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IA générative : progrès spectaculaires, menaces existentielles et la théorie de la « mort d’Internet », les inquiétudes sont-elles justifiées ?
Cet article L’IA va-t-elle précipiter la « mort d’Internet » d’ici 3 ans ? a été publié en premier par GinjFo.
LeechBlock NG est une extension pour navigateurs (Firefox, Chrome..) qui bloque les sites chronophages. Boostez votre productivité en limitant vos distractions.
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Qui n’a jamais rêvé d’être totalement invisible sur Internet ? Masquer son identité, éviter le pistage publicitaire, empêcher les géants du web, son FAI ou même certains États de savoir ce que l’on fait en ligne.
Mais la réalité est toute autre : l’anonymat absolu n’existe pas. Chaque action en ligne laisse des traces — adresse IP, cookies, empreinte du navigateur, comptes connectés, métadonnées — qui peuvent être exploitées pour dresser un profil.
L’objectif de ce guide n’est donc pas de vous promettre l’impossible, mais de montrer comment réduire au maximum votre exposition et améliorer votre confidentialité. Nous verrons quelles sont les limites des outils comme le VPN, le proxy ou Tor, comment fonctionne réellement le pistage, et quelles bonnes pratiques adopter pour rester presque anonyme en ligne.
L’anonymat absolu sur Internet est une idée séduisante… mais largement illusoire. Beaucoup pensent qu’il suffit d’utiliser un VPN, un proxy ou un navigateur privé pour disparaître des radars. En réalité, chaque connexion laisse une trace : adresse IP, cookies, empreinte du navigateur, comptes en ligne, métadonnées.
Il est donc impossible d’être totalement anonyme sur le web. En revanche, il est possible de réduire considérablement son exposition et de compliquer la tâche des acteurs qui cherchent à vous tracer : FAI, plateformes en ligne, publicitaires ou même certains États. À lire à ce sujet : Que savent les FAI de nous ? les risques sur la vie privée
Ce guide vous explique les notions clés pour comprendre ce qu’est (et n’est pas) l’anonymat en ligne, les limites des outils disponibles, ainsi que les bonnes pratiques pour améliorer votre confidentialité sans tomber dans les idées reçues.
L’adresse IP est la première donnée qui permet de vous identifier sur Internet. Elle agit comme une plaque d’immatriculation numérique : chaque fois que vous vous connectez à un site, votre IP est visible et peut être utilisée pour déterminer :
Un site web ou un service en ligne peut donc déjà en savoir beaucoup sur vous simplement grâce à cette donnée de base.
Vous pouvez faire un simple test sur le site BrowserLeaks.
Changer ou masquer son adresse IP (via un VPN, un proxy ou le réseau Tor) améliore la confidentialité, mais cela ne signifie pas que vous êtes anonyme pour autant : vos autres traces (cookies, comptes connectés, empreinte du navigateur) restent exploitables.
Pour masquer son adresse IP et limiter la collecte de données, il existe plusieurs technologies appelées “serveurs d’anonymat”. Elles ne garantissent pas l’anonymat complet, mais elles contribuent à améliorer la confidentialité.
Un VPN (Virtual Private Network) crée un tunnel chiffré entre votre appareil et un serveur distant. Ainsi, le site que vous visitez ne voit que l’adresse IP du serveur VPN, pas la vôtre. Cela permet :
Pour un comparatif complet entre VPN, Proxy et Tor, consultez : VPN vs Tor : quel est le meilleur choix ?
Le réseau Tor (The Onion Router) repose sur une chaîne de relais successifs qui chiffrent et acheminent vos communications à travers plusieurs serveurs. Chaque relais ne connaît que l’adresse de son voisin immédiat, ce qui rend l’identification beaucoup plus difficile.
Avantages :
Limites :
Tor renforce la confidentialité, mais ne garantit pas un anonymat absolu. Pour aller plus loin : Tor est-il sûr et totalement anonyme ?
Un proxy agit comme un intermédiaire entre votre appareil et Internet : lorsque vous envoyez une requête, elle passe par le proxy avant d’atteindre le site cible. Cela permet de masquer votre adresse IP réelle et de contourner certaines restrictions géographiques (définition détaillée).
X-Forwarded-For
) ou divulguer votre IP, notamment lorsqu’ils ne masquent pas bien l’origine de la requête.Les proxies peuvent être une solution légère pour changer d’IP, mais leur fiabilité et sécurité ne sont pas garanties, surtout lorsqu’ils sont gratuits ou non vérifiés. Il faut rester extrêmement prudent, car tout le trafic peut être intercepté, lu ou altéré.
Pour des utilisations plus sûres, privilégiez des proxys payants bien établis ou consultez la liste des meilleurs proxies gratuits — mais toujours avec vigilance.
Même si vous masquez votre adresse IP avec un VPN ou que vous utilisez Tor, de nombreuses techniques de pistage permettent encore de suivre vos activités en ligne. Ces méthodes sont massivement utilisées par les publicitaires, les réseaux sociaux et les grandes plateformes pour profiler les internautes.
Parmi les plus répandues :
Pour en savoir plus sur ces pratiques, consultez notre dossier : Le pistage utilisateur (Web Tracking) sur Internet
Et pour apprendre à vous en protéger (navigateur, extensions anti-tracking, DNS privés, etc.) : Comment se protéger du pistage sur Internet
Même si l’anonymat total est hors de portée, il est possible de réduire considérablement son exposition en adoptant de bons réflexes au quotidien. L’idée n’est pas de disparaître complètement, mais de compliquer la tâche de ceux qui cherchent à vous tracer (publicitaires, plateformes, cybercriminels).
Voici quelques conseils concrets :
Besoin d’une solution rapide pour masquer votre IP ? Ce tutoriel propose 4 méthodes efficaces (Tor, VPN, proxy, Wi‑Fi public) : Comment cacher son adresse IP : 6 façons
Pour aller plus loin sur les protections spécifiques contre le suivi, consultez : Comment se protéger du pistage sur Internet
Malgré l’usage de VPN, proxies, Tor ou de nombreuses précautions, l’anonymat complet reste inatteignable pour l’utilisateur lambda. Chaque action en ligne laisse une trace quelque part : chez votre fournisseur d’accès, chez le site web visité, dans les journaux des services tiers ou même via les métadonnées (horaires, volumes de données, localisation approximative).
Même les outils les plus avancés — comme Tor associé à Tails (un système d’exploitation éphémère orienté confidentialité) — ne garantissent pas un anonymat total. Les agences de renseignement disposent de moyens techniques puissants (corrélation de trafic, analyse globale des réseaux) capables d’identifier ou de profiler un utilisateur.
La vraie question n’est donc pas “Comment être 100 % anonyme ?” mais plutôt “Anonyme vis-à-vis de qui ?”
En clair, l’anonymat sur Internet est un idéal théorique, mais la confidentialité et la réduction des traces restent des objectifs atteignables avec les bonnes pratiques.
L’anonymat total sur Internet est un mythe : chaque action laisse une trace, que ce soit via l’adresse IP, les cookies, le fingerprinting, les comptes en ligne ou encore les métadonnées. En revanche, il est possible de réduire considérablement son exposition et de compliquer le suivi en combinant plusieurs outils (VPN, proxy, Tor) et de bonnes pratiques de cybersécurité.
Retenez surtout qu’un VPN ou Tor ne suffisent pas à eux seuls : la clé est dans l’ensemble de vos habitudes numériques (navigateur, DNS, gestion des comptes, hygiène informatique).
Pour approfondir :
L’article Comment être (presque) anonyme sur Internet ? est apparu en premier sur malekal.com.
Si les IA ne sont pas en train de révolutionner nos métiers, elles changent notre façon de chercher l'information. Elles remplacent doucement mais sûrement les moteurs de cherche, petit à petit.
Dans cet article nous allons parelr de l'IA dans le métier de développeur mais aussi dans le monde de l'infrastructure (souvent parce qu'on y retrouve aussi pas mal de code/scripts).
Je vous partage cette réflexion de BenjaminCode sur le devenir du métier de développeur et de l'assistance apportée par les IA :
Si rien n'est tout blanc ou tout noir, je suis plutôt inquiet de la trajectoire que vont prendre les projets, notamment en terme de sécurité. Faire du copier/coller de code que l'on ne comprend qu'à moitié va nécessairement introduire des problématiques de sécurité... avec des défauts de config qui peuvent s'avérer fatals.
Cette vidéo est une excellente entrée en la matière pour vous parler des IA que j'utilise dans mon métier de sysAdmin (merci Benjamin)
L'IA est un merveilleux outil pour gagner du temps, c'est vrai. Mais je crois aussi que si vous ne comprenez pas ce que produit l'IA, alors elle produit à votre place et c'est donc que vous n'avez que bien peu de plus value.
Autrement dit : gagner du temps pour débuter un script, avoir une trame globale, corriger un morceau de code sur lesquels vous vous arrachez les cheveux : oui. Demander à l'IA d'écrire la majorité du code pour vous : non.
Ne nous méprenons pas, nous y sommes déjà. Je vois certains collègues de travail passer leur vie dessus, ce fameux "reflex IA". Ne plus faire l'effort de réfléchir par soi-même et céder systématiquement à la facilité. Quand c'est pour apprendre quelque chose, oui, c'est un super accélérateur. En revanche quand on utilise l'IA sans comprendre le cheminement qui mène à la réponse...
Dans le monde de l'infra les IA ont parfois tendance à inventer n'importe quoi quand vous demandez un script powershell un poil plus poussé, ou bien sur une techno peu connue. Je me retrouve parfois avec des noms de fonctions ou de modules qui n'existent pas... ou bien avec une mécanique bien trop complexe à cause du nombre d'itérations / questions posées. Même s'il reste possible d'insérer un pré-prompt pour limiter la casse.
Voici les différentes IA que j'utilise le plus souvent :
ChatGPT reste une référence et d'ailleurs je l'utilise via duck.ai, mais je trouve MistraIA plus rapide et plus pertinente la plupart du temps (cocorico).
J'utilise aussi Copilot de Microsoft, dans un cadre professionnel pur. Etant donné qu'elle n'absorbe aucune donnée il n'est pas nécessaire d'anonymiser les données "sensibles". Je ne parle pas ici de mots de passe, mais plutôt des noms de vos serveurs, de vos clients, etc.
J'utilise toutes ces IA en mode gratuit (sauf Copilot qui est lié à une licence 365) et parfois avec un compte enregistré pour lever certaines limitations.
Vous n'aimez pas le RSS : abonnez-vous par emailArticle original écrit par Mr Xhark publié sur Blogmotion le 19/08/2025 |
Un commentaire |
Attention : l'intégralité de ce billet est protégée par la licence Creative Commons
J’sais pas vous, mais moi, je perds tout le temps des trucs… Où sont mes chaussures ? Où est mon téléphone ? Mais il est où encore cet aspi robot ? Et mes clés ? J’lai garé où déjà la voiture ? Mais où est ce que j’avais noté ce truc ? T’as pas vu les enfants ?????
That’s my life comme dirait Jean Claude ! Alors je me prépare à perdre d’autres trucs. Par exemple comme le curseur de ma souris. Ça m’arrive aussi parfois j’avoue, surtout quand j’ai 42 onglets ouverts et 3 écrans connectés. Heureusement, sous macOS, suffit de secouer la souris comme un shaker à cocktails et le curseur grossit pour mieux le voir. Et sous Windows, y’a Ctrl + cherche-toi-même-pauvre-fou.
Mais dans les cas vraiment désespérés, ou juste pour se marrer 5 minutes (parce qu’on bosse dur nous hein), je viens de trouver LE site ultime : PointerPointer. C’est le Sherlock Holmes du curseur de souris, l’inspecteur Gadget de votre pointeur, le GPS de votre flèche blanche !
Le concept est génial. Vous bougez votre souris n’importe où sur l’écran, vous attendez quelques secondes, et PAF ! Le site vous sort une photo vintage avec quelqu’un qui pointe PILE POIL sur l’endroit exact où se trouve votre curseur. C’est magique, c’est inutile, c’est addictif, bref c’est parfait pour une pause café.
Apparemment, les créateurs ont compilé des centaines (milliers ?) de photos de gens qui pointent du doigt dans toutes les directions possibles. Du coup, peu importe où vous planquez votre curseur, y’aura toujours un random dude ou dudette pour vous dire “Hey, il est là ton pointeur !” avec son index tendu. C’est con et ça sert à rien, hein ? Bah moi j’aime bien !
Tout ne doit pas être productif, optimisé, rentable… parfois un simple site qui trouve juste votre curseur avec des photos rigolotes, c’est tout ce dont on a besoin dans la vie. Et puis entre nous, c’est quand même plus fun que de chercher ses clés sous le canapé pour la 10ème fois de la journée… Allez, cliquez ici pour tester !
Alors combien de fois vous avez relancé la recherche juste pour voir quelle photo va sortir ???
V2F vient de sortir la meilleure vidéo que j'ai pu voir sur le bitcoin, une masterclass!
La vidéo résume le fonctionnement de bitcoin, ses particularités, sa robustesse et les problématiques résolues avec des mathématiques (cryptographie) et un soupçon de logique.
Avec le recul que l'on a sur les cryptomonnaies aujourd'hui, on peut dire que la pratique a largement confirmé la théorie
Article original écrit par Mr Xhark publié sur Blogmotion le 10/08/2025 |
Pas de commentaire |
Attention : l'intégralité de ce billet est protégée par la licence Creative Commons
Déployez facilement Erugo sur votre propre serveur avec Docker, pour disposer d'une solution de transfert de fichiers open source et self-hosted.
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Il vous est sans doute déjà arrivé de regarder une vidéo YouTube dont le son semblait anormalement bas, même avec tous les volumes réglés à 100 %. Cela peut venir de plusieurs facteurs : mauvais encodage audio, normalisation automatique appliquée par YouTube, ou simplement un réglage système ou navigateur mal calibré.
Dans cet article, vous apprendrez comment :
Que vous utilisiez un casque, des haut-parleurs ou une enceinte Bluetooth, ce guide vous aidera à obtenir un volume optimal sur toutes vos vidéos YouTube.
Clique sur l’icône haut-parleur dans le lecteur YouTube (en bas à gauche) et mettez le curseur au maximum.
Cela garantit que YouTube envoie le signal à pleine puissance au système.
Certains paramètres audio (dans les pilotes Realtek, applications comme Dolby, ou extensions de navigateur) peuvent réduire automatiquement le volume, compresser le son ou l’égaliser. Assure-toi qu’aucun de ces effets ne bride le signal.
Toutes les vidéos mises en ligne sur YouTube ne sont pas créées de la même manière par chaque Créateur, cela peut jouer sur le volume sonore source (voir fin de l’article).
Pour éviter que les utilisateurs passent leur temps à ajuster le volume entre deux vidéos, YouTube applique une normalisation audio automatique. Cela signifie que si une vidéo dépasse un certain niveau de loudness (typiquement −14 LUFS), YouTube baisse son niveau automatiquement pour l’aligner avec les autres vidéos.
Quand YouTube détecte qu’une vidéo présente un niveau sonore global trop bas, plutôt que d’augmenter simplement le volume, il peut appliquer une compression dynamique pour :
Tout cela permet de “densifier” le son sans modifier brutalement le volume global.
Si vous pensez que cela pose un problème sur le volume sonore générale des vidéos YouTube, vous pouvez tester en la désactivant, pour cela :
Pour vérifier si YouTube applique une normalisation du volume sonore :
x% / y%
, alors la vidéo a été réduite.Dans l’exemple ci-dessous, le second chiffre (85%
, dans cet exemple) indique que YouTube a abaissé le niveau de lecture de la vidéo à 85 % de son volume initial, car elle était jugée trop forte par rapport à la cible de normalisation (généralement autour de −14 LUFS).
Dans cet autre exemple, ci-dessous, DRC est l’abréviation de Dynamic Range Compression, en français compression de la plage dynamique. C’est une technique audio utilisée pour réduire la différence entre les sons les plus faibles et les plus forts d’une vidéo.
Ainsi, content loudness 9.1 dB signifie que la vidéo est jugée 9,1 dB en dessous du niveau de référence YouTube),
Lorsque vous regardez plusieurs vidéos sur YouTube avec les mêmes réglages de volume, vous pouvez constater des différences notables de niveau sonore. Cela peut sembler surprenant, mais c’est tout à fait normal, et cela s’explique par plusieurs facteurs techniques liés à l’encodage audio, la normalisation, et la source du contenu.
Toutes les vidéos mises en ligne sur YouTube ne sont pas créées de la même manière. Certains créateurs exportent leur audio avec un niveau élevé (proche de 0 dBFS), tandis que d’autres laissent volontairement une marge (−12 ou −18 dBFS, par exemple). Résultat : une vidéo bien “mixée” avec un son fort ressortira nettement plus puissante qu’une autre vidéo, même si les deux sont à 100 % de volume dans YouTube et dans Windows.
Le mélangeur de volume de Windows et de YouTube ne fonctionne pas de la même manière.
Il faut prendre cela en considération.
Le volume perçu par l’oreille humaine n’augmente pas de manière linéaire. On est bien plus sensible aux variations de volume dans les faibles niveaux qu’aux très hauts. C’est pourquoi les systèmes audio (comme Windows, Android, macOS, etc.) utilisent une échelle logarithmique pour le volume.
Exemple :
YouTube, en revanche, utilise un curseur de volume linéaire, probablement pour des raisons de simplicité côté développement (interface JavaScript + contrôle HTML5). Cela signifie que :
Ce comportement est moins naturel pour l’oreille humaine, et peut donner l’impression que « le son est faible jusqu’à 90 % », ce qui est en fait une caractéristique du contrôle linéaire.
L’article YouTube : comment régler et augmenter le volume sonore efficacement est apparu en premier sur malekal.com.