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Test NiPoGi GK3 Plus – Un mini PC avec un Intel N97, 16 Go de RAM et un SSD NVMe

I. Présentation

Le mini PC NiPoGi GK3 Plus équipé d'un processeur Intel N97, épaulé par 16 Go de RAM et 512 Go de stockage va être évalué dans cet article ! Quelle est sa configuration complète ? Quelles sont les possibilités d'évolution ? Qu'en est-il des performances ? Nous répondrons à ces différentes interrogations.

Plusieurs versions et variantes du NiPoGi GK3 Plus sont disponibles sur le marché, dont l'une avec un processeur Intel N95 et une autre avec le processeur N97. Ici, c'est bien la version avec un CPU Intel N97 et 16 Go de RAM qui est évaluée.

Retrouvez également nos autres tests de mini PC NiPoGi :

Les modèles GK3 Plus et AK1 Plus sont relativement proches, donc nous en profiterons pour évoquer les différences.

II. Caractéristiques du NiPoGi GK3 Plus

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

  • Processeur : Intel Alder Lake N97 (4 cœurs, 4 threads, 6 Mo de cache, jusqu'à 3.60 GHz en mode boost)
  • GPU : Intel UHD Graphics (intégrée au processeur) - Fréquence 1.20 GHz
  • RAM : 16 Go DDR4 - 3200 MHz
  • Stockage : 512 Go SSD NVMe (M.2 - PCIe Gen3*4) + 1 emplacement pour disque SATA 2.5 pouces
  • Connectique en façade : 2 x USB 3.0, 1 x USB 2.0, et le bouton Power
  • Connectique sur le côté gauche : 1 x USB 2.0, 2 x HDMI 2.0, 1 x RJ45 1 Gbit/s, 1 x prise audio Jack 3.5mm et 1 fente de verrouillage Kensington
  • Connectique à l'arrière : 1 x VGA
  • Affichage : prise en charge de trois écrans grâce aux deux ports HDMI et au port VGA
  • WiFi 6, Bluetooth 5.2 avec une carte RealTek 8852BE
  • Alimentation (sortie) : 12V/2.5A - 30W
  • Dimensions (L x W x H) : 13 x 13 x 5 cm
  • Système d'exploitation : Windows 11 Famille
  • Prix : 259.99 euros - Rendez-vous en fin d'article pour notre offre bon plan

Le modèle AK1 Plus est équipé d'un disque SSD SATA, tandis que le modèle GK3 Plus est équipé d'un SSD NVMe. À chaque fois, la capacité est identique : 512 Go, mais il y aura bien une différence au niveau des performances à l'avantage du GK3 Plus.

NiPoGi GK3 Plus - Caractéristiques

III. Package, design et conception

NiPoGi ne fait pas de fioriture sur le packaging de ses mini PC : la boite reste identique, et il faut regarder à l'arrière pour savoir quelle est la référence incluse dans la boite. Ici, nous pouvons constater que c'est bien un GK3 Plus avec 16 Go de RAM et 5121 Go de stockage. À l'intérieur, le mini PC et les accessoires sont correctement emballés et protégés par du carton et une plaque de mousse.

Qu'avons-nous à l'intérieur de la boite ? Le mini PC est accompagné par l'alimentation externe compacte, un câble HDMI, une plaque jouant le rôle de support VESA, une notice d'utilisation (en français, utile si vous envisagez d'utiliser le support VESA pour fixer le PC à l'arrière d'un écran), ainsi qu'un ensemble de vis (pour le support VESA et l'emplacement de disque supplémentaire).

Le boitier gris de ce mini PC NiPoGi est intégralement en plastique. Au niveau de l'encombrement, il s'agit d'un carré de 13 cm de côté, et une hauteur d'à peine 5 cm. À quelques millimètres près, ce sont des dimensions à d'autres modèles de chez NiPoGi : ce ne sont pas les modèles les plus compacts du marché, bien que cela reste très petit.

Au niveau du design et de la conception, NiPoGi essaie toujours d'apporter un peu d'originalité à ses boitiers. Ici, la partie supérieure du boitier, toujours en plastique, est de couleur bronze. L'assemblage est propre. Ce qui m'embête plus, ce sont les différents stickers présents sur le boitier.

En façade, nous retrouvons le bouton Power, ainsi que trois ports USB. Le principal de la connectique, avec les ports HDMI et le port RJ45 Ethernet, ne se situe pas à l'arrière du boitier, mais sur la gauche : si l'on considère que le bouton Power doit être face à nous. Ainsi, à l'arrière se situe le port VGA : bien qu'il puisse surprendre, il ravira certains utilisateurs et permettra de connecter facilement des écrans un peu vieillissants. Sur le côté droit, nous pouvons voir un sticker ainsi qu'une bande lumineuse qui s'illumine en bleue lorsque la machine est allumée.

Le dessus du boitier est assez élégant, mais à mon sens, cela est gâché par les deux stickers. Il y a un sticker Intel Inside et un autre avec un QR code qui renvoie vers une page pour rejoindre le club VIP de NiPoGi. L'intérêt étant de s'inscrire pour tenter de gagner de nouveaux produits ou une extension de garantie de 12 mois.

Lorsque le boitier est à plat, il est surélevé de 6 mm vis-à-vis de la surface sur laquelle le mini PC est posé. Ceci est important, car l'extraction de l'air chaud s'effectue par le dessous du boitier. L'air froid quant à lui rentre par le dessus du boitier et par les côtés.

Pour ouvrir le boitier et accéder à l'intérieur, ne cherchez pas de vis sous le boitier : le mécanisme d'ouverture est bien différent. En fait, il y a une vis à retirer sur le côté gauche du boitier, au-dessus de la connectique, permettant de déverrouiller un bouton, qui lorsqu'on le coulisse vers la droite, soulève le capot supérieur du boitier.

Ceci va nous permettre d'accéder en premier à l'emplacement pour disque SATA, au format 2.5 pouces. Pour accéder à la RAM et au disque NVMe, il y a trois autres vis à retirer, car ils sont tous les deux situés sous la cage prévue pour le disque SATA.

Voici ce que l'on peut apprendre suite à l'ouverture du boitier :

  • Il y a un seul slot pour la mémoire vive (RAM)
  • La barrette mémoire installée est de marque FORESEE et correspondant au modèle suivant : 16 Go 1Rx8 PC4-3200AA-SA2
  • Il y a un disque SSD NVMe au format M.2 2280 de marque Netac et correspondant au modèle suivant : G938E en 512 Go

Difficile d'en apprendre plus sur les autres composants, car ils sont masqués et difficilement accessibles. Mais, nous avons accès à l'essentiel : le stockage et la RAM. C'est généralement ce que l'on est susceptible de faire évoluer sur un mini PC.

Voici les entrailles du GK3 Plus en photos :

Nous constatons que si le bouton Power et la connectique en façade sont face à nous, les câbles sur le côté sont forcément visibles. Cela ne plaira pas à tout le monde, à moins de positionner face à soit la bande lumineuse. Vous aurez au moins le câble d'alimentation et éventuellement un câble vidéo (HDMI) selon l'usage que vous en fait. Cette disposition peut surprendre, mais elle s'avère surtout intéressant si l'ordinateur est accroché derrière un écran.

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Le premier démarrage du mini PC est l'occasion d'aller faire un tour dans le BIOS. Ce dernier est complet et donne à l'utilisateur un bon contrôle sur la configuration de son ordinateur, grâce à la présence d'options de configuration avancées. Les photos offrent un aperçu du BIOS de la machine.

Ce mini PC est livré avec le système Windows 11 Famille, en version 22H2, donc il y aura des mises à jour à installer. Pour rappel, l'édition "Famille" est plus limitée en fonctionnalités que les autres éditions, notamment la version "Pro". Par exemple, l'accès "Bureau à distance" n'est pas disponible. A titre de comparaison, le modèle AK1 Plus est équipé de Windows 11 Pro.

Nous devons finaliser la mise en route, mais cela est très rapide puisque nous devons seulement choisir la langue et définir le nom d'utilisateur. Il s'agit très certainement d'une image personnalisée par NiPoGi. Il n'y a pas de logiciel préinstallé sur le mini PC, mis à part ceux intégrés à Windows par Microsoft.

Remarque : comme à chaque fois, et peu importe la marque du PC, je vous recommande de réinstaller la machine avec une image propre et téléchargée depuis le site de Microsoft, si vous souhaitez continuer sur Windows. La configuration présentée ici est compatible Windows 11, donc la réinstallation ne posera pas de problème. Pensez à sauvegarder les pilotes au préalable pour faciliter leur réinstallation.

Le mini-PC est livré avec 16 Go de RAM en DDR4, sans qu'il soit possible d'effectuer une mise à niveau. Il n'y a qu'un seul slot sur la carte mère et il est occupé par une barrette de RAM de 16 Go. Ceci correspond à la quantité de RAM maximale supportée par le CPU.

Concernant l'évolution du stockage, sachez qu'il est possible d'ajouter un disque SATA 2.5 pouces et de remplacer le SSD NVMe intégré par un autre modèle d'une capacité de 2 To (maximum). Autrement dit, ce modèle de mini PC peut accueillir 2 disques. La situation est identique avec le modèle AK1 Plus.

B. Performances

Ce mini PC est propulsé par un processeur Intel N97 lancé sur le marché des processeurs au premier trimestre 2023.

Commençons par mesurer les performances du disque SSD NVMe intégré à l'ordinateur. Le SSD NVMe présent dans ce mini PC NiPoGi offre de belles performances : un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 968 Mo/s.

En complément, voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

Ainsi qu'un aperçu du disque dans Crystal Disk Info :

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Comment réagit le PC lors d'un stress CPU ?

D'après HWMonitor, la température du CPU est de 45°C lorsque l'ordinateur est allumé. Lors d'un stress test, c'est-à-dire que le CPU est sollicité à 100% pendant plusieurs minutes, la température maximale du CPU est de 63°C. Et surtout, l'ordinateur reste silencieux, ce qui m'a agréablement surpris.

Que l'ordinateur soit simplement démarré ou fortement sollicité, le dessus du boitier est légèrement tiède. Il n'y a pas de différence notable à ce niveau-là. Le système de refroidissement semble faire son travail de façon satisfaisante.

Des performances décevantes en Wi-Fi

Ce mini PC est équipé d'une carte RealTek 8852BE (Wi-Fi 6) dont les performances m'ont vraiment déçue. Pour effectuer un téléchargement à partir d'Internet, le débit est d'environ 2 Mo/s lorsque le PC est connecté en 2.4 GHz et de 5.2 Mo/s lorsque le PC est connecté en 5 GHz. Un débit très faible, tout en sachant qu'un autre pareil situé à quelques centimètres parvient à faire le même téléchargement avec un débit d'environ 60 Mo/s.

Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Cet ordinateur est adapté pour effectuer de la bureautique basique et naviguer sur Internet de façon confortable grâce à ses 16 Go de RAM.

Un autre cas d'usage intéressant, c'est l'utilisation pour en faire une box domotique avec une solution comme Jeedom ou Home Assistant : il a 4 ports USB prêts à accueillir différents dongles. Ceci est d'autant plus intéressant qu'il est peu gourmand en électricité : 12 Watts maximum.

V. Conclusion

Si vous recherchez un mini PC à moins de 260 euros (ou même moins de 200 euros avec l'offre ci-dessous) pour faire de la bureautique ou créer une box domotique, ce PC NiPoGi devrait parfaitement vous convenir ! Sa basse consommation est également un avantage.

Sa connectique relativement fournie et diversifiée pourra satisfaire certains utilisateurs même si elle n'intègre pas les dernières technologies : le VGA et les ports USB 2.0 sont un bon exemple, même s'il y a bien sûr 2 ports HDMI et des ports USB 3.0.

Quelques dizaines d'euros plus coûteux que le modèle NiPoGi AK1 Plus, ce modèle a le même CPU, la même quantité de RAM et de stockage. Néanmoins, il est plus performant grâce à son disque SSD NVMe, en comparaison du SSD SATA du modèle AK1 Plus. Cet écart de prix est donc justifié.

👍 Avantages

  • Bon rapport qualité/prix pour de la bureautique
  • Un disque SSD NVMe
  • Mini PC silencieux
  • Configuration avec une faible consommation énergétique
  • Connectique originale et adaptée à certains besoins (dont le VGA)

👎 Inconvénients

  • Un design gâché par les nombreuses étiquettes
  • Des dimensions - un peu trop - généreuses pour les espaces restreints (13 cm x 13 cm x 5 cm)

Bon plan : offre spéciale sur le NiPoGi GK3 Plus

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Corriger la lecture incorrecte de la température du processeur sous Windows

Vous souhaitez connaître la température de votre PC, ce qui est une bonne chose pour prévenir de baisse de performances ou d’instabilité.
Toutefois, vous rencontrez un problème de lecture incorrecte de la température du processeur.
Ce tutoriel examine les raisons possibles pour lesquelles la température affichée peut être incorrecte.

Corriger la lecture incorrecte de la température du processeur sous Windows

Pourquoi le CPU ou processeur donne-t-elle de fausses indications de température

Si la température du processeur affichée est anormalement élevée ou basse, plusieurs facteurs peuvent contribuer au problème, comme indiqué ci-dessous :

  • Overclocking incorrect du processeur : L’overclocking peut endommager le capteur de température du processeur, ce qui entraîne des lectures incohérentes et un enregistrement incorrect de la température du processeur.
  • Transfert thermique : La pâte thermique transfère la chaleur du cœur de l’unité centrale vers le dissipateur thermique, évitant ainsi la surchauffe. Toutefois, si elle n’est pas appliquée correctement ou si l’unité centrale est mal placée, des fentes d’air peuvent entraver le transfert de chaleur et entraîner des relevés de température incorrects.
  • Capteurs de l’unité centrale endommagés : Les capteurs de température des unités centrales ou les thermistances peuvent devenir imprévisibles ou bloqués sur une valeur spécifique s’ils sont endommagés, ce qui entraîne des enregistrements de température inexacts.
  • Logiciel défectueux utilisé pour vérifier la température : Plusieurs logiciels de contrôle de la température de l’unité centrale sont disponibles sur le marché, mais certains peuvent ne pas être fiables en raison de bogues. Ces bogues peuvent entraîner des relevés de température incorrects, ce qui conduit à des diagnostics erronés des problèmes du système et endommage le matériel. Vous trouverez des logiciels dans ce guide : Connaître la température de son PC (CPU, GPU, SSD et disque dur)

Corriger la lecture incorrecte de la température du processeur sous Windows

Vérifier les capteurs de l’unité centrale

Les capteurs de température de l’unité centrale surveillent, enregistrent et fournissent des données en temps réel sur le niveau de température de l’unité centrale. Pour s’assurer que les capteurs enregistrent la bonne température, ils doivent donc être en parfait état de fonctionnement. Ils sont généralement situés à côté de la prise du processeur, et nous pouvons les retirer avec précaution pour vérifier s’ils sont cassés ou endommagés.

Chaque capteur de l’unité centrale a généralement son propre emplacement physique et enregistre ses relevés. Par conséquent, si une boucle d’air est présente autour des capteurs, les relevés peuvent être incorrects sous son influence. Par exemple, dans la plupart des cas, le capteur CPU0 enregistre en permanence des températures plus élevées que le CPU1.

Nettoyez l’intérieur de votre ordinateur peut aider à résoudre les problèmes de températures incorrectes.
Pour y parvenir, suivez ce guide : Comment nettoyer l’intérieur de son PC et le dépoussiérer

Régler la vitesse des ventilateurs du processeur (CPU FAN)

Vérifier le dissipateur et réappliquer la pâte thermique

La ré-application de la pâte thermique peut aider à transmettre correctement la chaleur du cœur de l’unité centrale au dissipateur thermique. De même, le fait de refixer le dissipateur thermique (un composant métallique qui touche physiquement l’unité centrale et dissipe la chaleur) peut garantir que la température reste dans le seuil autorisé, éliminant ainsi les risques d’enregistrement incorrect de la température.

Réinitialiser le capteur de température du CPU

Une autre solution que vous pouvez essayer est de réinitialiser le capteur de température du CPU.
Voici les étapes à suivre :

  • Débranchez la connexion électrique et ouvrez le boîtier de l’ordinateur
  • Recherchez le capteur, qui se trouve généralement à proximité de la prise CPU de la carte mère
  • Retirez le capteur de son logement avec précaution et nettoyez-le à l’aide d’une brosse douce
  • Une fois nettoyé, remettez-le dans son logement
  • Ensuite rebranchez tous les câbles puis relancez votre ordinateur
  • Testez la température de votre ordinateur

Mettre à jour le BIOS

Enfin dans de rares cas, le BIOS de votre PC peut être en cause dans la mauvaise lecture des températures de votre ordinateur.
Cela est essentiellement dû à un bug de la mauvaise gestion de l’énergie (ACPI) ou des captures de la carte mère.
Mettre à jour le BIOS de votre PC peut aider à résoudre ce problème.

Mettre à jour le BIOS de son PC

Undervolt : réduire ou ajuster la tension du processeur

L’abaissement de la tension de l’unité centrale peut exclure la possibilité d’une surchauffe de l’unité centrale. Si le processeur enregistre des températures anormalement élevées même après avoir abaissé la tension, cela indique que les capteurs sont endommagés. Par conséquent, les ajustements de tension, bien qu’ils ne résolvent pas le problème dans de tels cas, peuvent nous aider à identifier rapidement le problème réel.
Consultez ce guide :

Comment Undervolt son processeur pour refroidir son PC

Liens

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Test Geekom XT12 Pro – Un mini PC élégant et performant

I. Présentation

Dans cet article, nous allons découvrir le Mini PC ultra-compact Geekom XT12 Pro équipé d'un processeur Intel Core i9 de 12ème génération, de 32 Go de RAM et de 1 To de SSD. Envie d'en savoir plus sur ce modèle ? Lisez la suite de notre article !

Cet article va présenter ce modèle dans sa globalité, en commençant par les caractéristiques, le design et la qualité du boitier. Puis, nous parlerons des possibilités d'évolution et des performances de ce Mini PC.

Rappel : sur le marché des Mini PC, la marque Geekom est incontournable et elle s'est imposée comme un acteur majeur au niveau mondial. Elle a été créée en 2003 et la direction R&D de Geekom est située à Taiwan. En complément, la marque a plusieurs succursales dans différents pays du monde.

II. Caractéristiques du Geekom XT12 Pro

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

  • Processeur : Intel Core i9-12900H (14 Cœurs, 20 Threads, 24 Mo de cache, jusqu'à 5,00 GHz)
  • GPU : Intel Iris Xe
  • RAM : 32 Go DDR4-3200, extensible jusqu'à 64 Go
  • Stockage : 1 To de SSD NVMe (Gen.4) + 1 emplacement pour SSD SATA au format M.2 (2242 - Jusqu'à 1 To)
  • Connectique : 3 x ports USB 3.2 Gen 2 + 1 x port USB 2.0 + 2 x ports USB 4 + 1 prise casque Jack 3.5 mm + 1 x slot pour une carte SD + 1 x interface réseau LAN 2.5 GbE + 2 x ports HDMI 2.0 + 1 x port d'alimentation
  • Affichage : prise en charge jusqu'à 4 écrans.
  • WiFi 6E (AX211), Bluetooth 5.2
  • Alimentation : 19V, 6,32A DC - 120W
  • Poids : 545 grammes
  • Dimensions (L x W x H) : 117 x 111 x 38.5mm
  • Système d'exploitation : Windows 11 Pro
  • Garantie : 3 ans

Même si le processeur Core i9 n'est pas le plus récent, Geekom a préparé une belle fiche technique pour ce modèle déjà sur le marché depuis plusieurs mois. En effet, entre l'Intel Core i9, l'interface réseau 2.5 GbE, l'USB4 et le WiFi 6E, nous pouvons nous attendre à de belles performances ! La présence d'une interface réseau 2.5 GbE est toujours un point positif, selon moi. Et surtout, ce mini PC est ultra-compact et pourra être emporté partout sans difficultés.

Ce modèle est proposé par Geekom en une seule et unique version qui est celle proposée dans cet article. La série XT se démarque par la finesse de son design et son esthétique très soignée.

III. Package et design

La boite de ce mini PC est très soignée, tout en étant sobre, car il faudra l'ouvrir pour avoir un aperçu du mini PC ! C'est d'ailleurs lui que l'on découvre à l'ouverture de la boite. Il est protégé par un bloc en mousse rigide et après l'avoir retiré, nous retrouvons l'ensemble des accessoires.

Qu'avons-nous dans la boite ? Au-delà d'avoir un Mini PC XT12 Pro, il y a aussi un câble HDMI, une alimentation externe et son câble, une plaque VESA (et les vis) permettant d'accrocher le mini PC à l'arrière d'un écran (support VESA), une notice et une lettre de remerciement pour l'achat.

Fidèle à la gamme XT, le boitier de ce modèle XT12 Pro est beau et élégant. Geekom a apporté un soin particulier au design et à la qualité de fabrication de ce boitier en aluminium. Seul le dessus est une coque en plastique blanche estampillée "Geekom". La finesse de ce boitier me plait également : moins de 4 cm de hauteur (38.5 mm). À titre de comparaison, ce boitier est moins épais et plus compact que celui du modèle Geekom IT13, il est moins encombrant disons. J'ai vraiment apprécié le design de ce modèle !

Sur la façade, nous retrouvons deux ports USB, dont un port USB 3.2 Gen2 avec PowerDelivery (PD) et un port USB 3.2 Gen2 (sans PD). Une prise casque et un bouton Power lumineux complète la façade. Sur le côté droit du boitier, il y a uniquement l'aération du boitier, tandis que sur le côté gauche, une fente de verrouillage Kensington a été discrètement incrustée au maillage de l'aération. Le flux d'air entrant s'effectuera par la gauche et la droite du boitier.

Tout le reste de la connectique se situe à l'arrière du boitier. Il y a les deux ports USB4 au format USB-C avec PowerDelivery, ce qui est la norme USB la plus récente à ce jour. Le débit théorique de l'USB4 est de 40 Gbps. Il y a un autre port USB 3 ainsi qu'un port USB 2.0, soit un total de 6 ports USB. N'oublions pas les deux ports HDMI 2.0 et le port RJ45 2.5 GbE.

Ce modèle est équipé de la technologie de refroidissement IceBlast 1.0 de Geekom. Ceci se traduit par la présence d'un grand ventilateur et la présence de cuivre pour dissiper la chaleur. D'ailleurs, l'aération du dissipateur thermique pour permettre l'évacuation de l'air chaud est situé à l'arrière, au-dessus de la connectique.

Comme souvent sur les modèles de cette marque, la mention "Geekom" est présente sur le dessus du boitier. En dessous, il n'y a pas d'aération contrairement à ce que l'on pourrait penser, mais nous avons 2 patins antidérapants très larges, ainsi que 4 vis pour ouvrir très facilement le boitier. Elles restent « accrochées » à la partie amovible du boitier, ce qui évitera de les égarer... Et il n'y a pas de patins à décoller pour accéder aux vis.

Ce boitier est majoritairement en aluminium brossé, car il n'y a que la partie supérieure qui est en plastique blanc. Cette vue éclatée montre bien la conception du boitier du XT12 Pro :

Jetons un coup d'œil à l'intérieur du boitier. Nous aurons surement l'occasion d'en savoir plus sur les composants utilisés par Geekom. Voici ce que l'on peut apprendre :

  • Un SSD NVMe de marque Kingston, avec la référence KINGSTON OM8PGP41024N-A0, d'une capacité de 2 To, en PCIe Gen4.0
  • Deux barrettes de RAM de marque Lexar : 16 Go 1Rx8 - PC4-3200AA-SA2. Soit 32 Go au total. Il est possible de passer sur 64 Go de RAM, mais ceci implique de remplacer les deux barettes déjà présentes, car les deux slots sont occupés.
  • Une carte MediaTek MT7922A22M pour le Wi-Fi et le Bluetooth

Contrairement au modèle Geekom IT13, celui-ci ne peut pas accueillir un disque SATA au format 2.5 pouces car le boitier est moins épais et n'est pas prévu pour cela. Néanmoins, nous pouvons ajouter un disque SSD SATA M.2 supplémentaire, grâce à l'emplacement disponible entre le SSD NVMe et les barrettes de RAM.

Avec ce modèle et compte tenu de la conception du boitier, les composants sont facilement accessibles, identifiables et remplaçables. Que ce soit en cas de panne ou pour une quelconque évolution, c'est important de le préciser.

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Mettons en route le mini PC XT12 Pro de chez Geekom ! Avant d'évoquer le système d'exploitation, regardons les options proposées dans le BIOS de la machine. Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est minimaliste. À part la possibilité de définir un mot de passe pour le BIOS, de gérer l'ordre de démarrage et de gérer le Secure Boot, nous n'avons pas grand-chose à notre disposition. C'est à prendre en compte pour ceux qui ont l'habitude de tuner le BIOS de leur PC. Par exemple, le Wake on LAN n'est pas proposé. Sinon, pour information, il n'y a pas d'options relatives à la prise en charge de la virtualisation, mais elle est bien prise en charge : vous pouvez installer un hyperviseur.

La mise en route passe par la finalisation de l'installation du système Windows 11 Pro ! Nous retrouvons les étapes et questions habituelles propres au fonctionnement du système Windows 11. Il est tout à fait possible d'utiliser un compte local ou un compte Microsoft, au choix.

Geekom utilise des images officielles de Windows 11 Pro et elles ne sont pas personnalisées. Il n'y a aucune application supplémentaire ajoutée. Malgré tout, ma recommandation reste la même, peu importe le modèle du PC : effectuer une réinstallation avec votre propre image, que ce soit Windows ou un autre système.

Le premier démarrage est aussi l'occasion de constater que ce mini PC ventile fort pendant 1 ou 2 minutes lorsqu'il est démarré. Ensuite, le silence est de mise : mais jusqu'à quand ? Je reviendrai sur ce point.

Le mini-PC est livré avec 32 Go de RAM en DDR4, mais une mise à niveau est possible. Le processeur i9 utilisé pour cette configuration supporte jusqu'à 64 Go de RAM au maximum, ce qui correspond au maximum pris en charge par ce modèle de mini PC. Par contre, vous devez remplacer les deux barrettes de RAM actuelles pour doubler la RAM. Si vous souhaitez utiliser ce PC pour de la virtualisation afin d'y installer un hyperviseur, ce sera peut-être nécessaire selon vos besoins.

Pour le CPU et la RAM, voici des détails techniques obtenus avec le logiciel CPU-Z :

La présence de deux ports HDMI 2.0 et deux ports USB4 permet de connecter jusqu'à 4 écrans sur ce mini PC ! La connexion HDMI propose un affichage 4K @ 60 Hz, tandis qu'on est sur un affichage à 8K @ 30 Hz sur les ports USB4.

Nous pouvons aussi noter la possibilité d'exploiter la connexion USB4 pour brancher un GPU externe (eGPU), c'est-à-dire une carte graphique externe. Du côté stockage, ce mini PC peut accueillir 1 SSD SATA au format M.2 (2242 - Jusqu'à 1 To) en plus du SSD NVMe intégré au boitier. Attention toutefois, le format M.2 2242, bien qu'adapté pour les formats compacts, n'est pas courant (22 mm de largeur et 42 mm de longueur) au contraire du format 2280 beaucoup plus répandu.

B. Performances

Ce mini PC est équipé d'un processeur Intel Core i9 de 12ème génération lancé au premier trimestre 2022. Le modèle i9-12900H a 14 cœurs et 20 threads, avec fréquence maximale en mode Turbo de 5,0 GHz.

Qu'en est-il des performances du disque SSD NVMe livré avec le mini PC ?

Un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 1.30 Go/s, ce qui est bon résultat ! Sur un autre test, en 1 minute et 34 secondes, j'ai pu dupliquer une bibliothèque d'images ISO de 101 Go !

Voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

  • CrystalDiskInfo

Voici une analyse CrystalDiskInfo du disque SSD NVMe de marque Kingston monté en PCIe 4.0 présent dans ce PC :

Geekom XT12 Pro - SSD NVMe Kingston
  • Geekbench

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Sans surprise, le processeur du modèle XT12 Pro est légèrement moins performant que celui du modèle IT13 : une génération d'écart, cela crée forcément une différence.

  • Qu'en est-il du bruit du ventilateur ?

Comme je l'évoquais précédemment, lorsque l'ordinateur démarre, il ventile relativement fort. Une fois que la machine a finalisé son démarrage, cela s'arrête et le mini PC devient très silencieux. Utilisée pour de la bureautique, elle reste silencieuse, tout au long de son utilisation.

Par contre, si le mini PC est très sollicité (ce que j'ai pu constater avec les benchmarks, notamment), il se met à ventiler et là, ce sera difficile de ne pas l'entendre : ce qui pourra être plus ou moins gênant selon l'emplacement du mini PC vis-à-vis de l'utilisateur. C'est aussi une question de tolérance de l'utilisateur lui-même. Si le mini PC est derrière l'écran, le bruit sera un peu "étouffé". Le bruit généré fait penser à celui de la ventilation d'un ordinateur portable qui tourne à plein régime. Il y a pire, mais il y a aussi plus discret.

Cette ventilation semble avoir un impact positif sur la gestion de la température du matériel : le boitier est légèrement tiède et la température du CPU bien maitrisée.

  • Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Naviguer sur Internet, lire des vidéos, ouvrir et exécuter plusieurs applications en même temps, ce sont des tâches qui ne vont pas effrayer ce mini PC. Très à l'aise pour la bureautique et le multimédia, il montre ses limites lorsque l'on sollicite la partie graphique. C'est un perpétuel problème sur les machines avec une puce graphique intégrée au processeur, un iGPU "Intel Iris Xe" dans le cas présent.

Ce mini PC pourrait tout à fait être utilisé en tant que serveur pour faire tourner des machines virtuelles : le processeur Intel Core i9 et le 32 Go de RAM permettront de faire tourner plusieurs VMs simultanément.

Jouer à certains jeux n'est pas un problème si vous êtes prêts à diminuer les effets visuels et à réduire la qualité graphique de vos jeux. L'habituel test avec GTA V est un bon exemple : l'expérience en jeu est bonne, car c'est fluide, mais ceci oblige à ajuster les options liées aux graphismes.

V. Conclusion

Ce mini PC, très compact et performant pourrait mettre au placard de nombreux ordinateurs fixes beaucoup plus imposant que lui, moins bien équipé et moins performant. Geekom a pris l'habitude de miser sur l'Intel Core i9 pour plusieurs de ses modèles, dont celui-ci, et c'est à chaque fois une réussite. L'Intel Core i9 de 12ème génération offre de belles performances, et si vous avez besoin d'encore un peu plus, vous pouvez miser sur le Geekom IT13 équipé de la 13ème génération de Core i9.

Ce mini PC polyvalent, avec une configuration moderne, pourra satisfaire les besoins de nombreux utilisateurs pendant plusieurs années. La garantie de 3 ans du constructeur est également là pour nous rassurer.

Le Geekom XT12 Pro avec l'Intel Core i9 est proposé à 749,00 euros. Soit 100 euros de moins que le modèle Geekom IT13 équipé d'un processeur Intel Core i9 de 13ème génération, et un peu plus puissant.

👍 Avantages

  • Un très beau boitier en aluminium brossé : élégant et compact
  • Une config convaincante et performante : Intel Core i9, 32 Go de RAM et 1 To de SSD
  • Windows 11 Pro : image officielle, sans logiciels supplémentaires
  • Connectique moderne et bien fournie (USB4, RJ45 2.5 GbE, etc.)
  • Ouverture facile du boitier : 4 vis facilement accessibles

👎 Inconvénients

  • Disque SSD : le format M.2 2242 de l'emplacement supplémentaire
  • Bruyant lorsqu'il est sollicité
  • La puce graphique intégrée (iGPU) ne convient pas si vous souhaitez jouer sans faire de concession sur les graphismes

Offre spéciale sur le Geekom XT12 Pro

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Merci à Geekom de m'avoir fourni un exemplaire de ce PC afin de pouvoir réaliser ce test.

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Windows 11 : Microsoft dévoile les PC Copilot+ pour l’IA

À l'occasion de la conférence Windows 11 AI qui s'est déroulée ce lundi 20 mai 2024 dans les locaux de Microsoft, Satya Nadella, le PDG de l'entreprise américaine, a dévoilé plusieurs nouveautés dont les PC Copilot+ : qu'est-ce que c'est ? Faisons le point.

Lors de l'événement Windows 11 AI, Satya Nadella s'est présenté face au public pour annoncer plusieurs nouveautés pour Windows 11 autour de l'IA, autant pour la partie système que la partie matérielle. D'ailleurs, derrière "Copilot+ PC" se cache un ensemble de prérequis pour désigner les laptops avec une puce pour l'IA et un système qui intègre l'IA à travers différentes fonctionnalités, en l'occurrence Windows 11. Au passage, cet OS va bénéficier du modèle de langage GPT-4o dévoilé la semaine dernière par OpenAI.

Satya Nadella a précisé que tous les partenaires de Microsoft sur le secteur de l'ordinateur portable présenteront des machines dites "PC Copilot Plus". Ceci inclut notamment Dell, Lenovo, Samsung, HP, Acer et Asus. Il en va de même pour les fabricants de puces puisque Microsoft continuera à s'appuyer sur Intel et AMD, même si la firme de Redmond travaille sur l'intégration de puces ARM de chez Qualcomm. Du côté d'Intel, cela passera par les nouvelles puces Lunar Lake venant d'être dévoilées.

Source : The Verge

Les prérequis PC Copilot Plus

PC Copilot Plus, est en quelque sorte, une certification pour assurer qu'un ordinateur portable respecte tous les prérequis pour bénéficier de l'IA et effectuer des traitements en local. Mais, alors, quels sont ses prérequis ?

Microsoft a dévoilé les prérequis, que voici : 16 Go de RAM, 256 Go de SSD et un NPU intégré à la machine. Le NPU, c'est-à-dire une unité de traitement neuronal, est utilisé pour les calculs liés à l'IA. C'est bien ce dernier point qui fait la différence.

Plus performants que l'Apple MacBook Air

Dans un article publié sur son site, Microsoft met également en avant l'autonomie et les performances de ces ordinateurs portables de nouvelle génération, en effectuant la comparaison avec l'Apple MacBook Air. La firme de Redmond précise : "En comparaison, ils surperforment vs un MacBook Air 15 pouces d’Apple : jusqu’à 58 % de performance en plus sur des tâches parallèles complexes."

Il en va de même pour l'autonomie : "Dotés d’une efficacité remarquable, les Copilot+ PC peuvent offrir jusqu’à 22 heures de lecture vidéo en local ou 15 heures de navigation sur le web sur une seule charge.", peut-on lire. Là encore, Microsoft fait la comparaison avec le modèle de chez Apple, en évoquant 20% d'autonomie supplémentaire. Pour ce second point, c'est bien l'intégration d'une puce Snapdragon de chez Qualcomm qui devrait faire la différence.

Des premiers PC Copilot+ disponibles le 18 juin 2024

Certains ordinateurs Copilot+ sont déjà disponibles en précommande. Il y a bien sûr le nouveau Surface Laptop et la nouvelle Surface Pro que Microsoft vient de dévoiler, mais aussi des modèles d'autres fabricants.

Voici la liste des autres PC Copilot+ disponibles le 18 juin prochain :

  • Acer Swift 14 AI
  • ASUS Vivobook S 15
  • Dell XPS 13, Inspiron 14 Plus, Inspiron 14, Latitude 7455 et Latitude 5455
  • HP OmniBook X AI PC et HP EliteBook Ultra G1q AI 
  • Yoga Slim 7x et ThinkPad T14s Gen 6
  • Samsung Galaxy Book4 Edge

Source

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Test Eureka J12 Ultra – Un aspirateur robot avec une station tout-en-un

I. Présentation

Dans cet article, nous allons découvrir le robot aspirateur et laveur de sol Eureka J12 Ultra, accompagné par une station de charge tout-en-un et capable de détecter les objets et obstacles grâce à un système aidé par de l'IA. À l'occasion de ce test, Eureka propose une réduction aux lecteurs d'IT-Connect grâce à un code promo.

L'Eureka J12 Ultra est le nouveau modèle de cette marque, et, c'est aussi le premier modèle aussi complet proposé par Eureka, car il propose des fonctionnalités disponibles chez les ténors du marché.

Quelques mots sur la marque : Eureka est une marque américaine créée en 1909 à Chicago, qui est spécialisée dans la conception d'aspirateurs, et qui s'est lancé sur le marché des aspirateurs robots il y a quelques années. En 2016, la société Eureka a été rachetée par le groupe chinois Midea.

II. Package et design

Nous allons commencer par déballer l'aspirateur robot et l'ensemble des accessoires, afin de découvrir le design, les finitions, mais aussi les caractéristiques techniques de l'ensemble.

A. Qu'avons-nous dans le carton ?

Au sein du carton lourd et imposant, nous retrouvons la station de charge, le robot et les accessoires. Le robot est stocké dans une boite cartonnée dédiée, tout comme les accessoires, tandis que la station est emballée dans un plastique. L'ensemble est bien calé, chaque élément est à sa place et le matériel me semble suffisamment protégé pour résister au transport.

Esthétiquement, le packaging est plutôt léger, mais cela s'inscrit dans une démarche globale d'Eureka d'utiliser des matériaux recyclés et de fabriquer des produits respectueux de l'environnement.

Au-delà de la station et du robot que je vais présenter en détail par la suite, nous avons le droit aux accessoires suivants :

  • Un guide utilisateur, en plusieurs langues, dont le français
  • Deux brosses latérales, à positionner sur le robot
  • Deux serpillières de lavage lavables, à positionner également sur le robot
  • Un câble d'alimentation pour la station de charge
  • Un outil de nettoyage

La seule pièce de rechange fournie est un sac à poussières de 3 litres pour la station de charge. Sur Amazon.fr, Eureka commercialise des kits d'accessoires, notamment ceux-ci :

B. Aperçu de la station du robot

L'Eureka J12 Ultra est équipé d'une station de charge tout-en-un qui est capable de laver les serpillières grâce à son réservoir d'eau propre, tout en collectant l'eau sale grâce son réservoir prévu à cet effet. Elle peut aussi collecter la poussière stockée dans le robot suite à la session de nettoyage, puis laver les serpillières et les sécher à l'air chaud (55 °C). Ces fonctionnalités permettront au robot d'être autonome pour effectuer une multitude de tâches, tout en améliorant l'efficacité du nettoyage.

La station de charge Auto-Dock est imposante, mais en même temps similaire à certains modèles concurrents. Pour être précis, voici les dimensions : 412 mm (largeur) x 567 mm (hauteur) x 379 mm (profondeur).

La coque de la station de charge est entièrement en plastique et elle est totalement grise dans la configuration que j'ai eu l'occasion de tester. Il y a un autre coloris disponible : blanc.

Au premier coup d'œil, nous pouvons être surpris par la qualité de fabrication de cette station de charge, qui n'est pas irréprochable. Il y a des marques visibles sur le côté et à l'arrière, mais Eureka le sait et assume ce choix qui est lié au processus de fabrication. Une note présente à l'intérieur du carton précise ceci : "Veuillez noter que nous utilisons un processus écologique sans impression. Les marques d'écoulement sur le produit sont des textures naturelles dues au moulage à haute température, et non des problèmes de qualité." - Un choix courageux et honorable de la part d'Eureka s'il y a un réel intérêt écologique.

Sachez que le robot vient se loger dans la partie inférieure, tandis qu'au milieu, il y a comme une porte que nous pouvons ouvrir pour accéder au sac à poussière. Sur le dessus, le fait de lever le couvercle donne accès aux réservoirs d'eau.

La station de charge est équipée de 2 réservoirs de chacun 4.6 litres. Il y a un réservoir destiné à collecter les eaux usées et un réservoir qu'il convient de remplir d'eau froide. Une poignée présente sur le dessus de chaque réservoir permet de le manipuler facilement, notamment pour le retirer de la station ou le remettre en place.

Sur le dessus de la station de charge, se situe un panneau de contrôle avec deux LEDs d'état et deux boutons. Ils permettent de démarrer ou mettre en pause le nettoyage, ainsi que de rappeler le robot pour qu'il rentre à la base.

Enfin, le plateau inférieur de la station de charge, est totalement amovible. Ceci est un très bon point pour faciliter le nettoyage de la station de charge sans devoir se plier en quatre. Il suffit de déclipser le réceptacle afin de pouvoir le nettoyer aisément : étant donné que les serpillières seront nettoyées ici, et malgré la fonction d'auto-nettoyage, ceci pourra s'encrasser avec le temps.

Dans la suite de cet article, nous allons découvrir le robot en lui-même.

C. Découverte du robot EUREKA J12 Ultra

Intéressons-nous à la pièce maîtresse en charge du nettoyage de notre logement : l'EUREKA J12 Ultra. Contrairement à beaucoup d'autres modèles présents sur le marché, celui-ci n'est pas rond : il est carré avec des angles arrondis, qui lui permettent d'être relativement élégant. Voici ses dimensions exactes : 350 mm (profondeur) x 342.5 mm (largeur) x 108 mm (hauteur). Son design tranche avec celui des modèles circulaires très présents sur le marché.

Le dessus du robot est surplombé par le système de navigation LiDAR, identifiable grâce à la tourelle estampillée avec le "E" de la marque Eureka. Un peu plus haut, sur la coque, le robot est équipé de trois boutons. Ils donnent accès à plusieurs fonctions : démarrer, reprendre, mettre en pause le nettoyage / revenir à la base / démarrer le nettoyage localisé / gérer le verrouillage enfants. Enfin, un couvercle donne accès au réservoir à poussières, ainsi qu'aux boutons Wi-Fi et reset.

Le robot est équipé de pare-chocs et de différents capteurs, dont le système de détection d'obstacles 3D DuoDetect AI mis au point par Eureka. Il est qualifié de "Dual-View" par Eureka, car il diffuse deux faisceaux lumineux sur l'avant pour lui permettre de détecter et d'éviter les obstacles, y compris lorsque la pièce est sombre.

Le dessous de l'appareil donne un aperçu des différentes brosses ainsi que des serpillières rotatives. D'ailleurs, sachez que ces serpillières très épaisses effectuent 200 rotations par minute lorsque le robot nettoie votre sol. C'est plus que la majorité des robots, où le nombre de rotations par minute habituel est de 180.

La présence de deux brosses latérales est également un plus pour ramener vers le robot un maximum de poussière et autres saletés. Le robot est équipé d'une brosse centrale anti-emmêlement. Enfin, grâce à ses roues principales, le robot est capable de passer des obstacles d'une hauteur maximale de 2 cm (c'est la norme sur les robots).

Enfin, terminons cette présentation par un aperçu global de l'Eureka J12 Ultra. La conception est soignée, mais les finitions pourraient être meilleures, même si c'est lié à un vrai choix de la part de l'entreprise Eureka, comme je l'évoquais précédemment.

III. Installation, nettoyage, autonomie…

A. Installation

L'installation s'effectue en quelques minutes puisqu'il suffit de déballer le matériel, de retirer les différentes protections et d'installer la base ainsi que le robot. Le câble d'alimentation se connecte à l'arrière de la base et le surplus de câble peut être enroulé à l'arrière, de façon à faire une installation propre. Concernant le choix de l'emplacement du robot, sachez qu'Eureka demande 5 cm d'espace libre à droite et à gauche, ainsi que 1.3 mètre devant la station.

Une fois que le matériel est en place et allumé, la suite se passe dans l'application officielle baptisée "eureka robot" qui sera présentée plus largement dans la suite de cet article. Après avoir créé un compte utilisateur, le robot peut être ajouté à l'application : il suffit de se trouver à proximité pour qu'il soit détecté. Le processus d'intégration à l'application est très simple. Le robot se connecte au réseau Wi-Fi, via une connexion en 2.4 GHz.

B. Efficacité du nettoyage

Le robot J12 Ultra commence sa session de nettoyage par l'emplacement le plus loin possible de la base. C'est plutôt astucieux, car cela va lui éviter de rouler sur une zone qu'il a déjà nettoyée auparavant. Il va ensuite effectuer des allers-retours en "S" de façon à nettoyer les espaces de manière logique et cohérente. Son format lui permet de bien aller dans les angles. Je trouve qu'il effectue régulièrement des "pauses" : il s'arrête pendant environ 1 ou 2 secondes, avant de repartir. C'est étonnant quand il le fait alors qu'il est encore à 1 mètre du mur.

Le robot est capable de détecter et de contourner les objets, même s'il a tendance à régulièrement les percuter légèrement. Pour ma part, c'était le cas avec les pieds des chaises, ainsi que certains objets posés volontairement au sol (une paire de chaussures, par exemple). Un léger manque de précision.

La puissance d'aspiration est satisfaisante (5 000 Pa max) mais ne conviendra pas aux utilisateurs les plus exigeants sur ce point. Personnellement, je l'ai trouvé suffisante et bien complétée par le système de nettoyage avec les serpillières. Elles sont épaisses et larges, ce qui permet au robot de bien nettoyer le sol. De plus, je trouve que la station de charge ne consomme pas beaucoup d'eau à chaque lavage, ce qui est un bon point (et amène l'utilisateur à remplir le bac d'eau moins souvent).

Si vous trouvez que l'efficacité n'est pas suffisante, vous pouvez demander au robot d'effectuer un second passage. Ainsi, il va nettoyer deux fois la zone avant de considérer qu'il a terminé son travail. Ceci assure un nettoyage plus en profondeur, et grâce à son autonomie et ses réservoirs d'eau, il en est tout à fait capable.

C. Autonomie

Ce robot est équipé d'une batterie de 5 200 mAh. Eureka annonce une autonomie jusqu'à 150 minutes pour son robot J12 Ultra, soit la possibilité de couvrir une surface maximale de 300 m² en une seule charge. C'est énorme, et ceci me semble difficilement atteignable : à moins, peut-être, d'utiliser le mode silencieux.

Pour une utilisation normale et bénéficier d'un nettoyage efficace, comptez plutôt une autonomie d'environ 110 minutes, soit environ 110 m² nettoyés. Ceci représente déjà une belle surface, surtout qu'il ne faut pas tenir compte de l'espace occupé par les meubles, le canapé, etc... à moins qu'ils soient surélevés car dans ce cas, le robot, n'hésitera pas à passer dessous pour nettoyer.

La recharge complète nécessite plusieurs heures d'attente, et pendant ce temps, le robot lavera puis séchera les serpillières.

IV. L'application Eureka

L'application Eureka offre la possibilité à l'utilisateur de gérer plusieurs appareils. Ici, seul le J12 Ultra va nous intéresser. La première fois qu'on accède à son interface, le robot suggère de créer une carte rapide de votre logement qui sera affinée par la suite. C'est un procédé devenu habituel avec les robots aspirateurs.

L'application intègre plusieurs boutons d'action pour déclencher des opérations sur la station de charge : sécher les serpillières, laver les serpillières, vider le réservoir à poussière du robot et l'autonettoyage de la station elle-même.

Le bouton "Play", qui est celui que l'on utilise le plus, sert à lancer une session de nettoyage. Il est possible d'effectuer un nettoyage complet, un nettoyage d'une ou plusieurs pièces ou le nettoyage d'une zone, selon les besoins et circonstances.

Chaque session de nettoyage est personnalisable c'est-à-dire que nous pouvons ordonner au robot de nettoyer 1 fois, 2 fois ou 3 fois. Nous pouvons aussi ajuster la puissance de l'aspiration ainsi que la fréquence de nettoyage des serpillières (ce qui implique un retour à la station). Le robot peut aussi aspirer et laver en un seul passage, ou procéder en deux temps, voire même ne faire qu'un seul type de nettoyage.

Le système de cartographie joue un rôle clé dans l'utilisation d'un robot laveur de sol. Le modèle Eureka J12 Ultra n'échappe pas à cette règle. La carte générée manque de précisions, car comme le montre les images ci-dessous, il y a énormément d'angles et de coins : ce qui ne reflète pas la forme exacte des pièces du logement, mais plutôt la position des meubles... Néanmoins, Eureka a intégré toutes les fonctionnalités nécessaires :

  • Gestion de plusieurs cartes.
  • Création de murs virtuels, de zone à ne pas nettoyer, ou de zone où il faut seulement aspirer et donc ne pas utiliser la serpillière.
  • Définir un ensemble de pièces correspondantes à votre logement, avec la possibilité de diviser / fusionner les pièces à votre guise.
  • Nommer les pièces pour les identifier facilement.
  • Suivi de la progression du robot en temps réel sur la carte lorsqu'un nettoyage est en cours.

Grâce à ces fonctions, en tant qu'utilisateur, vous avez la main pour peaufiner la carte générée par le robot. Si elle ne vous convient pas du tout, il est toujours possible de la supprimer pour repartir de zéro.

Évoquons désormais les autres options de configuration accessibles dans l'application :

  • Planifier un nettoyage : un seul nettoyage ou un nettoyage régulier plusieurs fois dans la semaine à une heure spécifique.
  • Historique du nettoyage : liste de toutes les sessions de nettoyage du robot, avec un aperçu de son trajet, de la durée de la session, etc.
  • Gestion des tapis : le robot doit-il éviter les tapis ou doit-il passer dessus ? À vous de choisir. Il y a aussi une option pour augmenter la puissance d'aspiration sur les tapis.
  • Mode Ne pas déranger : le robot n'effectuera pas de nettoyage selon la plage horaire définie.
  • Fréquence de vidage de la poussières : le robot doit-il vider la poussière de son réservoir dans la base à chaque nettoyage ou tous les 3 ou 5 nettoyages ?
  • Configuration du séchage automatique : lorsque la station va sécher les serpillières, à la fin de la session de nettoyage, doit-il effectuer un séchage à l'air chaud ou air ambiant ? Pendant combien de temps : 2 heures ou 3 heures ?
  • Suivi de la durée de vie des différents accessoires.
  • Verrouillage pour enfants : désactiver les boutons du robot et de la station de charge, pour éviter qu'un enfant puisse déclencher une action (super pratique !).
  • Gestion vocale à distance avec Amazon Alexa et Google Assistant

L'anglais est la langue utilisée la voix du robot, sans qu'il soit possible de modifier la configuration pour utiliser le français. C'est dommage, et ce sera surement un frein pour certains utilisateurs. Pour le moment, Eureka est une marque peu connue en France : ce qui peut expliquer qu'elle n'a pas travaillé sur la traduction en français. Espérons que ce soit dans la feuille de route, mais la bonne nouvelle, c'est que l'application est disponible en français.

Eureka a fait un véritable effort pour nous laisser la main sur la configuration du robot, avec de nombreuses options de configuration. C'est appréciable, et même si l'application manque un peu de réactivité par moment, elle est très complète.

V. Conclusion

Le robot Eureka J12 Ultra est le premier modèle aussi complet de chez Eureka et c'est une belle réussite proposée à un tarif plus bas que de nombreux modèles concurrents. Il n'est pas parfait, mais il a des atouts à faire valoir, comme nous l'avons vu tout au long de ce test. Certaines améliorations, telle que la prise en charge du Français pour la synthèse vocale, pourront arriver par la suite par l'intermédiaire d'une mise à jour du firmware : les clés sont entre les mains d'Eureka.

👍 Avantages

  • Robot polyvalent et nettoyage satisfaisant.
  • Moins de 800 euros pour un robot accompagné par une station tout-en-un.
  • Système de lavage efficace et économe en eau.
  • Très complet : beaucoup de fonctions et d'options de configuration dans l'application.
  • Bac de nettoyage de la station amovible, ce qui facilitera son nettoyage.

👎 Inconvénients

  • Un seul accessoire de rechange : un sac à poussières.
  • Synthèse vocale en anglais.
  • La cartographie manque de précision (dans l'application)
  • Une station imposante qui ne conviendra pas à tous les utilisateurs.

Offre de lancement sur l'Eureka J12 Ultra

Ce modèle est commercialisé au prix de 799 euros, ce qui reste un prix élevé pour un aspirateur robot. Mais, actuellement, sur le marché, il y a des robots qui dépassent les 1 000 euros : donc à ce prix, l'Eureka J12 Ultra à une carte à jouer ! Découvrez notre offre spéciale à l'occasion du lancement de ce produit !

🎁 Obtenez 30 euros de réduction sur ce produit en utilisant l'un des deux codes ci-dessous :

  • Eureka J12 Ultra Blanc : 30 euros de réduction avec le code promo EUREKAJ12B11
  • Eureka J12 Ultra Noir : 30 euros de réduction avec le code promo EUREKAJ12N11

Proposé à 799 euros, son tarif tombera à 769 euros avec ce code promo. Mais, à l'occasion de son lancement, il est proposé à 679.99 euros, soit 649.99 euros après application du code promo dans votre panier.

Pour terminer, voici notre lien d'achat Amazon.fr :

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Test FlexiSpot E7 Pro, un bureau assis-debout électrique élégant et robuste

I. Présentation

Vous recherchez un bureau assis-debout électrique et élégant ? Vous devriez lire ce test puisque nous allons découvrir le modèle FlexiSpot E7 Pro ! Un modèle très robuste, personnalisable et esthétiquement réussi ! Ce sera peut-être l'occasion de laisser tomber votre bureau traditionnel utilisable uniquement en position fixe...

Cela fait environ un an que je suis passé sur un bureau assis-debout et cela a changé mon quotidien, car je peux facilement changer de posture tout en continuant à travailler. Rester assis au bureau pendant plusieurs heures, c'est mon quotidien, et c'est également celui de beaucoup de personnes... Notamment dans le domaine de l'IT mais pas seulement. Sur le long terme, cette position assise peut créer des tensions musculaires et autres douleurs. L'utilisation d'un bureau assis-debout, d'une souris verticale et d'un bon siège permettent de se préserver...

Offres promotionnelles de mai 2024

Du 13 mai au 17 mai 2024, de nombreux bureaux et autres produits de chez FlexiSpot sont en promotions à l'occasion d'une vente spéciale !

Le bureau FlexiSpot E7 Pro, présenté dans cet article, est proposé à 349.99 euros au lieu de 599.99 euros ! Une réduction importante même si le tarif final pourra varier selon les options choisies. Pour en profiter, suivez ce lien :

II. Le modèle FlexiSpot E7 Pro

Le modèle E7 Pro est entièrement personnalisable, car vous pouvez choisir la couleur du châssis (blanc ou noir), le type de plateau et sa taille, ainsi que sélectionner différents accessoires. Vous avez notamment le choix entre un plateau en bambou, en érable, en noyer, ou encore en chêne massif. Le prix définitif variera en fonction de la taille du plateau, mais aussi du type : le chêne massif sera naturellement beaucoup plus coûteux que le bambou.

Le modèle présenté dans cet article a un cadre noir, un plateau en érable de taille 180*80 avec une fourchette de réglage en hauteur de 63.5 à 128.5 cm. Ce modèle présente l'avantage d'être associé à une garantie de 10 ans, contre 7 ans ou 5 ans pour d'autres modèles. Ce qui donne l'aperçu suivant :

Si l'on regarde les caractéristiques techniques, on peut lire :

  • Nombre de moteurs : 2 (un dans chaque pied)
  • Capacité de charge : 160 kg
  • Vitesse de montée : 4 cm/s au maximum
  • Système anti-collision : oui
  • Sécurité enfant : oui, pour verrouiller les touches de l'écran
  • Certifications : CE, FCC, UL, BIFMA
  • Garantie : 10 ans

En comparaison du modèle FlexiSpot E7, celui-ci supporte une charge plus importante (160 kg contre 125 kg), et il monte légèrement plus rapidement à la montée. Il peut aussi être réglé en hauteur jusqu'à 128.5 cm contre 123 cm pour l'autre modèle. Ceci peut faire la différence dans certaines configurations et pour les personnes très grandes.

Une fois que ce bureau sera installé, je ferai l'installation de mon setup actuel afin que vous puissiez avoir un aperçu de l'espace occupé par deux écrans 27 pouces, un poste de travail fixe (assez imposant), des haut-parleurs, un clavier, une souris, et un micro.

III. Déballage et montage du bureau

Sans surprise, le bureau assis-debout de FlexiSpot est livré en deux colis différents : un premier carton contenant le plateau et un second carton contenant le châssis du bureau, ainsi que la notice, les vis, etc. Ceci est logique compte tenu du fait que la configuration est personnalisable.

Le plateau est très bien protégé, avec d'importants renforts dans les angles du carton, à l'extérieur ainsi qu'à l'intérieur. Des mousses sont également présentes à l'intérieur du carton. Le second carton, avec le châssis en métal, bénéficie aussi des protections nécessaires.

Le bois utilisé par FlexiSpot bénéficie du label FSC, ce qui signifie que le bois utilisé est issu d'une exploitation forestière légale associée à une gestion durable. Le plateau est très beau, avec d'excellentes finitions et les angles arrondis le rendent encore plus élégant. L'épaisseur du plateau est de 2.5 cm.

Le carton contient une notice en plusieurs langues dont le français et chaque étape est accompagnée par un schéma. En complément, FlexiSpot propose des vidéos de montage sur sa chaine YouTube, ce qui permet de lever un éventuel doute pendant le montage. Pour nous faciliter la tâche, FlexiSpot a inclus un outil multifonction pour le montage et chaque sachet de vis est identifié par une lettre que nous pourrons retrouver sur la notice. Le montage m'a pris environ 1h15, en étant seul, sans compter le temps nécessaire pour remettre en place tout le matériel.

FlexiSpot a eu la bonne idée d'ajouter une bande de velcro de 2 mètres, à découper soi-même pour attacher les câbles, ainsi qu'un petit accessoire à coller à l'emplacement de votre choix pour accrocher jusqu'à 4 câbles (pratique pour laisser plusieurs câbles en attente).

La majorité des trous sont prépercés, ce qui nous sert de repère pour le montage (ce n'est pas le cas pour la fixation du passe-câble). Il en va de même pour les câbles puisqu'ils sont étiquetés et qu'il y a un code couleur : difficile de se tromper. Le montage prend du temps, mais il s'effectue sans grande difficulté.

L'écran de réglage pourra être positionné sur la droite ou la gauche du bureau, selon vos préférences. Le cache câble estampillé "FlexiSpot" est recouvert par du tissu et il se positionne très facilement : grâce à des aimants, il vient se coller au châssis et masque ainsi tous les câbles liés du bureau en lui-même. À l'arrière, nous viendrons fixer le chemin de câbles. Il fait 12 cm de largeur, ce qui permet de positionner une multiprises et de connecter les câbles de vos appareils. C'est un plus de ce modèle car ce chemin de câbles est inclus d'origine avec le châssis et il est très pratique pour bien organiser les câbles.

Le fait de pouvoir manager les câbles sous le bureau grâce au support de câbles permet de faire une installation très propre. Surtout, vous pouvez augmenter ou diminuer la hauteur du bureau sans vous soucier des longueurs de câbles : vous devez simplement à veiller à ce que le câble d'alimentation de la multiprise soit, quant à lui, suffisamment long. Sur la photo de droite ci-dessous, vous pouvez également apercevoir l'organisateur Pedboard de FlexiSpot, vendu séparément.

L'ensemble des éléments du bureau, du plateau au châssis, me semblent d'excellente qualité et très robuste. Je n'ai pas de doute sur la qualité de ce bureau, ni même sur sa résistance dans le temps. Malgré la présence de deux écrans et de la tour sur le bureau, les dimensions très confortables du plateau (80 x 180 cm) me permettent d'avoir encore un espace suffisant pour ajouter un ordinateur portable, des documents, etc. De plus, le bureau continue de s'élever parfaitement sans broncher : preuve qu'il est prêt à supporter une charge plus lourde. 160 kg, au maximum, c'est énorme.

Remarque : les moteurs d'entraînements utilisés par FlexiSpot sont brevetés. "Les concepteurs de FlexiSpot ont investi 8 millions de dollars dans la recherche et le développement de leurs produits afin d'avoir accès aux matériaux les meilleurs et les plus durables du marché, créant ainsi des produits qui ont résisté à 100 000 tests.", peut-on lire sur le site officiel.

IV. Utilisation du bureau au quotidien

Le bureau est installé et raccordé au secteur, le matériel est en place, il ne reste plus qu'à en profiter. Au quotidien, ce bureau assis-debout change la vie et nous offre la possibilité de travailler debout lorsque le besoin s'en fait sentir. Il faut un temps d'adaptation, afin de prendre l'habitude en quelque sorte.

Grâce à l'écran de contrôle situé sur la gauche ou la droite du bureau, selon l'emplacement retenu, on peut ajuster la hauteur du bureau. Pour faciliter le passage du mode assis au mode debout et inversement, le bureau peut mémoriser 4 positions. La configuration est très simple : on positionne le bureau une première fois dans la position souhaitée, on appuie sur la touche "M" puis sur la touche de mémorisation souhaitée. Ensuite, un simple appui sur un bouton mémoire et le bureau s'ajuste en fonction de la configuration.

Vous pouvez enregistrer plusieurs positions assises, car ceci permet de jouer sur la posture. Le fait de pouvoir régler la hauteur encourage le changement de position : on peut régler la hauteur de son siège et ajuster le bureau en conséquence, ce qui permet de ne pas avoir les jambes positionnées de la même façon tout en restant assis. Ça, c'est nouveau.

Remarque : le bruit généré par les moteurs lorsque l'on ajuste la hauteur du bureau est très faible. Ce n'est pas gênant du tout : on parle d'un niveau de bruit inférieur à 50 dB.

Enfin, sachez qu'un port USB-A est positionné sur le côté droit de l'écran de contrôle. Étant donné que le bureau est alimenté, ce port USB l'est aussi. Je le trouve utile pour recharger des batteries, par exemple, celle d'un appareil photo, ou encore une batterie externe, ou éventuellement son smartphone.

Et alors, debout, est-ce vraiment bien ?

La grande nouveauté, c'est de pouvoir travailler debout tout en utilisant le même setup : clavier, souris, écrans, etc... En pratique, c'est effectivement l'occasion de se dégourdir un peu les jambes et solliciter ses muscles d'une façon différente. Toutefois, les phases en position debout sont plus courtes qu'en étant assis. On peut passer des heures assis, tandis que si l'on passe 1 heure à travailler debout devant l'écran, c'est déjà bien. L'avantage, c'est que quelques secondes suffisent pour passer d'une poste à une autre. Un réel changement.

Rester debout très longtemps, de façon statique, ce n'est pas si évident que cela... Ce n'est donc surement pas un hasard si FlexiSpot propose un tapis anti-fatigue que l'on positionne sous ses pieds. Il doit être acheté en complément et il est vendu 45,99 euros sur le site officiel (voir ici). Personnellement, alterner entre des phases assises plutôt longues et des phases debout plus courtes me convient bien.

V. Conclusion

Comme je le disais en introduction, j'utilise un bureau assis-debout un an et je me vois mal revenir en arrière. C'est appréciable au quotidien et ce n'est pas du tout "un gadget". Il y a un réel intérêt à changer de posture à plusieurs reprises tout au long de la journée. Ce bureau est très fonctionnel !

Mis à part le tarif qui peut être un réel frein, ce bureau n'a pas de point négatif : il est super élégant, avec des finitions impeccables, tout en offrant une surface de travail importante. Si vous décidez d'acheter un FlexiSpot E7 Pro, il ne vous reste plus qu'à choisir le coloris du châssis ainsi que les dimensions et le type de plateau. Enfin, vous pouvez tout à fait acheter le châssis et installer votre propre plateau !

La configuration présentée est commercialisée au prix de 819.98 euros sur le site officiel de FlexiSpot. Comptez 699.98 € pour une combinaison avec le châssis et un plateau 120 x 60 cm en érable.

Que ce soit à la maison ou au travail, ce bureau va vous combler !

Merci à FlexiSpot de m'avoir offert l'opportunité de tester ce modèle de bureau.

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Test EcoFlow River 2 Pro – Une station de recharge avec fonction UPS

I. Présentation

Vous êtes à la recherche d'une station de recharge et vous souhaitez avoir un avis complet sur l'EcoFlow River 2 Pro ? Alors, vous êtes au bon endroit !

Dans cet article, nous allons passer en revue les caractéristiques de l'appareil, ainsi que de son design et l'application officielle EcoFlow. Je vous donnerai aussi mes impressions pour une utilisation au quotidien.

C'est la première fois qu'un test d'un appareil de la marque EcoFlow est publié sur IT-Connect, donc je vais également vous présenter cette entreprise. Créée en 2017 par un groupe d'ingénieurs spécialisés dans les batteries, EcoFlow est une marque chinoise innovante qui propose des stations de charge portables, mais aussi des panneaux solaires et des solutions pour la maison.

"Notre vision est d’alimenter le monde de demain, aujourd’hui. Nous rêvons d’un monde réinventé, porté par l’aspiration d’un futur numérisé, respectueux de l’environnement et partagé par tous."

II. Caractéristiques EcoFlow River 2 Pro

La station de recharge nomade RIVER 2 Pro fait partie de la famille EcoFlow River, au sein de laquelle il y a plusieurs modèles. La famille de produits EcoFlow Delta complète cette gamme de produits. La RIVER 2 Pro est un modèle du milieu de gamme.

Commençons par nous intéresser aux caractéristiques techniques de cette station de recharge :

  • Capacité : 768 Wh
  • Type de batterie : LiFePO4
  • Puissance en sortie : 800 Watts, et jusqu'à 1600 Watts pendant une courte durée avec le mode X-Boost
  • Sortie courant continu : 12.6V, 10A/3A/3A, 126W Max
  • Sortie courant alternatif : onde sinusoïdale pure, 800 W au total (surtension 1600 W), 230 V ~ 50 Hz/60 Hz
  • Sortie USB-A: 5V, 2.4A, 12W Max
  • Temps de charge : 0 à 100 % en 70 minutes
  • Durée de vie : 80%+ capacité après 3 000 cycles, soit 10 ans d'utilisation quotidienne
  • Poids : 7.8 kg
  • Dimensions : 270 x 260 x 226mm
  • Garantie : 5 ans par le constructeur

En complément, l'application officielle EcoFlow permet de gérer cet appareil, et les autres de la marque, en temps réel. Ceci offre aussi des capacités de gestion à distance et de nombreuses fonctionnalités, comme nous le verrons dans la suite de cet article.

III. Package et design

Au sein de la boite sobrement estampillée "EcoFlow" et donnant un vague aperçu du produit, nous retrouvons la station de recharge parfaitement protégée et calée par un épais bloc de mousse moulé selon la forme de la RIVER. Elle est accompagnée par un guide de démarrage rapide, un câble pour la recharge sur le secteur, un câble pour la recharge sur allume-cigare et un câble de connexion "DC5521".

Sur la façade de la RIVER 2 Pro, nous retrouvons 3 modules distincts : un module avec les prises électriques AC pour la France, un module avec les ports USB et un dernier module avec l'alimentation 12V (allume-cigare et DC). Un bouton on/off permet d'activer ou désactiver l'alimentation des appareils connectés sur 2 des 3 modules d'alimentations. En complément, le bouton central (doré) sert à allumer ou éteindre totalement la RIVER 2 Pro. Il y a peu de boutons, donc le boitier n'est pas trop encombré et la prise en main s'annonce facile.

La façade intègre aussi un écran détaillé et lumineux qui est là pour fournir des informations utiles à l'utilisateur, notamment l'autonomie restante avec un pourcentage et une estimation en minutes ou heures. Le nombre de Watts en entrée et en sortie, est également précisé. Lorsque la batterie est elle-même en charge, l'écran indique le temps restant avant que la batterie soit complètement chargée. Comme nous le verrons par la suite, nous pouvons compter sur l'application mobile pour obtenir des informations supplémentaires.

Une imposante poignée est présente à l'arrière du boitier. Difficile de passer à côté ! Bien qu'elle soit utile pour faciliter le transport de la batterie et avoir une bonne prise en main, elle élargit l'arrière de la batterie, ce qui pourra s'avérer gênant pour la stocker. De plus, elle n'est pratique parce qu'à cause de son positionnement, le poids de la batterie est mal réparti.

Les différents ports et les prises ne sont pas protégés. Ils sont directement accessibles. Les finitions du boitier sont très bonnes et il me semble robuste.

Cette station de recharge est équipée d'un système de gestion de la batterie qui surveille en permanence la tension, le courant et la température. Ceci permet de protéger l'appareil contre la surtension, la surcharge, la surchauffe, le court-circuit, la basse température, la basse tension et la surintensité.

IV. Utilisation au quotidien

Désormais, nous allons évoquer l'utilisation au quotidien de cette station de recharge EcoFlow. Ce sera l'occasion de parler de l'application et de ses fonctionnalités.

A. L'application EcoFlow

L'application officielle s'appelle tout simplement "EcoFlow" et elle est accessible via le Google Play Store ou l'App Store selon votre appareil. Après avoir créé un compte, vous pouvez ajouter un nouvel appareil. À partir du moment où la RIVER 2 Pro est allumée et à proximité du smartphone, il n'y a rien à faire : la détection est immédiate et automatique. C'est appréciable.

La connexion entre votre smartphone équipé de l'application EcoFlow et la station de charge EcoFlow s'effectue au moyen du Wi-Fi ou du Bluetooth. D'ailleurs, le Bluetooth est utilisé pour la connexion initiale et lorsque vous n'êtes pas à votre domicile. Sinon, la RIVER peut se connecter à votre Wi-Fi. La connexion à votre réseau sans-fil doit être effectuée pendant le processus de mise en route afin que la RIVER puisse accéder à Internet et récupérer d'éventuelles mises à jour du firmware.

Au même titre que l'écran de la RIVER, l'application mobile fournie des informations utiles en temps réel, tout en étant plus précise. Pour chaque module d'alimentation, en entrée et en sortie, la RIVER indique la puissance actuelle en Watts. Le pourcentage de batterie est également précisé, tout comme une estimation en heures et la température de l'appareil. Nous pouvons aussi activer ou désactiver à distance les modules d'alimentation, comme avec les boutons physiques.

Au-delà de permettre de partager cet appareil avec un autre utilisateur ou de gérer les mises à jour du firmware, l'application EcoFlow intègre un ensemble de paramètres :

  • Limiter la vitesse de charge de la batterie
  • Configurer le courant sur l'entrée allume-cigare : 4A, 6A, 8A
  • Activer ou désactiver le mode X-Boost
  • Limiter la charge ou la décharge, pour empêcher la batterie de se charger complète, ou à l'inverse, de se décharger complètement. Par exemple, lorsqu'il reste 10% de batterie, elle peut arrêter de fournir de l'énergie.
  • Délai de mise en veille de l'appareil s'il est allumé, mais qu'il ne fournit pas d'énergie à un appareil.
  • Délai de mise en veille de l'écran
  • Délai de mise en veille de la sortie CA

L'application est bien pensée et elle offre un contrôle plus précis sur sa station de charge. Le fait que la batterie soit équipée du Bluetooth nous permet d'effectuer des réglages depuis n'importe où à condition d'être à proximité de la batterie. J'aimerais tout de même suggérer une amélioration à EcoFlow : l'envoi d'une notification sur le smartphone lorsque la batterie est faible, ou l'émission d'un bip sonore. Actuellement, il n'y a rien pour nous avertir donc si l'on ne surveille pas l'autonomie de la batterie, on peut se faire surprendre.

Remarque : la section "Automatisation" de l'application ne s'applique pas au modèle RIVER 2 Pro.

B. Tests en conditions réelles

Nous pouvons facilement imaginer de nombreux scénarios d'utilisation de cette station de recharge. Par exemple :

- En cas de coupure de courant à son domicile, que ce soit pour alimenter un ordinateur ou un autre appareil (le mode X-Boost sera particulièrement utile dans ce cas).

- En camping, en extérieur ou dans un van aménagé.

- Sur un chantier isolé où il n'y a pas d'électricité, cela peut permettre de connecter une lampe ou encore de recharger les batteries de votre outillage. L'alimentation de certains outils sera possible, mais la puissance en Watts peut être beaucoup trop élevé dans certains cas.

Désormais, nous allons évoquer son utilisation plus précisément.

  • Panne d'électricité : fournir l'alimentation à un ordinateur fixe avec deux écrans

Pour ce premier scénario, je vais utiliser la RIVER 2 Pro afin de connecter : un ordinateur fixe (avec carte graphique dédiée) et deux écrans Full HD de 27 pouces. Sur cet ordinateur, il y a également des périphériques alimentés par USB : un micro, une webcam et une paire haut-parleurs. L'objectif étant de voir combien de temps, il m'est possible de faire tourner mon setup avec cette RIVER 2 Pro, afin de pallier une éventuelle panne d'électricité. L'ordinateur étant mon outil de travail, il m'est important d'avoir cette solution de secours.

Au bout d'environ 13 minutes d'utilisation, la ventilation s'est activée pendant 2 minutes, avant de s'éteindre. Puis, elle s'est réactivée de façon cyclique et régulière afin de garder le contrôle sur la température de la batterie. Le ventilateur est plutôt bruyant.

Au bout d'une heure d'utilisation, il restait 77 % de batterie, puis au bout de 2 heures, il restait 59 % d'autonomie. Finalement, j'ai pu alimenter mon setup avec la RIVER 2 Pro pendant 4 h 33 avant que la batterie soit épuisée. Autrement dit, elle me permettrait de travailler un peu plus d'une demi-journée !

Ici, inutile d'activer le mode X-Boost, car la puissance totale consommée par les appareils connectés est bien inférieure à 800 watts. Néanmoins, en cas de besoin, nous pourrions activer le mode X-Boost pour que la batterie délivre jusqu'à 1 600 watts, pendant une durée plus courte.

  • Utilisation en tant qu'UPS

La RIVER 2 Pro peut être utilisée en tant qu'onduleur (UPS) en venant se positionner entre le réseau électrique et vos appareils, grâce à la fonction Pass-Through. Par exemple, la RIVER 2 Pro peut être connectée à la prise électrique murale et l'ordinateur et les deux écrans à la RIVER 2 Pro. Dans ce cas, le courant ne passe pas par l'onduleur, ni même la batterie, et s'il y a une coupure d'électricité, alors elle prendra le relais !

Il y a tout de même une interruption de 30 ms au moment de la bascule sur l'alimentation sur batterie. Bien que ce soit transparent pour nous, certains appareils n'apprécieront pas. Avec un onduleur digne de ce nom, cette interruption n'existe pas. Dans mon cas, c'est passé inaperçu pour mon ordinateur fixe et mes deux écrans : la bascule sur batterie a été transparente.

  • Recharger un ou plusieurs appareils

La RIVER 2 Pro peut-être utilisée pour recharger des appareils divers et variés, y compris votre smartphone, votre tablette et votre ordinateur portable. En fonction de la capacité de la batterie de vos appareils, celui-ci pourra être rechargé un certain nombre de fois. Pour ma part, j'ai pu recharger près de 7 fois intégralement mon PC Surface Pro 7 (tout en l'utilisant) avec une charge complète de RIVER 2 Pro.

C. La recharge de la RIVER

EcoFlow annonce 70 minutes pour recharger complètement la batterie (0 à 100 %). Avec la recharge sur secteur, c'est effectivement la durée nécessaire pour la recharger intégralement (entre 65 et 70 minutes, d'après mes tests).

C'est vraiment rapide et c'est un gros plus pour ce modèle, notamment si vous avez besoin de recharger la batterie à la dernière minute... Le bémol, c'est le bruit généré par la ventilation pendant que la batterie recharge : il est élevé et constant tout au long de la charge.

Remarque : en 20 minutes, vous pouvez récupérer 35 % d'autonomie !

Pour recharger les batteries de la station, vous avez 4 modes de charge différents répondant à plusieurs scénarios : la connecter au secteur avec le cordon d'alimentation, la connecter à une prise allume-cigare (en voiture, par exemple), la connecter en USB-C, ou lui associer un panneau solaire pour bénéficier de l'énergie solaire.

V. Conclusion

Facile à transporter avec sa poignée de transport intégrée à la coque, la RIVER 2 Pro d'EcoFlow est facile à utiliser et remplie parfaitement sa mission : fournir de l'énergie à un ou plusieurs appareils. L'application est ergonomique et elle nous donne l'opportunité de configurer l'appareil, selon nos besoins. La fonction d'UPS évoquée dans cet article, ainsi que le X-Boost, sont deux fonctions qui rendent cette station de recharge plus polyvalente.

Lors de ce test, j'ai noté deux points négatifs : le bruit généré par la ventilation de l'appareil. Il est très gênant lorsque la batterie se recharge et l'est un peu moins lorsque la RIVER fournie de l'énergie à des appareils, car c'est plus par intermittence, même si cela dépend de votre utilisation : plus elle est sollicitée, plus elle aura besoin de ventiler pour se refroidir. Et, la poignée qui est mal positionnée bien qu'elle soit indispensable.

Enfin, le fait de pouvoir recharger la batterie à l'aide d'un panneau solaire externe (vendu séparément) offrira certainement un peu plus de liberté et d'autonomie ! Nul doute que ce sera très utile si vous avez l'habitude de partir en camping.

Où acheter la station EcoFlow RIVER 2 Pro ?

L'EcoFlow RIVER 2 Pro est vendue sur plusieurs sites d'e-commerce dont la boutique officielle d'EcoFlow ainsi qu'Amazon. Ci-dessous, vous pouvez utiliser notre lien Amazon pour acheter ce modèle :

L'EcoFlow RIVER 2 Pro est vendue 699.00 euros, ce qui représente un budget non négligeable.

Merci à EcoFlow de m'avoir fourni un exemplaire de cet appareil pour réaliser ce test.

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Test UGREEN CM642 – Un boitier pour SSD NVMe compatible USB4

I. Présentation

Vous avez un disque SSD NVMe et vous souhaitez en faire un disque SSD externe ? Cela tombe bien, dans cet article, nous allons découvrir un boitier de chez UGREEN compatible USB4 ! Il s'agit de la norme USB la plus récente, avec un débit théorique de 40 Gbps.

Commençons par évoquer les caractéristiques de ce boitier UGREEN dont la référence exacte est CM642 :

  • Connectique : 1 x sortie USB-C
  • Emplacement pour disque : 1 x disque SSD NVMe M.2 (format 2230 / 2242 / 2260 / 2280)
  • Capacité maximale du disque : 4 To
  • Système de dissipation de la chaleur, avec ventilateur, intégré au boitier
  • Prise en charge des fonctions UASP, TRIM, S.M.A.R.T
  • Alimentation via USB : 5.0V - 3.0A Max
  • Systèmes d'exploitation pris en charge : Windows, Linux et macOS
  • Compatible : USB4 (40 Gbps), Thunderbolt 4, Thunderbolt 3, ainsi que USB3

Pour découvrir tous les produits et accessoires UGREEN, vous pouvez visiter leur site officiel :

II. Package et design

Le packaging de ce boitier UGREEN est plutôt soigné puisqu'il nous donne un aperçu du boitier, ainsi que ses principaux atouts et ses caractéristiques techniques. Les accessoires sont dans une petite boite en carton, tandis que le boitier est à part et correctement emballé.

Au-delà du boitier UGREEN en lui-même, voici ce qu'il y a dans la boite : un guide d'utilisation, un câble USB-C vers USB-C, un câble USB-C vers USB-A, un tournevis, une vis, et un pad de pâte thermique. Si votre PC ne possède pas de port USB-C, vous pourrez quand même connecter le boitier grâce aux différents câbles fournit.

Le boîtier est en alliage d'aluminium, ce qui optimise la dissipation de la chaleur vers l'extérieur. Le boitier est protégé par une coque en silicone qui le protégera contre certaines chutes. Personnellement, je trouve que ce boitier est très chic et qu'il a une allure premium. Les finitions sont impeccables. Voici les dimensions du boitier lorsqu'il est équipé de la coque : 12.5 cm x 5.4 cm x 2.3 cm. Sur le dessus du boitier, à gauche de la mention UGREEN, se situe une LED d'activité.

Pour démonter le boitier et installer un disque, il y a une seule vis à retirer : elle se situe sur le dessus du boitier. Ceci permet d'ouvrir le couvercle supérieur pour accéder à l'intérieur du boitier. Un logement est prêt à accueillir votre disque SSD : ici, un disque SSD NVMe Samsung 990 PRO est utilisé. Une fois le disque en place, il faut positionner la pâte thermique sur le dessus avant de refermer le boitier. Par ailleurs, nous pouvons apercevoir le ventilateur intégré au boitier.

L'installation du disque dans le boitier s'effectue facilement et rapidement. En cas de doute, nous pouvons nous référer à la notice fournie par UGREEN. Désormais, le disque est prêt à être utilisé. La première fois, il sera nécessaire de formater le disque à partir du système d'exploitation, s'il s'agit d'un disque neuf.

III. Performances

Désormais, nous allons évoquer les performances, même si cela dépendra fortement des caractéristiques du disque intégré au boitier, ainsi que de la puissance de l'appareil sur lequel est connecté le boitier.

Pour évaluer les performances de ce boitier, j'ai utilisé un mini PC Geekom IT13 équipé de ports USB4. Un disque SSD NVMe Samsung 990 PRO est intégré au boitier, dont les données constructeurs sont les suivantes : vitesse séquentielle de lecture de 7 450 Mo/s et 6 900 Mo/s en écriture.

Sur le même PC et avec le même disque, un benchmark a été réalisé avec CrystalDiskMark en USB4 et en USB 3.2.

  • Connecté en USB 4.0
  • Connecté en USB 3.2 Gen2

La température de disque est de 26 °C lorsqu'il est connecté au PC, mais non sollicité. Pendant le benchmark, la température monte à 34 °C puis à 43 °C (et elle reste stable), ce qui reste très correct. Le boitier quant à lui devient un peu chaud, ce qui montre que la chaleur est dissipée vers l'extérieur.

Sous Windows, la copie de gros fichiers de l'ordinateur vers le disque externe (écriture) est effectuée à une vitesse moyenne de 650 Mo/s. La même opération dans l'autre sens, c'est-à-dire en lecture depuis le disque externe, est effectuée à une vitesse moyenne de 980 Mo/s.

IV. Conclusion

Ce boitier UGREEN est excellent : très joli, bien conçu et il répond présent lorsqu'on le sollicite. Il assure des transferts ultra-rapides, ce qui est pratique pour réaliser des sauvegardes sur disque ou transférer des gros fichiers (fichiers vidéos en 4K, etc.). D'après les tests de charge que j'ai réalisés, le système de dissipation thermique semble être au point.

Ce boitier est proposé à 129.99 euros sur Amazon.fr : ce n'est pas donné, mais ce sont les prix actuels pour les boitiers compatibles USB4. Et surtout, les disques SSD externes se font rares sur le marché. Actuellement, la meilleure option, c'est probablement d'acheter un boitier comme celui-ci et d'ajouter le disque SSD de son choix.

Merci à UGREEN de m'avoir fourni un exemplaire de ce boitier dans le cadre de ce test.

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Bon plan – Jusqu’à 300 euros de réduction sur deux PC Geekom avec un Intel Core i9 !

Geekom propose aux lecteurs d'IT-Connect deux codes promotions pour deux modèles de PC : le GEEKOM FUN11 et le GEEKOM FUN9. Le premier bénéficie de 300 euros de remise, tandis que le second bénéficie de 200 euros de remise ! Faisons le point sur ces offres !

La très bonne marque Geekom propose de nombreux modèles de mini PC. Parmi ses différentes gammes, il y a la gamme "FUN" correspondante à des modèles plus imposants puisque leur boitier prend la forme d'un cube. L'avantage : ces boitiers permettent d'intégrer certaines cartes graphiques dédiées en comparaison des mini PC ultra-compacts.

300 euros de remise sur le Geekom FUN11

Le Geekom Mini FUN11 est équipé d'un processeur Intel Core i9-11900KB (11 ème génération - 8 coeurs - 16 threads), de 32 Go de RAM (DDR4) et de 1 To de SSD NVMe. La RAM peut être augmentée jusqu'à 64 Go et il y a d'autres emplacements pour disques SSD NVMe. Bien qu'il soit livré sans carte graphique dédiée, il est compatible avec celles de la série AMD Radeon RX 6000 ou la série GeForce RTX 30 (jusqu’à 321 mm).

Par ailleurs, il est équipé du Wi-Fi 6E, du Bluetooth 5.2, d'un port Ethernet RJ45 en 2.5 Gbit/s, ainsi que plusieurs ports USB et USB-C. Il est livré avec le système d'exploitation Windows 11 Pro, que vous pouvez remplacer bien entendu.

Voici un aperçu de ce boitier dont les dimensions sont les suivantes : 386 x 153 x 219 mm.

👉 L'offre spéciale : avec le code "ITPR300" obtenez 300 euros de réduction immédiate ! Le prix passe de 899.00 € à 599.00 € ! De plus, il y a un kit clavier-souris gaming (filaire) d'une valeur de 99.99 € offert ! Pour bénéficier de cette offre, vous pouvez utiliser notre lien d'affilié Geekom : cliquez ici pour en savoir plus et accéder à l'offre.

200 euros de remise sur le Geekom FUN9

Le Geekom Mini FUN9 est un modèle d'ancienne génération, mais également moins onéreux, qui est tout de même équipé d'un processeur Intel Core i9-9980HK (9 ème génération - 8 coeurs - 16 threads), de 32 Go de RAM (DDR4) et de 1 To de SSD. Sur ce modèle, la RAM peut aussi être augmentée jusqu'à 64 Go et il y a aussi une évolution possible pour le stockage car la fiche technique mentionne ceci : "2 x M.2 2280 PCIe Gen3 * 4 ou SATA3 SSD, jusqu'à 2 To". Il n'est pas livré avec une carte graphique dédiée, mais il est compatible avec celles de la série AMD Radeon RX 6000 ou la série GeForce RTX 30 (jusqu’à 321 mm).

Par ailleurs, il est équipé du Wi-Fi 6, du Bluetooth 5.2, et deux ports Ethernet RJ45 en 1 Gbit/s (contre un seul port en 2.5 Gbit/s pour le premier modèle). À cela s'ajoutent des ports USB, un port USB-C, deux ports Thunderbolt 3, etc. Il est livré avec le système d'exploitation Windows 11 Pro, mais vous pouvez installer l'OS de votre choix.

👉 L'offre spéciale : avec le code "ITPR200" obtenez 200 euros de réduction immédiate ! Le prix passe de 699.00 € à 499.00 € ! En complément, un ensemble clavier-souris sans-fil d'une valeur de 39.99 € est offert ! Pour bénéficier de cette offre, vous pouvez utiliser notre lien d'affilié Geekom : cliquez ici pour en savoir plus et accéder à l'offre.

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Test Geekom IT13 – Un mini PC de 650 grammes avec un Intel Core i9-13900H et 32 Go de RAM

I. Présentation

Dans cet article, nous allons découvrir le Mini PC Geekom IT13 dans sa version la plus puissante dotée d'un processeur Intel Core i9 de 13ème génération, de 32 Go de RAM et de 2 To de SSD. D'autres versions de ce modèle sont proposées avec des processeurs Intel Core i5 et Intel Core i7.

Nous allons passer en revue les caractéristiques techniques, le design et la qualité du boitier, ainsi que les possibilités d'évolution. Forcément, cet article va évoquer les performances de ce Mini PC à la configuration très musclée !

Sur le marché des Mini PC, la marque Geekom est incontournable et elle s'est imposée comme un acteur majeur au niveau mondial. Elle a été créée en 2003 et la direction R&D de Geekom est située à Taiwan. En complément, la marque a plusieurs succursales dans différents pays du monde.

II. Caractéristiques du Geekom IT13

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

  • Processeur : Intel Core i9-13900H (14 Cœurs, 20 Threads, 24 Mo de cache, jusqu'à 5,40 GHz)
  • GPU : Intel Iris Xe
  • RAM : 32 Go DDR4-3200, extensible jusqu'à 64 Go
  • Stockage : 2 To de SSD NVMe (Gen.4) + 1 emplacement pour SSD SATA au format M.2 (2242 - Jusqu'à 1 To) + 1 emplacement vide pour disque 2.5 pouces (2 To max.)
  • Connectique : 3 x ports USB 3.2 Gen 2 + 1 x port USB 2.0 + 2 x ports USB 4 + 1 prise casque Jack 3.5 mm + 1 x slot pour une carte SD + 1 x interface réseau LAN 2.5 GbE + 2 x ports HDMI 2.0 + 1 x port d'alimentation
  • Affichage : prise en charge jusqu'à 4 écrans.
  • WiFi 6E (AX211), Bluetooth 5.2
  • Alimentation : 19V, 6,32A DC - 120W
  • Poids : 652 grammes
  • Dimensions (L x W x H) : 117 mm x 112 mm x 49,2 mm
  • Système d'exploitation : Windows 11 Pro
  • Garantie : 3 ans

Comme vous le voyez, la fiche technique est très alléchante ! Entre l'Intel Core i9, l'interface réseau 2.5 GbE, l'USB4 et le WiFi 6E, nous sommes servis ! J'insiste aussi sur la présence d'une garantie constructeur de 3 ans.

Deux autres versions du modèle Geekom IT13 sont disponibles :

  • Intel Core i7-13700H (14 Cœurs, 20 Threads, 24 Mo de cache, jusqu'à 5,00 GHz) avec 32 Go de DDR4 + un SSD NVMe de 1 To
  • Intel Core i5-13500H (12 Cœurs, 16 Threads, 24 Mo de cache, jusqu'à 4,70 GHz) avec 16 Go de DDR4 + un SSD NVMe de 512 Go

III. Package et design

Il est temps de déballer ce Mini PC pour voir à quoi ils ressemblent. L'emballage est très soigné et la boite nous donne un aperçu plus précis sur la connectique de ce modèle et le positionnement des différents ports. À l'intérieur, le Mini PC est parfaitement protégé par un bloc en mousse rigide. En dessous de lui, nous avons l'ensemble des accessoires.

Au final, voici les éléments inclus par Geekom : un Mini PC IT13, un câble HDMI, une alimentation externe et son câble, une plaque VESA (et les vis) permettant d'accrocher le mini PC à l'arrière d'un écran (support VESA), une notice (qui explique comment ajouter un disque, comment utiliser le support VESA, etc.), ainsi qu'une lettre de remerciement pour l'achat. Un kit complet !

Regardons de plus près ce boitier. Premier constat : les finitions sont excellentes et la qualité de fabrication rassurante. C'est vraiment un beau boitier. Ce boitier n'est pas gris : Geekom a fait le choix d'opter pour un boitier coloris gris-bleu.

Sur la façade, nous retrouvons deux ports USB, dont un port USB 3.2 Gen2 avec PowerDelivery (PD) et un port USB 3.2 Gen2 (sans PD). Ils sont accompagnés par la prise casque et le bouton Power. Sur le côté droit du boitier, nous avons une fente de verrouillage Kensington, tandis que sur le côté gauche, nous avons un slot pour insérer une carte SD.

À l'arrière du boitier, nous avons tout le reste de la connectique, dont les deux ports USB4 au format USB-C avec PowerDelivery. Pour rappel, le débit théorique de l'USB4 est de 40 Gbps. Au total, nous avons à notre disposition 6 ports USB, dont un port USB 2.0 (un intrus ?), ce qui est confortable et rare sur ce type de PC (c'est plus souvent 4).

La connectique est surplombée par l'aération du dissipateur thermique pour permettre l'évacuation de l'air chaud par l'arrière, tandis que l'air pourra rentrer de chaque côté du boitier grâce aux aérations. La technologie de refroidissement baptisée GEEKCOOL se veut particulièrement silencieuse : 43.6 dBA, lorsque le matériel est fortement sollicité.

Sur le dessus du boitier, la marque est inscrite, tandis qu'en dessous, nous avons une étiquette avec diverses informations (modèle, adresse MAC, numéro de série, etc.) et nous constatons la présence de patins antidérapants. Les 4 vis que vous apercevez permettent d'ouvrir le boitier facilement et rapidement. Elles restent « accrochées » au support amovible, ce qui évite de les égarer.

Il est important de préciser que ce boitier est à la fois en métal et en plastique. Les composants sont protégés par une cage métallique, tandis que la coque du boitier est en plastique. Cette illustration montre bien la conception de ce boitier :

Comme je l'évoquais précédemment, le boitier s'ouvre facilement puisqu'il y a seulement 4 vis à retirer et elles sont directement accessibles. C'est l'occasion de jeter un coup d'œil à l'intérieur du boitier et de connaitre le type de SSD et de RAM.

  • Un SSD NVMe de marque ACER, avec la référence N5000CN-2TB, d'une capacité de 2 To (pour lequel je ne suis pas parvenu à trouver d'informations supplémentaires).
  • Deux barrettes de RAM de marque Wooposit : 16 Go Rx8 - PC4-3200AA-S-11. Soit 32 Go au total. Il est possible de passer sur 64 Go de RAM, mais ceci implique de remplacer les deux barettes déjà présentes car les deux slots sont occupés.

L'ajout d'un disque SATA au format 2.5 pouces s'effectue directement au sein de la cage métallique intégrée à la partie amovible du boitier (partie de gauche sur la première photo ci-dessous). De plus, nous pouvons ajouter un disque SSD SATA M.2 supplémentaire, grâce à l'emplacement disponible entre le SSD NVMe et les barrettes de RAM.

SSD ACER N5000CN-2TB

Les composants sont facilement accessibles et identifiables, donc vous n'aurez aucun mal à remplacer la RAM ou la mémoire SSD, que ce soit en cas de panne ou pour passer sur d'autres références.

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Mettons en route le mini PC IT13 de chez Geekom ! La première chose à effectuer après avoir branché les périphériques, c'est finir l'installation du système Windows 11 Pro ! Nous retrouvons les étapes et questions habituelles propres au fonctionnement du système Windows 11. Il est tout à fait possible d'utiliser un compte local ou un compte Microsoft, au choix.

À première vue, il s'agit d'une image officielle de Windows 11 Pro qui n'a pas été personnalisée par Geekom. Nous retrouvons uniquement les applications natives ajoutées par Microsoft.

Le mini-PC est livré avec 32 Go de RAM en DDR4, mais une mise à niveau est possible. Le processeur i9 de ce modèle supporte 96 Go de RAM, et Geekom annonce une prise en charge jusqu'à 64 Go. Cela veut dire que nous pouvons doubler la RAM actuellement présente dans le mini PC, à condition de remplacer les deux barrettes de RAM. Si vous souhaitez utiliser ce PC pour de la virtualisation, cela peut s'avérer utile !

Voici des détails techniques obtenus avec le logiciel CPU-Z :

Sur ce mini PC, vous pouvez connecter jusqu'à 4 écrans en exploitant les deux ports HDMI et les deux ports USB4. Sur les deux ports HDMI 2.0, vous pouvez bénéficier d'un affichage 4K @ 60 Hz, tandis qu'on est sur un affichage à 8K @ 30 Hz sur les ports USB4.

Comme je l'évoquais précédemment, ce mini PC peut également accueillir 1 SSD SATA au format M.2 (2242 - Jusqu'à 1 To) et 1 disque 2.5 pouces (2 To max.).

En résumé, l'évolutivité est possible au niveau du stockage et de la RAM, tout en sachant que le processeur est très performant et qu'il y a un port Ethernet en 2.5 Gbit/s qui offre de belles possibilités !

B. Performances

Ce mini PC, avec un boitier très compact, est propulsé par un processeur Intel Core i9 de 13ème génération lancé au premier trimestre 2023. Le modèle i9-13900H a14 cœurs et 20 threads, 24 Mo de cache et sa fréquence maximale en mode Turbo est 5,40 GHz.

Commençons par mesurer les performances du disque SSD NVMe intégré à l'ordinateur.

Les performances de ce disque SSD NVMe sont excellentes ! Un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 1.82 Go/s ! En 56 secondes, j'ai pu dupliquer une bibliothèque d'images ISO de 101 Go !

Voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

  • CrystalDiskInfo

Voici une analyse CrystalDiskInfo du disque SSD NVMe présent dans ce PC :

  • Geekbench

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Poursuivons avec un stress CPU.

  • Stress CPU

Pendant le stress test du CPU (charge à 100%), le ventilateur s'emballe de façon cyclique, de façon à gérer la température du CPU et du boitier. Le mini PC perd en discrétion à ce moment-là, et la soufflerie est clairement audible. Au ralenti, lorsque la machine est peu sollicitée, les ventilateurs sont vraiment très discrets et ne vous gêneront pas du tout. Il n'y a qu'au tout début du démarrage du PC où la ventilation n'est pas discrète, mais il est probable que ce soit un "auto-test" du matériel à son lancement.

D'après HWMonitor, lorsque le mini PC est allumé sans être sollicité, la température du CPU est de 40°C, dans une pièce où il fait 25 degrés. Pendant le stress test du CPU, la température du CPU monte en flèche jusqu'à 100.0°C (au bout de quelques secondes) puis elle descend jusqu'à 85°C et ensuite, c'est stable tout au long du stress CPU. La machine semble bien gérer le stress CPU, ce qui m'a plutôt rassuré. Geekom semble aussi confiant sur ce point grâce à sa technologie Geekcool.

  • Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Grâce à son excellent processeur, ce mini PC est super à l'aide pour de la bureautique et le multimédia (tout dépend du niveau d'exigence pour le GPU). Que ce soit pour la lecture de vidéos, le montage vidéo basique, la navigation sur Internet, etc... Il fonctionne parfaitement, tout en étant silencieux. Grâce à ses 32 Go de RAM et son Intel Core i9, il est à l'aise avec le multi-tâches.

Sur un modèle comme celui-ci, dépourvu de GPU dédié, la principale limitation, c'est la puce graphique intégrée. Ici, un iGPU "Intel Iris Xe", tout de même plus performant que son prédécesseur Intel UHD Graphics. Si vous êtes prêts à faire quelques concessions sur les graphismes des jeux-vidéos, en diminuant la qualité et en désactivant certaines options, vous pourrez jouter en Full HD à certains jeux. J'ai testé GTA V et l'expérience est bonne. Le jeu est très fluide, avec la désactivation de certains effets visuels.

Voici un aperçu avec deux copies d'écran :

V. Conclusion

Ce mini PC, très compact et très léger, car il ne pèse que 652 grammes, est une excellente surprise ! À ce jour, le Geekom IT13 dans sa version avec un Core-i9 est probablement l'un des plus puissants des mini PC ! En attendant la prochaine génération !

Son design, son format et son Intel Core i9-13900H sont de gros atouts pour ce modèle ! À cela s'ajoutent une connectique ultra-complète et correspondante aux besoins actuels des utilisateurs les plus exigeants, ce qui en fait un mini PC polyvalent. Cette fiche technique solide fait que ce PC répondra aux besoins de nombreux utilisateurs pendant plusieurs années.

À l'inverse, la partie graphique (iGPU) est en retrait par rapport au reste, sans surprise, mais elle n'est pas mauvaise pour autant. Bien que le port USB 2.0 puisse surprendre, il peut être utile pour connecter un dongle USB sans utiliser un autre port. Enfin, si vous recherchez un appareil ultra-discret, sachez que son ventilateur a tendance à s'emballer par moment, notamment lorsqu'il est fortement sollicité (charge CPU élevée).

Le Geekom IT13 avec le Core i9 est proposé à 849,00 euros. C'est logique, compte tenu du tarif du processeur en lui-même. Une bonne alternative peut être de s'orienter vers la version équipée d'un Core i5.

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Test NiPoGi CK10 – Un mini PC avec Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un SSD NVMe

I. Présentation

Dans cet article, nous allons évoquer le mini PC NiPoGi CK10 dans sa version avec un processeur Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un stockage SSD NVMe de 512 Go !

Ce test est l'occasion d'évoquer les caractéristiques techniques, le design, l'évolutivité et les performances de ce modèle compact ! Comme souvent, NiPoGi propose plusieurs configurations pour une seule référence. Le modèle CK10 est également disponible avec 32 Go de RAM et 1 To de SSD, à ne pas confondre avec la version présentée dans cet article.

II. Caractéristiques du NiPoGi CK10

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

  • Processeur : Intel Core i5-12450H (jusqu'à 4,4 GHz, 8C/12T)
  • GPU : Intel UHD Graphics (intégrée au processeur) - Fréquence 1.20 GHz
  • RAM : 16 Go DDR4 - 3200 MHz
  • Stockage : 512 Go SSD NVMe (M.2 - PCIe 3.0) + 1 emplacement vide SSD NVMe + 1 emplacement pour disque SATA 2.5 pouces
  • Connectique en façade : 2 x USB 3.0, 1 x USB-C 3.0, 1 x Jack audio et le bouton Power
  • Connectique à l'arrière : 2 x USB 3.0, 2 x HDMI 2.0, 1 x RJ45 1 Gbit/s et 1 fente de verrouillage Kensington
  • Connectique sur le côté gauche : 1 x VGA
  • Affichage : prise en charge de trois écrans grâce aux deux ports HDMI et au port VGA
  • WiFi 6, Bluetooth 5.2
  • Alimentation (sortie) : 19V/3.42A - 64.98W
  • Poids : 470 grammes
  • Dimensions (L x W x H) : 13,8 x 12,6 x 5 cm
  • Système d'exploitation : Windows 11
  • Prix : 360.00 euros - Rendez-vous en fin d'article pour notre offre bon plan

III. Package, design et conception

La boite, entièrement blanche, est sobre, mais elle a le mérite de nous donner des précisions sur la version présente à l'intérieur. L'ordinateur et les accessoires sont correctement emballés et protégés par d'épaisses mousses. Le matériel est arrivé en parfait état, c'est ce que nous retiendrons.

Qu'avons-nous à l'intérieur de la boite ? Le mini PC est accompagné par l'alimentation externe et son câble, ainsi qu'un câble HDMI, un support VESA (et les vis), une notice d'utilisation (en français, utile si vous envisagez d'utiliser le support VESA pour fixer le PC à l'arrière d'un écran), et une rallonge SATA à utiliser si vous souhaitez ajouter un disque SATA 2.5 pouces.

Le boitier gris anthracite de ce mini PC NiPoGi est entièrement en plastique. Le plastique est rigide et semble relativement solide. Le boitier est correctement assemblé et tous les ports sont bien accessibles : aucun défaut n'est à relever. La seule chose qui me gêne réellement, c'est l'emplacement hasardeux des deux stickers sur le dessus du boitier (que l'on peut retirer facilement). En dessous, nous retrouvons 4 patins antidérapants d'une épaisseur de 4 mm. Nous constatons qu'il y a une entrée d'air sur le dessus, mais aussi en dessous du boitier, tandis que l'extraction de l'air s'effectue par l'arrière du boitier.

La façade de ce mini PC est riche en connectique puisque 2 ports USB 3.0, 1 port USB-C et une prise Jack sont facilement accessibles. À l'arrière, il y a également 2 ports USB 3.0, ainsi que 2 ports HDMI et une interface RJ45 Gigabit Ethernet (1 Gbit/s). Sur la gauche du boitier, il y a également un port VGA : ce qui est assez rare de nos jours, mais cela permet à ce modèle de se démarquer ! Ainsi, vous pouvez connecter 3 écrans : 2 en HDMI et 1 en VGA. D'ailleurs, le port VGA pourrait être utilisé pour connecter un vidéoprojecteur ou un écran qui n'est pas équipé d'un port HDMI.

Pour ouvrir le boitier et accéder à l'intérieur, il suffit de retirer les 4 vis présentes en dessous du boitier. Ceci va nous permettre de découvrir les composants et l'image ci-dessous montre l'emplacement pour disque SATA, au format 2.5 pouces.

À l'intérieur du boitier, il y a un espace confortable entre les différents composants, mais ce sera différent si vous ajoutez un disque SATA 2.5 pouces. Néanmoins, il est important de préciser que ce boitier est un peu plus grand que beaucoup d'autres modèles de mini PC. Voici ce qui est à noter :

  • Il y a deux slots pour la mémoire vive (RAM) et les deux sont déjà occupés par 2 barrettes de 8 Go
  • Il y a deux barrettes de RAM SO-DIMM de marque Lexar : 8 Go 1Rx8 PC4-3200AA-SA21.2V
  • Il y a un disque SSD NVMe, équipé d'un dissipateur et d'une épaisse couche de pâte thermique. C'est appréciable (mais ceci nous empêche de lire l'étiquette pour en savoir plus sur la référence).
  • Il y a un emplacement libre pour ajouter un second disque SSD NVMe (PCIe 3.0)
  • Il y a une carte RealTek RTL8852BE pour le Wi-Fi 6 et le Bluetooth 5.2

Voici les entrailles du CK10 en photos :

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Ce mini PC est livré avec le système Windows 11 Pro, en version 22H2, donc il y aura des mises à jour à installer. Nous devons finaliser la mise en route, mais cela est très rapide puisque nous devons seulement définir le nom d'utilisateur. Il s'agit d'une image personnalisée par NiPoGi (probablement avec un fichier de réponse) et elle occupe 37 Go sur le disque (ce qui est beaucoup !).

Comme pour tous les ordinateurs, je vous recommande de réinstaller la machine avec une image propre et téléchargée depuis le site de Microsoft si vous souhaitez continuer sur Windows. Cette machine est pleinement compatible avec Windows 11, car elle respecte tous les prérequis (y compris la puce TPM 2.0).

À part Google Chrome qui est intégré à l'image de Windows 11, il n'y a pas d'autres logiciels supplémentaires visibles. Bien entendu, nous avons le droit à toute la panoplie d'applications de chez Microsoft.

Le mini-PC est livré avec 16 Go de RAM en DDR4, mais une mise à niveau est possible. Le processeur i5 de ce modèle supporte 64 Go de RAM, ce qui signifie que nous pouvons remplacer les 2 barrettes de 8 Go par 2 x 32 Go. De quoi faire une belle évolution si vous souhaitez utiliser ce PC pour de la virtualisation.

En résumé, pour faire évoluer la configuration de ce mini PC, vous avez plusieurs options : augmenter la RAM, ajouter un disque SATA (2.5 pouces) et ajouter un disque SSD NVMe.

B. Performances

Ce mini PC est propulsé par un processeur Intel Core i5 de 12ème génération lancé au premier trimestre 2022. Le modèle i5-12450H a 8 cœurs et 12 threads, 12 Mo de cache et sa fréquence maximale en mode Turbo est 4,4 GHz. Sachez que NiPoGi a limité la consommation d'énergie du CPU à 35 watts, ce qui affectera légèrement les performances sur du traitement multithread.

Commençons par mesurer les performances du disque SSD NVMe intégré à l'ordinateur.

Le SSD NVMe présent dans ce mini PC NiPoGi offre de belles performances : un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 834 Mo/s.

Voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

Ainsi qu'un aperçu du disque dans Crystal Disk Info :

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Comment réagit le PC lors d'un stress CPU ?

Pendant le stress test du CPU (charge à 100%), la ventilation souffle un peu plus fort, mais cela reste discret. Au ralenti, les ventilateurs sont vraiment très discrets et ne vous gêneront pas du tout.

D'après HWMonitor, lorsque le mini PC est allumé sans être sollicité, la température du CPU est de 40°C. Pendant le stress test du CPU, la température du CPU monte en flèche jusqu'à 91.0°C (au bout de 5 minutes, environ). Ceci n'est pas surprenant, car l'air exfiltré par l'arrière du boitier est bien chaud ! Par contre, ensuite, la température met du temps à redescendre, comme si le système de refroidissement était un peu à la peine.

Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Au quotidien, pour de la bureautique et un peu de multimédia, ce PC est parfaitement adapté. Il est très silencieux et supporte très bien la navigation sur Internet avec de nombreux onglets, la lecture de vidéos en 4K (sur YouTube, par exemple), mais également l'utilisation d'applications telles que la suite Microsoft Office. Ceci en fait un compagnon intéressant et abordable si vous recherchez ce type de mini PC.

La principale limitation, c'est la puce graphique intégrée : Intel UHD Graphics qui est un iGPU. Autrement dit, ce n'est pas une configuration adaptée au gaming. Vous pouvez envisager de jouer à des jeux peu gourmands, ou, à des jeux disponibles depuis 3 ans, 4 ans, ou plus, en ajustant les paramètres de qualité graphique, mais c'est tout. À titre d'exemple, vous pouvez jouer à GTA V : tous les effets visuels ne peuvent pas être activés, mais en Full HD, le jeu est fluide !

Voici un aperçu (à gauche, une copie d'écran - à droite, une photo de l'écran).

V. Conclusion

C'est l'heure du verdict ! Le mini PC NiPoGi CK10 n'est pas parfait, mais il y a plusieurs points à mettre en avant. Tout d'abord, sa puce Intel Core i5 de 12ème génération qui répond présente et assure un bon niveau de performances, tout comme son disque SSD NVMe qui offre de bonnes performances ! Quant à la RAM, disons que 16 Go, c'est le minimum recommandé pour utiliser un PC confortablement et pour le multitâches. Si cela ne suffit pas, vous pouvez toujours prévoir une mise à niveau de la RAM (comptez plus de 130 euros pour passer sur 64 Go), mais aussi du stockage, car vous pouvez ajouter un disque SATA au format 2.5 pouces et un second disque SSD NVMe.

NiPoGi cherche toujours à apporter un peu d'originalité au design de ses boitiers, et c'est le cas avec le CK10. J'ai apprécié la présence d'une connectique riche, avec notamment de nombreux ports USB dont 3 en façade (2 USB-A + 1 USB-C). Néanmoins, le boitier de ce mini PC est légèrement plus imposant que d'autres modèles (même s'il reste compact : 13,8 x 12,6 x 5 cm) et il y a également l'absence d'un lecteur de carte SD. C'est à préciser, car pour certains usages, cela peut avoir son importance. Par ailleurs, le port VGA présent sur le côté du boitier peut surprendre, mais c'est malgré tout un atout pour ce modèle. Ce petit détail plaira à ceux qui ont besoin d'une machine récente, compacte et équipée du VGA.

Maintenant, il est important de mettre un tarif en face de cette configuration et ce verdict. Découvrez notre offre spéciale ci-dessous.

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Test Couchmaster CYCON² – Un support ergonomique pour jouer ou travailler depuis son canapé

I. Présentation

Imaginez un instant : vous êtes installé confortablement dans votre canapé, accompagné par deux coussins très confortables, un de chaque côté pour poser vos coudes, et un plateau pour accueillir votre ensemble clavier-souris préféré, voire même un ordinateur portable. C'est la promesse des produits de chez Nerdytec, et plus particulièrement du Couchmaster CYCON² !

Un produit à la fois innovant et étonnant qui va vous permettre de vous installer très confortablement dans votre canapé, que ce soit pour travailler, naviguer sur le Web, ou encore passer des heures à jouer sur votre TV, sans galérer avec votre matériel sur les genoux ou posé sur un support peu adapté.

Voici à quoi ressemble le Couchmaster CYCON² de chez Nerdytec :

Nerdytec Couchmaster Cycon 2 - Vue d'ensemble

Le Couchmaster CYCON² est ce que l'on pourrait appeler un plateau pour le gaming ou un support ergonomique pour jouer ou travailler depuis son canapé, et la marque allemande Nerdytec en a fait sa spécialité. Tous les produits sont imaginés en Allemagne, dans les locaux de Nerdytec, et le modèle que nous vous présentons aujourd'hui, c'est l'un des best-sellers de la marque !

Voici quelques caractéristiques à son sujet :

  • 6 ports USB 3.0 (2 externes & 4 internes), y compris un port de chargement rapide externe
  • Gestion optimisée des câbles
  • Grille de ventilation : non
  • Poches latérales pratiques pour différents accessoires (et votre snack)
  • Distance intérieure maximale des coussins : 75 cm
  • Dimensions des coussins (L x l x H) : 60 x 20 x 16 cm
  • Dimensions du support (L x l x H) : 82 x 33 x 3 cm

En complément, vous pouvez consulter cette page :

II. Package et design

Lorsque j'ai reçu le colis, il n'était pas en parfait état et il semblait avoir souffert pendant le transport, mais heureusement, ce fut sans conséquence pour le matériel. À l'intérieur du carton, les coussins sont dans un plastique tandis qu'une seconde boite cartonnée contient le plateau et l'ensemble des accessoires.

À l'intérieur du carton, nous avons un guide avec les instructions d'installation, deux coussins latéraux, un plateau Nerdytec avec un hub USB 3.0 intégré, un tapis de souris gaming, un petit sac pour ranger votre souris, de la bande auto-grippante, un bloc d'alimentation et son câble, ainsi qu'un câble de connexion hub de 0,8 mètre et un câble d'extension USB 3.0 de 5 mètres. Autant vous dire qu'il y a tout ce qu'il faut pour s'installer confortablement !

Chaque coussin jouera le rôle d'un accoudoir, un peu comme ceux que l'on retrouve sur les canapés : à la fois ferme et confortable, car l'idée est bien de pouvoir poser son coude et une partie de l'avant-bras de chaque côté.

Chaque coussin est déhoussable, ce qui signifie que vous pouvez laver les housses en machine à 30 degrés. C'est un point positif.

Le plateau du Couchmaster inspire confiance et la qualité de fabrication est très bonne. Le design est tout de même travaillé, et chaque zone où vous allez poser votre poignée, le plastique laisse sa place à une texture plus agréable. Le tapis de souris gaming fournit avec le Couchmaster pourra être collé sur le plateau, soit à droite, soit à gauche, grâce au scotch double-face intégré au package. Sachez que ce plateau n'a pas d'éclairage ou d'éléments lumineux, ce qui sera peut-être perçu comme un point négatif pour certains.

Au centre, sur la partie supérieur du plateau, nous avons accès à deux ports USB-A pour connecter ce que l'on souhaite. Bien entendu, ces ports USB sont reliés à votre PC par l'intermédiaire du Hub USB intégré au Couchmaster.

Pour bien comprendre comment cela fonctionne, il convient de retourner le Couchmaster. Il y a deux compartiments accessibles de façon indépendante où l'on va retrouver différents ports USB, ainsi que le connecteur pour l'alimentation. En fait, pour faciliter la gestion des câbles et d'avoir plusieurs câbles qui trainent au sol dans votre salon, sachez que Nerdytec propose un système basé sur un seul câble spécialement conçu pour le Couchmaster CYCON² dans le but d'établir la connexion entre le PC et le Couchmaster en lui-même, tout en fournissant une alimentation électrique supplémentaire. Par ailleurs, ce câble est en deux parties donc vous pouvez facilement le déconnecter du Couchmaster sans avoir à ouvrir un compartiment.

Pour vous faire une idée plus précise des dimensions des coussins et du plateau, ainsi que l'espace maximal entre les deux coussins, voici un schéma proposé par la marque :

Dimensions Couchmaster CYCON 2

III. Utilisation au quotidien

Me voici en place avec mon ordinateur, installé confortablement sur le canapé, grâce aux coussins et au plateau du Couchmaster. Les coussins sont très confortables et agréables, et grâce à eux, cela devient facile de travailler (ou jouer) depuis son canapé, car nous sommes bien installés. Les coudes sont maintenus par les coussins, ce qui permet de se mettre à l'aise que ce soit pour utiliser un ordinateur portable ou un kit clavier et souris. Nous pouvons rester dans cette position plusieurs heures, sans ressentir de gêne.

Sans utiliser d'ordinateur fixe, j'ai tout de même fait quelques tests avec le système de gestion de câbles. Il me semble adapté à de nombreuses configurations et types de câbles, avec tout de même un point d'attention : je n'ai pas pu tester directement, mais compte tenu de la taille des trous pour faire passer les câbles, je pense qu'ils ne sont pas assez grands si vous avez un accessoire avec un câble ayant un noyau de ferrite.

Nerdytec Couchmaster Cycon 2 - Illustration

En ce qui concerne l'ergonomie, en complément de mon ressenti et de mon avis, voici l'analyse fournie sur le site officiel de Nerdytec : "D'un point de vue ergonomique, le Couchmaster® CYCON² est particulièrement recommandé. Le physiothérapeute Roland Kellerbach de Cologne-Dellbrück s'exprime en ces termes : "Du point de vue de la santé, je peux dire que le Couchmaster offre la meilleure possibilité ergonomique d'utiliser le PC/l'ordinateur portable depuis le canapé. Grâce aux larges coussins, la musculature des épaules et de la nuque est soulagée pendant l'utilisation, ce qui prévient efficacement les tensions"."

Le seul bémol, mais ça, Nerdytec ne peut pas y faire grand-chose, c'est l'encombrement pour stocker les coussins et le plateau, ainsi que le temps de mise en place avec l'installation des deux coussins, du plateau, puis de l'ordinateur portable ou du clavier et de la souris. Mais, une fois que l'on est installé, on se dit que ça en vaut vraiment la peine ! En revanche, pour les câbles, l'installation est à effectuer une seule fois, donc nous ne perdons pas de temps avec ça à chaque fois.

IV. Conclusion

Si vous aimez jouer ou travailler depuis votre canapé, mais que vous ne parvenez pas à vous installer confortablement, ne cherchez plus : investissez dans un Couchmaster Cycon 2 (ou un autre modèle, selon votre configuration). Peut-être que pour certains d'entre vous, ce sera l'occasion de franchir le pas... C'est un produit vraiment cool et confortable à utiliser.

Le tarif de la version Couchmaster Cycon 2 montrée dans cet article : 179.99 €. Vous pouvez retrouver ce produit sur Amazon.fr via notre lien d'affilié :

De plus, sachez que le Couchmaster Cycon 2 est disponible en plusieurs éditions et coloris : CYPUNK (pour les fans de Cyberpunk), Fusion Grey, Titan Black Edition (version de luxe avec des éléments en titane et des coussins en cuir nappa véritable) et Black Edition.

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Depuis 6 ans, des serveurs Lenovo, Intel et Supermicro sont affectés par une faille dans BMC

Le serveur Web des contrôleurs BMC (Baseboard Management Controller) utilisés par plusieurs fabricants de serveurs, dont Lenovo et Intel, est impacté par une faille de sécurité patchée il y a environ 6 ans ! Voici ce qu'il faut savoir sur cette menace potentielle.

Le Baseboard Management Controller (BMC) est un microcontrôleur intégré sur la carte mère de certains serveurs dont l'objectif est de faciliter la gestion à distance et la surveillance à distance du serveur. Ceci implique l'utilisation d'un serveur Web afin de publier l'interface de gestion. Dans le cas présent, Lighttpd est implémenté en tant que serveur Web.

Lors d'un scan récent sur des interfaces BMC, les chercheurs en sécurité de chez Binarly ont découvert que la version de Lighttpd utilisée contient une faille de sécurité. En l'exploitant, un attaquant pourrait exfiltrer les adresses de la mémoire des processus, ce qui faciliterait le contournement de certaines fonctions de sécurité comme l'ASLR (Address Space Layout Randomization).

Il s'avère qu'elle a été corrigée en août 2018, de façon relativement discrète, par les mainteneurs du projet Lighttpd, et cette faille de sécurité n'a même pas été associée à une référence CVE ! Il y a eu un manque de transparence de la part de l'équipe de Lighttpd.

De ce fait, les développeurs d'AMI MegaRAC BMC n'ont pas vu le correctif et ne l'ont pas intégré à leur produit... Résultat, nous avons encore un bel exemple d'un problème de sécurité qui affecte la chaine d'approvisionnement puisque cela impact les vendeurs de serveurs et leurs clients.

Voici un schéma très explicite intégré dans le rapport de Binarly :

Vulnérabilité BMC Lighttpd - Avril 2024
Source : Binarly

Intel, Lenovo et Supermicro impactés !

Plusieurs fabricants et références de serveurs sont concernés par ce problème de sécurité, notamment Intel, Lenovo et Supermicro. Voici des précisions apportées par Binarly (avec des ID internes associés à ces problèmes de sécurité) :

  • BRLY-2024-002 : Vulnérabilité spécifique dans la version 1.4.45 de Lighttpd utilisée dans la version 01.04.0030 (la plus récente) du micrologiciel de la série M70KLP d'Intel, impactant certains modèles de serveurs Intel.
  • BRLY-2024-003 : Vulnérabilité spécifique dans Lighttpd version 1.4.35 dans le firmware Lenovo BMC version 2.88.58 (la plus récente) utilisé dans les modèles de serveurs Lenovo HX3710, HX3710-F, et HX2710-E.
  • BRLY-2024-004 : Vulnérabilité générale dans les versions du serveur web Lighttpd antérieures à 1.4.51, permettant la lecture de données sensibles depuis la mémoire du processus du serveur.

Certains systèmes Intel et Lenovo ont été commercialisés récemment et devraient bénéficier d'un correctif. Néanmoins, ce ne sera pas le cas pour tous les serveurs, car certains modèles ne sont plus pris en charge. Par exemple, l'Intel Server System M70KLP a été lancé au premier trimestre 2021 et abandonné en février 2024 (ce qui est très court, en fait !).

Malheureusement, d'après Binarly, il y a une quantité importante d'interfaces BMC vulnérables et accessibles sur Internet, qui correspondent à du matériel en fin de vie et qui resteront vulnérables...

Source

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ParkControl : Tweak CPU et alimentation

ParkControl est un logiciel gratuit édité par Bitsum qui permet d’optimiser les réglages du CPU et de l’alimentation de Windows.
Il propose différents tweaks dont le CPU Core Parking et la possibilité de faire varier la fréquence du processeur.
En désactivant le CPU Parking, vous pouvez gagner en stabilité et régler des micro latences, bégaiements et freez.
Enfin cela peut parfois faire gagner quelques FPS.

Dans ce tutoriel, je vous présente cet utilitaire, comment l’utiliser afin d’optimiser les réglages du CPU.

ParkControl : Tweak CPU et alimentation

Introduction

Windows 10 et Windows 11 est livré avec trois configuration d’alimentation :

  • Utilisation normale : Ce mode ajuste automatiquement la consommation d’énergie avec l’efficacité du matériel
  • Economie d’énergie : économise de l’énergie en exécutant le matériel sur les ressources minimales
  • Performances élevées : offre une efficacité matérielle maximale en les exécutant sur la puissance maximale

Chacun de ces plan d’alimentation applique une configuration différence du CPU selon si vous souhaitez gagner en autonomie et économiser de l’énergie ou obtenir une pleine puissance du PC.
Cela dépend donc de votre activité sur votre PC et des besoins à un instant T.

ParkControl ajoute un nouveau profil Bitsum Highest Performance.
Il offre les plus performantes, préconfigurée pour une performance ultime.
Dans ce plan de puissance, votre CPU reste toujours prêt à exécuter un nouveau code. Le parking principal est désactivé et la CPU ne tombe jamais en dessous de sa fréquence nominale (base).

Télécharger et installer ParkControl

  • Téléchargez l’utilitaire depuis ce lien :
ParkControl[/su_lien]
  • Exécutez le setup et laissez vous guider
Télécharger et installer ParkControl
  • Une fois l’installation terminée, exécutez l’utilitaire depuis son icône

Voici une présentation de l’interface de ParkControl :

Présentation de l'interface de ParkControl

Comment changer le mode d’alimentation avec ParkControl

ParkControl donne la possibilité de basculer d’un profil d’alimentation à l’autre très facilement.

  • Ouvrez ParkControl
  • Puis cliquez sur le menu déroulant sous Réglage CPU pour le profil d’alimentation 1
  • Choisissez le profil d’alimentation depuis la liste
  • Puis cliquez à droite sur Appliquer 2
Comment changer le mode d'alimentation avec ParkControl

Une autre façon plus rapide pour changer le profil d’alimentation actif :

L'icône de ParkControl dans le systray
  • Puis Profil d’alimentation actif et choisissez lequel appliquer
Comment changer le mode d'alimentation avec Parkcontrol

Comment configurer le CPU Parking et fréquence dynamique du processeur

Activer/Désactiver CPU Parking et fréquence dynamique du processeur

En plus de changer le profil d’alimentation, vous pouvez changer la configuration CPU indépendamment.
Voici comment faire :

  • Ouvrez ParkControl
  • Puis sélectionnez la configuration du CPU à appliquer 1
    • Parking Branché (AC) : La configuration CPU Parking lorsque le PC est sur secteur
    • Variation Fréq. Branché (AC) : La configuration de fréquence dynamique du processeur lorsque le PC est sur secteur
    • Parking Batterie (DC) : La configuration CPU Parking lorsque le PC est sur batterie
    • Variation Freq. Batterie (DC) : La configuration de fréquence dynamique du processeur lorsque le PC est sur batterie
  • Puis cliquez sur Appliquer
Activer/Désactiver CPU Parking et fréquence dynamique du processeur de ParkControl
  • Vérifiez à droite l’animation des du processeur :
    • En haut la configuration avec la fréquence et le nombre de coeurs actif 3
    • En dessous l’animation selon le nombre de coeurs actifs et leurs occupations (travail actif) 4
Activer/Désactiver CPU Parking et fréquence dynamique du processeur de ParkControl

Ajuster le pourcentage du CPU Parking et fréquence minimum du processeur

Enfin pour aller encore plus loin, ParkControl donne accès à des paramètres avancées pour définir les pourcentage de CPU Parking et de variation de la fréquence du processeur.

  • Ouvrez ParkControl
  • Puis cliquez sur Activer les paramètres avancés
Ajuster le pourcentage du CPU Parking et fréquence minimum du processeur depuis ParkControl
  • Puis réglez les différentes pourcentages :
    • Pourcentage Parking AC/DC : C’est le nombre de coeur (par %) qui doit rester non parqué (actif) en batterie ou secteur
    • Pourcentage Freq. Scaling AC/DC : Régler la fréquence CPU minimum autorisée en batterie ou secteur
  • Puis cliquez sur Appliquer
Ajuster le pourcentage du CPU Parking et fréquence minimum du processeur
  • Pour remettre les paramètres par défaut, cliquez sur Restaurer les valeurs par défaut puis Appliquer à droite
Rétablir les paramètres du processeur par défaut

Comment activer/désactiver le Dynamic boost

De même, ParkControl a une fonction appelée Dynamic Boost qui active un plan de puissance plus agressif lorsque le système est actif.
Cela :

  • Active la plan d’alimentation Bitsum Highest Performance
  • Désactiver le CPU Parking
  • Désactive la fréquence dynamique du processeur

Son activation est simple :

  • Faites un clic droit sur l’icône de ParkControl
  • Puis Réglages > Dynamic Boost Enabled
Comment activer/désactiver le Dynamic boost de ParkControl
  • Définissez le plan d’alimentation à activer lorsque le PC est inactif. Défaut : Utilisation normale
  • En dessous le délai en second lorsque le PC est jugé comme étant inactif. Défaut : 300
Comment activer/désactiver le Dynamic boost de ParkControl
  • Cliquez sur OK

Pour le désactiver, cliquez simplement à nouveau dessus depuis le menu déroulant.

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Qu’est-ce que le CPU Core Parking et comment le désactiver

Lorsque vous intéressez au fonctionnement du processeur et à son optimisation, vous avez pu entendre parler de la fonctionnalité CPU Core Parking (ou “stationnement de cœur de processeur“).
Si vous avez besoin de comprendre ce que c’est, à quoi il sert et s’il faut le désactiver et comment, lisez l’intégralité de ce guide qui vous explique tout cela.

Qu'est-ce que le CPU Core Parking et comment le désactiver

Qu’est-ce que le CPU Core Parking

Le CPU Core Parking (ou “stationnement de cœur de processeur“) est une fonctionnalité présente dans les systèmes d’exploitation Windows qui permet de désactiver certains cœurs de processeur (ou “cores”) lorsqu’ils ne sont pas utilisés pour économiser de l’énergie. L’idée derrière cette fonction est de réduire la consommation d’énergie et la production de chaleur de l’ordinateur lorsque la charge de travail est faible.

Plus précisément, il s’agit d’un état de sommeil à faible consommation (C6) soutenu par la plupart des processeurs et des systèmes d’exploitation modernes. Il désactive de manière dynamique les cœurs du CPU pour économiser de l’énergie.

Les processeurs Intel i3, i5, i7 et i9 désactivent les cœurs lorsque la charge de travail baisse.
Même si vous utilisez un programme comme le jeu, il peut toujours être parqué pour économiser de l’énergie de manière transparente.

Le CPU Core Parking et les micro latences et freez

Malheureusement, cette économie d’énergie a un prix : la latence lorsque les processeurs ont besoin de manière non établie pour exécuter le code.
Cette gymnastique peut parfois générer des freez et désactiver le parking ne vous fera pas gagner en vitesse ou FPS.
D’autant qu’elle s’ajoute aux technologies de fréquences dynamiques telles que Intel Turbo Boost et  fréquence de Boost Maximale (AMD).

Ainsi, vous pouvez désactiver le CPU Core Parking afin de gagner en stabilité de jeu voire gagner quelques FPS.
Le processeur peut aussi tourner à son maximum plus longtemps ce qui va solliciter plus souvent les ventilateurs et peut donc réduire leur durée de vie.
Si vous êtes un gamer à vous de tester et voir si vous notez une différence durant vos parties.

Comment désactiver le CPU Core Parking

Il existe plusieurs méthodes pour désactiver le CPU Parking.

Depuis les options d’alimentation

Lorsque vous choisissez le profil d’alimentation meilleure performance, l’ordinateur portable utilise tout CPU 100%.
C’est une méthode simple pour désactiver le CPU Core Parking et profite pleinement de la puissance de votre PC.

Changer le mode d'alimentation de Windows 10, 11

Vous pouvez aussi modifier les paramètres avancés de l’alimentation.
Allez dans Gestion de l’alimentation du processeur et réglez État minimal du processeur à 100%.

Si l’option Gestion de l’alimentation du processeur n’apparaît pas dans les options d’alimentations, alors suivez ces modifications du registre Windows :

Ouvrir l'éditeur du registre Windows
  • Cliquez sur Ordinateur, puis ouvrez la boîte de dialogue Rechercher en appuyant sur la combinaison de touches CTRL+F
  • tapez dec35c318583 comme indiqué dans l’image ci-dessus. Appuyez sur la touche F3 ou cliquez sur le bouton Rechercher suivant pour lancer la recherche :
Comment désactiver le CPU Core Parking dans le registre Windows
  • Assurez-vous que les résultats de votre recherche sont liés à PowerSettings, et ignorez les autres résultats de recherche qui ne sont pas liés à PowerSettings
Comment désactiver le CPU Core Parking dans le registre Windows
  • Double-cliquez sur la valeur Attributs, et tapez 0 comme paramètre de données de la valeur
Comment désactiver le CPU Core Parking dans le registre Windows
  • Répétez la recherche en appuyant sur la touche F3, car il peut y avoir d’autres entrées liées à PowerSettings (ignorez toutes les autres entrées) et définissez la valeur Attributes à 0

Passer votre PC portable en performances optimales

Les PC portables sont fournis avec des logiciels intégrés qui gèrent aussi l’alimentation.
Parfois, des raccourcis clavier sont disponibles pour basculer plus rapidement entre le mode d’économie d’énergie et performances maximales.
Généralement, il s’agit de la touche FN + FX.

La gestion de l'alimentation dans MSI Dragon Center

Sachez aussi qu’il existe un plan d’énergie caché qui permet d’augmenter encore les performances du PC.
C’est le mode de performances optimales, pour l’activer, suivez ce tutoriel :

Utiliser un logiciel d’optimisation CPU

Une autre méthode pour désactiver le CPU Parking est d’utiliser un logiciel.
Le gros avantage de cette solution est que vous pouvez activer et désactiver cette technologie d’un simple clic.
Ce qui permet de l’avoir active quand vous en avez besoin et inversement.
Des logiciels gratuits tels que Parkcontrol ou Quick CPU le font très bien.

Park Control : gérer les coeurs du processeur

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Résoudre les erreurs de données CRC (Contrôle de redondance cyclique)

Le Contrôle de redondance cyclique (CRC) est une méthode de vérifier de l’intégrité des données durant un transfert de données.
Lorsque l’on transfert des données, une somme de contrôle (checksum) est faites sur une portion des données puis vérifié à l’arrivé.
Si la somme est différente, on considère donc qu’une altération des données est présente : c’est une erreur CRC.

L’erreur de données de contrôle redondance cyclique survient à divers occasions dès lorsque vous effectuez des opérations de disque.
Cette erreur peut donc arriver :

Cet article vous explique ce sont que ces erreurs et ce que vous pouvez faire pour les corriger.

Résoudre les erreurs de données CRC (Contrôle de redondance cyclique) dans Windows

Qu’est-ce que l’erreur de données CRC (Contrôle de redondance cyclique)

L’erreur est connue pour apparaître lorsqu’un ordinateur tente de lire des données sur un lecteur local, un lecteur réseau, un disque dur externe et sur des lecteurs de disques tels que ceux utilisés pour lire des CD, des DVD et des disques Blu-ray.

Le contrôle de redondance cyclique (CRC) est une technique de vérifications de données.
Le but est de vérifier qu’aucune altération des données n’est présente.
L’erreur CRC peut par exemple arriver lorsque vous décompressez un fichier zip corrompu ou avec un mot de passe erronée.

Par contre, cela peut aussi arriver sur des opérations de partitionnement de disque ou copier/lecture de fichiers ce qui n’est pas bon signe sur l’état physique du disque dur.
Exemple ci-dessous avec le gestionnaire de disque virtuel lié à la gestion des disques de Windows qui peut donner cette erreur de données.

Erreur de données : Contrôle de redondance cyclique

ou encore pire ici avec le lecteur F qui n’est pas accessible à cause d’une erreur de données de contrôle de redondance cyclique.

Erreur de données : Contrôle de redondance cyclique

Dans cet article nous distinguerons les erreurs CRC lorsque vous utilisez votre ordinateur avec Windows qui fonctionne et lors de tentative d’installation de Windows.

Résoudre les erreurs de données CRC (Contrôle de redondance cyclique) dans Windows

L’erreur de contrôle de redondance cyclique peut avoir pour sources des incohérences sur le systèmes de fichiers.
Mais aussi des problèmes physiques sur le support (disque dur, disque dur externe, clé USB).

Vérifiez les connexions et câble

Un mauvais câble ou mauvaise connexion peut entraîner des problèmes lors des transferts de fichiers.

Reconnectez les disques externes. Si l’erreur apparaît alors que vous essayez d’accéder à un disque dur ou à une unité de disque externe, débranchez-le, redémarrez l’ordinateur, puis rebranchez-le.

Faire une vérification CrystaldiskInfo de son disque dur/SSD

Tout d’abord, vérifiez si une défaillance du support de stockage est présente.
Pour cela, utilisez le logiciel gratuit CrystalDiskInfo.

  • Téléchargez CrystalDiskInfo en suivant ce tutoriel :
  • Puis vérifiez l’état de santé de votre disque :
    • Correct : tout va bien, votre disque dur ou SSD fonctionne correctement
    • Prudence : votre périphérique de stockage commence à rencontrer des problèmes de fonctionnement. Il faudra très certainement le remplacer dans les prochaines semaines
    • Mauvais : votre disque dur ou SSD est en panne, il faut le remplacer
Quels sont les attributs S.M.A.R.T et leurs lectures

Plus d’aide dans ces tutoriels :

Si CrystalDiskInfo retourne un état Prudence ou Mauvais alors ce n’est pas bon du tout sur l’état physique du disque dur.
Il faut alors sauvegarder les données importantes qui se trouvent sur ce disque dur car il est en train de mourir.
A plus long terme, il faudra remplacer ce périphérique de stockage défectueux.

Faire un chkdsk

chkdsk ou checkdisk est un utilitaire de Windows important.
Il permet de réparer le système de fichiers pour assurer la cohérence de ce dernier.
Cela peut alors réparer les erreurs de disques.

En effet des erreurs sur ce dernier peut entraîner de graves dysfonctionnements sur Windows.
Cela occasionne des lenteurs ou messages d’erreur.
Plus d’infos sur cet utilitaire : A quoi sert chkdsk sur Windows

Pour lancer un chkdsk sur votre disque, suivre la page : chkdsk : Erreur et réparation disque
Il est recommandé de lancer une vérification des secteurs défectueux.
Vous pouvez faire cela depuis l’invite de commandes en administrateur.

Ouvrir invite de commandes en administrateur
  • Puis saisissez la commande suivante où X: est le lecteur de disque à vérifier :
chkdsk X: /R /F
  • Laissez l’analyse de disque se terminer puis testez si cela résout les erreurs de disque

Format pour corriger l’erreur CRC sur un appareil RAW/Inaccessible

Si votre appareil est devenu RAW ou si l’erreur CRC persiste après avoir essayé les solutions ci-dessus, la dernière méthode de bricolage efficace que vous pouvez essayer est de formater le disque. En réinitialisant le système de fichiers dans un format lisible, l’erreur CRC peut être corrigée. Voici les étapes à suivre :

  • Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier + E. Plus de méthodes dans ce tutoriel : Comment ouvrir l’explorateur de fichiers sur Windows
  • Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le périphérique problématique présentant une erreur CRC et sélectionnez “Formater
  • Sélectionnez un système de fichiers approprié – NTFS ou FAT32 – pour votre appareil. (NTFS pour un disque dur ou un périphérique externe ; FAT32 pour une carte SD ou USB – 32 Go ou moins)
  • Cochez “Formatage rapide” et cliquez sur “Démarrer

Résoudre les erreurs de données CRC (Contrôle de redondance cyclique) à l’installation de Windows

Lorsque vous tentez d’installer Windows, des erreurs s’affichent sur la page des partitions indiquant qu’il n’est pas possible de créer une nouvelle partition.
Le code erreur peut être 0x80300002.
Pour plus d’informations sur les erreurs durant l’installation de Windows, suivre page : Résoudre les erreurs et problèmes d’installation de Windows

Lorsque l’on tente de vider le contenu du disque avec diskpart, on obtient l’erreur de données : Contrôle de redondance cyclique.

Erreur de données : Contrôle de redondance cyclique lors de l'installation de Windows

En général, il s’agit d’un nouveau disque dur que vous venez de recevoir, très souvent un SSD pour remplacer votre HDD :

Si CrystalDiskInfo ne retourne aucune erreur, vérifiez bien les câbles et sinon renvoyez le disque dur afin de vous le faire remplacer.

Résoudre les erreurs de données CRC (Contrôle de redondance cyclique) lors de la décompression d’un fichier ZIP, RAR

L’erreur CRC peut aussi se produire lors de la décompression d’un fichier compressé comme un fichier ZIP ou RAR.
Le logiciel de décompression retourne alors une erreur de données.
Cela peut avoir plusieurs sources :

Le fichier compressé est corrompu. Par exemple, il est partiellement téléchargé ou présent sur un support de stockage qui rencontre des dysfonctionnements comme une clé USB endommagée.
Dans ce cas là, re-téléchargez le fichier compressé.
Si vous utilisez une clé USB, tentez une réparation chkdsk sur la clé USB sinon il faudra le reprendre à la source.
Éventuellement, consultez ce guide : 10 logiciels pour réparer un fichier ZIP endommagé ou corrompu

Le fichier compressé est protégé par un mot de passe. Vous avez saisi un mot de passe incorrect.
Saisissez un mot de passe correct.

Vérifier une archive avec 7-zip et erreyrs de données

Vous tentez de décompresser l’archive avec l’Explorateur de fichiers de Windows mais ce dernier ne gère pas le format correctement. Dans ce cas, tentez avec 7-zip.

Liens

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