ChatGPT est capable de générer des clés d'activation Windows valides, obtenues à partir d'un prompt destiné à contourner les mesures de sécurité d'OpenAI.
Vous souhaitez créer un ticket GLPI lorsqu'il y a une nouvelle alerte dans Centreon ? Dans ce tutoriel, nous verrons comment créer un ticket depuis un e-mail.
A new study by METR got a lot of attention online. It claims that developers often overestimate the productivity boost from AI tools. In a coding test, the researchers found that AI caused a 19% "slowdown" for developers. In my opinion, it's not AI coding that's overhyped, but rather the study's findings.
Le 13 juillet 2025, Microsoft a déployé KB5062553, la mise à jour Patch Tuesday pour Windows 11 version 24H2, censée renforcer la sécurité du système et corriger plusieurs bugs. Pourtant, de nombreux utilisateurs signalent que l’installation échoue, souvent après une progression marquée.
Les codes d’erreur les plus fréquents remontent à 0x8007371b, 0x800f0991, 0x80073712 ou 0x80071a2d. Ces codes interviennent généralement lorsque l’installation est presque terminée, bloquant le processus autour de 95 %, puis provoquant un rollback, comme l’a observé Windows Latest lors des tests. Les messages d’erreur, certes rébarbatifs, n’apportent aucune explication claire aux utilisateurs.
D’autres témoignages font état d’une paralysie de l’interface graphique pendant le processus, avec le curseur encore actif, parfois jusqu’au BSOD « internal power error ». Le redémarrage forcé est la seule solution dans ces situations.
Pour les utilisateurs confrontés à ces échecs répétés, Windows Latest recommande de recourir à l’installateur hors ligne (.msu) disponible sur le Microsoft Update Catalog. Sur les PC Intel ou AMD, installer préalablement la SSU (KB5043080) permettrait de résoudre 70 % des problèmes. Pour les configurations ARM, Microsoft propose une SSU spécifique. En dernier recours, l’outil Media Creation Tool permet une réinstallation in-place, corrigeant presque systématiquement ces blocages.
Au-delà de ces soucis d’installation, KB5062553 devait corriger une anomalie liée au Windows Firewall désormais marquée comme « résolue ». Pourtant, de nombreux utilisateurs, y compris sur les forums comme Reddit, confirment la persistance de l’événement 2042 (« Config Read Failed ») dans le journal des événements, avec le message « More data is available ». Ce faux positif, attribué à une fonctionnalité encore en développement, ne compromet pas la sécurité réelle du pare-feu, mais contribue à l’impression d’un système livré prématurément.
Par contraste, le document officiel de Microsoft sur la mise à jour confirme qu’une correction a bien été apportée pour l’Event 2042 concerné par le firewall, sous la build 26100.4652. Mais dans la réalité, la promesse d’une résolution totale reste partiellement un vœu pieux.
Malgré les difficultés, Microsoft continue de qualifier KB5062553 de mise à jour critique, indiquant qu’elle s’installe automatiquement ou reste en attente dans Windows Update. Sur les forums de support, les solutions proposées incluent une réinitialisation des composants de Windows Update (SoftwareDistribution, catroot2) ainsi que le redémarrage des services liés.
En résumé, KB5062553 fait plus parler d’elle pour ses échecs d’installation et ses messages erronés dans le journal des événements que pour les corrections qu’elle est censée apporter. Si vous êtes concerné, mieux vaut privilégier l’installation manuelle via les installeurs officiels plutôt que l’option automatique. Compte tenu de l’impact limité sur la sécurité du système, une attente prudente d’un correctif officiel peut aussi être envisagée.
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Et pour aller plus loin : si vous décidez d'acheter un bloc clim, voici toutes les clés pour comprendre les différences entre les modèles (split ou mobile) par Kévin (Un pinguin dans le désert) :
L'astuce de l'extracteur d'air est pas du tout bête. D'ailleurs si vous habitez en immeuble, vous pouvez parfois tirer sur la ficelle de votre bouche VMC pour la passer en mode rapide après avoir ouvert une fenêtre le plus loin possible de la bouche. Cela permettra d'extraire plus rapidement l'air chaud de votre logement en aspirant de l'air frais de dehors.
Merci Kévin, ça fait plaisir d'avoir une vidéo façon "c'est pas sorcier" sur le youtube francophone, toujours au top avec les maquettes.
The number of GitHub Copilot concepts continues to grow, and their similar names can easily confuse. This post offers an overview of all the concepts, along with a link to find more information. The main confusion stems from the Copilot tools on GitHub.com and GitHub Copilot in VS Code. Although there is some overlap, keeping these two areas separate is essential.
Ce 10 juillet 2025, Microsoft a déployé la mise à jour KB5062660 pour Windows 11 version 24H2, en avant-première sur le canal Release Preview pour les utilisateurs qui se sont inscrits au programme Windows Insider. Cette mise à jour va être déployée auprès du grand public dans les semaines à venir en tant que mise à jour facultative puis en … Lire la suite
Microsoft a introduit dans Windows 11 version 24H2 une amélioration majeure qui pourrait bien convaincre les derniers hésitants à faire le saut vers cette nouvelle version. Au cœur de cette évolution : l’abandon de l’ancien moteur JScript.dll au profit d’un composant modernisé, baptisé JScript9Legacy.dll.
Pourquoi ce changement est essentiel
Microsoft explique que l’utilisateur ne remarquera aucune différence visible dans l’expérience desktop, mais bénéficiera automatiquement d’un environnement plus sécurisé
Ce changement technique, bien que discret pour l’utilisateur final, a des implications majeures. D’un point de vue sécuritaire, JScript9Legacy a été conçu pour être plus robuste face aux menaces modernes du web. Il limite les possibilités d’exploitation via des failles de type XSS ou des attaques d’exécution de code à distance, un domaine où l’ancien moteur avait montré ses limites à plusieurs reprises ces dernières années. Microsoft avait d’ailleurs dû corriger une faille critique en août 2024 (CVE‑2024‑38178) impliquant JScript.dll.
Sécurité renforcée : JScript9Legacy est conçu pour mieux suivre les standards web actuels et intègre des règles d’exécution plus strictes, réduisant considérablement le risque d’attaques type XSS (cross-site scripting) ou d’exécution de code à distance
Performance améliorée : ce nouveau moteur traite les objets JavaScript plus efficacement, contribuant à un navigateur plus rapide et plus stable au quotidien .
Compatibilité maintenue : bien que modernisé, le moteur reste compatible avec les scripts et applications utilisant l’ancien JScript, assurant une transition sans casse .
Mais l’intérêt de ce changement ne se limite pas à la sécurité. Le nouveau moteur offre également de meilleures performances, notamment dans le traitement des objets JavaScript, ce qui contribue à une expérience de navigation plus fluide. De plus, Microsoft assure que la compatibilité avec les anciens scripts est préservée, ce qui garantit une transition en douceur, sans effets secondaires visibles pour l’utilisateur.
Ce remplacement de moteur est intégré directement dans la build 26100 de Windows 11 24H2. Microsoft précise que le moteur ne sera pas désactivable, soulignant son importance stratégique pour le futur de la plateforme. Il s’agit d’un pas de plus vers la modernisation de l’environnement Windows et une manière claire d’encourager les utilisateurs à délaisser les anciennes versions du système.
Autres bénéfices associés à 24H2
La version 24H2 de Windows 11 ne se limite pas à ce changement technique. Elle introduit également des optimisations importantes côté mises à jour système. Microsoft annonce que les mises à jour mensuelles s’installent désormais 45 % plus vite, avec une réduction de 25 % de l’utilisation du processeur pendant l’installation. Les redémarrages sont également plus rapides, et les paquets de mise à jour ont été allégés d’environ 200 Mo grâce à une gestion plus fine des composants internes.
Ces évolutions arrivent dans un contexte où certains utilisateurs ont exprimé des réserves sur la stabilité de la version 24H2, notamment dans le domaine du jeu vidéo. Cependant, la majorité des problèmes ont été corrigés via des correctifs récents, et Microsoft indique que la version 25H2 à venir reposera sur la même base technique. Cela renforce l’idée que 24H2 représente une étape incontournable dans l’évolution de Windows 11.
En somme, entre sécurité accrue, meilleures performances et une base technologique modernisée, Microsoft envoie un signal fort : l’avenir de Windows passe par 24H2. Pour ceux qui hésitent encore, cette mise à jour apporte des bénéfices concrets et invisibles, tout en préparant le terrain pour les versions à venir.
En bref
Windows 11 24H2 marque un tournant technique majeur : modernisation du moteur JavaScript, mises à jour plus rapides, sécurité renforcée. Si vous êtes encore sur 23H2 ou une version antérieure, c’est le bon moment pour franchir le pas et bénéficier d’un système plus performant et protégé.
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Windows Defender, l’antivirus intégré à Windows 10 et 11, offre aujourd’hui une protection efficace et discrète pour la majorité des utilisateurs. Mais par défaut, ses réglages ne sont pas toujours optimisés : analyses trop fréquentes, consommation CPU excessive, notifications envahissantes…
Que vous souhaitiez gagner en performances, éviter les ralentissements pendant le jeu, ou simplement personnaliser la protection selon vos besoins, il est possible d’ajuster plusieurs paramètres clés de Windows Defender.
Dans ce guide complet, nous vous montrons comment optimiser les réglages de Windows Defender étape par étape : limiter l’usage du processeur, ajouter des exclusions, désactiver les alertes superflues, surveiller l’impact sur le système, et bien plus encore. Tout cela, en conservant une protection efficace sans sacrifier les performances de votre PC.
Vérifier si Windows Defender est actif et bien configuré
Avant d’optimiser les réglages de Windows Defender, il est essentiel de vérifier qu’il est bien activé et fonctionne correctement. En effet, certains paramètres ne sont disponibles que si le moteur de protection en temps réel est actif.
Ouvrez le Centre de sécurité Windows : Appuyez sur
+
I > Confidentialité et sécurité > Sécurité Windows, puis cliquez sur Ouvrir Sécurité Windows.
Allez dans la section Protection contre les virus et menaces.
Vérifiez que le message “aucune action nécessaire” est affiché, et que la protection en temps réel est activée.
Si un autre antivirus est installé, il se peut que Windows Defender soit désactivé automatiquement. Windows ne permet pas la coexistence de deux moteurs de protection en temps réel actifs.
Réduire la consommation CPU de Windows Defender
Windows Defender peut parfois consommer une quantité importante de ressources, notamment lors des analyses automatiques en arrière-plan. Cela peut impacter les performances, en particulier sur les PC plus anciens ou peu puissants. Heureusement, il est possible de limiter l’utilisation du processeur (CPU) par Defender grâce à une clé de registre spécifique ou via le Planificateur de tâches.
Appuyez sur le raccourci clavier + X ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer puis sélectionnez : « Terminal Windows (admin)« . Plus d’informations : Comment ouvrir Windows Terminal
Get-MpPreference | select ScanAvgCPULoadFactor
La commande ci-dessus affiche le pourcentage actuel d’utilisation du processeur par Microsoft Defender
Pour passer à une nouvelle valeur, exécutez le format de commande ci-dessous en spécifiant la valeur :
Remplacez par un nombre réel. La valeur par défaut est 50. Toutefois, vous pouvez utiliser une valeur comprise entre 0 et 100. Par exemple, pour allouer 30% du processeur au maximum durant une analyse Windows Defender :
Par défaut, Windows Defender lance automatiquement des analyses planifiées (généralement lors des périodes d’inactivité). Il est possible de les modifier ou de les désactiver temporairement si elles ralentissent le système.
Voici comment faire :
Sur votre clavier, utilisez le raccourci clavier + R
Ajouter des exclusions à Windows Defender pour améliorer les performances
Windows Defender analyse en permanence les fichiers, dossiers et processus en arrière-plan. Si vous utilisez des logiciels gourmands ou manipulez des fichiers volumineux (jeux, machines virtuelles, développement…), ces analyses peuvent ralentir votre système.
Heureusement, il est possible d’ajouter des exclusions pour empêcher Defender de scanner certains dossiers ou fichiers, ce qui réduit la charge sur le CPU et accélère leur exécution.
Voici les types de fichiers ou répertoires à exclure pour gagner en performances sans compromettre la sécurité :
Répertoires de jeux (Steam, Battle.net, etc.)
Machines virtuelles (VMware, VirtualBox, Hyper-V)
Environnements de développement (Node.js, Python, compilateurs)
Dossiers contenant des fichiers volumineux ou fréquemment modifiés
Outils d’administration système ou scripts personnalisés
Évitez d’exclure tout le disque ou des emplacements système critiques, cela créerait une faille de sécurité importante.
Pour cela :
Ouvrez le Centre de sécurité Windows : Paramètres > Confidentialité et sécurité > Sécurité Windows
Cliquez sur Protection contre les virus et menaces
Descendez jusqu’à Paramètres de protection contre les virus et menaces, puis cliquez sur Gérer les paramètres
En bas, ouvrez Ajouter ou supprimer des exclusions
Cliquez sur Ajouter une exclusion, puis choisissez :
Dossier
Fichier
Type de fichier
Processus
Par exemple : Exclure le dossier C:\Jeux\Steam ou le processus vmware-vmx.exe
Désactiver les notifications inutiles de Windows Defender
Windows Defender peut générer de nombreuses notifications : alertes de sécurité, rappels de scan, rapports de maintenance… Certaines sont utiles, mais d’autres peuvent vite devenir envahissantes, surtout si vous utilisez un antivirus tiers ou gérez manuellement votre protection.
Heureusement, vous pouvez désactiver les notifications non essentielles sans compromettre la sécurité de votre système.
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis Paramètres. Pour aller plus vite, vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier + I. Sinon d’autres méthodes dans le tutoriel suivant : Comment ouvrir les paramètres de Windows 11
Accédez à : Confidentialité et sécurité > Sécurité Windows > Ouvrir Sécurité Windows
Allez dans Protection contre les virus et menaces
Descendez jusqu’à Paramètres de notification
Cliquez sur Modifier les paramètres de notification
Vous pouvez alors désactiver :
Les notifications liées à la protection en temps réel
la protection cloud, qui s’appuie sur les serveurs de Microsoft pour détecter plus rapidement les menaces émergentes.
Bien configurées, ces options offrent une protection renforcée, mais peuvent aussi consommer des ressources ou poser des problèmes de compatibilité dans certains cas spécifiques.
Ouvrir Sécurité Windows : Paramètres > Confidentialité et sécurité > Sécurité Windows > Protection contre les virus et menaces
Cliquez sur Gérer les paramètres sous Paramètres de protection contre les virus et menaces.
Activez ou désactivez :
Protection en temps réel
Protection fournie par le cloud
Envoi automatique d’échantillons
La désactivation de la protection en temps réel est temporaire. Elle sera automatiquement réactivée après un certain temps pour garantir un niveau de sécurité minimal.
Surveiller l’impact de Windows Defender sur les performances système
Même bien configuré, Windows Defender peut parfois avoir un impact notable sur les performances du système : consommation CPU excessive, ralentissements, usage disque élevé… Il est donc utile de surveiller son activité pour identifier d’éventuels problèmes ou ajuster certains réglages.
Utiliser le Gestionnaire des tâches pour surveiller l’utilisation des ressources
Observez les colonnes Processeur, Mémoire et Disque.
[su_warningSi MsMpEng.exe utilise de manière prolongée plus de 30–40 % de CPU en arrière-plan, cela peut indiquer une analyse en cours ou un conflit logiciel.[/su_warning]
Vérifier si une analyse est en cours :
Windows Defender peut exécuter automatiquement des analyses planifiées. Pour savoir si une analyse est active :
Ouvrez Sécurité Windows
Allez dans Protection contre les virus et menaces
Regardez la ligne Analyse en cours
Si vous observez un pic de consommation CPU au même moment, vous pouvez envisager de modifier l’horaire ou la fréquence des analyses (voir section planificateur de tâches).
Utiliser l’Observateur d’événements pour détecter les anomalies
L’Observateur d’événements permet de repérer des erreurs ou comportements anormaux liés à Windows Defender.
Sur votre clavier, appuyez sur les touches + [sug_rclavier]R[/su_rclavier]
Saisissez eventvwr.msc et validez.
Accédez à : Journaux des applications et services > Microsoft > Windows > Windows Defender > Operational
Recherchez les événements :
ID 1000–3004 : démarrage/fin d’analyse
ID 1116–1118 : détection de menaces
ID 5001–5007 : erreurs ou interruptions
Que faire si Defender ralentit le PC ?
Problème constaté
Solution recommandée
Utilisation CPU élevée
Ajuster la clé AvgCPULoadFactor
Pics de performance
Modifier ou désactiver la tâche planifiée
Fausses alertes fréquentes
Ajouter des exclusions pertinentes
Ralentissements pendant le jeu
Activer le mode jeu de Windows, exclure le dossier du jeu
Utiliser DefenderUI pour accéder à des réglages avancés
L’interface native de Windows Defender limite l’accès à certains paramètres avancés. Pour aller plus loin dans la personnalisation (désactivation de modules précis, réglages fins de comportement, gestion de l’interface cloud…), il est possible d’utiliser des outils tiers comme DefenderUI.
Ce logiciel gratuit offre une interface plus complète et conviviale pour gérer Defender.
Vous pouvez également sauvegarder ou restaurer vos paramètres, ce qui est pratique pour les administrateurs ou les utilisateurs avancés.
Précautions à prendre
DefenderUI modifie des paramètres sensibles : évitez d’utiliser le profil « Max Security » sans savoir ce qu’il active.
Ne désactivez jamais toutes les protections en production sans bonne raison.
Vérifiez régulièrement les mises à jour de DefenderUI pour rester compatible avec les évolutions de Windows Defender.
Quand utiliser DefenderUI ?
Cas d’usage
Pourquoi utiliser DefenderUI
Optimisation poussée
Réglages invisibles dans Windows
Environnement professionnel
Configuration fine pour serveurs ou dev
Réduction des alertes/faux positifs
Exclusions ciblées, réglages comportementaux
Automatisation de profils
Sauvegarde et restauration rapide de paramètres
Conclusion : Windows Defender est-il suffisant ? Nos conseils finaux
Windows Defender, intégré nativement à Windows 10 et 11, a largement évolué ces dernières années. Longtemps considéré comme une solution de secours, il offre désormais un niveau de protection solide, certifié par de nombreux laboratoires de tests indépendants (AV-Test, AV-Comparatives).
Microsoft a annoncé avoir renforcé la sécurité de Windows 11 en remplaçant son moteur de script JScript par une version plus sécurisée : JScript9Legacy.