Vue normale
- Tech2Tech | News, Astuces, Tutos, Vidéos autour de l'informatique
- Comment configurer un VPN Wireguard sur l’UDM Pro SE d’Ubiquiti
- Tech2Tech | News, Astuces, Tutos, Vidéos autour de l'informatique
- Ubiquiti : Comment mettre à jour UniFi Network Application via SSH ?
Ubiquiti : Comment mettre à jour UniFi Network Application via SSH ?
- Tech2Tech | News, Astuces, Tutos, Vidéos autour de l'informatique
- Ubiquiti : Unifi OS 3.0 disponible pour tous ! (UDM, UDM Pro et UDM Pro SE)
Ubiquiti : Unifi OS 3.0 disponible pour tous ! (UDM, UDM Pro et UDM Pro SE)
- Tech2Tech | News, Astuces, Tutos, Vidéos autour de l'informatique
- Ubiquiti : Unifi Network 7.4.156 disponible ! (OpenVPN, Port Management, Portail Captif…)
Ubiquiti : Unifi Network 7.4.156 disponible ! (OpenVPN, Port Management, Portail Captif…)
- Tech2Tech | News, Astuces, Tutos, Vidéos autour de l'informatique
- TP-Link ER7212PC : La solution réseau Omada 3 en 1 pour les TPE et PME !
TP-Link ER7212PC : La solution réseau Omada 3 en 1 pour les TPE et PME !
- Tech2Tech | News, Astuces, Tutos, Vidéos autour de l'informatique
- TP-Link ER7212PC : La solution réseau Omada 3 en 1 : Installation et configuration
TP-Link ER7212PC : La solution réseau Omada 3 en 1 : Installation et configuration
Comment désactiver l’IPv6 sur Windows 10 ?
IPv6 signifie « Internet Protocol version 6 ». Créé par l’IETF (Internet Engineering Task Force), ce protocole permet aux équipements informatiques, tels que des ordinateurs, des imprimantes, etc., de communiquer entre eux via Internet. Pour échanger des données, chaque appareil utilise une adresse IP pour son identification.
L’IPv6 correspond à la version la plus récente du protocole Internet. Il succède à l’IPv4. Malgré les améliorations proposées par cette nouvelle version, l’utilisation de l’IPv6 peut entraîner des problèmes de réseau justifiant sa désactivation.
- ☞ Vous ne pouvez pas télécharger une application à cause de votre connexion Internet ?
- ☞ Vous n’arrivez pas à vous connecter sur un réseau informatique ?
- ☞ Vous perdez votre connexion sans raison apparente ?
Pour tenter de résoudre ces problèmes de connexion et de réseau, découvrez comment désactiver l’IPv6 sur Windows 10. Dans ce tutoriel, nous présenterons plusieurs méthodes pour désactiver la dernière version du protocole Internet. Mais juste avant, nous prendrons le temps d’expliquer simplement ce qu’est l’IPv6. Allons-y !
Qu’est-ce que l’IPv6 ?
L’adresse IP (Internet Protocol)
Une adresse IP correspond à un numéro unique qui permet d’identifier nos appareils électroniques connectés sur un réseau informatique. Par exemple :
- les ordinateurs ;
- les serveurs ;
- les imprimantes ;
- les caméras de surveillance ;
- les smartphones ;
- les montres connectées ;
- les réfrigérateurs intelligents ;
- les aspirateurs robots, etc.
Quelle est la signification de IP ?
C’est l’abréviation de Internet Protocol. Ce protocole assure la communication entre les différents équipements informatiques connectés sur un même réseau. Les adresses IP permettent de transmettre les données entre appareils. Comme nous utilisons une adresse postale ou électronique pour échanger du courrier, ces équipements informatiques ont besoin d’une adresse numérique (IP) pour échanger des informations.
Par exemple, vous souhaitez accéder à un tutoriel sur Le Crabe Info. Pour afficher un article, votre navigateur (Chrome, Edge, Firefox, etc.) a besoin de connaître l’adresse IP du serveur qui héberge le site. Peut-être que vous ne vous en rendez pas compte, car vous tapez simplement des mots clés (crabe info) dans la barre de recherche. Puis, vous cliquez sur une page qui vous affiche un nom de domaine (lecrabeinfo.net). Mais derrière, ce sont des adresses IP qui permettent d’authentifier les serveurs qui hébergent les pages d’un site internet.
Le rôle du DNS
Entre ces deux étapes, votre navigateur fait appel à un service DNS (Domain Name System) qui associe chaque nom de domaine à une adresse IP. Une fois l’adresse récupérée, le navigateur contacte le serveur web qui héberge le site Le Crabe Info et lui demande d’afficher le tutoriel que vous souhaitez consulter sur votre ordinateur.
Les différentes versions du protocole Internet
Inventée dans les années 1970, l’IPv4 se rapporte à la première version du protocole Internet. Cette version est actuellement la plus utilisée. Les adresses dites en IPv4 se présentent sous la forme suivante : X.X.X. X. Chaque X correspond à un nombre décimal situé entre 0 et 255. Par exemple, 28.129.237.85 est une adresse IPv4.
Avec cette version du protocole, le nombre d’adresses disponibles se limite à environ 4 x 109. Avec l’expansion rapide d’Internet ces dernières années, presque toutes les adresses IPv4 ont déjà été allouées. Cette pénurie justifie en grande partie la création de l’IPv6 dans les années 1990, par l’IETF (Internet Engineering Task Force). En effet, cette nouvelle version du protocole Internet permet la disponibilité de plus de 340 x 1036 adresses.
En plus d’augmenter le nombre d’adresses, l’IPv6 améliore les performances du réseau et renforce sa sécurité. Les adresses dites en IPv6 s’affichent sous la forme : X:X:X:X:X:X:X:X, où chaque X représente un nombre hexadécimal. Elles combinent des chiffres allant de 0 à 9 et des lettres entre A et F. Par exemple, c0b1:0000:20a3:85a3:0000:0db8:ac1f:8001 est une adresse IPv6.
Les problèmes rencontrés avec l’IPv6
Mais alors, pourquoi désactiver l’IPv6 ? Malgré les avantages de cette nouvelle version du protocole Internet, il est possible de rencontrer des problèmes justifiant sa désactivation. Voici des exemples de difficultés relevées par les utilisateurs de l’IPv6 sur Windows 10 :
- ☞ vous perdez la connexion d’un wifi ou d’un réseau local ;
- ☞ vous échouez à vous connecter sur un réseau, car certains anciens appareils ne sont pas équipés pour prendre en charge ce protocole ;
- ☞ vous rencontrez des soucis de téléchargement d’une application ou d’un document et votre ordinateur vous demande de “vérifiez la connexion Internet, puis réessayez” ;
- ☞ vous rencontrez des soucis de téléchargement d’une application ou d’un document et votre ordinateur vous demande de “vérifiez la connexion Internet, puis réessayez” ;
- ☞ votre connexion est particulièrement lente ;
- ☞ vous avez des problèmes de résolution de noms DNS (Domain Name System) ;
- ☞ vous n’arrivez pas à accéder à certains sites web bloqués dans votre région, alors que vous êtes en train d’utiliser un VPN, etc.
Dans la partie suivante, nous allons découvrir comment désactiver l’IPv6 sur Windows 10 pour tenter de résoudre les problèmes que nous venons de mettre en avant !
Comment désactiver IPv6 sur Windows 10 ?
Depuis le Panneau de configuration
- Entrez dans les Paramètres de Windows, puis allez dans Réseau et Internet.
- Dans les paramètres de réseau avancés, cliquez sur Centre Réseau et partage.
- Sélectionnez votre réseau actif (Wi-Fi ou Ethernet). Dans cet exemple, je clique sur le réseau public Wi-Fi (Evelyne).
- L’état de votre réseau s’affiche. Appuyez sur Propriétés.
- Pour désactiver l’IPv6, vous devez décocher la ligne Protocole Internet version 6 (TCP/IPv6). Validez ce changement en cliquant sur Ok.
- Répétez cette même procédure sur toutes les interfaces réseau pour lesquelles vous souhaitez désactiver l’IPv6.
- Redémarrez votre PC pour activer les modifications.
Avec Powershell
- Appuyez simultanément sur les touches Win ❖ + X et ouvrez Windows PowerShell (admin).
- Une demande d’autorisation s’ouvre, cliquez sur Oui.
- Pour récupérer les noms des réseaux où l’IPv6 est activé, tapez
get-netadapterbinding
- Comme vous pouvez le constater sur votre écran, l’identifiant du composant IPv6 correspond à
ms_tcpip6
- Ensuite, affichez la liste des adaptateurs réseaux prenant en charge la version 6 du protocole Internet en écrivant
get-netadapterbinding -ComponentID ms_tcpip6
et appuyez sur Entrée⏎. Identifiez l’interface réseau pour laquelle vous souhaitez désactiver l’IPv6. Par exemple, le Wi-Fi.
- Tapez
disable-netadapterbinding -Interfacealias “Wi-Fi” -ComponentID ms_tcpip6
puis cliquez sur Entrée⏎. Pensez à adapter le nom du réseau.
- Vous souhaitez désactiver la dernière version du protocole Internet sur une autre interface réseau ? Reprenez la même procédure et changez simplement le nom du réseau.
- Pour vérifier la désactivation de l’IPv6 sur un ou plusieurs réseaux, tapez de nouveau
get-netadapterbinding -ComponentID ms_tcpip6
et faites Entrée⏎. Regardez au niveau de la colonne Enabled. Si False est affiché, alors la version 6 du protocole Internet du réseau est bien désactivé.
- Pensez à redémarrer votre ordinateur pour activer ce changement.
Par l’Éditeur du registre de Windows
- Pour accéder à l’Édtieur du registre de Windows, appuyez simultanément sur les touches Win ❖ + R. Dans la fenêtre Exécuter, tapez regedit et cliquez sur Ok.
- Une demande d’autorisation s’ouvre, cliquez sur Oui.
- Dans le menu de gauche de l’Éditeur du Registre, déroulez le dossier HKEY_LOCAL_MACHINE, puis celui SYSTEM > CurrentControlSet > Services.
- Faites défiler les dossiers jusqu’à celui intitulé Tcpip6 et déroulez-le. Ensuite, accédez au dossier Parameters.
- Passez sur la partie droite de la fenêtre. Si le fichier DisabledComponents n’apparaît pas, vous allez devoir le créer. Pour cela, cliquez sur l’onglet Edition. Placez votre curseur sur Nouveau et sélectionnez Valeur DWORD (32 bits).
Tapez DisabledComponents, puis appuyez sur Entrée⏎.
- Pour désactiver l’IPv6 sur votre ordinateur, ouvrez DisabledComponents.
- Option 1 : la désactivation de la dernière version du protocole Internet.
Pour désactiver l’IPv6 sur toutes les interfaces réseau, entrez ff. Et cliquez sur Ok.
Option 2 : privilégier l’IPV4 à l’IPv6.
Pour éviter le dysfonctionnement de certains services, Microsoft déconseille de désactiver totalement l’IPv6. Habituellement, Windows favorise l’IPv6 par rapport à l’IPv4. En cas de problèmes de connexion ou de réseau, inversez la priorité entre les différentes versions du protocole IP en tapant 20. Faites Ok.
- Redémarrez votre ordinateur pour activer cette nouvelle configuration.
Adresse IP : autres liens utiles ?
Les hackers ukrainiens se vengent contre les Russes en perturbant le réseau internet
Un opérateur internet russe a subi une cyberattaque lancée par des hackers ukrainiens. Ces derniers se vengent après la panne interne en décembre provoquée par les pirates du renseignement russe.
Partage Windows : Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à
Windows vous permet de configurer un partage réseau pour accéder à des dossiers distants.
Cela est pratique pour ouvrir ou copier des fichiers d’un PC à un autre au sein d’un réseau local LAN.
Mais au moment d’accéder à un partage réseau distant, une erreur réseau se produit avec un message “Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à \\partage” s’affiche.
L’accès au partage est refusé et impossible.
Dans ce tutoriel, je vous donne la marche à suivre pour résoudre les problèmes d’autorisations pour accéder à un partage Windows.
Ce guide s’applique à Windows 11 et Windows 10.
Comment résoudre “Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à” sur un partage Windows
Voici les quatre points de configuration à vérifier.
Changer le profil réseau en privé
Les PC de votre réseau local doivent être configurés dans le profil réseau privé.
Vérifiez cette configuration :
- Cliquez d’abord sur l’icône Wi-Fi, dans la zone de notification de Windows 10/11 et barre d’état systray 1 Généralement trouvée dans le coin inférieur droit de l’écran
- Puis cliquez sur Réseau Connecté 2
- Dans les paramètres, cliquez sous Propriétés en dessous de Ethernet
- Ensuite dans les paramètres réseaux, dans la partie profil réseau, choisissez entre Public et Privé
- Fermez la fenêtre Paramètres et vous avez terminé. Le changement est immédiatement appliqué et utilisé par Windows
Plus de détails :
Configurer le même groupe de travail sur tous les PC
Vos PC doivent aussi être dans le même groupe de travail, par défaut, il s’agit de WORKGROUP.
- Faites un clic droit sur le menu Démarrer
- Puis Système
- Puis cliquez sur Renommer ce PC
- Dans la fenêtre Nom de l’ordinateur, en bas allez sur Modifier
- Enfin saisissez le nom du groupe de travail. Par défaut, vous devez avoir WORKGROUP
Créer les mêmes compte utilisateur sur chaque PC
Un autre point important est que les comptes utilisateurs doivent être identiques sur chaque PC.
En effet, lorsque vous vous connectez à un partage réseau, Windows envoie les identifiants sur le PC serveur. Si ce dernier ne reconnaît pas le nom d’utilisateur et mot de passe alors il refuse l’accès avec le message “Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à \\partage“.
Voici comment configurer les comptes utilisateurs Windows :
- Sur votre clavier, utilisez le raccourci clavier + R
- Puis saisissez netplwiz et OK
- Vérifiez que la liste des utilisateurs est identique
- Si vous avez des utilisateurs différents, utilisez le bouton Ajouter pour créer un nouvel utilisateur présent sur l’autre PC
- En plus du nom d’utilisateur identique, le mot de passe doit être identique. S’il s’agit d’un compte Microsoft vous n’avez rien à faire, par contre pour un compte local, vous pouvez réinitialiser le mot de passe pour avoir le même mot de passe sur chaque PC
Vérifier les autorisations du partage
Enfin dernière vérification, les autorisations du partage réseau doivent autoriser vos comptes utilisateurs à accéder au partage.
- Ouvrez l’explorateur de fichiers de Windows, par exemple, par le raccourci clavier + E. Plus de méthodes dans ce tutoriel : Comment ouvrir l’explorateur de fichiers sur Windows
- Faites un clic droit sur le dossier partagé
- Puis Propriétés
- Allez sur Partage avancé
- Puis en bas cliquez sur Autorisations
- L’utilisateur avec lequel vous vous connectez au PC distant doit être présent avec les autorisations de lecture à minima. Si les aspects d’autorisation n’ont pas d’importance, alors configurez le partage pour avoir “Tout le monde” avec Modifier
Après ces vérifications, testez si l’erreur Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à \\partage” est résolue.
Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à demander de l’aide sur le forum.
Liens
- Comment partager un dossier entre ordinateur Windows
- Partage réseau et groupe résidentiel
- Erreur 0x80070035 (chemin réseau introuvable) sur les partages réseau
- Résoudre l’erreur 0x80004005 (erreur non spécifiée) sur Windows 10
- Erreur 0x80070043 (nom de réseau introuvable) sur les partages réseau
- Partage Windows : Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à
- net view/use erreur système 53 ou 51 : les solutions
- Net view erreur 6118 : 8 solutions
- Comment résoudre les erreurs systèmes sur net use ou net view
- net use sur Windows : partage et lecteur réseau
- 4 façons de supprimer un lecteur réseau sur Windows 10, 11
L’article Partage Windows : Vous n’avez pas l’autorisation d’accéder à est apparu en premier sur malekal.com.
Bloquer des sites WEB sur Windows (7 façons)
Vous souhaitez bloquer l’accès à certains sites WEB sur Windows.
Cela peut être des sites de réseaux sociaux tels que Facebook, X/Twitter, YouTube ou autres afin de rester concentrer sur votre travail ou vos études et éviter les distractions.
Ce tutoriel vous donne plusieurs méthodes pour bloquer des sites WEB sur Windows, Google Chrome, Edge et Mozilla Firefox.
7 façons de bloquer les sites internet
Bloquer un site internet avec le fichier HOSTS de Windows
Le fichier HOSTS permet de modifier les résolutions DNS de Windows, il est donc possible de faire pointer une adresse WEB vers une mauvaise IP et ainsi empêcher la connexion.
Pour éditer facilement, le fichier HOSTS de Windows, vous pouvez utiliser le programme Host File Editor.
Depuis Host File Editor, Il vous suffit de saisir l’adresse IP 127.0.0.1 et l’adresse du site que vous désirez bloquer.
Par exemple, ci-dessous, nous avons ajouté.
Il suffit de remplir les champs et de cliquer sur le bouton Save en haut.
127.0.0.1 www.malekal.com
rendant la connexion sur l’adresse impossible.
D’autres méthodes dans ce tutoriel :
Le contrôle parental Microsoft Family Safety
Voici les fonctionnalités de l’application Famille de Microsoft :
- Durée d’utilisation des appareils : Définissez des limites de temps sur les appareils, applications et jeux de vos enfants pour équilibrer leur temps d’écran
- Filtre de contenu : Choisissez le contenu adapté à leur âge et gérez les sites web qu’ils visitent. Vous pouvez bloquer le contenu pornographique ou violent provenant d’internet
- Limiter le temps écran ou bloquer des applications : Vous pouvez gérer les appareils de manière globales ou définir des limites écran par applications
- Rapports d’activités : Surveillez sont activité et recevez un rapport hebdomadaire dans votre boîte de réception
- Configurer le contrôle parental en suivant ces guides :
- Ouvrez le compte membre de la famille
- A gauche allez dans le menu Filtre de contenu
- Puis à droite dans Paramètres de filtre, activez Filtrer es sites web et les recherches inappropriées
- En bas, vous pouvez ajouter des sites à autoriser ou à bloquer
Bloquer un site internet avec le Firewall Windows
Vous pouvez aussi bloquer l’accès à un site internet avec Windows Defender Firewall.
Pour y arriver, suivez ce tutoriel :
Block Site – Extension Chrome, Edge ou Firefox de blocage de site
Block Site est une extension pour les navigateurs WEB Google Chrome ou Mozilla Firefox.
Cette application de blocage de site internet permet de bloquer des sites sur des mots clés, catégories ou par l’adresse du site internet.
Il est aussi possible de générer une redirection vers une adresse WEB spécifiques afin d’afficher un message en particulier.
Elle est gratuite avec des limitations.
- Les liens de téléchargement :
- Une icône Block Site est ajoutée en haut à droite et permet d’accéder aux options
- Vous pouvez alors bloquer une site depuis la barre de menu de l’icône
- En allant sur l’icône
- Un menu Bloquer des sites est disponible avec :
- Blocage par catégorie
- Adresse de site
- Mots-clés
- Voici la page de blocage :
- Le mode focus permet de fixer votre temps de travail et les intervalles de pause.
- Ajoutez des sites à votre liste de blocage pour éviter les distractions pendant une session.
La version payante vous permet de protéger l’extension par un mot de passe et de personnaliser la page de blocage.
FocusGuard – Bloquer des sites et mode de concentration
FocusGuard est une extension gratuite pour Chrome qui agit en tant que bloqueur de sites gratuit pour une productivité accrue.
Si vous voulez un peu de temps pour naviguer en ligne mais que vous espérez éviter une spirale Internet à part entière, le bloqueur de site pourrait être parfait pour vous.
Pour cela, vous pouvez fixer une limite de temps pour les sites distrayants.
Enfin, la liste de blocage personnalisée et protection par mot de passe.
- Ouvrez l’icône de l’extension
- Puis cliquez sur Start Session
- A partir de là, les sites de streaming, sociaux sont bloqués. Par exemple, ci-dessous Facebook est inaccessible
- De nombreux paramètres sont disponibles avec notamment la possibilité d’ajouter des sites à bloquer ou en mettre en liste blanche
Simple DNSCrypt – Blocage de site internet par DNS
Simple DNSCrypt est un programme qui permet de changer des DNS mais aussi de filtrer les requêtes.
Vous pouvez interdire des domaines entier, mais aussi des mots spécifiques dans le domaine, comme par exemple “sex”.
Pour plus d’informations, reportez-vous au tutoriel Simple DNSCrypt
A partir de là, cela bloque les sites WEB et en interdit l’accès.
PeerBlock – Bloquer les adresses IP
PeerBlock est un programme capable de bloquer des adresses IP.
Tout programme qui tente d’accéder aux adresses IP listées lui sera interdit.
PeerBlock peut donc bloquer les publicités de n’importe quel logiciel installé.
Plus d’informations, lire le Tutoriel PeerBlock
Liens
- Bloquer les sites porno et contenu choquant d’Internet
- Bloquer les sites web malveillants et adultes avec HostsMan
- Comment bloquer un site WEB avec le fichier HOSTS de Windows
- Bloquer les sites porno avec les DNS
- Contrôle parental NextDNS pour bloquer les sites pornos
- Installer le contrôle parental AdGuard pour bloquer les sites pornos
- Comment bloquer un site avec le firewall Windows
- Windows 10 : le contrôle parental pour protéger vos enfants
- Utiliser le contrôle parental de Windows 11 (Microsoft Family Safety)
L’article Bloquer des sites WEB sur Windows (7 façons) est apparu en premier sur malekal.com.
Prise en main du switch UniFi USW-16-PoE
Lire la suite : Prise en main du switch UniFi USW-16-PoE
Une baie informatique à la maison
Lire la suite : Une baie informatique à la maison
Tailspin – Pour y voir plus clair dans vos logs
Si vous avez votre propre serveur, que ce soit pour du pro ou pour de l’auto-hébergement, vous avez forcément dû un jour de votre vie, jeter un oeil dans les fichiers de logs de celui-ci.
C’est pratique des logs, ça permet de savoir ce qui se passe et pourquoi ça ne fonctionne pas toujours comme on l’espère. Sauf que voilà, en SSH, via le terminal, le rendu des logs n’est pas souvent fou-fou.
Heureusement, il y a des outils comme Tailspin, qui mettent un peu de vie dans tout ça, pour vous éviter en tant que sysadmin un burnout et un retour immédiat dans le cantal pour élever des myocastors et en faire du pâté.
Tailspin est capable d’afficher n’importe quel format de log sans aucune config particulière, pour faire ressortir les informations importantes telles que les nombres, les dates, les adresses IP, les UUIDs, les URLS et bien d’autres choses. Il peut s’intégrer très facilement avec d’autres commandes puisqu’il fonctionne comme la commande less pour faire des recherches ou du filtrage dans les logs.
Bien sûr, si vous voulez rajouter des mises en avant, vous pouvez configurer l’outil pour qu’il puisse appliquer le style de votre choix au pattern regex de votre choix.
Pour l’installer, rien de plus simple. Il vous suffit de lancer l’une des commandes suivantes selon votre distrib :
# Homebrew
brew install tailspin
# Cargo
cargo install tailspin
# Archlinux
pacman -S tailspin
# Nix
nix-shell -p tailspin
# NetBSD
pkgin install tailspin
# FreeBSD
pkg install tailspin
De quoi y voir plus clair dans votre travail quotidien.
- Tech2Tech | News, Astuces, Tutos, Vidéos autour de l'informatique
- Unifi : Installation et configuration des points d’accès Ubiquiti
Unifi : Installation et configuration des points d’accès Ubiquiti
Un tutoriel pour mettre en place Syncthing
Si vous me suivez depuis longtemps, vous connaissez forcément Syncthing puisque j’en ai déjà parlé un bon paquet de fois. Mais ça faisait longtemps et dans le cadre de mon Patreon Privé Premium++ Rotomoulage Sélectif qui permet à l’élite de la crème de la nation d’avoir des contenus originaux merveilleux de moi-même sur des canaux exclusivement exclusifs, j’ai réalisé une vidéo tutoriel sur le sujet.
Synchting, c’est le Dropbox du pauvre libriste et ça permet très facilement de mettre en place sur toutes vos machines Linux, Windows, macOS et plus, de la synchronisation chiffrée dans les deux sens ou en sens unique, de vos fichiers. Ça repose sur du protocole P2P, donc c’est super rapide, ça passe partout, même à travers vos firewalls et c’est vraiment un game changer pour ceux qui aiment avoir leurs documents sous la main, peu importe l’appareil qu’ils utilisent ou l’endroit où ils se trouvent.
Voilà, j’espère que ça vous plaira. N’oubliez pas de nous rejoindre sur Patreon, et le cas échéant, de vous abonner à ma chaine YouTube.
Seabird – Le client natif pour la gestion de Kubernetes sous Windows, macOS et Linux
Si vous faites du Kubernetes au boulot ou chez vous, le soir en cachette, voici un client nommé Seabird, qui veut le coup d’oeil.
Cet outil desktop dispo sous macOS, Windows et Linux va vous permettre d’explorer les ressources de vos clusters de manière très simple, très intuitive. Pas de chichi, c’est carré et tout y est : la liste de vos Pods, leur état de santé, les redémarrages, et tout ce qui concerne les Deployments, StatefulSets, et autres Services. Vous pourrez voir en un coup d’œil où en est votre cluster, et ce, dans une interface épurée qui se veut sans bloatware.
Seabird se distingue par sa capacité à rendre la gestion de Kubernetes vraiment accessible. Grâce à sa prise en charge des espaces de noms, il est facile de séparer et de gérer vos environnements de développement, de test et de production. Les métadonnées détaillées, les labels, les annotations et les informations sur les propriétaires de ressources sont tous à portée de main.
Mais Seabird ne se limite pas à la visualisation. Il offre également la possibilité d’interagir directement avec les ressources. Vous pourrez lancer, arrêter et redimensionner des services directement depuis votre bureau. C’est l’outil idéal pour ceux qui veulent aller au-delà des commandes de kubectl et cherchent une interface graphique intuitive pour piloter Kubernetes.
Disponible sur les trois principaux OS, Seabird s’installe rapidement et vous permettra de plonger encore plus rapidement dans le vif du sujet.
Wiki TUI – Wikipedia directement dans votre terminal
Je n’aime jamais trop quitter mon terminal. On y est tellement bien.
Et encore moins pour ouvrir un navigateur et aller chercher de l’info sur Wikipédia. Ouin !
Heureusement, il existe Wiki Tui, un client TUI (Text User Inteface si vous ne saviez pas encore), écrit en Rust (donc rapideeee) qui va vous permettre de faire des recherches et de parcourir Wikipédia directement depuis votre terminal.
Le bonheur ! Ça fonctionne avec les mêmes touches que Vim, ce qui vous évitera de trop bousculer vos petites habitudes, parce qu’arrivé à un certain âge… Bref, je m’égare. Vous aurez alors accès à la table des matières de la page Wikipédia pour vous rendre directement à la partie du sujet qui vous intéresse.$
Wiki TUI dispose également de différents thèmes pour faire plaisir à vos petits yeux.
Pour l’installer sous mac:
sudo port install wiki-tui
Ou avec Rust :
cargo install wiki-tui
Bref, c’est minimaliste et super pratique pour ne pas vous laisser distraire dans votre navigateur.
Raspberry Pi NAS – Du stockage réseau DIY performant et économique !
Je ne sais pas si ça va vous motiver pour aujourd’hui ou si on contraire, ça va vous faire poser des congés, mais j’ai découvert grâce à Lorenper, un projet plutôt dingue qui allie la magie du Raspberry Pi et le côté pratique d’un NAS (Network Attached Storage). En gros, imaginez pouvoir créer votre propre espace de stockage en réseau à la maison, à moindre coût et avec une petite bête électronique qui consomme très peu d’énergie.
Hé bien c’est possible grâce au Raspberry Pi NAS qui est un projet DIY dont toutes les étapes sont décrites chez Printables.
Le Raspberry Pi, pour ceux qui ne connaissent pas encore, est un mini-ordinateur à bas coût qui permet de réaliser de nombreux projets DIY (Do It Yourself) à la fois ludiques et utiles. Il est devenu très populaire pour la création de serveurs en tous genres, et notamment pour mettre en place un NAS.
Le truc, c’est que les NAS sont généralement assez chers, et leurs performances ne sont pas toujours à la hauteur de leur prix. J’ai un Synology à la maison et j’en suis très content. Mais grâce au Raspberry Pi, il est maintenant possible de créer un NAS sur mesure, avec des fonctionnalités adaptées à nos besoins, et ce, pour une somme modique.
La première étape pour créer un Raspberry Pi NAS consiste à rassembler le matériel nécessaire. Vous aurez besoin d’un Raspberry Pi (de préférence de dernière génération pour bénéficier de performances accrues), d’une carte microSD pour le système d’exploitation, d’un disque dur externe ou d’une clé USB pour le stockage, d’une alimentation adaptée et de deux ou trois autres petites choses telles qu’un écran OLED. Je vous laisse vous référer à la liste du matos sur le site Printables.
Une fois le matériel rassemblé, il faudra préparer la carte microSD avec le système d’exploitation. La distribution la plus populaire pour ce genre de projet est Raspbian. Une alternative intéressante est OpenMediaVault qui intègre déjà de nombreuses fonctionnalités pour un NAS.
Le disque dur externe ou la clé USB que vous choisirez pour le stockage devra être formaté et monté sur le Raspberry Pi. Il est possible d’utiliser différents systèmes de fichiers tels que NTFS, FAT32 ou EXT4. À noter qu’il est également possible de configurer un RAID (Redundant Array of Independent Disks) pour augmenter la capacité de stockage et garantir la sécurité des données. Plus y’a de plus, plus on est à l’aise, blaiz !
En ce qui concerne le partage des fichiers et dossiers sur le réseau, plusieurs protocoles sont disponibles et peuvent être configurés selon vos besoins. Le plus commun est le protocole Samba (non, pas de Janeiro…) qui est compatible avec les systèmes Windows, macOS et Linux. Un autre protocole intéressant est NFS (Network File System) qui fonctionne principalement avec les systèmes Linux et UNIX. Pour ceux qui souhaitent accéder à leurs fichiers depuis le Web, il est possible de mettre en place un serveur FTP (File Transfer Protocol) ou d’utiliser des applications de cloud personnel telles que Nextcloud ou Owncloud.
Mis à part les fonctionnalités de base d’un NAS, le Raspberry Pi permet d’ajouter d’autres services supplémentaires tels que la sauvegarde automatisée de vos données, la synchronisation entre plusieurs dispositifs, l’accès à distance sécurisé via VPN ou encore la diffusion de contenus multimédias en streaming grâce à des logiciels tels que Plex ou Kodi. Vous avez de quoi vous éclater techniquement, ne vous inquiétez pas.
Bref, créer un NAS avec un Raspberry Pi est un projet plutôt cool qui permet d’obtenir un système de stockage en réseau sur mesure, économique et performant. Les possibilités sont presque infinies, et vous pourrez adapter votre NAS à vos besoins spécifiques grâce à la flexibilité offerte par le Raspberry Pi.
Puis si vous voulez faire d’autres trucs avec votre Raspberry Pi, mais que vous n’avez pas d’idées, je vous ai compilé une super liste de projets ici.
Merci à Lorenper
Jami – L’alternative décentralisée et sécurisée à Zoom, Teams…etc
Et yooo !
Si vous cherchez un moyen de sécuriser vos communications en ligne, Jami est probablement une réponse à votre préoccupation. Il s’agit d’un logiciel de communication entièrement libre, décentralisé, et sécurisé. Anciennement connu sous le nom de SFLphone puis Ring, Jami est un projet soutenu par la Free Software Foundation et est disponible sur toutes les plateformes, y compris Windows, macOS, Linux, Android et iOS.
Disponible en téléchargement sur jami.net, Jami offre une multitude de fonctionnalités pour répondre aux besoins de communication modernes. Tout d’abord, son fonctionnement est entièrement distribué et repose sur deux réseaux distincts: OpenDHT, une table de hachage distribuée, mais également sur un smart contrat Ethereum pour tout ce qui est enregistrement des noms d’utilisateurs. Cela signifie que toutes les communications sont peer-to-peer et ne nécessitent pas de serveur central pour relayer les données entre les utilisateurs. Génial non ?
Jami offre donc un large éventail de fonctionnalités, notamment la messagerie instantanée, les appels audio et vidéo, les groupes de discussion (appelés les Swarms), les vidéoconférences sans hébergement tiers, l’enregistrement des messages audio et vidéo, le partage d’écran et la diffusion de médias.
Une caractéristique intéressante de Jami est qu’il peut également fonctionner en tant que client SIP. Le logiciel est conforme à la norme X.509 et utilise un cryptage de bout en bout de pointe avec la confidentialité persistante pour toutes les communications.
Comme mentionné précédemment, Jami est disponible sur toutes les plateformes, y compris les environnements de bureau tels que GNOME et KDE, ainsi que sur les smartphones Android et iOS. Les utilisateurs n’ont besoin d’aucune information personnelle pour créer un compte, ce qui contribue à préserver leur anonymat.
En plus des avantages de sécurité et de vie privée, Jami offre également des avantages tels que la gratuité, tant en termes de coût que de liberté, et l’absence de restrictions sur la taille des fichiers, la vitesse, la bande passante, les fonctionnalités, le nombre de comptes, le stockage, et bien d’autres. De plus, comme s’y sont engagés ses créateurs, il n’y aura jamais de publicité sur Jami.
C’est donc une excellente alternative aux services de communication traditionnels (Teams, Zoom ou ce genre de merdes), offrant une plate-forme décentralisée, sécurisée et respectueuse de la vie privée pour tout ce qui est appels, messagerie et partages d’écran.
Si ça vous branche de tester, c’est par ici que ça se passe.
Merci à Lorenper