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Trangram – Créez des animations pro sans coder en moins de 2 min

Les amis, si vous cherchez une solution simple et efficace pour créer des animations et des graphiques animés sans vous prendre la tête, j’ai déniché un petit bijou pour vous : Trangram. C’est une plateforme en ligne gratuite qui vous permet de créer, d’animer et de partager vos créations en toute simplicité, sans avoir besoin de connaissances en programmation.

Avec Trangram, vous avez accès à une panoplie d’outils intuitifs et puissants pour donner vie à vos idées. Que vous soyez un professionnel du marketing qui cherche à créer des vidéos engageantes pour les réseaux sociaux, un enseignant qui souhaite rendre ses cours plus dynamiques, ou simplement un passionné de graphisme qui aime expérimenter, Trangram pourra vous aider.

L’interface est claire et bien pensée, avec des fonctionnalités accessibles en quelques clics. Vous pouvez choisir parmi une bibliothèque d’éléments graphiques prêts à l’emploi, ou importer vos propres images et illustrations. Ensuite, il suffit de les disposer sur votre scène, de définir les animations et les transitions, et le tour est joué ! Vous pouvez même ajouter du texte animé, des effets sonores et de la musique pour rendre vos créations encore plus immersives.

Ce que j’apprécie particulièrement avec Trangram, c’est la flexibilité qu’offre la plateforme. Vous avez le contrôle total sur chaque élément de votre composition, ce qui vous permet de laisser libre cours à votre créativité. Que vous souhaitiez réaliser une infographie animée pour présenter des données complexes de manière ludique, ou une vidéo teaser pour promouvoir un événement, les possibilités sont infinies.

Un autre point fort de Trangram, c’est la communauté qui gravite autour de la plateforme. Vous pouvez explorer les créations d’autres utilisateurs pour vous inspirer, mais aussi partager les vôtres et obtenir des retours constructifs. C’est une excellente façon de progresser et de faire de belles découvertes. Et si vous avez besoin d’un coup de pouce, la documentation fournie est très complète, avec des tutoriels vidéo et des guides pas à pas pour vous aider à prendre en main les différents outils.

Évidemment, Trangram ne remplacera pas les logiciels de motion design haut de gamme utilisés par les professionnels. Mais pour la grande majorité des utilisateurs qui cherchent une solution abordable et facile à prendre en main, c’est un excellent choix. Que vous soyez une startup qui souhaite créer des vidéos explicatives pour présenter ses produits, ou une agence qui a besoin de produire rapidement des contenus animés pour ses clients, Trangram saura vous faire gagner un temps précieux.

A découvrir ici : Trangram.

Discord – Vos données sont collectées en masse et revendues en ligne !

Attention, ça va faire mal surtout si vous pensiez que vos conversations sur Discord étaient à l’abri des regards indiscrets. Désolé de casser l’ambiance, mais c’est loin d’être le cas.

Un petit malin a eu la bonne idée de créer un service en ligne baptisé « Spy Pet » qui s’amuse à aspirer en masse les données des serveurs Discord dont vos messages publics, les canaux vocaux que vous rejoignez, et les données liées à votre activité sur les différents serveurs. Et le pire, c’est que ces données sont ensuite revendues à bon prix (5$) à qui veut bien les acheter. De quoi être un brin parano !

Normalement, avec Discord, notre activité est éparpillée façon puzzle sur tout un tas de serveurs, et personne à part Discord lui-même ne peut voir ce qu’ont fait sur la plateforme dans son ensemble. Mais avec Spy Pet, n’importe qui peut potentiellement mater une partie de vos faits et gestes numériques pour une poignée de dollars. Le site se targue de pister plus de 14 000 serveurs et d’avoir en stock pas moins de 3 milliards de messages, de plus de 600 millions de comptes, mais difficile de vérifier ces chiffres.

Finalement, Discord n’est pas aussi privé qu’on pourrait le croire puisque les messages postés publiquement sur les serveurs sont à la merci du premier scraper venu. Heureusement, tout n’est pas perdu. Pour limiter les dégâts, voici quelques conseils :

  • Ouvrez l’œil sur les bots qui essaient de rejoindre vos serveurs. C’est souvent comme ça que les scrapers s’infiltrent mine de rien. Méfiez-vous des nouveaux venus sans photo de profil ni historique.
  • Pensez à passer vos serveurs en mode privé et à renforcer les paramètres de vérification pour tenir les indésirables à distance.
  • Si vous êtes admin, virez sans pitié les comptes louches qui traînent dans le coin.

Et surtout, partez du principe que tout ce que vous postez publiquement sur Discord peut potentiellement être vu par n’importe qui. Ça vaut pour tous les services en ligne d’ailleurs.

Bref, restez vigilants, sécurisez vos serveurs et réfléchissez avant de poster des trucs trop perso sur Discord ! Et si vous tenez vraiment à ce que vos échanges restent privés, passez plutôt par des apps de messagerie sécurisées de bout en bout, genre Signal ou Telegram. Ça évitera les mauvaises surprises !

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Sonic 2 Master System portée sur TI-84+ CE !

Le portage de Sonic 2 version 8 bits débarque enfin sur la calculatrice graphique TI-84+ CE ! Ouais, je sais, c’est pas vraiment le support sur lequel on s’attendait à retrouver notre hérisson bleu préféré, mais bon, pourquoi pas après tout ?

C’est possible grâce au génialissime Grubby Coder qui s’est dit que la Ti-84+ CE, ce serait cool puisque cette vaillante machine embarque un processeur Zilog eZ80 cadencée à 48 Mhz. Hé, ça vous rappelle pas un truc ça ? Et ouais, c’est une vieille connaissance, le fameux Zilog Z80 puisqu’il équipait la Master System ! Enfin presque, le Z80 était en 16 bits, pas 8. Y’a pas de hasard…

Mais attention, hein, c’était pas gagné pour autant parce qu’il y a quand même quelques différences entre la 16 bits de Sega et la Texas Instrument. Déjà, y’a pas de processeur graphique et la mémoire est un poil limitée mais cela n’a pas découragé notre codeur de choc pour autant.

Le plus gros du taf a été surtout de ré-implémenter les fonctions graphiques de la Master System sur la TI parce c’est bien gentil d’avoir un eZ80, mais si derrière la config suit pas… Alors Grubby s’est retroussé les manches et il a codé, codé et encore codé un quasi portage pur et dur des routines graphiques pour coller au plus près du hardware d’origine.

Et puis y’a eu les autres petits défis rigolos comme adapter la palette de 16 couleurs pour les 256 de la TI, gérer les contrôles, la ROM qui dépasse la taille limite des programmes pour TI, toussa toussa… Alors bien sûr, quand on lance le jeu, ça rame un peu mais c’est surtout pour tour de force technique que pour se refaire le jeu.

M’enfin, l’important c’est de se dire que les lycéens vont enfin pouvoir se faire une petite partie de Sonic 2 en plein cours de maths. Ça a quand même plus de gueule que de tracer des fichues courbes sur la calculette, n’en déplaise à Gabriel Attal.

Sur ce, je vous laisse, j’ai un Robotnik à dégommer moi !

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Short Stack – la Nintendo Wii miniaturisée à l’extrême

Ça y est les amis, on a atteint le summum du bidouillage et de la miniaturisation avec le Short Stack, un mod complètement dingue de la Nintendo Wii qui arrive à faire tenir toute la puissance de la console dans un boîtier de la taille d’un paquet de cartes ! C’est juste ahurissant quand on y pense.

Alors bien sûr, la Wii c’est pas la console la plus grosse à la base, mais quand même, passer de 157 x 60 x 197mm à un truc aussi compact, faut reconnaître que c’est quand même sacrément impressionnant. Et le plus fou dans tout ça, c’est que le moddeur n’a pas triché en passant par de l’émulation. Non non, le Short Stack embarque une vraie carte mère de Wii, juste super bien taillée et optimisée !

James Smith, le génie derrière ce projet de titan, a réussi à faire rentrer dans son petit boîtier imprimé en 3D la carte mère réduite de la Wii, un tas de cartes électroniques custom empilées les unes sur les autres (d’où le nom du mod) pour gérer le Bluetooth, l’USB, les ports manettes GameCube, et même un dissipateur thermique sur mesure. Niveau intégration, on est donc sur du très très haut niveau.

Bon par contre, évidemment, pas de lecteur de disque là-dedans, faut pas déconner. Mais ça n’empêche pas d’avoir quand même un petit slice factice qui s’illumine en façade pour faire genre. Les jeux et les sauvegardes sont stockés sur une carte microSD à la place. Et pour faire encore plus pro, le Short Stack se branche en HDMI et s’alimente en USB-C. De quoi faire un joli petit media center rétrogaming, fin et discret.

Alors certes, c’est pas le premier mod de Wii ultra compact, on avait déjà vu passer la KillMii qui tenait dans une boîte d’Altoids. Mais celle-là intégrait un écran, des contrôleurs et une batterie qui tenait… 10 minutes. Pas top pour les sessions de Mario Kart endiablées. Le Short Stack a au moins le mérite d’être vraiment utilisable au quotidien sans trop de compromis. Après, difficile de dire s’il s’agit vraiment de la « plus petite Wii du monde » comme l’affirme Smith, mais une chose est sûre, c’est probablement la plus compacte que vous aurez vraiment envie d’utiliser !

D’ailleurs si ce projet de fou vous tente, sachez que Smith a publié tous les détails, les fichiers de conception et les instructions sur GitHub. Vous y trouverez quelques infos sur la réalisation, même si on ne peut pas dire que ce soit un tutoriel complet non plus. Et attention, c’est clairement pas un mod pour débutants ! Il vous faudra de sacrées compétences en électronique, pas mal de matos spécifique et une bonne dose de patience pour arriver à un résultat similaire.

Enfin bref, je dis chapeau bas Monsieur Smith pour ce boulot de malade mental. On en redemande des comme ça ! Parce que soyons honnêtes, ça sert pas à grand chose mais qu’est-ce que c’est classe !

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Mikerosoft – Oups la boulette chez Microsoft

Imaginez le bazar si quelqu’un ajoutait par erreur tous les Jean-Michel de votre entreprise dans une conversation de groupe ! C’est un peu ce qui est arrivé chez Microsoft cette semaine. De nombreux employés prénommés Mike ou Michael ont eu la surprise de se retrouver sans le vouloir dans une boucle d’échanges par mail.

Michael Schechter, le VP de Bing, raconte s’être réveillé avec une quantité inhabituelle d’emails non lus. Sur le coup, il a cru à un gros plantage en prod pendant la nuit, mais non, en fait c’est juste une personne qui s’est amusée à créer un groupe avec beaucoup de gens qui s’appellent Mike ou Michael chez Microsoft. Et pas de bol pour eux, ils sont nombreux !

Face à cette situation ubuesque, Michael a eu le réflexe de demander à Copilot (l’assistant d’IA de krosoft) de résumer le fil de discussion et croyez-moi, ça vaut son pesant de cacahuètes ! D’après Copilot, les participants ont commencé par demander des explications sur le but de ce groupe, tout en notant avec amusement qu’ils avaient le même prénom. Évidemment, ça n’a pas manqué de partir en vrille et chacun y est allé de sa petite blague, de jeux de mots rigolos comme renommer le groupe en « Mikerosoft« . Certains se sont même demandé avec humour si ce n’était pas un piège pour les virer !

Le plus drôle dans l’histoire, c’est que malgré les nombreux messages, personne n’a compris qui avait créé ce groupe ni pourquoi. Un beau mystère ! En attendant, les participants en ont profité pour faire connaissance. Si ça se trouve, il y en a même qui en ont profité pour corriger des bugs… roooh.

Ça rappelle quand même qu’il faut toujours faire attention avec les emails de groupe ou les mises en copie. Une erreur est vite arrivée et on a vite fait d’envoyer des conneries et de les regretter après ! Une histoire similaire a d’ailleurs eu lieu dans les années 90 selon Eric Lippert. Un type voulait contacter « Mike de Microsoft » qu’il avait rencontré à une conf sauf qu’il a réussi à chopper les adresses des 600 Mike de la boîte. La presse avait titré à l’époque « Heureusement qu’ils ne cherchaient pas Bill » !

L’histoire ne dit pas s’il vont s’organiser un barbecue ou séminaire entre Mike, mais je troue que « Mikerosoft », ça sonne quand même mieux que Microsoft, non ?

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Mateusz Jurczyk – L’expert en sécurité qui a exploré la base de registre Windows pour y trouver des failles

Mateusz Jurczyk, un nom qui ne vous dit peut-être rien, mais retenez-le bien, car le bonhomme est fort. Ce chercheur en sécurité bien intentionné bosse pour Google Project Zero, une équipe de choc qui traque les failles dans tous les recoins depuis des années déjà. Et pendant quasi 2 ans, de mai 2022 à décembre 2023, il s’est lancé le défi d’ausculter un des organes les plus vitaux de Windows : sa base de registre.

Pour ceux qui débarquent, le registre, c’est un peu le cerveau de Windows. Une méga base de données qui stocke tous les réglages, options et préférences du système et des applis, organisés de manière hiérarchique avec des clés, des sous-clés et des valeurs. Bref, un truc super sensible et stratégique. Si un pirate arrive à mettre ses mains là dedans, bonjour les dégâts !

Mais notre Mateusz, c’est pas le genre à se dégonfler. Armé de ses outils et de ses connaissances en reverse engineering, il a plongé dans les millions de lignes de code de ce monolithe vieux de 30 ans et croyez-moi, il a frappé fort : pas moins de 50 failles critiques déterrées, dont 39 qui permettent une élévation de privilèges ! En gros, la totale pour passer de simple clampin à admin suprême sur une machine.

La force de son taf, c’est d’avoir exploré des endroits de la base de registres que personne n’avait vu avant. Des trucs bien planqués comme la récupération des transactions avortées, le chargement de ruches extraites ou les bails de virtualisation du registre (une fonctionnalité qui permet aux vieilles applis de tourner sans broncher sur les Windows récents). Bref, un vrai boulot de fourmi avec une grosse dose de persévérance.

Et le plus flippant, c’est que la moitié de ces failles seraient plutôt faciles à exploiter notamment via des techniques de corruption de mémoire ou de cassage des garanties de sécurité comme les ACL (les listes qui contrôlent qui a le droit de faire quoi dans le registre). Pour vous donner une idée, Mateusz a même créé des exploits de démo pour deux vulnérabilités, montrant comment détourner le registre à son avantage.

Heureusement, c’est un White Hat avec un grand cœur et toutes ses trouvailles ont été balancées en temps et en heure à Microsoft via le programme de divulgation responsable de Project Zero. Les ingés de Redmond ont évidemment remédié au boxon en patchant, avec des délais moyens de correction de 80 jours. Vous pouvez donc souffler !

Mais l’histoire est loin d’être finie. Il a tellement kiffé son voyage dans les méandres du registre, qu’il prévoit d’en faire une série de posts de blog pour partager son savoir. Au menu, des analyses bien poussées des bugs, des techniques d’exploit et plein de tips pour mieux protéger nos bécanes, comme :

  • Toujours avoir une sauvegarde du registre avant d’installer un nouveau soft : regedit.exe /e sauvegarde.reg
  • Scanner régulièrement le registre avec des outils comme CCleaner Registry Cleaner, Wise Registry Cleaner ou Glarysoft Registry Repair.
  • Se méfier des applis louches qui veulent mettre leur nez dans le registre et les virer en cas de doute.
  • Garder son Windows et ses drivers à jour pour bénéficier des derniers patchs de sécurité.
  • Utiliser les outils de monitoring comme l’Observateur d’événements ou les Performances Windows pour garder un œil sur l’activité du registre.

J’ai hâte de dévorer tout ça !

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Pour la première fois, des scientifiques réussissent cette avancée majeure sur la physique quantique

L'internet de demain est déjà en cours de développement par d'éminents scientifiques travaillant sur la physique quantique. Cette fois-ci, des chercheurs de plusieurs universités européennes ont réussi l'exploit de produire, collecter et partager des informations quantiques.

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F1 24 : le jeu de course débarque le 31 mai, le raytracing et la VR à l’honneur

L'édition 2024 du jeu F1 fera son apparition fin mai sur consoles current gen et old gen et PC. Forcément, la version PC profitera de meilleurs graphismes avec la compatibilité raytracing et la réalité virtuelle.

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AMD Strix Halo se précise, les prochains ultrabooks seront taillés pour le gaming

Des internautes du forum ChipHell auraient obtenu des illustrations du prochain CPU AMD Strix Halo reposant sur une architecture hybride pour booster les performances en gaming sur les PC ultraportable. Ils ont donc créé des schémas complets afin de faire un récapitulatif de toutes les caractéristiques techniques.

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Test NiPoGi CK10 – Un mini PC avec Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un SSD NVMe

I. Présentation

Dans cet article, nous allons évoquer le mini PC NiPoGi CK10 dans sa version avec un processeur Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un stockage SSD NVMe de 512 Go !

Ce test est l'occasion d'évoquer les caractéristiques techniques, le design, l'évolutivité et les performances de ce modèle compact ! Comme souvent, NiPoGi propose plusieurs configurations pour une seule référence. Le modèle CK10 est également disponible avec 32 Go de RAM et 1 To de SSD, à ne pas confondre avec la version présentée dans cet article.

II. Caractéristiques du NiPoGi CK10

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

  • Processeur : Intel Core i5-12450H (jusqu'à 4,4 GHz, 8C/12T)
  • GPU : Intel UHD Graphics (intégrée au processeur) - Fréquence 1.20 GHz
  • RAM : 16 Go DDR4 - 3200 MHz
  • Stockage : 512 Go SSD NVMe (M.2 - PCIe 3.0) + 1 emplacement vide SSD NVMe + 1 emplacement pour disque SATA 2.5 pouces
  • Connectique en façade : 2 x USB 3.0, 1 x USB-C 3.0, 1 x Jack audio et le bouton Power
  • Connectique à l'arrière : 2 x USB 3.0, 2 x HDMI 2.0, 1 x RJ45 1 Gbit/s et 1 fente de verrouillage Kensington
  • Connectique sur le côté gauche : 1 x VGA
  • Affichage : prise en charge de trois écrans grâce aux deux ports HDMI et au port VGA
  • WiFi 6, Bluetooth 5.2
  • Alimentation (sortie) : 19V/3.42A - 64.98W
  • Poids : 470 grammes
  • Dimensions (L x W x H) : 13,8 x 12,6 x 5 cm
  • Système d'exploitation : Windows 11
  • Prix : 360.00 euros - Rendez-vous en fin d'article pour notre offre bon plan

III. Package, design et conception

La boite, entièrement blanche, est sobre, mais elle a le mérite de nous donner des précisions sur la version présente à l'intérieur. L'ordinateur et les accessoires sont correctement emballés et protégés par d'épaisses mousses. Le matériel est arrivé en parfait état, c'est ce que nous retiendrons.

Qu'avons-nous à l'intérieur de la boite ? Le mini PC est accompagné par l'alimentation externe et son câble, ainsi qu'un câble HDMI, un support VESA (et les vis), une notice d'utilisation (en français, utile si vous envisagez d'utiliser le support VESA pour fixer le PC à l'arrière d'un écran), et une rallonge SATA à utiliser si vous souhaitez ajouter un disque SATA 2.5 pouces.

Le boitier gris anthracite de ce mini PC NiPoGi est entièrement en plastique. Le plastique est rigide et semble relativement solide. Le boitier est correctement assemblé et tous les ports sont bien accessibles : aucun défaut n'est à relever. La seule chose qui me gêne réellement, c'est l'emplacement hasardeux des deux stickers sur le dessus du boitier (que l'on peut retirer facilement). En dessous, nous retrouvons 4 patins antidérapants d'une épaisseur de 4 mm. Nous constatons qu'il y a une entrée d'air sur le dessus, mais aussi en dessous du boitier, tandis que l'extraction de l'air s'effectue par l'arrière du boitier.

La façade de ce mini PC est riche en connectique puisque 2 ports USB 3.0, 1 port USB-C et une prise Jack sont facilement accessibles. À l'arrière, il y a également 2 ports USB 3.0, ainsi que 2 ports HDMI et une interface RJ45 Gigabit Ethernet (1 Gbit/s). Sur la gauche du boitier, il y a également un port VGA : ce qui est assez rare de nos jours, mais cela permet à ce modèle de se démarquer ! Ainsi, vous pouvez connecter 3 écrans : 2 en HDMI et 1 en VGA. D'ailleurs, le port VGA pourrait être utilisé pour connecter un vidéoprojecteur ou un écran qui n'est pas équipé d'un port HDMI.

Pour ouvrir le boitier et accéder à l'intérieur, il suffit de retirer les 4 vis présentes en dessous du boitier. Ceci va nous permettre de découvrir les composants et l'image ci-dessous montre l'emplacement pour disque SATA, au format 2.5 pouces.

À l'intérieur du boitier, il y a un espace confortable entre les différents composants, mais ce sera différent si vous ajoutez un disque SATA 2.5 pouces. Néanmoins, il est important de préciser que ce boitier est un peu plus grand que beaucoup d'autres modèles de mini PC. Voici ce qui est à noter :

  • Il y a deux slots pour la mémoire vive (RAM) et les deux sont déjà occupés par 2 barrettes de 8 Go
  • Il y a deux barrettes de RAM SO-DIMM de marque Lexar : 8 Go 1Rx8 PC4-3200AA-SA21.2V
  • Il y a un disque SSD NVMe, équipé d'un dissipateur et d'une épaisse couche de pâte thermique. C'est appréciable (mais ceci nous empêche de lire l'étiquette pour en savoir plus sur la référence).
  • Il y a un emplacement libre pour ajouter un second disque SSD NVMe (PCIe 3.0)
  • Il y a une carte RealTek RTL8852BE pour le Wi-Fi 6 et le Bluetooth 5.2

Voici les entrailles du CK10 en photos :

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Ce mini PC est livré avec le système Windows 11 Pro, en version 22H2, donc il y aura des mises à jour à installer. Nous devons finaliser la mise en route, mais cela est très rapide puisque nous devons seulement définir le nom d'utilisateur. Il s'agit d'une image personnalisée par NiPoGi (probablement avec un fichier de réponse) et elle occupe 37 Go sur le disque (ce qui est beaucoup !).

Comme pour tous les ordinateurs, je vous recommande de réinstaller la machine avec une image propre et téléchargée depuis le site de Microsoft si vous souhaitez continuer sur Windows. Cette machine est pleinement compatible avec Windows 11, car elle respecte tous les prérequis (y compris la puce TPM 2.0).

À part Google Chrome qui est intégré à l'image de Windows 11, il n'y a pas d'autres logiciels supplémentaires visibles. Bien entendu, nous avons le droit à toute la panoplie d'applications de chez Microsoft.

Le mini-PC est livré avec 16 Go de RAM en DDR4, mais une mise à niveau est possible. Le processeur i5 de ce modèle supporte 64 Go de RAM, ce qui signifie que nous pouvons remplacer les 2 barrettes de 8 Go par 2 x 32 Go. De quoi faire une belle évolution si vous souhaitez utiliser ce PC pour de la virtualisation.

En résumé, pour faire évoluer la configuration de ce mini PC, vous avez plusieurs options : augmenter la RAM, ajouter un disque SATA (2.5 pouces) et ajouter un disque SSD NVMe.

B. Performances

Ce mini PC est propulsé par un processeur Intel Core i5 de 12ème génération lancé au premier trimestre 2022. Le modèle i5-12450H a 8 cœurs et 12 threads, 12 Mo de cache et sa fréquence maximale en mode Turbo est 4,4 GHz. Sachez que NiPoGi a limité la consommation d'énergie du CPU à 35 watts, ce qui affectera légèrement les performances sur du traitement multithread.

Commençons par mesurer les performances du disque SSD NVMe intégré à l'ordinateur.

Le SSD NVMe présent dans ce mini PC NiPoGi offre de belles performances : un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 834 Mo/s.

Voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

Ainsi qu'un aperçu du disque dans Crystal Disk Info :

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Comment réagit le PC lors d'un stress CPU ?

Pendant le stress test du CPU (charge à 100%), la ventilation souffle un peu plus fort, mais cela reste discret. Au ralenti, les ventilateurs sont vraiment très discrets et ne vous gêneront pas du tout.

D'après HWMonitor, lorsque le mini PC est allumé sans être sollicité, la température du CPU est de 40°C. Pendant le stress test du CPU, la température du CPU monte en flèche jusqu'à 91.0°C (au bout de 5 minutes, environ). Ceci n'est pas surprenant, car l'air exfiltré par l'arrière du boitier est bien chaud ! Par contre, ensuite, la température met du temps à redescendre, comme si le système de refroidissement était un peu à la peine.

Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Au quotidien, pour de la bureautique et un peu de multimédia, ce PC est parfaitement adapté. Il est très silencieux et supporte très bien la navigation sur Internet avec de nombreux onglets, la lecture de vidéos en 4K (sur YouTube, par exemple), mais également l'utilisation d'applications telles que la suite Microsoft Office. Ceci en fait un compagnon intéressant et abordable si vous recherchez ce type de mini PC.

La principale limitation, c'est la puce graphique intégrée : Intel UHD Graphics qui est un iGPU. Autrement dit, ce n'est pas une configuration adaptée au gaming. Vous pouvez envisager de jouer à des jeux peu gourmands, ou, à des jeux disponibles depuis 3 ans, 4 ans, ou plus, en ajustant les paramètres de qualité graphique, mais c'est tout. À titre d'exemple, vous pouvez jouer à GTA V : tous les effets visuels ne peuvent pas être activés, mais en Full HD, le jeu est fluide !

Voici un aperçu (à gauche, une copie d'écran - à droite, une photo de l'écran).

V. Conclusion

C'est l'heure du verdict ! Le mini PC NiPoGi CK10 n'est pas parfait, mais il y a plusieurs points à mettre en avant. Tout d'abord, sa puce Intel Core i5 de 12ème génération qui répond présente et assure un bon niveau de performances, tout comme son disque SSD NVMe qui offre de bonnes performances ! Quant à la RAM, disons que 16 Go, c'est le minimum recommandé pour utiliser un PC confortablement et pour le multitâches. Si cela ne suffit pas, vous pouvez toujours prévoir une mise à niveau de la RAM (comptez plus de 130 euros pour passer sur 64 Go), mais aussi du stockage, car vous pouvez ajouter un disque SATA au format 2.5 pouces et un second disque SSD NVMe.

NiPoGi cherche toujours à apporter un peu d'originalité au design de ses boitiers, et c'est le cas avec le CK10. J'ai apprécié la présence d'une connectique riche, avec notamment de nombreux ports USB dont 3 en façade (2 USB-A + 1 USB-C). Néanmoins, le boitier de ce mini PC est légèrement plus imposant que d'autres modèles (même s'il reste compact : 13,8 x 12,6 x 5 cm) et il y a également l'absence d'un lecteur de carte SD. C'est à préciser, car pour certains usages, cela peut avoir son importance. Par ailleurs, le port VGA présent sur le côté du boitier peut surprendre, mais c'est malgré tout un atout pour ce modèle. Ce petit détail plaira à ceux qui ont besoin d'une machine récente, compacte et équipée du VGA.

Maintenant, il est important de mettre un tarif en face de cette configuration et ce verdict. Découvrez notre offre spéciale ci-dessous.

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How Attackers Can Own a Business Without Touching the Endpoint

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Akira Ransomware Gang Extorts $42 Million; Now Targets Linux Servers

Threat actors behind the Akira ransomware group have extorted approximately $42 million in illicit proceeds after breaching the networks of more than 250 victims as of January 1, 2024. "Since March 2023, Akira ransomware has impacted a wide range of businesses and critical infrastructure entities in North America, Europe, and Australia," cybersecurity agencies from the Netherlands and the U.S.,

Veeam ajoute la prise en charge de l’hyperviseur Oracle Linux KVM

La solution Veeam Data Platform prend désormais en charge la sauvegarde et la restauration des machines virtuelles exécutées sur l’hyperviseur Linux KVM d’Oracle. Ce type de nouveautés pourrait inciter certains clients attachés à quitter VMware ! Faisons le point sur cette annonce.

Avec la prise en charge de l'hyperviseur Oracle Linux KVM et des environnements managés avec oVirt, Veeam continue d'étoffer la liste de plateformes de virtualisation et de Cloud prises en charge par sa solution Veeam Data Platform. Parmi les nombreuses plateformes prises en charge, nous avons : VMware vSphere, VMware Cloud Director, VMware Cloud on AWS, VMware Cloud on AWS Outposts, VMware Cloud on Dell Microsoft Hyper-V, Microsoft Azure Stack HCI, Microsoft Azure VMware Solution, Amazon AWS Nutanix AHV, Red Hat Virtualization, Google Cloud, Google Cloud VMware Engine, Oracle Cloud VMware Solution et IBM Cloud, et désormais Oracle Linux KVM.

Même si Veeam n'en parle de pas dans son communiqué de presse, cette nouveauté pourrait être un signe de la prise en charge imminente d'autres hyperviseurs tels que Proxmox et XCP-ng, qui sont deux alternatives à VMware ESXi. En janvier dernier, Veeam avait d'ailleurs laissé entendre que des travaux était en cours pour ajouter la prise en charge de Proxmox.

La volonté de Veeam est d'offrir de la liberté aux entreprises afin de prendre en charge toutes les plateformes et les systèmes qu'ils utilisent. « Avec la prise en charge d’Oracle Linux Virtualization Manager, nous offrons aux entreprises une liberté de choix sans équivalent sur le marché de la virtualisation en leur permettant notamment de sélectionner et de migrer vers les plateformes qui répondent le mieux à leurs besoins, tout en maintenant une gestion, une sécurité et une protection transparente des données. »

Désormais, les utilisateurs d'Oracle Linux KVM peuvent sauvegarder leur environnement et bénéficier de la restauration complète ou granulaire de leurs machines virtuelles, ainsi que la gestion sécurisée et conforme du cycle de vie des sauvegardes. L'occasion de rappeler la possibilité de créer des sauvegardes immuables pour lutter contre certaines menaces, dont les ransomwares.

Que pensez-vous de cette nouveauté ?

Source

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Les 7 meilleures stratégies de marketing digital à appliquer en 2024

Dans un monde où les comportements des consommateurs et les avancées technologiques se transforment à un rythme sans précédent, les stratégies de marketing numérique doivent également évoluer rapidement pour rester pertinentes.

En 2024, l'impératif pour les spécialistes du marketing est de se tenir informés des dernières tendances et d'embrasser des approches novatrices qui leur permettent de communiquer avec leur public cible de la manière la plus efficace possible.

Face à une concurrence toujours plus forte et à des consommateurs de plus en plus avertis, il devient crucial d'adopter des stratégies qui non seulement attirent l'attention mais aussi engagent et fidélisent les clients sur le long terme.

Voici les sept stratégies de marketing numérique primordiales à mettre en œuvre cette année pour assurer une présence en ligne dynamique et impactante.

Salle de travail marketing, Unsplash

1. Création d'un site internet optimisé

La création d'un site web est essentielle pour toute entreprise cherchant à établir une présence en ligne solide. Un site web bien conçu offre à votre entreprise une vitrine virtuelle où les clients potentiels peuvent en apprendre davantage sur vos produits et services.

Assurez-vous que votre site web est convivial, responsive et optimisé pour les moteurs de recherche afin d'attirer du trafic qualifié et de convertir les visiteurs en clients. L'une des premières étapes pour lancer votre présence en ligne consiste à apprendre comment créer un site internet.

2. Marketing d'influence

Les influenceurs jouent un rôle de plus en plus important dans la promotion des marques et des produits. En collaborant avec des personnes influentes dans leur domaine, les entreprises peuvent toucher un public plus large et gagner en crédibilité.

En 2024, les spécialistes du marketing devraient investir dans des partenariats stratégiques avec des influenceurs qui correspondent à leur marque et à leurs valeurs. Pour en savoir plus sur l'impact croissant du marketing d'influence, consultez cet article instructif de So Bang.

3. Optimisation pour la recherche vocale

Avec la popularité croissante des assistants vocaux tels que Siri et Alexa, l'optimisation pour la recherche vocale devient essentielle. Les entreprises doivent adapter leur stratégie de référencement pour inclure des mots-clés et des expressions utilisés dans les requêtes vocales.

Créer du contenu qui répond aux questions courantes posées par les utilisateurs de la recherche vocale peut aider à améliorer le classement dans les résultats de recherche. Découvrez comment optimiser votre stratégie de référencement vocal en lisant cet article approfondi de Digitad.

4. Expérience utilisateur améliorée

L'expérience utilisateur (UX) est un facteur déterminant dans la réussite du marketing numérique, où les sites Web et les applications conviviaux et réactifs jouent un rôle crucial en garantissant une interaction positive avec les utilisateurs.

En 2024, les spécialistes du marketing devraient se concentrer sur l'optimisation de l'UX pour offrir une expérience transparente et engageante à leurs clients potentiels, tout en intégrant des éléments de design innovants qui améliorent l'accessibilité et la navigation, renforçant ainsi l'engagement client.

5. Contenu vidéo interactif

Le contenu vidéo continue de dominer le paysage du marketing numérique, mais en 2024, la tendance est au contenu vidéo interactif. Les vidéos interactives permettent aux spectateurs de participer activement en répondant à des questions, en prenant des décisions, et en explorant le contenu de manière immersive.

Cette approche favorise l'engagement et la rétention des spectateurs, transformant le visionnage passif en une expérience dynamique et participative qui renforce la connexion entre la marque et son audience, amplifiant ainsi l'impact des messages véhiculés.

6. Marketing sur les réseaux sociaux

En 2024, l'importance des réseaux sociaux dans le domaine du marketing numérique est incontestable, représentant un canal essentiel pour les entreprises visant à augmenter leur visibilité et engagement en ligne.

Pour rester compétitifs, les spécialistes du marketing doivent élaborer des stratégies spécifiques pour chaque plateforme sociale, tenant compte de leurs particularités.

L'utilisation avancée d'outils d'analyse est indispensable pour comprendre les comportements des utilisateurs et mesurer l'efficacité des campagnes, favorisant ainsi l'ajustement des stratégies pour maximiser l'impact et le ROI.

7. Intelligence artificielle et automatisation

L'intelligence artificielle (IA) et l'automatisation révolutionnent la manière dont les spécialistes du marketing interagissent avec leur public.

En exploitant des algorithmes avancés et en déployant des chatbots sophistiqués, les entreprises peuvent automatiser de vastes processus de marketing, assurer un service client disponible 24/7, et personnaliser les interactions avec les clients à une échelle sans précédent.

Cette transformation permet une approche plus efficace et ciblée du marketing, offrant des expériences utilisateur améliorées tout en optimisant les ressources et en maximisant l'engagement des consommateurs.

Conclusion

En appliquant ces sept stratégies de marketing numérique, les entreprises améliorent leur compétitivité et atteignent leurs objectifs de croissance en 2024.

De l'optimisation web à l'utilisation de l'intelligence artificielle, ces méthodes essentielles favorisent l'atteinte du public cible, l'engagement accru, et une hausse des conversions. L'adaptabilité et l'innovation constante permettent de répondre aux attentes changeantes des consommateurs et de se distinguer.

Ainsi, ces stratégies facilitent la création de liens durables avec les clients, propulsant les entreprises vers le succès dans l'écosystème digital.

Écrit par Maxime Masse pour IT-Connect

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