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Microsoft corrige les soucis de streaming NDI et installations MSI sur Windows 11

Dans une précédente actualité, j’indiquais que le KB5063878 pouvait provoquait des problèmes de streaming NDI.
Récemment, Microsoft a déployé un correctif vital pour résoudre deux dysfonctionnements majeurs sur Windows Active 11 : une dégradation de la qualité du streaming via NDI (Network Device Interface) et des interruptions lors d’installations d’applications en mode utilisateur standard.

Les utilisateurs avaient signalé une latence importante, des saccades dans l’image et des coupures audio pendant les flux NDI, notamment dans les configurations multi-PC via OBS ou NDI Tools. Ces incidents étaient directement liés au protocole RUDP (Reliable UDP), utilisé par défaut par NDI. Microsoft, en collaboration avec les équipes NDI, a confirmé que le bug était résolu dans la mise à jour intégrée au Patch Tuesday de septembre 2025 (KB5065426), éliminant dorénavant la nécessité du contournement manuel précédemment recommandé via le NDI Access Manager.

Parallèlement, un autre souci affectait les installations via Windows Installer (MSI) sous comptes non-administrateurs. Suite à la mise à jour de sécurité d’août, des fenêtres de contrôle d’accès (UAC) imprévues surgissaient, bloquant les installations du type « réparation MSI » ou provoquant une erreur 1730 pour certains logiciels comme Office ou Autodesk, notamment AutoCAD. Ce comportement était un effet secondaire de la correction du patch d’un exploit (CVE-2025-50173). Heureusement, cette anomalie a également été corrigée avec la mise à jour de septembre ; les UAC ne sont désormais demandées que lorsque l’application exécute réellement une action élevée. Les administrateurs bénéficient également d’un mécanisme de liste d’exceptions pour les applications spécifiques, une solution plus fine que l’ancienne stratégie Known Issue Rollback.

En résumé

Avec les mises à jour de septembre, Microsoft met fin à deux gênes notables : le buffering impactant le streaming via NDI, et les interruptions injustifiées lors de certaines installations d’applications. Les utilisateurs peuvent désormais profiter d’un streaming fluide et d’un workflow d’installation libéré, tout en conservant un niveau de sécurité optimal.

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Windows 11 veut fiabiliser l’USB-C et alerter en cas de problème, mais tout dépend encore des constructeurs

Microsoft renforce son engagement autour de l’USB-C dans Windows 11. Après avoir annoncé que la version 24H2 améliorerait considérablement la gestion de ce standard pour offrir une expérience comparable à celle des MacBook, l’éditeur demande désormais aux constructeurs de PC (OEM) de s’assurer que toutes les fonctions de diagnostic et de notification soient correctement activées dans leurs machines.

L’USB-C, qui promet universalité et simplicité, reste souvent source de frustrations : charge trop lente, débit réduit ou périphériques non reconnus. Windows 11 dispose déjà d’un mécanisme complet capable d’identifier quand une connexion USB est défectueuse, afin de rassurer l’utilisateur en confirmant que le problème ne vient pas du système. Le souci, c’est que ce système de détection et d’alerte repose sur les informations fournies par les constructeurs via le firmware ACPI. Si ces données sont absentes ou incorrectes, Windows ne peut pas déclencher les avertissements, laissant l’utilisateur sans explication et parfois persuadé que le bug provient de l’OS lui-même.

C’est pourquoi Microsoft rappelle aux OEM l’importance d’intégrer correctement les marquages ACPI, comme _UPC (USB Port Capabilities) et _PLD (Physical Location of Device). Ces éléments permettent à Windows d’afficher les alertes adéquates en cas de charge insuffisante, de blocage volontaire des ports pour raisons de sécurité ou encore de connexion non conforme. Sans ce travail en amont, l’ensemble des fonctions d’assistance intégrées à Windows 11 — pourtant pensées pour réduire la confusion et faciliter le dépannage — deviennent inopérantes.
Ainsi, le 3 septembre 2025, Microsoft a lancé un appel clair aux fabricants de PC pour garantir que Windows 11 puisse bien avertir les utilisateurs face aux problèmes liés aux ports USB-C, comme une charge lente ou des transferts de données déficients. Cet impératif émane des résultats internes de Microsoft ayant révélé que certains portables sont configurés de manière à masquer ces alertes essentielles. Par exemple, un port mal identifié — USB-A déclaré comme USB-C ou inversement — empêche le système d’alerter l’utilisateur en cas de défaillance ou de dysfonctionnement.

Avec Windows 11 24H2, Microsoft ambitionne d’offrir la meilleure expérience USB-C jamais vue sur PC, en rendant les diagnostics plus clairs et les notifications plus explicites, à l’image de ce qui existe déjà sur macOS. Les utilisateurs devraient ainsi être rapidement informés de la cause réelle d’un problème de charge ou de transfert, au lieu de supposer une défaillance logicielle. Mais l’efficacité de ces nouveautés dépendra directement de la rigueur des fabricants de PC dans l’implémentation des spécifications requises.

Pourquoi cela compte pour vous

Cette initiative vise à réduire la confusion et les frustrations liées aux ports USB-C — outils omniprésents et pourtant parfois capricieux. Ces alertes améliorent l’expérience utilisateur, évitent les pannes silencieuses et allègent la charge des services d’assistance technique. Surtout, elles prouvent que le dialogue entre Microsoft et les fabricants est essentiel pour livrer un système fiable et compréhensible par tous.

Source(s) : windowslatest.com

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Flyoobe : créer une clé USB d’installation de Windows 11 personnalisée, sans bloatwares et sans restrictions matérielles

Avec Windows 11, Microsoft impose non seulement des restrictions matérielles (TPM 2.0, Secure Boot, processeur récent), mais pousse également à l’utilisation d’un compte Microsoft, multiplie les applications préinstallées (bloatwares) et active par défaut de nombreux paramètres de télémétrie. Résultat : l’installation d’un Windows 11 « propre » et adapté à vos besoins peut vite devenir compliquée.

C’est pour répondre à ce problème qu’a été développé Flyoobe, l’évolution de Flyby11. Cet outil gratuit vous permet non seulement de contourner les exigences matérielles pour installer Windows 11 sur un PC non compatible, mais aussi de créer une clé USB d’installation personnalisée.

Grâce à Flyoobe, vous pouvez par exemple :

  • supprimer la télémétrie et renforcer la confidentialité,
  • retirer les bloatwares et applications inutiles dès l’installation,
  • créer un compte local automatiquement au lieu d’un compte Microsoft,
  • définir le navigateur par défaut,
  • appliquer d’autres réglages avancés (services, optimisation des performances, langue, nom de l’ordinateur).

En résumé, Flyoobe vous permet de déployer un Windows 11 léger, propre et adapté à vos préférences dès le premier démarrage, tout en restant accessible à n’importe quel utilisateur.

Qu’est-ce que Flyoobe ?

Flyoobe est un utilitaire gratuit développé par Builtbybel, connu également pour Flyby11. Il s’agit de l’évolution directe de Flyby11, qui reprenait déjà la fonction de base consistant à contourner les restrictions matérielles de Windows 11 (TPM 2.0, Secure Boot, processeur non supporté).

La particularité de Flyoobe est qu’il ne se contente pas de bypasser les vérifications : il permet également de personnaliser l’installation de Windows 11 grâce à la modification de l’expérience OOBE (Out Of Box Experience), c’est-à-dire l’assistant de configuration affiché lors du premier démarrage.

Avec Flyoobe, vous pouvez par exemple :

  • créer une clé USB d’installation de Windows 11 personnalisée,
  • supprimer automatiquement les bloatwares et applications préinstallées,
  • ajuster certains paramètres (confidentialité, services, comptes),
  • automatiser tout ou partie de l’installation pour gagner du temps.

L’un des grands atouts de Flyoobe est la possibilité de personnaliser l’installation de Windows 11, afin d’obtenir un système plus léger, plus propre et déjà configuré selon vos préférences dès le premier démarrage.

  • OOBE (Out Of Box Experience) : vous pouvez modifier ou automatiser certaines étapes de l’assistant de configuration initial (création du compte local, paramètres de confidentialité, options réseau). Cela vous permet de gagner du temps et d’éviter les écrans imposant l’utilisation d’un compte Microsoft.
  • Suppression des bloatwares : Flyoobe propose de retirer automatiquement les applications préinstallées et inutiles qui encombrent souvent Windows 11 (jeux, logiciels promotionnels, outils Microsoft non essentiels). Vous démarrez ainsi avec un système épuré.
  • Réglages avancés : il est possible de définir certaines options dès l’installation (services actifs ou désactivés, configuration de la télémétrie, choix du navigateur par défaut, etc.), ce qui évite d’avoir à passer par de longues étapes de paramétrage après l’installation.

En résumé, Flyoobe combine les avantages de Flyby11 (contournement des exigences matérielles) avec ceux d’outils de personnalisation plus avancés, afin d’offrir une installation de Windows 11 plus rapide, propre et adaptée à vos besoins.

Pour une analyse plus complète des risques liés à l’installation de Windows 11 sur un PC non compatible — stabilité, sécurité, absence de support officiel, etc. — consultez notre article « Faut-il installer Windows 11 sur un PC non compatible ? »

Télécharger et installer Flyoobe

  • Suivez ce lien qui mène au site Officiel (GitHub)
Télécharger Flyoobe
  • Décompressez FlyoobeApp.zip dans l’emplacement de votre choix
  • Puis exécutez Flyo.exe
Attention : ne téléchargez Flyby11 que depuis sa source officielle (GitHub). De nombreux sites tiers peuvent proposer des versions modifiées ou piégées.
Exécuter le fichier Flyo.exe de Flyby11
  • Forcez l’exécution sur la page SmartScreen (Windows a protégé votre ordinateur)
  • Si Windows Defender émet une alerte, autorisez l’exécution sur l’appareil
  • Exécutez l’application en administrateur
  • Enfin, dans le menu, cliquez sur « Install from Image« 
Créer une clé USB Windows 11 pour un PC non compatible

Configurer l’installation de Windows 11 avec Flyoobe

Avec Flyoobe, vous ne vous contentez pas de contourner les restrictions matérielles de Windows 11 : l’outil vous offre également la possibilité de personnaliser l’installation et de supprimer les éléments superflus. Vous pouvez ainsi adapter Windows 11 à vos besoins dès le premier démarrage, sans avoir à effectuer de réglages fastidieux après coup.

Pour accéder aux différentes options, utilisez les menus situés en bas de la fenêtre ou le bouton en forme de flèche vers la droite afin de naviguer entre les sections de configuration.

Personnalisation OOBE (compte local, langue, apparence)

Le menu OOBE (Out Of Box Experience) de Flyoobe regroupe les options liées à la configuration initiale de Windows 11. Toutefois, selon la version de l’outil, cet onglet peut apparaître grisé ou inactif : certaines fonctions sont encore en cours de développement et ne sont pas toujours disponibles. Dans ce cas, vous pouvez continuer à utiliser les autres menus de Flyoobe (suppression des bloatwares, réglages avancés, création d’ISO).

Lorsque l’onglet est accessible, il vous permet de personnaliser plusieurs aspects visibles dès le premier démarrage de Windows 11 :

  • Nom de l’ordinateur et langue par défaut du système.
Personnaliser le nom de l'ordinateur et la langue dans l'ISO de Windows 11 avec Flyoobe
  • Choix entre le mode clair ou sombre pour l’interface et les applications.
  • Alignement de la barre des tâches : centré (par défaut) ou à gauche.
  • Définition d’un arrière-plan personnalisé et sélection des icônes système visibles sur le bureau.
  • Possibilité (en développement) de forcer la création d’un compte local et de préconfigurer certains paramètres de confidentialité.
Personnaliser de l'apparence et positionnement de la barre des tâches dans l'ISO de Windows 11

En pratique, ces réglages vous permettent de démarrer sur un Windows 11 déjà configuré à votre goût, sans avoir à modifier manuellement l’apparence et les paramètres de base après installation.

Suppression des bloatwares

Windows 11 intègre de nombreuses applications préinstallées, souvent inutiles pour la majorité des utilisateurs : jeux, outils promotionnels, services en ligne imposés, etc. Ces bloatwares occupent de l’espace disque, consomment parfois des ressources et encombrent le menu Démarrer.

Avec Flyoobe, vous pouvez les supprimer dès la création de votre ISO ou de votre clé USB d’installation.

  • Il suffit de cocher les cases correspondant aux applications que vous souhaitez retirer.
  • Parmi les exemples courants : Xbox, Cortana, Teams, les jeux promotionnels (Candy Crush, Solitaire, etc.) ou encore certaines apps Microsoft peu utilisées.
  • Les utilitaires système essentiels (Explorateur de fichiers, Paramètres, Microsoft Store si besoin) peuvent être conservés pour assurer le bon fonctionnement de Windows.
Suppression des bloatwares dans l'ISO de Windows 11 avec Flyoobe

Cette étape vous permet de déployer un Windows 11 plus léger, plus rapide et débarrassé des programmes inutiles, sans avoir à passer du temps à les désinstaller après coup.

Réglages avancés (navigateur, mise à jour, télémétrie, etc.)

Flyoobe propose également des réglages avancés pour personnaliser davantage votre installation de Windows 11 :

  • Navigateur par défaut : vous pouvez choisir entre Mozilla Firefox, Brave, Google Chrome ou Microsoft Edge. Sélectionnez votre préférence dans le menu déroulant puis cliquez sur Set Default Browser afin que le navigateur choisi soit appliqué automatiquement dès l’installation.
Choisir le navigateur par défaut à l'installation de Windows 11
  • Compte local : si vous ne souhaitez pas utiliser de compte Microsoft, Flyoobe vous permet de forcer la création d’un compte local en quelques clics. Vous évitez ainsi les écrans qui imposent une connexion en ligne lors de l’installation.

👉 D’autres méthodes dans ce guide : Créer un compte local à l’installation de Windows 11

Créer un compte local à l'installation de Windows 11
  • Télémétrie et confidentialité : certaines options permettent de réduire la collecte de données et d’ajuster les paramètres de confidentialité de Windows 11 avant même le premier démarrage.
  • Intégration des mises à jour : vous avez la possibilité d’ajouter les dernières mises à jour Windows directement à l’ISO. Cela vous garantit d’installer immédiatement une version à jour, sans avoir à télécharger de longs correctifs après l’installation.
Intégrer les mises à jour à l'installation de Windows 11.

Grâce à ces réglages, vous obtenez une installation de Windows 11 adaptée à vos préférences, plus respectueuse de la confidentialité et déjà optimisée.

Créer une clé USB d’installation à partir de l’ISO

Une fois vos réglages appliqués, lancez la création de l’image en cliquant sur le bouton Create ISO.

Flyoobe vous demandera ensuite de naviguer jusqu’au fichier MediaCreationTool.exe. Sélectionnez-le, puis laissez l’outil Microsoft s’exécuter : il va télécharger l’ISO de Windows 11 et générer le support d’installation.

Pour le détail des étapes de base (téléchargement de Media Creation Tool, choix de l’ISO, création de la clé USB bootable), reportez-vous à notre guide :
👉 Flyby11 : contourner les exigences matérielles de Windows 11 sur un PC non compatible

Grâce à cette méthode, vous obtenez une clé USB Windows 11 personnalisée, débarrassée des bloatwares et adaptée à vos préférences, tout en étant installable sur un PC non compatible.

Exemple de scénarios d’utilisation (installation sur vieux PC, installation rapide en entreprise/labo, PC familial sans apps inutiles)

Flyoobe ne se limite pas à créer une clé USB « classique ». Grâce à ses options de personnalisation, l’outil s’adapte à plusieurs situations pratiques :

Réutiliser un PC ancien ou non compatible :

Vous avez un ordinateur encore fonctionnel mais bloqué par l’absence de TPM 2.0, de Secure Boot ou par un processeur non supporté ?
→ Avec Flyoobe, vous pouvez installer Windows 11 dessus en quelques clics, sans manipulation complexe.

Installer un Windows 11 allégé et sans bloatwares :

Flyoobe permet de supprimer automatiquement les applications préinstallées et inutiles de Windows 11. Vous obtenez ainsi un système plus rapide, plus léger et plus propre dès le premier démarrage.

Déploiement en entreprise, école ou association :

Dans un cadre professionnel ou éducatif, Flyoobe simplifie la création d’une image standardisée de Windows 11. Les réglages OOBE (confidentialité, comptes, services) peuvent être définis à l’avance, ce qui permet de gagner un temps considérable lors du déploiement de plusieurs machines.

Installation personnalisée à domicile :

Vous pouvez préparer une clé USB avec vos préférences :

  • choix du type de compte (local ou Microsoft),
  • configuration de certains paramètres de confidentialité,
  • suppression des logiciels inutiles,
  • contournement automatique des restrictions matérielles.

En résumé : Flyoobe est utile aussi bien pour prolonger la vie d’un PC personnel, que pour optimiser et standardiser une installation de Windows 11 dans un cadre professionnel.

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Windows 11 KB5065426 et KB5065431 sont disponibles : nouveautés et corrections

En attendant la sortie de Windows 11 25H2, ce 9 septembre 2025, Microsoft a publié ses mises à jour cumulatives dans le cadre du Patch Tuesday, adressant plus de 80 vulnérabilités dont certaines exploitables publiquement. Il s’agit d’un déploiement critique en matière de sécurité, corrélée avec les builds 26100.6584 pour la version 24H2 (KB5065426) et 22631.5909 pour la version 23H2 (KB5065431) de Windows 11.

Mais cette mise à jour ne se limite pas à la sécurité. Elle introduit plusieurs fonctionnalités et améliorations visuelles attendues depuis un moment. Parmi les nouveautés, la barre des tâches intègre enfin la possibilité d’afficher les secondes dans l’horloge du Centre de notifications, une amélioration particulièrement appréciée par les utilisateurs soucieux de précision, sans pour autant être activée par défaut. L’explorateur de fichiers gagne en ergonomie : les menus contextuels sont plus lisibles grâce à une séparation visuelle, et la section « Recommandé » affiche les avatars des collègues, à condition d’utiliser un compte professionnel ou scolaire.

L’assistant Recall bénéficie désormais d’une page d’accueil remaniée sur les PC Copilot+, facilitant l’accès aux activités récentes et aux raccourcis, tandis que Click to Do est enrichi d’un didacticiel interactif pour se familiariser avec cette fonction AI. Par ailleurs, Windows Search affiche les images en mode grille, améliorant les résultats visuels, et l’interface Windows Hello est totalement revampée avec de nouveaux visuels plus modernes.

Autre évolution notable : les widgets de l’écran de verrouillage deviennent davantage personnalisables, avec un panneau latéral intuitif, des flux Copilot personnalisés disponibles dans la zone Europe, et le support de plusieurs dashboards. Le Gestionnaire des tâches a également été amélioré : les mesures d’utilisation du CPU sont désormais cohérentes entre tous les onglets, simplifiant la lecture et la comparaison des performances système.

En résumé

La mise à jour Patch Tuesday de septembre 2025 n’apporte pas seulement des corrections de sécurité critiques, mais aussi des ajustements ergonomiques et fonctionnels qui améliorent le quotidien des utilisateurs de Windows 11. Qu’il s’agisse d’une surveillance plus précise de l’horloge, d’une recherche visuelle plus fluide, ou d’une interface AI mieux intégrée, cette version marque une étape importante dans l’évolution de la version 24H2. Pour les environnements 23H2, les correctifs de sécurité restent le principal intérêt, tandis que la migration vers 24H2 permettra de profiter pleinement des nouvelles fonctions.

Source(s) : neowin.net

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Récupération machine rapide de Windows 11 : activation, configuration et utilisation

La Récupération machine rapide (Quick Machine Recovery – QMR) est une nouvelle fonctionnalité introduite avec Windows 11 version 24H2, et également présente dans la 25H2. Elle vient remplacer l’ancien “Outil de redémarrage système” en offrant une solution plus moderne et automatisée pour réparer un PC qui ne démarre plus correctement.

Son principe est simple : lorsqu’un ordinateur échoue à démarrer à plusieurs reprises, Windows bascule dans l’environnement de récupération (WinRE) et tente automatiquement une réparation. Selon la configuration choisie, cette récupération peut s’appuyer sur une correction locale ou sur une correction cloud, en téléchargeant les fichiers nécessaires via Windows Update.

Dans ce guide complet, je vous montre comment activer, configurer et utiliser la Récupération rapide de l’ordinateur sur Windows 11, ainsi que les solutions alternatives à envisager si la réparation automatique échoue.

Qu’est-ce que la « récupération machine rapide » ?

La Récupération rapide de la machine (Quick Machine Recovery – QMR) est une fonctionnalité introduite avec Windows 11 version 24H2 et présente dans Windows 11 25H2, basée sur la plateforme Germanium. Son objectif est de réparer automatiquement un PC lorsqu’il ne démarre plus correctement, en réduisant au minimum l’intervention de l’utilisateur ou du support technique.

Concrètement, si Windows détecte des échecs répétés au démarrage, le système bascule dans l’environnement de récupération Windows (WinRE). De là, deux options sont possibles : soit Windows applique une correction cloud en téléchargeant les fichiers nécessaires via Windows Update, soit il déclenche une correction automatique locale. Dans les deux cas, l’utilisateur n’a quasiment rien à faire et le processus vise à restaurer rapidement un système fonctionnel.

Cette approche change des méthodes traditionnelles de restauration (réinitialisation complète, image système, support d’installation externe). Elle apporte un mode de réparation intégré et connecté, pensé pour les entreprises comme pour les particuliers, et qui limite les interruptions de service.

Pour les organisations, la Récupération rapide de l’ordinateur peut être activée ou gérée via Intune, les stratégies CSP ou PowerShell, afin d’harmoniser le comportement sur l’ensemble d’un parc de machines.

👉À lire : Les options avancées de récupération Windows 11/10

Comment activer et configurer la récupération machine rapide dans Windows 11

Par défaut, la Récupération rapide de la machine (Quick Machine Recovery – QMR) est désactivée sur les éditions Pro et Entreprise de Windows 11, afin de laisser aux administrateurs le choix de son déploiement. Elle peut toutefois être activée manuellement ou centralisée dans un parc informatique.

Depuis les Paramètres de Windows

  • Ouvrez Paramètres > Système > Récupération.
  • Dans la section Récupération rapide de l’ordinateur
Accéder aux paramètres de récupération de la machine rapide dans Windows 11
  • Activez les options disponibles :
    • Récupération de la machine : lorsque votre appareil ne démarre pas, Windows 11 tente de régler le problème via les solutions de récupération automatique
    • Continuer la recherche si aucune solution n’est trouvée : Permet à l’ordinateur de poursuivre automatiquement ses tentatives de réparation si la première tentative échoue.
    • Rechercher des solutions chaque : Définit la fréquence à laquelle Windows va relancer une recherche de solutions en cas d’échec de démarrage. Plus l’intervalle est court, plus Windows tente rapidement une nouvelle récupération, mais cela consomme aussi davantage de ressources lors des redémarrages répétés.
    • Redémarrer chaque : Indique combien de temps Windows attendra avant de redémarrer automatiquement le PC pour appliquer une nouvelle tentative de récupération. Permet d’éviter que le PC ne boucle trop rapidement sur des redémarrages incessants en cas de problème persistant.
Activer la  récupération de la machine rapide depuis les paramètres de Windows 11

Avec la commande reagentc.exe (Invite de commandes / PowerShell)

La commande reagentc ne permet pas pour le moment d’activer ou désactiver la récupération machine rapide.
Toutefois, vous pouvez vérifier la configuration.
Pour cela :

  • Exécutez PowerShell ou l’invite de commandes en administrateur.
  • Utilisez la commande :
reagentc  /getrecoverysettings
  • Vous obtenez la configuration sous forme XML.
    • Lorsque la correction Cloud est activée, CloudRemediation est à 1.
    • Lorsque la correction automatique est activée, AutoRemediation est à 1
    • Le délai de redémarrage en minutes s’affiche via le paramètre totalwaittime
    • Enfin le délai de recherche de solutions en minutes, sous le paramètre waitinterval

Quelques autres paramètres de configuration sont disponibles comme :

  • /setrecoverysettings – Configure les paramètres de récupération machine rapide.
  • /getrecoverysettings – Affiche les paramètres configurés pour la récupération machine rapide.
  • /clearrecoverysettings – Supprime les paramètres configurés pour la récupération machine rapide.
  • /setrecoverytestmode – Active le mode test pour la récupération machine rapide.
  • /clearrecoverytestmode – Efface le mode test pour la récupération machine rapide.
  • /getrecoverytestmode – Obtenez le statut du mode de test de récupération machine rapide et les résultats de la dernière exécution du mode test

Comment utiliser la récupération rapide de l’ordinateur en cas de panne

Une fois la fonctionnalité activée, la Récupération rapide de l’ordinateur (Quick Machine Recovery – QMR) se déclenche automatiquement lorsqu’un poste rencontre des problèmes répétés au démarrage.
Le système bascule dans l’environnement de récupération (WinRE) et peut utiliser soit une correction locale, soit une correction cloud (téléchargement via Windows Update).
L’utilisateur n’a généralement aucune manipulation complexe à réaliser : tout est pris en charge par Windows.

Réparation automatique après plusieurs échecs de démarrage

Si Windows 11 échoue plusieurs fois de suite à se lancer correctement, le système exécute une réparation automatique afin de basculer dans l’environnement de récupération Windows (WinRE).
À ce stade, l’ordinateur identifie que la fonctionnalité QMR est activée et propose une réparation.

Exécuter manuellement la récupération rapide de l’ordinateur

Lorsque Windows ne démarre plus correctement, il est souvent possible d’accéder à l’environnement de récupération intégré au système, aussi appelé WinRE. Cet environnement permet d’utiliser des outils de dépannage avancés, dont l’invite de commandes, la restauration du système, désinstaller une mise à jour et bien d’autres.

  • Si Windows démarre partiellement ou affiche un écran de connexion, maintenez la touche Maj (Shift) enfoncée tout en cliquant sur Redémarrer (via le menu d’alimentation).
  • Si Windows est bloqué au démarrage, redémarrez le PC trois fois de force (en l’éteignant brutalement pendant le chargement). Le système devrait automatiquement lancer l’environnement de récupération.
  • Depuis un autre PC, vous pouvez également créer une clé USB d’installation de Windows, la démarrer, puis cliquer sur « Réparer l’ordinateur » pour accéder aux mêmes options :
    • Créer une clé USB d’installation de Windows 11
    • Créer une clé USB d’installation de Windows 10

Plus d’aide dans ce tutoriel : Comment accéder aux options de récupération de Windows 11/10 (WinRE)

Ensuite :

  • Ouvrez les options avancées puis « Récupération rapide de la machine« .
Exécuter la "Récupération rapide de la machine"
  • Windows 11 lance un diagnostic de votre ordinateur puis tente de résoudre les problèmes
Diagnostic de votre ordinateur pour résoudre les problèmes de chargement de Windows 11
  • Puis le PC passe en tentatives de réparation, patientez
Tentatives de réparation du démarrage de Windows 11
  • L’utilisateur n’a rien à faire, tout est automatisé

Que faire en cas d’échec de la récupération ?

Bien que la Récupération rapide de l’ordinateur (QMR) vise à restaurer automatiquement le système sans intervention, il peut arriver que l’installation automatique échoue ou ne parvienne pas à réparer le système.
Dans ce cas, une fenêtre « Outil de redémarrage système » apparaît mentionné un fichier journal SrTrail.txt.
Vous pouvez cliquer sur Options avancées afin d’accéder aux autres fonctionnalités de dépannage.

Erreur "Outil de de redémarrage systèm" au démarrage de l'appareil

👉 Tout d’abord, vous pouvez consulter le guide complet du site pour résoudre les problèmes de démarrage de Windows 11 : Comment réparer le démarrage de Windows 11 (UEFI)

Sinon, la méthode la plus accessible consiste à utiliser la fonctionnalité native Réinitialiser ce PC. Deux options s’offrent à vous : conserver vos fichiers personnels tout en réinstallant Windows, ou repartir avec une installation propre (tout supprimer). Cette solution fonctionne directement depuis les paramètres de Windows ou depuis l’environnement de récupération WinRE, et peut s’exécuter même si le bureau est inaccessible.
👉 Vous pouvez suivre ce tutoriel détaillé pour réaliser cette opération en toute sécurité : Comment réinitialiser Windows 11 malekal.com.

Si la réinitialisation classique ne fonctionne pas ou si vous préférez repartir sur une base totalement propre, la réinstallation via une clé USB bootable reste la solution la plus robuste. Elle implique de créer une clé d’installation à partir d’un fichier ISO, puis de lancer l’installation directement depuis ce support. L’opération permet de formater le disque et d’installer Windows 11 comme sur un PC neuf.
👉Tous les détails étape par étape se trouvent dans ce guide pratique : Comment installer Windows 11 sur son PC.

Voici un récapitulatif des options en cas de récupération défaillante :

SituationSolution recommandée
Récupération automatique a échouéTenter « Réinitialiser ce PC » (conserver ou supprimer les données)
Réinitialisation impossible ou peu fiableRéinstallation propre via clé USB bootable
Contrainte entreprise (images personnalisées)Définir des procédures IT internes sur mesure

FAQ

Qu’est-ce que la Récupération rapide de la machine (Quick Machine Recovery) ?

C’est une fonctionnalité introduite avec Windows 11 24H2/25H2 qui permet à Windows de tenter une réparation automatique du système après plusieurs échecs de démarrage, en utilisant soit une correction locale, soit une récupération via Windows Update (mode cloud).

La Récupération rapide de la machine est-elle activée par défaut ?

Non. Elle est désactivée par défaut sur les éditions Pro et Entreprise de Windows 11. Les administrateurs doivent l’activer via Paramètres, Intune, CSP ou PowerShell.

La fonctionnalité est-elle disponible pour les particuliers ?

Oui, mais elle est surtout pensée pour les entreprises et environnements gérés. Les particuliers peuvent l’activer depuis les paramètres système et bénéficier d’une réparation automatique sans support externe en cas d’échec de démarrage.

Que se passe-t-il si la Récupération rapide échoue ?

Dans ce cas, il reste possible de réinitialiser Windows 11 en conservant ou non ses fichiers (tutoriel) ou de réinstaller complètement Windows 11 via une clé USB bootable (guide complet).

Quelle différence avec la fonction “Réinitialiser ce PC” ?

La Récupération rapide intervient automatiquement après des échecs de démarrage et tente de réparer le système de façon transparente. La fonction Réinitialiser ce PC, elle, doit être déclenchée manuellement et permet de choisir de conserver ou non ses fichiers.

Quels sont les avantages de la Récupération rapide ?

Elle réduit l’indisponibilité d’un poste après un problème critique, limite l’intervention du support technique et permet de restaurer un environnement fonctionnel beaucoup plus rapidement qu’avec une réinstallation classique.

Ressources utiles et articles liés

L’article Récupération machine rapide de Windows 11 : activation, configuration et utilisation est apparu en premier sur malekal.com.

Windows 11 25H2 : les nouveautés

Microsoft prépare le déploiement de Windows 11 version 25H2, la prochaine mise à jour annuelle de l’OS. Basée sur la plateforme Germanium, déjà introduite avec la 24H2, cette version n’apporte pas de rupture fonctionnelle majeure mais se concentre sur la stabilité et la consolidation. Distribuée via un enablement package, elle active simplement des fonctionnalités déjà présentes dans le système, ce qui rend son installation rapide et transparente.

Windows 11 25H2 supprime certains composants obsolètes comme PowerShell 2.0 et WMIC, introduit de nouvelles options de gestion pour les entreprises, et prolonge le cycle de support (24 mois pour Pro, 36 mois pour Entreprise/Éducation). On retrouve également quelques ajustements visuels issus des builds Insider, ainsi que des améliorations en matière de sauvegarde et d’accessibilité.

Dans ce guide, je vous donne la liste intégrale des nouveautés apportées dans cette mise à jour de fonctionnalités.
L’article sera actualisé si des changements de dernières minutes ont lieu.

Différences entre Windows 11 24H2 et 25H2

La mise à jour Windows 11 25H2 ne révolutionne pas le système par rapport à la 24H2, puisqu’elles partagent la même base de code. La principale différence réside dans le mode de diffusion : 25H2 est proposée sous la forme d’un enablement package, c’est-à-dire un petit module qui active des fonctionnalités déjà présentes dans le système. Cette approche rend l’installation rapide et légère, souvent en un seul redémarrage, contrairement aux mises à jour classiques plus lourdes.

Microsoft profite également de cette version pour retirer des composants devenus obsolètes, comme PowerShell 2.0 et l’outil WMIC, remplacés depuis longtemps par des alternatives modernes plus sécurisées. Côté entreprises, de nouvelles stratégies Group Policy et MDM permettent de mieux contrôler les applications préinstallées. Enfin, la 25H2 s’accompagne d’un cycle de support prolongé : 24 mois pour Windows 11 Pro et Home, et 36 mois pour les éditions Entreprise et Éducation, renforçant la stabilité pour les déploiements à long terme.

Windows 11 25H2 ne révolutionne pas l’expérience utilisateur par rapport à 24H2, mais consolide la stabilité, supprime les composants obsolètes et améliore progressivement l’interface et la productivité.

Suppression de PowerShell 2.0 et de WMIC

Avec Windows 11 25H2, Microsoft poursuit le nettoyage des composants historiques du système. Cette version retire définitivement PowerShell 2.0, une version ancienne et non sécurisée de l’outil d’automatisation, qui n’était plus maintenue depuis plusieurs années. Sa présence représentait un risque de compatibilité et de sécurité, car des scripts malveillants pouvaient l’exploiter pour contourner certaines protections.

Autre changement notable : la disparition de WMIC (Windows Management Instrumentation Command-line), un utilitaire en ligne de commande qui permettait d’interroger et de gérer le système via WMI. Déjà marqué comme obsolète, WMIC cède sa place à des alternatives modernes comme PowerShell (avec ses modules WMI et CIM) et les consoles de gestion actuelles.

Cette suppression vise à réduire la surface d’attaque et à encourager les administrateurs comme les utilisateurs avancés à migrer vers les outils les plus récents et mieux intégrés à l’écosystème Windows.

Nouvelles options pour gérer les applications préinstallées

Windows 11 25H2 introduit de nouvelles possibilités pour contrôler les applications fournies par défaut avec le système. Jusqu’à présent, certaines apps préinstallées du Microsoft Store ne pouvaient pas être facilement supprimées, ce qui compliquait la tâche des administrateurs en entreprise ou dans les environnements scolaires.

Avec cette version, Microsoft ajoute des options via Group Policy et MDM (Mobile Device Management) permettant de désinstaller ou bloquer certaines applications préinstallées. Cela offre aux administrateurs une meilleure maîtrise de l’image système déployée sur leurs parcs de machines, en supprimant les logiciels jugés superflus ou inadaptés à un usage professionnel.

Cette évolution répond à une demande récurrente des organisations, qui cherchent à réduire l’encombrement logiciel, améliorer la sécurité et standardiser les postes de travail. Elle s’inscrit dans la stratégie plus large de Microsoft visant à rendre Windows 11 plus modulable selon les besoins.

Support prolongé pour Windows 11 25H2

Un autre changement important introduit avec Windows 11 version 25H2 concerne la durée du support. Jusqu’ici, les éditions grand public bénéficiaient de 18 mois de mises à jour, tandis que les versions Entreprise et Éducation avaient droit à 30 mois. Avec cette nouvelle version, Microsoft étend ces délais : 24 mois de support pour Windows 11 Home et Pro, et 36 mois pour les éditions Entreprise et Éducation.

Cette évolution offre une plus grande visibilité et une meilleure stabilité pour les utilisateurs, en particulier dans les environnements professionnels où les cycles de déploiement sont longs et nécessitent une planification précise. Pour les particuliers, cela signifie aussi davantage de temps avant d’avoir à effectuer une mise à jour majeure, ce qui réduit les interruptions et améliore le confort d’utilisation.

En pratique, cette extension aligne Windows 11 25H2 sur les attentes des entreprises qui réclamaient un rythme de mise à jour plus souple, tout en restant dans la stratégie de Microsoft de proposer une version majeure de Windows chaque année.

AspectDétails
Date de sortieAutomne 2025 (sept–oct)
NatureMise à jour légère basée sur Germanium
Support24 mois (Home/Pro), 36 mois (Enterprise/Education)
Nouveautés possiblesPersonnalisation du menu Démarrer, agent IA dans les paramètres, USB‑C uniformisé, stabilité gaming
Objectif principalFiabilité et stabilité post-24H2 sans chamboulements

Nouveautés visuelles et ergonomiques (en test dans les builds Insider)

Même si Windows 11 25H2 ne propose pas de révolution par rapport à 24H2, plusieurs ajustements visuels et ergonomiques sont en cours de test dans les versions Insider.
Ces ajustements visuels devraient être progressivement généralisés, mais comme ils sont encore en phase de test, Microsoft pourrait décider d’en repousser certains à une mise à jour ultérieure.

Nouvelle barre latérale du menu Démarrer

Le menu Démarrer profite d’un nouveau design plus large, capable d’afficher davantage d’applications épinglées, ainsi qu’une section « Tout afficher » qui facilite l’accès à l’ensemble des logiciels installés. Autre évolution attendue : la possibilité de masquer la section « Recommandé », une option réclamée par de nombreux utilisateurs.

En complément des changements du menu Démarrer, une barre latérale enrichie fait son apparition. Elle permet d’accéder directement à certaines fonctionnalités comme les messages, appels et photos, renforçant l’intégration avec les services Microsoft et les appareils connectés.

Voir l’actualité : Windows 11 : le menu Démarrer fait peau neuve dans la dernière mise à jour (builds 26200.5641 et 26120.4250)

Le nouveau menu Démarrer avec intégration Android/iPhone et plus d'options de personnalisation

Mode sombre amélioré

Le mode sombre devient plus homogène, puisqu’il s’étend désormais aux boîtes de dialogue système et à certaines fenêtres jusque-là restées en thème clair. Cela améliore la cohérence visuelle et offre une meilleure expérience aux utilisateurs qui privilégient ce mode.

Horloge avec affichage des secondes

Enfin, un détail longtemps demandé fait son apparition : l’horloge de la barre des tâches peut désormais afficher les secondes, et ce même sur les écrans secondaires. Une nouveauté discrète, mais utile pour les environnements où la précision temporelle est importante.

Continuité et écosystème : intégration mobile et Android

Windows 11 25H2 poursuit le rapprochement entre PC et smartphone en améliorant la continuité des applications Android. Il devient possible de reprendre une application ouverte sur votre téléphone directement depuis la barre des tâches de Windows, grâce à une notification qui s’affiche sur le bureau.

Concrètement, si vous utilisez une messagerie ou une application de productivité sur Android, vous pouvez la retrouver instantanément sur votre PC sans avoir à la rouvrir manuellement. Cette intégration simplifie la transition entre mobile et ordinateur et renforce l’écosystème que Microsoft développe autour de Windows, notamment avec l’application Phone Link.

Cette évolution s’inscrit dans une tendance plus large visant à transformer Windows en un environnement central capable de fédérer vos usages, qu’ils soient locaux, cloud ou mobiles. Elle illustre aussi la stratégie de Microsoft face aux solutions concurrentes comme la continuité iOS/macOS d’Apple.

👉 A lire : Comment Microsoft introduit l’IA dans Windows 11

Windows Backup for Organizations

Avec Windows 11 25H2, Microsoft déploie plus largement son application Windows Backup, jusque-là surtout destinée aux particuliers, en l’intégrant désormais aux environnements professionnels et éducatifs. Baptisée Windows Backup for Organizations, cette version permet aux administrateurs IT d’assurer la continuité des profils utilisateurs dans les parcs de machines.

L’application prend en charge la sauvegarde des paramètres système, des applications du Microsoft Store, des fichiers personnels et des préférences utilisateur. Lorsqu’un appareil est réinitialisé, remplacé ou redéployé, l’utilisateur retrouve automatiquement son environnement personnalisé dès la phase d’OOBE (Out-of-Box Experience), sans configuration manuelle supplémentaire.

Cette intégration s’appuie sur Azure AD et Intune, ce qui permet aux entreprises de centraliser la gestion et de simplifier les migrations. Pour les grandes organisations, cela représente un gain de temps considérable et une réduction des coûts liés au support technique.

Avec cette évolution, Microsoft confirme sa volonté de rendre Windows 11 plus adapté aux déploiements en masse et de renforcer son attractivité pour les structures qui recherchent stabilité et facilité de gestion.

Nouvelles fonctions IA et accessibilité (aperçus Insider)

Certaines fonctionnalités testées dans les canaux Insider devraient accompagner Windows 11 25H2, même si toutes ne sont pas garanties dans la version finale. Microsoft continue d’investir dans l’intelligence artificielle et l’accessibilité, en particulier pour améliorer l’expérience au quotidien.

Du côté de l’IA, une nouvelle action baptisée « Décrire une image » permet de générer automatiquement une description pour un visuel, même hors connexion. Cette fonction vise autant l’accessibilité que la productivité, en aidant les utilisateurs à mieux exploiter leurs contenus multimédias. D’autres outils, comme un dictaphone vocal amélioré et des effets Studio étendus à davantage de caméras, sont également testés pour enrichir l’expérience multimédia et les appels vidéo.

En matière d’accessibilité, Windows 11 25H2 intègre de nouvelles options pour l’outil Narrateur et introduit un afficheur braille intégré à l’écran, offrant plus de flexibilité aux personnes malvoyantes. Ces améliorations viennent compléter les efforts déjà réalisés pour rendre Windows plus inclusif et adaptable aux besoins de chacun.

Ces ajouts confirment que, même si 25H2 est avant tout une mise à jour de consolidation, Microsoft en profite pour peaufiner l’ergonomie et pousser des innovations qui s’alignent avec sa stratégie d’IA générative et d’accessibilité universelle.

Recall nouvelles fonctionnalités innovantes introduites par Microsoft dans Windows 11

Récupération machine rapide : une remise en état accélérée des postes

Avec Windows 11 25H2, Microsoft met en avant une nouvelle capacité baptisée Récupération machine rapide (Quick Machine Recovery (QMR)). Destinée avant tout aux environnements professionnels et aux administrateurs IT, cette fonctionnalité permet de réduire considérablement le temps nécessaire à la remise en état d’un poste après un incident, une panne ou une réinstallation.

Le principe est de restaurer automatiquement la configuration système, les applications et les paramètres de l’utilisateur à partir d’une image standardisée ou d’une sauvegarde centralisée. L’objectif est d’éviter les longues procédures de réinstallation manuelle et de simplifier le redéploiement d’ordinateurs dans les grandes organisations.

Il est important de noter que la Récupération rapide de l’appareil n’est pas une exclusivité de Windows 11 25H2. La fonction est en réalité liée à la plateforme Germanium, introduite avec la version 24H2, et sera donc également disponible pour les appareils déjà mis à jour vers 24H2.

Pour les entreprises, QMR s’ajoute à d’autres outils comme Windows Autopilot et Windows Backup for Organizations, renforçant ainsi la stratégie de Microsoft de proposer des solutions de gestion et de récupération rapides dans les environnements modernes.

👉 Reportez-vous au guide complet : Récupération machine rapide de Windows 11 : activation, configuration et utilisation

"Récupération rapide de la machine" dans WinRE de Windows 11

Autres nouveautés de Windows 11 25H2

Voici quelques autres nouveautés :

  • Protection administrateur : une couche supplémentaire d’alerte visuelle apparaît lors de l’exécution d’applications non reconnues, renforçant la sécurité.
  • Prise en charge native des passkeys via 1Password : intégration fluide d’un gestionnaire de clés d’authentification sans mot de passe.
  • Journal IA texte/image : suivi des activités basées sur l’intelligence artificielle, utile pour comprendre les interactions récentes avec les services tiers.
  • Dictée fluide avec Voice Access : correction automatique de la grammaire, la ponctuation et les mots parasites lors de la dictée, sans besoin de connexion internet.
  • Studio Effects étendues à plus de caméras : prise en charge améliorée pour utiliser les effets visuels sur les caméras USB ou secondaires, notamment dans les configurations Copilot+.
  • Commandes au survol dans l’Explorateur : au passage de la souris sur un fichier, un menu contextuel s’affiche offrant des options comme « Ouvrir l’emplacement du fichier » ou « Demander à Copilot à propos de ce fichier ».
  • Windows 11 25H2 : enfin un moyen natif de désinstaller les apps Microsoft indésirables

Conclusion

Windows 11 25H2 ne bouleverse pas l’expérience utilisateur par rapport à la 24H2, mais confirme la stratégie de Microsoft d’avancer par petites étapes. Avec son déploiement via un enablement package, la mise à jour s’installe rapidement et sans réinstallation complète. Elle apporte surtout de la stabilité, supprime des composants obsolètes comme PowerShell 2.0 et WMIC, et introduit de nouveaux outils de gestion pour les entreprises.

Les utilisateurs particuliers verront surtout des ajustements visuels issus des builds Insider, comme l’évolution du menu Démarrer, un mode sombre plus homogène ou l’affichage des secondes dans la barre des tâches. Pour les professionnels, les apports concernent la durée de support prolongée, l’arrivée de Windows Backup for Organizations, et des politiques de gestion renforcées via Group Policy et MDM.

En parallèle, Microsoft continue d’expérimenter avec l’IA et l’accessibilité, confirmant que Windows évolue désormais dans une logique de service continu, où chaque mise à jour ajoute de petites briques plutôt qu’une révolution complète.

En résumé, Windows 11 25H2 est une version de consolidation, qui prépare le terrain pour les futures évolutions de l’OS tout en offrant plus de fiabilité et de contrôle aux utilisateurs comme aux administrateurs.

À retenir aussi :

  • Mise à jour progressive : Microsoft adoptera un déploiement échelonné, donc tous les utilisateurs ne recevront pas immédiatement la 25H2.
  • Compatibilité : les systèmes déjà compatibles avec 24H2 sont a priori prêts pour 25H2 — peu de nouveaux critères requis.
  • Fin de support imminent : Windows 10 sera abandonné en octobre 2025, rendant la transition vers 11 (et idéalement la 25H2).

FAQ

Quand sort Windows 11 25H2 ?

Windows 11 version 25H2 est attendue pour l’automne 2025. Elle est déjà disponible dans le canal Release Preview du programme Insider.

Quelle est la différence entre Windows 11 24H2 et 25H2 ?

Les deux reposent sur la même base de code (Germanium). La 25H2 se déploie via un enablement package : une mise à jour légère qui active les nouveautés déjà présentes dans 24H2, sans réinstallation complète.

Windows 11 25H2 apporte-t-il des nouveautés exclusives ?

Non, il n’y a pas de fonctionnalités exclusives. Cette version se concentre sur la stabilité, la suppression de composants obsolètes (PowerShell 2.0, WMIC), l’allongement du support et quelques ajustements visuels issus des builds Insider.

La configuration minimale change-t-elle avec Windows 11 25H2 ?

Non, la configuration minimale reste la même que pour Windows 11 24H2 : processeur compatible (Intel 8e gen, AMD Zen 2 ou plus récent), 4 Go de RAM, 64 Go de stockage, Secure Boot et TPM 2.0. La nouveauté concerne surtout les PC Copilot+, qui exigent un matériel plus récent, mais ce n’est pas lié à 25H2 en tant que tel.

Combien de temps Windows 11 25H2 sera-t-il supporté ?

Les éditions Home et Pro bénéficient de 24 mois de support, et les éditions Entreprise et Éducation de 36 mois.

Qu’est-ce que la “Récupération rapide de la machine” ?

La fonction Quick Machine Recovery (Récupération rapide de la machine) permet de restaurer rapidement un poste après une panne ou une réinstallation. Elle est disponible avec la plateforme Germanium, donc présente à la fois dans Windows 11 24H2 et 25H2.

Les joueurs verront-ils une différence avec Windows 11 25H2 ?

Non, aucune optimisation spécifique pour le gaming n’a été introduite. Les améliorations de performance étaient déjà intégrées à la version 24H2.

Source(s) : Pureinfotech

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Windows 11 KB5064080 (23H2) : nouvelles fonctionnalités et corrections importantes

Microsoft propose la mise à jour facultative KB5064080 (Build 22621.5840) pour Windows 11 version 23H2, une release preview accessible via Windows Update ou directement en téléchargement du fichier .msu depuis le Catalogue des mises à jour.

Cette mise à jour introduit en particulier la version généralement disponible de l’application Windows Backup for Organizations, auparavant réservée aux utilisateurs grand public. Elle permet aux entreprises de sauvegarder et restaurer les paramètres utilisateurs, les profils, les applications du Microsoft Store et les fichiers personnels, en se basant sur un compte Microsoft lié à Azure AD ou Intune Neowin+8Windows Latest+8Windows Forum+8. Grâce à cela, lorsque des appareils sont réinitialisés, remplacés ou redéployés, les utilisateurs retrouvent automatiquement leur environnement personnalisé au premier démarrage (OOBE).

Outre cette fonctionnalité majeure, KB5064080 corrige plusieurs problèmes pratiques qui pouvaient perturber l’expérience quotidienne : il améliore la fiabilité de la touche Copilot, fait respecter les politiques de stockage amovible pour bloquer l’accès aux clés USB, restaure l’affichage des invites « Ask to Use » de Family Safety, et rétablit le comportement attendu de l’Explorateur de fichiers lorsque la section « Récents » ne s’affichait pas correctement ou devenait lente en cas de synchronisation avec plusieurs sites SharePoint. Les partages SMB sur connexion QUIC gagnent en réactivité, les conflits entre déduplication et compression dans les volumes ReFS sont désormais résolus ; la reconnaissance des caractères Unicode étendus (important pour le standard GB18030‑2022, notamment en chinois ;) et les interactions avec Narrator et les caméras en session Bureau à distance ont également été améliorées.

À installer ou non ?

Cette mise à jour est non cruciale (preview), ce qui signifie qu’elle ne se télécharge pas automatiquement : elle est optionnelle et apparaît dans les mises à jour facultatives. Les administrateurs peuvent aussi choisir de l’installer manuellement via le fichier .msu.

En résumé

Avec KB5064080, Microsoft rend disponible l’outil Windows Backup for Organizations pour les environnements d’entreprise, simplifiant les déploiements et réinitialisations de Windows. En parallèle, des correctifs utiles au quotidien améliorent la stabilité, la cohérence de l’interface, les accès réseau et la compatibilité des pilotes et des interfaces niveau entreprise.

👉 Pour aller plus loin dans les nouveautés des mises à jour de Windows 11, consultez : Mise à jour Windows 11 24H2 KB5064081 : nouveautés et récupération

Source(s) : windowslatest.com

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Mise à jour Windows 11 24H2 KB5064081 : nouveautés et récupération

Microsoft a récemment publié la mise à jour cumulative KB5064081 (Build 26100.5074) pour Windows 11 version 24H2, accessible via le canal Release Preview ou en activant manuellement les mises à jour facultatives. Cette mise à jour propose un ensemble d’améliorations visuelles, fonctionnelles et basées sur l’IA, tout en incluant les installeurs hors ligne (.msu) pour un déploiement manuel facilité.

Parmi les nouveautés remarquables figure une page d’accueil repensée pour Recall AI, dotée d’une barre de navigation améliorée (Accueil, Historique, Feedback, Paramètres), ainsi que des sections pratiques comme Instantané récents et Applications et sites en vedette pour un accès plus fluide à vos activités récentes.

Un autre changement pratique concerne la barre des tâches, désormais équipée d’une horloge affichant les secondes, ce qui ajoute une touche de précision utile. Le Gestionnaire des tâches a également reçu une mise à jour concernant l’affichage de l’utilisation du processeur.

La personnalisation de l’écran de verrouillage a gagné en flexibilité : les widgets peuvent maintenant être redimensionnés, repositionnés ou supprimés à convenance, sans les restrictions géographiques précédentes a aussi été revisitée, apportant un design plus sobre et intuitif, avec une meilleure intégration des méthodes de connexion modernes comme les passkeys.

Pour suivre et installer la mise à jour

Vous pouvez installer KB5064081 directement via Windows Update en activant le mode « Obtenir les dernières mises à jour ». Microsoft propose également un accès direct aux fichiers d’installation .msu via le catalogue de mise à jour, ce qui est idéal pour une installation manuelle ou en entreprise.

En résumé

Cette version preview de KB5064081 enrichit Windows 11 avec :

  • Une interface Recall AI plus intuitive,
  • Une horloge avec secondes dans la barre des tâches,
  • Des améliorations visuelles utiles pour le Gestionnaire des tâches,
  • Plus de liberté pour personnaliser l’écran de verrouillage,
  • Une expérience Hello modernisée et fluide.

Ces ajouts rejoignent d’autres évolutions prévues pour la mise à jour 24H2, dont certaines sont repoussées à Patch Tuesday prochain.

👉 Du côté de Windows 11 23H2, vous pouvez consulter cette actualité : Windows 11 KB5064080 (23H2) : nouvelles fonctionnalités et corrections importantes

Source(s) : windowslatest.com

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Microsoft généralise l’app Sauvegarde Windows aux entreprises et corrige plusieurs bugs avec KB5064080

Microsoft vient de publier une mise à jour cumulative optionnelle pour Windows 11 (version 23H2), identifiée comme KB5064080 (build 22621.5840). Cette mise à jour marque la disponibilité générale de l’application Windows Backup for Organizations, jusque-là réservée aux utilisateurs grand public et aux tests. Elle devient désormais accessible dans les environnements d’entreprise et organisations, offrant une solution intégrée pour faciliter les transitions entre appareils, les migrations vers Windows 11 ou les déploiements de PC dotés d’IA embarquée, tout en assurant une continuité de productivité et une résilience opérationnelle renforcée.

Outre cette nouveauté stratégique, KB5064080 apporte également plusieurs correctifs ciblés. Parmi eux, l’amélioration de la fiabilité de la touche Copilot permet désormais de relancer l’assistant plus facilement. Les profils COSA dédiés aux opérateurs mobiles ont été mis à jour. La gestion des périphériques amovibles est rectifiée, notamment pour les politiques de blocage USB. Le système Family Safety affiche à nouveau correctement les fenêtres d’approbation (« Ask to Use ») lorsque des applications sont bloquées. Explorateur de fichiers et OneDrive/SharePoint offrent une navigation plus stable, l’affichage des dossiers en page d’accueil est corrigé, tout comme la lenteur du menu contextuel dans les bibliothèques stockées en ligne. Le partage via SMB sur QUIC est maintenant fluide, et le système de fichiers ReFS, lorsqu’il allie déduplication et compression, ne bloque plus l’ordinateur. Par ailleurs, les caractères Unicode étendus (notamment certains symboles chinois) s’affichent à nouveau correctement et les sessions à distance proposent enfin une prise en charge fluide des caméras nouvellement connectées.

En résumé

La mise à jour KB5064080 fait bien plus que déployer une fonctionnalité backup pour les entreprises : elle corrige une série de bugs affectant la gestion des périphériques, la sécurité familiale, l’interface Explorer, ReFS, et la connectivité en environnement distants. Si vous utilisez Windows 11 version 23H2, cette mise à jour optionnelle mérite toute votre attention.

Souhaites-tu que je rédige également une meta description optimisée ou un chapeau accrocheur à intégrer à cet article sur WordPress ?

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Comment être (presque) anonyme sur Internet ?

Qui n’a jamais rêvé d’être totalement invisible sur Internet ? Masquer son identité, éviter le pistage publicitaire, empêcher les géants du web, son FAI ou même certains États de savoir ce que l’on fait en ligne.

Mais la réalité est toute autre : l’anonymat absolu n’existe pas. Chaque action en ligne laisse des traces — adresse IP, cookies, empreinte du navigateur, comptes connectés, métadonnées — qui peuvent être exploitées pour dresser un profil.

L’objectif de ce guide n’est donc pas de vous promettre l’impossible, mais de montrer comment réduire au maximum votre exposition et améliorer votre confidentialité. Nous verrons quelles sont les limites des outils comme le VPN, le proxy ou Tor, comment fonctionne réellement le pistage, et quelles bonnes pratiques adopter pour rester presque anonyme en ligne.

Pour bien comprendre la nuance, consultez aussi : Anonymat vs Pseudonymat : les différences

Introduction : Peut-on être 100 % anonyme en ligne ?

L’anonymat absolu sur Internet est une idée séduisante… mais largement illusoire. Beaucoup pensent qu’il suffit d’utiliser un VPN, un proxy ou un navigateur privé pour disparaître des radars. En réalité, chaque connexion laisse une trace : adresse IP, cookies, empreinte du navigateur, comptes en ligne, métadonnées.

Il est donc impossible d’être totalement anonyme sur le web. En revanche, il est possible de réduire considérablement son exposition et de compliquer la tâche des acteurs qui cherchent à vous tracer : FAI, plateformes en ligne, publicitaires ou même certains États.
👉 À lire à ce sujet : Que savent les FAI de nous ? les risques sur la vie privée

Ce guide vous explique les notions clés pour comprendre ce qu’est (et n’est pas) l’anonymat en ligne, les limites des outils disponibles, ainsi que les bonnes pratiques pour améliorer votre confidentialité sans tomber dans les idées reçues.

Pour un rappel sur la différence entre anonymat et pseudonymat, consultez : Anonymat vs Pseudonymat : les différences

L’adresse IP, premier identifiant en ligne

L’adresse IP est la première donnée qui permet de vous identifier sur Internet. Elle agit comme une plaque d’immatriculation numérique : chaque fois que vous vous connectez à un site, votre IP est visible et peut être utilisée pour déterminer :

  • votre fournisseur d’accès à Internet (FAI),
  • votre zone géographique (ville ou région),
  • le type de connexion utilisé (ADSL, fibre, réseau mobile),
  • parfois même des informations indirectes sur votre appareil ou réseau.

Un site web ou un service en ligne peut donc déjà en savoir beaucoup sur vous simplement grâce à cette donnée de base.
Vous pouvez faire un simple test sur le site BrowserLeaks.

👉 Changer ou masquer son adresse IP (via un VPN, un proxy ou le réseau Tor) améliore la confidentialité, mais cela ne signifie pas que vous êtes anonyme pour autant : vos autres traces (cookies, comptes connectés, empreinte du navigateur) restent exploitables.

Pour comprendre en détail ce que révèle une adresse IP et ses limites en matière de confidentialité, consultez : Adresse IP et confidentialité.
Afficher son adresse IP et obtenir des informations de la connexion internet

Les serveurs d’anonymat et outils de dissimulation

Pour masquer son adresse IP et limiter la collecte de données, il existe plusieurs technologies appelées “serveurs d’anonymat”. Elles ne garantissent pas l’anonymat complet, mais elles contribuent à améliorer la confidentialité.

VPN

Un VPN (Virtual Private Network) crée un tunnel chiffré entre votre appareil et un serveur distant. Ainsi, le site que vous visitez ne voit que l’adresse IP du serveur VPN, pas la vôtre. Cela permet :

  • de masquer votre localisation réelle,
  • de sécuriser vos connexions sur les réseaux publics,
  • de contourner certaines restrictions géographiques.
Limite : un VPN ne rend pas anonyme. Le fournisseur VPN peut techniquement voir votre trafic et collecter certaines données. En clair, vous déplacez la confiance de votre FAI vers le service VPN. Pour plus de détails, lisez : VPN et anonymisation : les limites

👉 Pour un comparatif complet entre VPN, Proxy et Tor, consultez : VPN vs Tor : quel est le meilleur choix ?

Les VPN grands publics

Le réseau Tor

Le réseau Tor (The Onion Router) repose sur une chaîne de relais successifs qui chiffrent et acheminent vos communications à travers plusieurs serveurs. Chaque relais ne connaît que l’adresse de son voisin immédiat, ce qui rend l’identification beaucoup plus difficile.

Avantages :

  • Masque efficacement votre adresse IP.
  • Très utilisé par les journalistes, chercheurs et défenseurs des droits pour contourner la censure.

Limites :

  • Navigation plus lente à cause du passage par plusieurs relais.
  • Les nœuds de sortie (le dernier relais) peuvent potentiellement espionner le trafic non chiffré (HTTP).
  • Corrélation de trafic possible avec des moyens techniques avancés.

👉 Tor renforce la confidentialité, mais ne garantit pas un anonymat absolu. Pour aller plus loin : Tor est-il sûr et totalement anonyme ?

Schéma de fonctionnement du réseau tor

Les proxies

Un proxy agit comme un intermédiaire entre votre appareil et Internet : lorsque vous envoyez une requête, elle passe par le proxy avant d’atteindre le site cible. Cela permet de masquer votre adresse IP réelle et de contourner certaines restrictions géographiques (définition détaillée).

Utiliser un proxy pour masquer son adresse IP (anonymat)

Limites et risques

  • Mauvaise configuration : certains proxys ne respectent pas la confidentialité – ils peuvent injecter des en-têtes (comme X-Forwarded-For) ou divulguer votre IP, notamment lorsqu’ils ne masquent pas bien l’origine de la requête.
  • Sécurité douteuse (surtout avec les proxys gratuits) :
    • Ils capturent parfois les données que vous transmettez, y compris vos identifiants, mots de passe ou informations de paiement.
    • Certains sont hébergés sur des machines malveillantes ou compromises, pouvant introduire des malwares, injecter du code ou manipuler le contenu des pages (ex. cryptojacking, attaques MITM)
    • Une étude récente de 2024 a analysé plus de 640 000 proxies gratuits, révélant que moins de 35 % étaient fonctionnels, et que beaucoup présentaient des failles critiques de sécurité ou un comportement potentiellement malicieux.

En résumé

Les proxies peuvent être une solution légère pour changer d’IP, mais leur fiabilité et sécurité ne sont pas garanties, surtout lorsqu’ils sont gratuits ou non vérifiés. Il faut rester extrêmement prudent, car tout le trafic peut être intercepté, lu ou altéré.

Pour des utilisations plus sûres, privilégiez des proxys payants bien établis ou consultez la liste des meilleurs proxies gratuits — mais toujours avec vigilance.

Il reste toujours possible de vous tracer en ligne

Même si vous masquez votre adresse IP avec un VPN ou que vous utilisez Tor, de nombreuses techniques de pistage permettent encore de suivre vos activités en ligne. Ces méthodes sont massivement utilisées par les publicitaires, les réseaux sociaux et les grandes plateformes pour profiler les internautes.

Parmi les plus répandues :

  • Cookies et supercookies : fichiers stockés par votre navigateur pour mémoriser vos préférences… mais aussi pour tracer vos habitudes de navigation.
  • Empreinte numérique (fingerprinting) : chaque navigateur transmet un ensemble d’informations (langue, résolution d’écran, extensions, configuration système) qui, combinées, créent une signature presque unique.
  • Pistage via le DNS : vos requêtes DNS révèlent les sites que vous consultez. Si elles passent par votre FAI ou un résolveur non sécurisé, elles peuvent être exploitées à des fins de suivi.
  • Pixels espions et scripts tiers : intégrés dans les pages web et les e-mails, ils permettent aux annonceurs de savoir quand et où vous interagissez avec un contenu.
  • Liens et comptes en ligne : rester connecté à Google, Facebook, Amazon ou Microsoft permet à ces acteurs de recouper vos activités, indépendamment de votre IP.

👉 Pour en savoir plus sur ces pratiques, consultez notre dossier : Le pistage utilisateur (Web Tracking) sur Internet
👉 Et pour apprendre à vous en protéger (navigateur, extensions anti-tracking, DNS privés, etc.) : Comment se protéger du pistage sur Internet

Bonnes pratiques pour renforcer son anonymat

Même si l’anonymat total est hors de portée, il est possible de réduire considérablement son exposition en adoptant de bons réflexes au quotidien. L’idée n’est pas de disparaître complètement, mais de compliquer la tâche de ceux qui cherchent à vous tracer (publicitaires, plateformes, cybercriminels).

Voici quelques conseils concrets :

👉 Besoin d’une solution rapide pour masquer votre IP ? Ce tutoriel propose 4 méthodes efficaces (Tor, VPN, proxy, Wi‑Fi public) : Comment cacher son adresse IP : 6 façons
👉 Pour aller plus loin sur les protections spécifiques contre le suivi, consultez : Comment se protéger du pistage sur Internet

Les limites de l’anonymat absolu

Malgré l’usage de VPN, proxies, Tor ou de nombreuses précautions, l’anonymat complet reste inatteignable pour l’utilisateur lambda. Chaque action en ligne laisse une trace quelque part : chez votre fournisseur d’accès, chez le site web visité, dans les journaux des services tiers ou même via les métadonnées (horaires, volumes de données, localisation approximative).

Même les outils les plus avancés — comme Tor associé à Tails (un système d’exploitation éphémère orienté confidentialité) — ne garantissent pas un anonymat total. Les agences de renseignement disposent de moyens techniques puissants (corrélation de trafic, analyse globale des réseaux) capables d’identifier ou de profiler un utilisateur.

👉 La vraie question n’est donc pas “Comment être 100 % anonyme ?” mais plutôt “Anonyme vis-à-vis de qui ?”

  • D’un annonceur ou d’un réseau social, vous pouvez masquer une grande partie de vos activités.
  • D’un FAI ou d’un administrateur réseau, vous pouvez chiffrer et brouiller vos connexions.
  • Mais vis-à-vis d’un État ou d’une agence de renseignement, atteindre l’anonymat complet est pratiquement impossible.

En clair, l’anonymat sur Internet est un idéal théorique, mais la confidentialité et la réduction des traces restent des objectifs atteignables avec les bonnes pratiques.

Conclusion

L’anonymat total sur Internet est un mythe : chaque action laisse une trace, que ce soit via l’adresse IP, les cookies, le fingerprinting, les comptes en ligne ou encore les métadonnées. En revanche, il est possible de réduire considérablement son exposition et de compliquer le suivi en combinant plusieurs outils (VPN, proxy, Tor) et de bonnes pratiques de cybersécurité.

👉 Retenez surtout qu’un VPN ou Tor ne suffisent pas à eux seuls : la clé est dans l’ensemble de vos habitudes numériques (navigateur, DNS, gestion des comptes, hygiène informatique).

Pour approfondir :

L’article Comment être (presque) anonyme sur Internet ? est apparu en premier sur malekal.com.

KB5063878 Windows 11 : Microsoft confirme le problème lié à la demande d’administration AutoCAD, ainsi que le décalage audio-vidéo dans OBS NDI (MAJ)

Dans une précédente actualités, j’indiquais que la mise à jour Windows 11 KB5063878 était connu pour provoquer un bug d’installation (erreur (0x80240069) ainsi que des corruptions de disques SSD.
Microsoft a reconnu que la cumulative update KB5063878, sortie en août 2025 pour Windows 11 24H2 et étendue via KB5063709 sur Windows 10, introduit deux dysfonctionnements remarquables dans certains environnements professionnels et créatifs.

Problème lié à AutoCAD

Le premier affecte les utilisateurs d’AutoCAD. Dans des contextes comme les écoles ou laboratoires où les comptes sont standards, le lancement d’AutoCAD (et de produits associés comme Civil 3D ou Inventor) déclenche une fenêtre d’élévation UAC demandant les droits administrateur. Une annulation de cette demande entraîne une erreur MSI 1730, bloquant purement et simplement l’accès à l’application, ce qui impacte directement l’enseignement et les flux de travail partagés. Microsoft travaille avec Autodesk pour publier un correctif, mais recommande en attendant de retirer la mise à jour pour rétablir l’utilisation normale des logiciels concernés.

Advisory et contournement pour les flux NDI via OBS

Le second problème, bien documenté dans un précédent article, concerne le streaming via NDI et OBS, où les flux audio et vidéo deviennent saccadés, même en faible bande passante. Ce bug, imputé au protocole de transport RUDP, était déjà partiellement expliqué par Microsoft, qui proposait une solution temporaire via le panneau NDI Access Manager.
Ce dysfonctionnement découle du mode de réception NDI par défaut, basé sur le RUDP (Reliable User Datagram Protocol). Ce mode, bien que conçu pour la fiabilité, semble mal interagir avec les changements introduits dans KB5063878. En attendant une correction officielle, l’éditeur recommande de modifier temporairement la configuration dans l’outil NDI Access Manager, en passant du mode RUDP à un canal TCP unique ou au UDP standard. Microsoft indique que ce réglage rétablit immédiatement la fluidité des flux sur les configurations touchées.

En réponse, un advisory officiel invite les utilisateurs à modifier le mode de réception NDI depuis le panneau NDI Access Manager, en privilégiant TCP unique ou UDP standard.
Vous pouvez aussi procéder de cette façon :

  • Téléchargez et installez le pack NDI Tools gratuit.
  • Lancez l’application NDI Access Manager.
  • Accédez à l’onglet Avancé.
  • Modifiez le mode de réception en TCP ou UDP unique, puis appuyez sur OK.
  • Répétez l’opération sur tous les autres ordinateurs concernés.

Ce contournement permet de redonner immédiatement fluidité aux flux en attendant un correctif plus pérenne.

En résumé

La mise à jour KB5063878 engendre des dysfonctionnements avec le streaming via NDI, en particulier sur OBS. Le problème est lié au mode de réception des flux en RUDP. Microsoft propose un workaround efficace : passer en TCP ou UDP standard via l’NDI Access Manager, solution temporaire en attendant un correctif officiel.

Source(s) : Neowin

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Windows 11 (KB5066189) et Windows 10 (KB5066188) : correction du bug des fonctions de récupération

Suite aux mises à jour de sécurité d’août 2025, plusieurs utilisateurs de Windows 11 versions 23H2 et 22H2, ainsi que de Windows 10 (notamment 22H2 et certaines éditions LTSC), se sont trouvés dans l’impossibilité d’utiliser les fonctionnalités intégrées de restauration du système. Les options « Réinitialiser ce PC » et « Réparer avec Windows Update » échouaient systématiquement, interrompant le processus au redémarrage, sans perte de données—mais laissant le système sans issue de secours fiable.

Conscients de la gravité de la situation, notamment dans les environnements professionnels où ces outils sont cruciaux, Microsoft a immédiatement réagi en publiant des mises à jour hors cycle (out-of-band). Ces correctifs — KB5066189 pour Windows 11 et KB5066188 pour Windows 10 (ainsi que KB5066187 pour certaines éditions LTSC) — rétablissent la fonctionnalité de récupération et sont disponibles en tant que mise à jour optionnelle via Windows Update ou téléchargeable depuis le catalogue Microsoft Update.

Un porte-parole de Microsoft a précisé que ces mises à jour ne contiennent aucun correctif de sécurité supplémentaire par rapport aux patchs d’août, mais qu’il est fortement recommandé de les installer dès que possible si l’on prévoit d’avoir recours aux outils de récupération. En revanche, les systèmes exécutant déjà Windows 11 version 24H2 ne sont pas concernés par cette anomalie.

En résumé

L’incident, bien que n’ayant pas provoqué de perte de données directe, pourrait laisser un système bloqué sans possibilité de récupération si l’utilisateur avait besoin de restaurer ou de réinitialiser son PC. Les mises à jour KB5066189 et KB5066188 restaurent ces fonctions essentielles. Si vous utilisez Windows 11 version 23H2 ou Windows 10 sur les versions concernées, il est vivement conseillé d’installer ces correctifs immédiatement pour garantir une résilience en cas de problème système.

Source(s) : windowslatest.com

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Autorun Organizer : l’outil gratuit pour contrôler les programmes lancés au démarrage

Lorsque trop de programmes se lancent automatiquement au démarrage de Windows, le système devient lent à charger et consomme inutilement de la mémoire et du processeur. Bien sûr, il est possible de gérer ces applications via le Gestionnaire des tâches, mais les options restent limitées.

C’est là qu’intervient Autorun Organizer, un logiciel gratuit et simple d’utilisation. Il permet non seulement de désactiver ou supprimer des programmes au démarrage, mais aussi de retarder leur lancement pour fluidifier le boot, et d’analyser leur sécurité grâce à l’intégration de VirusTotal.

Dans ce tutoriel, nous allons découvrir comment télécharger, utiliser et tirer parti des fonctionnalités d’Autorun Organizer afin de contrôler efficacement les programmes qui ralentissent le démarrage de Windows.

Télécharger et installer Autorun Organizer

  • Téléchargez l’installateur depuis ce lien :
  • Lancez le fichier .exe puis suivez les instructions de l’assistant d’installation.
  • À la fin, vous pouvez choisir de créer un raccourci sur le bureau pour y accéder plus facilement.
Autorun Organizer existe aussi en version portable, qui ne nécessite pas d’installation. Il vous suffit de décompresser l’archive et de lancer l’exécutable. Cette version est idéale si vous souhaitez utiliser l’outil sur plusieurs PC sans l’installer à chaque fois (clé USB, dépannage rapide, etc.).

Découverte de l’interface

Une fois installé et lancé, Autorun Organizer affiche une interface simple et intuitive.

Au premier démarrage, vous pouvez passer l’utilitaire en Français, pour ce faire :

  • Cliquez sur l’icône trois points en haut à droite
  • Puis allez dans Settings
  • À gauche, clique sur « Language« 
  • Puis sélectionnez « French » dans la liste
Passer en français Autorun Organizer
  • Validez par OK, le logiciel va redémarrer pour prendre en compte les modifications

L’écran principal présente la liste de tous les programmes configurés pour se lancer automatiquement au démarrage de Windows.

  • Liste des programmes au démarrage : chaque ligne correspond à une application ou un service. Vous pouvez voir son nom, son chemin d’installation et son statut (activé, désactivé, retardé). En outre la colonne Commentaire indique l’emplacement dans le système (registre, tâche planifiée, etc). Plus de détails : Points de chargement de Windows (autoruns) : analyse, détection et nettoyage
  • Impact estimé sur le démarrage : Autorun Organizer évalue le poids de chaque programme sur le temps de boot. Les applications les plus lourdes sont signalées, ce qui permet d’identifier rapidement celles qui ralentissent Windows.
  • Actions disponibles : en un clic droit, vous pouvez désactiver, supprimer ou retarder le lancement d’un programme.
  • Outils supplémentaires : en bas de l’interface, vous trouverez des informations utiles comme la durée moyenne du démarrage et des suggestions pour améliorer la fluidité.
Contrairement au Gestionnaire des tâches de Windows, Autorun Organizer conserve un historique et permet de revenir en arrière facilement si vous avez désactivé un programme par erreur.
Interface d'Autorun Organizer

Désactiver ou supprimer des programmes au démarrage

L’un des principaux atouts d’Autorun Organizer est de vous donner un contrôle précis sur les programmes qui se lancent automatiquement avec Windows.

Désactiver un programme

  • Cliquez droit sur l’application dans la liste.
  • Choisissez Désactiver.
  • Le programme restera installé et toujours listé, mais il ne se lancera plus au prochain démarrage. Cela se traduit par le nom barré depuis la liste

C’est la meilleure option pour tester sans risque. Vous pouvez facilement réactiver un programme si vous constatez que sa désactivation gêne le fonctionnement d’un logiciel.

Désactiver un programme au démarrage de Windows

👉 Voir aussi ce tutoriel complet : Supprimer ou désactiver les programmes au démarrage de Windows (11, 10)

Supprimer définitivement une entrée de démarrage

  • Cliquez droit sur l’application à supprimer.
  • Sélectionnez Retirer
  • L’entrée est définitivement retirée de la liste des programmes lancés au démarrage.

Utilisez cette option uniquement si vous êtes sûr de ne plus vouloir de ce lancement automatique. L’application reste installée, mais ne se relancera plus jamais au boot sauf si vous la réactivez manuellement.

Autorun Organizer met en évidence les programmes rarement utilisés ou suspects, ce qui vous aide à décider lesquels désactiver ou supprimer en priorité.
Supprimer définitivement une entrée de démarrage

Réactiver un programme désactivé

Si vous avez seulement désactivé une entrée (et non supprimé) :

  • Repérez l’application dans la liste — elle apparaît généralement grisée avec l’état Désactivé.
  • Faites clic droit dessus puis choisissez Désactivé (ce dernier s’affiche une coche indiquant qu’il est en état désactivé).
  • Redémarrez Windows pour que la modification soit prise en compte.

Cas particulier : si vous aviez supprimé l’entrée de démarrage (et pas seulement désactivé), il faudra recréer le lancement automatique depuis les options du logiciel concerné (ou le réinstaller) ; Autorun Organizer ne pourra pas réactiver une entrée qui n’existe plus.

Réactiver un programme désactivé du démarrage

Analyser l’impact des programmes et identifier ceux à désactiver

Autorun Organizer analyse vos programmes et peut vous suggérer de désactiver certaines entrées rarement utilisées. Cela permet de repérer rapidement les logiciels qui n’ont pas besoin d’être lancés à chaque démarrage.

  • En bas, cliquez sur « Affichage » dans la partie « Afficher quels programmes sont souvent désactivés« 
  • Une colonne « Fréquence de la désactivation/retard » s’ajoute. Un graphique vert permet d’identifier le pourcentage d’utilisateurs qui ont désactivé cette entrée. Quant au graphique jaune, il donne le pourcentage d’utilisateur qui ont configuré un retard
Afficher la fréquence de désactivation/retard des applications au démarrage

Retarder le lancement des programmes

Une fonction particulièrement pratique d’Autorun Organizer est la possibilité de retarder le démarrage de certains programmes.

Pourquoi retarder un programme ?

Au démarrage de Windows, tous les logiciels configurés pour se lancer simultanément consomment simultanément du processeur et de la mémoire. Cela peut créer une saturation et ralentir l’ouverture du bureau.
En retardant certains logiciels non essentiels, vous laissez Windows démarrer plus rapidement, puis les applications se lancent automatiquement quelques minutes après.

Exemple : plutôt que de charger Dropbox ou OneDrive immédiatement au démarrage, vous pouvez les lancer après 1 ou 2 minutes, une fois que Windows est complètement opérationnel.

Quels bénéfices attendre ?

  • Démarrage plus rapide et fluide, car Windows charge moins de programmes en même temps.
  • Moins de saccades ou de lenteurs immédiates après l’ouverture de session.
  • Plus de confort, surtout si votre PC a peu de mémoire vive ou utilise encore un disque dur mécanique.

Comment configurer un délai dans Autorun Organizer

  • Faites un clic droit sur l’application dans la liste.
  • Sélectionnez : « Chargement retardé pour…« 
Configurer un délai de retard pour différer le chargement d'une application dans Autorun Organizer
  • Indiquez le temps de délai souhaité (par exemple 1 minute ou 120 secondes).
Configurer un délai de retard pour différer le chargement d'une application dans Autorun Organizer
  • Validez et redémarrez Windows pour constater le résultat.

Vérification et sécurité des programmes au démarrage

Autorun Organizer ne se contente pas de gérer les programmes au démarrage : il intègre aussi des outils de vérification pour sécuriser vos choix et éviter toute erreur.

Vérifier un programme avec VirusTotal

Autorun Organizer intègre un contrôle automatique via VirusTotal. Chaque programme peut être analysé en ligne et comparé à une vaste base de données regroupant des dizaines d’antivirus. Si une entrée est suspecte ou malveillante, elle est signalée comme potentiellement dangereuse. Cette vérification permet ainsi de repérer facilement les logiciels indésirables ou installés à votre insu.

Voici comment faire :

  • Cliquez en haut à droite sur le bouton trois points
  • Puis activez l’option « Envoyer les programmes inconnus pour analyse« 
Vérifier un programme avec VirusTotal
  • Depuis la liste des programmes au démarrage, cliquez sur celui qui vous intéresse
  • En bas, cliquez sur le message « l’analyse VirusTotal est désactivée, cliquez-ici pour l’activer« 
  • Cela va ouvrir les conditions d’utilisation, cliquez sur OK pour les accepter
  • Dorénavant, en sélectionnant une entrée, vous aurez le taux de détection du fichier et en cliquant dessus, vous pouvez ouvrir l’analyse sur le site Virustotal
Vérifier un programme avec VirusTotal

Détection des entrées obsolètes ou inutiles

Le logiciel signale également les entrées de démarrage cassées ou obsolètes (programmes désinstallés, mais dont les raccourcis restent actifs). Cela inclut aussi les entrées des programmes rarement utilisés.
Ces entrées inutiles peuvent ralentir le démarrage et générer des messages d’erreur. Avec Autorun Organizer, vous pouvez les supprimer en toute sécurité.

Précautions à prendre

  • Ne désactivez pas les services système critiques (ex. pilotes graphiques, antivirus, mises à jour Windows).
  • En cas de doute sur un programme, privilégiez la désactivation plutôt que la suppression : vous pourrez toujours le réactiver facilement.
  • Si un programme est identifié comme suspect par VirusTotal, supprimez-le de la liste et effectuez un scan complet avec un antivirus.
  • Si vous avez un doute sur un programme, privilégiez la désactivation temporaire plutôt que la suppression définitive.
  • Vérifiez les résultats dans les redémarrages suivants : si tout fonctionne correctement, vous pouvez envisager une suppression plus radicale.
Avec ces vérifications, Autorun Organizer vous aide à garder un démarrage propre tout en réduisant les risques liés à des logiciels indésirables.

Mesurer le temps de démarrage et consulter l’historique

Le logiciel conserve un historique du temps de démarrage de Windows. Vous pouvez ainsi voir si vos optimisations ont un effet réel et suivre l’évolution des performances au fil du temps.

  • En bas, allez dans l’onglet « Temps de démarrage« 
  • Puis cochez : « Mesurer chaque temps de démarrage du système« 
  • Cliquez sur « Redémarrer et mesurez« 
Mesurer le temps de démarrage du PC et afficher l'historique
  • Au prochain lancement d’Autorun Organizer, vous aurez le temps de démarrage du système et leurs historiques
Mesurer le temps de démarrage du PC et afficher l'historique

👉 Reportez-vous à ce guide complet : Analyser le temps de démarrage de Windows

Conclusion

Autorun Organizer est un outil gratuit, léger et efficace pour reprendre le contrôle des programmes lancés au démarrage de Windows. Contrairement à l’outil intégré du système, limité à la simple désactivation, il propose des fonctions avancées comme :

  • La désactivation temporaire ou définitive des entrées.
  • La possibilité de retarder le lancement de certains logiciels pour fluidifier le démarrage.
  • L’analyse de sécurité via VirusTotal.
  • Des suggestions automatiques et un historique des performances.

Facile à utiliser, il conviendra aussi bien aux utilisateurs débutants qu’aux plus avancés, désireux d’alléger leur système et d’améliorer le confort au quotidien.

👉Pour aller plus loin dans l’optimisation du démarrage, découvrez aussi nos autres guides :

En résumé, Autorun Organizer est une solution idéale pour un démarrage plus rapide et un système plus fluide. Et, si vous avez besoin d’un contrôle encore plus poussé, Autoruns reste la référence incontournable.

Ressources utiles et articles liés

L’article Autorun Organizer : l’outil gratuit pour contrôler les programmes lancés au démarrage est apparu en premier sur malekal.com.

Une mise à jour de Windows 11 24H2 pourrait endommager certains disques : Microsoft enquête

Un incident préoccupant a été rapporté suite à l’installation d’une récente mise à jour de Windows 11 (24H2) : certains SSD et disques durs HDD présenteraient des signes de défaillance, allant jusqu’à la corruption de données en conditions d’usage intensif. Les premières observations, relayées par un passionné japonais et analysées par Neowin, montrent que des disques disparaissent du système et que leur état SMART devient illisible, surtout après des opérations d’écriture soutenues dépassant 50 Go ou une charge de contrôle de plus de 60 %.

Ce dysfonctionnement survient notamment sur des SSD NVMe dotés de contrôleurs Phison, en particulier les modèles sans mémoire DRAM intégrée. Des disques d’entreprise ont également semblé touchés dans certains cas. Les symptômes réapparaissent après un redémarrage : la visibilité du disque revient temporairement, sans corriger la cause sous-jacente.

Il est possible que le problème soit lié au cache du contrôleur ou à une fuite mémoire dans le buffer du système d’exploitation. Les tests avancent que la modification du Host Memory Buffer (HMB), jadis décriée dans d’autres incidents (notamment sur WD SN770), ne résout pas le problème. Cela rappelle un précédent similar détecté en octobre 2024, avec un correctif toujours inopérant depuis.

Selon une mise à jour, Phison indique avoir été alerté de cette situation affectant plusieurs SSD, et s’emploie déjà à évaluer les microcontrôleurs concernés avec ses partenaires pour préparer un correctif ou une mise à jour firmware adaptée.

Phison a récemment été informé des effets à l’échelle de l’industrie des mises à jour « KB5063878 » et « KB5062660 » sur Windows 11, qui ont potentiellement affecté plusieurs périphériques de stockage, y compris certains pris en charge par Phison. Nous comprenons les perturbations que cela a pu causer et avons rapidement contacté les acteurs concernés du secteur.

Nous sommes fermement engagés à garantir l’intégrité de nos produits et la réussite de nos partenaires et utilisateurs finaux. À l’heure actuelle, les contrôleurs susceptibles d’avoir été affectés sont en cours d’examen et nous travaillons en collaboration avec nos partenaires. Nous continuerons à fournir des mises à jour et des avis aux partenaires qui pourraient avoir été affectés afin de leur apporter notre soutien et de garantir toute mesure corrective applicable.

À retenir

La mise à jour 24H2 de Windows 11, distribuée en août 2025, pourrait entraîner des risques sérieux pour certains disques en conditions d’écriture intensive. Une vigilance particulière est recommandée pour ceux qui traitent de gros volumes de données, que ce soit en bureautique avancée ou en usage créatif. Si vous êtes concerné, surveillez les updates firmware publiés par les fabricants comme Phison, et assurez une bonne sauvegarde régulière de vos données critiques.
Notez que KB5063878 pose d’autres problèmes évoqués dans cet article : KB5063878 Windows 11 : Microsoft confirme le problème lié à la demande d’administration AutoCAD, ainsi que le décalage audio-vidéo dans OBS NDI.

Source(s) : Neowin.net

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Windows 11 KB5063878 (0x80240069) : bug d’installation et solution pour les entreprises

La mise à jour cumulative KB5063878, déployée le 12 août 2025 dans le cadre du Patch Tuesday pour Windows 11 version 24H2, a connu des ratés pour certains administrateurs systèmes. Microsoft a reconnu un dysfonctionnement d’installation via WSUS (Windows Server Update Services) ou SCCM (System Center Configuration Manager), provoquant une erreur 0x80240069 lorsqu’on tentait l’application du correctif depuis ces plateformes.

Heureusement, ce problème ne concerne quasiment que les environnements professionnels. Microsoft indique que les utilisateurs privés sont peu concernés, puisque ces derniers ne passent pas par WSUS pour appliquer les mises à jour.

Pour les entreprises affectées, l’éditeur a fourni une solution temporaire. Il s’agit d’un Known Issue Rollback (KIR) à déployer via une stratégie de groupe (Group Policy), que les administrateurs peuvent appliquer pour contourner le bug et permettre l’installation de KB5063878. Les instructions précises sont disponibles sur le site Microsoft.

Le 17 août 2025, Microsoft a annoncé la résolution définitive du problème. Il n’est plus nécessaire d’appliquer le rollback via la stratégie de groupe. Les utilisateurs concernés sont invités à actualiser leur serveur WSUS pour récupérer la mise à jour corrigée et l’installer normalement.

En résumé

Microsoft confirme que la mise à jour KB5063878 de Windows 11 24H2 peut échouer sur les systèmes gérés par WSUS ou SCCM à cause d’une erreur 0x80240069. Pour y remédier rapidement dans les organisations, un correctif temporaire via Known Issue Rollback était disponible. Aujourd’hui, le souci est réglé, et la mise à jour peut être installée sans intervention manuelle depuis le serveur de mise à jour.

Source(s) : Neowin.net

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Windows 11 KB5063878 : performances renforcées, recherche intelligente et récupération automatique

Le 12 août 2025, Microsoft a lancé la mise à jour cumulative KB5063878 (build 26100.4946) pour Windows 11 version 24H2. Présente dans Windows Update et disponible en téléchargement manuel via le catalogue MSU, cette mise à jour devient progressivement obligatoire sur de nombreux PC.

Cette nouvelle version corrige notamment des problèmes de stabilité apparus après les correctifs de mai 2025, responsables de baisse de performances observées dans certains jeux, comme une chute du nombre d’images par seconde dans Fortnite. Le retour à une fluidité meilleure est confirmé dans les premiers tests.

Un ensemble d’améliorations s’accompagne également d’une mise à jour du servicing stack (SSU) pour garantir une installation des mises à jour plus fiable, ainsi que de correctifs de sécurité pour renforcer la protection du système.

Intelligence intégrée et récupération automatique

Dans un souci de rendre l’expérience Windows plus intuitive, le champ de recherche des paramètres est désormais centré en haut de l’application. Sur les machines Copilot+, ce champ ne se contente plus de proposer des résultats statiques : il devient un assistant AI, capable de suggérer des réglages pertinents en réponse à des questions courantes. Par exemple, une demande comme « comment faire durer la batterie, car j’ai cours demain » affichera directement des options dédiées à l’économie d’énergie.

Plus important encore, Microsoft a activé Quick Machine Recovery (QMR), un outil conçu pour automatiquement corriger un PC incapable de démarrer, en cherchant des solutions dans le cloud et en les appliquant sans intervention manuelle. Destiné à éviter les situations critiques provoquant des BSODs répétés, QMR est désormais actif par défaut sur les Windows 11 Home, tandis que les éditions Pro et Entreprise peuvent l’activer via Intune. Pour comprendre son fonctionnement et ses capacités, notre article dédié sur le sujet peut vous éclairer davantag.

Autres ajouts notables

L’interface de jeu s’enrichit aussi : le clavier tactile passe en mode contrôleur amélioré. Il devient possible de naviguer via un gamepad, saisir un code PIN et accéder aux menus sans clavier physique—une avancée pensée pour les futurs appareils gaming portables.

Enfin, attention à la diffusion du Black Screen of Death (BSOD), nouvelle incarnation esthétique et moderne de l’écran bleu tristement célèbre. Plus minimaliste et design, il peut toutefois être confondu avec un écran de mise à jour—prudence recommandée en cas d’écran sombre inattendu.

En bref

La mise à jour KB5063878 marque une étape clef pour Windows 11 24H2. Elle rétablit des performances altérées, introduit une assistance intelligente dans les paramètres, automatise la récupération du système via QMR et jette les bases d’une expérience pensée pour les futures plateformes de jeu. Installez-la dès que possible pour profiter d’un système plus robuste, sécurisé et résilient.

Source(s) : windowslatest.com

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Benchmarks 2025 : Windows 11 dépasse Windows 10 dans les usages intensifs et les applications IA

Alors que le support de Windows 10 prendra fin en octobre 2025, les dernières mesures de performance montrent clairement pourquoi il est temps de migrer vers Windows 11. Les tests menés en 2025 soulignent des différences notables dans certains usages, en particulier les charges CPU intensives et les applications d’intelligence artificielle.

Les résultats montrent que, malgré quelques victoires ponctuelles de Windows 10 – notamment dans des benchmarks très exigeants comme Time Spy Extreme – c’est Windows 11 qui domine en majorité. En jeu, il peut prendre jusqu’à 55 % d’avance sur certains titres avec une configuration optimisée Ryzen 9 9950X3D. Les charges de productivité IA, à l’image du modèle Phi 3.5, confirment la supériorité de Windows 11, avec des écarts pouvant atteindre 46 %

Test de performance 2025 - Windows 11 vs Windows 10 (3DMark 720p)

Ces performances confirment les déclarations de Microsoft selon lesquelles Windows 11, optimisé pour les PC récents, offrirait une expérience jusqu’à trois fois plus rapide, notamment grâce à une meilleure gestion mémoire, un scheduler plus efficace et des pilotes adaptés à l’IA embarquée (via les PC Copilot+ et les Neural Processing Units).
👉 A ce sujet : Microsoft affirme que Windows 11 est jusqu’à trois fois plus rapide que Windows 10, et met l’accent sur la sécurité

Pour autant, il ne faut pas s’y tromper : l’idée reçue selon laquelle réinstaller Windows 11 redonnerait systématiquement des performances significativement meilleures est largement remise en cause. Des tests récents montrent que sur des ordinateurs bien entretenus, avec un usage quotidien, une réinstallation ne procure que des gains marginaux, voire parfois aucun, même sur des scénarios exigeants comme Adobe Premiere ou des titres lourds en GPU.
👉 A lire : Réinstaller Windows 11 pour booster les performances ? Les tests cassent le mythe

En conclusion

Les benchmarks 2025 montrent que Windows 11 s’impose comme la plateforme la plus puissante, surtout dans les environnements CPU et IA intensifs, confirmant les ambitions affichées par Microsoft. Toutefois, la tentation de “réinstaller régulièrement Windows 11” pour améliorer les performances appartient à une logique dépassée : une maintenance soignée et régulière demeure le meilleur levier pour garder une machine performante sur le long terme.

Source(s) : Neowin

À lire :

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Windows 11 : supprimer le message « Presque terminé la configuration de votre PC » à l’ouverture de session

À chaque ouverture de session, Windows 10 et Windows 11 peuvent afficher un message intrusif du type :
« Vous avez presque terminé la configuration de votre PC ».

Ce message, présenté comme une recommandation, pousse l’utilisateur à activer certaines fonctionnalités Microsoft (OneDrive, Cortana, Windows Hello, etc.). Bien qu’il ne soit pas dangereux, il est souvent perçu comme gênant, voire trompeur, surtout après une mise à jour majeure ou une réinstallation du système.

Heureusement, il est tout à fait possible de désactiver ce message de manière définitive, que vous utilisiez Windows Famille (Home) ou Windows Professionnel (Pro). Dans cet article, nous vous montrons étape par étape comment supprimer ce message à l’ouverture de session, que ce soit via les Paramètres, l’Éditeur de stratégie de groupe, ou le Registre Windows.

Désactiver le message « Presque terminé la configuration de votre PC »

Méthode 1 : via les Paramètres de Windows

  • Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + I. Sinon d’autres méthodes dans le tutoriel suivant : Comment ouvrir les paramètres de Windows 11
  • Ensuite, allez dans Système > Notifications.
  • Défilez vers le bas jusqu’à Paramètres supplémentaires.
  • Décochez la case : « Suggérer des moyens de tirer le meilleur parti de Windows et de terminer la configuration de cet appareil »
Désactiver "Suggérer des moyens de tirer le meilleur parti de Windows et de terminer la configuration de cet appareil"

Cette option empêche Windows de t’afficher ce message après certaines mises à jour ou lors d’une nouvelle installation.

👉 Pour aller plus loin : Supprimer les publicités dans Windows 11 et Guide Windows 11 : 10 configurations à appliquer

Méthode 2 : via le Registre (Windows Familles ou autre)

⚠ Sauvegardez le registre avant toute modification.

HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\UserProfileEngagement

Double-clique sur la valeur ScoobeSystemSettingEnabled

  • Passez la valeur à 0
  • Si elle n’existe pas, crée-la en valeur DWORD 32 bits (Clic droit / Nouveau > D-WORD 32-bits)
  • Fermez l’Éditeur du Registre et redémarrez le PC pour prendre en compte les modifications
Supprimer le message « Presque terminé la configuration de votre PC » à l’ouverture de session dans le registre Windows

Méthode 3 : En PowerShell

  • Appuyez sur le raccourci clavier  + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis :
    • Sur Windows 11 : sélectionnez : « Terminal Windows (admin)« . Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
    • Sur Windows 10 : choisissez ;  » Windows Powershell (admin)« 
  • Copiez-Coller la commande suivante :
New-ItemProperty -Path "HKCU:\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\UserProfileEngagement" -Name "ScoobeSystemSettingEnabled"-PropertyType DWord -Value 0 -Force
  • Enfin, redémarrez votre appareil
Désactiver le message « Presque terminé la configuration de votre PC » en PowerShell

Ressources utiles et articles liés

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Windows 11 24H2 : ce bug agaçant du curseur enfin corrigé avec la mise à jour de juillet 2025 (KB5062660)

Depuis le lancement de Windows 11 version 24H2 en octobre 2024, de nombreux utilisateurs signalent un comportement erratique du curseur de souris. Malgré une configuration réglée sur la taille la plus petite (« 1 »), le curseur apparaît parfois disproportionné après une mise en veille ou un redémarrage. Ce problème, jamais explicitement reconnu par Microsoft, a enfin été résolu avec la mise à jour optionnelle de juillet 2025 (KB5062660) : le curseur ne change plus de taille de manière aléatoire au retour du mode veille.

La source du bug était liée à un défaut dans la gestion du paramètre de taille enregistré par l’interface de curseur. Même lorsque la taille était réglée correctement via le curseur des paramètres, Windows ignorait ce choix après l’activation ou la sortie du veille, affichant un pointeur beaucoup plus grand que prévu. Il suffisait souvent de modifier temporairement la taille à une valeur inférieure ou supérieure puis de revenir à « 1 » pour restaurer l’état normal.

Ce comportement n’était pas qu’anecdotique. Il gêne particulièrement les utilisateurs ayant besoin d’une précision visuelle ou reposant sur des fonctionnalités d’accessibilité. Un curseur trop grand rend la sélection de texte complexe et peut perturber des actions de routine, comme les sélections au sein d’applications graphiques ou bureautiques.

Windows Latest, après avoir testé l’installation de KB5062660, confirme que le bug a disparu : le curseur reste désormais conforme à la position définie dans les paramètres, même après plusieurs cycles de veille et redémarrage. Cette résolution interviendra automatiquement pour tous les utilisateurs concernés à compter du Patch Tuesday d’août 2025, prévu le 12 août 2025, lorsque cette correction sera intégrée dans une mise à jour générale.

Malgré l’ampleur du problème chez certains utilisateurs, Microsoft n’a jamais reconnu officiellement ce dysfonctionnement dans ses notes de mise à jour ou sur les canaux de support. L’éditeur continuait à vanter la stabilité de Windows 11 24H2, alors que des forums comme Microsoft Answers, Reddit et les communautés HP regorgeaient de témoignages décrivant le curseur s’affichant systématiquement trop grand après chaque démarrage, même lorsque le réglage restait sur “1”.

En résumé

Ce bug du curseur, bien que non critique au niveau fonctionnel, a été une source de frustration pour de nombreux utilisateurs dépendants d’un affichage précis. Avec la mise à jour optionnelle de juillet 2025 (KB5062660), ce problème est enfin résolu. Pour en profiter dès maintenant, il suffit d’installer manuellement cette mise à jour ; sinon, le correctif sera distribué automatiquement lors de la mise à jour d’août.

Source(s) : windowslatest.com

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