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Windows 11 25H2 : ce que l’on sait sur la prochaine mise à jour
Microsoft prépare actuellement Windows 11 version 25H2, prévue pour l’automne 2025, probablement entre septembre et octobre. Cette version conserve la plateforme existante — nommée Germanium, déjà utilisée par la version 24H2 —, dans une logique d’enablement update, autrement dit un déploiement léger comparable à une mise à jour cumulative mensuelle.
Voici ce qu’il faut savoir sur cette prochaine mise à jour de Windows 11.
Quel est le calendrier, durée de support et nature de la mise à jour
Voici le calendrier de déploiement :
- Déploiement prévu : automne 2025, selon le cycle habituel (hiver/printemps, été/automne).
- Support : 24 mois pour les éditions Home, Pro, Pro Education et Workstation ; 36 mois pour les éditions Enterprise et Education.
Concernant la nature de la mise à jour :
- Léger et sécuritaire : version 25H2 est une mise à jour d’activation (“switch”) légère, évitant les lourdeurs d’une réinstallation complète. Elle se concentre sur la stabilité et la fiabilité plus que sur les nouveautés massives.
- Plateforme stable : la base reste la plateforme Germanium, déjà éprouvée, ce qui réduit le risque de bugs comparé aux mises à jour plus disruptives.
Quelels sont les nouvelles fonctionnalités à venir dans Windows 11 25H2
Même si Windows 11 version 25H2 adopte une approche modérée (mise à jour d’activation légère sur la plateforme Germanium), plusieurs nouveautés précieuses sont prévues pour renforcer l’expérience utilisateur. Voici en détail ce que l’on peut attendre :
Refonte du menu Démarrer (plus personnalisable)
Microsoft prépare un menu Démarrer modernisé, désormais présenté dans un seul panneau défilant : les applications épinglées en haut, les recommandations au milieu, et la liste complète en bas. Cette version propose également une meilleure organisation par catégories et la possibilité de supprimer entièrement les recommandations, pour une interface plus épurée.

Uniformisation des ports USB‑C
À l’heure actuelle, les ports USB‑C sur PC sont très hétérogènes. Microsoft impose désormais via le Windows Hardware Compatibility Program que tous les ports USB‑C sur les machines certifiées supportent 3 fonctions essentielles : transfert de données, alimentation et affichage, avec compatibilité assurée USB4/Thunderbolt 3. Fini les câbles inutilement restreints : votre PC saura désormais exactement ce que chaque port peut faire.
Windows 11 24H2 obligatoire | Comment cela permet d’améliorer l’expérience sur PC |
---|---|
Silicium certifié USB-IF | Utilise des puces testées pour des connexions USB fiables |
Fourniture d’énergie | Prise en charge de la charge rapide à des tensions et courants plus élevés |
Mode Alt DisplayPort | Peut piloter des moniteurs externes via USB-C |
Microsoft Driver Stack | Utilise les pilotes USB intégrés de Windows pour les mises à jour et la sécurité |
Bande passante complète de 40 Gbps ou 80 Gbps | Fournit les vitesses de données annoncées sur chaque port |
Tunnel PCIe | Permet aux GPU externes ou aux disques NVMe de fonctionner de manière transparente |
Compatibilité Thunderbolt | Fonctionne avec les appareils et les stations d’accueil Thunderbolt 3/4 |
Prise en charge des moniteurs 4K | Peut faire fonctionner jusqu’à deux écrans 4K à 60 Hz |
Intégration étendue de l’IA (Copilot & Click to Do)
Windows 11 poursuit sa mutation IA :
- Click to Do, le concept d’actions contextuelles sur texte sélectionné ou contenu d’image, s’enrichit d’une option « Draft with Copilot in Word », transformant un simple paragraphe copié en document Word complet.
- Dans l’application Paramètres, un agent IA intégré pourrait vous aider activement pour la configuration ou la résolution de problèmes.
- Sur les machines Copilot+, attendez-vous à des améliorations de “Recall,” “Windows Search,” et actions »Click to Do » intelligentes dans les langues EEA.
Améliorations pour les gamers et stabilité
- Amélioration de la stabilité : après les difficultés rencontrées avec 24H2, cette version vise un déploiement sans accrocs.
- Microsoft Edge Game Assist arrive dans Game Bar (
Win + G
), intégrant des guides et conseils contextuels directement en jeu (ex. S.T.A.L.K.E.R. II). - Windows 11 améliore également la stabilité des jeux sur des appareils spécifiques (ex. MSI Claw) pour éviter les crashs sur la version 24H2 et garantir une expérience plus fluide.
- Windows 11 25H2 ralentit le processeur lorsque vous êtes absent afin d’augmenter l’autonomie de la batterie
Diagnostics et récupération simplifiés
- Un nouveau module « Récupération rapide de la machine » (Quick Machine Recovery) permettra de restaurer automatiquement Windows via WinRE après une panne de démarrage détectée.
- Avec les Device Cards dans les paramètres, retrouvez en un coup d’œil les spécifications matérielles essentielles : CPU, RAM, espace disque… parfait pour le support ou la maintenance.

Mise à jour utilitaire moderne
- Bloc-notes gagne un support basique de Markdown, d’ajouts de titres et listes, modernisant le plus simple des éditeurs.
- Le Microsoft Store s’enrichit de la comparaison via Copilot et amélioration des critères de recommandation

Ce qu’il faut savoir
- Mise à jour progressive : Microsoft adoptera un déploiement échelonné, donc tous les utilisateurs ne recevront pas immédiatement la 25H2.
- Compatibilité : les systèmes déjà compatibles avec 24H2 sont a priori prêts pour 25H2 — peu de nouveaux critères requis.
- Fin de support imminent : Windows 10 sera abandonné en octobre 2025, rendant la transition vers 11 (et idéalement la 25H2).
Aspect | Détails |
---|---|
Date de sortie | Automne 2025 (sept–oct) |
Nature | Mise à jour légère basée sur Germanium |
Support | 24 mois (Home/Pro), 36 mois (Enterprise/Education) |
Nouveautés possibles | Personnalisation du menu Démarrer, agent IA dans les paramètres, USB‑C uniformisé, stabilité gaming |
Objectif principal | Fiabilité et stabilité post-24H2 sans chamboulements |
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Résoudre l’erreur ‘ms-gamingoverlay’ (Game Bar) qui interrompt vos jeux
Lorsque vous lancez un jeu sur Windows 10 ou 11, un message intempestif peut s’afficher :
« Obtenir une application pour ouvrir ce lien ‘ms‑gamingoverlay’ ».
Ce popup apparait généralement lorsque Windows tente d’ouvrir la Xbox Game Bar (ms‑gamingoverlay) sans que l’application adéquate soit installée ou activée. Le résultat ? Un retour inattendu sur le bureau, ruinant l’immersion en jeu.
Dans cet article détaillé, découvrez pourquoi ce message apparaît et comment le bloquer efficacement : désactivation de la Game Bar, désinstallation propre via PowerShell, modification des clés registre Windows et réinstallation si besoin. Des explications claires, accessibles à tous, pour enfin jouer sans interruptions gênantes !
Pourquoi cet popup apparaît
Ce message s’affiche généralement lorsque Windows tente d’activer la barre de jeu (Xbox Game Bar) via le protocole ms-gamingoverlay
, mais que l’application associée n’est plus installée ou est mal configurée.
Résultat : le système ne trouve aucune application capable de gérer ce lien et affiche ce message d’erreur :
Obtenir une application pour ouvrir ce lien ‘ms-gamingoverlay’.
Votre PC n’a pas d’application qui peut ouvrir ce lien.

Solutions pour supprimer définitivement le popup
Désactiver les captures de la Game Bar
- Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier
- Puis, allez dans Jeux → Captures
- Désactivez l’option « Enregistrer des extraits de jeu, des captures d’écran et diffuser à l’aide de la barre de jeu ».
Cela empêche Windows de déclencher le protocolems-gamingoverlay
lorsque vous appuyez surWin + G

- Redémarrez votre jeu et testez : le popup devrait avoir disparu.
Supprimer Microsoft XboxGameOverlay
Si le popup continue de s’ouvrir durant vos sessions de jeux : vous pouvez tenter de supprimer XBoxGameOverlay et désactiver GameDRV.
Ces ajustements empêchent les services de tenter de lancer la Game Bar.
Voici comment faire :
- Ouvrez une invite de commandes en administrateur :

- Puis copiez/collez ces commandes :
powershell "Get-AppxPackage *Microsoft.XboxGameOverlay* | Remove-AppxPackage"
powershell "Get-AppxPackage *Microsoft.XboxGamingOverlay* | Remove-AppxPackage"
reg add HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\GameDVR /f /t REG_DWORD /v AppCaptureEnabled /d 0
reg add HKEY_CURRENT_USER\System\GameConfigStore /f /t REG_DWORD /v GameDVR_Enabled /d 0
- Fermez l’invite de commandes
- Enfin, rejouez à vos jeux pour tester si cela résout le problème de message ‘ms-gamingoverlay’
Réenregistrer les apps Windows (en dernier recours)
Si le problème persiste, cette commande restaure les applications système manquantes, dont la Game Bar :
- Appuyez sur le raccourci clavier
- Ensuite tapez :
Get-AppXPackage -AllUsers | Foreach {Add-AppxPackage -DisableDevelopmentMode -Register "$($_.InstallLocation)\AppXManifest.xml"}
- Redémarrez l’ordinateur pour prendre en compte les modifications
- Testez le comportemant de votre PC en Windows lors des sessions de jeux
Liens
- Comment activer et afficher la Xbox Game Bar
- Comment enregistrer un jeu en vidéo avec XBox Game Bar
- Désactiver la Xbox Game Bar de Windows 10, 11
- Résoudre Xbox Game Bar ne se lance pas sur Windows 10, 11
- Comment faire un live streaming avec OBS Studio (Twitch, Youtube, Streamlabs)
- Les meilleures extensions Google pour enregistrer une vidéo
- Windows 11 : faire une capture d’écran avec l’outil de capture d’écran
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Fin de Windows 10 : KDE tacle Microsoft et vous encourage à passer sur Linux
KDE critique Microsoft à l’approche de la fin de Windows 10 et propose Linux comme alternative gratuite et durable, grâce à l'environnement KDE Plasma.
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Le FBI alerte : plus d’un million d’appareils sont infectés par le malware BADBOX 2.0 !
Plus d'un million d'appareils, notamment des box Android, sont infectés par un logiciel malveillant surnommé BADBOX 2.0 : le FBI tire la sonnette d’alarme !
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Windows : Microsoft a partagé un script pour recréer correctement le répertoire « inetpub »
Vous avez supprimé le dossier inetpub créé par une mise à jour Windows ? Ce script PowerShell vous permet de le recréer avec les bons droits !
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How to activate the built-in Administrator account in Windows 11
Cheat Engine et systèmes anti-triche dans les jeux vidéo : fonctionnement et risques
Tricher (Cheater en anglais) dans un jeu vidéo peut sembler tentant pour surmonter une difficulté, mais cela comporte de sérieux risques. Des logiciels comme Cheat Engine facilitent la triche en permettant de modifier la mémoire d’un jeu pour obtenir des avantages. En réponse, les développeurs ont mis en place des systèmes anti-triche de plus en plus sophistiqués pour préserver l’équité en jeu.
Dans cet article pédagogique et neutre, je vous explique d’abord ce qu’est Cheat Engine et comment il fonctionne. Nous verrons ensuite comment les systèmes anti-triche détectent ces manipulations. Enfin, je vous détaille les risques associés à l’utilisation de tels logiciels – qu’il s’agisse du bannissement de votre compte ou même de conséquences juridiques – afin de vous mettre en garde de manière éclairée. L’objectif est de rendre ces notions accessibles à tous, même aux non-techniciens, grâce à des explications claires et des exemples concrets.
Qu’est-ce que Cheat Engine ?
Cheat Engine (souvent abrégé CE) est un logiciel utilitaire qui scanne et modifie la mémoire des jeux vidéo sur PC dans le but de donner des avantages au joueur. Autrement dit, il permet de tricher en altérant en temps réel certaines données du jeu, comme par exemple les points de vie, le montant d’argent virtuel ou les munitions disponibles. Concrètement, l’utilisateur peut rechercher une valeur numérique utilisée par le jeu (par exemple son score, la santé du personnage, etc.), puis la changer à sa convenance. Grâce à cette technique, Cheat Engine peut offrir des avantages comme la santé infinie, des munitions illimitées ou encore la modification de la vitesse du jeu (communément appelé speed hack). Le programme dispose même d’outils avancés permettant des triches plus sophistiquées comme voir à travers les murs via un wallhack ou créer un aimbot pour viser automatiquement.
Ci-dessous, l’interface de Cheat Engine, où un joueur cherche à modifier et manipuler les valeurs en mémoire du processus du jeu (Atomicrops.exe).

Bien que Cheat Engine soit disponible gratuitement et largement utilisé dans la communauté du jeu, il convient de souligner qu’il est destiné principalement à un usage en solo. Son créateur (Eric Heijnen alias “Dark Byte”) le présente comme un outil d’apprentissage ou de modding pour jeux hors ligne, et avertit les utilisateurs de respecter les conditions d’utilisation des jeux. En effet, utiliser Cheat Engine dans un jeu multijoueur va à l’encontre des règlements de la plupart des éditeurs. Le site officiel lui-même rappelle de vérifier que l’on ne viole pas le CLUF (Contrat de Licence Utilisateur Final) ou les conditions du jeu avant d’attacher Cheat Engine à un processus. D’une manière générale, Cheat Engine est conçu pour le jeu solo et son utilisation en ligne est fortement déconseillée. Tenter de l’utiliser dans une partie multijoueur active très souvent les alarmes anti-triche et peut entraîner des sanctions immédiates.
En résumé, son utilisation est plutôt destinée en mode solo, en mode multijoueur, cela peut provoquer des bannissements du jeu en ligne.
Comment fonctionnent les systèmes anti-triche ?
Face à des outils comme Cheat Engine, les éditeurs ont développé des logiciels anti-triche (ou anti-cheat) afin de protéger l’intégrité des parties en ligne. Un logiciel anti-triche fonctionne un peu comme un antivirus : il tourne en tâche de fond pendant que vous jouez et surveille le système à la recherche de programmes suspects ou de modifications anormales du jeu. Par exemple, l’anti-triche peut scanner la mémoire du PC et les processus actifs pour détecter la présence de signatures connues de triches ou d’outils de hacking. Si un programme non autorisé injecte du code dans le jeu ou altère des fichiers, l’anti-cheat le repérera généralement grâce à ces empreintes numériques.

Quel est leur fonctionnement général
En plus de la détection par signature, les systèmes anti-triche modernes multiplient les techniques de protection proactives. Ils intègrent souvent des mesures d’auto-défense dans le jeu lui-même : par exemple, un jeu peut chiffrer dynamiquement certaines portions de son code en mémoire et effectuer des vérifications d’intégrité en continu pour s’assurer qu’aucune donnée n’a été modifiée de manière illégitime. De même, le code du jeu peut être obfusqué (c’est-à-dire volontairement rendu confus et morcelé) afin de compliquer la tâche des créateurs de cheats qui tenteraient de l’analyser ou de le modifier. Certaines adresses mémoire critiques sont aussi chiffrées ou régulièrement déplacées, ce qui rend beaucoup plus difficile le repérage de valeurs utiles par des outils de triche.
Par ailleurs, de nombreuses solutions anti-triche surveillent l’environnement du système d’exploitation pour détecter des signes de triche. Par exemple, elles peuvent vérifier la présence de drivers non officiels ou de modes spéciaux du système (comme le test mode de Windows qui permet de charger des pilotes non signés), car ce sont des méthodes parfois utilisées pour masquer des cheats au niveau noyau. Elles peuvent également détecter des actions suspectes telles que des hooks (accrochages) de fonctions système ou l’affichage d’overlays non autorisés en jeu (souvent utilisés par les menus de cheats). Toute anomalie de ce genre peut entraîner un flag par le système anti-triche, qui remonte l’information aux serveurs du jeu.

Mais, comme tout pilote qui se charge bas dans le système, il peut être la source d’instabilité en cas de bugs ou de comportements anormaux.
Ainsi, un système anti-triche peut provoquer des plantages du système tels que des BSOD sur Windows ou ralentissement du système.
Cela peut aussi provoquer des dysfonctionnements.
Par exemple, certains joueurs signalent des problèmes de compatibilité liés à EA Javelin Anticheat, notamment avec des logiciels de remappage de manette (.e.g DS4Windows) et sous Linux/Steam Deck.
Enfin, sur des forums comme Reddit, certains dénoncent des faux positifs affectant des joueurs légitimes.
Quels sont les systèmes anti-triche les plus courants
Il existe une variété de solutions anti-triche déployées selon les jeux. Parmi les plus connues, on peut citer PunkBuster, BattlEye, Easy Anti-Cheat ou encore le Valve Anti-Cheat (VAC) utilisé sur Steam. Chaque programme antitriche a son fonctionnement propre, mais tous partagent le même objectif : détecter et empêcher la triche pour garantir une expérience équitable. Par exemple, le système VAC de Valve s’appuie largement sur la détection de signatures de triche connues et compare toute modification du jeu visant à donner un avantage indu avec une base de données d’applications bannies.
Electronic Arts lance EA Javelin Anticheat, sa nouvelle génération de solution anti-triche en mode kernel, déjà déployée dans 14 titres PC, dont Battlefield 2042, FIFA 23 et Madden NFL. Cette technologie, axée sur la détection fine, la prévention proactive, et un respect de la vie privée, vise à garantir l’équité en jeu tout en rassurant les joueurs sur les potentiels impacts système.
De son côté, BattlEye utilise une approche hybride qui combine la détection de modèles en mémoire et la surveillance en temps réel des comportements de jeu anormaux. Certains jeux très compétitifs, comme ceux de Riot Games, vont jusqu’à intégrer un module anti-triche au niveau du noyau du système (driver en mode kernel) pour avoir un contrôle total et empêcher même les cheats les plus sophistiqués. Cette course à l’armement est permanente : dès qu’une nouvelle protection anti-triche apparaît, les tricheurs essaient de la contourner, forçant les développeurs à redoubler d’ingéniosité. C’est un véritable jeu du chat et de la souris entre créateurs de cheats et éditeurs de jeux.
Que se passe-t-il lorsqu’une triche est détectée
Lorsque les systèmes anti-triche repèrent une tricherie avérée, ils peuvent réagir de plusieurs façons. Souvent, le joueur est expulsé immédiatement de la partie en cours (pour stopper la triche en temps réel). Ensuite, dans la majorité des cas, une sanction plus durable est appliquée : cela peut être un banissement automatique du compte du tricheur, généralement de façon permanente, sur le jeu concerné et parfois sur l’ensemble de la plateforme. Par exemple, un joueur détecté par VAC sur un titre multijoueur Steam verra son compte marqué comme ayant triché, et au bout de quelques jours, il sera banni définitivement des serveurs sécurisés sur ce jeu. De même, un utilisateur pris par BattlEye ou Easy Anti-Cheat sera souvent banni sur-le-champ du serveur, et son identifiant pourra être mis sur liste noire, l’empêchant de rejouer en ligne.
Les développeurs s’assurent généralement que ces bans sont définitifs et non contournables, afin d’envoyer un message fort aux tricheurs. Certains vont jusqu’à bannir également l’adresse IP ou l’empreinte matérielle de l’ordinateur, pour éviter que le tricheur ne crée simplement un nouveau compte. En résumé, les anti-cheats modernes combinent surveillance logicielle et mesures punitives pour dissuader la triche à tous les niveaux.
Quels sont les risques pour le joueur tricheur ?
Utiliser Cheat Engine ou tout autre outil de triche peut sembler facile, mais cela vous expose à des risques importants, que ce soit vis-à-vis de votre accès au jeu ou même sur le plan légal. Voici les principaux dangers à connaître avant de tenter la moindre tricherie.
Bannissement du jeu et perte du compte
C’est la sanction la plus courante. Si vous êtes détecté en train de tricher, vous vous exposez à un ban – c’est-à-dire l’interdiction d’accéder au jeu (ou au service en ligne) avec votre compte. Ce ban est généralement définitif pour le jeu concerné, voire pour tous les jeux du même éditeur ou de la même plateforme. Concrètement, votre compte pourra être fermé et vous perdrez l’accès à vos personnages, à votre progression et aux éventuels contenus achetés. Par exemple, un joueur qui utiliserait Cheat Engine dans une partie en ligne sur Steam recevra sans doute un VAC ban irrévocable sur ce jeu, très rapidement après la détection.
De manière générale, tricher entraîne l’interdiction d’accès au compte fautif dans la plupart des jeux en ligne. À noter que cette sanction s’applique même si vous trichiez en solo dans un jeu connecté : de nombreux titres coopératifs ou semi-en ligne surveillent aussi les modifications de mémoire et n’hésitent pas à bannir un compte, même si la triche n’a pas (en apparence) lésé d’autres joueurs. En somme, le premier risque est de perdre définitivement votre accès au jeu.
Risques juridiques et poursuites
Outre le bannissement, il faut savoir que la triche enfreint les conditions d’utilisation des jeux, qui ont une valeur contractuelle. En théorie, un éditeur pourrait sanctionner un tricheur en justice pour non-respect du contrat ou pour les dommages causés à son activité.
Dans la pratique, les poursuites visent surtout les cas graves de triche : par exemple, les personnes qui développent, distribuent ou vendent des logiciels de triche à grande échelle. Ces dernières années, l’industrie du jeu vidéo a intensifié la lutte et n’hésite plus à recourir aux tribunaux pour faire cesser la triche organisée. Un exemple concret emblématique concerne Fortnite : en 2022, Epic Games a gagné un procès contre un joueur australien qui trichait et vendait des outils de triche.
Reconnu coupable de violation du CLUF et de droits d’auteur, il a dû verser des dommages et intérêts à l’éditeur et présenter des excuses publiques, en plus de voir son commerce illégal fermé.
D’autres éditeurs comme Activision, Riot Games ou Blizzard ont également poursuivi en justice des créateurs de cheats, obtenant des amendes de plusieurs millions de dollars dans certains cas. Pour le joueur lambda qui triche sans but lucratif, le risque judiciaire direct est plus rare, mais pas impossible : par exemple, se faire attraper en trichant lors d’un tournoi e-sport ou dans un contexte professionnel peut mener à des sanctions légales (fraude, disqualification, etc.).
Retenez surtout que la triche vous place en défaut vis-à-vis de la loi (rupture de contrat, atteinte à l’intégrité d’un service en ligne, etc.), et que les entreprises de jeu sont de moins en moins indulgentes à ce sujet.
Virus, malware et autres dangers informatiques
Un risque souvent sous-estimé des logiciels de triche vient de leur provenance et de leur contenu. De nombreux programmes de cheat circulant sur Internet sont en réalité des malwares déguisés. Les tricheurs peu méfiants téléchargent un prétendu “cheat gratuit” pour un jeu et exécutent sans le savoir un virus qui infecte leur ordinateur.
Des rapports de sécurité ont montré que des malware voleurs de données sont régulièrement diffusés sous forme de faux cheats sur YouTube ou Discord. Même Cheat Engine, lorsqu’il est téléchargé en dehors du site officiel, peut avoir été repackagé avec des logiciels indésirables ou malveillants. Il faut savoir que les antivirus détectent souvent les outils de triche comme des menaces – non pas parce que Cheat Engine en soi est un virus, mais parce que sa capacité à manipuler la mémoire ressemble au comportement de certains malware. Ainsi, beaucoup d’antivirus le classent comme PUP (programme potentiellement indésirable). Parfois, cela joue en faveur des vrais virus : un troyen pourra se cacher dans un cheat en se faisant passer pour un faux positif.
Tricher peut donc exposer votre PC aux infections. En effet, il n’est pas rare que les logiciels de triche téléchargés contiennent des virus qui seront exécutés sur votre machine. Même payer pour un cheat “privé” n’est pas une garantie de sécurité : certains développeurs véreux n’hésitent pas à inclure des portes dérobées dans leurs programmes pour voler des informations aux utilisateurs imprudents. En somme, le deuxième grand risque de la triche, c’est de compromettre la sécurité de votre ordinateur et de vos données personnelles.
Atteinte à votre réputation et expérience de jeu gâchée
Enfin, sur un plan plus personnel, utiliser des cheats peut nuire à votre réputation au sein de la communauté des joueurs. Si vous êtes identifié comme tricheur, vous risquez d’être mis à l’écart par vos pairs et de perdre le respect de la communauté. Les jeux en ligne reposent sur la confiance entre joueurs : une fois catalogué comme tricheur, même sur un autre compte, il sera difficile de regagner la confiance des autres. Par ailleurs, tricher peut tout simplement gâcher le plaisir du jeu. Les cheat codes ou logiciels comme Cheat Engine peuvent retirer tout le défi et la satisfaction de progresser par soi-même. Beaucoup de joueurs rapportent qu’après avoir triché, ils se sont lassés plus vite du jeu, n’ayant plus aucun objectif ni difficulté à surmonter. Ainsi, au-delà des risques techniques, la triche comporte un risque de dénaturer votre propre expérience de jeu.
Conclusion
En conclusion, Cheat Engine illustre parfaitement la facilité avec laquelle on peut altérer un jeu vidéo, mais son utilisation s’accompagne de mesures de plus en plus strictes et de risques majeurs. D’un côté, nous avons vu qu’il s’agit d’un puissant outil de modification de mémoire, capable de donner un avantage injuste au joueur en quelques clics. De l’autre, les éditeurs ripostent avec des systèmes anti-triche sophistiqués, comparables à des antivirus, qui surveillent en permanence les jeux en ligne afin de détecter la moindre anomalie ou intrusion. Ces deux forces opposées évoluent constamment et se livrent un combat silencieux pour la domination technologique.
Pour le joueur tenté par la triche, le message est clair : le jeu n’en vaut pas la chandelle. Les bénéfices à court terme (passer un boss difficile, obtenir de l’or illimité, etc.) sont largement éclipsés par les conséquences potentielles. Vous risquez non seulement de perdre votre compte et tout votre investissement dans le jeu, mais aussi d’exposer votre machine à des logiciels malveillants ou d’avoir des ennuis juridiques en cas de triche à grande échelle. Sans oublier l’aspect éthique et social – tricher casse le fair-play et nuit à l’expérience de tous les autres joueurs.
Pour toutes ces raisons, il est fortement déconseillé d’utiliser des outils comme Cheat Engine dans un jeu en ligne ou compétitif. Si vous tenez malgré tout à expérimenter avec Cheat Engine, faites-le hors ligne, sur des parties solo et en étant conscient des risques encourus. Respecter les règles du jeu et relever les défis sans triche reste la meilleure façon de profiter pleinement de vos jeux vidéo, en toute sérénité et sans danger pour votre compte ou votre ordinateur. Jouer loyalement vous assurera non seulement de préserver le plaisir du jeu, mais aussi d’éviter les graves déconvenues associées à la triche. En somme, la triche n’est jamais une solution durable – mieux vaut jouer dans les règles et savourer vos victoires honnêtement acquises.
Liens
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Supprimer Cheat Engine facilement et complètement de votre PC en Windows
Vous avez installé Cheat Engine et souhaitez maintenant le supprimer complètement de votre ordinateur ? Que ce soit pour éviter un bannissement dans vos jeux en ligne ou parce que votre antivirus le détecte comme une menace, il est essentiel de supprimer toutes les traces de Cheat Engine sur Windows.
Dans ce tutoriel simple et détaillé, découvrez étape par étape comment désinstaller définitivement Cheat Engine, nettoyer les fichiers résiduels, et sécuriser votre système efficacement.
Désinstallation classique via les paramètres (Méthode 1)
- Faites un clic droit sur le menu Démarrer
- Puis Applications installées
- Recherchez Cheat Engine dans la liste des applications
- Cliquez dessus, puis cliquez sur Désinstaller

- Suivez les instructions à l’écran pour compléter la désinstallation.
Au cas où Cheat Engine n’apparaît pas dans la liste des applications installées, vous pouvez lancer le programme de désinstallation de cette manière :
- Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier
- Allez dans le dossier C:\Programmes > Cheat Engine
- Cherchez et double-cliquez sur le fichier unins000.exe
- Confirmez la désinstallation et laissez vous guider

Supprimer les fichiers restants manuellement (Méthode 2)
Une autre façon de faire, plus radicale, est de supprimer manuellement les fichiers et clés du registre liés à l’application.
Voici comment opérer :
- Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier
- Naviguez vers :
- C:\Program Files (x86)\
- C:\Program Files\
- C:\Users\VotreUtilisateur\AppData\Local\
- C:\Users\VotreUtilisateur\AppData\Roaming\
- Supprimez tous dossier nommé Cheat Engine si vous en trouvez un.
- Videz ensuite votre Corbeille.

Cette étape est facultative, mais garantit une désinstallation complète :
- Sur votre clavier, appuyez sur lesa touches
- Puis saisissez regedit et OK. Plus de détails : comment accéder au registre Windows
- Allez dans l’éditeur de registre vers :
- HKEY_CURRENT_USER\Software\
- HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\
- Recherchez toute clé nommée Cheat Engine. Pour cela, positionnez-vous sur la clé et appuyez sur F3 pour lancer une recherche sur Cheat.

- Faites un clic droit sur les entrées correspondantes → Supprimer.
- Fermez l’éditeur du registre et redémarrez votre PC.
Méthode automatique : Utiliser un logiciel spécialisé
Si vous préférez une méthode automatisée, vous pouvez utiliser un logiciel de désinstallation avancée comme :
Lancez la désinstallation et laissez-vous guider.

Le logiciel analyse l’ordinateur afin de détecter des traces résiduelles de CCheat Engine pour le supprimer du système.

Liens
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Adoption de Windows 11 : ralentissement global, croissance chez les joueurs, Microsoft pousse la migration
Croissance globale freinée en mai 2025
Statcounter indique que la part de marché de Windows 11 a ralenti en mai, passant de 47,3 % à 43,2 % des systèmes Windows dans le monde. Ce léger recul contraste avec les avancées constantes des mois précédents. Pendant ce temps, Windows 10 a regagné 0,3 %, atteignant environ 53,2%. Ce frémissement s’explique en partie par les exigences strictes de Windows 11 et l’hésitation de nombreux utilisateurs à changer de système juste avant la fin de support de Windows 10 en octobre 2025.
Windows 10 détenait déjà environ 57,08 % du marché des ordinateurs de bureau lorsque la date de fin de support de Windows 7 se profilait. En revanche, en mai 2025, Windows 11 en détenait environ 43,2 %.
Part de marché de Windows (mai 2025) | Pourcentage de la part de marché |
---|---|
Win10 | 53.2% |
Win11 | 43.23% |
Win7 | 2.47% |
WinXP | 0.54% |
Win8.1 | 0.29% |
Win8 | 0.21% |
Les joueurs adoptent Windows 11 en masse
À l’inverse, les joueurs sur Steam sont de plus en plus nombreux à migrer vers Windows 11. Les dernières données de Valve pour mars 2025 montrent que 55,34 % des utilisateurs de Steam utilisent désormais Windows 11, contre 40,58 % pour Windows 10. Ce succès s’explique par les optimisations gaming offertes par Windows 11 : Auto HDR, DirectStorage, et autres fonctionnalités conçues pour améliorer les performances et la fluidité des jeux.
En ce qui concerne le matériel, la configuration PC la plus populaire dispose de 16 Go de RAM (43 %), d’un CPU à 6 cœurs (29,79 %), d’une carte graphique Nvidia RTX 3060 (4,56 %), de 8 Go de VRAM (33,67 %) et d’un moniteur 1080p (55,35 %). Du côté des GPU, Nvidia détient une part impressionnante de 74,18 %, AMD 17,62 % et Intel 7,85 %. AMD s’en sort mieux du côté des processeurs. Alors qu’Intel domine toujours son rival avec une part de 59,69 %, AMD s’en rapproche avec une part de 40,31 %.
Microsoft encourage la transition vers Windows 11
Microsoft intensifie ses efforts pour inciter les utilisateurs de Windows 10 à migrer avant la fin du support. Une récente campagne de sensibilisation rappelle que mettre fin à la prise en charge de Windows 10 expose les appareils aux menaces de sécurité non corrigées. La société met en avant des PC Windows 11 « sécurisés », dotés notamment de la puce TPM 2.0 et du noyau sécurisé, visant les particuliers comme les entreprises. Asus a même rejoint le mouvement, recommandant d’abandonner Windows 10 pour une meilleure sécurité.
Analyse et perspectives
- Croissance globalement ralentie, mais temporaire : le ralentissement en mai est probablement lié au calendrier de fin de support Windows 10 en octobre 2025. Microsoft prévoit un regain d’intérêt dans les prochains mois.
- Les gamers, moteurs de l’adoption : le bond constant parmi les utilisateurs Steam indique que les avantages gaming de Windows 11 créent un solide moteur d’adoption.
- Stratégie proactive de Microsoft : en soulignant les risques de rester sur Windows 10 et les bénéfices de Windows 11, la firme pousse à combler l’écart avant qu’il ne soit trop tard.
Que faire avant la fin du support de Windows 10 ?
Voici les principales recommandations :
- Vérifiez si votre PC est compatible Windows 11 (TPM 2.0, CPU récent).
- Commentez les points forts : sécurité renforcée, fonctionnalités gaming, meilleure intégration cloud.
- Planifiez la migration avant octobre 2025, dans un environnement de test ou avec sauvegarde.
Grâce à ces tendances et incitations, le passage à Windows 11 se poursuit malgré le ralentissement. Les gamers y ont déjà basculé massivement, et Microsoft entend bien convaincre le reste des utilisateurs à rejoindre la plateforme la plus moderne… avant qu’il ne soit trop tard pour rester protégé.
Les liens du site :
- Fin de support de Windows 10 : Que faire ?
- Mettre à jour Windows 10 vers Windows 11 sur un PC non compatible sans TPM/Secure Boot
- Comment mettre à jour Windows 10 vers Windows 11 gratuitement
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Windows 11 : le menu Démarrer permet maintenant de projeter l’écran de son téléphone Android
Windows 11 améliore l’intégration des smartphones : accédez à votre téléphone Android ou iPhone directement depuis le menu Démarrer
Microsoft poursuit l’amélioration de l’intégration des smartphones dans Windows 11 avec de nouvelles fonctionnalités disponibles directement depuis le menu Démarrer. Ces nouveautés facilitent l’accès rapide aux téléphones Android et iPhone, permettant aux utilisateurs de visualiser des notifications, transférer des fichiers, ou encore effectuer la duplication d’écran de leur smartphone Android sans ouvrir d’application spécifique.
Accès rapide depuis le menu Démarrer
Avec la mise à jour Windows 11 24H2, Microsoft introduit un panneau flottant « Phone Link » intégré au menu Démarrer. Cette intégration permet d’afficher directement les notifications récentes, les messages, l’état de la batterie, ainsi que de transférer facilement des fichiers entre le PC et le smartphone sans passer par une application séparée.

Transfert de fichiers simplifié
La fonctionnalité « Envoyer des fichiers » permet désormais de transférer facilement des fichiers du PC vers un smartphone en quelques clics depuis le menu Démarrer. Les utilisateurs peuvent sélectionner les fichiers souhaités et suivre la progression du transfert en temps réel. Actuellement, il est possible de transférer des fichiers individuels, mais pas encore des dossiers entiers.

Duplication d’écran Android facilitée
Une autre nouveauté notable est la possibilité de dupliquer l’écran d’un smartphone Android directement depuis le menu Démarrer. Cette fonctionnalité permet d’afficher l’écran du smartphone directement sur l’ordinateur, idéal pour interagir avec les applications mobiles sur grand écran. Cette option est particulièrement optimisée pour les appareils Samsung dotés de One UI, offrant une interface adaptée à une utilisation sur PC.
Améliorations pour les utilisateurs d’iPhone
Les utilisateurs d’iPhone bénéficient également de nouveautés intéressantes, notamment la possibilité d’afficher l’état de la batterie, les notifications, ainsi que les dernières photos synchronisées via iCloud directement depuis le menu Démarrer. Cela améliore considérablement l’expérience utilisateur en créant un pont plus fluide entre les appareils Windows et Apple.
Comment activer ces fonctionnalités ?
Le panneau fait partie de la mise à jour Windows 11 KB5055627, que vous devez installer avant toute autre chose. Ensuite, mettez à jour toutes les applications du Microsoft Store et même l’application Link to Windows sur votre téléphone.
Pour profiter de ces nouvelles intégrations :
- Assurez-vous que Windows 11 est à jour avec la dernière version 24H2.
- Vérifiez que l’application Phone Link est à jour (version 1.24121.30.0 ou supérieure).
- Activez l’affichage du smartphone dans le menu Démarrer en allant dans :
- Paramètres > Personnalisation > Démarrer
- Activez l’option « Afficher les appareils mobiles dans le menu Démarrer ».
- Personnalisez l’affichage selon vos préférences dans les réglages de l’application Phone Link.
Ces améliorations promettent une expérience plus intuitive et productive, renforçant l’écosystème Windows en rapprochant les appareils mobiles et les ordinateurs.
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