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SentinelOne repousse des attaques en provenance de Chine et découvre une campagne mondiale
Depuis plusieurs mois, la société SentinelOne est attaquée par les cybercriminels, mais elle n'est pas la seule cible : 70 organisations sont visées.
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Ubuntu 24.04 LTS : 12 choses à faire après l’installation
Windows 11 : le menu Démarrer fait peau neuve dans la dernière mise à jour (builds 26200.5641 et 26120.4250)
Microsoft vient tout juste de déployer deux nouvelles versions préliminaires de Windows 11 dans les canaux Dev (build 26200.5641) et Beta (build 26120.4250) de Windows 11 Insider Preview, intégrant une refonte majeure du menu Démarrer.
Voici ce qu’il faut savoir.
Ce qui change dans ce nouveau menu Démarrer
- Retour à une seule page fluide : finit la double structure de type pages ! Le nouveau menu devient un espace unique et défilable. Les applications épinglées sont désormais organisées en haut, suivies de la section Recommandés (désactivable), puis d’un aperçu de toutes les applications sous forme de grille ou de catégories.
- Menu adaptatif : sur grands écrans, le menu s’agrandit automatiquement, proposant jusqu’à huit colonnes d’applications épinglées, six éléments recommandés et quatre colonnes d’applications.
- Intégration améliorée de « Lien Mobile » : un nouveau bouton permet d’afficher ou masquer le volet Phone Link directement depuis le menu, facilitant l’accès rapide aux notifications, messages et appels de votre téléphone. Voir l’actualité : Windows 11 améliore l’intégration des smartphones : accédez à votre téléphone Android ou iPhone directement depuis le menu Démarrer
Ce design simplifié répond aux retours fréquents sur la longueur du menu Démarrer actuel et améliore l’expérience d’accès aux applications.
Avantages | Inconvénients potentiels |
Interface plus simple et intuitive. | Besoin de s’adapter à une nouvelle disposition pour les habitués. |
Plus de contrôle (désactiver la section Recommandés). | Fonctionnalités avancées limitées pour l’instant (Widgets verrouillage, Narrator, etc.). |
Utilisation optimisée sur grands écrans. | Certains ajustements peuvent être nécessaires avant la version finale. |

Autres nouveautés de la build 26200.5641
- Choix de widgets pour l’écran de verrouillage : personnalisez vos widgets affichés dès l’écran de connexion.
- Screen Curtain pour Narrator : une option d’accessibilité qui noircit l’écran, mais laisse le contenu lisible via Narrator (activation via Caps Lock + Ctrl + C).
- Parcours guidé Narrator : une nouvelle interface explique les fonctions clés de Narrator et les récentes améliorations.
Quand tout le monde en profitera
Ce nouveau menu est actuellement réservé aux testeurs Insider dans les canaux Dev et Beta. Toutefois, son arrivée dans les versions grand public semble imminente, potentiellement intégrée dans la mise à jour Windows 11 25H2, prévue plus tard cette année.
Voir l’actualité : Windows 11 25H2 : ce que l’on sait sur la prochaine mise à jour
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Office ne s’ouvre pas sans droits administrateur : comment résoudre
Vous rencontrez un problème agaçant où les applications Microsoft Office, comme Word, Excel ou Outlook, refusent de s’ouvrir normalement et exigent d’être lancées en mode administrateur ? Ce bug courant peut provenir de conflits de permissions, de logiciels tiers ou d’un profil utilisateur corrompu.
Dans cet article, découvrez comment identifier précisément la cause du problème et appliquez facilement des solutions efficaces et testées pour retrouver rapidement une ouverture normale d’Office sans avoir à utiliser les droits administrateur.
Office ne s’ouvre que « en tant qu’administrateur » : comment résoudre ce bug
Supprimer Office des fonctions « mise en veille » des outils d’optimisation tiers
Des utilitaires comme CCleaner, AVG TuneUp ou Avast Cleanup peuvent placer Office dans un mode veille, empêchant son démarrage normal.
Voici ce que vous devez vérifier :
- Ouvrez votre outil d’optimisation (CCleaner, etc.).
- Allez dans la section Optimiseurs de performances → Programmes en veille
- Si Office est listé, cliquez sur Réactiver pour le retirer des programmes en veille
- Tentez de relancer Word, Excel ou autres pour vérifier si le problème est résolu
Ce correctif a déjà résolu le problème pour plusieurs utilisateurs.
Mias avant de le désinstaller, sortez les applications de la veille.

Supprimer les clés Debugger
Si vous avez désinstallé les programmes d’optimisation sans avoir désactivé la mise en veille… Cela peut continuer de perturber l’ouverture de Word, Excel ou autres composants Office.
Suivez alors ces étapes pour résoudre le problème :
- Sur votre clavier, appuyez sur les touches
- Puis saisissez regedit et OK. Plus de détails : comment accéder au registre Windows
- Puis allez dans la clé suivante :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion\Image File Execution Options\
- Repérez les sous-clés correspondant aux exécutables Office (ex.
WINWORD.EXE, EXCEL.EXE, POWERPNT.EXE
). - Si elles contiennent une valeur Debugger, supprimez uniquement ce Debugger. Pour cela, faites un clic droit sur Debugger → Supprimer.
Autre solution, réinstallez CCleaner, retirez Office de la veille, puis désinstaller CCleaner.
Réparation de Microsoft Office
Utilisez la fonction intégrée de réparation, sans désinstallation complète.
- Faites un clic droit sur le menu Déparrer > Applications installées
- Sélectionnez « Microsoft Office » depuis la liste, cliquez sur « Modifier«
- Choisissez « Réparation en ligne » (si possible) ou « Réparation rapide ».
- Redémarrez le PC et testez l’ouverture d’Office.
Même si certains utilisateurs ne voient pas de changement immédiat, cette réparation a souvent permis de régler des corruptions internes.

Vérifier les permissions et autorisations du raccourci
Des droits insuffisants sur les fichiers Office ou profils utilisateur peuvent bloquer l’exécution normale.
- Faites un clic droit sur le raccourci Office → Propriétés → onglet Sécurité.
- Vérifiez que votre compte Windows est autorisé à « Contrôle total« .
- Appliquez les changements et relancez Office.

Une façon simple de déterminer si le raccourci est en cause est d’exécuter Word, Excel ou autres directement depuis leurs exécutables.
Pour cela :
- Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier
- Ouvrez le dossier suivant : C:\Program Files\Microsoft Office\root\Office16 (le chemin peut différer selon la version d’Office)
- Double-cliquez sur Winword ou Excel
Vous pouvez aussi utiliser le bouton « Emplacement du fichier » depuis les propriétés du raccourci de Word ou Excel.
Créer un nouveau compte utilisateur
Le problème peut venir d’un profil local corrompu :
- Créez un nouvel utilisateur local (Paramètres → Comptes → Famille et autres utilisateurs). Reportez-vous à ce tutoriel, si besoin : Comment créer un compte local (Non Microsoft) sur Windows 10 ou Windows 11
- Connectez-vous avec ce compte, lancez Office normalement.
- Si cela fonctionne, le problème vient de votre ancien profil. Vous pouvez y transférer vos données et migrer vers le nouveau compte
Désinstaller totalement et réinstaller proprement
Si les problèmes de lancement d’Office perdurent, tentez de supprimer totalement Office du système pour le réinstaller proprement.
Voici comment procéder :
- Désinstallez Office.
- Supprimez les dossiers résiduels :
- C:\Program Files\Microsoft Office
- C:\Program Files (x86)\Microsoft Office
- C:\Users\<Votre utilisateur>\AppData\Local\Microsoft\Office
- Réinstallez Office depuis votre compte Microsoft ou support officiel.
Pour aller encore plus loin, vous pouvez utiliser les programmes Revo Uninstaller ou Geek Uninstaller pour une suppression totale et sans résidus.
Vérifier les outils d’injection (ex. Windhawk)
Certains utilitaires qui injectent du code (comme Windhawk) peuvent bloquer Office.
Si cette application est installée, ajoutez Office dans les exclusions.
Autre solution, désactivez Windhawk ou désinstallez le complètement pour tester sans.
Utiliser SFC et DISM
Si le problème persiste, une corruption Windows peut être en cause :
Pour réparer les fichiers systèmes de Windows 10 ou Windows 11, vous devez utiliser les utilitaires SFC (vérificateur de fichiers systèmes) et DISM.
Ces deux outils s’utilisent en invite de commandes.
- Ouvrez une invite de commandes :
- Ensuite, utilisez DISM pour réparer les images de Windows 10/11. Pour cela, passez successivement les commandes suivantes :
DISM /Online /Cleanup-Image /CheckHealth
DISM /Online /Cleanup-Image /ScanHealth
DISM /Online /Cleanup-Image /RestoreHealth

- Puis, enchaînez avec une vérification et réparation des fichiers corrompus et manquants avec l’outil SFC. Pour cela, saisissez :
sfc /scannow
- Laissez le vérificateur de fichiers systèmes analyser Windows 10 ou Windows 11.
- Enfin, si des fichiers systèmes sont corrompus, SFC tente de les réparer automatiquement.

Plus de détails dans l’article suivant :
Réparer Windows
Lorsque Windows est totalement endommagé et que les problèmes sont trop nombreux, vous pouvez tenter de réparer Windows 10, 11 sans perte de données et en conservant les programmes installés.
Cela permet de rétablir un système fonctionnel à partir des fichiers ISO et images de Windows.
La procédure est décrite pas à pas dans cet article :
Il s’agit d’une opération de réinitialisation et de remise à zéro qui supprime les applications et remet le système à son état d’origine.
C’est la solution radicale pour retrouver un système fonctionnel.
Pour cela :
- Allez dans Paramètres > Mise à jour et sécurité > Récupération
- Sous la section Réinitialiser ce PC, clique sur Commencer et choisis si tu veux conserver ou supprimer tes fichiers personnels
Les tutoriels :

Liens
- Télécharger Microsoft Office 2019, 2016, 2013 ou Microsoft 365
- Comment installer Microsoft Office 2019, 2016, 2013 ou Microsoft 365
- Résoudre les problèmes d’installation d’Office
- Comment ouvrir Word, Excel ou Outlook en mode sans échec (Office)
- Réparer Microsoft Office 2019, 2016, 2013 ou Microsoft 365 : Word, Excel, PowerPoint
- Word ne s’ouvre plus : 10 solutions
- Excel ne s’ouvre pas : 7 solutions
- Erreur 0xc0000142 sur Office : 5 solutions
- Code erreur 147-0 sur Office : 5 solutions
- Pourquoi Mémoire ou espace disque insuffisant pour terminer l’opération ?
- Comment désinstaller Microsoft Office de Windows
- Utiliser l’Assistant Support et récupération de Microsoft pour Office 365
- Comment mettre à jour Microsoft Office
- Microsoft Office : votre licence n’est pas authentique
- Les virus par Word et Excel (documents Office) : comment s’en protéger
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Windows 11 : le nouveau menu Démarrer est là, avec un design repensé et de nouvelles vues (Insider Preview)
Python : Ajoutez un filigrane pour protéger vos images
Découvrez comment protéger vos images grâce à un script Python avec l'ajout d'un filigrane (watermark) en masse sur un ensemble d’images.
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Warp Launch Log 3: MCP support, refine prompt, image upload, reusable prompts, git support
Blogmotion est majeur : 18 ans 🎂🎉
Qui aurait pu dire que Blogmotion existerait encore 18 ans après sa création ? Pas moi !
A une époque vous auriez eu une pluie de concours et de lots à gagner, la Belle Époque diront certains !
Si j'ai toujours du plaisir à vous partager mes découvertes, astuces, scripts et l'actualité, il est vrai que le rythme a progressivement changé. Je n'ai plus autant de temps à consacrer qu'avant sur l'écriture des articles. Sans aucune publicité, rien ni personne ne me force à tenir un rythme, et c'est très bien comme ça.
Le format vidéo a éclipsé de nombreux blogs, c'est le cas de YouTube mais aussi de twitch, insta, etc. Mais certains ont survécu
Que tu connaisses ce blog depuis 18 jours ou 18 ans, merci pour ta fidélité ! Lâche ton petit comm si tu passes par là...
Et un merci tout particulier à yulPa qui héberge mes octets depuis de nombreuses années pour que vous puissiez continuer à me lire
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Article original écrit par Mr Xhark publié sur Blogmotion le 09/06/2025 |
6 commentaires |
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Windows 11 : Microsoft publie un script pour restaurer le dossier inetpub supprimé par erreur
Windows 11 : Relight arrive dans l’application Photos pour corriger vos photos mal éclairées
Windows 11 25H2 : ce que l’on sait sur la prochaine mise à jour
Microsoft prépare actuellement Windows 11 version 25H2, prévue pour l’automne 2025, probablement entre septembre et octobre. Cette version conserve la plateforme existante — nommée Germanium, déjà utilisée par la version 24H2 —, dans une logique d’enablement update, autrement dit un déploiement léger comparable à une mise à jour cumulative mensuelle.
Voici ce qu’il faut savoir sur cette prochaine mise à jour de Windows 11.
Quel est le calendrier, durée de support et nature de la mise à jour
Voici le calendrier de déploiement :
- Déploiement prévu : automne 2025, selon le cycle habituel (hiver/printemps, été/automne).
- Support : 24 mois pour les éditions Home, Pro, Pro Education et Workstation ; 36 mois pour les éditions Enterprise et Education.
Concernant la nature de la mise à jour :
- Léger et sécuritaire : version 25H2 est une mise à jour d’activation (“switch”) légère, évitant les lourdeurs d’une réinstallation complète. Elle se concentre sur la stabilité et la fiabilité plus que sur les nouveautés massives.
- Plateforme stable : la base reste la plateforme Germanium, déjà éprouvée, ce qui réduit le risque de bugs comparé aux mises à jour plus disruptives.
Quelels sont les nouvelles fonctionnalités à venir dans Windows 11 25H2
Même si Windows 11 version 25H2 adopte une approche modérée (mise à jour d’activation légère sur la plateforme Germanium), plusieurs nouveautés précieuses sont prévues pour renforcer l’expérience utilisateur. Voici en détail ce que l’on peut attendre :
Refonte du menu Démarrer (plus personnalisable)
Microsoft prépare un menu Démarrer modernisé, désormais présenté dans un seul panneau défilant : les applications épinglées en haut, les recommandations au milieu, et la liste complète en bas. Cette version propose également une meilleure organisation par catégories et la possibilité de supprimer entièrement les recommandations, pour une interface plus épurée.
Voir l’actualité : Windows 11 : le menu Démarrer fait peau neuve dans la dernière mise à jour (builds 26200.5641 et 26120.4250)

Uniformisation des ports USB‑C
À l’heure actuelle, les ports USB‑C sur PC sont très hétérogènes. Microsoft impose désormais via le Windows Hardware Compatibility Program que tous les ports USB‑C sur les machines certifiées supportent 3 fonctions essentielles : transfert de données, alimentation et affichage, avec compatibilité assurée USB4/Thunderbolt 3. Fini les câbles inutilement restreints : votre PC saura désormais exactement ce que chaque port peut faire.
Windows 11 24H2 obligatoire | Comment cela permet d’améliorer l’expérience sur PC |
---|---|
Silicium certifié USB-IF | Utilise des puces testées pour des connexions USB fiables |
Fourniture d’énergie | Prise en charge de la charge rapide à des tensions et courants plus élevés |
Mode Alt DisplayPort | Peut piloter des moniteurs externes via USB-C |
Microsoft Driver Stack | Utilise les pilotes USB intégrés de Windows pour les mises à jour et la sécurité |
Bande passante complète de 40 Gbps ou 80 Gbps | Fournit les vitesses de données annoncées sur chaque port |
Tunnel PCIe | Permet aux GPU externes ou aux disques NVMe de fonctionner de manière transparente |
Compatibilité Thunderbolt | Fonctionne avec les appareils et les stations d’accueil Thunderbolt 3/4 |
Prise en charge des moniteurs 4K | Peut faire fonctionner jusqu’à deux écrans 4K à 60 Hz |
Intégration étendue de l’IA (Copilot & Click to Do)
Windows 11 poursuit sa mutation IA :
- Click to Do, le concept d’actions contextuelles sur texte sélectionné ou contenu d’image, s’enrichit d’une option « Draft with Copilot in Word », transformant un simple paragraphe copié en document Word complet.
- Dans l’application Paramètres, un agent IA intégré pourrait vous aider activement pour la configuration ou la résolution de problèmes.
- Sur les machines Copilot+, attendez-vous à des améliorations de “Recall,” “Windows Search,” et actions »Click to Do » intelligentes dans les langues EEA.
Améliorations pour les gamers et stabilité
- Amélioration de la stabilité : après les difficultés rencontrées avec 24H2, cette version vise un déploiement sans accrocs.
- Microsoft Edge Game Assist arrive dans Game Bar (
Win + G
), intégrant des guides et conseils contextuels directement en jeu (ex. S.T.A.L.K.E.R. II). - Windows 11 améliore également la stabilité des jeux sur des appareils spécifiques (ex. MSI Claw) pour éviter les crashs sur la version 24H2 et garantir une expérience plus fluide.
- Windows 11 25H2 ralentit le processeur lorsque vous êtes absent afin d’augmenter l’autonomie de la batterie
Diagnostics et récupération simplifiés
- Un nouveau module « Récupération rapide de la machine » (Quick Machine Recovery) permettra de restaurer automatiquement Windows via WinRE après une panne de démarrage détectée.
- Avec les Device Cards dans les paramètres, retrouvez en un coup d’œil les spécifications matérielles essentielles : CPU, RAM, espace disque… parfait pour le support ou la maintenance.

Mise à jour utilitaire moderne
- Bloc-notes gagne un support basique de Markdown, d’ajouts de titres et listes, modernisant le plus simple des éditeurs.
- Le Microsoft Store s’enrichit de la comparaison via Copilot et amélioration des critères de recommandation

Ce qu’il faut savoir
- Mise à jour progressive : Microsoft adoptera un déploiement échelonné, donc tous les utilisateurs ne recevront pas immédiatement la 25H2.
- Compatibilité : les systèmes déjà compatibles avec 24H2 sont a priori prêts pour 25H2 — peu de nouveaux critères requis.
- Fin de support imminent : Windows 10 sera abandonné en octobre 2025, rendant la transition vers 11 (et idéalement la 25H2).
Aspect | Détails |
---|---|
Date de sortie | Automne 2025 (sept–oct) |
Nature | Mise à jour légère basée sur Germanium |
Support | 24 mois (Home/Pro), 36 mois (Enterprise/Education) |
Nouveautés possibles | Personnalisation du menu Démarrer, agent IA dans les paramètres, USB‑C uniformisé, stabilité gaming |
Objectif principal | Fiabilité et stabilité post-24H2 sans chamboulements |
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Résoudre l’erreur ‘ms-gamingoverlay’ (Game Bar) qui interrompt vos jeux
Lorsque vous lancez un jeu sur Windows 10 ou 11, un message intempestif peut s’afficher :
« Obtenir une application pour ouvrir ce lien ‘ms‑gamingoverlay’ ».
Ce popup apparait généralement lorsque Windows tente d’ouvrir la Xbox Game Bar (ms‑gamingoverlay) sans que l’application adéquate soit installée ou activée. Le résultat ? Un retour inattendu sur le bureau, ruinant l’immersion en jeu.
Dans cet article détaillé, découvrez pourquoi ce message apparaît et comment le bloquer efficacement : désactivation de la Game Bar, désinstallation propre via PowerShell, modification des clés registre Windows et réinstallation si besoin. Des explications claires, accessibles à tous, pour enfin jouer sans interruptions gênantes !
Pourquoi cet popup apparaît
Ce message s’affiche généralement lorsque Windows tente d’activer la barre de jeu (Xbox Game Bar) via le protocole ms-gamingoverlay
, mais que l’application associée n’est plus installée ou est mal configurée.
Résultat : le système ne trouve aucune application capable de gérer ce lien et affiche ce message d’erreur :
Obtenir une application pour ouvrir ce lien ‘ms-gamingoverlay’.
Votre PC n’a pas d’application qui peut ouvrir ce lien.

Solutions pour supprimer définitivement le popup
Désactiver les captures de la Game Bar
- Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier
- Puis, allez dans Jeux → Captures
- Désactivez l’option « Enregistrer des extraits de jeu, des captures d’écran et diffuser à l’aide de la barre de jeu ».
Cela empêche Windows de déclencher le protocolems-gamingoverlay
lorsque vous appuyez surWin + G

- Redémarrez votre jeu et testez : le popup devrait avoir disparu.
Supprimer Microsoft XboxGameOverlay
Si le popup continue de s’ouvrir durant vos sessions de jeux : vous pouvez tenter de supprimer XBoxGameOverlay et désactiver GameDRV.
Ces ajustements empêchent les services de tenter de lancer la Game Bar.
Voici comment faire :
- Ouvrez une invite de commandes en administrateur :

- Puis copiez/collez ces commandes :
powershell "Get-AppxPackage *Microsoft.XboxGameOverlay* | Remove-AppxPackage"
powershell "Get-AppxPackage *Microsoft.XboxGamingOverlay* | Remove-AppxPackage"
reg add HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\GameDVR /f /t REG_DWORD /v AppCaptureEnabled /d 0
reg add HKEY_CURRENT_USER\System\GameConfigStore /f /t REG_DWORD /v GameDVR_Enabled /d 0
- Fermez l’invite de commandes
- Enfin, rejouez à vos jeux pour tester si cela résout le problème de message ‘ms-gamingoverlay’
Réenregistrer les apps Windows (en dernier recours)
Si le problème persiste, cette commande restaure les applications système manquantes, dont la Game Bar :
- Appuyez sur le raccourci clavier
- Ensuite tapez :
Get-AppXPackage -AllUsers | Foreach {Add-AppxPackage -DisableDevelopmentMode -Register "$($_.InstallLocation)\AppXManifest.xml"}
- Redémarrez l’ordinateur pour prendre en compte les modifications
- Testez le comportemant de votre PC en Windows lors des sessions de jeux
Liens
- Comment activer et afficher la Xbox Game Bar
- Comment enregistrer un jeu en vidéo avec XBox Game Bar
- Désactiver la Xbox Game Bar de Windows 10, 11
- Résoudre Xbox Game Bar ne se lance pas sur Windows 10, 11
- Comment faire un live streaming avec OBS Studio (Twitch, Youtube, Streamlabs)
- Les meilleures extensions Google pour enregistrer une vidéo
- Windows 11 : faire une capture d’écran avec l’outil de capture d’écran
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Fin de Windows 10 : KDE tacle Microsoft et vous encourage à passer sur Linux
KDE critique Microsoft à l’approche de la fin de Windows 10 et propose Linux comme alternative gratuite et durable, grâce à l'environnement KDE Plasma.
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Le FBI alerte : plus d’un million d’appareils sont infectés par le malware BADBOX 2.0 !
Plus d'un million d'appareils, notamment des box Android, sont infectés par un logiciel malveillant surnommé BADBOX 2.0 : le FBI tire la sonnette d’alarme !
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Windows : Microsoft a partagé un script pour recréer correctement le répertoire « inetpub »
Vous avez supprimé le dossier inetpub créé par une mise à jour Windows ? Ce script PowerShell vous permet de le recréer avec les bons droits !
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How to activate the built-in Administrator account in Windows 11
Cheat Engine et systèmes anti-triche dans les jeux vidéo : fonctionnement et risques
Tricher (Cheater en anglais) dans un jeu vidéo peut sembler tentant pour surmonter une difficulté, mais cela comporte de sérieux risques. Des logiciels comme Cheat Engine facilitent la triche en permettant de modifier la mémoire d’un jeu pour obtenir des avantages. En réponse, les développeurs ont mis en place des systèmes anti-triche de plus en plus sophistiqués pour préserver l’équité en jeu.
Dans cet article pédagogique et neutre, je vous explique d’abord ce qu’est Cheat Engine et comment il fonctionne. Nous verrons ensuite comment les systèmes anti-triche détectent ces manipulations. Enfin, je vous détaille les risques associés à l’utilisation de tels logiciels – qu’il s’agisse du bannissement de votre compte ou même de conséquences juridiques – afin de vous mettre en garde de manière éclairée. L’objectif est de rendre ces notions accessibles à tous, même aux non-techniciens, grâce à des explications claires et des exemples concrets.
Qu’est-ce que Cheat Engine ?
Cheat Engine (souvent abrégé CE) est un logiciel utilitaire qui scanne et modifie la mémoire des jeux vidéo sur PC dans le but de donner des avantages au joueur. Autrement dit, il permet de tricher en altérant en temps réel certaines données du jeu, comme par exemple les points de vie, le montant d’argent virtuel ou les munitions disponibles. Concrètement, l’utilisateur peut rechercher une valeur numérique utilisée par le jeu (par exemple son score, la santé du personnage, etc.), puis la changer à sa convenance. Grâce à cette technique, Cheat Engine peut offrir des avantages comme la santé infinie, des munitions illimitées ou encore la modification de la vitesse du jeu (communément appelé speed hack). Le programme dispose même d’outils avancés permettant des triches plus sophistiquées comme voir à travers les murs via un wallhack ou créer un aimbot pour viser automatiquement.
Ci-dessous, l’interface de Cheat Engine, où un joueur cherche à modifier et manipuler les valeurs en mémoire du processus du jeu (Atomicrops.exe).

Bien que Cheat Engine soit disponible gratuitement et largement utilisé dans la communauté du jeu, il convient de souligner qu’il est destiné principalement à un usage en solo. Son créateur (Eric Heijnen alias “Dark Byte”) le présente comme un outil d’apprentissage ou de modding pour jeux hors ligne, et avertit les utilisateurs de respecter les conditions d’utilisation des jeux. En effet, utiliser Cheat Engine dans un jeu multijoueur va à l’encontre des règlements de la plupart des éditeurs. Le site officiel lui-même rappelle de vérifier que l’on ne viole pas le CLUF (Contrat de Licence Utilisateur Final) ou les conditions du jeu avant d’attacher Cheat Engine à un processus. D’une manière générale, Cheat Engine est conçu pour le jeu solo et son utilisation en ligne est fortement déconseillée. Tenter de l’utiliser dans une partie multijoueur active très souvent les alarmes anti-triche et peut entraîner des sanctions immédiates.
En résumé, son utilisation est plutôt destinée en mode solo, en mode multijoueur, cela peut provoquer des bannissements du jeu en ligne.
Comment fonctionnent les systèmes anti-triche ?
Face à des outils comme Cheat Engine, les éditeurs ont développé des logiciels anti-triche (ou anti-cheat) afin de protéger l’intégrité des parties en ligne. Un logiciel anti-triche fonctionne un peu comme un antivirus : il tourne en tâche de fond pendant que vous jouez et surveille le système à la recherche de programmes suspects ou de modifications anormales du jeu. Par exemple, l’anti-triche peut scanner la mémoire du PC et les processus actifs pour détecter la présence de signatures connues de triches ou d’outils de hacking. Si un programme non autorisé injecte du code dans le jeu ou altère des fichiers, l’anti-cheat le repérera généralement grâce à ces empreintes numériques.

Quel est leur fonctionnement général
En plus de la détection par signature, les systèmes anti-triche modernes multiplient les techniques de protection proactives. Ils intègrent souvent des mesures d’auto-défense dans le jeu lui-même : par exemple, un jeu peut chiffrer dynamiquement certaines portions de son code en mémoire et effectuer des vérifications d’intégrité en continu pour s’assurer qu’aucune donnée n’a été modifiée de manière illégitime. De même, le code du jeu peut être obfusqué (c’est-à-dire volontairement rendu confus et morcelé) afin de compliquer la tâche des créateurs de cheats qui tenteraient de l’analyser ou de le modifier. Certaines adresses mémoire critiques sont aussi chiffrées ou régulièrement déplacées, ce qui rend beaucoup plus difficile le repérage de valeurs utiles par des outils de triche.
Par ailleurs, de nombreuses solutions anti-triche surveillent l’environnement du système d’exploitation pour détecter des signes de triche. Par exemple, elles peuvent vérifier la présence de drivers non officiels ou de modes spéciaux du système (comme le test mode de Windows qui permet de charger des pilotes non signés), car ce sont des méthodes parfois utilisées pour masquer des cheats au niveau noyau. Elles peuvent également détecter des actions suspectes telles que des hooks (accrochages) de fonctions système ou l’affichage d’overlays non autorisés en jeu (souvent utilisés par les menus de cheats). Toute anomalie de ce genre peut entraîner un flag par le système anti-triche, qui remonte l’information aux serveurs du jeu.

Mais, comme tout pilote qui se charge bas dans le système, il peut être la source d’instabilité en cas de bugs ou de comportements anormaux.
Ainsi, un système anti-triche peut provoquer des plantages du système tels que des BSOD sur Windows ou ralentissement du système.
Cela peut aussi provoquer des dysfonctionnements.
Par exemple, certains joueurs signalent des problèmes de compatibilité liés à EA Javelin Anticheat, notamment avec des logiciels de remappage de manette (.e.g DS4Windows) et sous Linux/Steam Deck.
Enfin, sur des forums comme Reddit, certains dénoncent des faux positifs affectant des joueurs légitimes.
Quels sont les systèmes anti-triche les plus courants
Il existe une variété de solutions anti-triche déployées selon les jeux. Parmi les plus connues, on peut citer PunkBuster, BattlEye, Easy Anti-Cheat ou encore le Valve Anti-Cheat (VAC) utilisé sur Steam. Chaque programme antitriche a son fonctionnement propre, mais tous partagent le même objectif : détecter et empêcher la triche pour garantir une expérience équitable. Par exemple, le système VAC de Valve s’appuie largement sur la détection de signatures de triche connues et compare toute modification du jeu visant à donner un avantage indu avec une base de données d’applications bannies.
Electronic Arts lance EA Javelin Anticheat, sa nouvelle génération de solution anti-triche en mode kernel, déjà déployée dans 14 titres PC, dont Battlefield 2042, FIFA 23 et Madden NFL. Cette technologie, axée sur la détection fine, la prévention proactive, et un respect de la vie privée, vise à garantir l’équité en jeu tout en rassurant les joueurs sur les potentiels impacts système.
De son côté, BattlEye utilise une approche hybride qui combine la détection de modèles en mémoire et la surveillance en temps réel des comportements de jeu anormaux. Certains jeux très compétitifs, comme ceux de Riot Games, vont jusqu’à intégrer un module anti-triche au niveau du noyau du système (driver en mode kernel) pour avoir un contrôle total et empêcher même les cheats les plus sophistiqués. Cette course à l’armement est permanente : dès qu’une nouvelle protection anti-triche apparaît, les tricheurs essaient de la contourner, forçant les développeurs à redoubler d’ingéniosité. C’est un véritable jeu du chat et de la souris entre créateurs de cheats et éditeurs de jeux.
Que se passe-t-il lorsqu’une triche est détectée
Lorsque les systèmes anti-triche repèrent une tricherie avérée, ils peuvent réagir de plusieurs façons. Souvent, le joueur est expulsé immédiatement de la partie en cours (pour stopper la triche en temps réel). Ensuite, dans la majorité des cas, une sanction plus durable est appliquée : cela peut être un banissement automatique du compte du tricheur, généralement de façon permanente, sur le jeu concerné et parfois sur l’ensemble de la plateforme. Par exemple, un joueur détecté par VAC sur un titre multijoueur Steam verra son compte marqué comme ayant triché, et au bout de quelques jours, il sera banni définitivement des serveurs sécurisés sur ce jeu. De même, un utilisateur pris par BattlEye ou Easy Anti-Cheat sera souvent banni sur-le-champ du serveur, et son identifiant pourra être mis sur liste noire, l’empêchant de rejouer en ligne.
Les développeurs s’assurent généralement que ces bans sont définitifs et non contournables, afin d’envoyer un message fort aux tricheurs. Certains vont jusqu’à bannir également l’adresse IP ou l’empreinte matérielle de l’ordinateur, pour éviter que le tricheur ne crée simplement un nouveau compte. En résumé, les anti-cheats modernes combinent surveillance logicielle et mesures punitives pour dissuader la triche à tous les niveaux.
Quels sont les risques pour le joueur tricheur ?
Utiliser Cheat Engine ou tout autre outil de triche peut sembler facile, mais cela vous expose à des risques importants, que ce soit vis-à-vis de votre accès au jeu ou même sur le plan légal. Voici les principaux dangers à connaître avant de tenter la moindre tricherie.
Bannissement du jeu et perte du compte
C’est la sanction la plus courante. Si vous êtes détecté en train de tricher, vous vous exposez à un ban – c’est-à-dire l’interdiction d’accéder au jeu (ou au service en ligne) avec votre compte. Ce ban est généralement définitif pour le jeu concerné, voire pour tous les jeux du même éditeur ou de la même plateforme. Concrètement, votre compte pourra être fermé et vous perdrez l’accès à vos personnages, à votre progression et aux éventuels contenus achetés. Par exemple, un joueur qui utiliserait Cheat Engine dans une partie en ligne sur Steam recevra sans doute un VAC ban irrévocable sur ce jeu, très rapidement après la détection.
De manière générale, tricher entraîne l’interdiction d’accès au compte fautif dans la plupart des jeux en ligne. À noter que cette sanction s’applique même si vous trichiez en solo dans un jeu connecté : de nombreux titres coopératifs ou semi-en ligne surveillent aussi les modifications de mémoire et n’hésitent pas à bannir un compte, même si la triche n’a pas (en apparence) lésé d’autres joueurs. En somme, le premier risque est de perdre définitivement votre accès au jeu.
Risques juridiques et poursuites
Outre le bannissement, il faut savoir que la triche enfreint les conditions d’utilisation des jeux, qui ont une valeur contractuelle. En théorie, un éditeur pourrait sanctionner un tricheur en justice pour non-respect du contrat ou pour les dommages causés à son activité.
Dans la pratique, les poursuites visent surtout les cas graves de triche : par exemple, les personnes qui développent, distribuent ou vendent des logiciels de triche à grande échelle. Ces dernières années, l’industrie du jeu vidéo a intensifié la lutte et n’hésite plus à recourir aux tribunaux pour faire cesser la triche organisée. Un exemple concret emblématique concerne Fortnite : en 2022, Epic Games a gagné un procès contre un joueur australien qui trichait et vendait des outils de triche.
Reconnu coupable de violation du CLUF et de droits d’auteur, il a dû verser des dommages et intérêts à l’éditeur et présenter des excuses publiques, en plus de voir son commerce illégal fermé.
D’autres éditeurs comme Activision, Riot Games ou Blizzard ont également poursuivi en justice des créateurs de cheats, obtenant des amendes de plusieurs millions de dollars dans certains cas. Pour le joueur lambda qui triche sans but lucratif, le risque judiciaire direct est plus rare, mais pas impossible : par exemple, se faire attraper en trichant lors d’un tournoi e-sport ou dans un contexte professionnel peut mener à des sanctions légales (fraude, disqualification, etc.).
Retenez surtout que la triche vous place en défaut vis-à-vis de la loi (rupture de contrat, atteinte à l’intégrité d’un service en ligne, etc.), et que les entreprises de jeu sont de moins en moins indulgentes à ce sujet.
Virus, malware et autres dangers informatiques
Un risque souvent sous-estimé des logiciels de triche vient de leur provenance et de leur contenu. De nombreux programmes de cheat circulant sur Internet sont en réalité des malwares déguisés. Les tricheurs peu méfiants téléchargent un prétendu “cheat gratuit” pour un jeu et exécutent sans le savoir un virus qui infecte leur ordinateur.
Des rapports de sécurité ont montré que des malware voleurs de données sont régulièrement diffusés sous forme de faux cheats sur YouTube ou Discord. Même Cheat Engine, lorsqu’il est téléchargé en dehors du site officiel, peut avoir été repackagé avec des logiciels indésirables ou malveillants. Il faut savoir que les antivirus détectent souvent les outils de triche comme des menaces – non pas parce que Cheat Engine en soi est un virus, mais parce que sa capacité à manipuler la mémoire ressemble au comportement de certains malware. Ainsi, beaucoup d’antivirus le classent comme PUP (programme potentiellement indésirable). Parfois, cela joue en faveur des vrais virus : un troyen pourra se cacher dans un cheat en se faisant passer pour un faux positif.
Tricher peut donc exposer votre PC aux infections. En effet, il n’est pas rare que les logiciels de triche téléchargés contiennent des virus qui seront exécutés sur votre machine. Même payer pour un cheat “privé” n’est pas une garantie de sécurité : certains développeurs véreux n’hésitent pas à inclure des portes dérobées dans leurs programmes pour voler des informations aux utilisateurs imprudents. En somme, le deuxième grand risque de la triche, c’est de compromettre la sécurité de votre ordinateur et de vos données personnelles.
Atteinte à votre réputation et expérience de jeu gâchée
Enfin, sur un plan plus personnel, utiliser des cheats peut nuire à votre réputation au sein de la communauté des joueurs. Si vous êtes identifié comme tricheur, vous risquez d’être mis à l’écart par vos pairs et de perdre le respect de la communauté. Les jeux en ligne reposent sur la confiance entre joueurs : une fois catalogué comme tricheur, même sur un autre compte, il sera difficile de regagner la confiance des autres. Par ailleurs, tricher peut tout simplement gâcher le plaisir du jeu. Les cheat codes ou logiciels comme Cheat Engine peuvent retirer tout le défi et la satisfaction de progresser par soi-même. Beaucoup de joueurs rapportent qu’après avoir triché, ils se sont lassés plus vite du jeu, n’ayant plus aucun objectif ni difficulté à surmonter. Ainsi, au-delà des risques techniques, la triche comporte un risque de dénaturer votre propre expérience de jeu.
Conclusion
En conclusion, Cheat Engine illustre parfaitement la facilité avec laquelle on peut altérer un jeu vidéo, mais son utilisation s’accompagne de mesures de plus en plus strictes et de risques majeurs. D’un côté, nous avons vu qu’il s’agit d’un puissant outil de modification de mémoire, capable de donner un avantage injuste au joueur en quelques clics. De l’autre, les éditeurs ripostent avec des systèmes anti-triche sophistiqués, comparables à des antivirus, qui surveillent en permanence les jeux en ligne afin de détecter la moindre anomalie ou intrusion. Ces deux forces opposées évoluent constamment et se livrent un combat silencieux pour la domination technologique.
Pour le joueur tenté par la triche, le message est clair : le jeu n’en vaut pas la chandelle. Les bénéfices à court terme (passer un boss difficile, obtenir de l’or illimité, etc.) sont largement éclipsés par les conséquences potentielles. Vous risquez non seulement de perdre votre compte et tout votre investissement dans le jeu, mais aussi d’exposer votre machine à des logiciels malveillants ou d’avoir des ennuis juridiques en cas de triche à grande échelle. Sans oublier l’aspect éthique et social – tricher casse le fair-play et nuit à l’expérience de tous les autres joueurs.
Pour toutes ces raisons, il est fortement déconseillé d’utiliser des outils comme Cheat Engine dans un jeu en ligne ou compétitif. Si vous tenez malgré tout à expérimenter avec Cheat Engine, faites-le hors ligne, sur des parties solo et en étant conscient des risques encourus. Respecter les règles du jeu et relever les défis sans triche reste la meilleure façon de profiter pleinement de vos jeux vidéo, en toute sérénité et sans danger pour votre compte ou votre ordinateur. Jouer loyalement vous assurera non seulement de préserver le plaisir du jeu, mais aussi d’éviter les graves déconvenues associées à la triche. En somme, la triche n’est jamais une solution durable – mieux vaut jouer dans les règles et savourer vos victoires honnêtement acquises.
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Supprimer Cheat Engine facilement et complètement de votre PC en Windows
Vous avez installé Cheat Engine et souhaitez maintenant le supprimer complètement de votre ordinateur ? Que ce soit pour éviter un bannissement dans vos jeux en ligne ou parce que votre antivirus le détecte comme une menace, il est essentiel de supprimer toutes les traces de Cheat Engine sur Windows.
Dans ce tutoriel simple et détaillé, découvrez étape par étape comment désinstaller définitivement Cheat Engine, nettoyer les fichiers résiduels, et sécuriser votre système efficacement.
Désinstallation classique via les paramètres (Méthode 1)
- Faites un clic droit sur le menu Démarrer
- Puis Applications installées
- Recherchez Cheat Engine dans la liste des applications
- Cliquez dessus, puis cliquez sur Désinstaller

- Suivez les instructions à l’écran pour compléter la désinstallation.
Au cas où Cheat Engine n’apparaît pas dans la liste des applications installées, vous pouvez lancer le programme de désinstallation de cette manière :
- Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier
- Allez dans le dossier C:\Programmes > Cheat Engine
- Cherchez et double-cliquez sur le fichier unins000.exe
- Confirmez la désinstallation et laissez vous guider

Supprimer les fichiers restants manuellement (Méthode 2)
Une autre façon de faire, plus radicale, est de supprimer manuellement les fichiers et clés du registre liés à l’application.
Voici comment opérer :
- Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier
- Naviguez vers :
- C:\Program Files (x86)\
- C:\Program Files\
- C:\Users\VotreUtilisateur\AppData\Local\
- C:\Users\VotreUtilisateur\AppData\Roaming\
- Supprimez tous dossier nommé Cheat Engine si vous en trouvez un.
- Videz ensuite votre Corbeille.

Cette étape est facultative, mais garantit une désinstallation complète :
- Sur votre clavier, appuyez sur lesa touches
- Puis saisissez regedit et OK. Plus de détails : comment accéder au registre Windows
- Allez dans l’éditeur de registre vers :
- HKEY_CURRENT_USER\Software\
- HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\
- Recherchez toute clé nommée Cheat Engine. Pour cela, positionnez-vous sur la clé et appuyez sur F3 pour lancer une recherche sur Cheat.

- Faites un clic droit sur les entrées correspondantes → Supprimer.
- Fermez l’éditeur du registre et redémarrez votre PC.
Méthode automatique : Utiliser un logiciel spécialisé
Si vous préférez une méthode automatisée, vous pouvez utiliser un logiciel de désinstallation avancée comme :
Lancez la désinstallation et laissez-vous guider.

Le logiciel analyse l’ordinateur afin de détecter des traces résiduelles de CCheat Engine pour le supprimer du système.

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