SpaceX réussit un amerrissage historique avec le premier étage du Starship
Le quatrième vol d'essai du Starship a permis à SpaceX de boucler une nouvelle avancée : faire revenir de façon maîtrisée le premier étage de sa fusée géante dans l'océan.
Le quatrième vol d'essai du Starship a permis à SpaceX de boucler une nouvelle avancée : faire revenir de façon maîtrisée le premier étage de sa fusée géante dans l'océan.
Elon Musk est connu pour ses prédictions beaucoup trop optimistes et très souvent mensongères. Un site a décidé de s'attaquer au « charlatanisme » du milliardaire en recensant toutes les paroles en l'air du patron de Tesla et de Twitter.
Pour assurer le futur du télescope spatial Hubble, l'agence spatiale américaine a validé un nouveau plan de fonctionnement. Désormais, l'engin ne comptera que sur un seul gyroscope. Le second encore fonctionnel sera gardé en réserve.
Le vaisseau Starliner de Boeing rencontre deux autres fuites d'hélium, en plus de celle déjà détectée avant le décollage. La capsule devrait néanmoins parvenir à s'amarrer à la Station spatiale internationale.
C'est au début du mois de juin que SpaceX prévoit de faire décoller pour la quatrième fois son immense fusée Starship. Le décollage est attendu précisément le 6 juin 2024. Sur le papier, le lanceur doit réussir son décollage et son retour contrôlé sur Terre. De son côté, le vaisseau spatial doit finir sa course dans l'océan Indien.
Le télescope spatial Hubble a atteint un âge très honorable. S'il est toujours actif, des dysfonctionnements sont régulièrement rapportés. Il y en a eu un de plus fin mai. La Nasa est sur le coup pour rétablir l'observatoire. La science, en attendant, est en pause.
Le programme spatial chinois est à l'aube d'une réussite historique. Après un alunissage sur la face cachée de la Lune avec la mission Chang'e 6, un exploit déjà réalisé avec Chang'e 4, le pays s'apprête à procéder à un retour d'échantillons de ce côté de la Lune. Ce sera alors inédit.
La crédibilité de Boeing est en jeu avec ses difficultés dans les avions, mais aussi dans le spatial. Pour la énième fois, l'entreprise américaine a dû renoncer au vol de sa capsule Starliner lors d'une mission habitée vers l'ISS. Un nouveau tir est attendu le 5 juin.
Lego commercialise un tableau à l'effigie de la Voie lactée. Objet de collection à accrocher au mur, il se distingue par son inventaire de pièces assez improbables. Il souligne une fois encore l'ingéniosité de l'entreprise danoise.
La conquête spatiale a plus de soixante ans. Une histoire dans laquelle le nucléaire n'est jamais bien loin. C'est ce que rappelle cet article de The Conversation, en montrant les différentes pistes étudiées ou envisagées.... pour le meilleur et pour le pire.
Dans le cadre d’un partenariat avec l’agence spatiale américaine, la société Boeing va mener un vol d’essai habité avec la capsule Starliner. À bord, deux astronautes, qui doivent rejoindre la Station spatiale internationale. La mission Boe-CFT peut être suivie en direct.
L'agence spatiale américaine (Nasa) approuve le décollage de la mission Boe-CFT de Boeing en direction de l'ISS, le 1er juin 2024. Cela, alors qu'une fuite d'hélium a été repérée dans le véhicule qui transporte deux astronautes.
L'année 2024 doit être l'année d'une capacité spatiale retrouvée pour l'Europe. Ariane 6 doit faire ses débuts au cours de l'été, tandis que Vega-C doit redevenir opérationnelle en fin d'année.
L'Agence spatiale européenne, en association avec son homologue japonaise, va envoyer une satellite d'observation de la Terre dans la nuit du 28 au 29 mai. C'est une fusée Falcon 9 de SpaceX qui sera utilisée. Selon l'ESA, c'est sa mission la plus complexe dans ce domaine.
SpaceX prévoit deux grandes manœuvres lors du 4e vol du Starship, dont une rentrée délicate du vaisseau spatial dans l'atmosphère terrestre.
Les étoiles massives ne sont pas censées disparaître du jour au lendemain : leur mort s'accompagne d'un phénomène observable, les supernovas.
La fenêtre de tir du lanceur Starship se rapproche. Tout indique que le 4e vol de la fusée aura lieu au tout début du mois de juin. Objectif principal de SpaceX ? Survivre à la rentrée atmosphérique.
Ça y est, la vénérable sonde spatiale Voyager 1 de la NASA refait parler d’elle ! Après des mois de silence radio qui ont fait transpirer les ingénieurs, notre exploratrice de l’espace lointain a enfin daigné donner de ses nouvelles puisque pour la première fois depuis le 14 novembre 2023, elle renvoie des données utilisables sur l’état de santé de ses systèmes embarqués. Ils respirent mieux à la NASA.
Il faut dire que la mission nous a offert quelques sueurs froides ces derniers temps car depuis cette date, elle continuait bien à recevoir et exécuter les commandes envoyées depuis la Terre, mais impossible d’obtenir en retour des infos cohérentes sur son fonctionnement. Alors les enquêteurs du Jet Propulsion Laboratory de la NASA ont mené l’enquête et ont fini par identifier le coupable : un des trois ordinateurs de bord, le fameux « flight data subsystem » (FDS) responsable de la transmission des données, était en cause. Un seul circuit défectueux qui stocke une partie de la mémoire du FDS avec une portion cruciale du logiciel… et bim, panne générale avec perte des trames de données !
Pas évident de réparer ça à des milliards de kilomètres de distance et comme souvent, quand on ne peut pas changer le hardware, il faut ruser avec le software. L’équipe a alors élaboré un plan génial : découper le code incriminé et le stocker à des endroits différents de la mémoire du FDS. Un vrai casse-tête type jeu de « Mémory » pour recoller les morceaux correctement sans faire sauter la banque mémoire !
Puis banco ! Premier essai le 18 avril, ils transfèrent le nouveau code maison spécial « télémétrie de l’état des systèmes » dans la mémoire du FDS et environ 45 heures plus tard, en comptant les 22h30 de trajet aller-retour du signal radio, les ingénieurs reçoivent les précieuses données tant attendues.
Yes !!! Voyager 1 est de retour aux affaires et recommence à parler de sa santé !
Regardez comme ils sont contents à la NASA :
Outre le soulagement de voir la communication rétablie, c’est une belle prouesse technique et un formidable pied-de-nez à l’obsolescence programmée. Pas mal pour une sonde lancée en 1977 et qui fête ses 46 ans ! Quand on vous dit que le matériel était bien meilleur à l’époque. 😉😜
Maintenant l’équipe du JPL va pouvoir se consacrer aux prochaines étapes à savoir relocaliser petit à petit les autres bouts de code du FDS pour retrouver une configuration nominale, puis renouer avec la transmission des données scientifiques et le but premier de la mission, à savoir explorer les confins de l’espace interstellaire !
Pendant ce temps, sa petite sœur Voyager 2, lancée 16 jours plus tard en 1977, poursuit tranquillement sa route aux frontières du système solaire sans faire de vagues. Une fiabilité à toute épreuve pour ces deux merveilles technologiques qui auront marqué l’histoire de l’exploration spatiale qui avant même de s’aventurer dans le « grand vide » interstellaire, nous ont offert des clichés époustouflants de Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Et qui sait, peut-être qu’un jour, elle captera peut-être un signal extraterrestre ou tombera nez-à-nez avec une civilisation alien super évoluée technologiquement…
Vers l’infini et au delà, les amigos !