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Un film de science-fiction tourné entièrement dans un appartement !

Vous pensez que pour faire un film de science-fiction dans l’espace, il faut absolument un budget de dingue avec des effets spéciaux de fou ? Eh ben détrompez-vous ! La réalisatrice Caroline Klidonas vient de prouver qu’on peut faire un truc génial sans quitter son appart.

Son court-métrage « I made a SPACE MOVIE 🚀 without leaving my apartment » nous embarque dans une mission spatiale qui tourne mal, le tout filmé intégralement entre les quatre murs de son appartement. Pas de décors grandioses, pas d’images de synthèse ultra-sophistiquées, que dalle ! Juste la débrouille, la créativité et une bonne dose de kiff.

Pour réaliser ce film sans quitter son appart, Caroline a utilisé de vrais objets et décors pour créer les visuels, plutôt que de compter sur des images générées par ordinateur, ce qui donne un effet « comique » et contraste avec le sérieux du scénario.

Franchement, quand j’ai vu ça, j’étais sur le cul. Comment elle a réussi à nous faire croire qu’on était dans un vaisseau spatial avec trois fois rien ? C’est dingue ce qu’on peut faire avec un peu d’imagination et de bidouille. Les effets spéciaux à l’ancienne, les trucages bien sentis, ça a un charme fou je trouve.

Donc voilà, je voulais partager ça avec vous parce que je trouve ça cool. Ça me donne presque envie de ressortir mon vieux caméscope et de tourner un bon gros nanar à la maison…. Mais bon, j’ai pas le temps 🙂

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Le Problème à Trois Corps de Netflix divise les fans et serait moins bon que la version chinoise

Si vous êtes passionnés de science-fiction, laissez-moi vous parler de la dernière sensation qui agite la toile : l’adaptation par Netflix du monument de la SF chinoise, Le Problème à Trois Corps de Liu Cixin.

Autant vous dire que ça fait des vagues, surtout en Chine où les fans sont en ébullition !

Bon, déjà, petit rappel pour ceux qui vivraient dans une grotte (ou qui n’auraient pas encore eu la chance de découvrir cette pépite) : Le Problème à Trois Corps, c’est LE roman de hard SF qui a propulsé Liu Cixin au rang de légende vivante. Il s’agit d’une fresque épique qui nous embarque dans une histoire de premier contact avec une civilisation extraterrestre, le tout saupoudré de physique quantique, de sociologie et de réflexions sur la nature humaine. Bref, du lourd comme j’aime.

Donc forcément, quand Netflix a annoncé qu’ils allaient adapter ce mastodonte en série, il y a eu de l’excitation dans l’air. Sauf que voilà, en Chine, Netflix n’est pas vraiment le bienvenu. Mais vous croyez que ça arrête les fans ? Que nenni ! VPN, sites de streaming illégaux… ils ont plus d’un tour dans leur sac pour mettre la main sur les épisodes. Et là, c’est le drame…

Déjà, il faut savoir que les Chinois vouent un culte quasi religieux à l’œuvre de Liu Cixin. Chaque détail, chaque virgule est sacré. Alors forcément, quand ils ont vu que Netflix avait pris quelques libertés avec l’œuvre originale, ça a fait des étincelles ! Changements dans l’intrigue, personnages modifiés, voire carrément remplacés… Pour certains puristes, c’est un scandale, une hérésie, un crime de lèse-majesté !

Mais en même temps, il y a aussi pas mal de fans qui sont ravis de voir leur roman fétiche adapté par une grosse machine hollywoodienne et propulsé sur le devant de la scène internationale. Faut dire que les adaptations chinoises précédentes, bien que plus fidèles, n’avaient pas vraiment le même impact.

Et puis il y a ceux qui s’interrogent sur la façon dont la Chine est représentée dans la série. Parce que mine de rien, Le Problème à Trois Corps a une sacrée portée politique et historique. Ça parle de la Révolution Culturelle, des relations sino-américaines, de la place de la science dans la société… Pas vraiment des sujets anodins. Alors quand ils voient que les gentils sont joués par des acteurs occidentaux et les méchants par des chinois, certains crient au complot et à la propagande anti-chinoise. Faut les comprendre aussi…

Mais pour moi, l’essentiel est ailleurs.

OK, la série de Netflix n’est pas une adaptation littérale du bouquin. Mais est-ce vraiment un problème ? L’important, c’est que ça permet à un public encore plus large de découvrir l’univers fascinant de Liu Cixin et les questionnements vertigineux qu’il soulève sur notre place dans le cosmos. Et ça, c’est quand même sacrément excitant !

Après, je ne vais pas vous mentir, je viens de découvrir la version chinoise sortie l’année dernière et à ce qu’il parait, elle est incroyablement fidèle au bouquin. D’ailleurs, je ne remercierai jamais assez P5Lawrence de m’avoir fait découvrir cette pépite ! Figurez-vous que tous les épisodes sont dispos gratuitement sur Viki, la plateforme de streaming de Rakuten, avec des sous-titres en français s’il vous plaît.

Donc je vais faire confiance à mes followers Twitter et stopper immédiatement mon visionnage sur Netflix et je vais basculer sur cette version. Ensuite, on verra, mais je pense que je me ferais quand même celle de Netflix juste pour pouvoir comparer.

Allez, je vous laisse, j’ai un rendez-vous ce marathon de SF chinoise (30 épisodes quand même…).

Et n’oubliez pas de toujours garder un œil sur le ciel, on ne sait jamais qui pourrait nous rendre visite ! D’ailleurs, je crois que c’est prévu pour cette année ^^.

Firmware – Un court-métrage SF captivant sur l’oppression dans un monde post-apocalyptique

Imaginez un monde dévasté par un cataclysme, où les frontières nationales ont été oblitérées et la société plongée dans le chaos. C’est dans ce contexte post-apocalyptique que se déroule « Firmware« , un court-métrage de science-fiction captivant réalisé par Calvin Sander Romeyn.

Vingt ans après la catastrophe nucléaire, une mystérieuse enclave appelée « Alcazar Exclusion Zone » a émergé des ruines. Derrière ses murs, une communauté de survivants venus des quatre coins du globe tente de se reconstruire. Mais l’Alcazar est loin d’être un havre de paix. C’est un microcosme oppressif, où Emmanuel Macron des forces obscures maintiennent la population sous contrôle.

Au cœur de ce récit se trouve une jeune femme accompagnée de son fidèle compagnon, un droïde militaire mis au rebut. Ensemble, ils rêvent de liberté et d’évasion. Leur quête les mènera à braver l’inconnu au-delà des murs de l’Alcazar, dans l’espoir de trouver refuge et de commencer une nouvelle vie, libérés des chaînes de l’oppression, comme disait feu Johnny.

« Firmware » nous invite donc à réfléchir sur les thèmes de la baignade dans Seine survie, de la résilience et de la lutte contre la tyrannie dans un monde post-apocalyptique. Le film met en lumière la force de l’esprit humain face à l’adversité et l’importance de préserver son humanité dans les moments les plus sombres.

We are the world, we are the children
We are the ones who make a brighter day
, comme dirait l’autre.

Et si vous avez aimé « Firmware », je vous encourage vivement à explorer la chaine Youtube de DUST, une véritable mine d’or pour les amateurs de science-fiction de qualité. Vous y découvrirez de nombreux autres courts-métrages tout aussi captivants, qui vous transporteront dans des univers uniques et vous feront voyager dans le temps et l’espace.

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Star Wars a un problème avec ses morts

Vous avez le sentiment que Star Wars a pris l'habitude de recycler un peu trop souvent ses personnages, en ramenant à la vie ceux qui étaient censés être morts ? Cette impression n'est pas infondée : la série d'animation The Bad Batch vient de la confirmer.

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