Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Short Stack – la Nintendo Wii miniaturisée à l’extrême

Ça y est les amis, on a atteint le summum du bidouillage et de la miniaturisation avec le Short Stack, un mod complètement dingue de la Nintendo Wii qui arrive à faire tenir toute la puissance de la console dans un boîtier de la taille d’un paquet de cartes ! C’est juste ahurissant quand on y pense.

Alors bien sûr, la Wii c’est pas la console la plus grosse à la base, mais quand même, passer de 157 x 60 x 197mm à un truc aussi compact, faut reconnaître que c’est quand même sacrément impressionnant. Et le plus fou dans tout ça, c’est que le moddeur n’a pas triché en passant par de l’émulation. Non non, le Short Stack embarque une vraie carte mère de Wii, juste super bien taillée et optimisée !

James Smith, le génie derrière ce projet de titan, a réussi à faire rentrer dans son petit boîtier imprimé en 3D la carte mère réduite de la Wii, un tas de cartes électroniques custom empilées les unes sur les autres (d’où le nom du mod) pour gérer le Bluetooth, l’USB, les ports manettes GameCube, et même un dissipateur thermique sur mesure. Niveau intégration, on est donc sur du très très haut niveau.

Bon par contre, évidemment, pas de lecteur de disque là-dedans, faut pas déconner. Mais ça n’empêche pas d’avoir quand même un petit slice factice qui s’illumine en façade pour faire genre. Les jeux et les sauvegardes sont stockés sur une carte microSD à la place. Et pour faire encore plus pro, le Short Stack se branche en HDMI et s’alimente en USB-C. De quoi faire un joli petit media center rétrogaming, fin et discret.

Alors certes, c’est pas le premier mod de Wii ultra compact, on avait déjà vu passer la KillMii qui tenait dans une boîte d’Altoids. Mais celle-là intégrait un écran, des contrôleurs et une batterie qui tenait… 10 minutes. Pas top pour les sessions de Mario Kart endiablées. Le Short Stack a au moins le mérite d’être vraiment utilisable au quotidien sans trop de compromis. Après, difficile de dire s’il s’agit vraiment de la « plus petite Wii du monde » comme l’affirme Smith, mais une chose est sûre, c’est probablement la plus compacte que vous aurez vraiment envie d’utiliser !

D’ailleurs si ce projet de fou vous tente, sachez que Smith a publié tous les détails, les fichiers de conception et les instructions sur GitHub. Vous y trouverez quelques infos sur la réalisation, même si on ne peut pas dire que ce soit un tutoriel complet non plus. Et attention, c’est clairement pas un mod pour débutants ! Il vous faudra de sacrées compétences en électronique, pas mal de matos spécifique et une bonne dose de patience pour arriver à un résultat similaire.

Enfin bref, je dis chapeau bas Monsieur Smith pour ce boulot de malade mental. On en redemande des comme ça ! Parce que soyons honnêtes, ça sert pas à grand chose mais qu’est-ce que c’est classe !

Source

Test NiPoGi CK10 – Un mini PC avec Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un SSD NVMe

I. Présentation

Dans cet article, nous allons évoquer le mini PC NiPoGi CK10 dans sa version avec un processeur Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un stockage SSD NVMe de 512 Go !

Ce test est l'occasion d'évoquer les caractéristiques techniques, le design, l'évolutivité et les performances de ce modèle compact ! Comme souvent, NiPoGi propose plusieurs configurations pour une seule référence. Le modèle CK10 est également disponible avec 32 Go de RAM et 1 To de SSD, à ne pas confondre avec la version présentée dans cet article.

II. Caractéristiques du NiPoGi CK10

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

  • Processeur : Intel Core i5-12450H (jusqu'à 4,4 GHz, 8C/12T)
  • GPU : Intel UHD Graphics (intégrée au processeur) - Fréquence 1.20 GHz
  • RAM : 16 Go DDR4 - 3200 MHz
  • Stockage : 512 Go SSD NVMe (M.2 - PCIe 3.0) + 1 emplacement vide SSD NVMe + 1 emplacement pour disque SATA 2.5 pouces
  • Connectique en façade : 2 x USB 3.0, 1 x USB-C 3.0, 1 x Jack audio et le bouton Power
  • Connectique à l'arrière : 2 x USB 3.0, 2 x HDMI 2.0, 1 x RJ45 1 Gbit/s et 1 fente de verrouillage Kensington
  • Connectique sur le côté gauche : 1 x VGA
  • Affichage : prise en charge de trois écrans grâce aux deux ports HDMI et au port VGA
  • WiFi 6, Bluetooth 5.2
  • Alimentation (sortie) : 19V/3.42A - 64.98W
  • Poids : 470 grammes
  • Dimensions (L x W x H) : 13,8 x 12,6 x 5 cm
  • Système d'exploitation : Windows 11
  • Prix : 360.00 euros - Rendez-vous en fin d'article pour notre offre bon plan

III. Package, design et conception

La boite, entièrement blanche, est sobre, mais elle a le mérite de nous donner des précisions sur la version présente à l'intérieur. L'ordinateur et les accessoires sont correctement emballés et protégés par d'épaisses mousses. Le matériel est arrivé en parfait état, c'est ce que nous retiendrons.

Qu'avons-nous à l'intérieur de la boite ? Le mini PC est accompagné par l'alimentation externe et son câble, ainsi qu'un câble HDMI, un support VESA (et les vis), une notice d'utilisation (en français, utile si vous envisagez d'utiliser le support VESA pour fixer le PC à l'arrière d'un écran), et une rallonge SATA à utiliser si vous souhaitez ajouter un disque SATA 2.5 pouces.

Le boitier gris anthracite de ce mini PC NiPoGi est entièrement en plastique. Le plastique est rigide et semble relativement solide. Le boitier est correctement assemblé et tous les ports sont bien accessibles : aucun défaut n'est à relever. La seule chose qui me gêne réellement, c'est l'emplacement hasardeux des deux stickers sur le dessus du boitier (que l'on peut retirer facilement). En dessous, nous retrouvons 4 patins antidérapants d'une épaisseur de 4 mm. Nous constatons qu'il y a une entrée d'air sur le dessus, mais aussi en dessous du boitier, tandis que l'extraction de l'air s'effectue par l'arrière du boitier.

La façade de ce mini PC est riche en connectique puisque 2 ports USB 3.0, 1 port USB-C et une prise Jack sont facilement accessibles. À l'arrière, il y a également 2 ports USB 3.0, ainsi que 2 ports HDMI et une interface RJ45 Gigabit Ethernet (1 Gbit/s). Sur la gauche du boitier, il y a également un port VGA : ce qui est assez rare de nos jours, mais cela permet à ce modèle de se démarquer ! Ainsi, vous pouvez connecter 3 écrans : 2 en HDMI et 1 en VGA. D'ailleurs, le port VGA pourrait être utilisé pour connecter un vidéoprojecteur ou un écran qui n'est pas équipé d'un port HDMI.

Pour ouvrir le boitier et accéder à l'intérieur, il suffit de retirer les 4 vis présentes en dessous du boitier. Ceci va nous permettre de découvrir les composants et l'image ci-dessous montre l'emplacement pour disque SATA, au format 2.5 pouces.

À l'intérieur du boitier, il y a un espace confortable entre les différents composants, mais ce sera différent si vous ajoutez un disque SATA 2.5 pouces. Néanmoins, il est important de préciser que ce boitier est un peu plus grand que beaucoup d'autres modèles de mini PC. Voici ce qui est à noter :

  • Il y a deux slots pour la mémoire vive (RAM) et les deux sont déjà occupés par 2 barrettes de 8 Go
  • Il y a deux barrettes de RAM SO-DIMM de marque Lexar : 8 Go 1Rx8 PC4-3200AA-SA21.2V
  • Il y a un disque SSD NVMe, équipé d'un dissipateur et d'une épaisse couche de pâte thermique. C'est appréciable (mais ceci nous empêche de lire l'étiquette pour en savoir plus sur la référence).
  • Il y a un emplacement libre pour ajouter un second disque SSD NVMe (PCIe 3.0)
  • Il y a une carte RealTek RTL8852BE pour le Wi-Fi 6 et le Bluetooth 5.2

Voici les entrailles du CK10 en photos :

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Ce mini PC est livré avec le système Windows 11 Pro, en version 22H2, donc il y aura des mises à jour à installer. Nous devons finaliser la mise en route, mais cela est très rapide puisque nous devons seulement définir le nom d'utilisateur. Il s'agit d'une image personnalisée par NiPoGi (probablement avec un fichier de réponse) et elle occupe 37 Go sur le disque (ce qui est beaucoup !).

Comme pour tous les ordinateurs, je vous recommande de réinstaller la machine avec une image propre et téléchargée depuis le site de Microsoft si vous souhaitez continuer sur Windows. Cette machine est pleinement compatible avec Windows 11, car elle respecte tous les prérequis (y compris la puce TPM 2.0).

À part Google Chrome qui est intégré à l'image de Windows 11, il n'y a pas d'autres logiciels supplémentaires visibles. Bien entendu, nous avons le droit à toute la panoplie d'applications de chez Microsoft.

Le mini-PC est livré avec 16 Go de RAM en DDR4, mais une mise à niveau est possible. Le processeur i5 de ce modèle supporte 64 Go de RAM, ce qui signifie que nous pouvons remplacer les 2 barrettes de 8 Go par 2 x 32 Go. De quoi faire une belle évolution si vous souhaitez utiliser ce PC pour de la virtualisation.

En résumé, pour faire évoluer la configuration de ce mini PC, vous avez plusieurs options : augmenter la RAM, ajouter un disque SATA (2.5 pouces) et ajouter un disque SSD NVMe.

B. Performances

Ce mini PC est propulsé par un processeur Intel Core i5 de 12ème génération lancé au premier trimestre 2022. Le modèle i5-12450H a 8 cœurs et 12 threads, 12 Mo de cache et sa fréquence maximale en mode Turbo est 4,4 GHz. Sachez que NiPoGi a limité la consommation d'énergie du CPU à 35 watts, ce qui affectera légèrement les performances sur du traitement multithread.

Commençons par mesurer les performances du disque SSD NVMe intégré à l'ordinateur.

Le SSD NVMe présent dans ce mini PC NiPoGi offre de belles performances : un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 834 Mo/s.

Voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

Ainsi qu'un aperçu du disque dans Crystal Disk Info :

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Comment réagit le PC lors d'un stress CPU ?

Pendant le stress test du CPU (charge à 100%), la ventilation souffle un peu plus fort, mais cela reste discret. Au ralenti, les ventilateurs sont vraiment très discrets et ne vous gêneront pas du tout.

D'après HWMonitor, lorsque le mini PC est allumé sans être sollicité, la température du CPU est de 40°C. Pendant le stress test du CPU, la température du CPU monte en flèche jusqu'à 91.0°C (au bout de 5 minutes, environ). Ceci n'est pas surprenant, car l'air exfiltré par l'arrière du boitier est bien chaud ! Par contre, ensuite, la température met du temps à redescendre, comme si le système de refroidissement était un peu à la peine.

Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Au quotidien, pour de la bureautique et un peu de multimédia, ce PC est parfaitement adapté. Il est très silencieux et supporte très bien la navigation sur Internet avec de nombreux onglets, la lecture de vidéos en 4K (sur YouTube, par exemple), mais également l'utilisation d'applications telles que la suite Microsoft Office. Ceci en fait un compagnon intéressant et abordable si vous recherchez ce type de mini PC.

La principale limitation, c'est la puce graphique intégrée : Intel UHD Graphics qui est un iGPU. Autrement dit, ce n'est pas une configuration adaptée au gaming. Vous pouvez envisager de jouer à des jeux peu gourmands, ou, à des jeux disponibles depuis 3 ans, 4 ans, ou plus, en ajustant les paramètres de qualité graphique, mais c'est tout. À titre d'exemple, vous pouvez jouer à GTA V : tous les effets visuels ne peuvent pas être activés, mais en Full HD, le jeu est fluide !

Voici un aperçu (à gauche, une copie d'écran - à droite, une photo de l'écran).

V. Conclusion

C'est l'heure du verdict ! Le mini PC NiPoGi CK10 n'est pas parfait, mais il y a plusieurs points à mettre en avant. Tout d'abord, sa puce Intel Core i5 de 12ème génération qui répond présente et assure un bon niveau de performances, tout comme son disque SSD NVMe qui offre de bonnes performances ! Quant à la RAM, disons que 16 Go, c'est le minimum recommandé pour utiliser un PC confortablement et pour le multitâches. Si cela ne suffit pas, vous pouvez toujours prévoir une mise à niveau de la RAM (comptez plus de 130 euros pour passer sur 64 Go), mais aussi du stockage, car vous pouvez ajouter un disque SATA au format 2.5 pouces et un second disque SSD NVMe.

NiPoGi cherche toujours à apporter un peu d'originalité au design de ses boitiers, et c'est le cas avec le CK10. J'ai apprécié la présence d'une connectique riche, avec notamment de nombreux ports USB dont 3 en façade (2 USB-A + 1 USB-C). Néanmoins, le boitier de ce mini PC est légèrement plus imposant que d'autres modèles (même s'il reste compact : 13,8 x 12,6 x 5 cm) et il y a également l'absence d'un lecteur de carte SD. C'est à préciser, car pour certains usages, cela peut avoir son importance. Par ailleurs, le port VGA présent sur le côté du boitier peut surprendre, mais c'est malgré tout un atout pour ce modèle. Ce petit détail plaira à ceux qui ont besoin d'une machine récente, compacte et équipée du VGA.

Maintenant, il est important de mettre un tarif en face de cette configuration et ce verdict. Découvrez notre offre spéciale ci-dessous.

🎁 Profitez de notre offre spéciale pour acheter ce mini PC au meilleur prix :

Grâce au code "6Q5HMH9M", vous pouvez bénéficier de 7% de réduction sur ce mini-PC ! Ce code est valide jusqu'au 12 juin 2024, à 23:59 (heure française).

Le tarif passe de 360,05 € à 334,85 € soit une réduction de 25,20 €.

Vous devez saisir ce code dans votre panier, sur Amazon.fr. Voici le lien qui mène à l'offre :

N'hésitez pas à commenter cet article si vous avez des questions.

* Le lien ci-dessus intègre notre identifiant d'affiliation Amazon.

The post Test NiPoGi CK10 – Un mini PC avec Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un SSD NVMe first appeared on IT-Connect.

Test Couchmaster CYCON² – Un support ergonomique pour jouer ou travailler depuis son canapé

I. Présentation

Imaginez un instant : vous êtes installé confortablement dans votre canapé, accompagné par deux coussins très confortables, un de chaque côté pour poser vos coudes, et un plateau pour accueillir votre ensemble clavier-souris préféré, voire même un ordinateur portable. C'est la promesse des produits de chez Nerdytec, et plus particulièrement du Couchmaster CYCON² !

Un produit à la fois innovant et étonnant qui va vous permettre de vous installer très confortablement dans votre canapé, que ce soit pour travailler, naviguer sur le Web, ou encore passer des heures à jouer sur votre TV, sans galérer avec votre matériel sur les genoux ou posé sur un support peu adapté.

Voici à quoi ressemble le Couchmaster CYCON² de chez Nerdytec :

Nerdytec Couchmaster Cycon 2 - Vue d'ensemble

Le Couchmaster CYCON² est ce que l'on pourrait appeler un plateau pour le gaming ou un support ergonomique pour jouer ou travailler depuis son canapé, et la marque allemande Nerdytec en a fait sa spécialité. Tous les produits sont imaginés en Allemagne, dans les locaux de Nerdytec, et le modèle que nous vous présentons aujourd'hui, c'est l'un des best-sellers de la marque !

Voici quelques caractéristiques à son sujet :

  • 6 ports USB 3.0 (2 externes & 4 internes), y compris un port de chargement rapide externe
  • Gestion optimisée des câbles
  • Grille de ventilation : non
  • Poches latérales pratiques pour différents accessoires (et votre snack)
  • Distance intérieure maximale des coussins : 75 cm
  • Dimensions des coussins (L x l x H) : 60 x 20 x 16 cm
  • Dimensions du support (L x l x H) : 82 x 33 x 3 cm

En complément, vous pouvez consulter cette page :

II. Package et design

Lorsque j'ai reçu le colis, il n'était pas en parfait état et il semblait avoir souffert pendant le transport, mais heureusement, ce fut sans conséquence pour le matériel. À l'intérieur du carton, les coussins sont dans un plastique tandis qu'une seconde boite cartonnée contient le plateau et l'ensemble des accessoires.

À l'intérieur du carton, nous avons un guide avec les instructions d'installation, deux coussins latéraux, un plateau Nerdytec avec un hub USB 3.0 intégré, un tapis de souris gaming, un petit sac pour ranger votre souris, de la bande auto-grippante, un bloc d'alimentation et son câble, ainsi qu'un câble de connexion hub de 0,8 mètre et un câble d'extension USB 3.0 de 5 mètres. Autant vous dire qu'il y a tout ce qu'il faut pour s'installer confortablement !

Chaque coussin jouera le rôle d'un accoudoir, un peu comme ceux que l'on retrouve sur les canapés : à la fois ferme et confortable, car l'idée est bien de pouvoir poser son coude et une partie de l'avant-bras de chaque côté.

Chaque coussin est déhoussable, ce qui signifie que vous pouvez laver les housses en machine à 30 degrés. C'est un point positif.

Le plateau du Couchmaster inspire confiance et la qualité de fabrication est très bonne. Le design est tout de même travaillé, et chaque zone où vous allez poser votre poignée, le plastique laisse sa place à une texture plus agréable. Le tapis de souris gaming fournit avec le Couchmaster pourra être collé sur le plateau, soit à droite, soit à gauche, grâce au scotch double-face intégré au package. Sachez que ce plateau n'a pas d'éclairage ou d'éléments lumineux, ce qui sera peut-être perçu comme un point négatif pour certains.

Au centre, sur la partie supérieur du plateau, nous avons accès à deux ports USB-A pour connecter ce que l'on souhaite. Bien entendu, ces ports USB sont reliés à votre PC par l'intermédiaire du Hub USB intégré au Couchmaster.

Pour bien comprendre comment cela fonctionne, il convient de retourner le Couchmaster. Il y a deux compartiments accessibles de façon indépendante où l'on va retrouver différents ports USB, ainsi que le connecteur pour l'alimentation. En fait, pour faciliter la gestion des câbles et d'avoir plusieurs câbles qui trainent au sol dans votre salon, sachez que Nerdytec propose un système basé sur un seul câble spécialement conçu pour le Couchmaster CYCON² dans le but d'établir la connexion entre le PC et le Couchmaster en lui-même, tout en fournissant une alimentation électrique supplémentaire. Par ailleurs, ce câble est en deux parties donc vous pouvez facilement le déconnecter du Couchmaster sans avoir à ouvrir un compartiment.

Pour vous faire une idée plus précise des dimensions des coussins et du plateau, ainsi que l'espace maximal entre les deux coussins, voici un schéma proposé par la marque :

Dimensions Couchmaster CYCON 2

III. Utilisation au quotidien

Me voici en place avec mon ordinateur, installé confortablement sur le canapé, grâce aux coussins et au plateau du Couchmaster. Les coussins sont très confortables et agréables, et grâce à eux, cela devient facile de travailler (ou jouer) depuis son canapé, car nous sommes bien installés. Les coudes sont maintenus par les coussins, ce qui permet de se mettre à l'aise que ce soit pour utiliser un ordinateur portable ou un kit clavier et souris. Nous pouvons rester dans cette position plusieurs heures, sans ressentir de gêne.

Sans utiliser d'ordinateur fixe, j'ai tout de même fait quelques tests avec le système de gestion de câbles. Il me semble adapté à de nombreuses configurations et types de câbles, avec tout de même un point d'attention : je n'ai pas pu tester directement, mais compte tenu de la taille des trous pour faire passer les câbles, je pense qu'ils ne sont pas assez grands si vous avez un accessoire avec un câble ayant un noyau de ferrite.

Nerdytec Couchmaster Cycon 2 - Illustration

En ce qui concerne l'ergonomie, en complément de mon ressenti et de mon avis, voici l'analyse fournie sur le site officiel de Nerdytec : "D'un point de vue ergonomique, le Couchmaster® CYCON² est particulièrement recommandé. Le physiothérapeute Roland Kellerbach de Cologne-Dellbrück s'exprime en ces termes : "Du point de vue de la santé, je peux dire que le Couchmaster offre la meilleure possibilité ergonomique d'utiliser le PC/l'ordinateur portable depuis le canapé. Grâce aux larges coussins, la musculature des épaules et de la nuque est soulagée pendant l'utilisation, ce qui prévient efficacement les tensions"."

Le seul bémol, mais ça, Nerdytec ne peut pas y faire grand-chose, c'est l'encombrement pour stocker les coussins et le plateau, ainsi que le temps de mise en place avec l'installation des deux coussins, du plateau, puis de l'ordinateur portable ou du clavier et de la souris. Mais, une fois que l'on est installé, on se dit que ça en vaut vraiment la peine ! En revanche, pour les câbles, l'installation est à effectuer une seule fois, donc nous ne perdons pas de temps avec ça à chaque fois.

IV. Conclusion

Si vous aimez jouer ou travailler depuis votre canapé, mais que vous ne parvenez pas à vous installer confortablement, ne cherchez plus : investissez dans un Couchmaster Cycon 2 (ou un autre modèle, selon votre configuration). Peut-être que pour certains d'entre vous, ce sera l'occasion de franchir le pas... C'est un produit vraiment cool et confortable à utiliser.

Le tarif de la version Couchmaster Cycon 2 montrée dans cet article : 179.99 €. Vous pouvez retrouver ce produit sur Amazon.fr via notre lien d'affilié :

De plus, sachez que le Couchmaster Cycon 2 est disponible en plusieurs éditions et coloris : CYPUNK (pour les fans de Cyberpunk), Fusion Grey, Titan Black Edition (version de luxe avec des éléments en titane et des coussins en cuir nappa véritable) et Black Edition.

The post Test Couchmaster CYCON² – Un support ergonomique pour jouer ou travailler depuis son canapé first appeared on IT-Connect.

Le Recovery Kit V2 – Le cyberdeck pour les aventuriers du net

Vous avez vu le Recovery Kit Version 2 ?

En gros, c’est un cyberdeck de compète qui renferme un Raspberry Pi dans une valise Pelican Case. Le genre de bidule qui vous donne envie de partir à l’aventure numérique façon Mad Max.

Alors pour faire simple, un cyberdeck, c’est un ordi portable custom taillé pour les baroudeurs du net. Un truc compact, autonome et qui en a dans le ventre pour pirater la NASA depuis un bunker en plein désert (enfin, façon de parler hein, on est pas là pour finir en taule).

Ce Recovery Kit V2, c’est une version améliorée du premier modèle conçu par Jay Doscher en 2019. À l’époque, le concept avait fait un petit buzz dans la commu des makers et des nerds. Faut dire que l’idée de fourrer un Raspberry Pi dans une mallette antichoc, c’est quand même stylé.

Mais alors, qu’est-ce qui change avec cette V2 ? Déjà, on a droit à un Raspberry Pi 5 qui envoie du gros. Ça va vous permettre de faire tourner des trucs costauds sans avoir l’impression d’être revenu au temps du Minitel. Ensuite, y a une batterie de 25 600 mAh pour tenir la distance (4 à 5h d’autonomie), un écran tactile 7 pouces, un clavier ortholinéaire et même un disque SSD NVMe pour le stockage. De quoi vous concocter une config de guerrier nomade.

La valise Pelican 1300 utilisée pour le boitier offre une protection optimale contre la poussière, l’eau et autres dangers environnementaux, histoire de garder votre matos bien au sec.

Au niveau des composants, la liste est plutôt complète mais il manque quelques détails techniques qui pourraient être utiles, genre un schéma du montage pour voir comment tout se branche car le tuto de montage complet est réservé aux membres premium.

En parlant de switches, les célèbres Cherry MX sont un classique mais pour un kit nomade, des switches low profile type Kailh ou Outemu seraient plus adaptés je trouve. Niveau look, comme vous le voyez, on reste dans un style assez brut de décoffrage qui respire la robustesse. La valise Pelican noire avec ses coins renforcés, ça envoie du lourd. On est clairement pas sur un truc fragile à trimballer avec des gants blancs.

Bon après, faut pas se leurrer, c’est pas non plus le machin le plus ergonomique du monde. Le clavier ortholinéaire, c’est un poil déroutant au début et faut aimer taper sur des touches de la taille d’un timbre poste. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un truc compact qui rentre dans une valise.

Côté connectique, on est plutôt bien servi avec de l’Ethernet, de l’USB-C, un port GPIO pour brancher des modules et même un switch réseau pour partager la connexion. Par contre, va falloir vous coltiner un adaptateur secteur, parce que la recharge se fait via un port barrel. Un poil old school mais bon, on va pas chipoter.

Pour ce qui est de la config logicielle, Jay propose une image toute prête avec Raspberry Pi OS, mais vous pouvez aussi installer votre distro préférée. Perso, je verrai bien un petit Kali Linux pour partir en mode h@ck3r dans la matrice, mais rassurez-vous, un Windows c’est possible aussi. 😎

En vrai, ce Recovery Kit V2, c’est clairement pas un truc pour madame Michu qui veut surfer sur Facebook. C’est plutôt une machine pour les passionnés de bidouille qui kiffent l’idée d’avoir un ordi portable custom qui sort de l’ordinaire. Et puis faudra quand même mettre la main au portefeuille parce qu’entre la valise Pelican, le matos électronique et les accessoires, vous allez vite dépasser les 500 balles. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un cyberdeck qui en jette.

En attendant, si vous voulez en savoir plus sur ce projet, je vous invite à checker le site de Jay Doscher. Vous y trouverez plein de photos et des détails sur les composants utilisés.

Imprimantes HP – Un nouveau firmware qui fait grincer des dents

Ah les imprimantes, ces petites boites en plastique bon marché, bien bruyantes, sans lesquelles on serait bien embêtés pour imprimer nos QR Codes pour les JO photos de vacances ou nos documents. Mais attention, si vous avez une imprimante HP, vous risquez d’être encore plus embêtés !

En effet, la célèbre marque a eu la bonne idée de balancer une mise à jour firmware qui bloque l’utilisation des cartouches d’encre non estampillées HP. Sympa non ? Du coup, si vous aviez l’habitude d’acheter des cartouches génériques pour faire des économies, c’est raté. Votre imprimante va gentiment vous envoyer bouler en vous disant d’aller acheter des cartouches HP, sinon rien.

Cette mise à jour firmware contient une fonctionnalité de sécurité qui empêche l’utilisation de cartouches d’encre non-HP, monopolisant ainsi le marché des cartouches de remplacement. Bien que les détails techniques ne soient pas précisés, il est probable que la mise à jour utilise un algo spécifique et des techniques de gestion des droits numériques (DRM) pour vérifier l’authenticité de la puce sur la cartouche et empêcher son utilisation si ce n’est pas une cartouche de marque HP.

Forcément, ça n’a pas plu à tout le monde cette histoire. Des petits malins ont décidé d’attaquer HP en justice, en mode « non mais oh, on n’est pas des pigeons non plus » (Vous la sentez la conviction que j’y mets ?). Ils accusent la marque de vouloir monopoliser le marché des cartouches d’encre en forçant les utilisateurs à acheter ses propres cartouches hors de prix. Les plaignants affirment que HP a cherché à tirer profit des coûts irrécupérables des clients en monopolisant le marché secondaire des cartouches d’encre de remplacement par le biais de la sécurité dynamique et d’autres tactiques.

Alors ils ont bien tenté de se défendre en disant « mais non, on ne bloque pas toutes les cartouches, regardez il y a des marques compatibles« . Sauf que les plaignants ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le but du jeu était de profiter du fait que les gens ont déjà investi dans une imprimante HP pour leur faire cracher un max de thunes en cartouches.

Mais le fabriquant ne compte pas se laisser faire. La marque affirme que les mises à jour de firmware qui bloquent certaines cartouches sont là pour « protéger l’innovation et la propriété intellectuelle« . Arf ! En gros, si vous voulez utiliser une imprimante HP, vous devez passer à la caisse pour acheter des cartouches HP, sinon c’est de la triche. HP soutient également que les plaignants ne peuvent pas réclamer de dommages et intérêts pour avoir été surfacturés en vertu des lois antitrust fédérales américaines, car les consommateurs qui achètent des produits auprès d’un intermédiaire ne peuvent poursuivre le fabricant que pour obtenir une injonction, et non pour récupérer des dommages et intérêts résultant d’une prétendue surfacturation.

Le problème, c’est que cette stratégie est un poil abusive. C’est un peu comme si on vous forçait à faire le plein de votre Renault uniquement dans les stations Renault (je sais, ça n’existe pas), en prétextant que les autres essences ne sont pas assez bien pour votre voiture. Pas cool.

D’ailleurs, le PDG de HP, Enrique Lores, a exprimé l’espoir d’attirer les clients vers un modèle d’abonnement à l’impression, où les clients sont facturés pour avoir suffisamment imprimé ou utilisé suffisamment de fournitures. Mais attention, certaines estimations suggèrent que les prix de l’encre pour imprimante peuvent être assez élevés, allant de 439 à 2 380 dollars le litre. Outch ! C’est encore plus cher que le parfum de luxe.

Alors certes, HP n’est pas le seul à jouer à ce petit jeu. Les fabricants d’imprimantes ont bien compris que c’est sur les cartouches d’encre qu’ils se font le plus de blé, mais bloquer carrément les cartouches concurrentes, c’est un cran au-dessus. Et ça risque de leur coûter cher en procès et en image de marque. D’ailleurs, on peut se demander si d’autres fabricants d’imprimantes ont mis en place des mises à jour similaires, et s’ils font également l’objet de poursuites judiciaires ? Ça pourrait avoir un impact sur les choix des utilisateurs.

En attendant, si vous avez une imprimante HP récalcitrante, vous pouvez toujours essayer de bidouiller le firmware pour contourner le problème. Mais à vos risques et périls, car la marque risque de ne pas apprécier que vous trichiez avec son système. Et puis bon, il faut quand même avouer que c’est un peu la galère de devoir se prendre la tête avec son imprimante juste pour pouvoir imprimer tranquille.

Bref, tout ça pour dire que cette histoire de firmware bloquant est un bel exemple de comment les fabricants essaient de nous la faire à l’envers pour gratter toujours plus de pognon. Mais les consommateurs ne sont pas prêts à se laisser faire, et HP risque de le découvrir à ses dépens. En attendant, si vous cherchez une imprimante, peut-être que vous devriez regarder du côté des marques qui ne vous obligent pas à vendre un rein pour acheter des cartouches. Juste une suggestion comme ça, en passant…

Source

❌