent être incorrects sous son influence. Par exemple, dans la plupart des cas, le capteur CPU0 enregistre en permanence des températures plus élevées que le CPU1.
Vérifier le dissipateur et réappliquer la pâte thermique
La ré-application de la pâte thermique peut aider à transmettre correctement la chaleur du cœur de l’unité centrale au dissipateur thermique. De même, le fait de refixer le dissipateur thermique (un composant métallique qui touche physiquement l’unité centrale et dissipe la chaleur) peut garantir que la température reste dans le seuil autorisé, éliminant ainsi les risques d’enregistrement incorrect de la température.
Une autre solution que vous pouvez essayer est de réinitialiser le capteur de température du CPU. Voici les étapes à suivre :
Débranchez la connexion électrique et ouvrez le boîtier de l’ordinateur
Recherchez le capteur, qui se trouve généralement à proximité de la prise CPU de la carte mère
Retirez le capteur de son logement avec précaution et nettoyez-le à l’aide d’une brosse douce
Une fois nettoyé, remettez-le dans son logement
Ensuite rebranchez tous les câbles puis relancez votre ordinateur
Testez la température de votre ordinateur
Mettre à jour le BIOS
Enfin dans de rares cas, le BIOS de votre PC peut être en cause dans la mauvaise lecture des températures de votre ordinateur. Cela est essentiellement dû à un bug de la mauvaise gestion de l’énergie (ACPI) ou des captures de la carte mère. Mettre à jour le BIOS de votre PC peut aider à résoudre ce problème.
Undervolt : réduire ou ajuster la tension du processeur
L’abaissement de la tension de l’unité centrale peut exclure la possibilité d’une surchauffe de l’unité centrale. Si le processeur enregistre des températures anormalement élevées même après avoir abaissé la tension, cela indique que les capteurs sont endommagés. Par conséquent, les ajustements de tension, bien qu’ils ne résolvent pas le problème dans de tels cas, peuvent nous aider à identifier rapidement le problème réel. Consultez ce guide :
Lorsque l’on modifie la configuration de Linux notamment en rajoutant un service, on peut avoir besoin que ce service s’exécute après la mise en veille de l’appareil. Ce tutoriel vous guide dans les étapes pour créer un service qui se déclenche en retour de mise en veille.
Comment exécuter un service sur Linux après mise en veille
Éditez le fichier de configuration du service suivant
PowerShell est le nouveau shell de Windows qui permet aux administrateurs de passer toutes sortes de commandes sur Windows 10 et Windows 11. Il possède aussi des cmdlet pour gérer la base de registre Windows. Ainsi vous pouvez sans problème manipuler le registre Windows en PowerShell.
Grâce à ce tutoriel, vous allez comprendre comment créer, modifier, effacer des clés du registre Windows en PowerShell et bien plus.
Créer, modifier, effacer des clés du registre Windows en PowerShell
Afin de ne pas rencontrer des problèmes d’autorisations et permissions sous la forme de message d’accès refusé lors de la modification du registre Windows en Powershell, ouvrez ce dernier en administrateur. Pour cela :
Prenez l’habitude d’encadrer les clés du registre Windows avec des apostrophes car lorsqu’il y a un espace dedans, c’est obligatoire
Elle fonctionne avec les chemins HKLM, HCKU, etc
Lister une clé du registre Windows
Voici comment lister une clé du registre Windows en PowerShell. On utilise Get-Item avec le caractère * pour lister en récursif.
Get-Item -Path 'HKCU:\SOFTWARE\SysInternals\*'
Une autre méthode pour lister le contenu du registre Windows en PowerShell consiste à utiliser Get-childitem. Tout d’abord on se positionne sur la clé à lister avec Set-location :
Pour recherche une clé dans le registre Windows PowerShell, on utilise Get-childitem. Ici on recherche des valeurs Chrome dans HCKU (HKEY_CURRENT_USER) :
Les erreurs d’activation de Windows figurent parmi les problèmes les plus fréquents rencontrés par les utilisateurs. Ce problème est généralement lié au serveur d’activation de Windows, qui ne parvient pas à valider ou reconnaître la licence associée au compte numérique. Une erreur courante à laquelle les utilisateurs peuvent être confrontés : “Nous ne pouvons pas activer Windows sur cet appareil car nous ne pouvons pas nous connecter au serveur d’activation de votre organisation. Assurez-vous d’être connecté au réseau de votre organisation et réessayez. Si les problèmes d’activation persistent, contactez le service d’assistance de votre organisation. Code d’erreur 0x8007007B.”. Ce tutoriel fournit plusieurs solutions de dépannage afin de vous expliquer l’origine de ce problème et vous aider à résoudre cette erreur d’activation des produits Windows.
Nous ne pouvons pas activer Windows sur cet appareil car nous ne pouvons pas nous connecter au serveur de votre organisation
Le “serveur de votre organisation” dans le contexte de l’activation de Windows fait référence à un serveur de gestion de clés (KMS, Key Management Service) utilisé principalement par les grandes entreprises et les institutions pour activer en masse les copies de Windows sur leur réseau. Key Management Service (KMS) est une technologie d’activation de volume développée par Microsoft. Elle permet aux organisations d’activer les systèmes d’exploitation Windows et les produits Microsoft Office en interne, sans avoir besoin de contacter directement les serveurs d’activation de Microsoft pour chaque installation.
Lorsque vous voyez une erreur indiquant que Windows ne peut pas se connecter au serveur de votre organisation, cela signifie généralement que le système d’exploitation tente de contacter un serveur KMS d’entreprise pour l’activation, mais ne parvient pas à établir la connexion. Ce message d’erreur rencontré par un particulier peut se produire dans les cas suivants :
Vous tentez d’activer Windows illégalement à l’aide d’un utilitaire de crack tel que KMSPico / KMSAuto
Vous avez installé Windows Entreprise sur votre PC personnel et tenter d’activer avec une clé produit provenant d’une entreprise
Vous avez acheté une licence pas chère sur internet lié à des licences de volume. La référence à un serveur d’organisation signifie qu’il dispose d’une licence de volume qui n’est pas valable pour un utilisateur personnel et qui est souvent utilisée par un vendeur suspect pour activer Windows illégalement.
Comment résoudre le problème “Nous ne pouvons pas activer Windows sur cet appareil car nous ne pouvons pas nous connecter au serveur de votre organisation”
Enregistrer à nouveau la clé produit de Windows
Vous pouvez tenter à nouveau d’enregistrer la clé produit de Windows. Assurez-vous que vous disposez d’une connexion internet stable puis suivez ces étapes :
Sur votre clavier, appuyez sur les touches
+
R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Puis saisissez les commandes suivantes où #####-#####-#####-#####-##### est la clé produit
Si le message d’erreur à l’activation de Windows persiste, il est probable que votre clé produit ne soit pas valide.
Réparer le service d’activation
Ouvrez à nouveau une invite de commandes en administrateur
Copiez/collez les commandes suivantes :
net stop sppsvc
cd %windir%\ServiceProfiles\LocalService\AppData\Local\Microsoft\WSLicense
ren tokens.dat tokens.bar
net start sppsvc
cscript.exe %windir%\system32\slmgr.vbs /rilc
Puis redémarrez l’ordinateur et ré-enregistrer la clé produit Windows
Activer Windows par téléphone
Une autre solution est d’essayer d’activer Windows par téléphone car cela ne requiert aucune connexion au serveur d’activation.
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis saisissez la commande suivante :
slui.exe 4
Puis dans la liste, sélectionnez France (ou autre pays)
Ensuite cliquez sur Suivant
Téléphonez au centre d’activation de Microsoft avec le numéro indiqué gratuit ou pays
Puis indiquez l’ID d’installation (IID)
Puis saisissez le code retourné par le centre d’activation de Microsoft
Toujours impossible d’activer Windows ? Si vous avez acheté une licence pas chère sur internet, il est probable que celle-ci ne soit pas valide ou blacklistée par Microsoft. Contactez le vendeur pour lui demander une nouvelle clé produit. Si aucune réponse de sa part, il s’agit d’une arnaque.
Dans le cas d’un achat sur des plateformes telles qu’Amazon ou CDiscount, laissez un commentaire pour prévenir d’autres internautes. Tentez aussi de dénoncer le vendeur auprès de la plateforme.
Depuis Windows 10 et donc sur Windows 11, il est possible de monter un fichier ISO depuis l’Explorateur de fichiers. Malheureusement, dans certains cas, cela ne fonctionne pas. Le message d’erreur le plus courant est le suivant :
Impossible de monter le fichier Désolé, il y a eu un problème pour monter le fichier
Si vous rencontrez ces problèmes pour monter le fichier ISO, suivez les étapes de ce guide complet pour résoudre les problèmes d’accès au fichier ISO sur Windows.
Impossible de monter le fichier ISO sous Windows
Désactiver votre antivirus
Si votre antivirus détecte un fichier malveillant dans le fichier ISO, il va verrouiller ce dernier. A partir de là, Windows sera incapable de monter le fichier ISO. Pour vérifier cette hypothèse désactivez votre antivirus. En général, un clic droit sur l’icône depuis la zone de notification et désactiver la protection en temps réel ou désactiver l’agent de protection.
Pour désactiver la protection Windows Defender :
Ouvrez Sécurité en double-cliquant sur l’icône bouclier en bas à droite de l’écran, dans la zone de notification
Allez dans Protection contre les virus et les menaces
Sous Paramètres de protection contre les virus et les menaces, choisissez Gérer les paramètres,
Puis désactivez la case à cocher Protection en temps réel
Si le fichier ISO possède de mauvais attributs, cela peut être la source de problème pour accéder au contenu. Cela peut générer un message d’erreur d’accès refusé. Réinitialiser les attributs des fichiers ISO peut aider à corriger le problème.
Si vous rencontrez le message : Ce fichier provient d’un autre ordinateur et peut être bloqué pour protéger cet ordinateur. Débloquer le fichier comme ceci :
Faites un clic droit sur le fichier ISO
Puis Propriétés
En bas à droite, décochez l’option Débloquer
Copier le fichier ISO dans un autre emplacement
Dans certains cas, la solution la plus simple consiste à copier le fichier ISO à un autre endroit, puis à monter l’image. Si un fichier image ISO se trouve dans un dossier réseau partagé accessible par un chemin UNC, essayez de le copier sur votre ordinateur local.
Réinitialiser les paramètres du lecteur de CD/DVD dans le registre
Dans certains cas, les problèmes de montage des fichiers ISO dans Windows peuvent être dus à des paramètres incorrects pour le lecteur de CD/DVD (physique et virtuel). Vous pouvez réinitialiser les paramètres du périphérique CD dans le registre :
Si vous intéressez au fonctionnement des processus sous UNIX ou Linux, vous allez tôt ou tard confrontez aux signaux généralement au travers de la commande Kill. Les signaux sont des interruptions que l’on peut envoyer à un processus pour informer d’un évènement.
Dans ce tutoriel, je vous donne une définition des signaux UNIX/Linux, la liste des signaux et comment envoyer un signal à un processus.
Qu’est-ce qu’un signal dans UNIX ou Linux
Les signaux sont des notifications diverses envoyées à un processus afin de l’informer de divers événements “importants”. De par leur nature, ils interrompent ce que le processus est en train de faire, et l’obligent à les traiter immédiatement. Chaque signal possède un nombre entier qui le représente (1, 2, etc.), ainsi qu’un nom symbolique qui est généralement défini dans le fichier /usr/include/signal.h ou dans l’un des fichiers inclus par celui-ci directement ou indirectement (HUP, INT, etc.). Utilisez la commande “kill -l” pour obtenir la liste des signaux pris en charge par votre système).
Chaque signal peut avoir un gestionnaire de signal, qui est une fonction appelée lorsque le processus reçoit ce signal. La fonction est appelée en “mode asynchrone”, ce qui signifie qu’aucun code de votre programme n’appelle directement cette fonction. Au lieu de cela, lorsque le signal est envoyé au processus, le système d’exploitation arrête l’exécution du processus et le “force” à appeler la fonction de gestion du signal. Lorsque la fonction de gestion du signal revient, le processus poursuit son exécution là où il se trouvait avant la réception du signal, comme si l’interruption n’avait jamais eu lieu.
En quelques sortes, le signal visant un processus fonctionne comme une interruption (IRQ) pour le matériel. Le signal n’est rien d’autre qu’une interruption dans l’exécution du processus. Un processus peut se signaler lui-même ou provoquer le passage d’un signal à un autre processus. Ces interruptions (signaux) peuvent provenir de diverses sources, par exemple des erreurs matérielles telles que l’accès à des adresses mauvaises ou mal alignées, la mort d’un processus enfant, les signaux générés par l’utilisateur à l’aide de la commande kill, ou à partir d’autres processus utilisant un appel système.
Quelle est la liste des signaux UNIX et Linux
Nom du Signal
Numéro du Signal
Description
SIGHUP
1
Raccrochage détecté sur le terminal de contrôle ou mort du processus de contrôle. Il intervient à la perte ou fermeture du terminal : tout programme démarré dans un terminal donné recevra un SIGHUP lorsque le terminal sera fermé. L’autre possibilité est que quelque chose envoie délibérément à votre processus un SIGHUP qui, par “tradition”, est souvent utilisé pour signaler à un processus qu’il doit relire sa configuration.
SIGINT
2
Émise si l’utilisateur envoie un signal d’interruption (Ctrl + C). Le comportement par défaut est de mettre fin au processus, mais il peut être rattrapé ou ignoré. L’intention est de fournir un mécanisme pour un arrêt ordonné et gracieux.
SIGQUIT
3
Émis si l’utilisateur envoie un signal de sortie (Ctrl + D). Le comportement par défaut est de mettre fin au processus et de vider le noyau, mais il peut être rattrapé ou ignoré. L’intention est de fournir un mécanisme permettant à l’utilisateur d’interrompre le processus. Vous pouvez considérer SIGINT comme un “arrêt heureux initié par l’utilisateur” et SIGQUIT comme un “arrêt malheureux initié par l’utilisateur”.
SIGFPE
8
Émis si une opération mathématique illégale est tentée.
SIGKILL
9
Si un processus reçoit ce signal, il doit s’arrêter immédiatement et n’effectuera aucune opération de nettoyage.
SIGALRM
14
Signal d’alarme (utilisé pour les minuteries).
SIGTERM
15
Signal de fin de logiciel. Le comportement par défaut est de mettre fin au processus, mais il peut également être pris en charge ou ignoré. L’intention est de tuer le processus, gracieusement ou non, mais de lui donner d’abord une chance de se nettoyer.
SIGSTOP
19
Mettre le processus en pause ; le signal ne peut pas être capté ou ignoré. L’interpréteur de commandes utilise la pause (et son équivalent, la reprise via SIGCONT) pour mettre en œuvre le contrôle des tâches.
Quelle est la liste des signaux UNIX
Vous obtenir très facilement la liste des signaux avec la commande kill :
Pour envoyer un signal à un processus, il faut utiliser la commande kill. La syntaxe est la suivante où signal est le nom ou le numéro du signal.
kill -<signal< <pid>
Ici, signal est le numéro ou le nom du signal à délivrer et PID est l’ID du processus auquel le signal doit être envoyé. Par exemple –
kill -1 2001
La commande équivalente est :
kill -SIGHUP 2001
La commande ci-dessus envoie le signal HUP ou de raccrochage au programme qui s’exécute avec l’ID de processus 2001. Pour envoyer un signal kill au même processus, utilisez la commande suivante –
kill -9 2001
Cette commande tue le processus qui s’exécute avec l’ID de processus 2001.
Le terminal Linux permet d’effectuer des opérations parfois impossible en graphique ou plus rapidement. C’est un élément obligatoire à maîtriser pour les administrateurs de système Linux. Connaître les raccourcis clavier du terminal Linux vous permet de gagner en productivité et confort.
Dans ce guide complet, je vous fournis une liste complète des raccourcis clavier Linux.
Liste des raccourcis clavier du terminal Linux
Raccourci clavier
Description
CTRL+A
Se déplacer au début de la ligne
CTRL+E
Se déplacer jusqu’à la fin de la ligne
CTRL+U
Effacer à partir du curseur jusqu’au début de la ligne
CTRL+K
Effacer à partir du curseur jusqu’à la fin de la ligne
CTRL+W
Supprime le mot précédant le curseur
CTRL+L
Effacer l’écran du terminal
CTRL+C
Arrêter le processus/commande en cours
CTRL+D
Déconnexion ou sortie du terminal
CTRL+Z
Interrompt le processus en cours (peut être repris)
CTRL+R
Recherche dans l’historique des commandes (recherche en amont)
CTRL+U
Coller le texe effacé
CTRL+O
Exécute la commande précédente
↑
Affiche la commande précédente (à partir de l’historique des commandes)
↓
Affiche la commande suivante (à partir de l’historique des commandes).
!!
Répétez le dernier ordre
!n
Répéter la nième commande de l’historique
TAB
Auto-complétion de commandes, de fichiers ou de répertoires
TAB (2 fois)
Dressez la liste de tous les compléments possibles
CTRL+MAJ+C
Copie le texte ou la commande sélectionné(e)
CTRL+MAJ+V
Coller le texte ou la commande copié(e)
CTRL+MAJ+N
Ouvrez une nouvelle fenêtre de terminal
CTRL+MAJ+T
Ouvrez un nouvel onglet dans le terminal
CTRL+TAB ou CTRL+PageDown
Passer d’un onglet de terminal à l’autre
Liste des raccourcis clavier du terminal Linux
TAB : compléter automatiquement la commande
Ce raccourci est l’un des plus important à connaître. En effet, il permet de gagner énormément de temps en complétant automatiquement les lignes. Il vous permet aussi de retrouver certaines commandes.
Commencez simplement à taper une commande, un nom de fichier, un nom de répertoire ou même des options de commande et appuyez sur la touche de tabulation. Le programme complétera automatiquement ce que vous avez tapé ou affichera tous les résultats possibles pour vous.
Si vous ne pouviez retenir qu’un seul raccourci, ce serait celui-là.
Ctrl + C : interrompre l’exécution d’une commande
Ce sont les touches sur lesquelles vous devez appuyer pour sortir d’une commande ou d’un processus sur un terminal. Cela arrêtera (terminera) immédiatement un programme en cours d’exécution. Il interrompt proprement la plupart des programmes en envoyant le signal SIGINT au programme que je veux interrompre et abandonner. La plupart des programmes l’attrapent correctement et se terminent proprement. Si le programme ne spécifie pas comment gérer le signal SIGINT, les processus sous-jacents s’arrêtent d’eux-mêmes. Oui, c’est une méthode sûre.
Si vous voulez arrêter d’utiliser un programme qui s’exécute au premier plan, il suffit d’appuyer sur cette combinaison de touches.
Ctrl + Z : suspendre une commande
Ce raccourci suspend un programme en cours d’exécution et vous donne le contrôle de l’interpréteur de commandes. Il envoie le signal SIGTSTP au processus d’avant-plan. Par exemple, vous travaillez dans un éditeur de texte et vous avez besoin d’en sortir pour trouver des données. Vous pouvez utiliser ce raccourci pour suspendre et envoyer l’éditeur en arrière-plan, effectuer votre autre tâche, puis exécuter fg pour revenir dans votre application.
Ce raccourci clavier vous déconnecte du terminal en cours. Si vous utilisez une connexion SSH, elle sera fermée. Si vous utilisez un terminal directement, l’application sera fermée immédiatement.
Il s’agit de l’équivalent de la commande ‘exit’.
Ctrl + L : effacer l’écran de votre terminal
Comment effacer l’écran de votre terminal ? J’imagine qu’on utilise la commande clear. Au lieu d’écrire clear, vous pouvez simplement utiliser CTRL+L pour effacer le terminal.
Ctrl + A : déplacer le curseur au début de la ligne
Supposons que vous ayez tapé une longue commande ou un long chemin dans le terminal et que vous souhaitiez aller au début de la ligne, l’utilisation de la touche fléchée pour déplacer le curseur prendra beaucoup de temps. Notez que vous ne pouvez pas utiliser la souris pour déplacer le curseur au début de la ligne.
C’est là que Ctrl+A vous sauve la mise.
Ctrl + E : déplacer le curseur en fin de ligne
Ce raccourci est en quelque sorte l’inverse de CTRL+A. CTRL+A envoie le curseur au début de la ligne, tandis que CTRL+E déplace le curseur à la fin de la ligne.
Note : Si vous disposez des touches Home et Fin sur votre clavier, vous pouvez également les utiliser. La touche Accueil est équivalente à CTRL+A et la touche Fin est équivalente à CTRL+E.
Ctrl + U : effacer à partir du curseur pour commencer
Vous avez tapé une mauvaise commande ? Au lieu d’utiliser la touche d’effacement arrière pour abandonner la commande en cours, utilisez le raccourci Ctrl+U dans le terminal Linux. Ce raccourci efface tout ce qui se trouve entre la position actuelle du curseur et le début de la ligne.
Ctrl+U ne supprime pas seulement le texte du début de la ligne jusqu’au curseur, il le copie dans une mémoire tampon. Vous pouvez ensuite récupérer le texte – le coller, si vous voulez – en utilisant CTRL+Y.
Ctrl + K : effacer du curseur à la fin
Ce raccourci est similaire au raccourci Ctrl+U. La seule différence est qu’au lieu du début de la ligne, il efface tout ce qui se trouve entre la position actuelle du curseur et la fin de la ligne.
Ctrl + W : supprimer un seul mot avant le curseur
Vous venez d’apprendre à effacer du texte jusqu’au début et à la fin de la ligne. Mais que faire si vous ne voulez effacer qu’un seul mot ? Utilisez le raccourci CTRL+W.
En utilisant le raccourci CTRL+W, vous pouvez effacer le mot qui précède la position du curseur. Si le curseur se trouve sur un mot, il effacera toutes les lettres à partir de la position du curseur jusqu’au début du mot.
La meilleure façon de l’utiliser est de déplacer le curseur jusqu’à l’espace suivant le mot ciblé, puis d’utiliser le raccourci clavier CTRL+W.
Ctrl + Y : coller le texte effacé
Cette fonction permet de coller le texte effacé à l’aide des raccourcis CTRL+W, CTRL+U et CTRL+K. Elle est pratique si vous effacez un mot. Cette fonction est pratique si vous avez effacé un texte erroné ou si vous devez utiliser le texte effacé à un autre endroit.
Ctrl + P : afficher la commande précédente
Ce raccourci permet d’afficher la commande précédente. Vous pouvez appuyer plusieurs fois sur cette touche pour revenir en arrière dans l’historique des commandes. Dans de nombreux terminaux, la même chose peut être obtenue avec la touche PgUp.
Alternativement, vous pouvez aussi utiliser le raccourci ↑ pour revenir à la commande précédente depuis l’historique.
Ctrl + N : affiche la commande suivante
Vous pouvez utiliser ce raccourci en conjonction avec CTRL+P. Ctrl+N affiche la commande suivante. Si vous consultez les commandes précédentes avec CTRL+P, vous pouvez utiliser CTRL+N pour naviguer en avant et en arrière. Sur de nombreux terminaux, ce raccourci est associé à la touche PgDn.
Alternativement, vous pouvez aussi utiliser le raccourci ↓pour revenir à la commande précédente depuis l’historique.
Ctrl + R : recherche dans l’historique des commandes
Voici un autre raccourci clavier très utile pour retrouver une commande depuis l’historique.
Lorsque vous appuyez sur CTRL+R, une fenêtre de recherche s’ouvre (reverse-i-search), dans laquelle vous pouvez taper n’importe quelle partie de la commande et qui trouvera la commande correspondant à la chaîne de caractères que vous avez saisie.
Une fois la commande trouvée, il vous suffit d’appuyer sur la touche Entrée pour l’exécuter.
Ctrl+R : rappelle la dernière commande correspondant aux caractères fournis
Ctrl+R (à nouveau) : Naviguer parmi les commandes correspondantes
Ctrl+O : Renvoyer la commande à votre terminal ou sélectionner Entrée pour exécuter la commande à partir du mode de recherche
Ctrl+G : quitter le mode de recherche dans l’historique sans exécuter de commande
Le journal des événements Windows est un outil important qui permet aux administrateurs de suivre les erreurs, les avertissements et les autres rapports d’information consignés par le système d’exploitation, ses composants ou ses programmes. Vous pouvez utiliser le snap-in graphique MMC de l’Observateur d’événements (eventvwr.msc) pour afficher le journal des événements de Windows. Dans certains cas, il est beaucoup plus pratique d’utiliser PowerShell pour analyser les informations des journaux d’événements. Dans cet article, vous apprendrez à utiliser la cmdlet Get-WinEvent pour obtenir des informations à partir des journaux d’événements Windows.
Get-WinEvent : Recherche dans les journaux d’événements à l’aide de PowerShell
Lorsque vous utilisez la commande sans aucun paramètre, PowerShell liste l’ensemble des journaux Windows.
Get-WinEvent
Pour filtrer sur un journal, utilisez l’option -LogName suivi du nom.
Get-WinEvent -LogName system
Get-WinEvent -LogName security
Autre exemple pour récupérer tous les évènements “disk” avec une erreur matériel (Microsoft-Windows-Kernel-WHEA) !
De plus, vous pouvez restreindre le nombre d’évènements grâce l’option -MaxEvents.
Get-WinEvent -LogName Application -MaxEvents 30
Par défaut, la commande affiche les colonnes Date de création, Id, niveau du message et message. Pour afficher ou masquer des colonnes, utilisez la cmdlet Format-table comme ceci.
Get-WinEvent -LogName System | Format-Table Machinename, TimeCreated, Id, UserID, Message
Filtrer sur les journaux
Nous l’avons vu il est possible de filtrer sur un journal. Pour obtenir la liste complète, utilisez la commande suivante :
Get-WinEvent -ListLog *
Puis utilisez le paramètre LogName pour spécifier le journal des événements de Windows PowerShell
Filtrer sur les niveaux (erreurs, avertissements, etc)
Vous pouvez avoir besoin de filtrer des évènements des journaux Windows. Par exemple, si vous souhaitez obtenir des informations sur les erreurs et les avertissements des journaux Système et Application pour les dernières 24 heures, utilisez le code suivant :
Vous avez un fichier ISO de Windows 10 ou Windows 11 qui traîne sur votre PC ou une clé USB d’installation de Windows mais vous ne savez plus quelle est la version Windows. Si le nom d’un fichier ISO ne contient pas de version et de build, il est difficile de savoir quelle version de Windows se trouve à l’intérieur.
Dans ce tutoriel, je vous donne plusieurs méthodes pour déterminer la version et le build d’un fichier image de Windows ou d’une clé USB d’installation.
Connaître la version et build d’un fichier ISO ou clé USB de Windows
Puis lancez l’installation qui ne prend que quelques secondes
Si vous possédez une clé USB d’installation de Windows, insérez la
Dans le cas d’un fichier ISO : faites un clic droit sur le fichier ISO puis Monter
Repérez le dossier Sources et cherchez, un de ces fichiers :
install.wim
install.esd
install.swm
Faites un clic droit sur ce fichier install > 7-zip > ouvrir archive
A la racine de install.wim, se trouve le fichier [1].xml, double-cliquez dessus
Ce dernier doit s’ouvrir dans le navigateur internet
Repérez le champs VERSION avec la version de Windows du fichier ISO ou de la clé USB d’installation
Avec DISM en ligne de commandes (Méthode 2)
Dans cette seconde méthode, je vous montre comment utiliser DISM et PowerShell pour savoir quelles images Windows (versions, éditions, builds, pack de langue) sont stockées dans des fichiers ISO ou WIM, ou ESD.
Si vous possédez une clé USB d’installation de Windows, insérez la
Dans le cas d’un fichier ISO : faites un clic droit sur le fichier ISO puis Monter
Repérez le dossier Sources et cherchez, un de ces fichiers :
install.wim
install.esd
install.swm
Faites un clic droit sur ce fichier install puis copier le chemin
Puis ouvrez l’invite de commandes. Pour cela, Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Passez la commande DISM en remplaçant le chemin du fichier install.wim par un clic droit et coller
Vous verrez une liste des éditions (Education, Home, Enterprise, Pro, etc.) disponibles dans cette image ISO Windows. Dans notre exemple, vous pouvez installer 8 éditions différentes de Windows à partir de cette image. Chaque édition possède un index que vous pouvez utiliser pour obtenir des informations détaillées sur l’image.
Puis on utilise la commande suivante avec le paramètre /index et le numéro de l’index de l’édition Windows qui vous intéresse
A partir de là, les informations complètes sur l’édition de Windows avec la taille, l’architecture, la langue, la date de création et bien sûr la version et le build
Vous souhaitez imprimer tous les fichiers d’un répertoire ou d’un dossier ou tout simplement extraire la liste des fichiers d’un dossier ? Il existe plusieurs options pour l’imprimer à l’aide de la solution CMD, PowerShell vers un fichier texte. Mais vous pouvez aussi utiliser des logiciels tiers. Ces derniers permettent à l’utilisateur d’imprimer rapidement la liste des fichiers d’un dossier ou de sauvegarder le contenu d’un répertoire. Ils proposent diverses options, telles que l’énumération du contenu d’un dossier sélectionné et l’enregistrement du rapport au format CSV, HTML, TXT et XLS, DOC ou dans d’autres formats pris en charge. Certains permettent d’imprimer directement sur une imprimante. Vous pouvez utiliser ce programme de répertoire de listes d’impression pour gérer vos bases de données MP3 ou créer manuellement une liste de lecture MP3U. Certains de ces programmes sont portables et ne nécessitent pas d’installation, etc.
Voici donc plusieurs façons et méthodes pour y parvenir.
Obtenir et imprimer la liste des fichiers d’un dossier sur Windows
Imprimer la liste des fichiers d’un dossier en CMD
La commande dir permet de lister les fichiers. A partir de là, vous pouvez rediriger la sortie vers un fichier pour obtenir la liste des fichiers d’un dossier.
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis dans le champs exécuter, saisissez cmd et OK
Utilisez la commande cd en spécifiant le répertoire dont vous souhaitez imprimer la liste
cd <répertoire>
Puis copiez et collez le texte suivant dans l’invite de commande :
dir > %USERPROFILE%\Desktop\fichiers.txt
Appuyez sur la touche Entrée de votre clavier
Si vous avez des erreurs d’accès refusé lors du listage du répertoire, ouvrez l’invite de commandes en administrateur.
Vous l’aurez remarqué, la liste des fichiers contient des informations comme les dates de création. Pour épurer tout cela, utilisez la commande dir avec les options suivantes :
dir /s /b /o:gn > %USERPROFILE%\Desktop\fichiers.txt
Voici un descriptif des options :
/S Affiche les fichiers du répertoire spécifié et de tous les sous-répertoires.
/B Le format est dépouillé (pas d’en-tête ni de résumé).
/O Liste des fichiers par ordre de tri.
Ensuite, dans :gn, g trie les dossiers puis les fichiers, et n place ces fichiers dans l’ordre alphabétique.
Enfin, notez qu’il existe aussi la commande tree pour imprimer l’arborescence complète d’un répertoire :
tree /f
Créer une liste de fichier d’un dossier en PowerShell
Appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
Utilisez la commande suivante en remplaçant le chemin du répertoire dont vous souhaitez obtenir la liste des fichiers
Si vous avez des erreurs d’accès refusé lors du listage du répertoire (PermissionDenied), ouvrez Terminal Windows en administrateur.
Dir -Recurse c:\chemin\ | Get-Childitem > $Env:USERPROFILE\Desktop\fichiers.txt
Kiran’s Directory Print est un utilitaire logiciel conçu pour aider les utilisateurs à générer des listes détaillées des fichiers et dossiers présents sur leur système informatique. Avec cet outil, les utilisateurs peuvent créer des rapports complets sur la structure de leurs répertoires, y compris des informations telles que les noms de fichiers, les tailles, les dates de modification et les autorisations d’accès.
OpenVPN est un serveur VPN très populaire qui offre de nombreuses options et qui peut rendre sa configuration compliquée. Parmi les problèmes courants que l’on peut rencontrer : les problèmes de MTU. Les problèmes de MTU se manifestent souvent par des connexions qui se bloquent pendant les périodes d’utilisation active.
Dans ce tutoriel, je vous propose de découvrir les options MTU d’OpenVPN et comment configurer le MTU dans OpenVPN. Je termine par quelques problèmes courants de MTU.
Comprendre le MTU dans OpenVPN
Le MTU est mesuré en octets et représente la plus grande taille de paquet qui peut être transmise sur un réseau sans être décomposée en fragments plus petits. Des valeurs MTU plus élevées permettent une transmission de données plus efficace, car moins de paquets sont nécessaires pour transmettre la même quantité de données. Cependant, si le MTU est trop élevé et dépasse les capacités de n’importe quel appareil réseau le long du chemin de transmission, une fragmentation peut se produire, entraînant des problèmes de performance ou la perte de paquets
OpenVPN fonctionne en encapsulant les données dans ses propres paquets, qui ont leur propre MTU. Par défaut, OpenVPN définit un MTU de 1500 octets, qui est le MTU standard pour les réseaux Ethernet. Le MTU par défaut n’est pas toujours adapté à toutes les configurations de réseau, et il peut être nécessaire de le modifier pour garantir des performances optimales.
Détermine la taille maximale des paquets que le VPN peut transporter, Du côté du serveur (le serveur VPN), vous pouvez modifier le fichier de configuration du serveur OpenVPN pour définir le MTU à l’aide de l‘option tun-mtu.
Serveur/Client
link-mtu 1400
Réfère à la taille maximale de la charge utile UDP qui sont envoyés entre les pairs OpenVPN. Cette taille n’inclut pas l’en-tête IP ou UDP.
Serveur
mssfix 1400
Définit le MTU côté client, vous pouvez utiliser l’option mssfix. Cette option réduit la taille maximale de segment (MSS) à 1400 octets, ce qui permet d’éviter la fragmentation. La valeur tun-mtu du serveur ne doit pas être modifiée (à 1500) sinon le client ignore cette option.
Client
fragment 1400
Permet la fragmentation effectuée par OpenVPN lui-même en utilisant son propre algorithme interne (pas la fragmentation IP), et en tant que telle, elle doit être acceptée par les deux points d’extrémité. Cependant, lorsqu’il est présent, il peut avoir des valeurs asymétriques. L’option fragment doit être soit présent des deux côtés, soit absent des deux côtés
Des deux côtés
Path MTU Discovery (PMTUD)
L’activation de la découverte du MTU du chemin (PMTUD) peut permettre aux points d’extrémité d’ajuster dynamiquement le MTU en fonction des conditions du chemin. Vous pouvez l’activer en ajoutant les lignes suivantes à votre serveur OpenVPN et aux configurations de vos clients : fragment 1300 mssfix 1300 Ceci indique à OpenVPN de tenter de réduire le MTU à 1300 octets si des problèmes sont rencontrés.
Client
mtu-disc
Active ou désactive la découverte du Path MTU sur le canal TCP/UDP. Uniquement sur les systèmes d’exploitation tels que Linux qui supportent l’appel système nécessaire pour définir le MTU. Trois valeurs sont valides : no — Ne jamais envoyer de trames DF (Don’t Fragment) maybe — Utiliser des conseils par itinéraire yes — Toujours DF (Don’t Fragment)
Il peut y avoir des confusions entre ceux options d’OpenVPN. En voici les différences :
Link-MTU :
La MTU (Maximum Transmission Unit) de la liaison (link-MTU) fait référence à la taille maximale des paquets qui peuvent être transmis sur une interface réseau physique ou virtuelle, telle qu’une carte réseau Ethernet.
La valeur de la link-MTU dépend des caractéristiques de la connexion réseau sous-jacente, comme le type de carte réseau, le protocole utilisé, et les paramètres de configuration du système d’exploitation.
Tun-MTU :
La MTU du tunnel (tun-MTU) fait référence à la taille maximale des paquets qui peuvent être encapsulés dans le tunnel VPN entre les deux points de terminaison du VPN.
Dans le contexte d’OpenVPN, la tun-MTU est spécifiée dans la configuration du serveur et du client. Elle détermine la taille maximale des paquets que le VPN peut transporter, en tenant compte de la surcharge de l’en-tête VPN.
En résumé, la link-MTU est la taille maximale des paquets pouvant être transmis sur une interface réseau, tandis que la tun-MTU est la taille maximale des paquets pouvant être encapsulés dans le tunnel VPN.
mtu-disc
L’option “mtu-disc” permet à OpenVPN de détecter automatiquement la MTU maximale autorisée sur le chemin réseau entre les deux points de terminaison du VPN. Cela se fait en envoyant des paquets ICMP “Fragmentation Needed” (Type 3, Code 4) et en ajustant la MTU en conséquence pour éviter la fragmentation des paquets.
Lorsque cette option est activée, OpenVPN utilise la découverte automatique de la MTU pour ajuster la taille des paquets envoyés par la connexion VPN, ce qui peut améliorer les performances et la fiabilité de la transmission des données. Cependant, dans certains cas, il peut être nécessaire de désactiver cette option si la découverte automatique de la MTU provoque des problèmes de connectivité ou de performances sur le réseau.
Celle-ci est à configurer côté serveur :
mtu-disc yes
net.ipv4.ip_forward_use_pmtu sur Linux
L’option net.ipv4.ip_forward_use_pmtu dans Linux contrôle la façon dont le système gère la fragmentation des paquets IP lorsque la fonctionnalité de routage IP est activée (c’est-à-dire lorsque le routage est activé sur le système).
Plus précisément, lorsque cette option est activée (avec une valeur de 1), le système utilise le MTU (Maximum Transmission Unit) path discovery (PMTU) pour déterminer la taille maximale des paquets qu’il peut transmettre à travers les interfaces réseau. Cette fonctionnalité est utile pour éviter la fragmentation des paquets IP lors de leur transmission à travers des réseaux ayant des MTU différents. Elle contribue à améliorer l’efficacité et les performances de la transmission des données.
Pour modifier la valeur et tester celle-ci, utilisez la commande sysctl suivante :
sysctl net.ipv4.ip_forward_use_pmtu=1
Comment calculer la valeur du MTU optimale pour OpenVPN
Cela suggère que nous devons prendre en compte les octets de l’en-tête UDP. Donc 1470 – 28 (pour IPv4) = 1442.
Manuellement avec des tests ping
La première chose à faire pour résoudre votre problème de MTU OpenVPN est de déterminer quel est votre plus grand MTU. Pour cela, on utilise l’utilitaire ping en faisant varier la valeur du MTU à l’aide des commandes suivantes :
ping <adresse IP passerelle VPN> -f -l <valeur mtu>
ping -c 10 -M do -s <valeur mtu> <adresse IP passerelle VPN>
L’idée est de commencer avec une valeur de 1500 et de réduire de 10 pour trouver la valeur où les paquets ne sont pas fragmenté et aucune perte de paquet n’a lieu.
ping <adresse IP passerelle VPN> -f -l 1500
A partir de là, vous pouvez déterminer la valeur optimale du MTU.
Automatiquement avec –mtu-test
Une autre façon de procéder est de laisser OpenVPN calculer la valeur du MTU. Pour mesurer empiriquement le MTU au démarrage de la connexion, ajoutez l’option –mtu-test à votre configuration. OpenVPN enverra des paquets ping de différentes tailles au pair distant et mesurera les plus gros paquets qui ont été reçus avec succès. Le processus –mtu-test prend normalement environ 3 minutes. La sortie des journaux est la suivante :
2024-05-13 12:06:08 NOTE: Beginning empirical MTU test -- results should be available in 3 to 4 minutes. 2024-05-13 12:06:11 read UDPv4 [EMSGSIZE Path-MTU=1436]: Message too long (fd=5,code=90) 2024-05-13 12:09:08 NOTE: Empirical MTU test completed [Tried,Actual] local->remote=[1454,1454] remote->local=[1454,1454]
Résoudre les erreurs MTU
Lorsque les valeurs du MTU sont trop importantes, vous pouvez rencontrer une baisse des performances allant même jusqu’à des freez et blocage du VPN. Dans les logs, vous pouvez rencontrer les entrées suivantes :
2024-05-13 11:49:34 write UDPv4 [EMSGSIZE Path-MTU=1436]: Message too long (fd=5,code=90)
Vous pouvez corriger cela, en ajoutant des paramètres fragment côté serveur et client et mssfix côté client.
resolvectl est une commande utilisée pour interagir avec le système de résolution de noms de domaine (DNS) sur les systèmes Linux utilisant systemd comme gestionnaire de système et de services. Elle fait partie de systemd-resolved, un service qui fournit des fonctionnalités de résolution de noms DNS, DNSSEC, LLMNR et mDNS pour le système d’exploitation.
Dans ce tutoriel, je vous montre comment utiliser la commande resolvectl sur Linux pour modifier les serveurs DNS, connaître la configuration DNS et vider le cache DNS.
Comment utiliser la commande resolvectl sur Linux
Connaître les serveurs DNS par interface réseau
Pour afficher la configuration DNS, utilisez l’option status :
resolvectl status
Cette commande affiche des informations sur les serveurs DNS actuellement configurés pour chaque interfaces réseau, et le statut de la résolution de noms. Elle vous indique aussi si les protocoles DNSSEC, LLMNR et mDNS sont actifs.
Tester la résolution de noms
Une autre utilisation pratique de la commande resolvectl est la possibilité de tester une résolution DNS. Pour cela, on utilise l’option query.
resolvectl query malekal.com
L’utilitaire renvoie la ou les adresses IP de l’hôte et vous indique aussi quelle interface réseau a effectué la résolution DNS. Cela est pratique, par exemple si un VPN est configuré pour savoir si la résolution DNS passe par ce dernier. De plus, vous obtenez le temps de résolution DNS et si l’authentification ou le chiffrement est configuré.
Bien entendu, il est possible d’effectuer une résolution DNS inverse à partir d’une adresse IP pour obtenir le nom d’hôte.
resolvectl query <adresse ip>
Configurer les serveurs DNS pour une interface réseau spécifique
Vous pouvez aussi modifier la configuration DNS de Linux en ligne de commandes grâce à cet outil. La syntaxe est la suivante :
sudo resolvectl dns <interface> <Serveur DNS primaire> <Serveur DNS secondaire>
sudo resolvectl dns <interface> <Serveur DNS primaire> <Serveur DNS secondaire>
Par exemple, pour modifier l’interface enp0s3 avec les serveurs DNS de Google :
sudo resolvectl dns enp0s3 8.8.8.8 8.8.4.4
Configurer les domaines de recherche DNS pour une interface réseau
De la même manière, vous pouvez configurer le domaine de recherche DNS avec l’option domain :
sudo resolvectl domain enp0s3 exemple.com
Monitorer les connexions DNS
Vous pouvez aussi écouter les résolutions DNS, ce qui peut être utile si vous pensez que des connexions malveillantes ont lieu ou pour débugueur les problèmes de connexions DNS. Cela grâce à l’option monitor qui nécessite un accès root.
sudo resolvectl monitor
Afficher et vider le cache DNS
Pour afficher le cache DNS de Linux, utilisez l’option show-cache comme ceci :
sudo resolvectl show-cache
Et si vous souhaitez vider le cache DNS de Linux :
sudo resolvectl flush-cache
Afficher les statistiques
Utiliser l’option statistics pour afficher les statistiques générales du résolveur, y compris des informations sur l’activation et la disponibilité de DNSSEC, ainsi que des statistiques sur la résolution et la validation.
sudo resolvectl statistics
Pour remettre à zéro les compteurs de statistiques affichés dans statistics. Cette opération requiert les privilèges de l’administrateur.
sudo resolvectl reset-statistics
Configurer les options de résolution DNS (DNS, DNSSEC, LLMNR et mDNS)
Cette commande permet de configurer les options de résolution LLMNR pour une interface réseau.
Ubuntu 24.04 LTS ‘Noble Numbat’ a été publiée le 11 Avril 2024, bien que la mise à niveau de la distribution est pour le moment bloqué en attendant la sortie de 24.04.1. Comme toute version LTS d’Ubuntu, le support est de 5 ans portant jusqu’à Juin 2029. Il est même possible d’obtenir un support de 12 ans avec Ubuntu Pro.
Si vous souhaitez connaître l’intégralité des nouveautés incluses dans cette mise à jour, en voici la liste.
Quelles sont les nouveautés dans Ubuntu 24.04 LTS
Versions des paquets du système
Voici les versions des paquets systèmes dans Ubuntu 24.04 LTS
Sa nouvelle mouture d’Ubuntu propose un installeur revisité que ce soit dans l’aspect de l’expérience visuelle, que son contenu. Vous aurez l’occasion de prendre en main un tout nouvel installateur Ubuntu construit en Flutter et soutenu par Subiquity et Curtin, les puissantes technologies d’installation d’Ubuntu basées sur les serveurs.
Nous parlons ici d’une refonte des visuels, d’une amélioration de la formulation pour que chaque étape ait plus de sens, et d’une poignée de nouvelles fonctionnalités telles que la possibilité de personnaliser Ubuntu via des paramètres d’accessibilités selon vos besoins.
Mais aussi la possibilité d’utiliser le « provisionnement » (via un fichier .yaml) pour automatiser l’installation et configurer les options d’accessibilité avant l’installation.
En plus de cela, le programme d’installation utilise désormais par défaut le mode d’installation « minimal ». Ainsi, vous n’obtiendrez pas de nombreux utilitaires inutiles (si vous n’en avez pas besoin).
Enfin, l’installeur prend en charge les installations ZFS et le chiffrement expérimental de l’intégralité du disque soutenu par le TPM pour les personnes soucieuses de la sécurité.
Nouveau centre d’applications
Le centre d’applications remplace l’application Ubuntu Software comme moyen recommandé d’installer des logiciels dans Ubuntu 24.04 LTS. Il s’agit d’un échange décent, l’App Center offrant un aspect propre et moderne.
Vous pouvez rechercher, parcourir, installer, supprimer et mettre à jour des applications instantanées ou des paquets DEB dans l’archive Ubuntu, mais vous ne pouvez pas utiliser le centre d’applications pour installer des paquets DEB que vous téléchargez vous-même – non, pas même des logiciels comme Google Chrome, Steam, Zoom, Discord, etc.
De plus, avec Ubuntu 24.04 LTS, les applications sont organisées de manière à ce que vous trouviez différentes sections d’applications principales pour vous aider à trouver des applications utiles.
L’écran de gestion et de vérification des applications installées a également été revu et les détails sont présentés de manière organisée.
Menu Paramètres revisité
L’option Paramètres rapides utilise des commandes en forme de pilules sur lesquelles vous pouvez cliquer pour activer les fonctions matérielles. Les cosses indiquent également l’état (par exemple, le nom du réseau actif), tandis que les sous-menus se déploient pour vous permettre d’effectuer des actions, comme choisir un réseau Wi-Fi ou modifier la luminosité du rétroéclairage du clavier.
En outre, l’application Paramètres a été réorganisée et de nouvelles options ont été ajoutées, y compris plus de paramètres d’accessibilité ; le partage permet la connexion à distance via RDP ; tandis que Souris et pavé tactile ajoute une bascule pour empêcher le pavé tactile d’être désactivé lors de la saisie.
La section Comptes en ligne propose désormais les fournisseurs WebDAV et Microsoft 365, le premier prenant en charge la synchronisation des contacts, des fichiers et des calendriers et le second offrant – grand changement – l’accès aux fichiers OneDrive via Nautilus.
Amélioration dans GNOME 46
GNOME 46 introduit de nouvelles améliorations de l’interface utilisateur afin d’améliorer l’expérience globale de l’utilisateur. Parmi les améliorations, citons la prise en charge des écrans tactiles et l’amélioration des animations afin d’offrir une expérience de bureau fluide et immersive.
Bien qu’expérimentale (elle doit être activée manuellement), la prise en charge de la fréquence de rafraîchissement variable (VRR) est une autre nouvelle fonctionnalité majeure de GNOME 46, qui vous permettra de modifier la fréquence de rafraîchissement variable de votre moniteur à partir de l’application Paramètres de GNOME, dans la section Affichage. Bien entendu, cela ne fonctionnera qu’avec les moniteurs qui prennent en charge les taux de rafraîchissement variables.
Lorsque vous vous connectez à distance à votre bureau GNOME, vous pouvez ajuster l’affichage à partir du client distant et utiliser le système comme une ressource distante à part entière. Cependant, lors de l’utilisation d’une session de bureau à distance, il ne doit pas y avoir de session locale en cours d’exécution.
Dans Ubuntu 24.04 LTS, les notifications fournissent de meilleures informations et invitent à prendre des mesures. Par exemple, lorsque vous effectuez une capture d’écran à l’aide d’un outil de capture d’écran, une fenêtre contextuelle s’affiche pour vous informer de l’action possible, dans ce cas, coller l’image dans le presse-papiers.
Consultez ce lien pour avoir la liste complète des nouveautés incluses dans GNOME 46 : https://release.gnome.org/46/
Gnome 46 apporte aussi des améliorations dans Nautilus.
Le bouton de recherche dans la barre latérale de Nautilus active une recherche globale qui passe au crible tous les emplacements indexés. Le (nouveau) bouton de la barre d’outils situé à côté de la barre des chemins d’accès permet d’effectuer une recherche dans un dossier. Il s’agit de deux façons distinctes de rechercher des fichiers sans avoir à définir des emplacements, à appliquer des filtres, etc.
Par ailleurs, la progression du transfert de fichiers passe de la barre d’outils au bas de la barre latérale (bien qu’elle n’apparaisse que lorsqu’une opération est active). Cliquez sur cette icône lorsqu’elle est affichée pour faire apparaître une boîte de dialogue contextuelle indiquant la barre de progression, la vitesse de transfert, le temps restant, etc.
Quelques autres nouveautés dans Nautilus :
Ajout d’une boîte de recherche dans les préférences
La barre de chemin d’accès peut être modifiée en cliquant dessus
La fonction d’icône de dossier personnalisé est plus facile à trouver/réinitialiser
Option pour afficher les horodatages détaillés des fichiers/dossiers
Mosaïques améliorées
Ubuntu 24.04 est aussi la première version LTS à prendre en charge la mosaïque de fenêtres dès sa sortie. Bien que la distribution ait toujours permis d’accrocher les fenêtres de manière à ce qu’elles occupent la moitié de l’espace disponible sur l’écran, il manquait la possibilité de carreler les fenêtres dans les coins. Des fonctionnalités avancées de mosaïque de fenêtres sont désormais intégrées.
Outre la prise en charge d’un plus grand nombre d’emplacements pour l’accrochage des fenêtres, le nouvel assistant de tuilage d’Ubuntu propose également une invite de suggestion automatique lorsque vous tuilez des fenêtres. Il suggère d’autres applications ouvertes pour qu’elles soient juxtaposées à la fenêtre que vous êtes en train de juxtaposer – il n’est pas nécessaire de les faire glisser manuellement là où vous le souhaitez.
Vous pouvez régler cela depuis Paramètres > Bureau Ubuntu > Mosaïques améliorées.
Nouvel outil de mise à jour des microprogrammes (Firmware)
Il a toujours été facile de mettre à jour les microprogrammes matériels dans Ubuntu, mais c’est encore plus facile dans Ubuntu 24.04 grâce à l’inclusion d’un nouvel outil de mise à jour des microprogrammes.
Il n’est pas tape-à-l’œil, mais il n’a pas besoin de l’être : il affiche des informations sur les microprogrammes existants pour les périphériques pris en charge/améliorables, affiche les mises à jour des microprogrammes et peut également mettre à jour les microprogrammes – tout cela à partir du LVFS, bien sûr.
Amélioration de la sécurité
Cette nouvelle version de la distribution Linux voit un renforcement de la sécurité a également été effectué pour les binaires où la bibliothèque GNU C fournit une protection contre les conditions de débordement de mémoire tampon.
Ubuntu 24.04 LTS inclut la dernière version d’AppArmor 4.0, qui prend en charge de nombreuses nouvelles fonctionnalités, telles que la spécification des adresses réseau et des ports autorisés dans la politique de sécurité (plutôt que des protocoles de haut niveau) ou diverses conditionnalités permettant d’exprimer une politique plus complexe. Un nouveau développement passionnant fourni par AppArmor 4 dans Ubuntu 24.04 LTS est la possibilité de reporter les décisions de contrôle d’accès à un programme de confiance de l’espace utilisateur. Cela permet de mettre en œuvre une prise de décision assez avancée, en prenant en compte le contexte plus large disponible dans l’espace utilisateur ou même d’interagir avec l’utilisateur / l’administrateur système en temps réel. Par exemple, la fonction expérimentale d’invite snapd tire parti de ce travail pour permettre aux utilisateurs d’exercer un contrôle direct sur les fichiers auxquels un snap peut accéder dans leur répertoire personnel. Enfin, au sein du noyau, AppArmor a acquis la capacité de gérer l’accès aux espaces de noms des utilisateurs ainsi qu’au sous-système io_uring, deux éléments qui, historiquement, ont fourni des surfaces d’attaque supplémentaires au noyau pour les applications malveillantes.
L’utilisation de la cryptographie pour les communications privées est l’épine dorsale de l’internet moderne. Le protocole Transport Layer Security assure la confidentialité et l’intégrité des communications internet depuis sa première normalisation en 1999 avec TLS 1.0. Dans Ubuntu 24.04 LTS, TLS 1.0, 1.1 et DTLS 1.0 sont tous désactivés de force (pour toutes les applications qui utilisent les bibliothèques openssl ou gnutls sous-jacentes) afin de s’assurer que les utilisateurs ne sont pas exposés à d’éventuelles attaques de rétrogradation de TLS qui pourraient exposer leurs informations sensibles.
Autres améliorations en vrac
Le noyau Linux 6.8 qui, entre autres, permet aux processeurs Intel ‘Meteor Lake’ d’atteindre les vitesses de boost annoncées, prend en charge les manettes Nintendo Switch Online, remédie aux problèmes de Wi-Fi sur certains ordinateurs portables AMD, améliore le comportement de zswap, et bien d’autres choses encore.
Dans le panneau Paramètres > Wi-Fi, vous trouverez une option permettant de générer un code QR afin de partager rapidement les informations d’identification du réseau sans avoir à copier/coller le véritable mot de passe dans des applications de chat (potentiellement non sécurisées), etc ;
L’application Horloges GNOME fait désormais partie du jeu de logiciels par défaut dans les installations par défaut (minimales) et étendues ;
Thunderbird est maintenant une application snap (et le DEB dans le repo est un paquet de transition qui installera la version snap ; lors des mises à jour, la version snap sera remplacée) ;
Pour les PC portable, la prise en compte de la batterie a été ajoutée et l’état « équilibré » par défaut favorise désormais la durée de vie de la batterie plutôt que les performances lorsque l’ordinateur fonctionne uniquement sur batterie.
Prise en charge les fichiers HEIF/HEIC
Prise en charge étendue du chiffrement des disques ;
Ubuntu 24.04 met à jour sa pile réseau sous-jacente vers Netplan 1.0. Cela permet de prendre en charge les connexions WPA2 et WPA3 simultanées, le VF-LAG de Mellanox, d’améliorer le VXLAN et de fournir l’API stable libnetplan1 ;
Optimisation de l’utilisation de la mémoire ;
Portage du moniteur système vers GTK 4 ;
Fonctionnalités avancées pour le système de fichiers ZFS ;
Dépréciation et désactivation des clés de signature du référentiel APT RSA 1024 bits ;
Amélioration de l’intégration des conteneurs et du cloud.
Pipewire est le serveur audio par défaut d’Ubuntu 24.04 LTS. PipeWire et PulseAudio étaient tous deux inclus dans Ubuntu 22.04 mais PipeWire ne gérait que la vidéo alors que maintenant (enfin, depuis 22.10) PipeWire gère toutes les tâches audio – et très bien, je pourrais ajouter. PipeWire offre de nombreux avantages, notamment une meilleure compatibilité matérielle, une rétrocompatibilité avec JACK, une utilisation réduite du processeur, une base de code moderne et plus agile, et une meilleure gestion des équipements audio Bluetooth modernes tels que les barres de son.
Comment passer à Ubuntu 24.04 LTS
Comme expliqué en introduction, la mise à niveau n’est pas encore disponible. Ainsi vous n’aurez pas de popup de mise à jour de la distribution et do-release-upgrade retourne qu’aucune nouvelle version LTS n’est disponible. Toutefois, si vous êtes pressé, vous pouvez mettre à jour Ubuntu via APT en suivant ce guide : Mettre à jour/à niveau Ubuntu en ligne de commande
Ubuntu 24.04 LTS (Noble Numbat) est la version avec un support étendu publiée en Avril 2024. Ce support s’étend sur 5 années, soit donc jusqu’en Juin 2029.
Cette version d’Ubuntu vient avec une version du noyau Linux 6.8, GCC est mis à jour vers la version 14, binutils vers 2.42, glibc vers 2.39 et Python en 3.12. La pile réseau par défaut est dorénavant NetPlan et PipeWire est le nouveau serveur de son.
Dans ce tutoriel, vous trouverez toutes les liens gratuits pour télécharger les images d’Ubuntu et ses dérivés Kubuntu, Lubuntu, Xubuntu.
Le code erreur 0x80070426 apparaît dans Windows lorsqu’un utilisateur tente de mettre à jour le système d’exploitation Windows ou d’installer des mises à jour logicielles et qu’un problème se produit. En général, ce problème se produit lors de la phase d’installation et donc la mise à jour est en échec d’installation.
Dans ce guide, je vous donne plusieurs solutions pour résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update.
Résoudre l’erreur 0x80070426 sur Windows Update
Réparer les fichiers systèmes avec SFC et DISM
Pour réparer les fichiers systèmes de Windows 10 ou Windows 11, on utilise les utilitaires SFC (vérificateur de fichiers systèmes) et DISM. Ces deux outils s’utilisent en invite de commandes.
Ensuite on peut utiliser DISM pour réparer les images de Windows 10/11. Pour cela, utilisez la commande suivante :
Dism /Online /Cleanup-Image /CheckHealth
Puis enchaînez avec une vérification et réparation des fichiers corrompus et manquants avec l’outil SFC. Pour cela, saisissez :
sfc /scannow
Laisse le vérificateur de fichiers systèmes analyser Windows 10 ou Windows 11. Enfin si des fichiers systèmes sont corrompus, SFC tente de les réparer.
net stop wuauserv
net stop cryptSvc
net stop bits
net stop msiserver
ren C:\Windows\SoftwareDistribution SoftwareDistribution.old
ren C:\Windows\System32\catroot2 catroot2.old
net start wuauserv
net start cryptSvc
net start bits
net start msiserver
Redémarrez le PC afin de prendre en compte les changements
Puis relancez les mises à jour Windows Update
Un article existe sur le site dédié avec d’autres méthodes pour vider le catalogue Windows Update et résoudre les erreurs d’installation :
Le démarrage sélectif permet de désactiver des applications et services Windows afin d’alléger le démarrage. Si vous avez suivi un mauvais tutoriel et désactiver des services Windows, cela peut causer des dysfonctionnements.
Il faut alors remettre le mode de démarrage en démarrage normal. Pour cela :
Windows Repair se lance automatique, acceptez les conditions d’utilisation
Toutefois, il est conseillé de faire les réparations en mode sans échec. Pour cela, en bas, cliquez sur Reboot To Safe Mode.. ou suivez ce guide complet : Redémarrez Windows en mode sans échec
Puis relancez Windows Repair
Cliquez sur l’onglet Réparation – Principal
La liste des type de réparation de Windows s’affiche : cliquez sur Préréglages : Réparations communes
Vous obtenez alors la liste ci-dessous, laissez les éléments cochés
Enfin cliquez en bas à droite sur Démarrer les réparations
L’opération se lance avec une succession d’étape… des fenêtres noires peuvent s’ouvrir ou se refermer
Laissez terminer, un message vous indique que la réparation Windows Repair est terminée
Lorsque Windows est totalement endommagé et que les problèmes sont trop nombreux, vous pouvez tenter de réparer Windows 10, 11 sans perte de données et en conservant les programmes installés. Cela permet de rétablir un système fonctionnel à partir des fichiers ISO et images de Windows. La procédure est décrite pas à pas dans cet article :
Il s’agit d’une opération de réinitialisation et de remise à zéro qui supprime les applications et remet le système à son état d’origine. C’est la solution radicale pour retrouver un système fonctionnel :