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Installer MDT sur Windows Server 2022 pour déployer Windows 11 24H2
Comment installer un serveur MDT sur Windows Server 2022 pour déployer Windows 11 24H2 via le réseau sur des machines ? Réponse dans ce tutoriel pas à pas.
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Microsoft améliore son offre de Cloud souverain pour l’Europe, avec Microsoft 365 Local
Avec Microsoft Sovereign Cloud, Microsoft veut séduire l'Europe avec de vraies solutions pour un Cloud souverain, à commencer par Microsoft 365 Local.
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Rufus 4.9 est disponible avec un correctif pour les ISO non officiels de Windows
Bon plan – 15% de réduction sur le mini PC Geekom IT13 Édition 2025 avec un Intel Core i9
Le mini PC Geekom IT13 2025 Edition bénéficie d'une réduction de 15% grâce à ce code promo exclusif, soit une remise pouvant atteindre 119 euros.
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Comment masquer la barre des tâches sur le second écran dans Windows 11
Vous utilisez plusieurs écrans sous Windows 11 et souhaitez masquer ou supprimer la barre des tâches sur votre second moniteur pour améliorer votre confort d’utilisation et votre espace de travail ? Bonne nouvelle : Windows 11 offre plusieurs options simples et avancées pour gérer l’affichage de la barre des tâches en mode multiécrans.
Dans cet article clair et pratique, découvrez étape par étape comment désactiver facilement la barre des tâches sur votre écran secondaire, personnaliser son comportement via le Registre Windows (regedit), ou encore utiliser des solutions avancées et des utilitaires tiers comme ExplorerPatcher ou StartAllBack. Vous trouverez également des solutions efficaces aux problèmes courants liés à la gestion des barres multiples dans Windows 11, afin d’optimiser votre expérience multi-écrans.
Comment masquer la barre des tâches sur le second écran dans Windows 11
Méthode rapide depuis les paramètres
- Faites un clic droit sur la barre des tâches, puis cliquez sur « Paramètres de la barre des tâches ».
- Dans la fenêtre qui s’ouvre, cliquez sur « Comportements de la barre des tâches » pour afficher les options supplémentaires.

- Décochez l’option « Afficher ma barre des tâches sur tous les affichages ».

Dès que cette option est décochée, la barre des tâches disparaîtra immédiatement du second écran, et restera visible uniquement sur l’écran principal.
Via le registre Windows
Si la méthode standard depuis les paramètres Windows ne suffit pas ou ne fonctionne pas correctement, il existe des astuces avancées pour masquer ou personnaliser la barre des tâches sur votre second écran dans Windows 11.
- Sur votre clavier, appuyez sur les touches
- Puis saisissez regedit et OK. Plus de détails : comment accéder au registre Windows
- Puis accédez à la clé suivante :
HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Explorer\Advanced
- Modifiez la valeur
MMTaskbarEnabled
(DWORD) à :0
pour désactiver la barre des tâches sur les écrans supplémentaires.1
pour activer la barre des tâches sur tous les écrans.

- Après modification, relancez la session utilisateur ou redémarrez l’explorateur de Windows depuis le gestionnaire de tâches. Vous pouvez manuellement le faire en suivant ce tutoriel : Comment redémarrer explorer.exe de Windows 10, 11
Avec un logiciel tiers
Il existe également des utilitaires tiers comme ExplorerPatcher ou StartAllBack, qui offrent des réglages avancés et détaillés pour personnaliser complètement la barre des tâches sur chaque écran, y compris le masquage total, partiel ou contextuel selon l’écran actif.
Liens
- Comment travailler sur deux écrans sur le même PC
- Double écran : comment choisir sur quel écran s’ouvre une application
- Comment faire un double écran sur Windows 10, 11
- Comment basculer une fenêtre active d’un écran à un autre sur Windows 10, 11
- Comment configurer un fond d’écran panoramique sur deux écrans sur Windows 10
- Résoudre le deuxième écran non détecté sur un PC en Windows 10
- Définir des fonds d’écran différents sur plusieurs écrans dans Windows 10/11
- Optimiser son double écran avec Dual Monitor Tool (DTC)
- Comment connecter son ordinateur à sa TV
- Connecter son PC sur TV sans fil (Miracast)
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Discord : une faille dans le système d’invitation exploitée pour délivrer des malwares !
Découvrez comment une faille dans le système de liens d'invitation Discord permet aux pirates de distribuer des malwares et piéger les utilisateurs.
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Manifest V3 Chrome : quel impact sur les bloqueurs de publicité (Adblock, uBlock) ?
Depuis 2023, Google Chrome a progressivement imposé Manifest V3, une nouvelle norme technique pour les extensions de navigateur. Ce changement important modifie profondément la manière dont les extensions interagissent avec le navigateur, impactant directement les bloqueurs de publicités tels que Adblock ou uBlock Origin. Avec Manifest V3, Google promet une sécurité renforcée, une meilleure confidentialité et des performances accrues. Cependant, ces modifications limitent fortement les capacités des bloqueurs de publicités populaires, réduisant leur efficacité à filtrer et bloquer certaines publicités complexes.
Dans cet article, j’examine en détail ce qu’est Manifest V3, comment il impacte précisément vos extensions anti-pub préférées et quelles alternatives restent disponibles pour continuer à naviguer sereinement et sans publicité invasive sur le web.
Qu’est-ce que Manifest V3 et quels sont les principaux changements introduits ?
Imposé début 2025 à toutes les extensions de Chrome, manifest V3 définit comment les extensions interagissent avec le navigateur internet.
Il succède à Manifest V2, introduit en 2012. Ce manifeste régit les autorisations, les méthodes de gestion de réseau, la sécurité, la performance et le comportement général des extensions.
Principaux changements introduits par Manifest V3
Abandon de WebRequest :
Sous Manifest V2, les bloqueurs de publicités pouvaient analyser, filtrer, bloquer chaque requête réseau dynamiquement.
Manifest V3 supprime la possibilité d’intervenir en temps réel sur le trafic réseau et la remplace par l’API DeclarativeNetRequest (DNR), plus statique et avec des règles prédéfinies.
Manifest V3 impose un cadre plus strict sur la manière dont les extensions accèdent aux données utilisateur (cookies, historique, mots de passe, stockage local). L’accès est désormais plus explicite et granulaire.
Limitation du nombre de règles :
Manifest V3 limite strictement le nombre de règles pouvant être chargées en même temps (jusqu’à 30 000 règles par défaut, extensible jusqu’à 300 000).
Cela réduit significativement les capacités des bloqueurs de publicité avancés, comme uBlock Origin.
Restrictions renforcées sur l’accès aux données :
Les extensions ont désormais moins accès direct aux données sensibles des utilisateurs, réduisant les risques liés à la vie privée et la sécurité.
Performance et sécurité accrues :
Limiter l’accès aux données et le traitement dynamique du réseau améliore globalement la performance et la sécurité du navigateur.
Pourquoi Google impose Manifest V3 dans Chrome ?
Plus de sécurité
Google argumente que Manifest V2 présente des risques de sécurité liés à l’accès puissant et dynamique que certaines extensions ont aux données utilisateur et au trafic réseau. Manifest V3 est conçu pour limiter ces risques.
En réduisant le traitement direct et détaillé des données réseau par les extensions, Google affirme mieux protéger la confidentialité des utilisateurs.
Les extensions malveillantes du type « stealers » exploitent généralement la puissance d’anciennes API (Manifest V2), qui leur permettaient d’accéder en temps réel à la totalité des requêtes réseau ou aux données sensibles stockées dans le navigateur, telles que cookies, mots de passe ou jetons de session.
L’abandon de l’API WebRequest rend beaucoup plus difficile pour une extension malveillante d’intercepter discrètement des jetons de connexion ou des données personnelles via des requêtes réseau, mais également d’accéder silencieusement aux données sensibles (cookies, mots de passe stockés), sans que l’utilisateur soit averti.
Avant, les extensions pouvaient aisément injecter du JavaScript dans chaque page visitée pour détourner les résultats de recherche, afficher des publicités ou rediriger.
De plus, Manifest V3 restreint les capacités d’une extension à manipuler en profondeur les résultats des moteurs de recherche (injecter des résultats sponsorisés ou trompeurs).
Cela peut aussi affecter les extensions de détournement de navigateur (« hijackers ») changent généralement le moteur de recherche, la page d’accueil, ou insèrent des publicités intrusives dans les pages visitées.
Toutefois, Manifest V3 ne résout pas entièrement le problème :
- Des extensions malveillantes pourront toujours contourner certaines limites par des méthodes alternatives (demander explicitement certaines permissions sensibles, utiliser des tactiques sociales pour tromper les utilisateurs, etc.).
- Des voleurs de cookies ou mots de passe peuvent encore utiliser des techniques comme capturer des données saisies via des permissions obtenues de façon abusive ou en détournant des mécanismes légitimes.
Meilleure performance
Google souhaite que les extensions aient un impact moindre sur la consommation mémoire et les performances générales du navigateur.
Officieusement : Gagner la guerre contre les Adblock ?
Les extensions tierces traditionnelles (uBlock Origin classique, Adblock Plus, etc.) voient leurs fonctionnalités réduites comme sur Chrome et ses dérivés.
En effet, le résultat général pour les bloqueurs publicitaires tiers est une réduction de leurs capacités, avec :
- Cette API impose un modèle de règles déclaratives pré-chargées au démarrage. Autrement dit, elle demande à l’extension de spécifier à l’avance les règles de blocage (URLs, domaines, ressources spécifiques).
- Moins de règles de blocage disponibles simultanément.
- Un blocage moins dynamique et plus statique. Elle interdit à l’extension de modifier dynamiquement les requêtes réseau en temps réel comme pouvait le faire l’API WebRequest.
- Une efficacité globale diminuée contre les publicités complexes ou les scripts de tracking avancés.
De ce fait, Google peut très facilement contourner les Adblock dans YouTube grâce à des publicités complexes.
Même si Google ne l’admet pas ouvertement, le passage à Manifest V3 affaiblit les bloqueurs de publicité tiers, renforçant potentiellement les revenus publicitaires de Google, qui restent son principal modèle économique.
Ce n’est pas la première fois que Google utilise son moteur de recherche avec une part de marché prépondérante pour imposer des standards sur internet.
Critiques et controverses autour de Manifest V3
Manifest V3 suscite une large controverse :
Critique | Explication concrète |
---|---|
![]() | Moins de règles et blocage moins dynamique : les publicités deviennent plus difficiles à bloquer efficacement. |
![]() | Les utilisateurs et développeurs perdent la possibilité d’utiliser des solutions plus avancées et personnalisées. |
![]() | Manifest V3 renforce indirectement la domination commerciale de Google, limitant potentiellement la liberté de choix des utilisateurs. |
Comment Manifest V3 impacte les navigateurs internet comme Brave, Edge, Vivaldi ou Opera
Manifest V3, impulsé par Google pour Chrome, affecte aussi fortement les autres navigateurs basés sur Chromium comme Brave, Edge, Vivaldi ou Opera, mais avec des approches nuancées selon chaque éditeur.
Sur les navigateurs alternatifs (Firefox, Brave, Vivaldi, Opera), uBlock Origin classique reste disponible tant que ces navigateurs maintiendront le support MV2.
En juin 2025, Microsoft Edge suivra également avec un délai pour les entreprises.
Voici un tableau des adoptions et impact pour l’utilisateur.
Navigateur internet | Adoption Manifest V3 | Impact utilisateur final | Action |
Edge | ![]() | Modéré à élevé (solution interne limitée) | Edge propose en compensation son propre bloqueur intégré « Tracking Prevention » qui limite le pistage et bloque les publicités, mais avec des fonctionnalités plus limitées que les extensions avancées |
Brave | ![]() | Faible (blocage natif fort) | Il adopte Manifest V3 pour les extensions tierces, mais son bloqueur de publicité intégré (Brave Shields) n’est pas affecté directement. L’impact est faible pour les utilisateurs de Brave qui utilisent le bloqueur intégré. |
Vivaldi | ![]() | Faible (blocage natif fort) | Vivaldi propose un bloqueur de publicité et de pistage intégré natif, similaire à Brave. Celui-ci n’est pas affecté par Manifest V3. |
Opera | ![]() | Faible à modéré (solution interne efficace) | Le bloqueur publicitaire natif d’Opera n’est pas affecté directement par Manifest V3, puisqu’il ne dépend pas des API réservées aux extensions. Il continue de bloquer efficacement les publicités courantes et les trackers. |
Quelles sont les alternatives pour continuer de bloquer les publicités ?
uBlock Origin Lite (MV3)
uBlock Origin Lite est une déclinaison simplifiée et adaptée de la célèbre extension uBlock Origin, spécifiquement créée pour être compatible avec le nouveau standard d’extensions Manifest V3 (MV3) imposé par Google Chrome.
En somme, uBlock Origin Lite fonctionne grâce à des listes prédéfinies (EasyList, EasyPrivacy, etc.) plutôt qu’à une analyse dynamique de chaque requête.
Il en va de même pour AdBlock (MV3) ou Adblock Plus (MV3).
Passer Firefox
Comme vous avez pu le voir dans le tableau précédent, certains navigateurs internet tiers basés sur Chrome devraient continuer de proposer des bloqueurs de publicités efficaces.
Mais, vous pouvez aussi passer à Mozilla Firefox qui n’est pas lié aux choix du géant américain.
En effet, du côté de Firefox, Manifest V3 est devenu généralement disponible dans Firefox 109 après avoir été disponible en tant qu’aperçu pour les développeurs depuis Firefox 101.
Mais, Mozilla a annoncé continuer de maintenir la prise en charge du blocage de WebRequest dans MV3.
Pour maximiser la compatibilité avec les autres navigateurs, le navigateur WEB fournit également un support
pour declarativeNetRequest.
De ce fait, cela ne devrait pas perturber le fonctionnement des bloqueurs de publicités.
À lire : l’annonace de Mozilla
Bloqueurs DNS (NextDNS, Pi-hole, AdGuard Home)
Une autre approche pour bloquer la publicité est d’utiliser des bloqueurs DNS.
La résolution DNS des serveurs utilisés par les régies publicitaires ne fonctionnera pas empêche la connexion à ces derniers.
Toutefois, là aussi, des limitations ou contournements sont possibles.
Il existe de nombreuses solutions comme NextDNS, Pi-hole, AdGuard Home.
Liens
- 12 meilleurs bloqueurs de publicité pour Chrome, Edge ou Firefox en 2025
- 13 meilleurs bloqueurs de publicités pour Android
- Supprimer les publicités de Windows 10
- Supprimer les publicités de Windows 11
- Supprimer les publicités, Adwares et PUP
- Les bloqueurs de publicités ou Adblock
- uBlock Origin — bloquer les publicités sur internet
- AdGuard : bloquer la publicité et les traqueurs
- Chrome : désactiver la confidentialité des annonces (publicités)
- Manifest V3 Chrome : quel impact sur les bloqueurs de publicité (Adblock, uBlock) ?
- Bloquer l’ouverture d’onglet et popup de publicités sur Chrome, Edge et Firefox
- Supprimer les publicités en bas à droite et notification sur Chrome, Firefox, Opera ou Smartphone
- Blokada : bloquer les publicités sur son téléphone Android
- Trois méthodes pour supprimer les publicités sur uTorrent
- Supprimer les publicités sur Skype
- Bloquer les sites pornos avec les DNS
- Supprimer les popups de publicités / Adware
- Bloquer ou supprimer les publicités CCleaner
- pi-hole : bloquer les traqueurs et publicités
- Comment supprimer les messages d’avertissements cookies ou de consentement
- Comment supprimer la popup Connectez-vous à Youtube
- Comment supprimer la popup “avant de continuer” de Google
- Supprimer la télémétrie et pistage de Windows 10
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Microsoft Copilot+ vs Copilot : comparatif et différences sur Windows 11
Microsoft a récemment introduit deux assistants d’intelligence artificielle novateurs pour Windows 11 : Copilot et Copilot+. Mais, quelles sont exactement les différences entre ces deux technologies ? Quels avantages concrets offrent-elles, et comment déterminer celle qui correspond le mieux à vos besoins personnels ou professionnels ?
Dans cet article, découvrez notre comparatif détaillé et clair entre Copilot (basé sur le cloud) et Copilot+ (optimisé par une puce d’IA locale, le NPU). Performances, fonctionnalités, confidentialité, usages recommandés : nous analysons tout ce que vous devez savoir pour faire un choix éclairé entre ces deux assistants IA phares de Microsoft sur Windows 11.
Qu’est-ce que Microsoft Copilot ?
Microsoft Copilot est un assistant intelligent basé sur le cloud, accessible directement depuis votre navigateur web, l’application dédiée sur Windows 11, ou via une touche rapide intégrée au système.
Son rôle principal est de vous accompagner dans vos tâches quotidiennes en générant du texte, en créant des images (grâce à Microsoft Designer), en réalisant des résumés rapides, en facilitant vos recherches, ou en vous apportant des suggestions pertinentes directement dans vos outils bureautiques habituels.
Copilot s’appuie principalement sur des modèles avancés d’intelligence artificielle comme GPT‑4 et GPT‑4 Turbo (dans la version Copilot Pro), ce qui permet des interactions fluides et des réponses de qualité supérieure. Disponible gratuitement avec un compte Microsoft, Copilot propose également une version premium (Copilot Pro), offrant notamment un accès prioritaire aux nouveaux modèles IA, des intégrations plus poussées avec les outils Office et des fonctionnalités avancées, pour environ 22 € par mois.

Qu’est-ce que Microsoft Copilot+ ?
Microsoft Copilot+ est une version avancée de Copilot directement intégrée aux nouveaux ordinateurs équipés de Windows 11 et disposant d’une unité neuronale puissante (NPU). À la différence du Copilot classique basé sur le cloud, Copilot+ utilise principalement les ressources matérielles locales, permettant un traitement direct et rapide sur votre ordinateur, ce qui améliore considérablement la réactivité, la confidentialité et les possibilités d’usage hors connexion.
Grâce à son intégration matérielle (NPU d’au moins 40 TOPS*), Copilot+ offre des fonctionnalités exclusives telles que Cocreator (création d’images en local), la super-résolution automatique des images, divers effets vidéo avancés (Studio Effects), une traduction instantanée des conversations (Speak Translator, Live Translate), ainsi que la gestion intelligente de l’historique de vos documents et fichiers avec Recall. Copilot+ est idéalement adapté aux créateurs de contenu, aux professionnels créatifs ou aux utilisateurs avancés souhaitant profiter pleinement des capacités de l’IA en toute autonomie.
Contrairement à Copilot, Copilot+ ne nécessite aucun abonnement supplémentaire : il est directement inclus dans le prix d’achat des PC compatibles.
* TOPS est l’abréviation de Tera Operations Per Second, une mesure utilisée pour évaluer les performances des unités de traitement neuronal (NPU). Il indique essentiellement le nombre de billions d’opérations mathématiques qu’une NPU peut effectuer en une seconde.
Comparatif résumé
Aspect | Copilot (cloud) | Copilot+ (local, hardware) |
Traitement | Dans le cloud (via serveurs Microsoft) | Sur le PC grâce à un NPU (>40 TOPS) |
Fonctionnalités clés | Texte, images, brouillon, recherches | Cocreator, Super-résolution, Studio Effects, Recall, Speak Translator |
Modèle IA | GPT‑4, GPT‑4 Turbo | Combinaison NPU local + cloud |
Accès & paiement | Gratuit + Copilot Pro (20 €/mois) | Inclus avec le PC |
Confidentialité | Données traitées via cloud | Plus privé grâce au traitement local |
Usage cible | Conversation, productivité standard | Créatifs, travail hybride, besoins hors‑ligne |
- Copilot fournit un assistant basé sur le cloud, parfait pour la rédaction, la recherche, la productivité avec des options payantes pour des modèles avancés.
- Copilot+, en revanche, est une plateforme matérielle conçue pour intégrer une intelligence artificielle locale puissante grâce aux NPU, offrant des fonctions uniques très avancées (recall, création image locale, traduction vocale) sans surcoût au-delà de l’achat du PC.
En pratique, Copilot+ complète Copilot : le premier vise la puissance locale et l’autonomie, le second la flexibilité cloud et les modèles de langage sophistiqués.
Copilot+ vs Copilot : Lequel choisir ?
Le choix entre Copilot et Copilot+ dépend avant tout de vos besoins et de votre type d’utilisation. Si vous recherchez un assistant IA polyvalent, accessible sur tous les appareils, basé essentiellement sur le cloud, avec des fonctionnalités générales de génération de textes, images, et d’aide à la productivité, Copilot classique (gratuit ou Copilot Pro avec abonnement) suffira largement.
En revanche, si vous souhaitez exploiter pleinement les dernières avancées de l’intelligence artificielle sur un ordinateur doté d’un processeur récent équipé d’une unité neuronale (NPU), Copilot+ est clairement le meilleur choix. Copilot+ offre un traitement local ultra-rapide, des fonctionnalités exclusives telles que Cocreator pour la création d’images avancée, Recall pour gérer efficacement vos documents, Studio Effects pour améliorer photos et vidéos en temps réel, ainsi que des traductions instantanées, sans nécessité d’une connexion permanente au cloud. De plus, l’utilisation locale améliore grandement votre confidentialité.
En résumé, pour un usage standard, préférez Copilot classique. Pour un usage intensif, créatif, professionnel, ou nécessitant de la confidentialité accrue et des performances élevées, Copilot+ est la solution idéale.
Liens
- Comment Microsoft introduit l’IA dans Windows 11
- Recall : tout savoir sur cette nouvelle fonctionnalité de Windows 11
- Comment vérifier si votre PC dispose d’un NPU pour l’IA de Windows 11
- Utiliser Bing Chat : le moteur de recherche IA de Bing (ChatGPT)
- Utiliser Bing Chat dans Microsoft Edge (Copilote Edge)
- Microsoft Copilot+ vs Copilot : comparatif et différences sur Windows 11
- Windows 11 : utiliser Copilot et son AI
- Activer ou désactiver Copilot dans Windows 11
- ChatGPT : utiliser GRATUITEMENT le chatbot
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Linux : vérifier l’intégrité d’un fichier via son empreinte (SHA256, SHA1, MD5…)
Centreon : comment superviser votre firewall PfSense ?
Avec ce tutoriel pas à pas, apprenez à effectuer le monitoring d'un pare-feu pfSense en SNMPv3 par l'intermédiaire de la solution Centreon.
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Add End task button to the taskbar in Windows 11
Kali Linux 2025.2 calque son menu sur le MITRE ATT&CK : découvrez les nouveautés !
Kali Linux 2025.2 est disponible au téléchargement : quelles sont les nouveautés ? Découvrez le nouveau menu organisé comme le framework MITRE ATT&CK.
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Qu’est-ce qu’une somme de contrôle (checksum) ? À quoi ça sert ?
Vérifier l’intégrité d’un fichier (MD5, SHA1, SHA256…) sur Windows
Microsoft 365 permet désormais aux entreprises de déployer des mots de passe dans Microsoft Edge
Une nouvelle fonctionnalité pour Microsoft 365 et Microsoft Edge permet le partage sécurisé de mots de passe en entreprise : Secure Password Deployment.
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Qu’est-ce que NPU (Neural Processing Units)
Le NPU (Neural Processing Unit), ou unité de traitement neuronal, est une puce spécialisée intégrée dans certains processeurs modernes pour accélérer les calculs liés à l’intelligence artificielle (IA) et au machine learning. Avec l’essor rapide de l’IA dans nos ordinateurs et appareils mobiles, les fabricants comme Intel, AMD ou Qualcomm intègrent de plus en plus cette technologie dans leurs produits. Mais, concrètement, qu’est-ce qu’un NPU ? À quoi sert-il précisément, et en quoi diffère-t-il des CPU et GPU traditionnels ?
Dans cet article complet et facile à comprendre, découvrez la définition précise du NPU, ses fonctions principales, ainsi que ses avantages pour améliorer les performances de votre ordinateur dans les applications liées à l’IA comme Windows Copilot, Recall, ou les assistants vocaux.
Qu’est-ce exactement un NPU ?
Un NPU (Neural Processing Unit), ou unité de traitement neuronal, est un composant spécialisé d’un processeur conçu spécifiquement pour accélérer et optimiser l’exécution des tâches liées à l’intelligence artificielle (IA) et au machine learning.
Plus concrètement, un NPU :
- Accélère les opérations d’intelligence artificielle, notamment celles impliquant les réseaux neuronaux.
- Est conçu spécifiquement pour traiter des tâches telles que :
- Reconnaissance vocale (transcription en temps réel),
- Reconnaissance d’images ou d’objets,
- Traduction automatique instantanée,
- Traitement avancé des images et des vidéos,
- Recommandations intelligentes et prédictives.
- Optimise les performances énergétiques en réduisant fortement la consommation d’énergie lors du traitement de tâches IA comparé à une exécution via CPU ou GPU.

La différence entre une unité centrale de traitement (CPU) traditionnelle et une unité de traitement graphique (GPU) est que la NPU est optimisée pour traiter les calculs complexes requis par les algorithmes d’apprentissage profond, ce qui la rend incroyablement efficace pour traiter les tâches d’IA telles que le traitement du langage naturel, l’analyse d’images et bien plus encore.
À lire : CPU VS GPU : les différences
L’importance des NPU s’explique par la demande croissante d’applications d’IA, de la reconnaissance vocale dans les assistants virtuels à la traduction linguistique en temps réel et à la reconnaissance faciale. Ces applications nécessitent une nouvelle puissance de calcul pour traiter et apprendre à partir de grandes quantités de données. C’est là que les NPU brillent : elles peuvent exécuter ces algorithmes d’IA plus rapidement et plus efficacement que leurs homologues CPU et GPU.
Ainsi, lorsque vous utilisez une fonctionnalité comme Recall ou Copilot Vision dans Windows 11, votre PC doit rapidement analyser une grande quantité de données (texte, image, vidéo). Un processeur doté d’un NPU effectuera ces tâches de manière plus fluide, plus rapide et avec une consommation d’énergie moindre qu’un processeur traditionnel.
À lire : Comment Microsoft introduit l’IA dans Windows 11
Historique des NPUs (Neural Processing Units)
Années 1980-1990 : Premières tentatives
- Les premiers concepts d’accélération matérielle dédiée aux réseaux neuronaux apparaissent dans les années 1980, avec des puces spécialisées comme la ETANN (Intel, 1989), une puce expérimentale qui accélérait les calculs neuronaux pour des usages très spécifiques.
Années 2000 : Apparition des premiers accélérateurs commerciaux
- Début des années 2000, apparition de cartes spécialisées visant à accélérer les calculs liés aux réseaux neuronaux et au traitement de l’IA, mais ces solutions restent rares et réservées à des applications de niche.
2015-2017 : L’essor avec le deep learning
- Avec la montée en puissance du deep learning, les grandes entreprises technologiques accélèrent la conception d’unités de traitement neuronales spécialisées. Google introduit en 2016 son TPU (Tensor Processing Unit), le premier véritable NPU à grande échelle, destiné aux centres de données pour accélérer l’apprentissage profond.
2017-2020 : Intégration dans les smartphones
- À partir de 2017, les NPU font leur apparition dans les processeurs mobiles :
- Apple A11 Bionic (2017), intègre un moteur neuronal dédié à l’accélération des tâches d’IA (Face ID, reconnaissance vocale et traitement photo).
- Huawei Kirin 970 (2017), doté d’un NPU pour améliorer les performances d’IA directement sur l’appareil.
Depuis 2021 : Intégration dans les ordinateurs grand public
- À partir de 2021, les constructeurs de PC intègrent des unités neuronales dans leurs puces grand public, pour accompagner le développement rapide des fonctionnalités IA :
- Apple M1/M2 (depuis 2021), doté d’un moteur neuronal intégré dans les Mac.
- Intel Meteor Lake (2023), première puce Intel grand public équipée d’un NPU intégré.
- AMD Ryzen AI (2024), intégration des unités neuronales dédiées aux tâches d’IA.
Où trouve-t-on un NPU ?
Les NPUs se retrouvent aujourd’hui principalement :
- Intégrés aux derniers processeurs Intel et AMD dédiés à l’IA (Intel Meteor Lake, AMD Ryzen AI),
- Dans des puces spécialisées sur certains ordinateurs portables modernes et PC optimisés pour Windows 11,
- Dans les smartphones haut de gamme récents (iPhone, Samsung, Google Pixel), sous le nom générique de « Neural Engine ».

Comparaison NPU vs CPU vs GPU
Critère | ![]() | ![]() | ![]() |
Fonction principale | Optimisé pour l’intelligence artificielle (Machine Learning, réseaux neuronaux) | Polyvalent, adapté aux calculs généralistes, multitâches | Traitement graphique, rendu d’images et calculs parallélisés |
Types de tâches idéales | Reconnaissance faciale, vocale, traduction, analyse d’images, outils IA intégrés (Windows Copilot, Recall…) | Navigation web, traitement de texte, gestion OS, multitâches, programmes généralistes | Jeux vidéo, rendu vidéo 3D, édition graphique intensive |
Performances pour tâches IA | ![]() | ![]() | ![]() |
Efficacité énergétique | ![]() | ![]() | ![]() |
Polyvalence d’utilisation | ![]() | ![]() | ![]() |
Coût général du matériel | ![]() | ![]() | ![]() |
Exemple typique d’utilisation | Accélération intelligente Windows 11, Copilot, Recall, smartphones avancés (FaceID, Siri, Google Assistant) | Utilisation quotidienne bureautique, navigation web, gestion de l’OS, exécution de logiciels classiques | Jeux vidéo, édition vidéo avancée, montage et modélisation 3D, traitements parallèles |
Appareils typiques | Ordinateurs récents optimisés IA (Windows 11), smartphones haut de gamme | Tous les ordinateurs (PC, Mac), smartphones, tablettes | Cartes graphiques dédiées (NVIDIA, AMD), ordinateurs gaming, stations de travail graphiques |
À lire :
Votre ordinateur a-t-il besoin d’un NPU ?
Avec l’intégration croissante de l’intelligence artificielle dans Windows 11 et dans les applications modernes, la question de posséder ou non un NPU (Neural Processing Unit) devient pertinente. Bien que Windows 11 soit utilisable sans NPU, certaines fonctionnalités avancées telles que Recall, Windows Copilot Vision, la reconnaissance vocale rapide ou le traitement intelligent d’images et de vidéos, exploitent pleinement la puissance d’un NPU.
Un NPU améliore nettement la rapidité, la fluidité et l’efficacité énergétique des traitements IA sur votre ordinateur. Si vous utilisez souvent ces fonctionnalités innovantes ou des applications fortement axées sur l’intelligence artificielle, disposer d’un NPU est donc un véritable atout.
À l’inverse, pour un usage classique de votre PC (bureautique, navigation web standard, multimédia basique), un NPU n’est pas indispensable, et vous ne ressentirez que très peu la différence.
Voici un récapitulatif simple pour vous aider à décider :
Votre utilisation quotidienne | NPU nécessaire ? |
Navigation web classique | ![]() |
Bureautique, emails | ![]() |
Jeux vidéo classiques | ![]() |
Édition vidéo, images, création intensive de contenus assistés par IA | ![]() |
Fonctions avancées Windows 11 (Recall, Copilot Vision) | ![]() |
À lire : Comment vérifier si votre PC dispose d’un NPU pour l’IA de Windows 11
Quels processeurs intègrent généralement un NPU aujourd’hui ?
Actuellement, seuls certains processeurs très récents et spécifiques disposent d’une unité NPU intégrée :
Marque | Série / Modèles récents | Présence typique d’un NPU |
Intel | Core Ultra (Meteor Lake), certaines séries Core 14e génération et suivantes, Intel Vision Processing Unit (VPU) | ![]() |
AMD | Ryzen AI (série Ryzen 7040 ou plus récente avec moteur Ryzen AI) | ![]() |
Qualcomm | Snapdragon série 8cx Gen 3 et suivantes (PC ARM Windows) | ![]() |
Intel / AMD plus anciens | Intel Core 12e ou 13e génération, AMD Ryzen 5000, 6000 et séries antérieures | ![]() |
Liens
- Comment Microsoft introduit l’IA dans Windows 11
- Recall : tout savoir sur cette nouvelle fonctionnalité de Windows 11
- Comment vérifier si votre PC dispose d’un NPU pour l’IA de Windows 11
- Utiliser Bing Chat : le moteur de recherche IA de Bing (ChatGPT)
- Utiliser Bing Chat dans Microsoft Edge (Copilote Edge)
- Microsoft Copilot+ vs Copilot : comparatif et différences sur Windows 11
- Windows 11 : utiliser Copilot et son AI
- Activer ou désactiver Copilot dans Windows 11
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Plus de 80 000 comptes Microsoft Entra ID ciblés par des attaques par pulvérisation de mots de passe !
Plus de 80 000 comptes Microsoft Entra ID appartenant à des centaines d'organisations ont été pris pour cible par un groupe de pirates nommé UNK_SneakyStrike.
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Évitez les cyberattaques avec Sweepatic : surveillance du Dark Web et de la surface d’attaque externe
Sweepatic surveille votre surface d'attaque externe pour détecter les vulnérabilités et le Dark Web pour détecter les fuites d'identifiants et de données.
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