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French Days PC portables 2024 : les promos les plus intéressantes

Les French Days ont déjà commencé ! Si vous n'avez pas encore profité des promotions offertes par les différentes enseignes, il est encore temps. Ces dernières bradent les prix de nombreux produits high-tech, notamment les ordinateurs portables. Pour vous faire gagner du temps, nous avons sélectionné pour vous les meilleures offres.

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French Days smartphones 2024 : les bons plans mobiles à ne pas manquer

À l'occasion des French Days 2024, vous avez l'opportunité de vous procurer un grand nombre de produits à prix réduit. C'est par exemple l'occasion rêvée de changer de smartphone, surtout si le vôtre se fait vieux, à un prix réduit. De nombreuses enseignes proposent en effet de très belles promotions.

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French Days Cdiscount 2024 : voici les bonnes affaires les plus intéressantes

Durant les French Days de printemps 2024, Cdiscount offre d'importantes réductions sur une large sélection de produits. Pour vous aider à dénicher rapidement les meilleures offres, nous avons sélectionné les promotions les plus avantageuses du célèbre site français.

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MSI Claw : un pilote qui booste les perfs, un firmware qui simplifie les futures mises à jour

MSI vient de mettre à jour sa console portable dernier cri, la Claw. Celle-ci bénéficie de nouveaux pilotes pour son GPU et firmware, permettant une amélioration globale de la machine en ce qui concerne les mises à jour et les performances.

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French Days Rue du Commerce 2024 : notre sélection des meilleurs bons plans

Les French Days ont déjà commencé sur Rue du Commerce ! Profitez de cette occasion idéale pour remplacer vos équipements à prix réduit. Découvrez notre sélection des meilleures offres, disponibles uniquement durant cet événement.

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Le Snapdragon X Elite va alimenter les PC IA haut de gamme de Dell et Microsoft

Les futurs PC portables pensés pour l'intelligence artificielle vont tirer partie des performances du Snapdragon X Elite. Alors que la Surface Laptop 6 de Microsoft se dévoile, Dell préparerait un Inspiron 14 Plus utilisant également le SoC de Qualcomm.

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WeTransfer intègre un nouveau système de paiement qui va plaire à tous les créatifs

Avis aux créatifs de tout poil : WeTransfer vient de sortir l’artillerie lourde pour vous faciliter la vie ! Fini le temps où vous deviez courir après vos paiements comme un poulet sans tête puisque maintenant, vous allez pouvoir vendre vos petites merveilles directement sur la plateforme. C’est ti pas beau ça ?

En effet, ces derniers ont intégré un paiement via Stripe (il vous faudra donc un compte Stripe), ce qui permet à n’importe qui de recevoir son dû en un clin d’œil, sans se prendre la tête avec des changements de devises. Et si vous êtes abonné payant à WeTransfer vous n’aurez pas de frais supplémentaires, à part les frais de traitement des paiements standards de Stripe. Pour les autres, pas de panique, vous aurez un accès gratuit aux paiements intégrés sans frais de plateforme supplémentaires jusqu’à fin juin, ce qui permettra de tester. Et après, faudra raquer un peu.

Le fonctionnement est simple comme bonjour :

  1. Connectez-vous à votre compte WeTransfer
  2. Sélectionnez et uploadez le fichier que vous souhaitez vendre
  3. Dans la section « Demander un paiement« , fixez un prix en entrant un montant en euros.
  4. Partagez le lien WeTransfer avec votre client par email, réseaux sociaux ou tout autre canal de communication
  5. Quand votre client clique sur le lien et télécharge le fichier, il devra d’abord soumettre un paiement. Vous pouvez suivre les paiements et gains dans votre compte.

Pour voir ce que ça donne, je vous ai mis un fichier surprise à 20 balles. Ne l’achetez pas.

En tout cas, moi je trouve ça super malin de leur part. WeTransfer est en train de se positionner comme le meilleur ami des créatifs, en leur offrant une solution simple et efficace pour monétiser leur travail, comme ça fini le temps des galères, des paiements en retard et des nuits blanches à se demander si on va pouvoir payer le loyer. Maintenant, on upload, on vend, et on passe à autre chose !

Si tu payes pas, t’as pas le livrable. Simple, basique.

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GitHub Copilot Workspace – L’environnement de dev piloté par l’IA !

J’espère que vous êtes bien installés dans votre cockpit, parce que GitHub nous a reservé une sacrée surprise : Copilot Workspace, un environnement de développement nouvelle génération entièrement propulsé par l’IA.

Vous connaissez sûrement déjà GitHub Copilot, ce fidèle acolyte qui nous assiste depuis l’année dernière en nous soufflant des suggestions de code directement dans votre IDE, et bien avec Copilot Workspace, GitHub veut carrément révolutionner la façon de concevoir des logiciels.

L’idée est simple : vous exprimez ce que vous voulez faire en langage naturel, comme si vous discutiez avec votre pote développeur et Copilot Workspace vous aide à transformer votre concept en réalité, étape par étape.

Par exemple, si vous avez une idée de fonctionnalité à ajouter à votre projet, vous ouvrez Copilot Workspace, vous saisissez une description de ce que vous voulez faire, et hop ! L’IA analyse votre requête, génère un plan d’action détaillé, et vous guide tout au long du processus de développement.

Brainstorming, planification, implémentation, tests… Chaque phase est assistée par Copilot Workspace qui vous fera des suggestions, répondra à vos questions, et automatisera un maximum de tâches fastidieuses, le tout de manière transparente et collaborative.

Le top du top, c’est que tout est « steerable » comme ils disent chez GitHub. Cela veut dire que vous gardez le contrôle à tout moment et chaque suggestion de l’IA peut être affinée, modifiée ou rejetée selon vos désirs. Bref, vous restez le pilote et Copilot n’est que votre copilote (et gardez votre culotte) !

D’ailleurs, Copilot Workspace vous permet d’orienter le système via le langage naturel à 2 endroits : en modifiant la spécification (une description de la base de code actuelle et de l’état souhaité) et en modifiant le plan (une liste d’actions à entreprendre dans chaque fichier). Cela vous permet de guider le système vers la solution que vous souhaitez mettre en œuvre. Cette capacité de pilotage est essentielle, car elle permet aux développeurs de dépasser les limites de la taille des suggestions, en imitant la façon dont ils travaillent sur des problèmes réels. Cela se traduit par un code généré plus précis et plus facile à évaluer.

Une fois votre code écrit, vous pouvez le valider et l’exécuter directement dans l’environnement, histoire de vérifier que tout roule comme sur des roulettes. Chaque Copilot Workspace permet une synchronisation en direct avec les Codespaces, ce qui vous permet d’ouvrir un terminal, d’installer des dépendances et d’exécuter votre code directement depuis l’espace de travail. Et si vous avez besoin d’outils plus avancés, hop, vous basculez dans un Codespace pour retrouver une expérience d’IDE complète dans le cloud, avec un serveur exécutant VS Code.

Côté collaboration, vous pouvez partager un instantané de votre Workspace avec vos petits camarades en un clic, pour recueillir leur feedback ou les laisser expérimenter leurs propres idées. S’ils font partie de la preview technique, ils pourront même forker votre Workspace et itérer dessus. Par contre, si vous apportez des modifications à votre Workspace après l’avoir partagé, ces changements ne seront pas reflétés dans la version partagée. Il faudra alors partager un nouveau lien pour transmettre la dernière mouture.

Et le plus chouette, c’est que Copilot Workspace est accessible de partout, même depuis votre smartphone. Comme ça, la prochaine fois que vous avez une illumination en faisant vos courses, vous pourrez directement la prototyper depuis le rayon fromages du supermarché !

Avec cette annonce, GitHub affiche clairement son ambition : démocratiser le développement logiciel en le rendant plus intuitif, plus naturel, plus humain en somme. Leur vision à long terme c’est un monde où tout le monde peut coder aussi simplement qu’on fait du vélo et je dois dire que je suis plutôt emballé par cette perspective puisque je fonctionne déjà comme ça pour mes projets de dev grâce notamment à Cursor.

Sous le capot, Copilot Workspace est propulsé par le modèle GPT-4 Turbo, que les équipes de GitHub ont jugé le plus performant pour cette tâche après avoir testé de nombreuses alternatives. D’ailleurs, c’est intéressant de comparer Copilot Workspace avec les autres fonctionnalités de la gamme Copilot.

Là où Copilot vous aide à écrire du code en faisant des suggestions au fur et à mesure que vous tapez, et où Copilot Chat permet de discuter des changements potentiels, Copilot Workspace est un véritable environnement de développement orienté tâches, qui planifie et rédige des modifications coordonnées sur plusieurs fichiers. Chacun de ces outils a son utilité, et ils se complètent à merveille.

GitHub a surtout compris l’importance d’impliquer les développeurs dans cette aventure. C’est pour ça qu’ils lancent Copilot Workspace en technical preview, histoire de recueillir un maximum de feedback et d’itérer en fonction. Si ça vous tente de jouer les beta-testeurs, c’est par ici pour vous inscrire !

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Surveillance et anonymat – la CJUE chamboule la donne

Vous connaissez tous notre amie Hadopi, cette bonne vieille haute autorité qui veille au grain sur les internets français pour protéger les pauvres ayants droits en coupant la connexion des vilains pirates que vous êtes ?

Et bien figurez-vous que ces joyeux drilles viennent de se voir offrir un joli cadeau par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).

Anéfé, la Cour vient de rendre un arrêt le 30 avril 2024 qui inverse sa précédente jurisprudence sur la question de l’accès aux données personnelles des internautes, et notamment aux fameuses adresses IP.

Avant, c’était motus et bouche cousue, seuls les cas de criminalité grave pouvaient justifier qu’on aille fouiner dans ces données sensibles. Mais maintenant, la CJUE autorise, sous certaines conditions, l’accès massif et automatisé à l’adresse IP associée à l’identité civile et au contenu d’une communication, sans contrôle préalable systématique par un juge ou une autorité administrative indépendante. C’est une sérieuse entaille dans le mur de la vie privée en ligne.

Hadopi est aux anges, forcément. Elle va pouvoir traquer plus facilement les vilains pirates, même si un contrôle judiciaire reste nécessaire dans certains cas. Un petit coup de fil aux FAI, et hop, voilà toutes les infos perso sur qui télécharge quoi.

Big Brother is watching you, comme dirait l’autre.

Alors OK, officiellement, c’est pour la « bonne » cause, lutter contre le piratage, tout ça mais on sait bien comment ça marche. Aujourd’hui, on autorise l’accès à votre nom, prénom et le contenu qui enfreint la loi, et demain, ce sera d’autres infos plus sensibles. D’autant que la CJUE dit aussi que bon, si les États ne jouent pas le jeu et n’appliquent pas ses décisions, elle finira par céder. C’est un peu con pour une institution censée faire respecter le droit.

Bref, c’est un coup dur pour l’anonymat en ligne, même s’il ne disparaît pas totalement. Ça risque de faire tache d’huile. Les assoces comme La Quadrature du Net sont déjà sur le pied de guerre, mais le mal est fait. Va falloir croiser les doigts pour que ça ne donne pas trop d’idées à nos chers dirigeants…

En attendant, un conseil : soyez prudents. Évitez de trop en faire sur les réseaux P2P, chiffrez vos données, sécurisez vos connexions…etc. Et si vous voulez en savoir plus sur le sujet et soutenir ceux qui se battent, allez faire un tour sur le site de la Quadrature, c’est toujours instructif.

Ruviki – Quand le Kremlin réécrit Wikipedia à sa sauce

Vous pensiez que Wikipedia était un havre de savoir libre et ouvert à tous ?

Détrompez-vous ! En Russie, le gouvernement vient de frapper un grand coup en clonant l’encyclopédie collaborative pour en faire une version légèrement différente, histoire de réécrire l’Histoire à sa sauce.

Fini Wikipedia, place à Ruviki ! Enfin quand je dis Ruviki, c’est en fait une version modifiée de Wikipedia en russe (Wikipedia RU) mais sans les articles qui dérangent. Bref, appelez ça comme vous voulez, le principe reste le même : on prend l’encyclopédie, on vire tout ce qui nous plaît pas, et voilà, on a une Wikipedia sous stéroïdes made in Kremlin. Pratique.

Concrètement, ce projet Ruviki a été initié par Vladimir Medeyko, président de Wikimedia.ru (la version russe de la Wikimedia Foundation). Les articles sur les « agents étrangers » (comprenez tous ceux qui osent émettre une opinion sur le gouvernement sans être sponsorisés par Poutine himself), les scandales impliquant des représentants du gouvernement ou encore les rapports sur la torture dans les prisons russes ont comme par magie disparu ! Pouf ! Envolés les « détails » qui fâchent.

Mais le plus drôle dans l’histoire, c’est que même les articles sur des sujets à priori sans rapport y passent. Prenez par exemple l’article sur « 1984 » de George Orwell. Bizarrement, toute mention du « Ministère de la Vérité », l’institution chargée de la propagande et de la réécriture de l’Histoire dans le roman, s’est volatilisée de Ruviki. Étonnant, non ?

Et ne croyez pas que seuls quelques articles sont concernés. D’après une analyse du chercheur Constantine Konovalov, ce sont plus de 200 000 caractères qui ont été modifiés ou supprimés dans les articles sur la liberté d’expression, 150 000 sur les droits humains, 96 000 sur les prisonniers politiques et 71 000 sur la censure. Ça en fait de la réécriture !

Le plus ironique dans tout ça, c’est que les autorités russes présentent ce Ruviki comme une version « fiable » et « neutre » de Wikipedia. Ben voyons… C’est sûr que quand on vire tout ce qui nous arrange pas, ça devient vite plus « neutre ». Dans le genre révision historique de niveau olympique, on n’a pas fait mieux depuis l’invention du correcteur liquide.

Et comme si ça suffisait pas, la véritable Wikipedia en russe est désormais bannie en Russie. Circulez, y a plus rien à voir ! Seule la version tronquée made in Kremlin est autorisée. C’est ballot, les Russes vont devoir se contenter d’une réalité quelque peu… alternative.

Mais bon, après tout, c’est pas comme si la Russie était réputée pour sa transparence, sa liberté d’expression et son amour de la vérité vraie. Alors une encyclopédie sous contrôle étatique, c’est bien pratique pourj le gouvernement qui ne fera plus de nuits blanches en se demandant si un article compromettant va être publié.

La prochaine fois que vous consulterez Wikipedia, ayez une petite pensée pour nos amis Russes qui, eux, devront se contenter de la version caviardée… (et c’est pas du Beluga)

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