Dans un article précédent, je présentais les meilleures versions non officielles de Windows. Si vous souhaitez essayer ces versions de Windows non supportées par Microsoft, je vous donne dans cet article tous les liens de téléchargement.
Voici donc tous les liens pour télécharger des versions de WIndows 11 ou de WIndows 10 non officielles et non supportées par Microsoft.
Télécharger ISO des versions non officielles de Windows 11
Windows 11 24H2 Préactivé, sans TPM, ni Secureboot (Build 26100.1742.0)
Windows 11 24H2 Préactivé, sans TPM, ni Secure boot (Build 26100.2605.0)
Le code erreur 0x800f081f survient lorsque Windows 11 ou Windows 10 ne parvient pas à installer une mise à jour cumulative ou de qualité. Windows Update affiche un message d’erreur qui indique que l’installation de la mise à jour est en échec.
Si vous êtes confronté à ce problème, vous pouvez suivre les solutions données dans ce guide afin de terminer la mise à jour du système.
Quelles sont les sources de l’erreur 0x800f081f
L’erreur 0x800f081f dans Windows Update signifie CBS_E_SOURCE_MISSING. Elle est une erreur courante liée à l’impossibilité pour Windows de trouver les fichiers nécessaires à l’installation d’une mise à jour ou d’un composant. Elle est souvent liée à .NET Framework, aux mises à jour cumulatives, ou à une corruption dans les fichiers système.
Voici des journaux Windows Update où l’on constate que la mise à jour est en échec à 75 % et ne parvient pas à se terminer. Une erreur de déploiement de la mise à jour est alors enregistrée dans les logs.
2025/04/22 14:48:51.5715506 1916 19316 Deployment Deployment job Id 0F5FA31B-1D91-4799-AC74-70FF9E56178A : NotifyClient (19316)(0) called for update id 50b27959-e962-45a0-bc3b-b3e298531ffa.1, code = Update progress, percent complete = 75 2025/04/22 14:48:51.5732349 1916 21492 Agent Deploy call B10555E1-A9D1-431A-8C63-5C9B223AF926 : NotifyClient (21492)(0) called with Deployment callback code = Update progress, reboot status = unspecified 2025/04/22 14:48:51.5734064 1916 21492 Agent Deploy call B10555E1-A9D1-431A-8C63-5C9B223AF926 : Callback to client with code Update progress and error 0 2025/04/22 14:49:17.9587087 17956 14152 Deployment *FAILED* [800F081F] UpdateDeploy.dll, C:\__w\1\s\src\Client\Engine\handler\OSDeployment\Helper\OSDeploymentHelper.cpp @806 2025/04/22 14:49:17.9587573 17956 14152 Deployment *FAILED* [800F081F] UpdateDeploy.dll, C:\__w\1\s\src\Client\Engine\handler\OSDeployment\Installer\OSInstaller.cpp @1279 2025/04/22 14:49:17.9637463 17956 14152 Handler Install complete for update ID: 50B27959-E962-45A0-BC3B-B3E298531FFA.1 Return code is 0x800F081F. Requires Reboot:No 2025/04/22 14:49:17.9637476 17956 14152 Handler Enter deployment handler NotifyResult 2025/04/22 14:49:17.9638632 1916 1940 Deployment Deployment job Id 0F5FA31B-1D91-4799-AC74-70FF9E56178A : Update 50b27959-e962-45a0-bc3b-b3e298531ffa.1 failure delegate invoked. 2025/04/22 14:49:17.9638953 17956 14152 Handler Leave deployment handler NotifyResult 2025/04/22 14:49:17.9639111 17956 14152 Deployment *FAILED* [800F081F] UpdateDeploy.dll, C:\__w\1\s\src\Client\Engine\handler\OSDeployment\Installer\OSInstaller.cpp @385 2025/04/22 14:49:17.9639121 17956 14152 Handler *FAILED* [800F081F] Leave deployment handler Install 2025/04/22 14:49:17.9645356 1916 21492 Agent Deploy call B10555E1-A9D1-431A-8C63-5C9B223AF926 : NotifyClient (21492)(0) called for update id 50B27959-E962-45A0-BC3B-B3E298531FFA.1, code = Update failed, percent complete = 100 2025/04/22 14:49:17.9646409 18364 13032 ComApi Deployment callback complete for UpdateID = 50b27959-e962-45a0-bc3b-b3e298531ffa, callback code = 8, CallbackInfo cookie length = 0 2025/04/22 14:49:17.9648428 1916 21492 Agent Deploy call B10555E1-A9D1-431A-8C63-5C9B223AF926 : NotifyClient (21492)(0) called with Deployment callback code = Update failed, reboot status = unspecified 2025/04/22 14:49:17.9649192 1916 21492 Agent Deploy call B10555E1-A9D1-431A-8C63-5C9B223AF926 : Callback to client with code Update failed and error 0 2025/04/22 14:49:17.9683457 1916 6448 Agent Deploy call B10555E1-A9D1-431A-8C63-5C9B223AF926 : Callback for inner update : 50B27959-E962-45A0-BC3B-B3E298531FFA.1, top-level update 50B27959-E962-45A0-BC3B-B3E298531FFA.1, reboot required = unspecified, commit required = No, callback info length = 0 2025/04/22 14:49:18.1512365 1916 6448 DownloadManager CloseUpdateInstallDirectory invoked for Update ID = 50B27959-E962-45A0-BC3B-B3E298531FFA.1, serverID = 8B24B027-1DEE-BABB-9A95-3517DFB9C552, Update installation result = 0x800f081f. 2025/04/22 14:49:18.3702517 1916 6448 DownloadManager CloseUpdateInstallDirectory successful for Update ID = 50B27959-E962-45A0-BC3B-B3E298531FFA.1. 2025/04/22 14:49:18.3799337 1916 6448 DownloadManager Unlock the sandbox of update 50B27959-E962-45A0-BC3B-B3E298531FFA.1 (session data: (null)) 2025/04/22 14:49:18.3923564 1916 6448 Deployment Mutex will be closed. index = 0, HANDLE = 00000000000011F0 2025/04/22 14:49:18.3923691 1916 6448 Deployment FAILED [800F081F] Deployment job Id 0F5FA31B-1D91-4799-AC74-70FF9E56178A : Top level update id 50b27959-e962-45a0-bc3b-b3e298531ffa.1, bundled update id 50b27959-e962-45a0-bc3b-b3e298531ffa.1 2025/04/22 14:49:18.3923708 1916 6448 Deployment FAILED [800F081F] Deployment job Id 0F5FA31B-1D91-4799-AC74-70FF9E56178A : Top level update id 50b27959-e962-45a0-bc3b-b3e298531ffa.1
Comment résoudre l’erreur 0x800f081f
Réparer les fichiers systèmes avec SFC et DISM
Pour réparer les fichiers systèmes de Windows 10 ou Windows 11, vous devez utiliser les utilitaires SFC (vérificateur de fichiers systèmes) et DISM. Ces deux outils s’utilisent en invite de commandes.
Au cas où SFC indique que des fichiers systèmes sont corrompus. Je vous conseille d’aller directement à la solution de réparation de Windows sans perte de données. En effet, c’est la meilleure solution pour résoudre les problèmes de système corrompu.
Désinstaller .NET Framework 3.5
Si .NET Framework 3.5 est installé dans Windows, cela peut être la source de l’impossibilité de terminer l’installation de la mise à jour. Tentez de le désinstaller :
Sur votre clavier, appuyez sur la touche
+
R
Dans la fenêtre exécuter, saisissez : appwiz.cpl
Puis, décochez .NET Framework 3.5 (inclut .NET 2.0 et 3.0) et valider par OK
Laissez les opérations de désinstaller s’opérer et redémarrez votre ordinateur pour prendre en compte les modifications du système
Quand cela est fait, relancez Windows Update pour tester si cela résout le code 0x800f081f et les problèmes de mise à jour
Télécharger la mise à jour manuellement
Une autre solution consiste à télécharger manuellement la mise à jour et tenter de l’installer. Cela peut aider dans le cas où le téléchargement de la mise à jour est corrompu.
Cherchez le code de la mise à jour avec son numéro KB (ex. : KB5022834)
Télécharge la bonne version selon ton système (x64, ARM64, etc.)
Installe-la manuellement
Réparer Windows Update
Une autre raison qui peut expliquer cette erreur 0x800f081f est que le cache Windows Update est corrompu ou pire encore, le composant Windows Update est endommagé. Pour résoudre cela, voici deux actions à faire afin de rétablir le service de mise à jour de Windows :
net stop wuauserv
net stop cryptSvc
net stop bits
net stop msiserver
ren C:\Windows\SoftwareDistribution SoftwareDistribution.old
ren C:\Windows\System32\catroot2 catroot2.old
net start wuauserv
net start cryptSvc
net start bits
net start msiserver
Le cache Windows Update est alors vidé, ce qui peut résoudre le problème de corruption
Un article est disponible sur le site pour vider le catalogue Windows Update et résoudre les erreurs d’installation.
Ensuite, vous pouvez enchaîner avec l’outil de réparation de Windows Update.
Windows comprend une multitude d’outils de dépannage automatisés pour résoudre les problèmes courants. Il est capable de réinitialiser les composants Windows Update afin de le réparer. Voici comment utiliser l’utilitaire de résolution des problèmes Windows Update qui résout la plupart des codes erreurs 0X80070057, 0x80070570, 80004005, 0x80073701, 8024a000, ox8024001e, 0x800700d8, …
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis msdt.exe -id WindowsUpdateDiagnostic
Dans la liste, cherchez Windows Update et cliquez dessus
Cliquez sur Exécuter l’utilitaire de résolution des problèmes
L’outil de dépannage démarre et analyse Windows 10 pour détecter les problèmes et les résoudre
Laissez-vous guider. Un redémarrage du PC est alors nécessaire pour prendre en compte les changements
Enfin, relancez une recherche de mise à jour afin de vérifier si Windows Update est réparé, fonctionne correctement et si les codes erreurs ou autres soucis sont résolus
Réparer Windows 11/10
Lorsque Windows est totalement endommagé et que les problèmes sont trop nombreux, vous pouvez tenter de réparer Windows 10, 11 sans perte de données et en conservant les programmes installés. Cela permet de rétablir un système fonctionnel à partir des fichiers ISO et images de Windows. La procédure est décrite pas à pas dans cet article :
Il s’agit d’une opération de réinitialisation et de remise à zéro qui supprime les applications et remet le système à son état d’origine. C’est la solution radicale pour retrouver un système fonctionnel. Pour cela :
Allez dans Paramètres > Mise à jour et sécurité > Récupération
Sous la section Réinitialiser ce PC, clique sur Commencer et choisis si tu veux conserver ou supprimer tes fichiers personnels
Parfois, Microsoft publie des mises à jour cumulatives qui comportent des problèmes et des bugs. Cela peut se traduire par l’échec de l’installation avec le code erreur 0x800f081f. Pour savoir s’il existe des problèmes, consultez ce lien :
Si Windows ne parvient pas à terminer l’installation d’une mise à jour spécifique, vous pouvez alors comme solution de contournement, masquer cette mise à jour. Le système ne tentera plus de l’installer. Pour y parvenir, suivez ce guide : Windows 10, 11 : Bloquer/masquer une mise à jour sur Windows Update
Les voyants de débogage d’une carte mère (led), également appelés voyants POST (Power-On Self-Test), sont des voyants de diagnostic qui peuvent vous aider à résoudre des problèmes matériels pendant le processus de démarrage (debug). Ces voyants sont généralement situés près du bord de la carte mère ou à proximité du socle de l’unité centrale.
Leur signification varie un peu selon le fabricant (ASUS, MSI, Gigabyte, ASRock…), mais voici un guide qui vous donne une vue d’ensemble des voyants les plus fréquents afin de vous aider à identifier et à comprendre ces voyants de débogage.
Les significations des LED de diagnostic (Debug LEDs, Q-LED ou EZ Debug LED) de la carte mère
L’autotest à la mise sous tension (POST) est un élément essentiel du processus de démarrage d’un PC. Pendant le POST, la carte mère vérifie des composants clés tels que le processeur, la mémoire RAM et la carte graphique. Chaque étape allume un voyant spécifique. Le voyant du processeur s’allume en premier, suivi du voyant de la DRAM, puis du voyant du VGA et enfin du voyant de démarrage.
Si tous les tests sont réussis, les voyants s’éteignent ou restent verts. Cela signifie que le système est prêt à démarrer. Mais si un voyant reste allumé ou devient rouge, c’est qu’il y a un problème avec cette partie.
Certaines cartes mère utilisent des couleurs ou des motifs différents pour donner plus d’informations. Par exemple, un voyant clignotant peut signifier un problème différent de celui d’un voyant fixe. Lorsque des erreurs se produisent dans le matériel connexe pendant le processus de démarrage du système, l’indicateur LED correspondant reste constamment allumé, ce qui vous permet de déterminer rapidement le point de défaillance.
EZ Debug LED est le nom utilisé principalement par MSI alors que les autres marques comme Gigabyte, ASRock, ASUS utilisent le terme Debug LED. On peut aussi parfois rencontrer les termes Status LED, Q-LED, ou même POST LED. Mais, ce sont les mêmes choses.
Bien que la signification exacte de chaque voyant puisse varier en fonction de la marque et du modèle de votre carte mère, voici quelques couleurs courantes et leurs interprétations typiques :
Rouge : Cette couleur indique généralement un problème avec un composant critique, comme le processeur, la mémoire ou la carte graphique. C’est comme si votre carte mère vous disait : « Hé, il y a un problème ici ! ».
Jaune/Orange : Il s’agit souvent d’un problème moins critique, qui peut concerner un périphérique ou un paramètre du BIOS. Il s’agit d’un signe d’avertissement, mais pas nécessairement d’un problème majeur.
Vert : Cela signifie souvent que tout fonctionne comme il se doit. La phase de démarrage du BIOS s’est effectuée sans détecter aucun problème
Blanc/Bleu : Ces couleurs sont fréquemment utilisées pour indiquer l’activité d’un composant particulier, comme le disque dur ou la connexion réseau. Elles indiquent que des données sont en cours de transfert.
LED
Couleur
Nom complet
Signification
CPU
Rouge
CPU LED
Problème avec le processeur : mal installé, non détecté, ou défectueux, overclocking, CPU mort
DRAM
Ambre
DRAM LED
Problème avec la RAM : mal insérée, incompatible ou défectueuse
VGA
Blanche ou jaune
VGA LED
Problème avec la carte graphique (GPU) : absente, mal branchée ou non détectée
BOOT
Blanche ou verte
Boot Device LED
Aucun disque de démarrage détecté, ou pas de système d’exploitation trouvé. La BOOT LED peut s’éteindre à la sortie du BIOS lorsque l’OS démarre
De plus, certaines LED peuvent clignoter pour indiquer certains gênes particuliers. Par exemple, ASUS fournit un tableau complet des significations.
Scénarios
A : Clignotement rapide
B : Clignotement lent
C : Clignotement très lent
D : Lumière fixe
Descriptions
La LED d’alimentation clignote rapidement (un cycle de 0,25 s)
La LED d’alimentation clignote lentement (un cycle de 2s)
La LED d’alimentation clignote très lentement (un cycle de 8s)
La LED d’alimentation reste enfin allumée en continu
Représenter
Aucune DRAM détectée / Aucun processeur détecté**
Aucun VGA détecté
Aucun périphérique de démarrage détecté
Démarrage normal
Raison
1.La DRAM n’est pas correctement installée 2.La DRAM est endommagée 3.O.C. Échec de l’overclocking manuel
1.La carte graphique indépendante que vous utilisez n’est peut-être pas correctement installée ou est endommagée 2.Le processeur est endommagé ou peut ne pas avoir de fonction d’affichage intégrée si vous utilisez la carte graphique intégrée 3.Le moniteur n’est pas correctement installé ou, est endommagé
1.Le périphérique de démarrage n’est pas correctement installé 2.Le périphérique de démarrage est endommagé 3.Le périphérique de démarrage ne peut pas être détecté en raison de problèmes de système d’exploitation
Installation terminée
Q-Code ou LED à chiffres (sur cartes mère haut de gamme)
Certaines cartes mère affichent un code numérique (ex : A2, 55, d6, etc.) qui correspond à une étape précise du POST (Power-On Self-Test). Ils permettent de voir en direct quelle étape de démarrage est en cours. Voici les codes les plus fréquents mais pour trouver la signification exacte, reportez-vous au manuel de la carte mère.
Code
Signification (générale)
0
Aucun signal / CPU non détecté
A2
Problème de détection des disques (SATA/NVMe)
55
RAM absente ou non reconnue
d6
Carte graphique manquante ou défectueuse
** Si vous utilisez une carte mère Intel, le clignotement rapide signifie que la DRAM n’est pas détectée. Si vous utilisez une carte mère AMD, le clignotement rapide signifie que le processeur n’est pas détecté.
Vérifiez que l’unité centrale est correctement installée, puis effacez le CMOS.
31 – 3B 51 – 55
Problème lié à l’unité centrale et à la mémoire. Effacez le CMOS. Réinstallez l’unité centrale et la mémoire.
D4 – D5
Erreur d’allocation de ressources PCI. Ressources insuffisantes.
D6 92 – 97
La carte graphique ou iGPU n’a pas pu être reconnue. Effacez le CMOS et essayez de réinstaller la carte graphique. Si le problème persiste, essayez d’installer la carte graphique dans d’autres emplacements ou testez d’autres cartes graphiques.
D7
Le clavier et la souris n’ont pas pu être reconnus. Veuillez tenter de réinstaller le clavier et la souris.
D8
Mot de passe invalide
9A – 9D
Problème lié aux périphériques USB. Testez de supprimer tous les périphériques USB.
E8 – EB
Échec de la reprise S3 (S3=Sleep)
03
Le système entre dans l’état S3 (S3=Sleep)
04
Le système entre dans l’état S4 (S4=Hibernation)
05
Le système entre dans l’état S5 (S5=Soft power off)
30
Le système se réveille de l’état S3 (S3=Sleep)
40
Le système se réveille de l’état S4 (S4=Hibernation)
AA
Le système entre dans le système d’exploitation
Quelle est la signification d’un voyant vert fixe ?
La présence d’un voyant vert sur votre carte mère est généralement un bon signe ! La Carte Mère reçoit bien du courant et l’alimentation est connectée et en veille (standby). Cela ne veut pas dire que le PC est allumé, juste prêt à l’être. Elle indique généralement que le système fonctionne correctement et qu’il a passé l’autotest de mise sous tension (POST). Cela signifie que les composants de base tels que l’unité centrale, la mémoire et la carte graphique ont été détectés et fonctionnent correctement. Il s’agit en quelque sorte d’un signal d’encouragement de la part de la carte mère.
A savoir :
Ce voyant est souvent près du connecteur 24 broches ATX, ou près du chipset.
Il reste allumé même si le PC est éteint, tant que l’alimentation est sous tension.
Il s’éteint si tu coupe l’alimentation (switch OFF) à l’arrière de l’alim ou débranche la prise.
Sur certaines cartes mères la signification peut varier, ainsi :
Cartes mères ASUS : Un voyant vert peut indiquer que le système est en mode veille ou qu’une phase spécifique du processus de démarrage est terminée.
Cartes mères MSI : Un voyant vert peut indiquer que le système est prêt à démarrer ou que l’alimentation électrique fonctionne correctement.
Voyant vert, mais écran noir et rien sur l’écran
Parfois, vous pouvez voir un voyant vert sur votre carte mère, mais votre écran reste vide. Cela peut être frustrant, mais cela indique généralement un problème en dehors des composants principaux.
Si vous voyez le voyant vert mais que le PC ne démarre pas, cela signifie que :
L’alimentation fonctionne en veille, mais un composant peut bloquer le démarrage (CPU, RAM, GPU, etc.)
Vous pouvez vérifier les EZ Debug LED (ou similaires) si présentes pour identifier l’origine du blocage.
Voici quelques causes possibles :
Problèmes de l’écran : Assurez-vous que votre moniteur est allumé, que les câbles sont correctement connectés et que la source d’entrée correcte est sélectionnée.
Problèmes de carte graphique : même si la carte mère détecte la carte graphique, il se peut qu’il y ait un problème avec la carte elle-même ou avec sa connexion au moniteur. Essayez de réinstaller la carte ou de tester avec un autre moniteur.
Paramètres du BIOS : Des paramètres d’affichage incorrects dans le BIOS peuvent également être à l’origine de ce problème. Tentez de réinitialiser les paramètres par défaut du BIOS.
Dépannage d’un problème de LED sur la carte mère
De nombreuses erreurs d’allumage sont dues à des problèmes matériels. Des câbles mal fixés, des composants mal positionnés ou des pièces défectueuses peuvent déclencher ces voyants. Bien entendu, il peut aussi s’agir d’un composant défectueux.
Pour dépanner un problème de LED sur la CM, vous pouvez suivre ces étapes dans l’ordre.
Vérifiez les branchements du composant concerné.
Vérifiez le socket CPU, l’alimentation CPU (EPS 8-pin), et la compatibilité du processeur avec le BIOS
Testez les barrettes de RAM une à une, changez de slot, vérifiez la compatibilité RAM
Vérifiez la connexion PCIe, l’alimentation GPU, et si l’écran est bien branché sur le GPU (pas sur la carte mère)
Vérifiez si un SSD/HDD est bien connecté et bootable, réinitialisez l’ordre de boot dans le BIOS
Consultez le manuel de ta carte mère pour la signification précise.
Si besoin, fais un clear CMOS pour réinitialiser le BIOS.
Testez avec d’autres composants : Si possible, essayez de tester avec un autre moniteur, une autre carte graphique ou d’autres modules de mémoire pour isoler le problème.
Parfois, il s’agit d’un problème de compatibilité plutôt que d’une pièce défectueuse. La mémoire vive/RAM est une source fréquente de problèmes de compatibilité. L’utilisation d’une mémoire vive qui ne figure pas sur la liste des fournisseurs qualifiés (QVL) de la carte mère peut entraîner des problèmes. Il en va de même pour les cartes graphiques dans certains cas.
Les disques SSD M.2 et les périphériques PCIe peuvent également provoquer des conflits. S’ils ne sont pas compatibles ni installés correctement, ils peuvent déclencher des voyants d’erreur.
Les mises à jour du BIOS peuvent de temps en temps résoudre les problèmes de compatibilité. Elles prennent en charge le matériel le plus récent et corrigent les bogues.
ERR_ADDRESS_INVALID est un code d’erreur courant que vous pouvez rencontrer avec le message d’erreur « Ce site n’est inaccessible » dans de nombreux navigateurs internet, tels que Google Chrome, Firefox, Edge, Brave, etc. Le navigateur internet est donc incapable d’afficher le site internet. De nombreuses personnes peuvent penser qu’il s’agit d’un problème de site web ou de navigateur, mais ce n’est généralement pas le cas. La plupart du temps, le problème se situe au niveau de votre ordinateur Windows 11/10 ou réseau.
Dans ce guide, je vous montre comment résoudre ce problème à l’aide de 7 solutions efficaces.
Qu’est-ce que et les sources de l’erreur ERR_ADDRESS_INVALID sur Windows
L’erreur ERR_ADDRESS_INVALID est un message que tu peux voir dans un navigateur web (comme Chrome, Edge, ou Brave) sur Windows. Elle se produit lorsque le navigateur internet est incapable de trouver l’adresse internet d’un site WEB. Cela peut se produire lorsque :
L’adresse (URL) saisie n’est pas valide ou mal formée
Redirection cassée ou boucle de redirection : mauvais paramétrage côté site web
Paramètres de proxy ou DNS invalides : peut casser la résolution d’adresse internet
Extension ou application influant sur la connexion internet : Adblock, VPN, antivirus, etc
La couche réseau de Windows est endommagée
Comment résoudre l’erreur ERR_ADDRESS_INVALID sur Windows
Vérifier l’URL et tester sur d’autres navigateurs internet
Tout d’abord, vérifiez que vous avez bien saisi l’adresse internet sans erreurs. Vous pouvez faire une recherche du site sur les moteurs de recherche pour vous assurer que tout est correct. Un autre test important est de vérifier si le problème de connexion au site et erreur ERR_ADDRESS_INVALID se présente sur l’ensemble des navigateurs internet de votre ordinateur ou seulement un. Le but étant d’isoler s’il s’agit d’un problème sur le navigateur internet ou sur le système. Un test sur un autre appareil est aussi une bonne chose pour cela.
Efface le cache et les cookies
Le cache du navigateur et les cookies corrompus peuvent également provoquer l’erreur ERR_ADDRESS_INVALID sur votre ordinateur.
Ouvrez votre navigateur internet
Appuyez sur la touche CTRL+Maj+Supprafin d’ouvrir la boîte de dialogue qui permet de vider les caches du navigateur internet.
Dans la liste, cochez seulement Cache ou Données de navigation et cliquez sur Effacer
En mode de navigation privée, les extensions de votre navigateur internet sont désactivées. De plus, le cache internet et les cookies n’entrent pas en jeu. C’est donc un bon moyen de vérifier si un de ces éléments cause des problèmes pour afficher les sites internet. Faites un test en navigation privée :
Cliquez en haut à droite sur le bouton
Puis cliquez puis Nouvelle fenêtre de navigation privée
Vous pouvez aussi accéder directement par le raccourci clavier : CTRL+MAJ+N
Désactive temporairement les extensions (VPN, bloqueurs de pub)
Certains logiciels ou extension de protection peuvent bloquer l’accès à des sites internet ou provoquer des dysfonctionnements. Pour s’assurer que l’erreur ERR_ADDRESS_INVALID ne vient pas de là, vous devez :
Désactivez toutes les extensions Adblock et de protection de votre navigateur internet
Désinstallez les logiciels VPN
Éventuellement, si vous avez un antivirus tiers, désinstallez-le. La protection WEB peut aussi influer sur la navigation internet
Tester avec d’autres serveurs DNS
Les serveurs DNS sont responsables de la correspondance entre une adresse internet et l’adresse IP. Lorsque la résolution DNS ne fonctionnent pas correctement, la connexion au site est impossible. L’erreur ERR_ADDRESS_INVALID peut se produire si le serveur DNS renvoie une adresse IP incorrecte. Dans ce cas, testez avec un autre serveur DNS :
Sur votre clavier, appuyez sur la touche + R
Dans la fenêtre « Exécuter », saisissez : ncpa.cpl
Ouvrir les propriétés de la carte réseau
Au cas où vous seriez connecté en filaire (connexion par câble), faites l’opération sur la carte Ethernet.
Alors que si la connexion est en Wi-Fi, l’opération de changement de DNS doit être effectuée la carte Wi-Fi/Wireless.
Faites un clic droit sur la carte réseau en question puis Propriétés.
Dans de rares cas, l’adresse internet à laquelle vous tentez de vous connecter se trouve dans votre fichier HOSTS. La résolution DNS est alors erronée et cela peut être l’origine de l’erreur ERR_ADDRESS_INVALID.
Une mauvaise configuration ou corruption du fichier HOSTS de Windows peut entraîner des erreurs de connexion au site. En effet, cela peut fausser la résolution DNS et l’adresse IP retournée pour le site. À partir de là, votre navigateur WEB se connecte à un serveur WEB erroné et cela peut retourner des erreurs de connexion au site. Dans ce cas-là, il faut réinitialiser le fichier HOSTS de Windows afin de remettre le contenu à zéro.
En parcourant les services actifs ou en vérifiant les services qui ont le plus d’impact au démarrage de votre Linux (Ubuntu, Linux Mint, Debian, Pop!_OS, …) avec systemd-analyze, vous avez remarqué un service apt-daily qui peut exécuter la commande unattended-upgrade.
Que sont que apt-daily.service et unattended-upgrade, quelles sont leurs fonctions et peut-on les désactiver ? Dans ce guide complet, je vous explique tout ce qu’il faut savoir sur ce daemon et cette commande.
Qu’est-ce que apt-daily.service et unattended-upgrade
Pour rappel, apt (Advanced Package Tool) est l’outil en ligne de commande utilisé sur les distributions basées sur Debian. Il sert à gérer les paquets logiciels : les installer, les mettre à jour, les supprimer, ou encore chercher des programmes disponibles.
apt-daily.service est un service systemd sur Ubuntu (et autres distributions Debian-based) qui gère les mises à jour automatiques du système via APT.
C’est un service automatique lancé en arrière-plan qui :
Télécharge les métadonnées des paquets (la liste des mises à jour disponibles)
Peut télécharger les paquets mis à jour, selon la configuration (pas forcément les installer)
S’exécute généralement une fois par jour, selon un timer (apt-daily.timer)
/usr/bin/unattended-upgrade de son côté est le programme principal qui exécute les mises à jour automatiques de sécurité sous Ubuntu/Debian. Il fait partie du paquet unattended-upgrades. Il est déclenché par le service apt-daily-upgrade.service.
Voici un résumé :
Service et élément
Rôle
apt-daily.service
Télécharge les infos de mise à jour APT
apt-daily-upgrade.service
Peut installer automatiquement les mises à jour
apt-daily.timer
Planifie apt-daily.service (souvent vers 6h du matin)
apt-daily-upgrade.timer
Planifie les mises à jour automatiques, si activées
/usr/bin/unattended-upgrade
Le script exécuté par apt-daily-upgrade.service pour faire les mises à jour
/etc/apt/apt.conf.d/50unattended-upgrades
Fichier de configuration : détermine quoi mettre à jour
Peut-on désactiver apt-daily.service et unattended-upgrade
Vous pouvez désactiver ces services très simplement grâce à systemctl. Par exemple, si vous souhaitez empêcher l’installation automatique sans désactiver les notifications de mise à jour :
sudo systemctl disable apt-daily-upgrade.timer
apt-daily.timer reste actif pour que la liste des mises à jour soit maintenue à jour. Mais si vous souhaitez le désactiver aussi, ce sera :
sudo systemctl disable apt-daily.timer
Pour des raisons de sécurité, il n’est pas recommandé de désactiver les mises à jour automatiques puisque cela corrige les vulnérabilités logicielles.
Où puis-je voir ce qu’apt-daily.service a réellement fait
Voir les fichiers log APT (classiques)
Toutes les activités d’APT, que ce soit lorsque vous lancez une commande ou automatiquement via le service apt-daily sont historisés dans les journaux Linux. L’emplacement est : /var/log/apt/
Voici les fichiers :
Fichier
Contenu
/var/log/apt/history.log
Historique des installations/mises à jour de paquets
/var/log/apt/term.log
Affiche ce que apt a montré dans le terminal pendant les opérations
/var/log/apt/eipp.log.x.gz
Journaux du système EIPP (plus technique, rarement utile directement)
La structure du fichier /var/log/apt/history.log est la suivante :
Start-Date : Date de début de l’exécution de la commande
Commandline indique la commande exécuté manuellement comme apt-get update ou /usr/bin/unattended-upgrade
L’action effectuée par la commande :
Remove pour la suppression de paquet
Install pour l’installation de nouveau paquet
Upgrade pour la mise à jour des dépôts
Requested-By avec l’utilisateur et son GID qui a exécuté la commande. Cette ligne n’apparaît que lorsque la commande APT a été lancé depuis un terminal et non automatique par apt-daily.service
End-Date : Fin de la date de l’exécution de la commande
Voir les logs récents du service apt-daily.service avec journalctl
Le système enregistre aussi chaque exécution du service dans les journaux. Vous pouvez consulter ces derniers grâce à la commande journalctl :
journalctl -u apt-daily.service
Cela t’affiche tout l’historique du service depuis le démarrage du système avec la date du début de l’exécution, le temps d’exécution, l’utilisation CPU et mémoire et la date de fin d’exécution.
Mais vous pouvez filtrer afin de cibler les dernières modifications.
BleachBit est un utilitaire gratuit et open-source qui permet de nettoyer Linux très facilement. Pour cela, il offre une interface très simple où vous sélectionnez les éléments que vous désirez supprimer du système. Il est idéal pour supprimer les fichiers et répertoires inutiles d’un système de fichiers.
Supprimer les fichiers inutiles laissés par des paquets désinstallés (cache des paquets)
Déchiqueter des fichiers et des répertoires pour supprimer de manière sécurisée)
Si vous souhaitez libérer de l’espace disque rapidement et accélérer légèrement votre Linux, suivez ce guide complet pour utiliser BleachBit et nettoyer Linux.
Bleachbit supprime certains caches, donc une sur-utilisation peut avoir un effet néfaste et ralentir le système. Une fois maximum par mois est recommandé. Si votre utilisation du PC est retraint, une fois tous les trois mois est suffisant.
Voici les catégories de nettoyage proposée par l’utilitaire :
Catégorie
Exécution en root/utilisateur
Contenu supprimé
APT (Ubuntu/Mint) ou Yum/DNF (Fedora)
root
Cache des paquets
Logs système
root
Fichiers journaux (/var/log)
Rotation des journaux
root
Supprime les anciens journaux système
Fichiers temporaires globaux (/tmp, /var/tmp)
root/utilisateur
Nettoyer les fichiers temporaires Linux
Cache de l’utilisateur
Utilisateur
Le cache des applications notamment dans ~/.cache
Navigateur (Firefox, etc.)
Utilisateur
Historique, cache, cookies, formulaires, mots de passe
Thumbnails
Utilisateur
Vignettes (miniatures d’images)
LibreOffice
Utilisateur
Fichiers récents, cache
Caches et/ou Historiques logiciels
Utilisateur
Caches/Historiques de Bash, Chromium, GNOME, VLC, GIMP, Discord, Vim, Evolution, etc.
Localisations inutilisées (langues non utilisées)
root
Langues que tu n’utilises pas (optionnel)
Mémoire (Swap)
root
Nettoyer l’espace d’échange et la mémoire libre
Précautions d’usage :
En root, certaines options peuvent être dangereuses si mal utilisées (ex. : effacement de fichiers système, nettoyage agressif de journaux ou caches de paquets)
Utilisez le mode de prévisualisation pour inspecter les éléments qui vont être supprimés
Lisez chaque option avant de cocher : certaines peuvent faire disparaître des sessions enregistrées ou des configurations
Évitez d’utiliser l’option « Effacement sécurisé » (sauf sur disques HDD) → inutile et plus lent sur SSD
Évitez de nettoyer le cache Flatpak ou Snap manuellement sans savoir ce que tu fais, sauf si tu sais que tu ne les utilises pas
Comment nettoyer Linux avec Bleatchbit
Supprimer les fichiers inutiles de Linux
Lorsque vous exécutez BleachBit, vous devez décider si vous désirer nettoyer le système ou l’environnement utilisateur. Ainsi, lorsque vous lancez Bleachbit sans les droits administrateurs, soit donc avec votre utilisateur courant, ce dernier vous permet de nettoyer le cache, historique et autres éléments de vos applications installées. Si vous préférez nettoyer le système, il faudra exécuter Bleachbit en root. Certaines distributions Linux ajoutent deux menus dans la liste des applications pour exécuter en tant qu’utilisateur ou en root.
Lorsque vous lancez avec l’utilisateur courant, Bleachbit liste tout de même certains éléments du système. Si vous les sélectionnez pour nettoyage, vous aurez une erreur rouge accès refusé.
Ensuite pour nettoyer Linux :
Cochez alors les éléments de vos applications que vous souhaitez nettoyer
Cliquez sur Prévisualiser pour obtenir la liste de ce qui va être supprimé
A gauche, vous aurez l’espace disque total libéré pour chaque catégorie. Mais surtout à droite, vous devez vérifier les éléments listés pour être certains que des éléments importants ne soient pas supprimé
Si tout est correct, cliquez sur Nettoyer pour exécuter la suppression
Ci-dessous, j’ai exécuté Bleachbit avec les droits administrateurs, par la commande :
sudo Bleachbit
On constate que la plupart des éléments comme l’historique Bash, le cache du système ne libère pas énormément de place. L’auto-clean d’APT peut libérer un peu de place disque si cela n’a jamais été fait. Mais ce sont principalement l’historique des journaux qui prennent le plus de place disque (2 Go).
Suppression des fichiers personnalisés
BleachBit nous permet de supprimer des fichiers arbitraires qui ne sont liés à aucune des applications du menu. Pour obtenir une liste des fichiers à supprimer, il suffit de cliquer sur le menu « hamburger » en haut à droite de l’application, puis sur l’entrée « Préférences ». Dans la fenêtre qui s’ouvre, cliquez sur l’onglet « Personnalisé » :
Préserver les fichiers de la suppression (liste blanche)
Dans certains cas, nous pouvons vouloir éviter la suppression de fichiers spécifiques qui seraient autrement supprimés dans le cadre d’une action. Pour ce faire, il suffit de naviguer à nouveau dans le menu « Préférences » de l’application. Cette fois, nous devons cliquer sur l’onglet « Liste blanche ». Ici, comme dans l’exemple précédent, nous pouvons ajouter ou supprimer des fichiers et des dossiers à la liste blanche de l’application :
Nettoyer Linux en ligne de commandes avec BleachBit
Pour visualiser les fichiers qui vont être supprimés, on utilise l’option -p (ou --preview) pour lister les éléments qui vont être supprimés et --preset pour utiliser les options définies dans l’interface graphique :
bleachbit -p --preset
Puis pour effectuer le nettoyage, ce sera l’option -c (ou --clean) :
bleachbit -c --preset
Pour effectuer un nettoyage complet et automatique, utilisez la commande suivante :
Windows 11 a apporté de nombreux changements visuels : menu Démarrer centré, coins arrondis, nouvelles icônes… mais tout le monde n’est pas fan de cette nouvelle interface. Que vous soyez notalgique ou que vous préfèrez la simplicité familière de Windows 10, bonne nouvelle : il est tout à fait possible de personnaliser Windows 11 pour lui redonner un look plus « classique ».
Personnaliser Windows 11 pour adopter le style de Windows 10 n’est pas si difficile que l’on le croit grâce avec des logiciels gratuits. Dans ce tutoriel et guide complet, je vous montre comment transformer votre Windows 11 pour qu’il ressemble à Windows 10 en quelques clics avec deux méthodes simples.
Comment donner à Windows 11 le look de Windows 10 (méthode 1)
Restaurer le menu Démarrer classique avec OpenShell Menu et Fluent-Metro skin
OpenShell Menu est une application open source qui permet de revenir au menu démarrer classique de Windows, appliquer des styles et skins. C’est la première étape à suivre pour retrouver un aspect de Windows 10 dans Windows 11.
Déplacer le menu Démarrer à gauche avec Explorer Patcher
ExplorerPatcher est un outil gratuit et open-source qui permet de restaurer ou personnaliser certaines parties de l’interface de Windows. Nous allons l’utiliser pour déplacer le bouton du menu Démarrer sur le coin bas gauche de l’écran. Voici comment faire :
Téléchargez l’application depuis ce lien et lancez le setup :
Dans les propriétés d’Exporer Patcher, à gauche, allez dans le menu « Menu Démarrer«
Puis à droite, dans « Position de l’écran« , sélectionnez « Au bord de l’écran«
Le menu Démarrer de Windows 11 se place alors sur le coin bas gauche
Désactiver des comportements de Windows 11
ExplorerPatcher peut aussi désactiver beaucoup de comportements ajoutés dans Windows 11 pour revenir à ceux de Windows 10. Voici les principaux :
Désactivation des coins arrondis : Pour ceux qui n’apprécient pas l’esthétique nouvelle de Windows 11, ExplorerPatcher permet de désactiver les coins arrondis des fenêtres. (onglet Autres)
Dans « Explorateur Windows » > Interfaces de contrôle > l’option Ruban de Windows 10 est disponible
Sélecteur Alt+Tab personnalisable : ExplorerPatcher permet de personnaliser l’interface de changement de fenêtre (Alt+Tab) et revenir à celui de Windows 10 (menu Basculeur ALT+Tab)
Zone de notification et horloge : l est possible de choisir le style de l’horloge et du calendrier lorsqu’on clique dessus – par exemple retrouver l’ancien panneau d’horloge Windows 7/10 plus simple (uniquement le calendrier) au lieu du centre de notifications complet de Windows 11
Disposition des fenêtres (Snap Assist) : Windows 11 a introduit de nouveaux comportements d’ancrage de fenêtres (snap) avec jusqu’à quatre quadrants. ExplorerPatcher offre la possibilité de modifier le style du Snap Assist pour revenir à l’aspect de Windows 10 si désiré
Décompressez le fichier ZIP dans l’emplacement de votre choix
Ouvrez l’application Paramètres, sélectionnez Personnalisation, ouvrez Thèmes, puis Icônes de bureau.
Un menu s’affiche avec les cinq icônes habituelles du bureau.
Cliquez sur une icône que vous souhaitez modifier, puis appuyez sur « Changer d’icône«
Naviguez jusqu’à l’endroit où vous avez placé le pack d’icônes, sélectionnez l’icône que vous souhaitez utiliser, puis appuyez sur Ouvrir
Vous pouvez également modifier les icônes des dossiers et des raccourcis individuels :
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur un élément et ouvrez Propriétés, puis allez dans l’onglet Personnaliser. En bas de l’écran, vous verrez le bouton « Changer d’icône«
Cliquez dessus et sélectionnez l’icône que vous souhaitez utiliser, comme décrit dans le paragraphe précédent
Télécharger un fond d’écran Windows 10
Pour compléter l’esthétique, propose à tes lecteurs les fonds d’écran officiels de Windows 10.
Comment transformer l’apparence de Windows 11 en Windows 10 avec Windhawk (méthode 2)
Windhawk est un logiciel gratuit qui vous permet de personnaliser l’apparence et le comportement de Windows 11 à l’aide de mods. Plusieurs mods pour modifier l’apparence de la barre des tâches et du comportement du menu Démarrer sont disponibles. Le gros avantage de cette seconde méthode est que vous installez l’application, activez les mods et vous n’avez rien à faire.
Revenir à la présentation de Windows 10 dans Windows 11
Vous pouvez donc en quelques clics retrouver l’interface de Windows 10 sous Windows 11.
Cherchez et ouvrez chacun des mods suivants et cliquer sur « Installer » :
Windows 11 Start Menu Styler — Changer le style du menu Démarrer pour revenir au menu Démarrer classique de Windows 10
Windows 11 Taskbar Styler — Personnaliser l’apparence de la barre des tâches
Start Button always on the left — Placer le bouton du menu Démarrer sur le coin bas gauche de l’écran
Classic context menu on Windows 11 — Restaurer le menu déroulant classique dans Windows 11
Non immersive Taskbar Context Menu — Restauerr le menu déroulant classique lors du clic droit sur la barre de tâches
Taskbar classic context Menu — Restaurer le menu déroulant classique lors d’un clic droit sur une icône de la barre de tâches
Taskbar height and icon size (facultatif) — Pour définir la taille de la barre des tâches de Windows
Vous obtenez ceci dans « Mods Installés » :
Ensuite on applique des thèmes aux mods pour changer l’apparence. Ouvrez le mods « Windows 11 Taskbar Styler« , la liste des thèmes s’affichent dans la page détails.
Cliquez sur l’onglet Paramètres et dans le menu déroulant Thème, choisissez celui à appliquer
Cliquez sur « Sauvegarder les paramètres » pour prendre en compte
Même chose en allant dans le mods « Windows 11 Start Menu Styler« , dans « Paramètres« , choisissez le thème « Windows 10 » afin de redonner l’aspect Windows 10 au menu Démarrer
On arrive très facilement à retrouver le bouton du menu Démarrer sur la gauche de la barre de tâches de Windows 11, avec une présentation proche de celle de Windows 10
Les thèmes appliquent par défaut des couleurs mais cela peut être changé depuis les paramètres avancés. Vous pouvez aussi appliquer des thèmes externes de cette manière.
Personnaliser ou appliquer d’autres thèmes
Les thèmes appliquent des couleurs ou mode sombre automatiquement mais vous pouvez personnaliser cela. Pour cela, vous devez ouvrir lien du thème depuis les détails de « Windows 11 Taskbar Styler« . Allez dans la partie manuel installation pour récupérer le code, qu’il faut coller dans l’onglet « Avancé » et la partie Paramètres du mod.
Vous pouvez alors modifier les couleurs « background » pour changer la couleur de la barre des tâches.
Cette méthode vous permet d’appliquer des thèmes prévus pour Windhawk afin de personnaliser l’apparence de Windows. Le site suivant en fourni beaucoup : https://www.linkvegastheme.com/ Il propose des thèmes transparents, des thèmes reprenant l’interface de Windows 7, MacOS.
Sur Linux, il arrive souvent qu’on doive modifier un fichier de configuration, corriger un script, ou simplement créer une note rapide… et pour cela, rien de plus pratique que nano, l’un des éditeurs de texte les plus simples et accessibles en terminal.
Contrairement à d’autres éditeurs plus complexes comme vi ou vim, nano se veut intuitif : pas besoin de modes obscurs ou de combinaisons de touches ésotériques. Il suffit de lancer la commande, de taper, d’enregistrer, et voilà. Mais derrière sa simplicité se cachent tout de même quelques astuces utiles à connaître pour gagner du temps.
Dans cet article, vous apprendrez :
Comment ouvrir, modifier et enregistrer un fichier avec nano
Les raccourcis clavier essentiels à connaître
Copier/coller du texte ou encore rechercher et remplacer
Des conseils pour éviter les erreurs courantes
Suivez simplement les étapes de ce guide pour apprendre à éditer un fichier sur Linux avec Nano.
Comment installer Nano
Sur Ubuntu ou Debian
sudo apt install nano
Sur Fedora ou RHL
sudo yum install nano
Ouvrir un fichier en édition sur Nano
Voici la syntaxe à utiliser pour ouvrir nano en éditant un fichier :
nano <nom_du_fichier>
Par exemple, pour éditer le fichier mon_script ou encore vous pouvez spéficier le chemin complet :
nano mon_script.sh
nano ~/Documents/todo.txt
Si le fichier existe, il sera ouvert pour modification
S’il n’existe pas, nano va en créer un nouveau
Lorsque vous souhaitez modifier un fichier système, pensez à utiliser sudo pour obtenir les droits administrateur :
nano nano /etc/hosts
Si vous souhaitez ouvrir un fichier en plaçant le curseur sur une ligne et un caractère spécifiques, utilisez la syntaxe suivante :
Une fois que vous avez ouvert un fichier à éditer, votre terminal affiche l’interface nano et le contenu du fichier que vous êtes en train d’éditer.
Pour déplacer le curseur, utilisez les touches fléchées de votre clavier.
En bas de l’écran, vous verrez une liste de commandes. Le caret (^) dans le raccourci clavier d’une commande signifie qu’il faut maintenir la touche CTRL enfoncée tout en appuyant sur la lettre du raccourci.
Copier, couper et coller
Pour sélectionner du texte, placez le curseur au début du texte et appuyez sur Alt+a. En bas le message « Une marque posée » s’affiche. Déplacez le curseur à la fin du texte que vous souhaitez sélectionner à l’aide des touches fléchées. Le texte sélectionné est mis en surbrillance. Si vous souhaitez annuler la sélection, appuyez sur CTRL+6.
Copiez le texte sélectionné dans le presse-papiers à l’aide de la commande Alt+6. CTRL+k coupe le texte sélectionné.
Lorsque vous n’utilisez pas le pavé numérique, Alt+6 nécessite d’utiliser la touche MAJ pour obtenir le 6.
Si vous souhaitez couper des lignes entières, placez le curseur sur la ligne et appuyez sur CTRL+k. Vous pouvez couper plusieurs lignes en appuyant plusieurs fois sur CTRL+k.
Pour coller le texte, déplacez le curseur à l’endroit où vous souhaitez placer le texte et appuyez sur CTRL+u.
Recherche et remplacer du texte
Pour rechercher un texte, appuyez sur CTRL+f, saisissez le terme recherché et appuyez sur Entrée. Le curseur se déplace jusqu’à la première occurrence. Pour passer à la correspondance suivante, appuyez sur Alt+Alt.
Si vous souhaitez effectuer une recherche et un remplacement, appuyez sur CTRL++\. Saisissez le terme recherché et le texte à remplacer.
L’éditeur passe à la première correspondance et vous demande si vous voulez la remplacer.
Après avoir appuyé sur O ou N, il passe à la correspondance suivante. En appuyant sur T, vous remplacerez toutes les correspondances.
Enregistrer les modifications du fichier
Pour enregistrer un fichier en cours de modification, appuyez sur CTRL+O. Autrement dit, maintenez la touche CTRL enfoncée et appuyez sur la touche O. Une invite s’affiche avec le nom du fichier que vous êtes en train d’éditer. Appuyez sur Entrée pour confirmer l’enregistrement dans le fichier.
Pour quitter nano, appuyez sur CTRL+X. Autrement dit, maintenez la touche CTRL enfoncée et appuyez sur la touche X.
Lorsque vous quittez nano, la question suivante vous est posée.
Sauver l'espace modifié (Oui/Non/Annuler)
Cette question vous demande si vous souhaitez enregistrer le fichier. Appuyez sur Y pour sauvegarder et quitter. Appuyez sur N pour quitter sans sauvegarder.
Les raccourcis clavier de Nano
Raccourci
Action
Ctrl + O
Enregistrer (write Out)
Entrée
Confirmer le nom du fichier lors de l’enregistrement
Dans cet article, je fais le tour complet des éditions de Windows 11 disponibles : de Windows 11 Famille pour un usage personnel, à Windows 11 Pro pour les professionnels, en passant par les versions Entreprise, Éducation, SE, IoT, ou encore Pro for Workstations pour les machines les plus puissantes.
Je vous détaillere :
Les fonctionnalités propres à chaque édition
Les différences entre Home, Pro, Enterprise, etc.
Les types de licences (OEM, Retail, Volume, Abonnement Microsoft 365)
Les options de migration (ex : passer de Famille à Pro)
Les usages types de chaque édition (perso, PME, grandes entreprises, écoles, développeurs…)
Grâce à ce guide, vous aurez donc une vue d’ensemble complète et à jour des éditions de Windows 11.
Qu’est-ce qu’une édition de Windows 11
Une édition de Windows 11 désigne une version spécifique du système d’exploitation adaptée à un certain type d’utilisateur ou de besoin. Toutes les éditions partagent le même noyau Windows, mais diffèrent par leurs fonctionnalités disponibles, leur public cible, et parfois leurs conditions de licence
Microsoft propose différentes éditions pour :
Répondre aux besoins des particuliers (Home)
Offrir des outils de gestion et de sécurité pour les professionnels (Pro)
Fournir des solutions avancées pour les entreprises (Enterprise)
Adapter Windows à un environnement éducatif (Éducation)
Optimiser l’OS pour les appareils spécifiques ou légers (SE, IoT, Workstations)
À ne pas confondre avec :
Version : fait référence à l’évolution de Windows (ex : 21H2, 22H2, 23H2…)
Licence : c’est le droit légal d’utiliser une édition, qui peut être OEM, Retail, Volume, etc.
Windows 11 Famille (Home)
Windows 11 Famille est idéal pour un usage domestique, offrant toutes les fonctionnalités essentielles pour les particuliers. Le public cible sont les utilisateurs domestiques
Les points clés :
Interface utilisateur moderne
Microsoft Store, Widgets, Snap Layouts
Sécurité avec Windows Hello, BitLocker (lecture seule)
Nécessite un compte Microsoft et une connexion Internet pour l’installation.
Windows 11 Professionnel (Pro)
Windows 11 Professionnel ajoute des fonctionnalités avancées adaptées aux environnements professionnels, telles que le chiffrement BitLocker complet, le Bureau à distance et la gestion des appareils via Active Directory. Les publisc cibles sont les Petites entreprises, utilisateurs avancés.
Fonctionnalités supplémentaires par rapport à la version Home :
Chiffrement BitLocker complet
Bureau à distance (Remote Desktop)
Accès à un domaine/Active Directory
Hyper-V (virtualisation)
Gestion des mises à jour via Windows Update for Business
Différences Windows 11 Pro et Famille
Voici en détails les différences entre Windows 11 Famille et Windows 11 :
Comment migrer de Windows 11 Famille à Windows 11 Pro
Vous pouvez migrer de Windows 11 Famille vers Windows 11 Professionnel (Pro). Cela ne nécessite pas de réinstaller le système, vous gardez ainsi les applications installées et vos données personnelles.
Pour y parvenir, vous devez posséder une clé de produit Windows 11 Pro valide :
Elle peut être achetée sur le Microsoft Store ou via un revendeur officiel
Si tu as déjà un appareil sous licence Windows 11 Pro (Retail), tu peux utiliser cette clé pour migrer
Windows 11 Entreprise (Enterprise)
Windows 11 Entreprise est conçu pour les grandes organisations, avec des outils de sécurité et de gestion supplémentaires comme Windows Autopatch, Microsoft Endpoint Manager et AppLocker. Les publics visées sont les grandes entreprises.
Fonctionnalités supplémentaires :
Microsoft Endpoint Manager, AppLocker
Windows Defender Credential Guard
Gestion avancée des appareils et des mises à jour
Licence via Volume Licensing
Ces éditions appartiennent au canal de maintenance à long terme (Long-Term Servicing Channel – LTSC). Le LTSC (anciennement appelé LTSB pour Long-Term Servicing Branch) est un mode de déploiement de Windows Enterprise. Contrairement aux éditions classiques de Windows 10/11 qui reçoivent des mises à jour fonctionnelles fréquentes (Feature Updates), le LTSC ne reçoit que les mises à jour de sécurité et de stabilité pendant toute sa durée de support – jusqu’à 10 ans (5 ans de support standard + 5 ans de support étendu).
Le LTSC est réservé à des cas d’usage spécifiques :
Systèmes critiques ou embarqués : machines industrielles, ATM, équipements médicaux
Environnements où les mises à jour fréquentes posent problème (tests de compatibilité, validations coûteuses)
Postes non connectés à Internet, ou utilisés uniquement pour une tâche figée
Windows 11 Éducation offre des fonctionnalités similaires à l’édition Entreprise mais avec des paramètres adaptés à l’éducation avec moins de distractions (ex. : moins de bloatware préinstallé). Cette édition de Windows 11 est conçues pour les Établissements scolaires et étudiants.
Autres éditions de Windows 11 (IoT, SE, Pro pour station de travail et Business)
Voici des autres éditions :
Windows 11 IoT : Pour les systèmes embarqués et les appareils industriels.
Windows 11 SE : Conçu pour les environnements scolaires, sur appareils peu puissants. Fonctionnalités limitées pour simplifier l’expérience. Elle est disponible via des appareils spécifiques vendus par des OEM (constructeurs).
Windows 11 Pro pour les stations de travail (Workstation) : Pour les ordinateurs puissants, avec support ReFS, mémoire persistante, etc.
Enfin, il n’existe pas d’édition spécifique nommée « Windows 11 Business« . Ce terme est parfois utilisé pour désigner collectivement les éditions destinées aux entreprises, telles que Windows 11 Pro et Windows 11 Enterprise.
Tableau comparatif des fonctionnalités des éditions de Windows
Les points essentiels des caractéristiques et cibles des éditions :
Similaire à Enterprise mais avec options éducatives
Pro for Workstations
Stations puissantes
ReFS, mémoire persistante, processeurs Xeon
SE
Écoles primaires / petits PC
Interface simplifiée, contrôle centralisé
IoT
Industriel / embarqué
Version allégée et personnalisable pour appareils spécifiques
Voici un tableau comparatif des principales éditions de Windows 11, détaillant leurs fonctionnalités clés pour vous aider à choisir celle qui correspond le mieux à vos besoins :
Comment les licences s’associent aux éditions de Windows 11 ?
Édition de Windows 11
Licences possibles
Famille (Home)
OEM, Retail, Numérique
Pro
OEM, Retail, Volume, Numérique
Pro for Workstations
OEM, Volume
Éducation
Volume Licensing (via programme académique), Abonnement Microsoft (ex: A3, A5)
Entreprise
Volume Licensing uniquement (KMS / MAK), ou abonnement Microsoft 365 Enterprise E3/E5
SE / IoT
Fournies uniquement par OEM ou dans des contextes spécifiques (constructeurs, partenaires)
Abonnement Microsoft 365 et mise à niveau d’édition de Windows 11
Microsoft 365 est un abonnement (mensuel ou annuel) qui donne accès à des services comme (Office, OneDrive, Outlook, Teams, Service Cloud et collaboration). Il ne contient pas systématiquement une licence Windows 11, sauf dans certains abonnements professionnels.
Abonnement Microsoft 365
Inclut une licence Windows 11 Pro / Enterprise ?
Détails
Microsoft 365 Business Basic / Standard
Pas de licence Windows incluse
Microsoft 365 Business Premium
(mise à niveau vers Pro)
Vous devez déjà avoir une version Windows 10/11 Pro
Microsoft 365 E3 / E5
(Windows 11 Enterprise)
Accès à Enterprise via abonnement (virtualisation + sécurité renforcée)
Microsoft 365 F3 (Frontline)
(accès limité)
Accès à Windows 11 via le cloud (Windows 365)
Cas pratiques :
Vous possédez Windows 11 Home et un abonnement Business Premium ? Vous pouvez le mettre à niveau vers Pro
Vous êtes en entreprise avec Microsoft 365 E3 ? Vous bénéficiez automatiquement de Windows 11 Enterprise sur les postes liés à votre domaine
Vous êtes étudiant ou enseignant ? Vous pouvez parfois bénéficier de Microsoft 365 A1 / A3 / A5, qui peuvent inclure des droits Windows via votre établissement
Vous tentez d’effectuer une recherche dans Windows, mais les résultats sont lents, incomplets, ou inexistants ? Il se peut que l’indexation de la recherche ait été désactivée. Lorsque cela se produit Windows peut aussi vous en avertir via un message : « L’indexation de la recherche a été desactivée« . Ce service, pourtant essentiel, permet à Windows de retrouver rapidement fichiers, dossiers, e-mails ou paramètres grâce à une base de données optimisée.
Dans ce tutoriel, je vous vous explique ce qu’est l’indexation, pourquoi elle peut être désactivée (volontairement ou par erreur), et surtout comment la réactiver facilement pour retrouver une expérience de recherche fluide et efficace sous Windows 10 ou 11.
Qu’est-ce que le message « L’indexation de la recherche a été desactivée »
L’indexation de fichiers de Windows est un mécanisme du système qui permet de construire une base de données de fichiers afin de rendre la recherche plus rapide. La recherche utilise la base de données au lieu de rechercher dans le disque.
« L’indexation de la recherche a été desactivée » est un message d’avertissement de Windows qui apparaît lorsque vous effectuez une recherche de fichiers et que l’indexation de fichiers n’est pas active dans le système. Cela peut s’afficher dans le menu Démarrer ou encore dans l’Explorateur de fichiers. Le système vous prévient donc que l’indexation de fichiers a été désactivée pour vous proposer de l’activer afin que la recherche soit plus optimisée.
Lorsque le service Windows Search est désactivé, le paramètre « Recherche dans Windows » affiche un statut de l’indexation « Non exécuté » et les boutons de paramètres ne sont grisés et non accessibles.
L’ancienne fenêtre Options d’indexation est aussi grisé et le message suivant s’affiche : « Le service Indexation n’est pas en cours d’exécution« .
Cela peut aussi se produire lorsque l’utilisateur a désactivé ou supprimé ce composant système par exemple, après avoir suivi un tutoriel ou utilisé un logiciel Anti-Bloatware. Dans ce cas, lors de l’accès aux options d’indexation avancées, vous pouvez rencontrer le message d’erreur suivant : « Windows ne trouve pas ::{26EE0668-A00A-44D7-9371-BEB064C98683}…:{87D66A43-7B11-4A28-9811-C86EE95ACF7}. Vérifiez que vous avez entré le nom correct, puis réessayez. »
Enfin, cela peut aussi se produire si le composant est endommagé ou encore si le système est corrompu.
Comment activer l’indexation de recherche dans Windows 11, Windows 10
Activer le service Windows Search
La première chose à vérifier est que le service « Windows Search » n’a pas été désactivé. Pour cela :
Sur votre clavier, utilisez le raccourci clavier
+ R
Descendez tout en bas pour trouver « Windows Search », double-cliquez dessus
Le type de démarrage doit être réglé sur « Automatique (démarrage différé« , si ce n’est pas le cas, corrigez
Faites un clic droit sur « Windows Search » et Démarrer. Le service doit démarré correctement, si ce n’est pas le cas, il est possible que le système soit corrompu. Dans le cas où le service démarre correctement, vérifiez que le message « L’indexation de la recherche a été desactivée » a disparu
Dans cette seconde solution, vous pouvez utiliser ce script qui supprime les restrictions administrateur de la recherche Windows, rétablit le service « Windows Search » et réinstalle la fonctionnalité facultative du moteur de recherche. Cela permet de résoudre la plupart des problèmes d’indexation et de recherche Widnows. Voici comment faire :
Windows Repair se lance automatique, acceptez les conditions d’utilisation
Toutefois, il est conseillé de faire les réparations en mode sans échec. Pour cela, en bas, cliquez sur Reboot To Safe Mode.. ou suivez ce guide complet : Redémarrez Windows en mode sans échec
Puis relancez Windows Repair
Cliquez sur l’onglet Réparation – Principal
La liste des type de réparation de Windows s’affiche : cliquez sur Préréglages : Réparations communes
Vous obtenez alors la liste ci-dessous, laissez les éléments cochés
Enfin cliquez en bas à droite sur Démarrer les réparations
L’opération se lance avec une succession d’étape… des fenêtres noires peuvent s’ouvrir ou se refermer
Laissez terminer, un message vous indique que la réparation Windows Repair est terminée
Lorsque Windows est totalement endommagé et que les problèmes sont trop nombreux, vous pouvez tenter de réparer Windows 10, 11 sans perte de données et en conservant les programmes installés. Cela permet de rétablir un système fonctionnel à partir des fichiers ISO et images de Windows. La procédure est décrite pas à pas dans cet article :
Il s’agit d’une opération de réinitialisation et de remise à zéro qui supprime les applications et remet le système à son état d’origine. C’est la solution radicale pour retrouver un système fonctionnel. Pour cela :
Allez dans Paramètres > Mise à jour et sécurité > Récupération
Sous la section Réinitialiser ce PC, clique sur Commencer et choisis si tu veux conserver ou supprimer tes fichiers personnels
Microsoft Edge WebView2 Runtime est un composant système important de Windows 11 et Windows 10 qui permet l’intégration du navigateur Edge dans les applications. Lorsqu’il ne fonctionne plus correctement, vous pouvez le réinstaller, réparer ou mettre à jour. Ce tutoriel vous guide pas à pas pour cela.
Qu’est-ce que Edge WebView2 Runtime et pourquoi il ne faut pas le désinstaller
C’est un composant système fourni par Microsoft qui permet à des applications Windows d’afficher du contenu web à l’intérieur de leurs fenêtres en utilisant le moteur de rendu de Microsoft Edge basé sur Chromium. C’est comme un mini navigateur Edge intégré dans une application, mais invisible pour l’utilisateur. Il remplace l’ancien composant MSHTML (Trident) Engine (ou Internet Explorer WebBrowser Control) qui permettait aussi d’afficher des pages web ou des interfaces HTML directement dans leur fenêtre.
Edge WebView2 Runtime est utilisé par :
Des applications Microsoft : Office, Outlook, Teams, Paramètres Windows…
Des logiciels tiers : antivirus, outils pro, applis de gestion…
Des interfaces modernes dans Windows 11/10 (widgets, menus web intégrés…)
De ce fait, il est déconseillé de le désinstaller car cela peut provoquer les problèmes sur vos logiciels comme :
Certaines applications ne démarreront plus
Vous risquez des plantages ou des interfaces vides
Certaines fonctionnalités de Windows peuvent rencontrer des problèmes visuels
De même si le composant est corrompu, cela peut causer des problèmes de fonctionnement de vos applications.
Par exemple, ci-dessous, l’application Lenovo Vantage en fonctionne plus correctement lorsque Edge « WebView2 Runtime » a été désinstallé de Windows. Le message d’erreur suivant s’affiche : Le module Microsoft Edge « WebView2 Runtime » requis par la nouvelle version de l’application Lenovo Vantage est abasent de votre appareil ou doit être mis à jour.
Certaines applications présentes dans les sites internet peuvent ne pas fonctionner correctement lorsque Edge WebView2 Runtime a été supprimé du système. Ci-dessous, le site d’une banque ne fonctionne pas et le message « Nous allons ouvrir Webview de gestion des connexions dans le navigateur Edge » s’affiche mais une erreur de chargement se produit ensuite.
Comment réparer, réinstaller ou mettre à jour Edge WebView2 Runtime
Microsoft met à disposition un setup pour pouvoir réinstaller Edge WebView2. Si vous rencontrez des problèmes de fonctionnement de vos applications, vous pouvez le réinstaller afin de réparer le composant. Suivez ces étapes pour installer la dernière version :
Cliquez sur le lien ci-dessous pour télécharger l’installeur :
Le téléchargement de Microsoft Edge Webview2 Runtime s’effectue, patientez
A ce stade, si vous rencontrez le message Le Microsoft Edge Webview2 Runtime est déjà installé pour le système, consultez la fin de ce guide. La solution y est donnée.
Puis l’installation s’effectue automatiquement
Si tout va bien un message vous indique que Microsoft Edge Webview2 est installé avec succès
Lorsque le composant est déjà installé, ce qui est le cas par défaut, l’installeur affiche un message d’erreur : Echec de l’installation. Le Microsoft Edge Webview2 Runtime est déjà installé pour le système.
Voici comment résoudre cela :
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + [sug_rclavier]R[/su_rclavier]
Vous travaillez tranquillement sur votre ordinateur… quand, sans prévenir, votre PC redémarre tout seul. Par PC qui redémarre tout seul, on entend un PC qui redémarrage sans raison soit donc un redémarrage non planifié. Que ce soit sous Windows 10 ou Windows 11, ces redémarrages intempestifs peuvent vite devenir agaçants — voire inquiétants. Problème matériel ? Mise à jour ? Virus ? Les causes peuvent être multiples, et il n’est pas toujours facile de savoir par où commencer.
Dans ce tutoriel, je vous aide à identifier les raisons possibles de ces redémarrages automatiques et à appliquer les solutions adaptées pour retrouver un système stable et fiable.
Pourquoi mon PC redémarre tout seul
Quand un PC reboot tout seul sous Windows 10 ou 11, cela peut être frustrant, mais c’est souvent le symptôme d’un problème identifiable. Voici une liste claire des causes possibles :
Le système a redémarré sans s’arrêter correctement au préalable. Cette erreur peut survenir si le système ne répond plus, s’est bloqué ou n’est plus alimenté de façon inattendue.
Suivez les solutions efficaces ci-dessous.
Comment résoudre un PC qui redémarre tout seul sur Windows 11/10
Désactiver le redémarrage automatique Windows
Si Windows rencontre une erreur critique (comme un écran bleu), il redémarre automatiquement pour tenter de revenir à un état stable. Cela peut empêcher l’utilisateur de voir le message d’erreur. Comprenez bien que cela ne résout pas le problème à la source, à l’origine des arrêts inopinés suivis d’un redémarrage.
Voici comment désactiver le redémarrage automatique Windows :
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Tapez sysdm.cpl et OK
Allez dans l’onglet Paramètres systèmes avancés
En bas, dans la section Démarrage et récupération , cliquez sur Paramètres
Décocher Redémarrer automatiquement depuis la section Défaillance du système
Mise à jour automatique de Windows
Vérifiez que Windows a bien installé toutes les mises à jour, pour cela :
Sur Windows 11 : Allez dans les paramètres > Windows Update
Sur Windows 10 : Allez dans les paramètres > Mises à jour et sécurité > Windows Update
Vérifiez que vous n’avez pas des mises à jour en attente d’installation. Si c’est le cas laissez Windows se mettre à jour. D’autre part, pensez que vous pouvez choisir lesh eures d’installation des mises à jour de Windows en suivant ce guide : Planifier l’heure d’installation des mises à jour de Windows 11/10
Mettre à jour les pilotes de Windows
Via le gestionnaire de périphériques
via Windows Update depuis le gestionnaire de périphériques de Windows 10/11 :
Faites un clic droit sur le menu Démarrer ou utilisez le raccourci clavier + X
Vérifier si l’alimentation est instable ou défaillante
Une alimentation trop faible ou instable peut provoquer des redémarrages. Cela peut être un signe d’une alimentation défaillante. Un autre scénario est que vous avez changé un composant de vote PC qui consomme plus d’énergie et votre alimentation est trop faible. Par exemple, vous avez changé la carte graphique pour une plus récente.
Surchauffe (CPU ou GPU) : vérifier les températures du PC
Si la température du processeur ou ta carte graphique dépasse un certain seuil, le PC se redémarre pour se protéger. C’est une des raisons probables des problèmes de redémarrage intempestives du PC.
Vérifiez la température du PC est importante, pour cela :
Utiliser un logiciel comme HWMonitor ou Core Temp pour surveiller les températures.
Nettoyer les ventilateurs, dépoussiérer l’intérieur du PC, changer la pâte thermique si besoin.
Si les températures sont trop élevées, vous devez dépoussiérer le PC afin de retirer les poussières qui obstruent les ouvertures et les ventilateurs. Pour cela, consultez ce guide : Comment nettoyer son PC et le dépoussiérer
Problèmes matériels de barettes de mémoire (memtest)
Une mémoire RAM défectueuse peut rendre le système instable et provoquer des BSOD (écran bleu). Dans de rares cas, cela peut aussi être à l’origine d’un PC qui redémarre sans prévenir.
Vérifiez l’état de barettes de RAM via un memtest vous permet d’écarter cette hypothèse.
Une barrette de mémoire RAM défectueuse peut cause de gros problèmes de fonctionnement de votre PC. En effet, cela fausse les données stockées par les applications en cours de fonctionnement. Le processeur travaille alors avec de mauvaises données ou ne parvient pas à les récupérer. Cela peut alors provoquer des plantages avec votre PC qui redémarre tout seul.
Vous pouvez tester vos barrettes de mémoire RAM à partir d’application memtest.
Si le diagnostic de mémoire de Windows affiche des problèmes avec votre mémoire, vous pouvez réinstaller la barrette de mémoire. Si vous avez plusieurs barrettes de RAM, vous pouvez également essayer de les réinitialiser alternativement pour vérifier si une seule d’entre elles est défectueuse. Enfin, si aucune de ces solutions ne fonctionne, vous pouvez essayer de remplacer votre RAM.
Pour aller plus loin dans la vérification de votre matériel :
Problèmes matériels (SSD & disque) : chkdsk et S.M.A.R.T.
Un problème matériel sur le disque dur ou SSD peut engendrer des erreurs, problèmes de fonctionnement de Windows et des pertes de performances. Ils convient donc de vérifier l’état de vos disques. En effet, grâce aux auto-tests et la technologie S.M.A.R.T., il est possible de vérifier la santé de son disque. Pour cela, suivez ce tutoriel :
Si un disque est défaillant, il est à l’origine des redémarrages sans prévenir du PC. Déconnectez le de l’ordinateur pour tester le comportement du PC sans.
Ensuite vous pouvez vérifier le système de fichiers pour détecter si des erreurs sont précédentes. Les arrêts non voulus du systèmes peuvent provoquer des incohérences dans ce dernier. Corrigez l’aide à l’aide de l’outil intégré chkdsk :
Une fois l’invite de commandes en administrateur ouverte, saisissez la commande suivante :
chkdsk C: /F /R
Lorsque le volume est en cours d’exécution, chkdsk vous propose de faire l’analyse au démarrage de Windows, sinon il lance directement celle-ci. Le message « chkdsk ne peut pas s’exécuter parce que le volume est utilisé par un autre processus. » s’affiche
Cliquez sur O pour effectuer l’analyse au redémarrage.
Redémarrez l’ordinateur afin que l’analyse chkdsk s’effectue, ce qui va prendre 1h30 au minimum.
Plus de détails sur l’utilisation de l’utilitaire chkdsk dans cet article très complet :
Un Live USB est un système d’exploitation alternatif que l’on peut mettre sur une clé USB. Vous démarrez votre PC sur une clé USB pour arriver sur un environnement Windows ou Linux. Vous pouvez tester cette solution pour déterminer si le problème est logiciel ou matériel. En effet, si après plusieurs d’utilisations sur le Live USB, des redémarrages involontaires du PC se produisent alors il s’agit d’un problème matériel.
Pour beaucoup d’utilisateurs, la présence d’un virus est certainement la source la plus probable qui provoque le redémarrage de votre PC. En réalité, c’est une source peu probable. Les logiciels malveillants peuvent causer des instabilités, mais cela n’ira pas jusqu’au redémarrages non sollicités de votre ordinateur. Mais si vous souhaitez en avoir le coeur net, vous pouvez effectuer une vérification gratuite de votre PC contre les virus avec Malwarebytes Anti-Malware.
Arium 11, un Windows non officiel est fourni avec Softs’ium qui vous permet de télécharger et installer automatiquement des applications mais aussi les mettre à jour. Il fonctionne comme un gestionnaire de paquets qui donnent accès à un ensemble d’applications. De plus, Arium 11 donne la possibilité d’installer des gestionnaires de paquets comme Chocolatey et Winget.
Si vous avez installez ce Windows alternatif, vous pouvez suivre ce guide afin de savoir comment installer de nouvelles applications et mettre à jour les applications automatiquement dans Windows 11 Arium LTS.
Comment configurer Arium 11
Cet OS est fourni avec un utilitaire « Fonctionnalités d’Arium » qui permet de configurer le système. Voici comment l’utiliser
Ouvrez le menu Démarrer > Tous les applications > Fonctionnalités d’Arium 11
Ouvrir Softs’ium pour gérer les applications installées
Notez qu’en bas à gauche, vous pouvez activer Windows. Pour cela, cliquez en bas sur le message rouge « Windows n’est pas activé » puis sur « Activer jusqu’en 2038‘
Comment installer de nouvelles applications
Airum 11 est fourni avec un ensemble d’applications pré-installées et donne accès à de nouvelles applications. Cela se fait grâce àl ‘utilitaire Softs’ium Update qui donne la possibilité d’installer automatiquement des applications à partir d’une liste de paquets. Pour cela :
Allez dans le menu Démarrer > Tous les programmes > Softs’ium > Softs’ium Update
A gauche, cliquez sur Softs’ium+
Cochez depuis la liste, les applications que vous souhaitez ajouter au système
Puis cliquez en haut sur Ajouter
Allez dans l’onglet à gauche, Softs’ium
Cliquez sur Installer
Laissez l’installation s’opérer
Les nouvelles applications sont disponibles depuis le menu Démarrer > Softs’ium
N’hésitez pas à installer Chocolatey GUI pour gérer facilement l’ensemble des applications installées.
Mettre à jour les applications installées
Une autre fonctionnalité importante de Softs’ium Update disponible dans Arium 11 est que vous pouvez mettre à jour l’ensemble des applications d’un simple clic. Obtenez la dernière versions pour bénéficier des nouvelles fonctionnalités ou corrigez les vulnérabilités connues pour sécuriser votre système est un jeu d’enfant. Voici comment faire
Allez dans le menu Démarrer > Tous les programmes > Softs’ium > Softs’ium Update
Le nombre de mises à jour s’affichent avec la liste
Cliquez sur Installer pour les mettre à jour
Les nouvelles version des logiciels se téléchargnte et s’instntalle automatique
Depuis l’onglet Apps PC, vous pouvez mettre à jour les applications installées par Chocolatey et WinGet
Activer les mises à jour automatiques de Softs’ium Update
Le programme Softs’ium Update peut nécéssiter des mises à jour. Vous êtes prévenus lorsqu’une nouvelle version est disponible et vous pouvez la télécharger depuis le site IumKit.net. Toutefois, il est aussi possible de programmer une mise à jour automatique de Softs’ium Update à jour et heure précise. Voici comment faire :
Depuis Softs’ium Update, cliquez en haut à droite sur Paramètres
Puis définissez le jour et l’heure des mises à jour automatiques
Windows 11 Arium LTS ou Arium 11 est une version gratuite non officielle de Windows 11 qui se base sur Windows 11 24H2 IoT Entreprise LTSC. Elle propose un certains nombres d’applications natives comme CCleaner, Notepad++, 7-zip, Autoruns, Process Explorer, etc. De plus, vous pouvez installer des applications suplémentaires d’un simple clic avec Softs’ium Update. Enfin son installation ne nécessite pas UEFI ou TPM. Si vous êtes confronté à la fin de support de Windows 10, cette version est une bonne alternative, car légère et ne nécessite pas d’exigeances matérielles particulières.
Dans ce tutoriel, je vous guide pour télécharger et installer Windows 11 Arium 11.4 LTS sur votre PC.
Pré-requis et configuration matérielle exigée
Voici quelques informations supplémentaires concernant cette édition non officielle de Windows :
Système : Windows 11 Pro 24H2 ou Windows 11 LTSC IoT Enterprise 24H2 (64-bits)
Version Arium : 11.4 AIO (2024.11)
Processeur : CPU SSE4.2/ SSE4A et supérieurs
Mémoire : 3 Go de RAM minimum
Carte graphique : toutes les cartes graphiques sont supportées
DirectX 11 minimum
Exigeances mtérielles : TPM, UEFI et Compte Microsoft ne sont pas obligatoires. En clair donc vous pouvez contourner les exigeances matérielles de Microsoft.
Démarrez votre PC sur la clé d’installation de Windows 10 Arium. Pour cela, au démarrage, tapotez sur ESC, F12 ou suppr pour ouvrir le boot menu et choisir de démarrer sur le périphérique USB. Plus de détails : Comment démarrer l’ordinateur sur clé USB
L’installeur de Windows 11 Arium devrait démarrer
Choisisez le type d’installation. je vous conseille de laisser « Installation interractive«
Paramétrage du système
Définissez la disposition du clavier. Par défaut, on vous propose Français donc azerty
Ensuitez saisissez le nom de l’utilisateur et un mot de passe
Puis choisissez les paramètres du système, par défaut, la touche F8 est activée au démarrage. Vous pouvez activer les mises à jour de Microsoft Store, Windows Search et indexation de fichiers et enfin Superfetch
Puis vous pouvez activer Grenshot au démarrage et activer ou non le téléchargement de pilotes avec Windows Update
En dessous, vous pouvez choisir entre activer le thème foncé ou clair et définir l’alignement de la barre des tâches avec la disposition du Menu Démarrer de Windows à gauche ou centré
Enfin il est possible d’activer la compression du disque système pour gagner en place, toutefois, cela va ralentir le système
Enfin on vous demande quelle activtés sont faites sur le PC afin de définir vos besoins pour choisr entre l’édition Arium Pro et Arium LTS. Cette étape est purement faculatative et à titre informative et ne définit en rien le type installation c’est à
Choisissez ensuite l’édition installer :
Arium 11.4 LTS basée sur Windows 11 24H2 IoT Entreprise LTSC
Airum Pro basé sur Windows 11 24H2 Professionnel
Ensuite choisissez la partition principale où installer l’OS
Puis vous arrivez sur la page d’identification, saisissez le mot de passe de l’utilisateur
Dernière configuration du système
Au premier démarrage, un assistant de configuration du système s’ouvre. Vous pouvez choisir les options de confidentialités, le nom du PC et les applications installer via Softs’ium Update
Pour activer Windows, cliquez en bas sur le message rouge « Windows n’est pas activé » puis sur « Activer jusqu’en 2038‘
Si tout va bien le statut de Windows change et passe en « Windows est activé«
Pour installer de nouvelles applications, cochez les depuis la liste et cliquez sur Ajouter
Patientez durant l’installation
Windows 11 Arium est alors installé et vous pouvez maintenant utiliser votre PC.
Pour aller plus loin dans la configuration d’Arium, suivez ce tutoriel :
Depuis quelques mises à jour, Microsoft Edge intègre par défaut Copilot, un assistant basé sur l’intelligence artificielle (IA) alimenté par Bing Chat et GPT-4. Accessible via une barre latérale à droite du navigateur, Copilot propose des fonctionnalités utiles comme le résumé de pages web, la rédaction de contenus, ou encore des réponses instantanées à vos questions. Mais pour certains utilisateurs, cette intégration est trop intrusive, inutile ou distrayante.
Il est tout à fait possible de désactiver ou masquer Copilot dans Microsoft Edge. Dans ce tutoriel, je vous montre plusieurs méthodes simples et avancées pour y parvenir.
Comment supprimer Copilot de Microsoft Edge
Masquer l’icône Copilot de Microsoft Edge
Vous pouvez masquer l’icône Copilot afin que la fonctionnalité soit masquée. Notez toutefois, que ce dernier continuer de fonctionner en arrière-plan.
Ouvrez Microsoft Edge
Cliquez sur les trois points
en haut à droite
Allez dans Paramètres
Dans le menu de gauche, cliquez sur Copilot et Barre latérale
Puis dans la section “Visibilité de la barre latérale“, réglez sur “Désactivé“
En dessous dans “Paramètres d’applications et de notification“, cliquez sur Copilot
Désactivez “Afficher Copilot dans la barre latérale“
L’icône de Copilot disparaît, mais la fonction reste techniquement active si tu la réactives plus tard.
Supprimer Copilot dans le registre (Windows Famille)
Vous pouvez configurer une restrictions administrateurs (policies) et stratégies dans Microsoft Edge travers le registre Windows afin de désactiver la fonction IA. Voici comment faire :
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + [sug_rclavier]R[/su_rclavier]
A gauche, faites un clic droit sur Microsoft > Nouveau > clé
Nommez-la, Edge
Puis dans le volet de droite, faites un clic droit Nouveau > Valeur D-Word 32 bits
Nommez-la HubsSidebarEnabled
Laissez la valeur à 0
Redémarrez Microsoft Edge. L’icône Copilot ne s’affiche plus
Notez que vous aurez un nouveau menu “Gérer votre organisation“, cela est tout à fait normal puisque vous avez mis en place une restriction dans le navigateur internet.
Supprimer Copilot via stratégie de groupe (Edition Professionnel)
gpedit.msc est l’éditeur de stratégie de groupe locale pour activer ou désactiver des modèles de configuration ou de restrictions administrateur. Ce dernier n’est pas disponible dans les éditions familles de Windows 11 et Windows 10. Vous pouvez mettre en place la même restrictions que précédente pour désactiver Copilot de Microsoft Edge mais via cet éditeur.
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis saisissez gpedit.msc
Puis déroulez Stratégies de l’ordinateur local > Configuration utilisateur > Modèles d’administration > Composants de Windows > Microsoft Edge
Activez la stratégie “Désactiver l’intégration de Copilot dans Microsoft Edge” à droite en double cliquant dessus
Avec O&O ShutUp 10++
O&O ShutUp 10++ est un logiciel gratuit qui permet de désactiver des composants et fonctionnalités de Windows 10 ou Windows 11 afin de mieux protéger votre vie privée. Parmi les nombreuses possibilités, vous pouvez désactiver les composants IA de Windows dont Copilot. Cela s’applique aussi à Microsoft Edge.
Il s’agit d’une version portable, donc aucun setup et installation à effectuer. Donc vous pouvez déplacer le fichier OOSU10.exe dans l’emplacement de votre choix.
Eventuellement pour créer un raccourci sur le bureau, faites un clic droit puis Envoyer vers > Bureau
Exécutez le logiciel
Puis allez dans la section Windows AI
Passez tous les commutateurs en vert dont notamment “Désactiver l’IA Windows Copilot“
Redémarrez votre appareil pour prendre en compte les modifications du système
Ci-dessous, on voit que la barre latérale Copilot est grisée et ne fonctionne plus. La fonctionnalité est bien désactivée. Vous pouvez alors masquer l’icône Copilot d’Edge comme expliqué dans début de ce guide.
Comment supprimer Copilot de Windows 11
Si vous cherchez à vous débarrasser complètement de Copilot dans Windows, consultez ce tutoriel :
aria2c est un utilitaire de téléchargement en ligne de commande polyvalente et efficace, connue pour sa capacité à télécharger des fichiers à partir de différents protocoles tels que HTTP, HTTPS, FTP, SFTP, BitTorrent et Metalink. Il offre aussi d’autres fonctionnalités comme :
Téléchargements segmentés : Cette fonctionnalité permet de diviser les fichiers volumineux en plusieurs parties qui sont téléchargées simultanément, ce qui améliore la vitesse et la résilience des téléchargements
Téléchargement en Batch: aria2c permet de créer des fichiers batch ou des listes pour lancer plusieurs téléchargements en même temps
Support de la reprise des téléchargements : aria2c peut reprendre les téléchargements interrompus, ce qui est utile en cas de connexion internet lente ou instable
Dans ce tutoriel, je vous explique et je vous apprends à utiliser l’utilitaire ariac2c pour télécharger des fichiers avec de nombreux exemples.
Comment installer aria2c sur Linux
Pour les distributions du type Debian; Ubuntu, Linux Mint, avec APT :
sudo apt-get install aria2
Pour installer aria2 depuis Fedora, AlmaLinux, ou Red Hat avec DnF :
sudo dnf install aria2
Enfin vous pouvez aussi installer l’utilitaire depuis git clone comme ceci :
git clone https://github.com/aria2/aria2.git
Comment utiliser aria2c pour télécharger des fichiers
Télécharger un fichier spécifique
Voici la syntaxe générale pour télécharger un fichier :
aria2c <URL>
Pour télécharger un fichier depuis un lien WEB :
aria2c https://www.exemple.com/fichier.zip
Pour télécharger un fichier depuis un FTP, il suffit de donner le chemin de la manière suivante :
aria2c ftp://exemple.com/monfichier.zip
Le fichier sera téléchargé dans le répertoire courant en conservant le nom de fichier distant.
Télécharger un fichier avec un nom de sortie ou emplacement spécifique
Vous pouvez aussi changer le nom du fichier en sortie, pour cela, on utilise l’option –out en spécifiant le nom du fichier, par exemple :
aria2c --out=<chemin/fichier> <url>
Pour spécifier l’emplacement, il faut utiliser le paramètre –dir suivi du chemin. Imaginons qu’on veuille télécharger un fichier ISO et l’enregistrer dans ~/Téléchargements/isos sous le nom linux.iso :
Comment reprendre le téléchargement d’un fichier interrompu et sessions de téléchargement
Vous n’avez besoin d’utiliser aucun paramètre spécifique. Aria2 va détecter le fichier déjà partiellement téléchargé et reprendre depuis là.
Voici les conditions pour que le téléchargement reprenne :
Le fichier partiellement téléchargé (.part ou autre) est toujours présent.
Le fichier .aria2 (fichier de session temporaire) n’a pas été supprimé.
Le serveur prend en charge la reprise (supporte les requêtes HTTP Range, ce qui est courant).
Dans aria2c, une session est un fichier texte qui permet de sauvegarder l’état d’un ou plusieurs téléchargements, pour pouvoir les reprendre plus tard, même si tu fermes le terminal ou redémarres ta machine. Par exemple, vous téléchargez plusieurs fichiers volumineux, mais ton PC doit redémarrer ? Pas de souci. Si vous utilisez une session, tu pourras relancer tout ça plus tard exactement là où ça s’est arrêté. Le fichier de session (.txt) est lisible, et contient simplement des lignes avec des URLs, et parfois des paramètres comme le nom du fichier ou son état.
Voici les options :
--continue=true (c’est le comportement par défaut) : permet la reprise d’un téléchargement
--dir=/chemin : assure-toi de pointer vers le bon dossier si le fichier n’est pas dans le dossier courant.
--input-file=liste.txt : si tu avais lancé le téléchargement via une liste.
--save-session=session.txt et --continue=true : pour gérer des téléchargements longs ou multiples
--check-integrity=true : vérifie les morceaux existants avant de reprendre
Utilisez l’option -j ou –max-téléchargements-concurrents= pour définir le nombre maximal de téléchargements parallèles pour chaque élément de la file d’attente.
Limiter la vitesse de téléchargement
Pour limiter la bande passante, utilisez l’option –max-download-limit et la vitesse en octets/sec. 0 signifie sans restriction. Vous pouvez ajouter K ou M (1K = 1024, 1M = 1024K).
aria2c --max-download-limit=<vitesse> <URL>
Télécharger un fichier depuis Bittorrent et magnet
aria2c gère très bien le protocole Bittorrent pour le téléchargement P2P. Voici la syntaxe :
aria2c <fichier.torrent>
Par exemple :
aria2c https://exemple.com/fichier.torrent
Dans ce cas, aria2 téléchargera d’abord le fichier .torrent dans votre répertoire de téléchargement et commencera ensuite à télécharger les données. Si vous ne souhaitez pas qu’aria2 télécharge un fichier torrent, utilisez simplement l’option –follow-torrent=mem.
Les informations du proxy peuvent aussi être stockées dans des variables d’environnement pour ne pas qu’elles apparaîssent dans la commande. ce qui donne :
Le fichier de configuration est un fichier texte qui comporte une option par ligne. Dans chaque ligne, vous pouvez spécifier une paire nom-valeur au format : NOM=VALEUR, où nom est le nom long de l’option de ligne de commande sans le préfixe –. Vous pouvez utiliser la même syntaxe pour les options de la ligne de commande. Les lignes commençant par # sont traitées comme des commentaires :
Par défaut, aria2 vérifie si le chemin $HOME/.aria2/aria2.conf est présent, sinon il analyse $XDG_CONFIG_HOME/aria2/aria2.conf comme fichier de configuration. Vous pouvez spécifier le chemin du fichier de configuration en utilisant l’option –conf-path. Si vous ne Si vous ne souhaitez pas utiliser le fichier de configuration, utilisez l’option –no-conf.
aria2c VS wget
Voici un tableau comparatif des deux utilitaires de téléchargement de fichiers :
aria2c est plus puissant et polyvalent que wget. Il supporte en plus BitTorrent, les liens magnet et Metalink. Il excelle dans les téléchargements rapides grâce au multi-connexion (split de fichier en segments parallèles). Il permet aussi de reprendre des téléchargements interrompus avec un système de sessions, de définir finement le nom et l’emplacement des fichiers, et de travailler avec des proxys complexes (HTTP, SOCKS, FTP). En revanche, il ne permet pas de télécharger un site complet, et doit être installé séparément. wget est idéal pour des tâches simples, des scripts rapides, ou des environnements minimalistes.
Le déploiement d’appareils Windows via Windows Autopilot repose sur plusieurs mécanismes de sécurité, dont l’attestation Trusted Platform Module (TPM). Cette attestation permet de vérifier l’authenticité et l’intégrité d’un appareil avant son inscription automatique dans Microsoft Endpoint Manager (Intune). Cependant, il arrive que ce processus échoue, entraînant l’erreur “Échec de l’attestation TPM”, qui bloque le déploiement et complique l’intégration des appareils. Par exemple, on peut rencontrer les problèmes suivants notamment lors de la configuration d’Autopilot Windows au démarrage du PC ou lors du paramètrage à l’installation de Windows :
Échec du pilote automatique en raison d’une erreur d’attestation TPM (0x81039001)
Le code 0x800705b4 indique une erreur pour joindre l’organisation
Cet article explore les causes possibles de cette erreur, qu’il s’agisse de configurations TPM incorrectes, de problèmes de connectivité ou encore de restrictions liées aux politiques de sécurité. Je vous guide à travers les solutions et les meilleures pratiques pour corriger ce problème et assurer un déploiement fluide de vos appareils Windows avec Autopilot.
Qu’est-ce que l’erreur d’échec de l’attestation TPM dans Autopilot et quelles sont les sources
L’erreur “Échec de l’attestation TPM dans Autopilot” survient lors du déploiement d’un appareil Windows via Windows Autopilot. Elle indique que le processus d’attestation TPM (Trusted Platform Module) n’a pas réussi à prouver l’identité du périphérique auprès des services Microsoft. Cette attestation est essentielle pour le déploiement en mode Self-deploying (Autonome) ou Pre-provisioned (White Glove), car elle permet une authentification sécurisée et sans intervention manuelle.
Voici les principales sources de ce problème :
Version et état du TPM non compatibles
Le TPM doit être en version 2.0. Les versions antérieures ne prennent pas en charge l’attestation.
Le TPM doit être activé et prêt à l’usage dans Windows (via tpm.msc).
Un TPM “désactivé” ou “désactivé et masqué” dans le BIOS empêche l’attestation.
Firmware du TPM obsolète :
Certains firmwares de TPM contiennent des bugs affectant l’attestation. Une mise à jour peut être nécessaire, en particulier pour les TPM Infineon ou STMicroelectronics.
Vérifiez et mettez à jour le firmware via le site du fabricant (Dell, HP, Lenovo, etc.).
Paramètres du BIOS/UEFI incorrects Secure Boot et TPM doivent être activés : Certains systèmes ont une option TPM définie sur “Intel PTT” ou “AMD fTPM” au lieu de TPM 2.0, ce qui peut poser problème.
Problèmes de connectivité réseau :
L’attestation TPM nécessite un accès aux serveurs Microsoft :
https://login.microsoftonline.com
https://enterpriseregistration.windows.net
https://attestation.microsoft.com
Si le réseau bloque ces URLs (pare-feu, proxy, DNS), l’attestation échoue
Un problème dans les certificats racines ou intermédiaires de Windows
Comment résoudre l’erreur “Echec de l’attestation TPM dans Autopilot”
Mettre à jour le BIOS de votre PC
Une mauvaise implémentation de TPM peut conduire à des erreurs et problèmes dans Windows 11 ou Windows 10. De plus, certaines versions de TPM ont des vulnérabilités qui peuvent empêcher l’attestation et nécessitent une mise à jour. Vous pouvez vérifier si une version correctrice du BIOS est disponible pour corriger ce problème.
Consultez le site du fabricant de l’ordinateur pour télécharger et installer les dernières mises à jour du firmware TPM et du BIOS. Vous pouvez aussi vous aider de ce guide complet :
Le fonctionnement de TPM et de Windows 11 requiert que certains mécanismes de sécurité soient actifs et répondent aux exigeances de Microsoft. Vérifiez les éléments suivants :
Secure Boot et TPM doivent être activés dans le BIOS de votre PC :
Certains systèmes ont une option TPM définie sur “Intel PTT” ou “AMD fTPM” au lieu de TPM 2.0, ce qui peut poser problème
Vérifier les logs de l’Attestation TPM et versions
Un problème de fonctionnement du firmware TPM peut aussi être la source de cette erreur. Consultez les journaux d’événements dans l’observateur d’évènements sous Système > Microsoft-Windows-DeviceManagement-Enterprise-Diagnostics-Provider/Admin.
Puis effectuez les vérifications suivantes :
Appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
Exécutez la commande suivante pour générer un rapport TPM détaillé :
Le TPM doit être en version 2.0. Les versions antérieures ne prennent pas en charge l’attestation.
Utiliser un script PowerShell pour vérifier l’état de TPM et du système
Un script gratuit en PowerShell existe qui effectue différentes vérifications et réparations du système si une anomalie est détectée. La source du script : https://call4cloud.nl/test-tpm-attestation-script/
Ce dernier se charge de vérifier les éléments suivants :
Le script vérifie l’existence d’une connexion Internet.
Il déterminera si les sites web des fournisseurs de TPM sont accessibles, afin de récupérer l’EKCert.
Il déterminera si le service Microsoft de déploiement sans contact est disponible, car l’appareil s’adressera à ce service Microsoft pour récupérer son profil Autopilot.
Il vérifie si le service de l’heure est en cours d’exécution, sinon il essaie de le démarrer et de configurer la liste des homologues.
Après avoir vérifié le service de gestion du temps, il détermine si la licence et le type de produit sont valides pour être utilisés dans une inscription Autopilot.
Le script interrogera les paramètres TPM avec WMI pour déterminer si l’appareil est capable d’attestation et, si ce n’est pas le cas, il essaiera d’exécuter des commandes supplémentaires.
Les commandes supplémentaires vérifieront si l’appareil possède les logs EKCert et TCG, si le TPM est possédé, et si le TPM n’a pas de firmware vulnérable.
Avec cette sortie, il essaiera de démarrer certaines tâches du TPM.
Si ces tâches ne peuvent pas être démarrées, il effectuera à nouveau des remédiations pour s’assurer que la tâche de maintenance du TPM peut démarrer.
S’il a effectué les remédiations, il essaiera de réexécuter les tests.
Si l’appareil est sûr d’avoir obtenu une clé d’endossement, il essaiera de déterminer si les certificats requis ont également été attachés.
Même si la tâche TPM-Maintenance ne pouvait pas être exécutée, j’ai décidé d’appeler moi-même le fichier tpmcoreprovisioning.dll.
Pour l’utiliser :
Depuis une fenêtre Windows Terminal en administrateur :
Par exemple, ci-dessous, le certificat EKCert semble manquant et TPM n’est pas adapté pour l’Autopilot car les certificats du fabriquants sont manquants
Une fois le test terminé, pensez à remettre les restrictions d’exécution de script de PowerShell par défaut avec la commande suivante :
Set-ExecutionPolicy Restricted
Vérifier la connexion aux serveurs Microsoft
Un problème de connexion aux sites de Microsoft peut être la source de l’erreur d’attestation TPM. Pour vérifier cette hypothèse, testez l’accès avec la commande depuis Windows Terminal :
La commande doit retourne TcpTestSucceeded à True indiquant que la connexion au serveur est réussie. Si échec, configurer le proxy ou ouvrir les hôtes dans le pare-feu.
Consultez les erreurs et solutions du site Microsoft
Désactiver l’Attestation TPM pour le déploiement Autopilot
Enfin comme solution de contournement, vous pouvez désactiver l’attestation TPM pour Autopilot. Pour désactiver l’attestation TPM lors du déploiement Windows Autopilot, il faut modifier les paramètres du profil de déploiement dans Microsoft Endpoint Manager (Intune).
Allez dans Devices → Windows → Windows Enrollment → Deployment Profiles.
Sélectionnez le profil Autopilot concerné.
Cliquez sur Edit dans la section Out-of-box experience (OOBE).
Recherchez l’option “Convert all targeted devices to Autopilot” et assurez-vous qu’elle est bien définie sur Désactivé.
Pour contourner l’attestation TPM, changez le Mode de déploiement de Self-deploying (Autonomous) ou Pre-provisioned (White Glove) à User-driven (Piloté par l’utilisateur).
Vérifiez que l’option “Allow pre-provisioning” est désactivée si vous ne souhaitez pas utiliser ce mode.
Cliquez sur Save pour enregistrer les changements.
Attendez quelques minutes que la synchronisation s’effectue.
Réinitialisez l’appareil en utilisant Windows Recovery (Shift + Redémarrer → Réinitialiser ce PC).
Assurez-vous que le périphérique tente un nouvel enregistrement Autopilot.
Dans un tutoriel précédent, je vous expliquais comment désactiver Windows Update de Windows 10 ou Windows 11. On peut faire cela avec des logiciels gratuits qui modifient Windows et notamment dészativent des composants et services Windows. Mais certains utilisateurs n’aiment pas modifier le système. Dans ce cas, un autre approche consiste à laisser Windows Update foncitonner mais à bloquer la connexion aux serveurs de mises à jour de Microsoft. Ainsi, la vérification de mises à jour ne fonctionnera pas et aucune mise à jour seront télécharger.
Dans ce tutoriel, je vous explique comment bloquer la connexion à Windows Update à l’aide du pare-feu Windows Defender et vous donne aussi d’autres solutions comme avec un firewall tiers.
Comment bloquer la connexion à Windows Update avec le parefeu-Windows Defender
Introduction
Si vous souhaitez empêcher Windows Update de fonctionner, vous pouvez créer une règle de pare-feu qui bloque l’accès aux serveurs de mise à jour de Microsoft. En effet, le pare-feu Windows Firewall permet de créer des règles de blocages. Il est possible de créer des règles qui visent des processus précis comme svchost.exe ou des services, comme le service Windows Update (wuausrv). Mais à cause de mécanismes de sécurité interne, comme je l’explique en fin de cet article, cela ne fonctionne pas. Par contre, on peut envisager de bloquer les adresses IP utilisées par Windows Update. C’est ce que je vous propose de faire ici.
Deux inconvénients :
Les adresses IP peuvent changer dans le temps ou selon votre emplacement géographique. Il est possible qu’il faille ajuster la règle dans le temps. Elles peuvent fonctionner en France mais ne pas fonctionner en Belgique ou au Québec
Si ces adresses IP sont partagées avec d’autres services de Microsoft, ces derniers seront aussi bloqués
Ce n’est donc pas la solution idéale, la meilleure solution est d’utiliser un pare-feu tiers car ce dernier est capable de cibler le service Windows Update. J’explique ces aspects dans la fin de cet article.
Importer une règle de blocage de Windows Update dans le pare-feu Windows (Méthode 1)
Dans cette méthode, je mets à disposion un fichier contenant les règles sortantes du pare-feu de Windows que vous pouvez importer. Voici comment faire :
Téléchargez les règles de pare-feu incluant le blocage de Windows Update :
Décompressez le fichier ZIP à l’empalcement de votre choix avec l’Explorateur de fichiers ou avec 7-zip
Puis sur votre clavier, appuyez sur les touches + R
Puis saisissez wf.msc
Faites un clic droit puis importer la stratégie
Sur le message d’avertissement qui demande une confirmation pour importer les règles, faites oui.
Puis naviguez dans les dossiers pour sélectionner le fichier Bloquer-Windows-Update.wfw
Si l’import réussi, vous obtenez le message suivant
Faites une recherche de mise à jour, si Windows Update est bloqué, cela doit retourner “erreur rencontrée“
Vous pouvez à tout moment, depuis les fonctions avancées du pare-feu Windows, accédez à la règle depuis les règles sortantes. Faites un clic dorit sur “Block Windows Update” et Désactiver, si vous souhaitez que la règle ne s’applique plus. Pour modifier la liste des adresses IP bloquées, double-cliquez dessus et allez dans l’onglet Etendue, elle apparaîssent dans la seconde partie de la fenêtre.
En PowerShell : plus fexible mais pour les utilisateurs confirmés (Méthode 2)
Dans cette seconde méthode, je vous donne les commandes PowerShell pour ajouter la règle de blocage Windows Update dans le pare-feu de Windows. Voici comment faire :
Appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
-DisplayName “Block Windows Update” → Nom de la règle.
-Direction Outbound → Bloque les connexions sortantes de Windows Update.
-Action Block → Empêche l’accès aux serveurs.
-Protocol TCP -RemotePort 80,443 → Bloque le HTTP/HTTPS utilisé par Windows Update.
-RemoteAddress → Liste des adresses IP utilisées par Windows Update.
–Profile Any → Applique la règle à tous les profils réseau (Domaine, Privé, Public).
Pour désactiver la règle temporairement et ainsi autoriser la connexion aux serveurs Windows Update :
Set-NetFirewallRule -DisplayName "Block Windows Update" -Enabled False
Pour réactiver la règle :
Set-NetFirewallRule -DisplayName "Block Windows Update" -Enabled True
Enfin vous souhaitez supprimer la règle, utilisez la commande suivante :
Remove-NetFirewallRule -DisplayName "Block Windows Update"
Comment bloquer la connexion à Windows Update avec un pare-feu tiers
La solution la plus simple et la plus efficace est d’utiliser un firewall tiers pour bloquer la connexion aux serveurs de Microsoft. En effet, ces derniers ont des règles pour le service Windows Update ou à minima pour le processus svchost.exe. Dès lors, d’un simple clic, vous pouvez bloquer la connexion pour ce composant de Windows.
Par exemple, ci-dessous, avec Fort Firewall, il est extrême simple de bloquer le téléchargement des mises à jour de Windows.
Autre exemple, avec Glasswire, il suffit de désactiver la règle pour le processus hôte (svchost.exe), dès lors Windows Update n’est plus en mesure de se connecter aux serveurs distants.
Ce qui ne fonctionne pas pour bloquer la connexion à Windows Update
Windows possède des mécanismes internes qui rend le blocage de Windows Update avec les outils internes difficiles. Cela vient du fait, que les logiciels malveillants ont eu tendance à en abuser pour rendre les machines vulnérables.
Voici deux façons de faire qui ne fonctionnent pas :
Pour empêcher Windows Update de parvenir de se connecter aux serveurs de misesà jour, on peut envisager d’ajouter les adresses des Windows Update dans le fichier HOSTS en vue de bloquer la résolution DNS. Par exemple, on peut cibler les adresses suivantes : windowsupdate.microsoft.com, update.microsoft.com ou download.windowsupdate.com. Et bien, j’ai testé et cela ne fonctionne pas. De plus, cela va générer des alertes antivirus, par exemple Windows Defender va émettre des détections du type SettingsModifier:Win32/PossibleHostsFileHijack.
Comme expliqué en introduction, on peut créer des règles de pare-feu de Windows plus précises en visant le processus svchost.exe et le service wuauserv. Le but est que le blocage ne s’applique qu’au service Windows Update. En PowerShell, cela donne :
New-NetFirewallRule -DisplayName "Block Windows Update" -Direction Outbound -Action Block -Protocol TCP -RemotePort 80,443 -Program "%SystemRoot%\System32\svchost.exe" -Service wuauserv -Profile Any
Dans l’interface du pare-feu avancé de Windows, il faut se rendre dans l’onglet Programmes et services. De là, on peut cibler un programme ou un service Windows.
Mais au moment de valider les propriétés de la règle, un message indique que les règles qui spécifient des processus hôtes, par exemple svchost.exe, risquent de ne pas fonctionner comme prévu car elles peuvent entrer en conflit avec des règles de sécurisations renforcées des services Windows.
Je confirme que ces règles de blocages de Windows Update ne fonctionnent pas.
Au moment de rechercher ou installer de nouvelles mises à jour, Windows Update peut afficher un message d’erreur “Nous n’avons pas pu nous connecter au service de mise à jour“. Cela signifie que le service de mise à jour n’est pas capable de se connecter aux serveurs de Microsoft à l’adresse windowsupdate.microsoft.com, update.microsoft.com ou encore download.windowsupdate.com sur le port 443 et 80. Les raisons sont multiples comme un problème de connexion internet, un pare-feu qui bloque ou la présence de logiciel malveillant.
Dans ce tutoriel, je vous donne toutes les solutions pour résoudre ce problème Windows Update qui peut toucher Windows 11 ou Windows 10.
Nous n’avons pas pu nous connecter au service de mise à jour (Windows Update)
Un problème technique temporaire des serveurs Microsoft
Lorsque les serveurs de Microsoft sont injoignables, cela peut résulter d’un problème technique. Cela reste tout de même assez rare mais c’est une hypothèse qu’il ne faut pas ignorer.
Pour savoir si Windows Update rencontre un problème, consultez les liens suivants :
Si le problème s’avère être du côté du géant Américain, il faut patienter le temps de la résolution du problème technique.
Vérifier votre connexion internet
Assurez-vous que votre PC est bien connecté à Internet et testez la connexion aux serveurs Microsoft. Si la connexion aux serveurs de Microsoft est impossible, Windows Update ne fonctionnera pas correctement.
Vous pouvez alors :
Essayez d’ouvrir un site comme www.microsoft.com depuis votre navigateur internet
Si Internet fonctionne mais que Windows Update ne se connecte pas, tentez de réinitialiser la couche IP de Windows.
Pour cela, appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez “Terminal Windows (admin)“. Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
Puis passez les commandes suivantes :
ipconfig /flushdns netsh winsock reset netsh int ip reset
Puis redémarrez votre ordinateur
Au besoin, vous pouvez tester la connexion aux serveurs Microsoft via PowerShell, à l’aide de la commande suivante :
Lorsque la connexion est réussie, la ligne TcpTestSucceeded est à True
Si la connexion échoue, il y a peut-être un problème réseau sur votre LAN, votre fournisseur d’accès internet ou un blocage par un pare-feu. N’hésitez pas à faire le test de connexion sur plusieurs appareils pour déterminer si cela vient d’un appareil spécifique ou de votre réseau domestique
Désactiver le pare-feu de Windows ou firewall tiers
Le pare-feu Windows Defender peut être mal configuré et ne pas autoriser le service Windows Update. A partir de là, le client Windows Update est filtré et la connexion aux serveurs de mises à jour de Microsoft ne se fait pas. Vous pouvez tester, si le firewall de Windows est en cause en lé désactivant :
Ouvrez l’application Sécurité de Windows
A gauche, choisissez Pare-feu et protection du réseau
Allez dans réseau Privé
Puis désactivez la bascule sous Microsoft Defender Firewall
Quand cela est fait, relancez une recherche de mise à jour pour vérifier si cela fonctionne
Si cela ne change rien, réactivez le pare-feu Microsoft Defender
Bien entendu, si vous utilisez un firewall tierce, vous devez vérifier la configuration des filtres d’applications et que Windows Update est bien autorisé dans ce dernier.
Désinfecter votre PC contre les malwares
Un logiciel malveillant peut bloquer la connexion à Windows Update à travers différents stratagèmes. Le but est d’empêcher l’installation de mise à jour correctrice, pour que des vulnérabilités persistent sur l’appareil et ainsi le rendre plus vulnérables. Vous pouvez vérifier si un malware est présent sur votre PC à l’aide de Malwarebytes Anti-Malware. Ce logiciel est gratuit et permet d’analyser et supprimer les virus de manière efficace.
Si des malwares sont détectés, supprimez les ou placez les en quarantaine puis relancez une recherche de mises à jour pour tester si cela résout les problèmes de connexion du service Windows Update. Sinon porsuivez la résolution de cet article, un malware peut avoir placez un proxy ou modifer le fichier HOSTS pour bloquer Windows Update.
Vérifier la présence de proxy
Un proxy peut bloquer Windows Update en restreignant l’accès aux domaines, en bloquant les ports 80/443, en filtrant les User-Agents ou en forçant un proxy obligatoire. Pour contourner ces restrictions, il est possible de désactiver le proxy pour Windows Update ou d’utiliser un serveur WSUS en entreprise. Si vous avez fait l’attaque d’un logiciel malveillant, il peut être nécessaire de vérifier la présence d’un proxy.
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + I. Sinon d’autres méthodes dans le tutoriel suivant : Comment ouvrir les paramètres de Windows 11
Puis à gauche, cliquez sur Réseau & Internet
Ensuite à droite, cliquez sur Proxy
Vérifiez l’état de Utiliser un serveur Proxy pour modifier la configuration, cliquez sur Configurer
Désactiver l’utilisation de proxy et cliquez sur Enregistrer
Une mauvaise configuration ou corruption du fichier HOSTS de Windows peut entraîner des erreurs de connexion au site. En effet, cela peut fausser la résolution DNS et l’adresse IP retournée pour le site. A partir de là, votre navigateur WEB se connecte à un mauvais serveur WEB et cela peut retourner des erreurs de connexion au site. Dans ce cas là, il faut réinitialiser le fichier HOSTS de Windows afin de remettre le contenu à zéro.